Le Sénat vote lamendement créant une nouvelle taxe sur lhôtellerie haut de gamme Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) center">
Direction de la séance | Projet de loi Projet de loi de finances pour 2013 (1ère lecture) PREMIÈRE PARTIE (n° 147 , 148 , 149, 150, 151, 152, 153, 154) | N° I-296 22 novembre 2012 |
| | AMENDEMENTprésenté par | | | C | Sagesse du Sénat | | G | Demande de retrait | | Adopté |
| MM. M. BOURQUIN, TEULADE et BÉRIT-DÉBAT, Mme DEMONTÈS, MM. MIRASSOU et CAMANI, Mmes CARTRON et D. MICHEL, M. FILLEUL, Mme GÉNISSON, MM. KERDRAON, LABAZÉE, BERTHOU, VAUGRENARD et COURTEAU, Mme BONNEFOY, M. BOUTANT, Mme CAMPION, MM. LOZACH, J.C. LEROY et NÉRI, Mmes NICOUX et BOURZAI, M. RICHARD, Mme M. ANDRÉ, MM. BERSON, BOTREL et CAFFET, Mme ESPAGNAC, MM. FRÉCON, GERMAIN, HAUT, HERVÉ, KRATTINGER, MASSION, MIQUEL, PATIENT, PATRIAT, REBSAMEN, TODESCHINI, YUNG et les membres du Groupe socialiste et apparentés
ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS ARTICLE 30 |
Après l’article 30 Insérer un article additionnel ainsi rédigé : Le titre II de la première partie du livre premier du code général des impôts est complété par une chapitre XXI ainsi rédigé : « Chapitre XXI « Contribution exceptionnelle de solidarité pour les carrières longues « Art. 302 bis ZO - Il est institué une contribution exceptionnelle de solidarité pour les carrières longues, due par les personnes qui exploitent un ou plusieurs établissements hôteliers. « La taxe est assise sur le montant hors taxes des sommes encaissées en rémunération des prestations relatives à la fourniture de logement définies au deuxième alinéa du a de l'article 279 du code général des impôts, d'une valeur supérieure ou égale à 200 € par nuitée de séjour. « Le taux est fixé : « - à 2 % pour les nuitées dont la valeur est supérieure ou égale à 200 € et inférieure à 400 € ; « - à 4 % pour les nuitées dont la valeur est supérieure ou égale à 400 € et inférieure à 600 € ; « - à 6% pour les nuitées dont la valeur est supérieure ou égale à 600 €. « Art. 302 bis ZP - Le fait générateur et l'exigibilité de la contribution interviennent dans les mêmes conditions que celles applicables en matière de taxe sur la valeur ajoutée. La contribution est déclarée, recouvrée et contrôlée selon les mêmes procédures et sous les mêmes sanctions, garanties, sûretés et privilèges que la taxe sur la valeur ajoutée. Les réclamations sont présentées, instruites et jugées selon les règles applicables à cette même taxe. « La contribution s'applique aux prestations pour lesquelles la taxe sur la valeur ajoutée est exigible à compter du 25 novembre 2012, et jusqu’au 31 décembre 2014. « Art. 302 bis ZQ. - Le produit de la contribution exceptionnelle instituée à l’article 302 bis ZO est affecté au dispositif mentionné par le décret n° 2011-1421 du 2 novembre 2011 instituant à titre exceptionnel une allocation transitoire de solidarité pour certains demandeurs d’emploi. Ses modalités d’utilisation sont définies par décret. » Objet Le présent amendement vise à donner au Gouvernement les moyens nécessaires au renforcement du dispositif de l’allocation transitoire de solidarité. Pour ce faire, il s’inspire, sur le principe, d’une imposition créée par la loi de finances rectificative du 19 septembre 2011, et supprimée par la loi de finances rectificative du 28 décembre 2011. Le décret du 3 juillet 2012 n'a que partiellement réglé cette situation des anciens allocataires ou allocataires potentiels de l'allocation équivalent retraite -qui permettait de faire la jonction entre fin du chômage et retraite. Il est donc urgent d'élargir les conditions d'accès à l'ATS, dont le bénéfice est aujourd’hui conditionné au fait d’avoir au moins 60 ans à l’extinction des droits à l’allocation d’assurance chômage. En attendant la mise en œuvre des décisions qui seront prises lors de la concertation sur les retraites prévue pour le début de l’année 2013, l'amendement invite à une solution transitoire à cette situation d'urgence, pour les deux prochaines années. L'ATS a en effet vocation à disparaître fin 2014 lorsque les personnes concernées auront atteint l’âge de 60 ans. Les ressources créées par cette nouvelle contribution, affectée au dispositif de l’ATS, pourront être mobilisées par le Gouvernement, par voie réglementaire, pour élargir les conditions d’accès.
(AFP) - Le Sénat a adopté mardi un amendement PS prévoyant une nouvelle taxe sur les nuits d'hôtel au-delà de 200 euros, pour financer une aide exceptionnelle pour une catégorie de retraités en difficulté, dans le cadre de l'examen du projet de budget 2013. Le gouvernement a demandé le retrait de cet amendement, ce que le groupe PS a refusé. L'Allocation équivalent retraite (AER), qui permettait à des chômeurs âgés de faire la jonction entre fin du chômage et retraite, a été supprimée en janvier 2011. Elle a été remplacée par l'ATS (Allocation transitoire de solidarité), mais les conditions pour y accéder ont écarté beaucoup de ces chômeurs qui se sont retrouvés sans ressources. Le projet de loi de finance pour 2013 ne prévoit aucune disposition pour remédier à cette situation et le ministre du Travail Michel Sapin a écarté le rétablissement de l'AER.
"Il y a urgence sociale pour ces personnes en état de précarité, lorsque l'AER a été supprimée cela a plongé ces milliers de personnes dans une crise indiscible. Ils ne nous demandent non pas des mots mais des actes", a lancé Martial Bourquin (PS), auteur de l'amendement. "Le temps presse, chaque jour qui passe est un vrai calvaire pour 20 000 de nos concitoyens, il s'agit de réparer une terrible injustice.
C'est le gouvernement précédent qui les a placés dans cette situation, c'est au nôtre de réparer", a-t-il plaidé avec passion.
De nombreux sénateurs PS lui ont emboîté le pas, exhortant le gouvernement de trouver une solution. "C'est un symbole, nous pouvons montrer que oui, le Sénat est solidaire de nos concitoyens" a lancé Didier Guillaume (PS), enjoignant le groupe à ne pas retirer l'amendement.
Le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, admettant une "urgence sociale", a indiqué qu'un "état des lieux précis était en train d'être mené, avec des résultats courant décembre".
"Le gouvernement sera alors en mesure de proposer un dispositif", a-t-il ajouté en demandant à l'auteur de l'amendement de le retirer "en attendant cet état des lieux".
L'amendement prévoit une taxe de 2 % pour les nuitées de 200 à 400 euros, de 4 % pour les nuitées de 400 à 600 euros et de 6 % pour celles supérieures ou égales à 600 euros. Cette taxe serait exigible depuis le 25 novembre. Cet amendement avait provoqué notamment l'inquiétude d'un syndicat d'hôtelier, le Synhorcat, particulièrement bien implanté dans l'hôtellerie haut-de-gamme et luxe.
Il a été voté par toute la gauche sénatoriale. A droite quelques uns ont voté contre et beaucoup se sont abstenus. Toutefois le projet de budget 2013 n'ayant aucune chance d'être voté au Sénat, cet amendement devrait disparaître de facto, à moins qu'il ne soit repris à l'Assemblée nationale. Lire la suite... BEI et Ascame sunissent pour le tourisme durable Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) MÉDITERRANÉE. En marge du Forum Méditour et de la 11e conférence de la FEMIP (Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat), la Banque européenne d'investissement (BEI) et l'Ascame (Association des chambres de commerce et d'industrie de la Méditerranée) ont paraphé lundi 26 novembre 2012 à Marseille, un accord pour aider les PME du tourisme dans leur démarche de développement durable en Méditerranée. Qualifié par Philippe de Fontaine Vive, vice-président de la BEI, et Mohamed Choucair, président de l'Ascame, les deux signataires, de " signal fort aux dirigeants des PME, des acteurs et des partenaires financiers du secteur du tourisme en Europe et en Méditerranée", le texte prévoit les mutualisations des compétences et moyens d'action à l'appui du secteur privé. Les deux partenaires s'engagent à mieux faire remonter les besoins des promoteurs de projets et d'initiatives créatrices d'emplois pour faciliter leur financement. Les investissements prendront spécifiquement en compte les aspects développement durable des dossiers." La Hongrie premier pays pour le tourisme dentaire en Europe Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) Chaque année, 80 000 patients d'Europe occidentale se rendent chez les dentistes hongrois. Une manne financière qui fait vivre de nombreux secteur de l'économie.
voir la vidéo L’allongement des vacances de la Toussaint favorable au tourisme en Bretagne Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) Bonne fréquentation, surtout la première semaine
"Cette année, les vacances scolaires de la Toussaint sont passées de 10 à 15 jours, pour le plus grand bonheur de certains professionnels bretons. Après une bonne première semaine dopée par le pont du 1er novembre, la fréquentation s’est ralentie la deuxième semaine : 2/3 des établissements ouverts pendant cette période sont satisfaits de la fréquentation touristique. Traditionnellement propice aux rassemblements familiaux, la période a surtout profité aux loisirs, l’hébergement non marchand étant plus plébiscité. Une majorité de professionnels ouverts Certains professionnels habituellement fermés dès fin septembre ont profité de l’allongement des vacances de la Toussaint pour poursuivre leur activité cette année. Sur l’ensemble des hébergeurs et professionnels de loisirs interrogés, plus des ¾ étaient ouverts, malgré l’annonce tardive du changement de calendrier. Meilleure satisfaction chez les professionnels de loisirs
2/3 des professionnels sont satisfaits de la fréquentation mais la répartition est inégale selon les branches d’activité et la situation géographique. Les ¾ des gestionnaires de structures de loisirs sont satisfaits alors que seulement la moitié des hébergeurs le sont, en raison de l’important recours à l’hébergement non marchand. Les hébergements jouant à la fois la carte famille et économique sont toutefois majoritairement satisfaits à la différence de l’hôtellerie par exemple. Couvertes ou non, certaines activités de loisirs sont pleinement satisfaites : aquariums, golfs et parcs animaliers. Les zones Bretagne Nord et Rennes-Vitré semblent avoir mieux tiré leur épingle du jeu". lire la suite [PDF - 935 Ko] Le tourisme peut-il nous sauver Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) Excédentaire et pourvoyeur d'emplois, le secteur touristique pourrait contrebalancer en partie le déclin de l'industrie. Mais cet excédent est fragile. Dans ce secteur aussi, la France doit améliorer son offre pour rester dans la course. Le mois dernier, Louis Gallois a remis au gouvernement un rapport qui souligne l'ampleur de la désindustrialisation de l'économie française.
Les mesures envisageables pour redresser la barre sont coûteuses et ne peuvent avoir, au mieux, un impact qu'à moyen terme.
Ne vaudrait-il pas mieux finalement miser plutôt sur d'autres activités, comme le tourisme, pour rééquilibrer les comptes extérieurs du pays ?
La France est certes bien placée dans ce domaine, mais ses performances sont moins flamboyantes qu'elles en ont l'air et les perspectives d'avenir sont peu assurées.
L'Hexagone est actuellement la première destination touristique mondiale, et ce depuis plus de trente ans.
En 2011, 81 millions d'étrangers ont visité la France, un record absolu.
acheter l'article sur le site d'Alternatives économiques
Thomas Cook révèle de lourdes pertes pouvant sélever à 725 millions deuros Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) Thomas Cook reveals further heavy losses Thomas Cook lost a further £590m to the year ended September 30, during which time it has sold assets worth a total of £103m. It made a gross profit of £2.1bn but underlying profit from operations was 49% down to £156m, which it said was in line with expectations but made worse by a £110m higher fuel bill. The £590m loss included previously disclosed goodwill and other write-downs of £369m and business repositioning costs of £81m. It revealed it lost £17m on the sale of packages for the Olympic Games, for which it was preferred partner. Even though it sold these at a profit of £9m, it lost money on the deal due to upfront licensing and marketing costs. The head of the operator's London 2012 partnership, Stephen Vaughan, has since left the business. However, Cook said current trading was good, with summer 2012 ending strongly and winter off to a good start in major markets, with forward bookings and improvements in pricing. "Our capacity strategy will reduce operating risk in an uncertain consumer environment as the Group implements its Business Transformation," it said in a statement released to the London Stock Exchange this morning. The transformation includes changes to the key management team, which is said would "break down historic silos, energise our people and implement cultural change". Already six senior members of staff have announced they are leaving the operator following the appointment of new group chief executive Harriet Green. Other changes, said Thomas Cook, include driving efficiency through global procurement, centralised hotel purchasing and consolidation to reduce fixed and overhead costs; over £100m of annual cost benefits and £50m of incremental working capital improvements have already been identified. la suiteVoir aussi la Tribune du 28 novembre Le voyagiste britannique a vu sa perte annuelle se creuser sur son exercice 2011-2012. Toutefois, le groupe affiche son "optimisme" grâce aux résultats de son profond plan de restructuration Thomas Cook continue de broyer du noir. Mercredi, le voyagiste britannique a vu sa perte annuelle se creuser. Celle-ci s’est élevée à 585,9 millions de livres (près de 725 millions d'euros) sur l'exercice décalé 2011-2012 achevé fin septembre, contre 520,7 millions de livres un an plus tôt, a-t-il annoncé dans un communiqué. Pour sa part, le chiffre d’affaires a reculé de son côté de 3,2% à 9,5 milliards de livres. Lire la suite... Attention les mers montent… Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) "A l'occasion de la conférence sur le climat qui se tient actuellement à Doha au Qatar, des chercheurs allemands, français et américains révèlent que le niveau des mers augmenterait beaucoup plus vite que le prévoyaient les projections de l'ONU. Les scientifiques du Groupement d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, le Giec, avaient estimé une montée du niveau des mers de 2mm par an entre 1990 et 2011. Or, lors de la conférence de Doha des chercheurs ont révélé les résultat d'une étude qui fixe cette élévation du niveau des mers à 3,2 mm par an sur la même période, soit 60% de plus. Cela fausserait alors toutes les projections réalisées par le Giec. Ainsi, le groupement d'experts estimait une élévation du niveau des mers de 18 à 59 cm au cours du XXIe siècle, calcul qui ne prend pas en compte la possible accélération de la fonte de la banquise. A titre comparatif, les eaux ont monté de 17 cm au cours du XXe siècle". lire la suite Les professionnels du tourisme trouvent laddition salée Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) Le secteur de l'hôtellerie et du tourisme commence à trouver l'addition fiscale et sociale un peu trop salée. Outre l'abandon de la TVA à taux réduit et le passage de 5,5% à 10% en deux ans (qui pourrait toutefois être partiellement compensé par le crédit d'impôt aux entreprises), deux mesures focalisent le mécontentement des professionnels.
Taxe sur les congrès médicauxLa première est prévue par l'article L.24 ter du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 (PLFSS). Introduite par un amendement de l'Assemblée nationale, elle étend aux congrès médicaux la contribution sur les dépenses de promotion des entreprises pharmaceutiques prévue par les articles L.245-2 et L.245-5-2 du code de la sécurité sociale. Or, comme le rappelle le Snav, Organisation nationale des professionnels du voyage, dans un communiqué du 20 novembre, "les congrès organisés par le secteur médical représentent 45% des congrès organisés en France et 55% des participants. Les retombées économiques, directes et indirectes, de ces congrès médicaux sont d'environ 465,4 millions d'euros [...] pour l'économie française". Par ailleurs, "l'industrie des congrès et expositions en France occupe la 3e place mondiale", tandis que "Paris est la 2e ville de congrès au monde". Le Snav redoute que cette taxe (qui devrait rapporter une quinzaine de millions d'euros) incite les laboratoires pharmaceutiques à délocaliser à l'étranger certaines grandes manifestations médicales. Il demande donc au gouvernement et à sa majorité parlementaire de revenir sur cette taxation, en soulignant la contradiction avec l'ambition, affichée par ailleurs, de faire de l'attractivité de la France une priorité. Cette demande a été partiellement entendue par Gérard Bapt, rapporteur (PS) de la commission des affaires sociales (recettes et équilibre général). Un amendement déposé par ses soins prévoit en effet de maintenir la taxation des congrès médicaux, mais porte de 50 à 75% l'abattement applicable à la taxation des frais de congrès. Argument avancé : "Ne pas pénaliser excessivement les entreprises pharmaceutiques qui organisent des congrès scientifiques, congrès qui demeurent des lieux de formation et d'échange pour les professionnels et des instruments de médiatisation des avancées en matière de recherche et développement." Taxe sur les nuitées pour financer l'ATSUn autre amendement, déposé des sénateurs socialistes sur le projet de loi de finances (PLF) pour 2013, prévoit d'instaurer une taxe sur les nuitées d'hôtels de moyen et haut de gamme. Cette taxe serait de 2% pour les nuitées de 200 à 400 euros, de 4% pour celles de 400 à 600 euros et de 6% pour celles égales ou supérieures à 600 euros. L'objet de cette taxe a peu à voir avec le tourisme, puisqu'elle doit servir à financer l'allocation transitoire de solidarité (ATS), qui a succédé à l'allocation équivalent retraite (AER) en janvier 2011. Celle-ci permet à certains demandeurs d'emploi, âgés et en fin de droits mais ne pouvant encore faire valoir leurs droits à une retraite à taux plein, de bénéficier d'un revenu de remplacement en attendant la liquidation de leur pension. Dans un mail adressé, le 26 novembre, à l'ensemble des sénateurs, Didier Chenet, le président du Synhorcat (syndicat national des hôteliers, restaurateurs, cafetiers et traiteurs), juge cette taxe "inacceptable". Il rappelle que "cette nouvelle mesure fiscale intervient après le passage de la TVA de 5,5% à 7% au début de 2012, puis à 10% au 1er janvier 2014". Il fait notamment valoir que cet amendement "procède d'une véritable méconnaissance du secteur", puisque le prix moyen d'une chambre d'hôtel à Paris, toutes catégories confondues, se situe légèrement au-dessus de 200 euros. Il explique également que "les hôteliers ne pourront pas répercuter immédiatement cette taxe sur leur clientèle en raison des contrats de commercialisation des chambres déjà passés avec les agences". Au risque de compromettre la situation de certains d'entre eux. Maroc le tourisme représente 7 du PIB Mercredi, 28 Novembre 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) "La part du secteur touristique dans le PIB du Maroc a atteint 7,1% en 2011, à 56,7 milliards de dirhams (5,1 milliards d'euros), en légère baisse sur un an, a annoncé mardi le Haut commissariat au plan (HCP), un organisme officiel. "Les principaux indicateurs de l'activité touristique en 2011 ont affiché des évolutions contrastées comparativement à l'année 2010", indique le HCP dans un communiqué. En passant de 55,9 milliards (BIEN: 5,03 milliards d'euros) à 56,7 milliards de dirhams, le secteur a connu une augmentation de 1,3% de ses recettes en 2011, année marquée par la crise ainsi que par les effets du printemps arabe dans des pays comme l'Egypte et la Tunisie. Mais sa part dans le PIB national a légèrement décru, de 7,3% à 7,1%, selon la même source. Le Maroc a connu l'an dernier un taux de croissance de 5% de son économie (moins de 3% prévu pour 2012). S'il constitue un secteur important dans le royaume, le tourisme n'atteint pas le poids de l'agriculture, qui entre pour près de 15% dans le PIB. La semaine dernière, le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, notant que les recettes touristiques avaient "frôlé" les 60 milliards de dirhams en 2011, avait pour sa part déclaré que le secteur touristique n'avait pas été "largement affecté par la crise mondiale". Cité par l'agence MAP, il avait ajouté que le nombre d'entrées touristiques devrait atteindre quelque 9,7 millions cette année". lire la suite Les nouvelles applications touristiques de l’open data français Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) "5 nouvelles applications touristiques ont vu le jour lors du week-end OpenTourisme organisé par BeMyApp. Le concept de ces week-ends est de rassembler le plus grand nombre de développeurs et de créatifs et de les inciter à créer de nouvelles applications mobiles. Les meilleures idées sont ensuite récompensées ! Afin de montrer l’attachement de la SNCF à l’open data, 170 développeurs et créatifs ont donc embarqué le 9 novembre dernier à bord d’un “TGV spécial open data”, en direction de Marseille. Pendant le voyage, les différentes équipes ont entamé leur réflexion sur leur application touristique. Une fois arrivés à Marseille, les différentes équipes ont passé une bonne partie du week-end (nuits comprises) à développer leurs applications… En tout, 22 projets ont été présentés devant le jury et 5 équipes gagnantes ont été sélectionnées. La délibération a eu lieu le dimanche et le jury a récompensé 5 applications touristiques, qui sont parvenues à intégrer avec succès les données publiques dans leur concept d’application mobile. Groovons est l’application gagnante de ce grand week-end open data. Elle a remporté le titre de meilleure application open data, en terme de réutilisation des données touristiques de Bouches-du-Rhône Tourisme. Disponible sur iPhone, Android et Windows Phone, cette application permet d’effectuer une recherche géolocalisée sur les concerts et les lieux de musique dans la région. Agenda culturel et communautaire des adeptes de la musique live, Groovons permet également aux personnes en situation de handicap d’accéder à une navigation adaptée et des informations sur l’accessibilité des salles, en fonction de leur handicap. Plus d’information sur Groovons ici. Ask James remporte le deuxième prix du week-end OpenTourisme organisé par BeMyApp. Cet étonnant service de conciergerie ressemble à un guide de voyage interactif et est disponible sur iPhone et Android. L’idée derrière le concept de l’application est de permettre au touriste de demander à James – comme à n’importe quelle concierge d’hôtel – des renseignements lors de son séjour touristique. Sport, culture, gastronomie ou activité en plein air : après avoir sélectionné ses centres d’intérêt, l’utilisateur pourra ensuite recevoir des informations ciblées et obtenir des réponses à ses questions. En savoir plus sur l’application Ask James ici. Terroir Caisse est déjà disponible sur Google Play et remporte le troisième prix de ce hackaton spécial open data et tourisme à Marseille. L’application – dont le concept s’éloigne légèrement des rubriques d’information touristiques classiques – permet de découvrir et de localiser les producteurs du terroir autour de soi. Grâce à la géolocalisation, l’utilisateur peut ainsi obtenir le nom, les coordonnées et les horaires d’ouverture des producteurs locaux, à 20 kilomètres à la ronde. Une bonne façon de découvrir le terroir et les spécialités locales, sans se perdre sur les petites routes de campagne ! En savoir plus sur le concept de Terroir Caisse ici. CineMap permet aux utilisateurs de découvrir sur leurs smartphones les lieux de tournage parisiens et de récréer les scènes de ces films. L’application réutilise ainsi les données mises à disposition par la ville de Paris, concernant ces lieux publics emblématiques du cinéma français et international. Les cinéphiles apprécieront ce parcours touristique inédit, sur les traces de leurs acteurs et réalisateurs préférés. En plus de la localisation des lieux de tourisme, CineMap permet aux utilisateurs de revoir la bande-annonce du film et de comparer les lieux de tournage et les scènes du film. En savoir plus sur l’application CineMap ici". lire la suite American Express Meetings Events lance son baromètre 2013 L’Asie va enregistrer la croissance la plus importante en termes de dépenses Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) Malgré des coûts plus élevés et des budgets plus serrés, l'Amérique du Nord devrait afficher une stabilité du MICE, alors que l’Europe et l’Amérique du Sud et Centrale accuseraient une baisse des dépenses.
La dernière édition du baromètre Meetings&Events met également en lumière
les destinations du globe qui seront les plus prisées en 2013 Paris, le 27 Novembre 2012 – Selon les prévisions 2013 du département Meetings & Events d’American Express Voyages d’Affaires, la région Asie-Pacifique, dopée par une économie relativement forte, est susceptible de connaître la plus forte croissance à la fois en termes de dépenses MICE et de nombre de réunions. En Amérique du Nord, l'incertitude économique devrait maintenir cette catégorie d’achat relativement stable, tandis que l'Europe, qui continue de faire face à une crise monétaire et, en raison de l'instabilité politique de certains marchés, devrait enregistrer une baisse. L’Amérique Centrale et l’Amérique du Sud, quant à elles, peuvent également s’attendre à une légère baisse, notamment en matière de dépenses. Ces conclusions reposent sur une enquête réalisée par American Express Meetings & Events, sur des informations issues de nombreuses réunions et manifestations, et sur des entretiens avec des professionnels du secteur – tels que des média-planneurs, acheteurs et fournisseurs hôteliers du monde entier. L’enquête tient compte à la fois des prévisions en fonctions, des budgets mais aussi des dépenses, du nombre de réunions, des délais de réalisations et d’autres indicateurs propres au secteur du MICE et par zone géographique. Elle apporte ainsi un aperçu des tendances clés du MICE pour 2013 et met en évidence les principales tactiques auxquelles les média-planneurs ont recours dans cet univers, afin de réduire les coûts et d'améliorer l'efficacité de leurs opérations. « Les entreprises considèrent désormais les réunions et les événements comme une stratégie clé pour stimuler la croissance des revenus et mettre en place une conduite du changement, mais elles reconnaissent également qu’elles avancent avec prudence dans un contexte économique mondial difficile », a déclaré Issa Jouaneh, Vice-Président et directeur général, American Express Meetings & Events. « Si l'Asie est susceptible de connaître une croissance en 2013, et que l'Europe va probablement être confrontée à une baisse, les rencontres professionnelles vont être soumises à des défis budgétaires. Les entreprises seront donc vraisemblablement amenées à vérifier la performance économique et financière de leur entreprise avant de faire des investissements dans l’événementiel », a poursuivi Issah Jouaneh. « En conséquence, l'une des principales tendances sera de se tourner vers des alternatives locales. L’'année prochaine, nous allons également voir les dépenses de « group air » et de « group hotel » décoller ». Principales tendances du MICE 2013 dans chaque région ou zone du globe.center">Prévisions | Amérique du Nord | Europe | Asie | Amérique Centrale / du Sud | Nombre de réunions | 0.0% | (-2.3)% | 6.4% | (-1.1)% | Dépenses globales en réunions | (-1.0)% | (-6.0)% | 4.2% | (-3.5)% | Moyenne des tarifs de groupe pour l’hôtel | 4.2% | 0.0% | 4.0% | 4.7% | Moyenne des tarifs de groupe pour les billets d’avion | 3.3% | 2.9%(1) | 2.9% | 3.2%(2) | Top 5 des destinations | Orlando
Washington DC
Las Vegas
Miami
Chicago | Londre
Paris
Amsterdam
Barcelone
Bruxelles | Shanghai
Singapour
Sydney
Pékin
Bangkok | Riviera Maya/ Cancun/ Quintana Roo
Rio De Janeiro
San Juan
Buenos Aires
Punta Cana |
1) Moyenne des prévisions pour l’Europe de l’Est et de l’Ouest
2) Moyenne des prévisions pour l’Amérique Centrale et du Sud
Michael Schuller, Vice-Président Europe d’American Express Meetings & Events, a ajouté : « Alors que les entreprises européennes continuent à faire face à des défis économiques et que les contraintes budgétaires réduisent l'activité événementiel en Europe, des réunions bien organisées avec des objectifs clairement définis et une mesure post-événement vont jouer un rôle d’autant plus crucial en termes de retour sur investissement ». « Et si les réunions et les événements en Europe risquent de connaître une baisse en 2013, l’opportunité de rencontres en face à face et d’opérations locales, notamment en termes de relations de clientèle et de développement d’activité, ne doit pas être sous-estimé ». Tendances mondiales de planification de réunionsL’étude s’est également penchée sur les enjeux auxquels les média-planneurs feront face, selon eux, en 2013, et identifie quatre différentes tendances communes à tous les marchés : 1) Contraintes budgétaires plus de réunions locales - Pour maintenir les niveaux actuels de l'activité MICE dans un environnement sans augmentation budgétaire, de nombreuses entreprises vont envisager une transition de l’organisation de réunions à un niveau mondial vers un niveau national ou d’un niveau national à un niveau régional. En outre, on voit apparaître une tendance à tenir des réunions dans un lieu ou une destination unique tels que des restaurants ou des aquariums pour générer des économies. 2) Sécurité et Stabilité déterminent le choix de la destination : face à l'instabilité politique, un accent est également mis sur l'obligation de sécurité dans le MICE pour 2013. Les fournisseurs indiquent d’ailleurs que cela peut parfois être un avantage : par exemple, certaines marques hôtelières situées dans les régions politiquement instables reconnaissent que les meetings-planneurs les choisissent selon leur perception du niveau de sécurité qu’elles offrent.
3) L’approbation des réunions devient de plus en plus délicate – Nombreux sont les meetings-planneurs à avoir indiqué que l'obtention de la validation de leurs réunions devient compliqué. On voit ainsi apparaître une nouvelle tendance : tant que les bilans ou résultats des sociétés ne sont pas disponibles, le budget réunion n’est pas approuvé. Cette dynamique met encore plus de pression sur les délais déjà réduits et peuvent influer négativement sur les négociations hôtel, et induire des coûts plus élevés.
4) Stimuler la motivation avec les médias sociaux - Les meetings-planneurs doivent désormais répondre aux attentes des participants aux réunions d’affaires notamment en ce qui concerne l’utilisation des médias sociaux pour augmenter la valeur des événements tout au long de leur cycle de vie. Les professionnels de l’événementiel ont donc recours aux médias sociaux pour communiquer avec les participants ou permettre aux participants de se connecter les uns avec les autres afin d’optimiser leur temps lors d'un événement. Pendant les événements, les médias sociaux sont également utilisés pour des prises de contact, des sessions de formation, des Q&A et d'autres activités encore. Les médias sociaux sont aussi utilisés pour poursuivre des contacts ou des relations établis après un événement, continuer de faire vivre une communauté constituée à cette occasion ou prolonger une stratégie déployée lors de l’événement. Cette année, le baromètre a été enrichi de trois nouvelles rubriques qui explorent les principales tactiques des meetings-planneurs utilisées pour réduire les coûts et améliorer l'efficacité de leur programme, y compris en matière de moyens de paiements utilisés, de demandes électroniques pour les devis, ainsi que pour les réunions virtuelles. Pour obtenir un exemplaire gratuit du baromètre, rendez-vous sur : http://www.americanexpress.com/meetingsandevents" www.americanexpress.com/meetingsandevents
A propos du Baromètre 2013 d’American Express Meetings & EventsLe Baromètre 2013 d’American Express Meetings & Events identifie les principales activités et tendances en matière de réunions pour 2013 à l'échelle mondiale et régionale pour aider les professionnels du secteur et leurs directions à gérer stratégiquement et efficacement leurs investissements en réunions. De nombreuses sources ont été utilisées pour élaborer ces prévisions, incluant des données propriétaires d’American Express, des données issues de fournisseurs et des informations sur le secteur, des données provenant du Baromètre 2013 d’American Express Voyages d’Affaires Monde et des entretiens avec des leaders du secteur. Les informations et les données ont été recueillies à partir de l'activité actuelle et prévisionnelle à l’échelle mondiale des clients d’American Express Meetings & Events et de Maxvantage en Amérique du Nord. Les enquêtes auprès des professionnels du secteur ont été menées afin de recueillir les tendances en Amérique du Nord, en Europe (France, Benelux, Allemagne, pays Nordiques, Espagne et Royaume-Uni), Asie-Pacifique et Amérique du Sud et Centrale. Une enquête auprès des principaux fournisseurs et des entretiens de suivi ont également été utilisés pour les informer des résultats du Baromètre. A propos d'American Express Meetings & Events Rattaché à American Express Voyages d’Affaires, le département Meetings & Events est représenté dans plus de 50 pays à travers le monde. Présent depuis 40 ans aux Etats-Unis, il offre aux entreprises des solutions complètes dans l’organisation et la gestion d’événements professionnels à l’échelle locale, régionale ou encore internationale. American Express Meetings & Events dispose d’une expertise en gestion stratégique d’événements incluant – contrôle, visibilité et réduction des coûts – qui s’appuie notamment sur le réseau mondial et la puissance d’achat d’American Express Voyages d’Affaires ainsi que sur une équipe dédiée aux meetings de plus de 1000 personnes à travers le monde. www.americanexpress.com/meetingsandevents
A propos d’American Express Voyages d’Affaires
American Express Voyages d’Affaires (www.americanexpress.com/businesstravel) est une division du groupe American Express, dont la vocation est d’accompagner ses clients dans l’optimisation de leur politique de voyages d’affaires en s’appuyant notamment sur une meilleure maîtrise des coûts et des dépenses et sur un service clients de qualité. American Express propose aux petites et moyennes entreprises ainsi qu’aux grands comptes tout un ensemble de solutions de réservation à la pointe de l’industrie, une expertise en conseil et gestion du voyage, un accompagnement dans la recherche de partenaires et dans le cadre de négociations avec des fournisseurs, et des services clients on et offline accessibles partout dans le monde.
American Express possède l’un des plus importants réseaux d’agences de voyages dans plus de 140 pays à travers le monde. En 2011, l’entreprise a réalisé 29,3 milliards de dollars de vente de voyages. Cinq des plus beaux hôtels de ski français dans les Alpes Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) De beaux hôtels, aux services et à la décoration soignés, attendent les skieurs cet hiver. Voici une sélection de ces établissements dans les Alpes, avec trivago.fr. Club Med Peisey-Vallandry (Peisey-Vallandry - Savoie)
Ce Club Med mêle tradition et modernité. Les vacanciers profiteront de services haut de gamme dans des chalets de bois, inspirés des refuges de montagne. L'établissement est aussi doté d'un spa Nuxe de 800 m². Site : www.clubmed.fr Hameau Albert 1er (Chamonix - Haute-Savoie)
Le quatre étoiles Hameau Albert 1er propose trois types d'hébergement, allant du bâtiment historique à la ferme d'alpage en passant par le chalet privatisé. En soirée, les amateurs de vin dégusteront l'une des 19.000 bouteilles de l'établissement, qui figure depuis 2008 parmi les 871 meilleures cartes de vin établie par la revue Wine Spectator. Site : www.hameaualbert.fr Le Kilimandjaro (Courchevel - Savoie)
L'établissement cinq étoiles à l'ambiance montagnarde est pourvu de chambres confortables et luxueuses. Le jeune chef Alexandre Ongaro revisite les plats typiques régionaux, et propose dans son bar cognac, rhum et champagne de qualité. Site : www.hotelkilimandjaro.com Le Yéti (Meribel - Savoie)
Cet hôtel de luxe familial, quatre étoiles, est constitué de 28 chambres et de trois appartements seulement. Simplicité, luminosité et confort sont les maîtres mots de ces logements. Les hôtes profiteront aussi d'un massage aux galets volcaniques chauds dans le spa de l'hôtel. Site : www.hotel-yeti.com Avenue Lodge (Val d'Isère - Savoie)
Implanté sur la principale avenue de Val d'Isère, le cinq étoiles Avenue Lodge a bénéficié des talents de l'architecte d'intérieur Jean Philippe Nuel. L'artiste a créé une ambiance particulière pour chacune des chambres. Un spa, avec sauna, hammam et jacuzzi, permettra aux clients de relaxer à la tombée de la nuit. Site : www.hotelavenuelodge.com  Le Club Med Peisey-Vallandry allie confort et modernité. © Club Med Peisey-Vallandry  Le Hameau Albert 1er possède une des meilleures caves à vins au monde. © Hameau Albert 1er  Le Kilimandjaro accueille ses touristes dans la station de Courchevel. © Le Kilimandjaro  28 chambres et trois appartements installés au Yéti. © Le Yéti  L'architecte d'intérieur Jean Philippe Nuel signe la décoration de l'Avenue Lodge. © Avenue Lodge Accor signe son 100e contrat en Asie Pacifique Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Trente ans après son implantation dans la région, le groupe hôtelier français passe le chiffre symbolique des 100 contrats signés cette année et des 110 établissements ouverts sur la période. Accor fête ses trente ans en Asie Pacifique avec la signature de son 100e contrat hôtelier dans la région. Il s’agit du développement de l’hôtel de 150 chambres Novotel Goa Shrem Resort, en Inde, le premier dans cet état clé de la côte ouest. en savoir plus Des entreprises allemandes de tourisme prennent l’engagement de défendre le Code mondial d’éthique du tourisme Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) L’ association allemande du voyage (DRV) et treize de ses membres ont, à l’instar d’un nombre croissant d’entreprises et d’associations touristiques, souscrit au Code mondial d’éthique du tourisme établi par l’OMT (Budva, Monténégro, 17 novembre 2012). À l’occasion du congrès annuel de la DRV, un total de quatorze organismes allemands ont signé des Engagements du secteur privé, marquant ainsi leur attachement à promouvoir et à mettre en pratique les valeurs du tourisme responsable et durable telles que prônées dans le code. « Le secteur allemand du voyage adhère au Code mondial d’éthique du tourisme établi par l’Organisation mondiale du tourisme, ce que vient confirmer la signature par l’Association allemande du tourisme (DRV, la principale association professionnelle du secteur en Allemagne) et des entreprises touristiques de premier plan » a déclaré Ernst Burgbacher, Secrétaire d’État parlementaire au Ministère fédéral allemand de l’économie et de la technologie, dans un message vidéo au congrès. « Je me félicite véritablement de cette initiative de la DRV et suis très heureux que la cérémonie ait lieu en présence du Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai. Les touristes allemands voyagent beaucoup et les entreprises touristiques allemandes sont présentes dans le monde entier, d’où l’importance qu’elles assument aussi la responsabilité d’agir en faveur d’un tourisme socialement acceptable, sensible aux questions environnementales et durable » a-t-il ajouté. en savoir plus Asie/Pacifique résultats hôteliers pour octobre 2012 Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Hotels in the Asia/Pacific region experienced slight decreases in all three key performance metrics for October 2012 when reported in U.S. dollars, according to data compiled by STR Global. In year-over-year measurements, the Asia/Pacific region’s occupancy ended the month virtually flat with a 0.2-percent decrease to 70.9 percent, its average daily rate fell 0.6 percent to US$135.51 and its revenue per available room was down 0.8 percent to US$96.08. “We are delighted that China is the second biggest country in our sample”, said Elizabeth Randall Winkle, managing director of STR Global. “After the U.K., with 2,900 hotels, we assist 1,900 hotels in China with our benchmarking reports and market analysis. “For the month of October, China reported 67 percent occupancy and US$111 ADR. Both key performance indicators were below the Asia/Pacific average of 71 percent occupancy and US$136 ADR”, Winkle said. “Whilst supply growth has slowed across China to 3.5 percent for year to October, the room stock continued to increase at a higher rate than the regional 2.9 percent, which negatively impacted the country’s performance”. en savoir plus Le tourisme européen défie les crises Selon le rapport prospectif dITB les européens voyagerons et accueilleront encore plus en 2013 Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) L'Europe reste une destination attrayante malgré les turbulences politiques et économiques. 1% à 2% de croissance de voyages européens à l'étranger surtout tirée par la Russie (+10%), la Grande-Bretagne (+5%) et l'Allemagne (+3%). Seul un Européen sur trois déclare que la crise aura des répercussions sur ses intentions de voyage en 2013. Tourism in Europe defies numerous crises
ITB World Travel Trends Report forecasts a rise in trips to and from Europe – northern European trip numbers remain stable, while southern Europeans are less keen to travel due to the financial crisis In Europe, the effects of the economic situation on the continent’s tourism industry are wide-ranging, but the overall trend remains positive. This is one of the findings of the ITB World Travel Trends Report, compiled by IPK International and commissioned by ITB Berlin. The report forecasts that in 2013 Europeans will undertake even more trips abroad. Europe can also expect more arrivals. This year, the number of stays abroad and spending at destinations rose by around 2 %. At the same time European travel patterns changed – thus beach holidays fell by one per cent, while city tours grew by around 14 per cent. Short breaks of one to three overnights rose by ten per cent and business stays abroad increased by eight per cent. Portugal, Spain and Italy benefited from a rise in trips from Eastern Europe. Italy reported two per cent growth in inbound tourism and an increase in visitors from Russia and Poland. Their numbers offset the slight decline in arrivals from Germany and the UK. Similarly, Spain and Portugal each reported a three per cent rise in inbound tourism. The report also discovered that Europeans increasingly favour faraway destinations: long-haul travel rose by around four per cent. The main beneficiaries of this trend were the Americas and the Asia Pacific region, where inbound tourism rose by two and all of eight per cent respectively. Short-haul trips to destinations within Europe and to the Mediterranean rose by two per cent. Different travel patterns in individual European markets
Economic uncertainty in a number of European countries is also impacting on travel patterns. Thus, Italy reported a five per cent drop and Spain a two per cent decline in outbound trips. By contrast, the figures for Switzerland and Norway were good. These countries benefited from high exchange rates and reported ten and six per cent increases in outbound travel respectively. Conversely, despite a flourishing economy Germany’s figures stagnated, and UK outbound travel also grew by only one per cent. In spite of its political and economic difficulties, Europe remains a sought-after destination. Spain, Germany and many Central and Eastern European countries reported five per cent plus increases in international visitors from Europe and overseas. The weak euro and strong dollar helped to make Europe a popular travel destination, with Americans for example. Japan also began to attract tourists again, having gradually recovered from the disasters of 2011. China, India and Brazil, where the middle classes are expanding, are among new markets gaining in importance. Thus, a one to three per cent increase in international arrivals at European destinations is forecast for 2013. Cautiously optimistic forecast for 2013
Despite the economic tensions in Europe the forecasts for 2013 are cautiously optimistic. Overall, the ITB World Travel Trends Report predicts a moderate increase in European outbound travel of around one to two per cent. Only one-third of Europeans said the recession would affect their travel plans in 2013. Russian outbound tourism is expected to rise by nine per cent, and UK and German outbound numbers by five and three per cent respectively. 28 per cent of Europeans said they wanted to travel more in 2013, 21 per cent said they would be travelling less. Dr. Martin Buck, director of the Competence Center Travel & Logistics at Messe Berlin: “The report’s findings illustrate the wide-ranging impact of economic developments on European tourism forecasts. Changing travel patterns mean that European countries will have to adapt to a much greater variety of demand. All the same, the outlook for next year is mostly positive.” Launched by the consultancy IPK International and sponsored by ITB Berlin, every year at the World Travel Monitor Forum in Pisa, tourism experts and scientists from around the world present current statistics and the latest trends in international tourism. Details of the studies will be presented by the ITB World Travel Trends Report, which will be published in early December at www.itb-berlin.com. The report is based on the assessments of around 50 tourism experts from 30 countries, on a special IPK International trend analysis undertaken in major source markets, and on core data supplied by the World Travel Monitor®, recognised as the largest continuous survey of global travel trends in some 60 source countries. The findings reflect trends which emerged during the first eight months of 2012. At the ITB Berlin Convention Rolf Freitag, CEO of IPK International, will present the findings for the entire year, as well as the latest forecasts for 2013. Croisières le Président du Conseil européen des croisières rappelle limpact économique du marché des croisières sur lemploi et lindustrie et appelle à une simplification des procédures de visa Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Manfredi Lefebvre d'Ovidio, président du Conseil européen de la croisière (ECC) a appelé lors de la convention SeaTrade Med, à Marseille, à une simplification de la délivrance des visas de tourisme pour stimuler la demande des passagers non européens, il a rappellé l'impact économique du marché des croisières et de l'industrie nautique sur l'économie, l'emploi (315000 emplois annuels), la construction navale (12 milliard d'euros d'investissement), et les dépenses des croisièristes qui se sont élevées à 12 milliards d'euros en 2011. "L'Europe a un potentiel énorme pour attirer des croisiéristes issus d'autres régions du monde (...). Mais cet énorme potentiel est entravé par des procédures bureaucratiques inutiles en matière de délivrance de visas d'entrée pour les touristes", a déclaré , dans son discours d'ouverture. Il a souhaité "une action internationale visant à faciliter et à simplifier" ces procédures, saluant la récente initiative de l'Union européenne en ce sens. voici son discoursSeatrade Med Marseille, 27 November 2012 Speech by Manfredi Lefebvre d’Ovidio, ECC Chairman Bonjour Mesdames et Messieurs, je suis très honore d’etre ici à Marseille, ville centrale de l’industrie de la croisière en Europe. I will now continue in English as this is the official Language of Seatrade Mediterranean : Good morning Ladies and Gentlemen, I would like to start with looking at 2012 : a unique year for the Cruise Industry 1) We lived an extraordinary event with the tragic grounding of the Costa Concordia. 2) The industry came together in an unprecedented way to learn from the incident and managed to launch 10 new policies through the Operational Safety Review. 3) The industry proved, once again its resilience and appeal by managing to fill its ships, ECC members launched 8 new ships and have increased the offer with always more diverse and sophisticated itineraries and products . The cruise industry’s number one priority has always been and remains the safety of it passengers and crew, and the industry has been determined and fully committed to learning the lessons of this unprecedented incident. While the industry continues to be fully involved with the IMO on passenger ship safety issues, the ECC is also working closely with the European Union institutions – Commission, Council and Parliament- and it is indeed encouraging that against the background of the industry’s own credible actions that they have taken a measured and responsible approach, and avoided any ill-considered reactions. It should be mentioned in this regard that as we meet this morning the latest of the industry policies – on the Location of Lifejacket Stowage and on Bridge Harmonization Procedures – are being presented and discussed at the IMO’s key body,vthe Maritime Safety Committee, as part of its robust work programme addressing all areas relevant to passenger ship safety. As mentioned, the industry has never been more united than in 2012. The European cruise industry is an integral part of the global cruise industry and the ongoing, positive process of globalization. Reflecting this evolution of our sector, considerable thought has been given by cruise lines over the last year as to how in these changing time the industry can most effectively and consistently represent itself globally and regionally both from regulatory and broader communications stand point. The growing globalization of our industry is working hand in hand with the growing importance of the economic impact of the industry itself. You have heard these impressive numbers already but it is worth repeating them. 1) The number of direct and indirect jobs generated by the cruise sector is now well over 315.000. France, Italy and Spain account for some 143.000 of this
total. Whit the current unemployment levels in Southern Europe this is a remarkable achievement .2) The overwhelming majority of the world’s state of the art cruise ships are built in European shipyards. These yards will deliver 24 cruise vessels up to 2016 with a combined capacity of over 67.000 passengers and representing a total investment of the cruise industry of over €12 billion. Last year, the €1.9bn in expenditures in France and Italy accounted for 50% of the cruise industry’s total expenditures for shipbuilding and refurbishment among all European yards.3) The cruise industry’s role in regenerating the increasing number of destinations and regions it serves. Some €3.5 billion were spent by passengers and crew during visits to the 250 ports cities that welcomed cruise ships last year. It is notable that expenditure from cruise tourism goes directly into the local economy, with some 80% of this expenditure typically going into the surrounding destination and 20% to the port . Actual expenditures of course can vary between destinations – the better the offer and more satisfied the cruise tourists are the more they spend.
4) Cruise tourism can have particularly positive and immediate impacts on parts of Southern Europe which are especially suffering from a severe economic downturn. In this regard, 168 ships were deployed in the Mediterranean this year, offering over 220.000 lower berths, with some 14mn cruise passenger visits to French, Italian and Spanish ports of call in 2011. The region is firmly established as the major cruise market in Europe and the second most important destination in the world after the Caribbean .Looking at the growth pattern of this industry we see that:1) The number of people who chose a cruise holiday in Europe has more than doubled in the past decade to over 5.6mn passengers. The cruise sector brings into Europe some 1mn non European nationals who clearly make a significant economic contribution to hard pressed national economies, a fact consistent with the EU deciding that boosting inbound tourist must be a key element of its strategy for a European recovery. 2) While there is scope to increase the number of Europeans taking a cruise, with the increasing wealth of emerging economies the opportunity to attract more cruise tourists from the developing countries is of incalculable value thanks to Europe’s unique and rich cultural heritage. And also thanks to the fact that cruising represents a sustainable and uniquely convenient option to visit multiple European countries. Just imagine the potential in which the developed countries represent only 15% of the world’s population. As I have said on past occasions, to operate viably in this part of the world does depend on Europe continuing to be a good place to do business.We need a regulatory regime which allows this to happen. While safety and environmental matters are clearly top of the political agenda, there are many other issues such as tax, port policy, health and hygiene, consumer and labour affairs and visa policy which have a direct bearing on the economic viability of the sector. In all cases because we enjoy a constructive dialogue with the EU institutions, who recognize the important economic and social contribution made by the industry make in Europe, I am optimistic we will secure a supportive regulatory environment. For example we are concerned that the huge potential of the cruise industry is being hampered by unnecessarily bureaucratic procedures for the issuing of tourist visas into Europe. We are thus calling on the policymakers to help us unlocking this potential asking them to simplify the process of issuing tourist visas to cruise passengers from around the world wishing to come to experience a European cruise. It is encouraging that the EU institutions, notably Commission Vice President Tajani, has recognized the urgent need for action in this area as part of its EU strategy to encourage in bound tourism and, while noting the legal complexities, it is very much to be hoped that there is the political will to make progress in this area in 2013. Easing VISA issuance is even more critical in a moment in which the continuing crisis in Europe, and its double dip recession, coupled with uncertainties with the future of the US economy, as well as signs of slower growth in the BRIC countries – Brazil, Russia, India and China – could well have a negative impact on our sector going forward. Last but not least, we also need to take into consideration the tangible risk of price increases in the competitive cost of cruising due to the increase in fuel prices, as from 2015, as a result of the introduction of international and EU legislation. Thanking you for the attention, I would like to close this brief introduction by saying that I was personally very honored yesterday evening to present Pier Luigi Foschi with a gift on behalf of the ECC Board as recognition of this key role in establishing the ECC and launching it to its current success during his Chairmanship for the first three years of its existence. Thank you for the attention and I wish you all a very productive conference. 93 des voyageurs sont satisfaits des aéroports français Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 merchid.berger@finances.gouv.fr (Merchid BERGER) La quasi-totalité des voyageurs interrogés par l'Union des aéroports français (UAF) se dit satisfaite de la qualité des services des plateformes aéroportuaires régionales du pays. Les passagers plébiscitent l'accueil et la courtoisie du personnel. Les voyageurs sont également satisfaits de la signalétique tout au long du parcours. Le taux de satisfaction atteint 94% pour l'accès à l'aérogare, 93% pour le lieu de l'enregistrement, 92% pour l'indication de la porte d'embarquement et plus de 86% pour la propreté. "Plus inattendu", selon l'UAF, 89% des sondés sont contents de l'attente, que ce soit aux différents postes de contrôles ou à l'enregistrement. Pour plaire pleinement aux touristes, les aéroports doivent encore fournir quelques efforts, notamment concernant les commerces et les services (hors loueurs), où la satisfaction est inférieure à 79%, quel que soit le critère retenu (nombre, diversité, offre...), la facilité à trouver une place de parking (75% de satisfaits), et l'information sur les tarifs des parkings et les moyens de paiement (80%). Cette enquête a été menée dans quatorze aéroports régionaux français, auprès 15.167 passagers, du 4 juin au 1er septembre 2012. EasyJet généralise lattribution des sièges ce 27 novembre Mardi, 27 Novembre 2012 00:00 jocelyne.hubert@finances.gouv.fr (Jocelyne Hubert) 7Les passagers d'easyJet sont désormais placés sur tous les vols de la compagnie low-cost. Le transporteur a testé le placement à bord sur plus de 12,500 vols. Près de deux millions de passagers ont déjà expérimenté la nouveauté. Pour 15€ supplémentaires par vol, les passagers peuvent se placer sur les rangées qui offrent davantage de place pour leurs jambes. Pour 10€, les sièges situés à l'avant pourront être sélectionnées. Pour réserver n'importe quel autre siège dans l'appareil, il faudra débourser 4€. Naturellement, les voyageurs qui ne choisiront pas ces options payantes se verront attribuer une place à bord. La compagnie a cherché à évaluer l'utilité de cette initiative en commandant un sondage auprès de ses passagers. Ce dernier a révélé que l'absence du placement était source de stress chez les passagers, ce qui a décidé la compagnie à généraliser la nouveauté. 71% des passagers ayant testé le placement ont répondu que cela améliorait leur expérience à bord, et 60% a déclaré que cela les inciterait à choisir easyJet pour de futurs périples. Ces études ont également démontré que sur les trajets courts, le siège 6A était le plus prisé, tandis que le 1A est le siège star des vols les plus longs -- les moins recherchés étant respectivement le 16B (vols courts) et le 19B (vols longs). Le côté gauche de l'appareil est le préféré des passagers, les sièges A, B et C étant plus commandés que les sièges D, E et F. Établie à Luton, la compagnie easyJet, fondée en 1995, est la première compagnie low-cost européenne. Sa flotte se compose de 200 appareils, circulant sur 600 lignes aériennes à travers trente pays. La barre des 55 millions passagers a été atteinte en 2011". Une enquête de VoyagerMoinsCher Les étoiles des hôtels sont-elles encore utiles à l’heure d’Internet Lundi, 26 Novembre 2012 00:00 sylvie.duval@finances.gouv.fr (Sylvie Duval) Une étude OpinionWay pour VoyagerMoinsCher.com* «Indigne d’un hôtel 3 étoiles», « Honteux pour un 4 étoiles », « Comment cet hôtel a-t-il pu obtenir ses étoiles ?» sont des expressions qui reviennent très souvent dans les avis sur les hôtels laissés sur Internet. Malgré la nouvelle classification hôtelière qui a actualisé en juillet les critères d’attribution des étoiles, une étude réalisée par OpinionWay pour http://www.VoyagerMoinsCher.com montre que les Français se font une idée fausse des étoiles hôtelières, source d’incompréhension et d’attentes déçues. Aujourd’hui, à l’heure d’Internet, ils privilégient d’autres manières de choisir leurs hôtels. Les Français ont une perception faussée des étoiles hôtelières! De manière générale, lorsqu’il séjourne dans un hôtel, 1 Français sur 4 n’est pas d’accord avec le nombre d’étoiles qui lui sont attribuées. Mais lorsque l’on interroge les Français, et plus particulièrement la jeune génération, on se rend compte qu’ils ne savent pas quels sont les critères requis pour obtenir des étoiles ! en savoir plus |
|
