Les professionnels du tourisme de la région Languedoc-Roussillon ont constaté un décrochage persistant entre la fréquentation touristique en hausse dans leur territoire et leur chiffre d'affaires stagnant depuis plusieurs années. Plus récemment, c'est la fréquentation elle-même qui est menacée. En cherchant à analyser les causes de ce décrochage, j'avais observé que le recul de la fréquentation étrangère était compensé en volume par l'augmentation du tourisme domestique. Mais cet apport de touristes domestiques n'a pas empêché le recul en termes de recettes, la clientèle touristique étrangère constituant généralement une part importante de la dépense touristique en France. Ce phénomène n'est pas spécifiquement régional mais il est révélateur d'un syndrome bien français : chaque année, la France bat des records de fréquentation touristique, mais elle peine à en tirer tout son parti. Ainsi, la France réalise des recettes touristiques du même ordre que l'Italie ou l'Espagne alors qu'elle accueille plus de deux fois plus de touristes internationaux. C'est dans ce contexte que le groupe hôtelier français Accor a opéré son désengagement de la Martinique, île considérée longtemps comme un paradis touristique. Mais les faillites se sont multipliées dans le secteur hôtelier aux Antilles françaises alors même que l'activité touristique se développait dans les îles Caraïbes voisines.
L'attractivité française en panne
lire la suite de l'article sur le site de La Tribune

España recibió en noviembre 3 millones de turistas internacionales, cifra similar a la alcanzada hace un año. Esto ha supuesto alejarse del descenso registrado
el mes pasado.
Entre los mercados principales, Francia, Reino Unido y los países nórdicos mostraron subidas. Por comunidades autónomas, todas evolucionaron de manera positiva, excepto los archipiélagos canario y balear.
En el periodo enero-noviembre el balance del turismo receptor es positivo, acumulando una subida del 2,9%, lo que se traduce en 1,6 millones de turistas más que en el mismo periodo del año anterior, y que suma 55,1 millones de llegadas.

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Overall, the U.S. hotel industry’s occupancy rose 1.8 percent to 56.5 percent, its average daily rate was up 3.5 percent to US$104.63 and its revenue per available room increased 5.4 percent to US$59.10.
Among the Top 25 Markets, Philadelphia, Pennsylvania-New Jersey, reported the largest occupancy increase, rising 10.4 percent to 72.6 percent, followed by New Orleans, Louisiana, with a 10.1-percent increase to 64.8 percent. Washington, D.C. (-3.6 percent to 60.3 percent), and Phoenix, Arizona (-3.3 percent to 57.3 percent) ended November with the largest occupancy decreases.
Los Angeles-Long Beach, California, achieved the largest ADR increase, up 8.9 percent to US$131.15, followed by San Diego, California (+6.8 percent to US$123.60). Philadelphia ended the month with the largest ADR decrease, falling 3.4 percent to US$117.70.

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Depuis le début de l’année 2012, les performances de l’hôtellerie de chaînes allemande affichent des résultats positifs qui tranchent heureusement dans le paysage plus morose du reste de l’Europe. Cette année est surtout caractérisée par un calendrier favorable de salons qui dynamisent l’activité hôtelière dans les villes d’accueil, produisant parfois des résultats spectaculaires d’une année sur l’autre.
Globalement, on constate que le niveau de fréquentation hôtelière se maintient. La progression de 1 point, toutes catégories confondues, ne cache pas de grandes disparités : tous les segments ont progressé.
C’est la solidité du marché qui a permis une sensible progression des prix moyens qui sont en train de rattraper le retard accumulé ces dernières années vis-à-vis des autres grands pays d’Europe de l’Ouest, et notamment de la France.
Avec plus de 5% de progression du RevPAR sur les 10 premiers mois de l’année, l’hôtellerie allemande fait figure de très bon élève de l’Union européenne. Un rôle moteur auquel elle commence à s’habituer.

 

La montagne l'hiver, notamment à travers les stations de ski alpines, est une destination privilégiée pour la clientèle russe et ukrainienne. Mais le comportement de ces clientèles évolue, stimulé notamment par l'essor des classes moyennes supérieures qui représentent pour la montange française un potentiel touristique auquel il est nécessaire de s'adapter !

Les Rencontres Grand Ski 2013 ont pour objectifs :
- de présenter ces changements de comportement à travers notamment les résultats de l'étude de marché sur le potentiel touristique des classes moyennes supérieures russe et ukrainienne réalisée par Atout France et le cabinet Roland Berger,
- d'analyser comment les stations se sont déjà positionnées sur ces marchés,
et de voir comment s'organiser pour adapter non seulement l'offre, mais aussi la distribution et la promotion, aux attentes de ces nouvelles clientèles et mieux les accueillir en montagne, l'hiver comme l'été.

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Avec le développement des technologies de l'information et de la communication (TIC), les visiteurs utilisent différents terminaux fixes et mobiles leur permettant d'accéder à l'information touristique avant, pendant et après le séjour. Face à ce constat, les offices de tourisme ont engagé depuis quelques années une profonde réflexion pour répondre aux nouvelles attentes de leurs clientèles à travers l'exploitation du numérique, notamment en matière d'accueil.
L'accueil numérique pose la question, non seulement de l'intégration de ces nouveaux outils dans l'organisation interne d'une structure, mais aussi du lien entre l'office et les acteurs touristiques de son territoire.
Après une première phase d'étude ayant débouché sur une publication du même nom, la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services (Ministère du tourisme), la fédération nationale des Offices de tourisme de France et l'opérateur Atout France poursuivent leurs travaux sur le numérique et les offices de tourisme.
Quelles conclusions peut-on tirer de cette nouvelle phase d'étude ?
Quel bilan peut-on dresser des premières expériences d'accueil numérique ?
Quelles recommandations peut-on faire pour mieux appréhender les enjeux numériques de demain ?
Face à ces différents constats, la DGCIS a souhaité organiser une journée nationale permettant de restituer l'ensemble de ces travaux mais également de mettre en lumière plusieurs initiatives d'accueil numérique conduites au sein des offices de tourisme. Près de 250 professionnels du tourisme ont répondu présent à cette journée riche en retours d'expérience et réflexions prospectives. La DGCIS remercie l'ensemble des intervenants et participants pour leur mobilisation qui témoigne de l'importance accordée par les offices de tourisme à la problématique de l'accueil numérique.
Ce moment d'échange marque une nouvelle étape dans le soutien de l'Etat aux initiatives conduites par les membres de la fédération des Offices de tourisme de France pour s'inscrire au coeur du rayonnement touristique de la Destination France.

les interventions

En 2012, la fréquentation des hôtels et des campings bretons pour les mois de mai à septembre ralentit fortement (− 5,6 %) par rapport à 2011, amplifiant les tendances observées depuis 2005. La haute saison est particulièrement marquée par la diminution de l’activité en lien avec la météo maussade de cet été. La persistance de la crise modifie les comportements touristiques. La clientèle étrangère poursuit son repli. Seul le haut de gamme tire son épingle du jeu.
En 2012, la Bretagne reste au septième rang des régions touristiques. Cependant, avec 12,2 millions de nuitées en hôtels ou campings de mai à septembre 2012, la fréquentation touristique bretonne chute de 5,6 % par rapport à la saison 2011. Seules deux autres régions de l’Ouest, Basse-Normandie et Pays de la Loire, enregistrent une réduction d’activité aussi intense.
Ailleurs, l’évolution de la fréquentation est plus stable, comprise suivant les régions entre − 2,5 % et + 2 %. Globalement, en France métropolitaine l’activité touristique est en repli de 1 %.

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Foreign tourists are expected to have brought NT$340 billion (US$11.68 billion) into Taiwan as of the end of 2012, the Ministry of Transportation and Communications forecast Tuesday.
That figure will represent significant growth over the NT$326 billion brought in by foreign visitors in 2011.

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D’après le comparateur de prix d’hôtels www.trivago.fr, les tarifs hôteliers pour une nuit en chambre double standard en France en 2012 s’élevaient en moyenne à 151 euros
cette année. En Grande-Bretagne, les voyageurs ont dû globalement moins mettre la main au portefeuille, pour une nuitée de 144 euros en moyenne sur l’année.
En Italie et en Allemagne, les tarifs hôteliers étaient également plus faibles qu’en France : respectivement 129 et 106 euros.
Et en Espagne, ils ne s’élevaient qu’à 100 euros en moyenne, soit 51 euros de moins qu’en France.
- Un été toujours en creux
- Six régions affichant plus de 100 euros en moyenne

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De nouvelles règles européennes entreront en vigueur à la fin de l’année pour mieux protéger les passagers voyageant par mer ou par voie de navigation intérieure, en leur assurant un ensemble de droits minimaux où qu'ils se déplacent dans l'Union européenne. À partir du 31 décembre, les passagers voyageant par mer auront le droit d'exiger l'indemnisation de tout dommage ou de toute perte en cas d'accident.
Siim Kallas, vice-président de la Commission européenne chargé des transports, a déclaré à ce propos: «Nous tenons notre promesse. Nous sommes en passe de finaliser les travaux que nous avons entamés il y a plusieurs années afin d'établir une politique cohérente des droits des passagers dans l'UE pour tous les modes de transport. Dorénavant, les 200 millions de personnes qui voyagent chaque année par bateau seront couvertes par ce nouvel ensemble de règles.»
Dès aujourd'hui, les passagers voyageant par voie maritime ou fluviale dans l'UE, et notamment les personnes handicapées ou à mobilité réduite, bénéficient de droits similaires à ceux des passagers voyageant par avion ou en train. Les nouveaux droits comprennent notamment :
- des informations adéquates et accessibles pour l'ensemble des passagers avant et au cours de leur voyage, ainsi que des informations générales sur leurs droits dans les terminaux et à bord des navires;
- la fourniture d'une assistance adéquate en cas d'annulation ou de retard au départ de plus de 90 minutes, comme des collations, des repas, des rafraîchissements et, le cas échéant, un hébergement couvert à hauteur de 80 euros par nuit et d'une durée maximale de trois nuits;
- la garantie de pouvoir choisir entre un remboursement ou un réacheminement en cas d'annulation ou de retard au départ de plus de 90 minutes;
- un dédommagement compris entre 25 et 50 % du prix du billet en cas de retard à l'arrivée;
- un traitement non discriminatoire des personnes handicapées ou à mobilité réduite et la fourniture gratuite d'une assistance à leur intention, tant dans les terminaux portuaires qu'à bord des navires, ainsi qu'un dédommagement financier en cas de perte ou de dégradation de leur équipement de mobilité;
- la mise en place par les transporteurs et les exploitants de terminaux d'un dispositif de gestion des plaintes des passagers;
- la désignation d'organismes nationaux indépendants veillant à la bonne application de la réglementation en ayant recours, le cas échéant, à des sanctions.
Par ailleurs, à partir du 31 décembre 2012 et en vertu de la législation de l'UE, les passagers impliqués dans un accident lors d'un voyage en mer bénéficieront des droits suivants :
- un dédommagement financier en cas de décès, de blessure, de perte ou de dégradation des bagages, des véhicules et des équipements de mobilité ou d'autres équipements particuliers;
- le versement d'une avance (dans un délai de quinze jours) pour couvrir les besoins économiques immédiats en cas de décès ou de blessure;
- un recours direct contre le fournisseur d'assurance du transporteur en cas de décès ou de blessure;
- le droit à recevoir des informations adéquates et compréhensibles sur les droits susmentionnés avant ou, au plus tard, au moment du départ.

Contexte

Avant que la Commission européenne ne décide, il y a quatre ans, de présenter sa proposition relative aux droits des passagers voyageant par bateau, il n'existait aucun accord international ni aucune législation de l'UE établissant des droits généraux pour ce mode de transport. En protégeant les passagers voyageant par avion et en train, l'UE a fait naître certaines attentes chez les consommateurs européens; elle entend aujourd'hui étendre les mesures de protection des passagers à tous les autres modes de transport. Dorénavant, la législation de l'UE permet de garantir que les passagers bénéficient des mêmes droits partout en Europe, quel que soit leur mode de transport (bateau, avion ou train). Bientôt, un nouvel ensemble de règles pour les passagers voyageant en autobus ou en autocar entrera également en vigueur.

Prochaines étapes

Toutes les informations relatives aux droits des passagers sont accessibles sur smartphone au moyen d'une application gratuite qui fonctionne sur toutes les plateformes. Cette application sera étendue au transport maritime dès janvier 2013, d'abord en anglais et ensuite dans toutes les autres langues officielles de l'UE;
- la Commission européenne organisera une première réunion avec les autorités nationales désignées par les États membres de l'UE en 2013 afin de coordonner l'application effective de la législation relative aux droits des passagers maritimes;
- le 3 mars 2013, le marché unique des droits des passagers en Europe sera achevé grâce à l'adoption d'une nouvelle législation relative aux droits des passagers voyageant en autobus ou en autocar.

Pour en savoir plus

Législation actuelle:

règlement (UE) n° 1177/2010 du Parlement européen et du Conseil du 24 novembre 2010 concernant les droits des passagers voyageant par mer ou par voie de navigation intérieure et modifiant le règlement (CE) n° 2006/2004;

règlement (CE) n° 392/2009 du Parlement européen et du Conseil du 23 avril 2009 relatif à la responsabilité des transporteurs de passagers par mer en cas d'accident.

Visitez le site web de la Commission «Vos droits de passager en main».

Les 25 et 26 février 2013 à l’hôtel Le Bristol Paris !

Les conditions du marché hôtelier se sont durcies avec une dégradation des économies occidentales.
Après un début d’année étonnament résistant, les performances de l’industrie hôtelières sont rattrapées par l’inquiétude croissante des entreprises et les restrictions qui touchent les ménages.
Dès lors, les enseignes hôtelières et les réseaux se sont-ils suffisamment préparés pour affronter une nouvelle phase de cycle défavorable ? Les évolutions de concepts hôteliers, les modalités de développement, les stratégies de distribution, le marketing des marques, le niveau des investissements sont-ils en phase avec un environnement plus compétitif, plus exigeant ?


Lundi 25 février 2013 - Programme Préliminaire
Matinée
Marketing produit et finance
08h30
Accueil et enregistrement
09h00
Introduction par Georges Panayotis, Président de MKG Group
09h15
Keynote speaker : Capital Investment / Vision de l'économie / Conjoncture de l'investissement
09h45
Présentation MKG : Evolution de l'offre hôtelière en France et en Europe au cours de 2012
10h30
Table Ronde : Quels produits hôteliers réussissent le mieux à surfer sur le cycle des tendances ?
11h15
Pause café
11h45
Table Ronde : Entretenir pour mieux gérer, les capex sont-ils bien utilisés?
12h30
Cocktail déjeunatoire

Après-midi
Transactions et développements hôteliers
14h30
Présentation MKG : Evolution du marché des transactions sur actifs hôteliers
15h15
Keynote speaker : Investissements en France en 2012 / 2013
15h45
Table Ronde : Le Monopoly des transactions hôtelières vient-il seulement de débuter ?
16h30
Pause cafe
17h00
Table Ronde : Le développement hôtelier dans tous ses états ou dans quel état ?
17h45
Fin de la première journée

Mardi 26 février 2013 - Programme Préliminaire
Matinée
Commercialisation hôtelière et gestion de la relation client
08h30
Accueil et enregistrement
09h00
Introduction par Georges Panayotis, Président de MKG Group
09h15
Présentation MKG : Analyse comparative des canaux de distribution et de leur rentabilité
09h15
Keynote speaker : Distributeur
10h30
Table Ronde : Commercialisation hôtelière : l'industrie a-t-elle les moyens de garder la main ?
11h15
Pause café
11h45
Table Ronde : Gestion de la relation client : et si tout passait par là ?
12h30
Cocktail déjeunatoire
Après-midi
L'hôtellerie de luxe
14h00
Présentation MKG : Evolution de la clientèle du luxe et évolution parallèle de l'offre
14h45
Keynote speaker : Personnalité de l'industrie du luxe
15h15
Table Ronde : L'irrésistible ascension de l'hôtellerie du luxe est-elle sans fin ?
16h00
Table Ronde : Forum stratégique européen
17h30
Fin de la deuxième journée

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La tendance des réservations au mois de novembre est à la hausse de +8% en passagers et de +6% en volume d’affaires par rapport à la même période de 2011. Les réservations vers la France métropolitaine, qui enregistrent une hausse de +19% en nombre de passagers et de +20% en volume d’affaires, contribuent fortement à cette tendance.
La reprise des réservations vers les destinations moyen courrier, avec une augmentation de +6% en nombre de passagers et +10% en volume d’affaires, contraste avec le ralentissement de l’activité de distribution de voyages vers les destinations long courrier qui, quant à elles, reculent de -9 % en nombre de passagers et de -3% en volume d’affaires.
Au global, il y a une augmentation du panier moyen pour les destinations moyen et long courrier : les stocks sont mieux maîtrisés, les providers savent que baisser fortement les tarifs ne ramène pas plus de clients en période de crise. En outre, les clientèles les moins sensibles à la crise économique recherchent un peu plus de qualité et de sécurité.
Les départs du mois de novembre 2012 se sont globalement soldés par une hausse de +2% en passagers et de +5% en volume d’affaires par rapport à novembre 2011. La hausse des départs vers les destinations moyen courrier, de +18% en nombre de passagers et de +11% en volume d’affaires, imprime cette tendance à la hausse même si cela ne suffit pas à retrouver le niveau d’avant les tensions politiques au Maghreb et en Egypte (baisses de -13% en nombre de passagers et de -19 % en volume d’affaires en novembre 2011). Les départs vers la France métropolitaine sont par contre en net recul, de -8%, en nombre de passagers, mais en hausse de +6% en volume d’affaires du fait de l’allongement de la durée de séjour.
France
La tendance des réservations vers la France métropolitaine est à la hausse de +19% en nombre de passagers et de +20% en volume d’affaires.
La France métropolitaine enregistre une baisse des départs de -8% en nombre de passagers, les autres destinations françaises étant fortement orientées à la baisse à l’exception des Antilles qui résistent tant bien que mal. L’évolution de la structure des durées de séjour va dans le sens d’un allongement à destination de la France métropolitaine, la proportion des moyens séjours augmentant au détriment de celle des courts séjours.
La part des séjours anticipés de plus de 3 mois avant le départ augmente à destination de la France métropolitaine.
Moyen courrier
L’Espagne, Le Maroc et la Grande Bretagne enregistrent une forte hausse des réservations, de 12 à 20% chacun en nombre de passagers. A l’inverse, les prises de commandes vers la Tunisie sont en forte chute.
Au niveau des départs moyen courrier, la tendance est à la hausse en nombre de passagers et en volume d’affaires à destination du Maroc, de la Grande Bretagne et de la Tunisie, mais plus encore à destination de l’Italie qui enregistre une hausse des départs de + 66% en nombre de passagers alors que pour l’Espagne la hausse se limite à +2% en nombre de passagers, au prix de promotions importantes au surplus.
L’évolution de la structure des durées de séjour va dans le sens d’un allongement pour les destinations moyen courrier, la proportion des moyens séjours augmentant au détriment de celle des courts séjours.
La part des séjours réservés à moins de huit jours du départ augmente pour les destinations moyen courrier.
Long courrier
Les prises de commande vers l’ile Maurice, le Mexique et la République dominicaine sont en forte baisse en nombre de passagers et en volume d’affaires, les États-Unis résistant bien à cette tendance. A noter, les réservations vers la Thaïlande enregistrent une hausse, de +54% en nombre de passagers, et de +106% en volume d’affaires.
La tendance globale des départs est faiblement à la hausse, de +2% en nombre de passagers et de +3% en volume d’affaires. Les départs vers les Etats-Unis et le Thaïlande enregistrent une augmentation respectivement de +48% et 41% en nombre de passagers. Les départs vers L’ile Maurice et la république dominicaine sont orientés à la baisse.
Les départs vers le long courrier sont marqués par un raccourcissement de la durée de séjour.
La structure des délais de réservation pour les départs en novembre demeure par contre quasiment stable pour le long courrier par rapport à la même période en 2011.

le baromètre

Les 25 et 26 février 2013 à l’hôtel Le Bristol Paris !

Les conditions du marché hôtelier se sont durcies avec une dégradation des économies occidentales.
Après un début d’année étonnament résistant, les performances de l’industrie hôtelières sont rattrapées par l’inquiétude croissante des entreprises et les restrictions qui touchent les ménages.
Dès lors, les enseignes hôtelières et les réseaux se sont-ils suffisamment préparés pour affronter une nouvelle phase de cycle défavorable ? Les évolutions de concepts hôteliers, les modalités de développement, les stratégies de distribution, le marketing des marques, le niveau des investissements sont-ils en phase avec un environnement plus compétitif, plus exigeant ?


Lundi 25 février 2013 - Programme Préliminaire
Matinée
Marketing produit et finance
08h30
Accueil et enregistrement
09h00
Introduction par Georges Panayotis, Président de MKG Group
09h15
Keynote speaker : Capital Investment / Vision de l'économie / Conjoncture de l'investissement
09h45
Présentation MKG : Evolution de l'offre hôtelière en France et en Europe au cours de 2012
10h30
Table Ronde : Quels produits hôteliers réussissent le mieux à surfer sur le cycle des tendances ?
11h15
Pause café
11h45
Table Ronde : Entretenir pour mieux gérer, les capex sont-ils bien utilisés?
12h30
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Après-midi
Transactions et développements hôteliers
14h30
Présentation MKG : Evolution du marché des transactions sur actifs hôteliers
15h15
Keynote speaker : Investissements en France en 2012 / 2013
15h45
Table Ronde : Le Monopoly des transactions hôtelières vient-il seulement de débuter ?
16h30
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17h00
Table Ronde : Le développement hôtelier dans tous ses états ou dans quel état ?
17h45
Fin de la première journée

Mardi 26 février 2013 - Programme Préliminaire
Matinée
Commercialisation hôtelière et gestion de la relation client
08h30
Accueil et enregistrement
09h00
Introduction par Georges Panayotis, Président de MKG Group
09h15
Présentation MKG : Analyse comparative des canaux de distribution et de leur rentabilité
09h15
Keynote speaker : Distributeur
10h30
Table Ronde : Commercialisation hôtelière : l'industrie a-t-elle les moyens de garder la main ?
11h15
Pause café
11h45
Table Ronde : Gestion de la relation client : et si tout passait par là ?
12h30
Cocktail déjeunatoire
Après-midi
L'hôtellerie de luxe
14h00
Présentation MKG : Evolution de la clientèle du luxe et évolution parallèle de l'offre
14h45
Keynote speaker : Personnalité de l'industrie du luxe
15h15
Table Ronde : L'irrésistible ascension de l'hôtellerie du luxe est-elle sans fin ?
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Table Ronde : Forum stratégique européen
17h30
Fin de la deuxième journée

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"Le taux de pénétration des smartphones est encore plus élevé en Espagne (63%) et au Royaume-Uni selon l'enquête MobiLens de l'institut américain portant sur le mois d'octobre. Samsung est la marque numéro un dans toute l'Europe.

Surprise. Qui sont les plus convertis au smartphone en Europe? Les Espagnols, malgré la crise et la baisse, voire l'arrêt des subventions de téléphones de la part de certains opérateurs mobiles... C'est l'un des enseignements de la dernière étude ComScore MobiLens sur l'Europe des 5 portant sur le mois d'octobre. Le taux de pénétration du smartphone dépasse ainsi 63,2% des utilisateurs téléphones portables en Espagne, en augmentation de 14,8 points en un an, devant le Royaume-Uni à 62,3% (+14,5%). La France est un cran en dessous, à 51,4% (+13,3 points en douze mois), soit 24,4 millions d'utilisateurs. C'est en deçà de la moyenne européenne (54,6%), mais devant l'Italie à 51,2% et l'Allemagne à 48,4%".

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"Durant l’été 2012 (mai à septembre), la fréquentation des campings de la région se maintient (+ 0,3 %, après + 7,2 % en 2011). À l’inverse, au niveau national, les touristes sont venus moins nombreux dans les campings (– 1,0 %). Provence-Alpes-Côte d’Azur a tiré son épingle du jeu, en raison notamment de conditions météorologiques particulièrement défavorables dans la plupart des autres régions entre le mois de mai et la mi-juillet. Paca et la Corse sont ainsi les deux seules régions littorales dont la fréquentation des campings a augmenté cet été. Avec 14,7 millions de nuitées enregistrées, Provence-Alpes-Côte d’Azur confirme son 2e rang des régions françaises derrière Languedoc-Roussillon. La fréquentation des campings établit ainsi un nouveau record dans la région.

La hausse de fréquentation est soutenue dans les départements alpins : + 2,3 % pour les Alpes-de-Haute-Provence, + 1,7 % dans les Alpes-Maritimes et + 1,6 % pour les Hautes-Alpes. Le département du Var, qui représente la moitié de la fréquentation régionale, gagne 39 000 nuitées (+ 0,5 %), avec une capacité d’accueil qui augmente au même rythme. Dans les autres départements, le nombre de campeurs est en baisse, plus fortement dans les Bouches-du-Rhône (– 3,3 %) que dans le Vaucluse (– 1,2 %).

 

Le nombre de séjours dans les campings de la région a baissé par rapport à l'été2011 (– 1,3 %), mais cette diminution est compensée par une durée moyenne de séjour légèrement plus longue. Elle passe de 6,5 à 6,6 jours, soit une hausse de 1,6 %. Ce constat est valable tant pour les séjours des Français que pour ceux des étrangers.
 

La fréquentation des touristes français, qui comptent pour 60 % de la clientèle des campings de la région, augmente de 0,7 % cet été (soit + 58 000 nuitées) ; celle des touristes étrangers baisse de 0,3 % (– 15 000 nuitées). Parmi les nationalités les plus présentes, seuls les Belges, les Allemands et les Suisses sont venus plus nombreux (respectivement + 6,8 %, + 4,9 % et + 3,2 %). Les Hollandais, qui représentent à eux seuls 40 % de la fréquentation étrangère des campings régionaux, ont été quant à eux beaucoup moins présents (– 4,1 %, soit – 100 000 nuitées).

Au cours de l’été 2012, les emplacements locatifs (bungalow, mobile-home)enregistrent une nouvelle hausse de fréquentation (+ 1,8 %), maintenant ainsi la tendance observée depuis plusieurs années. L’attrait pour ce type d’emplacement se vérifie tant pour les touristes français qu’étrangers, mais plus particulièrement pour les campings 3 et 4 étoiles (+ 8,6 % contre – 32,0 % pour les 1-2 étoiles). La stratégie d’investissement et de montée en gamme, en cours depuis plusieurs années dans la région, semble ainsi porter ses fruits. La part des emplacements locatifs progresse de 1,1 point et s’établit désormais à 31 %. La fréquentation des emplacements nus baisse légèrement (– 0,8 %), uniquement du fait des touristes français (– 2,0 % contre + 0,3 % pour les étrangers).

 

Dans l’espace littoral, la fréquentation des campings progresse légèrement (+ 0,3 %), la clientèle étrangère augmentant plus fortement que la clientèle française. Cette hausse est cependant inégale selon les départements. En effet, le Var y contribue positivement (+ 1,0 point de pourcentage), à l’inverse des Alpes-Maritimes et des Bouches-du-Rhône (respectivement – 0,4 et – 0,3 point). La fréquentation de l’espace non littoral progresse au même rythme (+ 0,3 %), mais ne concerne pas tous les départements. La progression est vive dans les Alpes-Maritimes (+ 11,0 %) ; plus modérée dans les deux autres départements alpins (+ 2,3 % dans les Alpes-de-Haute-Provence et + 1,6 % dans les Hautes-Alpes). À l’inverse, les Bouches-du-Rhône affichent une baisse marquée (– 5,8 %) ; moins soutenue dans le Var (– 2,0 %) et le Vaucluse (– 1,2 %)".

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(Extraits / traduction)
Le Comité des transports du Parlement européen vient de voter les lignes directrices pour les infrastructures de transport de l'Union européenne. Pour la première fois, les députés ont décidé d'inclure le vélo dans les lignes directrices pour le réseau transeuropéen de transport (RTE-T).

Cette décision intervient après presque un an de campagne intense par la Fédération européenne des cyclistes (ECF), ses groupes membres et alliés de l'industrie. Des dizaines de milliers d'e-mails ont été envoyés aux députés européens dans la période qui a précédé le vote.

Le Comité a voté l'amendement suivant : Les synergies avec les autres politiques doivent être exploitées, par exemple avec les aspects touristiques en incluant les ouvrages d'art tels que les ponts ou tunnels pour des itinéraires cyclables de longue distance, tels que les itinéraires EuroVelo.

Le secrétaire général de l'ECF Bernhard Ensink a déclaré : "Ce vote représente un changement important dans l'attitude et une première étape dans la bonne direction. Le Comité des transports et du tourisme du Parlement européen a montré qu'il peut améliorer les conditions de la pratique du vélo à travers le continent en offrant au vélo les investissements qu'il mérite. Les possibilités d'investissement dans le cyclisme sont maintenant ouvertes."

Entre 2007 et 2013, le vélo a bénéficié de seulement 0,7% des fonds européens disponibles pour le transport. Pour la prochaine période budgétaire (2014-2020), l'ECF a identifié € 6 milliards, soit 10% du financement de l'UE qui devrait être consacré au cyclisme, mais pour obtenir le débloquage de ces fonds, il faudra plus que les citoyens exercent plus de pression sur les institutions européennes.

Le vote aura maintenant lieu en séance plénière du Parlement européen, avant que les détails soient discutés et négociés avec les États membres au sein du Conseil de l'Union européenne, au plus tard l'année prochaine.
 

"Durant la saison d’été 2012 (de mai à septembre), les touristes sont venus plus nombreux dans la région (+ 1,1 % après la hausse de 4,1 % l’été 2011). À l’inverse, la fréquentation hôtelière a reculé de 1,0 % au niveau national, de 1,3 % en province et de 0,2 % en Île-de-France. Provence-Alpe -Côte d’Azur fait ainsi partie, avec la Haute-Normandie et Champagne-Ardenne, des trois seules régions dans lesquelles le tourisme hôtelier a augmenté cet été.

Pour la première fois depuis 2002, le nombre de nuitées franchit la barre des treize millions en Paca (13 072 000). Cette progression ne tient toutefois qu’à la plus grande présence de la clientèle étrangère (+ 4,5 %, soit 250 000 nuitées supplémentaires). Les touristes étrangers en provenance des pays de la zone euro (en particulier d’Italie, d’Espagne et des Pays-Bas) sont venus moins nombreux (– 7,6 %), conséquence du ralentissement économique lié à la crise. A contrario, les touristes étrangers résidant hors zone euro ont été plus présents (+ 13,8 %).

Cette progression compense à elle seule la baisse de fréquentation des touristes partageant la monnaie unique, en particulier les Français, venus un peu moins nombreux en Paca (– 1,4 %, soit 105 000 nuitées en moins). L’appréciation des monnaies étrangères face à l’euro, qui a découlé de la crise des dettes souveraines, peut expliquer en partie cette hausse. Parmi les pays émergents, la clientèle en provenance de Chine et de Russie augmente fortement (respectivement + 43,4 % et + 31,7 %). Par ailleurs, la clientèle en provenance des marchés matures progresse également : + 12,4 % pour les Américains et + 7,8 % pour les Britanniques.

Au sein de la région, la hausse de fréquentation est marquée dans les Alpes-de-Haute-Provence (+ 9,6 %) et le Var (+ 3,7 %). Celles des Hautes-Alpes (+ 2,6 %) et du Vaucluse (+ 1,4 %) sont moins dynamiques. La fréquentation des campings, dans les Alpes-Maritimes et les Bouches-du-Rhône est quasi stable (respectivement – 0,1 % et – 0,3 %). Les hôtels 4 et 5 étoiles obtiennent les meilleurs résultats et enregistrent une hausse de + 15,6 % de leur clientèle. Ils profitent de la forte progression des touristes étrangers (+ 17,5 %), qui constitue 60 % de leur clientèle. La fréquentation des hôtels 3 étoiles augmente également, mais de manière moins soutenue (+ 3,8 %).

À l’inverse, les hôtels des autres catégories sont moins fréquentés (– 18,1 % pour les 0 et 1 étoile et – 6,0 % pour les 2 étoiles). Ces fortes variations inter-catégorielles s’expliquent cependant en partie par le changement de classification en cours dans l’hôtellerie (Cf. encadré) L’espace littoral, qui représente les deux tiers de la fréquentation hôtelière estivale, poursuit sa progression en 2012 (+ 1,3 % après + 5,0 % en 2011). La clientèle étrangère y augmente fortement (+ 4,7 %), tandis que la clientèle française diminue (– 1,7 %). Dans l’espace littoral du Var, la hausse est marquée (+ 4,5 %), notamment pour les touristes étrangers (+ 8,4 %). Dans ceux des Bouches-du-Rhône et des Alpes-Maritimes, la fréquentation progresse légèrement (respectivement + 0,3 % et + 0,4 %), soutenue également par celle des étrangers (+ 14,1 % et + 2,6 %), contre un recul de 4,0 % et 3,0 % pour les Français.

Les hôtels de l’espace urbain non littoral, qui comprend notamment Avignon et Aix-en-Provence, ont accueilli cet été 19 % des touristes de Paca. Leur clientèle a diminué cette année (– 2,1 %). Au sein de la région, seuls les Alpes-de-Haute-Provence et le Vaucluse enregistrent une hausse (respectivement + 3,0 % et + 0,8 %), due pour l’essentiel à la présence plus nombreuse de clients étrangers. Dans les autres départements, la baisse est marquée (entre 3,2 et 8,8 %). Les Bouches-du-Rhône, qui représentent 41 % du tourisme de l’espace urbain non littoral de la région, affichent un recul de 3,8 %.

Dans l’espace rural, la hausse de fréquentation hôtelière qui représentent 11 % de la fréquentation régionale, s’est accentuée (+ 4,3 %, après + 2,1 % en 2011). Les clientèles françaises et étrangères y ont contribué à parts égales. Au sein de la région, l’espace rural des Hautes-Alpes (– 13,0 %) et celui des Alpes-Maritimes (– 4,5 %) sont moins fréquentés ; à l’inverse des autres départements, notamment des Bouches-du-Rhône (+ 10,1 %).

La fréquentation des hôtels de l’espace montagne (4 % de la fréquentation hôtelière régionale) progresse de nouveau à l’été 2012 (+ 4,6 % après 8,3 % en 2011), soutenue par une forte contribution de la clientèle française (+ 4,3 points)".

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