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saison 3 cest fini

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saison 3: c'est fini!
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Blog de Milou1701 - Bientôt le grand départ

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Blog de vitobobheat - Départ

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L’entente de principe liant les omnipraticiens au gouvernement a été entérinée

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MONTRÉAL – Les membres du Conseil général de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) ont entériné, samedi, l’entente de principe conclue avec le gouvernement québécois le mois dernier à propos du nouveau calendrier de versement des augmentations consenties à ces travailleurs de la santé.

Malgré leur assentiment, il est clair qu’ils continuent de ressentir de l’insatisfaction devant l’accord qui, selon eux, stipule que les hausses prévues initialement pour cette année et l’an prochain seront plutôt étalées sur une période de huit ans.

Dans un bref communiqué, la FMOQ a écrit que les membres du Conseil général trouvent «inacceptable et même inquiétant pour l’avenir de voir le gouvernement renier unilatéralement des ententes signées [...]il y a quelques années à peine».

L’organisme a précisé les médecins omnipraticiens ont consenti à y aller de «sacrifices importants» pour faire leur bout de chemin dans le cadre de l’actuel exercice de redressement des finances publiques, ajoutant qu’il se croise désormais les doigts pour que, de son côté, le gouvernement ne ménage pas ses efforts «pour améliorer l’offre de soins [...], notamment en première ligne».

Le président de la FMOQ, le docteur Louis Godin, est convaincu que cet objectif doit absolument devenir «une véritable priorité politique et budgétaire».

Son syndicat compte quelque 8000 membres et il représente tous les médecins omnipraticiens de la province.

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Blog de milou - ET encore une DESPEDIDA

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Blog de milou - et la ESCUELITA

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Le Canada enverra un autre laboratoire mobile en Afrique de l’Ouest

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OTTAWA – Le Canada déploiera un deuxième laboratoire mobile en Afrique de l’Ouest pour lutter contre l’éclosion d’Ebola.

La ministre de la Santé, Rona Ambrose, a indiqué que Santé publique Canada avait envoyé un laboratoire mobile, ainsi que deux scientifiques supplémentaires en Sierra Leone.

S’exprimant samedi par voie de communiqué, la ministre a fait savoir que ces effectifs rejoindraient l’équipe déjà sur place à Kailahun, tandis qu’un troisième chercheur quittera le Canada mardi.

Une équipe liée à un laboratoire mobile continuera de fournir de l’aide afin d’établir des diagnostics rapides, en collaboration avec les travailleurs locaux de la santé, afin d’identifier rapidement l’Ebola.

La deuxième équipe de laboratoire mobile travaillera avec Médecins sans frontières (MSF) pour surveiller l’efficacité des mesures de prévention des infections comme les stations de lavage pour les mains, les masques faciaux et les sites de stockage des déchets pour éviter que la maladie ne se répande encore davantage.

Un aspect inhabituel de cette épidémie est le fait que les travailleurs des services de santé ont continué à se retrouver infectés même après l’ouverture de centres de traitement de MSF, un organisme reconnu pour ses protocoles vigoureux visant à protéger le personnel médical.

Par le passé, ces infirmiers et médecins étaient durement touchés dans les premiers jours d’une éclosion, avant que la maladie ne soit identifiée. Mais une fois que MSF s’installait et ouvrait des cliniques, ces infections prenaient fin.

Vendredi, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir qu’en date du 1er octobre, 1382 membres du personnel soignant avaient été contaminés par l’Ebola, et que 216 d’entre eux étaient morts.

Selon le gouvernement, de l’aide permettant d’obtenir des résultats en laboratoire en quelques heures seulement est essentielle pour réagir effectivement à une épidémie d’Ebola, puisque cela donne l’occasion d’isoler plus rapidement les malades et offrir des soins aux gens infectés.

L’une des personnes qui se rendront en Sierra Leone est le Dr Gary Kobinger, responsable de la section des pathogènes spéciaux au Laboratoire national de microbiologie. Ce dernier, qui a déjà effectué en passage en Sierra Leone cet été, s’est rendu en République démocratique du Congo, qui est aux prises avec une autre épidémie d’Ebola, bien moins importante, qui semble être de plus en plus sous contrôle.

Le concept de laboratoire mobile, élaboré par le Canada, a permis d’accélérer le processus visant à déterminer la présence du virus pour que les malades puissent être isolés des gens en santé.

Le Dr Taylor reconnaît que la taille extraordinaire de l’éclosion — qui devrait se poursuivre pendant encore plusieurs mois — impose une forte pression sur les ressources. Les équipes ne peuvent être maintenues sur le terrain que pendant quelques semaines, afin d’assurer leur sécurité.

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Le Canada participera à la recherche de vie extraterrestre dans l’espace

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MONTRÉAL – Le Canada contribue à la fabrication d’un nouveau télescope spatial qui, affirme un scientifique, pourrait aider à la recherche de signes de vie extraterrestre.

L’Agence spatiale canadienne (ASC) fournira une série d’instruments pour le télescope spatial James Webb, un projet de 8 milliards $ devant être lancé en 2018.

Parmi les contributions canadiennes, on compte deux caméras et l’un des quatre instruments scientifiques embarqués à bord du télescope.

Selon Sara Seager, une professeure d’astronomie et de physique au MIT originaire de Toronto, «beaucoup de choses dépendent de ce télescope — y compris la possible découverte de vie extraterrestre».

«Nous avons effectivement une chance de trouver des traces de vie, mais ce serait comme de gagner à la loterie cinq fois d’affilée. Je crois que dans les 10 prochaines années, nous aurons la capacité de trouver des signes de vie sur une exoplanète — s’il en existe.»

Depuis les années 1990, plusieurs centaines d’exoplanètes — des planètes situées dans des systèmes solaires autres que le nôtre — ont été détectées par des engins spatiaux.

En avril dernier, une planète de la taille de la Terre a été découverte dans la «zone habitable» de son étoile, soit à une distance permettant l’existence de températures propices à la vie.

Comme l’indique Mme Seager, placée en 2012 sur la liste du magazine Time des 25 experts les plus influents dans le domaine spatial, les scientifiques se concentrent sur la découverte de gaz dans les atmosphères planétaires.

«Nous savons que la vie sur Terre, y compris les humains jusqu’à un certain point, produit des gaz comme produit résiduel de l’existence, et voilà ce que nous cherchons.»

Si les planètes telluriques pouvant abriter de la vie sont très répandues, Mme Seager a souligné que les astronomes et astrophysiciens ne tentent pas de trouver de petits bonshommes verts.

Ce penchant pour les exoplanètes reçoit l’appui de Jill Tarter, une experte qui, tout comme Mme Seager, s’exprimera la semaine prochaine à Montréal dans le cadre d’un symposium organisé par l’Université McGill sur le thème «Sommes-nous seuls ?».

Mme Tarter est mieux connue pour son implication dans le programme SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence). Dans le cadre de ce projet, les cieux sont examinés par des radiotélescopes depuis les années 1980.

La scientifique ne veut cependant pas dire si elle croit qu’il existe de la vie ailleurs que sur Terre, préférant laisser la communauté spatiale faire son travail.

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Des femmes se sont entraînées pour défendre leur pays pendant la Grande Guerre

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TORONTO – Des centaines de Canadiennes ont pris les armes pour défendre leur pays et permettre aux hommes d’aller combattre en Europe au cours de la Première Guerre mondiale.

A cette époque, les femmes n’étaient même pas admises dans l’armée, sauf pour soigner les blessés bien loin des lignes ennemies.

Un siècle plus tard, qui se souvient réellement du Women Home Guard, un groupe ayant connu une brève mais populaire existence à Toronto ? Lancé en grandes pompes en 1915, le mouvement a rapidement périclité, victime de luttes intestines et des détracteurs, a indiqué une historienne qui l’a étudié.

Dans un livre intitulé «Toronto’s Amazon: Militarised Feminity and Gender Construction in the Great War», l’auteure Kori Street raconte que deux semaines après sa fondation, l’organisation — dirigée par une suffragette, Jessica Clare McNab — avait enrôlé 1000 femmes. Celles-ci désiraient participer à des exercices militaires et apprendre à manier des armes à feu ou des armes blanches.

«L’objectif du Women Home Gard était de libérer les hommes qui montaient la garde ici au pays, explique Mme Street. On n’avait pas besoin d’un détachement d’infanterie légère à la maison. On pouvait les envoyer outre-mer afin de participer à la vraie guerre, parce que des unités féminines pouvaient très bien garder les usines de munitions, s’occuper de la défense civile ou s’assurer de la sécurité des quartiers.»

La plupart des ouvrages portant sur la participation des femmes à la Grande Guerre se concentrent sur le rôle des 2800 infirmières canadiennes. La lutte des femmes pour forger leurs propres traditions militaires est rarement soulignée.

En temps de guerre, les femmes ont souvent remplacé dans divers métiers non traditionnels les hommes partis au front, mais elles ne sont pas parvenues à faire disparaître certains préjugés.

«Il y avait un cadre assez rigide qui déterminait ce que les femmes pouvaient faire ou ne pas faire au cours de la Première Guerre mondiale», souligne Sarah Glassford, coéditrice de «A Sisterhood of Suffering and Service: Women and Girls of Canada and Newfoundland during the First World War».

Plusieurs ont canalisé leur énergie patriotique en tricotant des chaussettes, en préparant des bandages ou en récoltant des fonds caritatifs. Devenir infirmière était la solution «la plus radicale» pour celles qui voulaient servir leur pays.

La militarisation croissante de la société canadienne à cette époque a permis la formation de groupes de type cadet pour les femmes sans faire sourciller les autres membres de la société, soutient la chercheuse Street. Ainsi, le 17 août 1915, l’annonce de la fondation du Women Home Guard a été bien accueillie.

Les inscriptions étaient si nombreuses au cours des premières semaines que le conseil municipal de Toronto a accepté de fournir une tente pour faciliter le recrutement. Des groupes semblables se sont formés à Edmonton, Montréal et Hamilton.

La liste des membres du groupe torontois n’a jamais été retrouvée mais des coupures de presse révèlent que ces femmes appartenaient à d’influentes familles.

Le mouvement a perdu de sa popularité à la suite d’un différend très public entre Mme McNab et son adjointe, une féministe passionnée nommée Laura McCully, qui reprochait à la fondatrice son manque d’organisation et des lacunes en matière de comptabilité. Elle l’avait aussi accusée d’être trop autoritaire. Le groupe s’est par la suite fractionné tandis que l’intérêt des médias s’étiolait. On ignore ce qu’est devenu le mouvement par la suite.

Le concept d’une force militaire composée de femmes a été «ridiculisé» par le niveau de la violence atteint lors de la Grande Guerre, souligne Mme Street. Toutefois, le bref succès remporté par le Women Home Guard démontre que les rôles stéréotypés des genres étaient alors en constante évolution, ce qui signifie que «cette période de l’histoire des femmes est beaucoup plus complexe et intéressante que ce qu’on imaginait», ajoute la chercheuse.

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Greenpeace et ses sympathisants réclament la protection de l’Arctique

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MONTRÉAL – Des milliers de personnes, dans 33 pays, devaient participer samedi, à vélo ou en patins à roues alignées, à un événement organisé par Greenpeace visant à réclamer la protection de l’Arctique.

Au Québec, des rassemblements devaient notamment se tenir à Montréal, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières.

Greenpeace et ses sympathisants exigent que les gouvernements placent la protection de l’Arctique en tête de leurs priorités.

Ils réclament entre autres la création d’un sanctuaire naturel dans les zones inhabitées entourant le pôle Nord ainsi que l’établissement d’une gouvernance responsable de l’Arctique, pour éviter tout développement industriel destructif dans cet endroit déjà sévèrement touché par les changements climatiques.

Selon Greenpeace, les sociétés pétrolières sont prêtes à exploiter l’Arctique et le gouvernement canadien leur permet d’ignorer les préoccupations environnementales ainsi que l’opposition grandissante des résidents de l’Arctique.

Avant le récent Sommet sur le climat à New York, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a accepté de recevoir la pétition «Sauvons l’Arctique» de Greenpeace que plus de six millions de personnes ont signée pour demander une protection à long terme de la région. Plus d’un millier de personnalités influentes du monde entier, dont d’anciens ministres, des lauréats du prix Nobel de la paix et des artistes ont soutenu cette même idée en signant un nouveau document de haut niveau intitulé «Déclaration de l’Arctique».

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Le miracle de la vie…

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Illustration © Marie Mainguy

Illustration © Marie Mainguy

Cela fait déjà trois ou quatre ans que Julie-ma-Julie et moi essayons de concevoir des enfants. Cette activité de dilettante n’est pas désagréable, mais le pain ne lève pas dans le four, ce qui est une grave atteinte à la Survie de la Race. D’ailleurs, c’est parce que nous envisageons l’adoption que nous avons quitté la France, car l’adoption y est un véritable calvaire pour les candidats.

Je peux donc me vanter d’être une des rares personnes à avoir pu tester, sur une période de quinze mois, les cliniques de fertilité à Paris, à Toronto et à Montréal. Cette manière de Défi Pepsi du prélèvement de sperme fut une expérience interculturelle ô combien enrichissante.

Dans les grandes lignes, les principes généraux sont les mêmes. Le médecin commence par vérifier si monsieur n’a pas de malformation évidente — genre prépuce zippé, testicules rentrés ou pénis en équerre. Pour madame, le médecin s’assure qu’elle est pubère, ce qui n’est pas le cas de tout le monde, semble-t-il.

À la phase 2, le médecin vous propose un plan de baise en fonction des cycles de madame — ce qui peut être épuisant. En parallèle, le médecin demande à faire des prélèvements. Chez madame, il faut qu’il aille voir et c’est très douloureux. Chez monsieur, c’est amusant : le prélèvement consiste à jouir dans une éprouvette.

C’est d’ailleurs à ce chapitre que les différences culturelles sont les plus marquées.

Mes études comparatives ont donc débuté à Paris dans un laboratoire médical non loin de chez nous, au lieu bien nommé de La Fourche — ça ne s’invente pas. Je me pointe avec l’ordonnance du docteur, et l’infirmière me sort une éprouvette à bouchon qu’elle met dans un sac de papier brun avec une étiquette, et elle me donne une lingette et quelques recommandations, sans trop faire attention au volume de sa voix :

« Alors vous vous lavez le gland avec la lingette, que vous jetez dans la poubelle immédiatement.

— Merci, madame. »

J’ai dû rougir, car elle me dit avec juste assez de force dans la voix pour que tout le monde entende :

« Pas de lubrifiant. Pas de salive. Vous y allez à sec. »

Pris au dépourvu, je lui réponds dare-dare :

« Et je fais ça ici, comme ça ?

— Non, mettez-vous là. »

Elle désigne la porte des toilettes, à deux mètres derrière moi. Un cabinet minuscule, tout blanc, beaucoup plus petit qu’une toilette d’avion et avec le charme des toilettes françaises, avec leur odeur inimitable de désinfectant au parfum de pamplemousse. Bref, ce ne sera pas la partouze.

De façon générale, on traite mieux le taureau géniteur que l’honnête citoyen qui cherche bravement à se dégorger le poireau dans le cabinet anonyme d’un laboratoire parisien.

En 1997, au centre d’insémination artificielle de Saint-Hyacinthe, j’avais assisté à une saillie du célébrissime Starbuck Ier, un gros taureau géniteur d’une tonne qui a rendu assez de semence pour engendrer une descendance prodigieuse : 200 000 veaux dans quarante-cinq pays ! Starbuck Ier, dit Le Généreux, était une vedette et il avait droit à un traitement de choix. Tous les deux jours, on sortait messire Starbuck de sa suite pour l’approcher d’un taureau castré — ils sont tous gais, à Saint-Hyacinthe, je veux dire les taureaux. Et là, Starbuck Ier le montait. Pendant que Sa Majesté s’excitait avec moult beuglements sur la croupe du castrat de service, un courageux employé s’appro­chait en catimini, tenant à la main un long étui pénien. On conçoit aisément tout le courage qu’il faut à un fonctionnaire pour se tenir ainsi à deux pas de deux tonnes de steak haché en puissance secouées de spasmes et de soubresauts. Au moment crucial, le brave fonctionnaire doit enfiler l’étui sur la cinquième jambe de messire Starbuck. Et là, pout pout pout, trois petits coups de remontoir et Sa Majesté avait donné. Après quoi, on ramenait le Starbuck à sa suite, tout rassasié.

Ce n’est pas pour me vanter, mais Julie-ma-Julie m’a toujours complimenté sur ma perfor­mance. Pas le plus grand de sa classe, mais diligent, toujours prêt, un peu énervé parfois, mais qui livre toujours la marchandise. Mais bon, là, je dois dire que, dans le cabinet du laboratoire au lieudit La Fourche, le gendarme a mis du temps à se laisser convaincre. Comment s’exciter dans un cabinet trop étroit, sans instrument, ni miroir, ni bonne samaritaine, en se sachant guetté par la réceptionniste ?

On peut s’efforcer de rêver, y aller de la main gauche pour se faire croire que c’est quelqu’un d’autre, mais bon, madame la réceptionniste est à trois mètres, et elle écoute, j’en suis sûr, la cochonne. À moins qu’il y ait des micros et des caméras cachés — je m’imagine à Surprise sur prise, à me remonter le pendule tandis que Béliveau est de l’autre côté de la porte qui m’attend avec ma femme, ma mère, mon père, mon frère et tous mes amis — « Surprise sur prise ! »

Illustration © Marie Mainguy

Illustration © Marie Mainguy

Fidèle à ma réputation de « petit vite de Sherbrooke », je m’organise pour orgasmer à 9h06. Puis, je pars à vélo pour la clinique, faisant gaffe aux rails de tramway, aux intersections. Ce n’est pas le moment de faire la manchette du Toronto Sun avec son sens de la formule : Quebec Cyclist Stabbed by Sperm Tube.

Et puis, un autre truc castrant, c’est qu’on ne peut pas en envoyer partout : on est là pour donner, alors il faut viser juste dans un orifice d’éprouvette SANS TOUCHER LA SUSDITE ÉPROUVETTE. Donc, tandis que j’essaie d’amorcer la pompe, je cherche en même temps la méthode pour ne pas en renverser partout. Très inspirant. Car si je rate mon coup, je dois attendre deux jours pour recommencer. Dans un contexte de bagatelle normale, il suffit de vingt à trente minutes pour une recharge et madame n’est pas regardante sur la qualité du sperme. En clinique de fertilité, on cherche la qualité taureau reproducteur A1, alors il faut deux jours pour recharger le fusil. Pas question de rater la cible.

[...]

Une éjaculation standard ne fait pas plus de quelques millilitres — jamais plus de six. Ce n’est pas bien gros, dans une éprouvette, mais songez un instant à toute l’énergie que nous déployons pour en arriver à si peu. La plupart des types s’imaginent éjaculer — ohf — un petit verre, une champlure pour les plus ambitieux. Mais il faudrait au contraire qu’ils tirent cinq à huit coups pour remplir une cuillerée. Les scènes de cul dans les romans vous parlent toujours de types qui « explosent », alors qu’on parle de deux ou trois millilitres de bave gélatineuse qui voyage sur un mètre, voire deux les bons jours de prostate reposée. Ce n’est pas une explosion : c’est un pétard mouillé.

[...]

Tout passe par la trompe. Une fois, alors que je faisais un reportage sur l’industrie de la capote, je visite un fabricant dans un salon de l’industrie pharmaceutique. Son stand se démarquait par la présence d’un gros melon d’eau tenu à la verticale grâce à un support ingénieux. Le représentant au comptoir se faisait bien évidemment demander par tout le monde, et moi le premier, ce qu’il faisait là avec sa pastèque. Et quand il avait suffisamment de monde autour de lui, le représentant, sans rire, sortait une capote et l’enfilait sur le melon au grand complet.

« C’est pour vous dire que ces capotes con­viennent à toutes les tailles et que si on faisait des tailles spéciales, ça serait des plus petites. »

Vérité fondamentale : on ne peut pas vendre des capotes format mini. Il n’y a pas un mec qui oserait en demander. Parce que tous les mecs s’imaginent avoir une trompe d’éléphant entre les jambes. Une trompe ? Que dis-je ! Un roc, un pic, un cap, une péninsule ! D’ailleurs, notez la sémantique des marques de capotes : Ramsès, Trojan, Crown et, ma préférée, Beyond 7 (plus de sept). On fait dans le gros.

[...]

Tout en me remballant l’instrument, l’idée m’a traversé l’esprit de sortir du cabinet avec l’éprouvette en y allant d’un « Dix minutes top chrono, les mecs ! Je vous laisse les restes » du meilleur goût. Mais j’ai plutôt fourré mon prélèvement dans le sac et je l’ai remis à la réceptionniste en mains propres — je m’étais lavé, oui. Elle m’a fait un petit regard et a pincé les lèvres avec un sourire en coin d’allumeuse de films pornos, l’air de dire : « Ah ! Bravo ! »

Une semaine plus tard, le laboratoire me postait les résultats de mon « spermogramme ». Cela tient sur une page. Un type avec son micro­scope a passé des heures à examiner mon sperme pour compter les têtards. Toujours est-il que mon spermogramme est normal, même si le mec a vu de fort vilains têtards. Sur les cent cinquante millions d’une éjaculation normale, on compte une bonne part de spermatos à deux, trois, voire quatre têtes. Ou bien des têtes à deux, trois, quatre flagelles. On mesure si c’est visqueux ou pas, et si les spermatozoïdes avancent ou pas et à quelle vitesse. Tels les G.I. sur la plage d’Omaha le 6 juin 1944 au matin du débarquement de Normandie, la moitié est déjà mal en point et un quart est carrément mort. Et c’est cette armée d’éclopés et d’infirmes qui est censée féconder un ovule. Ce n’est pas pour rien qu’on parle du miracle de la vie.

À Toronto, j’ai montré mon spermogramme français au médecin torontois, mais celui-ci était trop multiculturel pour lire le français. Il a donc fallu tout repren­dre, ce qui allait me permettre de constater qu’on ne donne pas ses spermatozoïdes à Toronto comme on le fait à Paris.

Armé de mon ordonnance, je vais au laboratoire, rue Clare, dans le nord de Toronto, et la réceptionniste me remet un sac de papier brun avec une feuille d’instructions — juste du texte, pas d’image. Je lui demande avec une assurance de pro :

« Alors, je fais ça où ?

— Chez vous.

— On ne fait pas ça ici, aux toilettes, maintenant ? »

Son sourire s’est crispé, et elle a eu une inquiétude dans le regard. J’ai dû avoir ce petit regard genre : « Chez nous ou chez vous ? »

« Non, jamais.

— Vous êtes sérieuse ? Je dois aller chez moi ? C’est loin, à vélo, et il faut revenir à vélo aussi.

— Dans l’heure.

— Le matin ?

— Oui, ça part au laboratoire à 10 heures.

— Donc, il faut que je vous apporte ça le plus près possible de 10 heures pour que les petits spermatozoïdes soient en forme. »

Je pense qu’elle n’a pas apprécié le mot « spermatozoïde ».

« C’est écrit sur la feuille. »

[...]

Je suis donc sorti Gros-Jean comme devant avec mon sac de papier brun dans la rue Clare. Il y avait, pas loin, un parc. J’aurais pu aller me masturber dans le buisson et revenir à la course. Mais c’est des trucs à la con, si un passant prévient la police : « C’était pour un prélèvement, Votre Honneur. » Bon, j’aurais pu aussi aller me masturber dans une toilette du Tim Hortons d’en face, mais c’est encore un autre truc à la con. Autant se remonter le pendule chez soi tranquillos.

Illustration © Marie Mainguy

Illustration © Marie Mainguy

Les scènes de cul dans les romans vous parlent toujours de types qui « explosent », alors qu’on parle de deux, trois millilitres de bave gélatineuse qui voyage sur un mètre, voire deux les bons jours de prostate reposée.

Je m’exécute donc par un petit matin frisquet d’octobre.

Beau problème pour les examens de maths du ministère :

« Sachant qu’un spermatozoïde survit 60 minutes à l’air libre et qu’il faut arriver au laboratoire avant 10 heures ; sachant aussi qu’il faut 6 minutes pour jouir, 6 minutes pour se vêtir, déverrouiller et reverrouiller le vélo, 42 minutes à vélo et 3 minutes de marche, à quelle heure faut-il commencer à se masturber ? »

J’en conclus que, si je veux arriver à l’heure avec de beaux spermatozoïdes frais, je dois avoir joui au plus tard à 9 h 09, et donc amorcer la pompe à 9 h 03. Je pour­rais commencer beaucoup plus tôt, mais le délai risque de provoquer l’hécatombe dans le spermogramme.

Fidèle à ma réputation de « petit vite de Sherbrooke », je m’organise pour orgasmer à 9 h 06. Ayant joui dans mon éprouvette avec trois minutes d’avance sur l’horaire, je mets le tube bien au chaud contre ma peau satinée pour dorloter mes petits spermatozoïdes douillets, je chausse mon casque et je pars à mouliner en faisant gaffe aux rails de tramway, aux intersections. Ce n’est pas le moment de faire la manchette du Toronto Sun avec son sens inimitable de la formule : Quebec Cyclist Stabbed by Sperm Tube (« Cycliste québécois poignardé par une éprouvette de sperme »).

Toujours est-il que j’arrive à 9 h 50, dix minutes avant la cueillette des éprouvettes. Je remets mon sac de papier brun et je m’en retourne — c’est une descente continue jusqu’à la maison.

Je recevrai le résultat dix jours plus tard. Laconique : « Sperm count : Normal. » Pas de détails. Le médecin, que nous revoyons à la fin de décembre, nous conseille un programme de baise qu’il faudra reprendre à Montréal, puisque nous quitterons Toronto avant l’été.

À Montréal, nous recommençons le processus, cette fois avec sérieux : au centre de fertilité de l’hôpital Royal Victoria. Alors là, c’est le paradis. Au lieu de me donner mon éprouvette, mon sac de papier brun et un feuillet d’instructions, l’infirmière me demande si je suis disponible.

« Ah, parce qu’on fait ça sur place ?

— Ça ne vous dérange pas, j’espère.

— Non, pas du tout, mais j’arrive de Toronto, et ils nous envoient chez nous avec un sac en papier brun.

— On vous demande seulement d’être abstinent trois jours avant et de ne pas prendre de bain chaud.

— Justement, je ne me suis pas abstenu hier soir.

— Ah ! Alors il faut prendre rendez-vous. »

Je me présente donc la semaine suivante, un bon jeudi après-midi après avoir convenablement rechargé les batteries. L’infirmière me donne mon éprouvette et une serviette puis m’amène à la salle de don, qui comporte une sorte de lit en vinyle recouvert — c’est un hôpital — d’une feuille de papier déroulée. Il y a une télé, un lecteur de cassette et même un lecteur de DVD.

C’est spartiate, mais bien équipé. L’infirmière m’explique où jeter la serviette quand je me serai lavé.

« Vous avez des vidéos ?

— Non, ça, les gens doivent les fournir eux-mêmes. Par contre, on a récupéré quelques revues. »

Je regarde : effectivement le genre de revues inspirantes qui ne traînent pas habituellement dans les salles d’attente.

« De toute façon, ce ne sera pas très nécessaire.

— Vous êtes chanceux. Il y en a pour qui c’est plus compliqué. Il y en a même pour qui les interdits sont tellement forts qu’il faut pratiquement qu’ils reconstituent l’acte sexuel, et on a des espèces de capotes spéciales pour cela. »

Vous ne serez pas surpris d’apprendre que cela s’est très bien passé et que, finalement, mon spermogramme québécois est aussi normal que ceux de Toronto et de Paris.

Par ailleurs, les tests ont aussi démontré que Julie-ma-Julie est aussi fertile que moi. C’est juste que mes spermatozoïdes ont l’air de se perdre et ne parviennent pas à lui trouver l’ovule. Bon, on s’arrangera.

LAT12_EXTRAIT_01Les accents circomplexes,

par Jean-Benoît Nadeau, Stanké.

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Trois voix de femme

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LAT12_MUSIQ_02

Salomé Leclerc / 27 fois l’aurore / Audiogram (en magasin le 23 septembre)

Le deuxième album de Salomé Leclerc, 27 fois l’aurore, n’est pas celui qui va enflammer les radios populaires ou les pistes de danse. Avec l’aide de Philippe Brault, Leclerc a plutôt concocté une collection de chansons intimes, faites pour l’écoute solitaire et le voyage immobile, écouteurs sur les oreilles.

La liste de noms au générique est réduite au minimum, Leclerc et Brault se chargeant des guitares et des claviers, qui tiennent le haut du pavé dans les orchestrations. S’ajoute parfois aux deux complices un batteur ou un tromboniste, pour la couleur orchestrale et pour donner de l’ampleur quand l’émotion le demande.

Ces arrangements pleins d’une énergie contenue habillent parfaitement ces chansons aux mélodies tranquilles, qui mettent les textes en avant. De bons textes, qui plus est.

Bref, une belle plume, une belle voix, de beaux arrangements, de magnifiques ambiances. Et tant pis si ça ne fait pas lever votre cinq à sept.

LAT12_MUSIQ_03

Hôtel Morphée / Rêve américain / Audiogram

Philippe Brault doit avoir les oreilles qui bourdonnent au moment où j’écris ces lignes, puisque c’est aussi lui qui a réalisé Rêve américain, deuxième album d’Hôtel Morphée. Ici, par contre, on est plus dans l’abondance que dans la retenue.

Derrière la chanteuse, violoniste et parolière Laurence Nerbonne, trois garçons tout aussi polyvalents s’agitent pour créer un rock orchestral un peu électro, très mélodique et toujours intense.

Parfois incroyablement accrocheur, comme dans « Dernier jour », parfois plus grave, comme dans « Je reviendrai », Rêve américain combine et cumule avec talent les influences du groupe. Soulignons au passage la parcimonie avec laquelle Hôtel Morphée a utilisé les cordes. C’est si facile d’en abuser, surtout quand on en a à portée de la main.

LAT12_MUSIQ_04

Got a Girl / I Love You But I Must Drive Off This Cliff Now / Bulk Recordings

Et après deux disques un peu sombres, pourquoi ne pas passer à quelque chose de plus léger et de plus inoffensif, avec le duo Got a Girl ?

On se méfie habituellement des actrices chantantes, mais si Mary Elizabeth Winstead a su convaincre le génial réalisateur Dan the Automator de travailler avec elle, on veut bien prêter l’oreille. Surtout avec un titre comme I Love You But I Must Drive Off This Cliff Now !

Elizabeth n’a pas une voix dont on sent le besoin de discuter autour de la machine à café. Qu’à cela ne tienne, sur les musiques de Dan the Automator, inspirées de leur affection commune pour la pop française des années 1960, ça fonctionne comme un charme.

Les ambiances vont de la bande originale d’un film de James Bond à une sorte de yéyé néofuturiste. Le son est riche et la réalisation est précise. C’est léger et ça fait pop, mais ça le fait très bien.

 

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Que du bonheur 

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Illustration © Luc Melanson

« Ce sont les expériences et non les choses qui nous rendent heureux. Un chercheur britannique a découvert que ceux qui s’offraient souvent des plaisirs à bas prix – un pique-nique, un café, un DVD – étaient les plus satisfaits de leur vie. » (Illustration © Luc Melanson)

Depuis de nombreuses années, les psychologues ont surtout cherché à comprendre et à soigner les douleurs de l’esprit. En fait, pendant des siècles, la psychologie était un rameau de la philosophie, jusqu’à ce qu’elle se transforme en théorie et science du comportement. Or, autour du millénaire est apparue une nouvelle dimension de cette discipline, la psychologie positive. Avec cette approche, les psychologues veulent nous orienter vers une vie meilleure en s’appuyant sur des données expérimentales.

Sonja Lyubomirsky, d’origine russe, directrice d’un laboratoire à l’Université de Cali­fornie à Riverside, a entrepris dans ses travaux de déboulonner les mythes de la vie heureuse, persuadée que « le bonheur de la quête est plus important que l’obtention du bonheur ». Dans Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux ?, la thérapeute américaine, s’inspirant des travaux scientifiques de ses collègues, s’évertue à mettre à profit les résultats d’études qui contredisent les clichés habituels.

Ainsi, malgré leur dimension idyllique, les joies du mariage ne dureraient que deux années en moyenne. Par la suite, un couple doit sans cesse se réinventer s’il veut conserver le plaisir de vivre à deux, or, 40 % des gens mariés n’y arrivent pas. Et tant pis pour le mythe de la jeunesse, c’est après 65 ans qu’on est le plus heureux. Pire : les personnes les plus scolarisées seraient souvent les plus malheureuses, ayant de trop grandes attentes professionnelles. Et sait-on que les locataires d’appartement profitent plus de la vie que les propriétaires, qui ont la responsabilité d’un bâtiment ? Ces notions seraient toutes statistiquement vérifiables.

La psychologie positive, on le devine, est à cheval entre sa discipline d’origine, la philosophie (car Lyubomirsky se préoccupe du sens de la vie), et une certaine propension à faire le marketing du plus petit dénominateur commun. Que ce soit à propos de la sexualité, de la vie des enfants, du travail, de ce qu’apporte l’argent ou la vieillesse, l’auteure finit toujours par proposer une sortie de crise en suggérant de ne jamais se comparer aux autres et en rappelant « l’habituation hédonique », c’est-­à-dire la propension des humains à s’habituer à tout, surtout au bonheur. La richesse extrême, la réussite, la passion amoureuse ou la gloire médiatique ne rendent heureux que momentanément, rappelle-t-elle, « dans la vie, rien n’a jamais l’importance qu’on lui prête ».

En ce sens, opter pour la simplicité volontaire est plus un gage de bonheur que travailler jour et nuit pour accumuler des richesses et posséder des objets symboliques.

La première chose à faire serait donc « d’examiner les attentes culturelles que nous impose la société ». En France, le principe de précaution prédomine, aux États-Unis, la prise de risque est valorisée. Le bonheur québécois (moins de travail, plus de nature) n’est pas celui des Canadiens (plus de productivité, plus de richesse). La leçon que l’on peut en tirer est que si les partis politiques veulent changer la vie, la psychologie positive leur trace la voie.

Sur le plan pratique, pour construire son « estime de soi », la sociopsychologue propose de tenir un journal, de rédiger une autobiographie, de faire des listes d’espoirs réalisés ou déçus, en somme, de puiser dans l’écriture la force de maîtriser son destin. Je ne vais évidemment pas la contredire à ce propos, mais j’ajouterais que la lecture d’essais ou de romans est aussi une des clés du bonheur de vivre.

LAT12_ESSAI_ETR_02Qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux ?,

par Sonja Lyubomirsky, traduit de l’américain, Les Arènes, 318 p., 32,95 $.

 

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Femmes autochtones Manon Massé participe à une vigile et presse Ottawa d’agir

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QUÉBEC – Jugeant que «ce qui se passe actuellement n’est pas assez connu», la députée de Québec solidaire, Manon Massé, affirme que la lutte qui vise à obtenir une commission d’enquête nationale sur les causes de la disparition et du meurtre de femmes autochtones doit se poursuivre.

C’est pourquoi elle a participé, samedi après-midi, à l’une des vigiles organisées dans plusieurs villes du Canada et même ailleurs dans le monde. Mme Massé se trouvait à Québec et a qualifié d’«extraordinaire» l’événement qui réunissait plus de 250 personnes, dont la présidente de Femmes autochtones du Québec Michèle Audette.

«Vraiment, ç’a été une activité où on avait des frissons. Quand on sent qu’il y a quelque chose qui n’a pas de bon sens, ça fait partie de notre devoir citoyen de se lever et de le dire. Et j’ai entendu, aujourd’hui, plein de gens être en appui aux demandes des femmes autochtones», a-t-elle indiqué.

La députée de Québec solidaire a présenté, lundi dernier, une motion adoptée à l’unanimité à l’Assemblée nationale demandant à Ottawa de tenir une commission nationale d’enquête sur le sujet. Mme Massé estime, par ailleurs, que l’attitude d’Ottawa est «inacceptable» et croit qu’il est urgent d’agir.

Et même après une neuvième vigile cette année, elle n’entend pas cesser de mettre de la pression sur le gouvernement Harper puisque selon elle, il est essentiel que la lutte continue pour «nos soeurs autochtones».

Les manifestants réclament également aux gouvernements un plan d’action national pour venir en aide aux femmes autochtones.

Selon Viviane Michel, présidente de Femmes autochtones du Québec, il est primordial que les femmes, les familles et les communautés autochtones puissent être entendues dans le cadre d’une commission. Elle ajoute que «comprendre les racines profondes de la discrimination systémique à laquelle font face les femmes autochtones est un devoir pour faire respecter leur dignité et leur sécurité».

Béatrice Vaugrante, directrice générale d’Amnistie internationale Canada francophone, souligne de son coté que de nombreuses tribunes de l’ONU, des États-Unis et du Royaume-Uni ont demandé au Canada de mettre fin à la violence faite aux femmes autochtones. Selon elle, il s’agit du dossier le plus lourd en matière de droits humains auquel doit faire face le Canada, et il est inacceptable que le gouvernement n’en reconnaisse pas l’ampleur et n’agisse pas.

Des données de la GRC publiées cette année révèlent que les femmes et les filles des Premières Nations, les Métisses et les Inuit sont plus à risque que tout autre groupe de femmes au Canada. À titre d’exemple, 1017 femmes et filles autochtones ont disparu ou ont été assassinées entre 1980 et 2012. De plus, on est toujours sans nouvelles de 105 femmes qui ont disparu dans des circonstances inexpliquées ou suspectes.

Au cours de la dernière décennie, alors que le taux d’homicide est en baisse partout au Canada, le nombre de femmes et de filles autochtones assassinées est six fois plus élevé que chez les non autochtones.

À Montréal, plusieurs organisations ont lancé un appel à la mobilisation pour participer à la vigile, samedi soir, dont la Fédération des femmes du Québec.

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Malade du sport

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Le sport n’est pas toujours bon pour la santé. Selon des résultats rendus publics lors du congrès de l’American Urogynecologic Society, les femmes qui font des triathlons ont plus de risques de souffrir d’incontinence urinaire ou anale et de problèmes menstruels ou osseux. « De plus en plus de gens pratiquent des sports à impacts intenses ou répétés, mais les répercussions physiques sont encore mal connues », a expliqué le Dr Johnny Yi, de l’Université Loyola de Chicago.

Tout n’est pas noir pour les triathlètes. Une étude israélienne dont les résultats ont été publiés en 2013 a révélé que, en moyenne, ces sportifs de haut niveau supportaient mieux la douleur que les personnes qui pratiquaient des sports moins exigeants, entre autres grâce à leur niveau d’endurance psychologique face à la peur et au stress.

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Mal de dos le Tylenol inutile 

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L’acétaminophène (aussi connu sous le nom commercial Tylenol) est inefficace pour soulager les douleurs au bas du dos, révèle une importante étude réalisée par des chercheurs australiens et publiée dans la revue The Lancet. Les chercheurs ont recruté 1 652 volontaires souffrant de maux de dos aigus. Certains d’entre eux ont reçu des comprimés d’acétaminophène (jusqu’à 4 000 mg par jour) et d’autres un placébo.

Il n’y a pas eu de différence notable entre les informations rapportées par les deux groupes — degré de douleur, qualité du sommeil, niveau d’incapacité, etc. Le Dr Christopher Williams, qui a dirigé l’étude, propose de revoir les pratiques d’usage. « Partout dans le monde, l’acétaminophène est le premier médicament proposé pour soulager le mal de dos », fait-il valoir.

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D’ex-travailleurs d’Olymel ont participé à une assemblée générale extraordinaire

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MONTRÉAL – Les anciens employés de l’usine de découpe de porc d’Olymel de Saint-Simon ne se résigneront visiblement pas à enterrer la hache de guerre.

Plusieurs d’entre eux ont, d’ailleurs, assisté à une assemblée générale extraordinaire à Saint-Hyacinthe, samedi, afin de se renseigner sur ce qui sera vraisemblablement le prochain round de leur combat face à l’entreprise.

En août, un arbitre avait condamné Olymelà les dédommager pour leur avoir montré la porte de manière prématurée en 2007.

La Confédération des syndicats nationaux (CSN) a déjà indiqué qu’elle estimait qu’une somme totalisant environ 14 millions $ devrait leur être versée, ce qui inclurait les salaires et les avantages sociaux perdus de même que les intérêts.

De toute évidence, la direction d’Olymel n’a pas digéré sa condamnation et l’estimation de la CSN puisque le 17 septembre, elle a publié un communiqué pour annoncer qu’elle avait choisi «de demander à la Cour supérieure du Québec de procéder à la révision judiciaire de la décision rendue par l’arbitre Claude H. Foisy» tout en spécifiant qu’«aucun autre commentaire ne sera fait sur cette question tant qu’elle sera devant les tribunaux».

Le vice-président de la Fédération du commerce de la Confédération des syndicats nationaux, David Bergeron-Cyr, n’a guère été étonné d’apprendre la nouvelle.

M. Bergeron-Cyr a spécifié que malgré ce récent développement, les ex-travailleurs n’ont pas l’intention de plier l’échine car «ça fait partie de leur ADN de se battre» et que «même si ça devait prendre encore cinq ans, ils vont continuer à tenir le morceau».

En entrevue à La Presse Canadienne samedi en fin d’avant-midi, il a lancé d’un ton ferme: «on sait qu’on a raison, Olymel aussi le sait».

En parlant des patrons de l’entreprise, il a déclaré que «tout ce qu’ils font c’est qu’ils font chier leurs anciens employés en étirant ça le plus possible».

Il a ajouté que «malheureusement, ça fait tellement longtemps que ça dure qu’il y en a 17 qui sont morts sans voir finalement la solution à cette saga-là».

Selon la CSN, quelque 250 ex-travailleurs étaient présents à l’occasion de la réunion de samedi.

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C’est déjà l’Halloween à La Ronde zombies et vampires s’emparent du parc

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MONTRÉAL – C’est déjà l’Halloween au parc d’attractions La Ronde, à Montréal.

La 13e édition de son «Festival de la Frayeur» se met en branle samedi. Jusqu’au 2 novembre, à chaque fin de semaine, La Ronde prendra des allures de terrain de jeu hanté par des vampires et des zombies.

Les visiteurs y trouveront de nouvelles attractions associées à l’Halloween et des «zones de peur» terrifiantes.

Le jour, les activités seront plutôt amusantes. Mais le soir, après 17h, une centaine de créatures des ténèbres envahiront le parc.

Les visiteurs pourront notamment déambuler dans quatre zones de peur gratuites peuplées de zombies et autres personnages maléfiques. Ils pourront aussi s’aventurer dans quatre maisons hantées.

La Ronde sera ouverte toutes les fins de semaine jusqu’au 2 novembre, plus le lundi 13 octobre, jour de l’Action de grâce, et le vendredi 31 octobre, jour de l’Halloween.

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Course à la direction du PQ Conflit ouvert entre Péladeau et Lisée

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SHERBROOKE,, – Pierre Karl Péladeau refuse catégoriquement de se départir de son empire de presse, quelles que soient les pressions en ce sens exercées par son rival potentiel dans la course au leadership du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée.

Alors que la course débute à peine, le conflit entre les deux probables prétendants au trône éclate au grand jour, annonçant déjà la division des troupes souverainistes et laissant de côté les autres enjeux.

M. Péladeau, qui demeure actionnaire de contrôle de Québecor même s’il est député depuis l’élection d’avril dernier, a affirmé qu’il n’était pas question de vendre l’entreprise fondée par son son père, Pierre Péladeau.

Un tel geste irait à l’encontre de ses «convictions profondes», a-t-il dit en point de presse, samedi matin, en marge de la Conférence nationale des présidentes et présidents (CNPP) du PQ, au cours de laquelle doivent être définies les règles à suivre par les futurs candidats à la succession de Pauline Marois.

Le prochain chef du PQ sera connu le 15 mai, ou le 22 mai si un deuxième tour s’avère nécessaire. La campagne s’étirera donc sur sept longs mois et demi. Les aspirants auront du 14 octobre au 30 janvier pour déposer leur bulletin de candidature.

«Je n’ai pas l’intention de vendre les actions que mon père m’a léguées, un grand bâtisseur du Québec», a réaffirmé M. Péladeau, qui n’a pas voulu dire si sa position pouvait être réévaluée s’il est élu chef du parti le printemps prochain.

Sauf que le député de Rosemont, Jean-François Lisée, juge ce scénario totalement inacceptable, tant sur les plans politique qu’éthique.

À ses yeux, on ne peut pas à la fois être chef du PQ, encore moins premier ministre, et actionnaire de contrôle du principal empire de presse au Québec. Il demande donc au député de Saint-Jérôme de vendre son entreprise ou de renoncer à ses ambitions politiques.

Toute autre avenue constitue une «bombe à retardement» qui rendrait le PQ vulnérable aux attaques de toutes parts et minerait ses chances de reprendre le pouvoir, selon M. Lisée, qui n’hésite pas à affronter publiquement et sans ménagement celui que d’aucuns considèrent déjà comme le meneur de la course.

«Il y a quelqu’un qui doit avoir le cran de le regarder dans les yeux et de lui dire: « Pierre Karl, ça ne marche pas, ça n’a pas de bon sens, et si tu fais ça, tu vas nous mettre dans une vulnérabilité incroyable dans nos débats avec nos adversaires »», a commenté M. Lisée en point de presse, en reprochant au député de Saint-Jérôme de ne pas comprendre l’ampleur du problème et de ne pas vouloir voir les conséquences néfastes de sa situation pour le parti.

L’attaque menée par M. Lisée contre M. Péladeau est devenue rapidement source de malaise et de division au sein du caucus péquiste.

Un partisan de M. Péladeau, le député de Matane, Pascal Bérubé, s’est interrogé sur les motivations réelles de M. Lisée, à cette étape-ci de la course. Selon lui, c’est M. Lisée qui risque d’en sortir égratigné.

Autre candidat probable, le député de Marie-Victorin, Bernard Drainville, a préféré demeurer au-dessus de la mêlée, en disant qu’il ne fallait pas personnaliser le débat.

«Évitons de trop se « maganer », parce qu’il va falloir travailler tout le monde ensemble après la course», a-t-il dit à l’intention de ses collègues. Sur le fond de la question, il a refusé de prendre position, tout comme d’autres rivaux potentiels, Nicolas Marceau, Alexandre Cloutier et Martine Ouellet.

Député de Lac-Saint-Jean, Alexandre Cloutier a dit que M. Péladeau respectait les règles d’éthique en vigueur et qu’il fallait se fier «entièrement» à son jugement.

«Pas de commentaire», a dit la députée de Vachon, Martine Ouellet.

Quant à lui, le président du parti, Raymond Archambault, un ancien journaliste, a jugé qu’il ne voyait «pas de problème» à envisager que le prochain chef du parti soit en même temps à la tête d’un empire de presse. Il a dit souhaiter une campagne au leadership «noble».

Le chef par intérim du parti, Stéphane Bédard, mise sur une course «respectueuse».

Les délégués présents appelés à définir les règles de la course ont rejeté l’idée de «primaires ouvertes», qui était défendue par quelques députés dont Alexandre Cloutier et Jean-François Lisée. Ces derniers voulaient permettre à des sympathisants qui ne sont pas membres du parti de pouvoir voter pour élire le prochain chef. Le scrutin sera donc réservé aux membres en règle du PQ.

Chaque candidat devra déposer la somme de 20 000 $ pour faire partie de la course et son bulletin devra compter au moins 2000 signatures.

Chacun d’entre eux pourra dépenser un maximum de 400 000 $.

Ce sera l’ex-ministre Jacques Léonard qui présidera la campagne.

En milieu de course, le 30 janvier, le PQ tiendra aussi un conseil national d’orientation.

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Coups de feu tirés sur une voiture à Montréal pas de blessés mais un suspect

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MONTRÉAL – Un véhicule a été la cible d’un tireur vendredi soir dans l’arrondissement Dollard-des-Ormeaux, à Montréal.

Vers 19h40, la voiture circulait sur la rue Roger-Pilon, à l’intersection de la rue Barnett, lorsqu’au moins un projectile d’arme à feu l’a atteinte.

Les deux occupants n’ont pas été blessés, mais la passagère, une femme de 36 ans, a été hospitalisée pour un choc nerveux.

Un suspect a été arrêté. Il s’agit d’un homme de 26 ans. Conduit à un centre d’enquête pour interrogatoire, l’individu était très agité.

On ignore le motif de la fusillade. Toutes les personnes impliquées ne sont pas connues du milieu policier.

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Prévisions météo pour l’hiver 2015 au Canada et au Québec

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Qui dit motoneige dit neige. En général le Québec est très choyé pour donner des conditions hivernales idéales pour faire la motoneige. Mais on a tous la même question : Quelle sera les prévisions météo pour l’hiver 2015 au Canada ? Au moment d’écrire cet article (fin septembre) il est un peu tôt pour avoir une certitude des conditions de la prochaine hiver au Québec. Néanmoins voici les premières informations …
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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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