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Quelques jours sur le Chemin de Compostelle

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Je suis partie Lundi 15 septembre 2014 à 7 heures 13 du matin par un train TER en direction de Montpellier avec un arrêt à Narbonne pour changer de train. Jo m'a conduit à la gare en ce matin de septembre et je pars seule avec mon sac à dos , cela fait quatre années que je n'ai pas marcher sur le...

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2014 Vu au cinéma cette semaine Elle ladore

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Elle l'adore un film de Jeanne Herry (fille de Miou-miou et Julien Clerc) Avec Sandrine Kiberlain (Muriel), Laurent Lafitte (Vincent lacroix), Pascal Demolon... Vincent, chanteur populaire, se dispute avec son épouse qui se tue en tombant dans l'appartement. Il va faire appel à Muriel, sa...

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La dépouille de Gilles Latulippe exposée en chapelle ardente à Montréal jeudi

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MONTRÉAL – Les admirateurs de Gilles Latulippe pourront lui rendre un dernier hommage jeudi, en après-midi et en soirée, de même que vendredi matin, lorsque sa dépouille sera exposée en chapelle ardente dans le hall d’honneur de l’hôtel de ville de Montréal.

Gilles Latulippe est décédé le 23 septembre dernier à l’âge de 77 ans d’un cancer du poumon pour lequel il était soigné depuis quelques années, dans une grande discrétion.

Les citoyens pourront se rendre au hall d’honneur jeudi, de 14h00 à 21h00 et vendredi, de 10h00 à midi.

À partir de 14h00, vendredi, l’accueil sera réservé aux parents et amis, artistes et artisans du monde du spectacle, alors qu’un hommage privé sera rendu à M. Latulippe.

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Tenerife destination soleil en plein hiver

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L’hiver arrive et, avec lui, la possibilité de nouveaux voyages. Car qui dit hiver ne dit pas forcément neige et grand froid. A Tenerife, au cœur des îles Canaries, le soleil brille toute l’année et les plages ne désemplissent pas. Prévoyez dès maintenant votre voyage aux Canaries en hiver en réservant un billet d’avion pas cher pour Tenerife.

Un climat étonnamment doux…

A Tenerife, les étés sont très chauds, parfois même trop, mais les hivers sont eux très agréables en fonction des régions de l’île. Le plus gros contraste se fait en plein hiver, quand les plages du littoral sont encore chaudes et ensoleillées et que le pic de Teide se recouvre d’un voile de neige. Le nord et le sud de Tenerife possèdent également des différences climatiques saisissantes. Alors que le nord peut être pluvieux et humide en novembre, décembre et janvier, le sud reste chaud et ensoleillé en toute circonstance. Il n’est donc pas étonnant que ce petit paradis européen soit aujourd’hui l’une des destinations préférées des Français qui cherchent le soleil en plein hiver.

el-teide

… Propice à la détente…

Voyager à Tenerife en hiver permet de profiter des températures agréables de l’ »île de l’éternel printemps ». Farniente sur des plages de sable fin, baignades dans une eau turquoise, massages sous un soleil de plomb… Tout est ici propice au calme et à la douceur de vie des Canaries. Loin du froid hivernal de la France, retrouvez le soleil le temps d’une semaine ou d’un week-end à moins de quatre heures d’avion de la France  ! C’est d’ailleurs grâce à cette proximité et à cette abondance de soleil que Tenerife fait aujourd’hui partie des nouvelles destinations santé.

playa Jardin,Puerto de la Cruz, Tenerife

… A l’aventure…

Tenerife fait également partie des meilleures îles espagnoles pour s’essayer à diverses activités. La plongée sous-marine est ici le sport national, l’occasion d’admirer les épaves, les poissons colorés et les tortues qui peuplent les fonds marins des Canaries. Lors de votre voyage hivernal à Tenerife, ne manquez pas les cours de surf et de planche à voile, les balades équestres et les randonnées en forêt et en montagne pour un maximum de dépaysement. Tenerife est un véritable joyau naturel avec ses quatre parcs nationaux, ses forêts denses, ses plages de sable blanc, noir ou doré et son désert volcanique. Pour saisir tous les contrastes de l’île et partir à l’aventure en liberté, pensez à louer une voiture de location à Tenerife.

… Et à la fête

Située au carrefour de l’Afrique et de l’Europe, Tenerife met à profit la diversité de ses influences en créant une ambiance festive. Les locaux aiment la fête et organisent de nombreux spectacles et manifestations culturelles. L’occasion de goûter à la gastronomie locale, de s’essayer au vin de Tenerife et de déguster de la liqueur de banane sous le soleil. En février, se tient sur place le Carnaval de Santa Cruz, un incontournable de tout voyage hivernal à Tenerife. Deuxième plus grand carnaval au monde après celui de Rio de Janeiro, le Carnaval de Santa Cruz dure un mois entier, durant lequel les rues se remplissent de festivités en tout genre, de spectacles et de défilés.

la vieille ville de Santa Cruz de Tenerife

Envie de faire un break en plein hiver  ? Suivez le soleil en vous envolant pour les Canaries lors d’une semaine ou d’un week-end, et oubliez la grisaille le temps d’un voyage à Tenerife ensoleillé ! 

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L’équipe Evaneoscom en voyage le Kirghizistan en vidéo

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Comme toute l’équipe Evaneos, vous aviez adoré les photos de Sarah au Kirghizistan.

Sarah (en plus d’être une chouette collègue) n’est pas seulement douée en photos, elle l’est aussi en vidéo !

Chose promise, chose due, voici donc le Kirghizistan de Sarah en vidéo :

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Ca vous plait?

NB: Vous avez envie de faire le même voyage ? Contactez Sedep !

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Faites la fête dans les musées londoniens

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Big Ben feu d'artifice
©Shutterstock

Qui n’a pas rêvé de se promener dans les couloirs d’un musée, une fois déserté ? Histoire de voir si, comme dans La Nuit au musée, avec Ben Stiller, statues et dinosaures reviendraient à la vie au départ des visiteurs… Venez donc tenter l'expérience à Londres… et faire la fête, une fois par mois, dans les plus grands musées !
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Blog de guilfouine - J21 - En route pour le parc de Monteverde

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Blog de guilfouine - J+21 - En route pour le parc de Monteverde
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Huit universités canadiennes figurent au sein d’un classement mondial

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Les établissements canadiens ont légèrement glissé au sein du classement mondial 2014-2015 des meilleures universités du Times Higher Education.

Huit universités canadiennes figurent toujours aux 200 premiers rangs du classement. La mieux placée est l’Université de Toronto qui occupe le 20e rang.

Les autres universités du pays à figurer à ce classement sont l’Université de la Colombie-Britannique (32e), l’Université McGill (39e), McMaster (94e), l’Université de Montréal (113e), l’Université de l’Alberta (124e), l’Université de Victoria (173e) et l’Université d’Ottawa (188e).

Pour l’UdM, il s’agit d’une glissade de sept places par rapport au classement de l’année précédente.

L’Université Laval figure dans un groupe classé entre les 226e et 250e rangs.

L’organisation juge les établissements universitaires en fonction de 13 critères dont l’environnement des études, la recherche et l’innovation.

Les écoles n’enseignant pas à des candidats au baccalauréat sont exclus du classement.

Les universités anglo-saxones continuent de dominer le classement mais leurs écoles supérieures asiatiques poursuivent leur ascension.

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Blog de mayakasih - Balade dans la vallée de Sidemen

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Blog de mayakasih - Balade dans la vallée de Sidemen...
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Des soldats afghans qui ont fui vers le Canada craignent retourner chez eux

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BATAVIA, États-Unis – Trois officiers militaires afghans qui voulaient se réfugier au Canada après avoir fui lors d’un exercice militaire au Massachusetts ont indiqué mercredi qu’ils cherchaient à se protéger des violences talibanes dans leur pays d’origine, mais qu’ils craignent maintenant la colère de leur propre gouvernement.

Selon le major Jan Mohammad Arash, le danger s’est multiplié depuis qu’il a fui en compagnie des capitaines Noorullah Aminyar et Nohammed Nasir Askarzada. Les trois hommes ont parcouru plus de 800 kilomètres en taxi à partir d’un Wal-Mart à Cape Cod, au Massachusetts, vers Niagara Falls.

Le 22 septembre dernier, les trois hommes ont traversé à pied le pont Rainbow, qui relie l’État de New York à l’Ontario, et ont demandé refuge. Les autorités américaines leur ont toutefois bloqué le passage et les ont accusés d’avoir violé les règles d’immigration. Ils ont ensuite amorcé des procédures d’expatriation.

Le major Arash a déclaré à partir d’une prison de la banlieue de Buffalo que leurs photos se sont retrouvées dans les journaux en Afghanistan, au Pakistan et à travers le monde et que le gouvernement afghan s’était tourné contre eux.

Ils ont tous indiqué qu’ils craignaient d’être tués, emprisonnés ou torturés s’ils étaient renvoyés en Afghanistan.

Note to readers: Version corrigée. Le Wal-Mart était situé à Cape Cod et non à Hyannis.

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«Si nous vivions comme les Qataris…

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Photo © Getty Images

Photo © Getty Images

FouineurEn 40 ans, la taille des populations d’espèces sauvages a fondu de moitié sur la planète. Voilà le premier chiffre choc qui ressort du rapport « Planète Vivante » du Fonds mondial pour la Nature (WWF), publié mardi.

L’organisation a tiré la sonnette d’alarme dans la dernière mouture de ce rapport, qui indique que l’Indice Planète Vivante (IPV) – un outil pour mesurer l’évolution de 10 380 populations d’espèces vertébrées (mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens, poissons) – a enregistré un déclin de 52 % entre 1970 et 2010.

Cette baisse, plus marquée sous les tropiques, a particulièrement affecté la faune d’Amérique latine, qui a vu l’effectif de ses 3 811 populations de 1 638 espèces fondre de 83 % au cours de cette période.

2014-10-01 17_53_54-lpr2014_resume_vf_web.pdf - Adobe ReaderLes causes de ce déclin sont multiples. La WWF cite en premier lieu « la perte et la dégradation de l’habitat » ainsi que « l’exploitation subie à travers la chasse et la pêche ». « Le changement climatique, troisième menace la plus grave répertoriée dans l’IPV, devrait, quant à lui, avoir un impact croissant sur les populations à l’avenir. »

Dans son rapport, la WWF s’indigne également de la surconsommation des ressources que la Terre met à disposition. « Aujourd’hui, nous avons ainsi besoin de la capacité régénératrice de 1,5 Terre pour disposer des services écologiques dont nous profitons chaque année. »

Un « dépassement » qui s’explique par le fait que « nous coupons les arbres à un rythme supérieur à celui de leur croissance, nous prélevons plus de poissons dans nos océans qu’il n’en naît, et nous rejetons davantage de carbone dans l’atmosphère que les forêts et les océans n’en absorbent. »

À ce sujet, le carbone issu de la consommation des combustibles fossiles représentait, en 2010, 53 % de l’empreinte écologique de l’humanité, contre 36 % en 1961.

Ramené à l’échelle des nations, les empreintes écologiques révèlent plusieurs enseignements. « La taille et la composition de l’empreinte écologique par habitant d’une nation reflète le niveau de consommation de biens et services d’un habitant moyen de ce pays, mais aussi l’efficacité avec laquelle les ressources, et, en particulier, les combustibles fossiles, sont utilisées pour fournir ces biens et services. »

Pour la majorité des 25 pays présentant l’empreinte écologique par habitant la plus élevée, le carbone en formait la composante principale, en 2010. Le Canada figurait au 11e rang de ce top 25, derrière le Koweït, le Qatar, les Émirats arabes unis, le Danemark, la Belgique, Trinité-et-Tobago, Singapour, les États-Unis, Bahreïn et la Suède. (Dans le graphique ci-dessous, notez l’empreinte des cultures du Danemark et l’empreinte de l’élevage de l’Uruguay, qui se démarquent ostensiblement.)

Toutes les nations ne contribuent pas de la même façon au dépassement écologique global. « À titre d’exemple, si tous les habitants du globe avaient la même empreinte que celle d’un habitant moyen du Qatar, c’est de 4,8 planètes dont nous aurions besoin. Si chacun adoptait le mode de vie d’un Américain moyen, il nous faudrait 3,9 planètes. Pour un habitant de Slovaquie ou de Corée du Sud, le chiffre s’élève respectivement à 2 et 2,5 planètes, tandis qu’en Afrique du Sud et en Argentine, il atteindrait 1,4 et 1,5 planète. »

2014-10-01 18_27_29-lpr2014_resume_vf_web.pdf - Adobe Reader

Pour plus d’informations : «Face au grave déclin de la biodiversité planétaire, des solutions restent à notre portée», sur le site de la WWF.

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Ces 5 secondes qui ont détruit une vie

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FouineurL’incident que raconte Madeleine Roy, de l’émission Enquête, aurait dû être classé sans suite. Il en a été tout autrement.

Au petit matin du 16 décembre 2005, une préposée aux bénéficiaires que nous appellerons Stéphanie, supervisant seule une unité de 35 patients souffrant de l’Alzheimer, ramène vers sa chambre un patient de 77 ans ayant besoin qu’on lui change sa couche-culotte. En chemin, cet homme, que nous appellerons M. Charles, trébuche et se met à hurler.

Stéphanie se précipite vers le téléphone pour demander du renfort, mais retourne aussitôt s’occuper de son patient, qui s’agite et manque de se blesser. Elle tente de le relever, en vain, puisque les bas de M. Charles glissent sur le sol. Elle entreprend alors de le tirer par les bras jusque dans sa chambre, située à quelques pas de là. Dans son environnement familier, M. Charles finit par se calmer et se met difficilement debout, avec l’aide de Stéphanie.

Le lendemain, cette dernière se réveille brusquement quand elle réalise qu’elle a oublié de remplir un rapport d’incident. Avant même d’avoir la chance d’en glisser un mot à sa superviseure, les médias de la province s’emparent de l’affaire et diffusent sur toutes les ondes cinq secondes d’une vidéo où l’on aperçoit Stéphanie traîner M. Charles au sol.

La préposée ignorait que la fille de M. Charles avait dissimulé une caméra dans la chambre, et que toute la scène avait été filmée.

« Film d’horreur dans un CHLSD ». « Des gestes barbares ». Les manchettes sont brutales.

Faisant face à des accusations criminelles de voies de fait, Stéphanie sera acquittée au bout de deux ans de procédures. Le juge, qui a pu visionner l’ensemble de la vidéo, a dépeint une scène bien différente de celle véhiculée par les médias. Car, au-delà des cinq secondes qui ont détruit la vie de Stéphanie, il y avait plusieurs minutes de films qui ont aidé à mieux comprendre la situation.

« Elle ne semble pas perdre patience. [...] Aucune forme d’agressivité n’est perceptible [...] on voit par la suite madame, après avoir relevé monsieur, lui changer sa couche culotte [...] avec douceur et sollicitude. [...] Les gestes posés par Mme [...] en le traînant par terre [...] sont inappropriés, disgracieux, voire choquants, quand on n’en connaît pas le contexte », dit le jugement.

Dans son texte publié sur le site d’ICI Radio-Canada, Madeleine Roy fait état du lourd tribut payé par Stéphanie, qui, aux dires de ses supérieurs, était pourtant une bonne employée.

« Certes, elle avait commis une faute professionnelle en tirant M. Charles sur le sol et en omettant de déclarer l’incident, mais cela méritait-il un congédiement ?  Cela méritait-il un procès criminel ? Cela méritait-il d’avoir à mettre une croix sur sa carrière ? »

Elle a commis une erreur de jugement, mais la fille de M. Charles aussi. Et certains médias, en omettant tout contexte, l’ont cloué au pilori.

« C’était l’enfer, j’ai été traumatisée de ça. […] J’ai été obligée de recommencer ma vie à zéro. »

Quel gâchis.

Pour plus d’informations : « Une vidéo de 5 secondes brise la vie d’une bonne préposée », sur Ici.Radio-Canada.ca.

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PKP et les finances publiques

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Blogue EconomieLe Québec, comme presque toutes les sociétés développées, a un problème d’argent. Il doit réduire ses dépenses pour ne pas alourdir une dette qui pourrait devenir ingérable et inquiéter ses créanciers à qui il emprunte 15 milliards de dollars par année pour ajouter à la dette ou remplacer les titres d’emprunt venant à échéance.

15 milliards de dollars, ça ne change pas le monde, mais… Une fois au gouvernement les partis politiques mesurent très bien l’ampleur de l’enjeu et font de l’équilibre budgétaire une priorité. Hélas, il arrive qu’ils traitent encore ce problème avec une insoutenable légèreté quand ils sont dans l’opposition.

C’est le cas de Pierre Karl Péladeau, qui trouve que le gouvernement noircit le portrait des finances publiques du Québec et qui critique les mesures d’austérité au nom d’une défense unilatérale du modèle québécois. Comme François Legault, je me demande s’il a bien lu les innombrables articles écrits sur l’état lamentable des finances publiques dans les rubriques Le Québec dans le rouge publiés dans ses médias. Ou s’il se souvient de ses incessants efforts de redressement quand il était à la tête de son entreprise qu’il a sauvée en coupant inlassablement dans les dépenses.

Je trouve dommage que l’intervention de M. Péladeau au Devoir donne de l’eau au moulin à ceux qui nient l’existence d’un problème ou prétendent le régler facilement en haussant les taxes et impôts.

Le premier groupe, je les appelle les négationnistes. Dans leur univers parallèle, 200 milliards de dollars de dette ce n’est rien ou si peu de choses. Ils vont nous dire que le déficit des caisses de retraite n’est pas encore une dette, que la Grèce fait pire ou que les paiements d’intérêts sur notre dette ne sont pas plus élevés qu’avant.

Vrai, pourvu qu’on parte du principe que l’État québécois peut se soustraire à ses obligations envers ses employés, qu’atteindre la situation de la Grèce devienne un objectif excitant, que les taux d’intérêt demeureront pour l’éternité au niveau plancher des dernières années et que les créanciers sont sourds, muets et aveugles.

Le deuxième groupe est tout aussi déconnecté. Pour eux, nos programmes sociaux sont sacrés, doivent être maintenus dans leur intégralité et à tout prendre devraient être plus nombreux et plus généreux.

Qu’importe si le poids des dépenses publiques dans le PIB est 25 % plus élevé au Québec qu’en Ontario, les services dont nous bénéficions en valent largement le coût et c’est tout à notre honneur que le «modèle québécois» est plus égalitaire. Toute remise en question ou révision des programmes est un outrage au modèle québécois et doit être vivement dénoncée.

Pour les défenseurs de cette thèse, l’équilibre des finances publiques est un jeu d’enfant et le manque à gagner de 3,7 milliards de dollars ne les émeut pas outre mesure. Il s’agit tout simplement d’appareiller les besoins illimités de l’État et l’argent des contribuables. Cet argent est abondant et il suffit d’aller le piger à Ottawa, à Westmount ou dans les îles Caïman, selon que vous soyez plus nationaliste que socialiste.

Les fascicules publiés la semaine dernière par la Commission d’examen sur la fiscalité tracent un portrait plutôt accablant du fardeau fiscal des Québécois.

Nous sommes déjà plus imposés que les autres Canadiens. L’impôt sur le revenu payé par les Québécois à leurs deux gouvernements correspond à 12,3 % du PIB contre 11,9 % en Ontario, 10,8 % dans le reste du Canada, 8,2% aux États-Unis, 8,5 % en moyenne dans les pays de l’OCDE et 8,9 % en moyenne dans ceux du G7. Ce n’est pas rien. Nous sommes les champions nord-américains des impôts directs et nous aspirons déjà à la couronne mondiale. Mais il faudrait faire plus.

Nous sommes aussi très performants quand il s’agit de faire payer les «riches». Ceux qui déclarent des revenus de plus de 100 000 dollars par année ne représentent que 4,8 % des contribuables, mais ils paient 35,9 % des impôts. Le taux marginal d’imposition est atteint avec des revenus de 135 000 dollars au Québec alors qu’un Ontarien doit gagner 220 000 dollars pour atteindre ce palier.

S’il en est ainsi, c’est qu’il n’y a pas suffisamment de «riches» au Québec. Pour maintenir le modèle québécois à flot, il faut aussi taxer goulûment les contribuables qui gagent aussi peu que 50 000 dollars et plus par année.

Oui, mais ne sommes-nous pas la juridiction la plus sympathique aux familles, un autre trait de notre généreux caractère ? En effet, le fardeau fiscal des Québécois est un tantinet plus avantageux si vous avez le bonheur d’avoir deux enfants et le malheur de ne pas gagner plus que 56 676 dollars… à deux parents.

Nous sommes aussi les champions canadiens en matière de taxation avec la taxe de la vente la plus élevée au pays avec la Nouvelle-Écosse et avec la taxe sur les carburants la plus coûteuse.

Quant aux entreprises, il n’y a qu’au Québec où on a augmenté le taux d’imposition entre 2000 et 2014 au pays. Les taxes sur la masse salariale et les cotisations sociales prélevées sont de loin les plus élevées au Canada. Les entreprises québécoises paieraient 2,9 milliards de dollars de taxes en moins si elles étaient imposées au même niveau que les entreprises ontariennes.

J’admire le cran et le sang-froid de ceux qui nous disent qu’il suffit de taxer davantage les entreprises et les riches pour financer notre État magique. Les Québécois ne vivent pas sur une île déserte et les contribuables les plus avantagés par la vie ont souvent la malchance de parler anglais et d’être mobiles.

* * *

À propos de Pierre Duhamel

Journaliste depuis plus de 30 ans, Pierre Duhamel observe de près et commente l’actualité économique depuis 1986. Il a été rédacteur en chef et/ou éditeur de plusieurs publications, dont des magazines (Commerce, Affaires Plus, Montréal Centre-Ville) et des journaux spécialisés (Finance & Investissement, Investment Executive). Conférencier recherché, Pierre Duhamel a aussi commenté l’actualité économique sur les ondes du canal Argent, de LCN et de TVA. On peut le trouver sur Facebook et Twitter : @duhamelp.

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Six mois de prison pour un Canadien ayant vendu des coussins contrefaits

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SEATTLE – Un Canadien reconnu coupable d’avoir vendu par Internet des coussins gonflables contrefaits a été condamné par une cour américaine à une peine d’emprisonnement de six mois et à une amende de 33 000 $ à titre de dédommagement.

Abdul Masood Qayumi, de Surrey, en Colombie-Britannique, et son frère Abdul Masih Qayumi ont acheté des faux coussins gonflables de Honda, BMW et Toyota en Chine et les ont ensuite vendus sur eBay.

Des agents du département de la Sécurité intérieure des États-Unis ont acheté deux de ces coussins gonflables et les ont testés. Tous deux ne se sont pas déployés comme prévu. Pis encore, l’un des deux s’est enflammé et a brûlé de bout en bout.

Le juge John Coughenour a expliqué que la peine d’emprisonnement démontre le sérieux de l’offense, Qayumi ayant importé des produits de contrefaçon extrêmement dangereux aux États-Unis.

L’accusé a dit qu’il ne savait pas que les coussins étaient contrefaits et représentaient un danger. Le juge ne l’a pas cru, ajoutant que si Qayumi ne le savait pas, alors il était imprudent.

Les deux frères avaient enregistré des plaidoyers de culpabilité en juillet. Abdul Masih Qayumi doit recevoir sa sentence la semaine prochaine.

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La Défense nationale a baissé sa commande de munitions de 38 pour cent en 2014

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OTTAWA – Le ministère de la Défense nationale a réduit sa commande annuelle de munitions en 2014 afin d’économiser de l’argent — une révélation qui a soulevé de nouvelles questions, mercredi, sur le niveau de préparation du Canada dans sa bataille contre le groupe armé État islamique au Moyen-Orient.

La réduction de 38 pour cent a été suffisamment importante pour forcer d’autres ministères, particulièrement ceux des Travaux publics et de l’Industrie, à questionner l’impact de cette décision, selon des documents internes obtenus par La Presse Canadienne.

L’un de ces documents, une note adressée à la ministre des Travaux publics Diane Finley en date du 5 février 2014, indique que son ministère a tenté de convaincre les responsables de la Défense d’abandonner la réduction ou de la répartir sur quelques années.

Les responsables de la Défense ont rétorqué que c’était impossible puisque cela «empêcherait le ministère d’atteindre ses objectifs financiers».

Résultat: le budget 2014 pour les munitions est passé de 153 millions $ à 94 millions $.

Lors des premières phases de la guerre en Afghanistan, le ministère de la Défense nationale s’était retrouvé dans une situation semblable et avait dû effectuer une commande de dernière minute pour des munitions.

L’information a fait surface la même journée où le premier ministre Stephen Harper a déclaré à la Chambre des communes que les coûts de déploiement des forces spéciales dans le nord de l’Irak allait être débités du budget actuel du ministère.

M. Harper n’a pas précisé d’où viendrait l’argent en cas de mission de combat en Irak, qui faisait toujours l’objet de discussions derrière des portes closes, mercredi. Il n’a pas voulu non plus spéculer sur les coûts d’une telle mission.

Lors de la campagne électorale de 2006, les conservateurs avaient promis de financer les déploiements à l’étranger à travers un budget différent de celui de la Défense nationale.

La guerre en Afghanistan a reçu un statut spécial, mais pas la campagne de bombardements en Libye et la mission d’entraînement en Afghanistan, selon des documents préparés l’an dernier pour le ministre de la Défense, Rob Nicholson.

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Un agent de l’ASFC reconnaît qu’il est difficile de prévenir les suicides

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BURNABY, C.-B. – Des changements sont survenus à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) depuis le suicide d’une Mexicaine détenue, mais il n’existe pas de solutions faciles pour prévenir de tels décès, a affirmé un officier expérimenté de l’ASFC, mercredi.

Randy Lewis a déclaré, à l’enquête publique du coroner de la Colombie-Britannique sur la mort de Lucia Vega Jimenez, que les employés travaillant aux postes-frontières reçoivent de la formation en santé mentale et en prévention du suicide qui les aide à détecter les signaux d’alarme.

Il a ajouté que s’il n’y avait pas de contrainte budgétaire, il aimerait placer en détention les futurs déportés séparément des criminels reconnus, comme cela se fait déjà à Toronto et à Montréal.

Même si plusieurs détenus ont tenté de se suicider au cours des récentes années, il a fallu attendre la mort de Mme Jimenez pour que l’ASFC change ses procédures. Auparavant, l’agence confiait même la garde de certains de ses détenus à des gardiens de sécurité privés, a raconté M. Lewis.

Mme Jimenez a été arrêtée en décembre 2013 pour fraude dans les transports en commun. On avait alors découvert qu’elle avait déjà été déportée du pays après avoir réclamé en vain un statut de réfugiée.

La femme de 42 ans a ensuite été retrouvée pendue à l’intérieur d’une cabine de douche dans les cellules de l’ASFC situées dans le sous-sol de l’aéroport de Vancouver, qui sont sous la surveillance d’une agence de sécurité privée, Genesis Security. Elle est décédée quelques jours plus tard à l’hôpital.

L’enquête se déroule devant un jury, une procédure usuelle dans ce genre de cas.

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Entente fédérale-provinciale pour une stratégie nationale sur la démence

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BANFF, Alta. – Citant la crise imminente sur la démence, la ministre de la Santé, Rona Ambrose, s’est entendue avec ses homologues provinciaux et territoriaux, mercredi, afin d’élaborer une stratégie nationale pour la combattre.

Mme Ambrose a indiqué que la démarche en est à ses premiers balbutiements, mais elle a ajouté qu’il s’agissait d’une bonne nouvelle alors que le pays se prépare à composer avec le phénomène du vieillissement de la population et la démence qui l’accompagne parfois.

Près de 750 000 Canadiens souffrent actuellement de démence. On s’attend à ce que ce chiffre atteigne 1,4 million d’ici 2031.

Les maladies liées à la démence ont un impact économique estimé de 33 milliards $ par année, un chiffre qui pourrait grimper à 293 milliards d’ici 2040.

«Ce que nous avons tous admis, c’est ce gouffre qui attend notre système de santé en raison de la crise liée à la démence et nous savons qu’elle s’en vient», a déclaré Mme Ambrose lors d’une conférence de presse.

L’entente fédérale-provinciale permettra de réunir les études et les meilleures approches de chacun, et de présenter ces résultats lors de la prochaine rencontre ministérielle.

«Ce que nous savons, c’est que la sensibilisation est cruciale, la recherche est essentielle et c’est deux choses sont en place… mais aussi les soins, les meilleurs soins possibles. Et nous savons que la bonne recherche et la bonne pratique mène aux meilleurs soins possibles. C’est là que nous allons commencer.»

L’Organisation mondiale de la santé a qualifié la démence de sujet de préoccupation croissant en matière de santé publique.

Le Canada, par contre, est le seul pays du G7 qui ne s’est pas encore doté d’une stratégie nationale sur la démence, même s’il a promis l’an dernier en compagnie des autres membres du G8 — le groupe incluait alors la Russie — de trouver un traitement à l’Alzheimer d’ici 2025.

La ministre Ambrose a récemment annoncé des subventions de 31,5 millions $ pour la recherche sur la maladie d’Alzheimer, forme la plus fréquente de la démence.

Depuis 2006, le gouvernement a investi plus de 860 millions $ en appui à la recherche en neuroscience.

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Enfin une belle journée ensoleillée pour tous

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Une très belle journée pour tous : Course d'orientation, Land Art et VTT pour les 6è1. Course d'orientation, Land Art, VT
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Visite du quartier d Ueno

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C'est sous un magnifique soleil et 25 degrés que nous commençons notre nouvelle journée :-) En route pour le quartier d' Ueno!!Nous commençons notre visite par son parc, premier parc public du japon ouvert en 186
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Un retour en arrière sur les soins aux réfugiés serait trop complexe dit Ottawa

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OTTAWA – Le gouvernement fédéral affirme que revenir en arrière pour rétablir l’ancien système qui couvrait tous les soins de santé pour les demandeurs d’asile serait trop complexe et coûteux.

Cet argument fait partie de l’appel du gouvernement contre un jugement de la Cour fédérale rendu en juillet, qui a tranché que la couverture de soins actuelle contrevient à la Charte canadienne des droits et libertés.

Les changements apportés en 2012 au programme fédéral intérimaire de soins de santé ont réduit substantiellement la couverture offerte à ceux qui attendent que leur demande de statut de réfugié soit accordée.

Le geste inattendu a outré ceux qui défendent les droits des réfugiés. Ils ont traîné le gouvernement devant les tribunaux, soutenant que les modifications constituaient un traitement cruel et inusité.

La Cour a donné au gouvernement jusqu’au 4 novembre pour créer un nouveau système ou retourner à l’ancien, mais Ottawa dit avoir besoin de plus de temps.

L’avocat Lorne Waldman, qui représente les défenseurs des droits des réfugiés, remet en question cet appel de dernière minute, affirmant que le gouvernement aurait pu demander un sursis plus tôt.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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