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Visite du quartier

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Nous avons commencer par visiter les bureaux du gouvernement metropolitain de Tokyo. Arrivee dans le hall, une gentille vieille dame bénévol du centre d'information nius a fait visiter les lieux. Puis nous sommes monté
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Arrivée chez lhôte

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Nous sommes arrivée à 22h à la gare de Honancho ou nous avons été accueillies par Yoko-san. Apres 15min de marche, nous découvrons sa maison située dans une ruelle du quartier. Petite maison douille
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Safari à travers Etosha

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Après mon très court séjour en Zambie, il me reste encore quelques jours pour visiter un minimum la Namibie. Il me semble que le parc national d'Etosha est un must. De la taille de la Suisse, Etosha se situe au nord de Windhoe
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Un allié de Telus met en garde le Canada contre un marché plus concurrentiel

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GATINEAU, Qc – Le Canada doit apprendre des erreurs des pays européens ayant adopté des règles visant à maintenir bas le prix des communications sans fil, a indiqué mardi un ancien président de l’Organe des régulateurs européens des communications électroniques, l’Autrichien George Serentchny, en appui à la société Telus (TSX:T).

Les entreprises européennes doivent aujourd’hui vivre avec les conséquences imprévues d’un marché plus concurrentiel afin de garder la faveur de leur clientèle, a souligné M. Serentschy lors des audiences du CRTC sur les services sans fil mobiles de gros. Selon lui, à cause des bas prix, les réseaux de communications européens sont parmi les plus lents et les moins fiables du monde industrialisé.

Si les consommateurs canadiens ne sont pas satisfaits des prix offerts par les fournisseurs de service sans fils, une réduction de la qualité des services les mécontentera encore plus, a averti M. Serentschy.

L’ancien haut fonctionnaire autrichien a témoigné en compagnie des dirigeants de la société Telus, qui demandent que le CRTC maintienne le cadre réglementaire déjà existant.

Selon Telus, de bonnes raisons expliquent pourquoi le Canada est classé au troisième rang mondial au chapitre du taux de pénétration du marché du téléphone intelligent.

Le président et chef de la direction de Telus, Joe Natale, a rappelé que «les réseaux mobiles du Canada se classent parmi les plus rapides et les plus fiables au monde». Il a soutenu que «les abonnés canadiens profitent de vitesses types plus de deux fois supérieures aux vitesses offertes en Allemagne et en Italie, trois fois supérieures aux vitesses moyennes offertes aux États-Unis et en France, et neuf fois supérieures à celles offertes au Royaume-Uni».

«Tout cela n’est pas le fruit du hasard, c’est le résultat d’un cadre réglementaire qui a poussé les télécommunicateurs canadiens à devenir des chefs de file mondiaux en matière d’investissement privé dans les services mobiles», a déclaré M. Natale.

Le ministre fédéral de l’Industrie, James Moore, a déjà dit qu’il aimerait bien voir l’arrivée d’un quatrième joueur important sur le marché du sans fil pour concurrencer Telus, Rogers Communications (TSX:RCI.B) et Bell Canada (TXS:BCE).

M. Serentschy a mis en doute la sagesse de ce souhait. Il s’est demandé comment un pays comptant environ 35 millions d’habitants comme le Canada peut soutenir un quatrième fournisseur alors que l’Allemagne et ses 81 millions d’habitants n’y parviennent pas. Ajouter un quatrième joueur reviendrait à «créer un problème pour trouver une solution».

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L’Équipe canadienne d’intervention en cas de catastrophe pas équipée pour l’Ebola

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OTTAWA – L’Équipe canadienne d’intervention en cas de catastrophe (ÉICC) n’est pas équipée pour venir en aide aux pays d’Afrique de l’Ouest aux prises avec l’épidémie d’Ebola, affirme le premier ministre Stephen Harper.

Le Canada souhaite quand même faire tout ce qu’il peut pour aider les pays alliés, les gouvernement locaux et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la lutte contre l’épidémie de ce virus redoutable.

En réponse à une question du chef néo-démocrate Thomas Mulcair, durant la période de questions à la Chambre des communes,mardi, M. Harper a dit qu’il s’est entretenu avec la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, la semaine dernière, à propos de ce que le Canada fait pour l’aider.

Il mentionne aussi que 30 millions $ en aide additionnelle ont été annoncés par le ministre du Développement international, Christian Paradis, à New York, la semaine dernière.

Mais l’ÉICC – qui peut fournir des soins d’urgence de base, de l’eau potable, des réparations d’infrastructures simples et des communications avec les agences d’aide humanitaire – ne serait pas en mesure d’aider l’Afrique de l’Ouest.

L’équipe de 200 membres est surtout conçue pour des opérations d’urgence à la suite de catastrophes naturelles, telles que le tremblement de terre au Pakistan en 2005, le séisme en Haïti en 2010, ou le typhon de l’an dernier aux Philippines.

«Ma compréhension est que les compétences de l’ÉICC ne sont pas adaptées à cette mission particulière, mais nous examinons par quels moyens nous pourrions aider», a déclaré M. Harper.

La semaine dernière, le ministre Paradis a annoncé que le Canada ferait don de 30 millions $ à la lutte, à travers des organismes comme la Croix-Rouge canadienne ou d’autres agences d’aide. Le Canada avait déjà accordé 5 millions $ et des centaines de doses d’un vaccin expérimental pour enrayer l’épidémie. Des spécialistes canadiens et des laboratoires mobiles sont sur le terrain dans les régions touchées.

Le virus Ebola a déjà tué environ 3000 personnes en Sierra Leone, en Guinée, au Liberia, au Sénégal et au Nigeria depuis cet été. En fin d’après-midi, mardi, les autorités sanitaires américaines ont confirmé un premier cas d’Ebola aux États-Unis.

L’épidémie continue de se répandre et les experts de la santé préviennent que le nombre de cas d’infection pourrait exploser au cours des prochains mois si des mesures supplémentaires ne sont pas prises. Le taux de fatalité du virus est de 50 pour cent, selon l’OMS, bien que certaines régions voient ce taux grimper à 90 pour cent.

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Un skieur québécois a péri dans une avalanche au Chili selon des médias locaux

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SANTIAGO, Chili – Le skieur Jean-Philippe Auclair a été retrouvé mort mardi près du mont San Lorenzo, au Chili, après avoir été pris au piège dans une avalanche, rapportent plusieurs médias chiliens.

Les autorités chiliennes avaient confirmé mardi matin être à la recherche de deux touristes, un Canadien et un Suédois, sans les identifier.

La seconde victime serait Andreas Fransson, un autre skieur-extrême, célèbre pour ses prouesses. Le quotidien PubliMetro révèle que les corps des deux randonneurs ont été retrouvés sur un pan de montagne, qui se trouve en territoire argentin. Des secours provenant de ce pays seraient intervenus pour récupérer les corps.

Le secteur où a été retrouvé les deux victimes serait situé à 18 heures de route de la ville la plus proche.

Sur les réseaux sociaux, bon nombre d’athlètes et de personnalités du Québec honore la mémoire de celui qu’ils appelent tous «JP» Auclair.

Dans un hommage publié en ligne, plusieurs skieurs qui l’ont bien connu honore sa mémoire. «Véritable légende du sport, JP a été une force motrice derrière pratiquement chaque aspect du ski; comme un athlète, un designer, un innovateur et un ambassadeur», écrit Jason Mousseau.

Jean-Philippe Auclair est l’un des fondateurs de ski Armada. Le président de l’entreprise n’a pu confirmer le décès du skieur mais il ajouté qu’il était en contact avec les membres de sa famille.

L’Association Canadienne de Ski Acrobatique a réagi au décès de celui qui a agi comme un ambassadeur pour le ski d’ici. «L’Association est profondément choquée et attristée d’apprendre le décès soudain de JP Auclair. Il était un skieur mythique et sa présence dans le sport nous manquera terriblement. Nos pensées et prières sont avec sa famille et ses amis pendant ce temps difficile», a indiqué son directeur marketing, Jenn Johnson, à La Presse Canadienne

M. Auclair a profondément marqué le monde du ski au Québec, mais aussi ailleurs dans le monde. À l’automne 2013, le skieur était au nombre des aventuriers de l’année du prestigieux magazine National Geographic. Dans un article publié en ligne, le magazine décrivait le skieur québécois comme une «légende» de son sport.

«J’ai une curiosité et un désir d’apprendre. J’ai commencé ma carrière en tant que freestyler, ce qui m’a permis de voyager autour du monde. J’ai toujours été attiré par les montagnes et je souhaitais que des occasions se présentent afin de me permettre d’apprendre à skier sur les plus grandes montagnes», confiait-il dans le portrait qui lui était dédié.

Les skieurs étaient arrivés vendredi à Cochrane, dans la région d’Aysen en Patagonie, dans le sud du Chili. Ils marchaient dans la montagne lorsque l’avalanche est survenue, avait indiqué la police locale.

Le capitaine de la police de Cochrane, Alvaro Herrera a affirmé que les secours ont survolé une zone difficile d’accès près du mont San Lorenzo.

La radio locale affirme que les touristes faisaient partie d’une équipe de quatre personnes qui tournaient un documentaire. Ils ont pu alerter les autorités grâce à un téléphone satellite.

Les deux autres membres du groupe ont été secourus et ont dit à la police qu’un mur de roches et de neige les a piégés en tombant de la montagne.

Le ministère des Affaires étrangères du Canada a indiqué mardi soir qu’il avait pris connaissance de rapports indiquant qu’un citoyen canadien aurait été pris dans une avalanche et que les agents consulaires canadiens étaient en contact avec les autorités locales pour obtenir davantage de renseignements.

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Les blessures à la tête peuvent altérer le comportement des ados dit une étude

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TORONTO – Les adolescents ayant subi une commotion cérébrale ou toute autre blessure traumatique au cerveau sont plus susceptibles d’adopter des comportements nuisibles, indique une nouvelle étude. Cette tendance est particulièrement évidente chez les filles.

Les auteurs de l’étude ont étudié 13 sortes de comportement destructeur, comme la tentation du suicide, l’usage de marijuana et la consommation d’alcool, parmi 9300 élèves ontariens du secondaire.

Selon les recherches, les filles ayant subi une blessure au cerveau sont plus enclines à fumer, à intimider, à être tentée par le suicide ou à ressentir une détresse psychologique.

Selon celle qui a dirigé cette recherche, la Dre Gabriela Ilie, de l’hôpital St. Michael de Toronto, cette disparité comportementale entre les filles et les garçons est peut-être attribuable à leurs différences biologiques et sociales.

Selon les auteurs de la recherche, tout coup à la tête résultant en une perte de conscience d’au moins cinq minutes ou nécessitant une hospitalisation d’au moins une nuit est considéré comme une blessure traumatique au cerveau.

La Dre Ilie souhaite que les parents, les médecins, les enseignants et les entraîneurs prennent au sérieux ces blessures car leurs effets peuvent affecter les «années formatrices» des élèves. Ils doivent donc se montrer plus vigilants envers ces adolescents, leurs blessures risquant d’exacerber des problèmes de santé mentale.

L’étude a été publiée dans le journal en ligne PLOS ONE.

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Le Canada en 4e position d’un classement en fonction du bien-être des aînés

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NEW YORK, États-Unis – Le Canada figure en quatrième position d’un classement de 96 pays en fonction du niveau de bien-être des personnes âgées.

La Norvège figure au sommet de la liste, suivie par la Suède, la Suisse, le Canada et l’Allemagne. Les États-Unis sont en huitième position, le Japon en neuvième, la Chine en 48e, la Russie en 65e et l’Inde, en 69e. L’Afghanistan ferme les rangs.

Les 13 indicateurs recensés incluent l’espérance de vie, la couverture des régimes de retraite, l’accès aux transports en commun et le taux de pauvreté des gens âgés de plus de 60 ans.

Certains pays n’ont pu être inclus dans le classement, des renseignements étant impossibles à trouver. L’organisme derrière l’indice Global AgeWatch, HelpAge, affirme toutefois que les 96 pays de la liste abritent environ 90 pour cent de la population mondiale âgée de 60 ans et plus. La mission de HelpAge est d’aider les aînés à lutter contre la discrimination, à surmonter la pauvreté et à mener des vies sécuritaires et actives.

Selon les données de l’organisme, il y a environ 868 millions de personnes de 60 ans et plus dans le monde, soit près de 12 pour cent de la population mondiale. Ce chiffre devrait passer à 2,02 milliards d’ici 2050, ou 21 pour cent du monde. Dans certains pays, cette proportion sera de plus de 30 pour cent.

Il s’agit de la deuxième édition du rapport. Cette nouvelle mouture a porté une attention spéciale aux régimes de retraite et leur rôle dans le maintien d’une vie active et autonome. Le rapport félicite plusieurs pays latino-américains, dont la Bolivie, le Pérou et le Mexique, pour les mesures qu’ils ont prises pour accorder l’aide financière aux personnes âgées qui n’ont pas contribué au régime lorsqu’elles étaient plus jeunes. Le gouvernement péruvien a établi en 2011 un programme de retraite qui donne 90 $ tous les deux mois aux personnes âgées vivant en situation de pauvreté extrême.

Selon HelpAge, seulement la moitié de la population mondiale peut s’attendre à recevoir une pension de base à l’âge d’or.

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Accès à l’information au Québec les champions de l’obstruction

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Les policiers de la SQ et les fonctionnaires de la Ville de Québec sont parmi ceux qui font le plus rager les citoyens et les entreprises qui ont recours à la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des rensei­gnements personnels — communément appelée Loi d’accès à l’information. C’est ce que révèle le premier palmarès des demandes de révision auprès de la Commission d’accès à l’information du Québec (CAI).

Un palmarès qui fut tout sauf simple à bâtir ! Car contrairement à la pratique en vigueur au gouvernement fédéral, le rapport annuel de la CAI ne fait pas état des plaintes reçues par chacun des ministères, organismes ou sociétés d’État.

Pour obtenir une réponse, il a donc fallu à L’actualité plusieurs semaines de démarches.

Nous avons demandé à la CAI, l’organisme responsable de l’application de la Loi, de nous fournir la liste des organisations qui ont reçu, au cours des trois dernières années, le plus grand nombre de demandes de révision — la voie à suivre lorsqu’on est insatisfait de la réponse d’un ministère ou d’un organisme, soit en raison des délais trop longs, de la censure ou de la disponibilité des documents.

Surprise ! La CAI a exigé que nous formulions une demande d’accès à l’information pour l’obtenir ! La Commission affirme que ces données n’existent pas et qu’il lui faut bâtir cette liste pour la première fois.

Comment la CAI fait-elle pour déterminer la performance de chacun des ministères et organismes si elle ne sait pas lesquels reçoivent le plus de plaintes ? Comment savoir qui doit améliorer ses pratiques ? «La Commission n’a ni les ressources ni les moyens pour se prêter à cette opération d’envergure, explique la porte-parole, Isabelle St-Pierre. Ce n’est pas notre rôle de compiler les statistiques des bons et des mauvais élèves.»

La CAI dit agir comme un tribunal, sans aucun rôle de sensibilisation ou d’amélioration des pratiques.

Nous nous sommes donc tournés vers le Secrétariat à l’accès à l’information — une division du ministère des Institutions démocratiques —, de qui relève la formation et la sensibilisation des fonctionnaires qui appli­quent la Loi. Là encore, aucune liste des plaintes ou de demandes de révision n’existe. Aucun rapport annuel qui permettrait, en un coup d’œil, de savoir quels organismes ou ministères réussissent bien ou non.

Pour obtenir une telle liste, un fonctionnaire a conseillé une fois de plus à L’actualité de… faire une demande d’accès à l’information !

Alors que l’État québécois révise ses programmes pour réduire ses dépenses, il est difficile d’imaginer que la CAI aura plus de ressources pour compiler ces données et sanctionner les mauvais élèves. Le ministre Jean-Marc Fournier, de qui relève la Loi d’accès à titre de responsable des Institutions démocratiques, planche actuellement sur une réforme de la Loi qui viserait une plus grande transparence et une divulgation proactive dans les ministères.

Il serait bien de commencer par avoir une idée des ministères, villes et organismes qui vont bien, et de ceux qui vont mal, dans l’application de la Loi. Un bilan annuel et public serait un minimum afin de savoir où mettre la pression pour changer les pratiques.

Après 20 jours, nous avons reçu une réponse partielle de la CAI, ce qui nous a permis de créer ce premier palmarès de l’insatisfaction des utilisateurs de la Loi sur l’accès. Nous avons reçu une pile de feuilles — 20 pages — sur lesquelles les noms des organismes et ministères apparaissaient en ordre alphabétique. Nous avons ensuite compilé les informations.

Depuis trois ans, 4 339 demandes de révision ont été déposées à la CAI.

Voici la liste des 15 organismes, ministères, villes ou institutions qui ont reçu le plus de demandes de révisions depuis trois ans :

 

ACTU_POLITIQUE

Et pour ceux qui se sont rendus jusqu’à la fin du texte, voici, en bonus, les cinq organismes, ministères ou villes qui suivent dans ce classement :

16- Ville de Laval  37

17- Ministère de la Santé et des Services sociaux  36

18- Ville de Longueuil  35

19- Ville de Lévis  34

20 – Ministère de l’Éducation 32

Pour conclure, le palmarès est évidemment basé sur les demandes de révision, la seule mesure qui nous permet actuellement d’avoir une idée de l’insatisfaction des utilisateurs. Il est impossible de savoir si toutes les plaintes étaient fondées, tout comme il est impossible de connaître le nombre de demandeurs insatisfaits qui baissent les bras et ne portent par leur dossier en révision.

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Ottawa veut renverser la décision de la GRC de changer ses chapeaux de fourrure

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OTTAWA – Le gouvernement conservateur renverse la décision de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) de remplacer ses chapeaux en fourrure de rat musqué par des coiffes plus respectueuses envers les animaux.

La ministre de l’Environnement, Leona Aglukkaq, a affirmé à la Chambre des communes que le ministre de la Sécurité publique avait exigé de la GRC qu’elle change cette décision.

La GRC a récemment écrit à un groupe de défense des droits des animaux qu’elle avait trouvé un chapeau assez chaud pour les températures hivernales et qu’elle commencerait à les acheter pour les policiers.

L’association pour la protection des animaux à fourrure soutient que les rats musqués sont capturés dans des pièges à mâchoires, qui peuvent les rendre vulnérables à la météo, à la déshydratation, à la faim et aux prédateurs avant de mourir.

Selon cette association, un seul chapeau d’un agent de la GRC nécessite la peau d’au moins trois rats musqués.

Mme Aglukkaq, qui vient du Nunavut, est un grand défenseur des trappeurs.

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L’ambassadrice de l’UE veut la levée du visa obligatoire pour certains citoyens

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HALIFAX – L’ambassadrice de l’Union européenne à Ottawa s’est dite confiante que l’on réglera bientôt la question des visas obligatoires pour les citoyens roumains et bulgares désirant venir au Canada.

Certains diplomates craignent que la Roumanie et la Bulgarie bloquent la ratification de l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne si l’obligation d’obtenir un visa pour leurs citoyens n’est pas levée.

Marie-Anne Coninsx a déclaré que le visa obligatoire pour les Roumains et les Bulgares déplaît à l’Union européenne, qui l’a nettement fait savoir au premier ministre Stephen Harper. Selon elle, il est temps pour le Canada d’abandonner cette disposition. Elle a ajouté qu’on lui avait laissé savoir que le gouvernement canadien tentait de régler cette question.

Un porte-parole au ministère de l’Immigration et de la Citoyenneté a indiqué mardi dans un courriel qu’Ottawa tente d’éliminer les visas pour tous les pays européens. Rémi Larivière a cependant précisé que le gouvernement doit d’abord prendre en compte un certain nombre de critères lorsqu’il doit décider d’éliminer le visa, notamment le portrait socio-économique du pays en cause, les questions d’immigration et de sécurité nationale, et les droits de la personne.

Les commentaires de Mme Coninsx surviennent quelques jours après la visite à Ottawa du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et du président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, pour signer l’accord de libre-échange en compagnie du premier ministre Harper.

L’entente doit maintenant être ratifiée par chacun des pays signataires, ce qui ne devrait pas se faire avant 2016.

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Excavations Payette poursuit Hexagone pour le forcer à lui vendre ses actifs

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MONTRÉAL – L’entreprise Excavations Payette, qui soutient avoir un contrat en bonne et due forme pour l’achat d’une partie des actifs du Groupe Hexagone, le traîne devant les tribunaux pour tenter de le forcer à respecter l’entente.

Lundi, Investissements Hexagone avait confirmé la conclusion d’une «entente ferme» pour la vente «des actifs stratégiques» du groupe à une autre entreprise, soit le Groupe TCI de Laval. Les divisions des travaux municipaux et des grands travaux du Groupe Hexagone sont incluses dans cette transaction.

Mais Excavations Payette prétend avoir acheté ces mêmes actifs, soit ceux du secteur des travaux municipaux, par contrat signé le 18 juillet pour 17,3 millions $. Des conditions devaient toutefois encore être respectées de part et d’autre pour finaliser le tout.

Se jugeant flouée, l’entreprise affirme mardi avoir déposé une action en justice le jour même à Montréal.

Elle avance que le Groupe Hexagone prétend qu’elle n’a pas obtenu le financement nécessaire pour mener à terme la transaction: des allégations niées par Excavations Payette, qui affirme avoir déposé en août l’argent auprès des avocats du Groupe Hexagone.

Pourtant, le 18 août, le jour où Excavations Payette allègue avoir signé un contrat, Groupe Hexagone avait publié un communiqué pour indiquer qu’il «n’a pas conclu de transaction finale», tout en confirmant que des négociations se poursuivaient.

Par la suite, au début septembre, Hexagone aurait fait parvenir une lettre à Excavations Payette pour lui dire que même si elle continue de considérer son «entente d’achat d’actifs», Hexagone «a le droit de considérer et d’accepter une proposition différente provenant d’un tiers», rapporte Excavations Payette dans l’action déposée.

L’entreprise soutient qu’en vertu de leur entente, Groupe Hexagone devait signifier formellement son intention d’y mettre fin, ce qu’il n’a jamais fait.

Refusant d’abandonner malgré le manque de collaboration du vendeur, elle a convoqué une séance de signature de la transaction pour le 19 septembre. Hexagone y a envoyé ses avocats, mais sans les documents nécessaires, est-il allégué.

Selon Excavations Payette, ce n’est que lundi qu’elle a été informée qu’Hexagone avait accepté une autre offre d’achat, le vendeur ajoutant même que cette solution était devenue inévitable vu la rupture des négociations avec un autre acquéreur pour un secteur d’activité différent. Selon Excavations Payette, il n’est nulle part écrit dans l’entente qu’Hexagone peut mettre fin à l’entente pour cette raison.

Dans son action, elle demande à la Cour d’ordonner à Hexagone de compléter la transaction et se réserve le droit de réclamer des dommages.

Car Excavations Payette affirme notamment avoir encouru de nombreux frais et conclu des contrats avec des tiers pour réaliser le transfert des actifs, notamment la signature de baux pour de nouveaux locaux, l’achat d’équipement et l’embauche d’employés. Selon ses allégations, ces dépenses totalisent plusieurs millions de dollars.

La transaction annoncée lundi entre Hexagone et le Groupe TCI comprend la division des grands travaux et la division des travaux municipaux, de même que les actifs des filiales Géodex et Houle-H(2)O.

L’enseigne Hexagone, plombée par des problèmes financiers, regroupe les anciennes entreprises de l’homme d’affaires Tony Accurso.

Dans un communiqué publié en début de soirée, l’entreprise dit qu’elle contestera «vigoureusement» la poursuite qu’elle juge «mal-fondée». Hexagone soutient qu’elle était «dans son plein droit» lorsqu’elle a décidé de ne pas conclure la transaction envisagée avec Payette.

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La flotte de CF-18 sera rajeunie pour voler jusqu’en 2025

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OTTAWA – Le gouvernement Harper rallongera la vie de sa flotte vieillissante d’avions de chasse CF-18.

Ces avions sont un élément important de la défense canadienne. Ils seront donc modernisés de manière à pouvoir voler pour dix ans de plus, a annoncé Johanna Quinney, une porte-parole du ministre de la Défense, Rob Nicholson. La vie des CF-18 sera donc prolongée jusqu’à 2025.

Quatre des avions de la flotte sont présentement occupés par une mission de surveillance dans les pays baltes. Ces opérations font partie d’une mission de l’OTAN visant à rassurer les pays alliés de l’Europe de l’est ébranlés par l’annexion de la Crimée à la Russie et l’instabilité en Ukraine.

Le cabinet fédéral considère également fournir quelques appareils pour la mission menée par les États-Unis au Moyen-Orient pour lutter contre le groupe extrémiste État islamique.

Mme Quinney n’a pas précisé le montant qui serait injecté dans les réparations, qui iront de l’amélioration des systèmes électroniques au renforcement des cellules. Elle n’a pas non plus dit si cela aurait un impact sur la décision d’acheter de nouveaux chasseurs furtifs F-35 pour remplacer les CF-18.

La décision du gouvernement conservateur n’est pas entièrement inattendue. En octobre 2012, en lançant le processus d’évaluation des appareils, le gouvernement avait affirmé qu’il songeait à les modifier pour les utiliser plus longtemps.

Les CF-18 devaient initialement être retirés en 2020. Au début des années 2000, des améliorations ont été apportées, sur une dizaine d’années, aux systèmes d’armes et aux détecteurs. Le tout a coûté 1,8 milliard $ au gouvernement.

Des documents soumis au Parlement entre 2010 et 2012 indiquent que les CF-18 devaient être retirés après 7000 heures de vol. La limite absolue pour la cellule est de 8000 heures. Les derniers chiffres disponibles démontrent que la plupart des 77 avions avaient effectué en moyenne 5151 heures de vol en 2010.

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Gaétan Barrette annule des compressions de l’agence de la santé de Montréal

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QUÉBEC – Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a déclaré mardi que des compressions décidées par l’agence de la santé de Montréal seront annulées.

M. Barrette a affirmé que cette décision a été prise pour empêcher une diminution des services aux plus démunis qui aurait résulté de ces réductions budgétaires.

Selon des reportages, l’agence comptait notamment effectuer des compressions de 9,1 millions $ dans les soins de santé mentale et 8,8 millions $ dans le soutien à l’autonomie des aînés.

Lors d’un point de presse, M. Barrette a affirmé que ces diminutions ne correspondent pas aux objectifs «d’optimisation» qu’il a fixés au réseau de la santé.

L’agence de la santé de Montréal n’a pas fait de commentaire à la suite des déclarations de M. Barrette, qui s’est adressé à la presse avant une réunion des députés libéraux à l’Assemblée nationale.

Selon le ministre, ses directives, même si elles mènent à des diminutions de personnel, ne doivent pas porter atteinte aux services.

«Une coupure de services, ce n’est pas acceptable et ça vaut autant pour Montréal que pour le reste de la province», a-t-il dit.

M. Barrette a affirmé qu’il avait appris par les médias le détail des compressions décidées par l’agence montréalaise.

«J’étais très déçu d’apprendre ça aux nouvelles, comme tout le monde, a-t-il dit. C’est une chose que je ne savais pas. Je tiens à insister et réitérer le fait que les directives qui sont envoyées à toutes les agences du Québec sont des directives d’optimisation en excluant toute atteinte aux services.»

M. Barrette a déclaré qu’il a réagi en demandant à l’agence de Montréal d’annuler certaines des compressions qui touchent les services à la population.

«Des mesures ont été prises pour que ce soit annulé, il n’est pas question qu’il y ait de coupure, par exemple dans les allocations de fréquentation», a-t-il dit.

L’agence de la santé de Montréal souhaitait faire des réductions budgétaires totalisant 87,2 millions $, ont rapporté Radio-Canada et Le Devoir mardi.

Le cabinet de M. Barrette n’a pas donné le détail des sommes qui pourraient demeurer dans les services à la population.

Outre les programmes de santé mentale et pour l’autonomie des personnes âgées, les compressions visaient aussi les services de la santé publique, avec une somme de 983 566 $, ainsi que l’aide à la déficience intellectuelle et les troubles envahissants du développement, avec 2,3 millions $.

L’agence souhaitait également réduire l’administration de 17,1 millions $ et l’assurance salaire 3,1 millions $.

En Chambre, le premier ministre Philippe Couillard a affirmé que cette situation démontre la nécessité de réformer l’administration du réseau de la santé, tel qu’entrepris par M. Barrette.

«S’il y a quelque chose que ce triste épisode montre, c’est l’urgence de se débarrasser d’une partie des structures de gestion du système de santé pour prendre les ressources, les donner aux patients, a-t-il dit. Et je dirais que, si j’avais le moindre doute à cet effet, ces doutes sont dissipés suite à ce que j’ai lu ce matin.»

Tout comme M. Barrette, M. Couillard a affirmé que les efforts demandés au réseau de la santé, pour rétablir l’équilibre budgétaire, doivent se faire sans diminution de services.

«Ça ne peut se faire aux dépens des personnes vulnérables, notamment des personnes aînées et des personnes handicapées, a-t-il dit. Il n’est pas question, pour nous, d’accepter ce genre de scénario de quelque organisme public que ce soit.»

Le chef intérimaire péquiste Stéphane Bédard a estimé que M. Barrette a négligé ses tâches de gestion parce qu’il se concentre trop sur sa réforme administrative du réseau de santé, présentée la semaine dernière dans un projet de loi.

«Ce que je comprends de la réponse du premier ministre, c’est encore la faute des fonctionnaires, a-t-il dit. Finalement, des décisions aussi importantes, qui relèvent du ministre normalement, le ministre n’est pas au courant, il est trop pris dans ses débats de structures.»

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Ottawa est en retard de trois mois pour un outil de localisation de terroristes

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OTTAWA – Le gouvernement conservateur accuse trois mois de retard pour livrer un système de localisation qu’il continue de vanter comme un bon outil pour empêcher les terroristes ayant grandi au pays de se joindre à des conflits à l’étranger.

En vertu du périmètre de sécurité Canada-États-Unis, le gouvernement fédéral s’est engagé à commencer à accumuler des données à partir du 30 juin sur les gens qui quittent le Canada à bord de vols internationaux.

Cependant, les conservateurs ont manqué cette échéance parce que des changements législatifs et réglementaires sont requis avant que le plan ne puisse être en vigueur.

La porte-parole de l’Agence des services frontaliers du Canada, Esme Bailey, ne voulait pas révéler la nouvelle échéance pour le projet, disant seulement que l’information sur les changements proposés seraient fournie en temps et lieu.

Dans une entrevue diffusée le week-end dernier, le ministre de la Sécurité publique Steven Blaney a affirmé qu’il était important de savoir quand les gens quittent le pays et où ils vont.

Il a ajouté que le gouvernement travaille sur les outils, mais n’a pas parlé d’échéance manquée.

Un récent rapport fédéral souligne que le gouvernement connaissait l’existence de plus de 130 individus avec des connections canadiennes qui étaient à l’étranger et soupçonnés de soutenir des activités liées au terrorisme.

Une note de service de l’Agence des services frontaliers dit que l’information du nouveau système de localisation pourrait être fournie à la GRC et aux services de renseignements de sécurité canadien.

Pour l’instant, le système ne fait qu’échanger les données sur les entrées au pays colligées à la frontière entre le Canada et les États-Unis — pour que l’information sur les entrées servent de données de sortie pour l’autre pays.

Les deux premières phases ont été limitées aux étrangers et aux résidents permanents canadiens et américains mais pas aux citoyens des deux pays.

Le programme devait être élargi au 30 juin 2014 pour inclure le partage d’information sur tous les voyageurs qui traversent la frontière.

De plus, le Canada espérait commencer à collecter de l’information sur les gens qui quittent le pays par avion — ce que les États-Unis font déjà — en obligeant les compagnies aériennes à fournir ses données de passagers pour les vols internationaux.

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L’UPAC arrête un employé de Pomerleau qui offrait des infos au concurrent SNC

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MONTRÉAL – L’Unité permanente anticorruption (UPAC) a arrêté mardi un chargé de projet de la firme de construction Pomerleau en lien avec le mégaprojet de 3,7 milliards $ de reconstruction de l’échangeur Turcot, à Montréal.

Éric Carbonneau aurait tenté de livrer des informations stratégiques sur la soumission de son propre employeur à un soumissionnaire concurrent, SNC-Lavalin, en échange d’une somme qui n’a pas été précisée mais qui atteindrait «plusieurs millions de dollars», selon l’UPAC.

L’enquête a permis l’arrestation d’Éric Carbonneau en seulement trois semaines après que SNC-Lavalin eut elle-même signalé aux policiers avoir été approchée par le suspect, ce qui réjouit au plus haut point le commissaire à la lutte contre la corruption, Robert Lafrenière.

«Je trouve ça encourageant. Nous avons des gens de bonne foi qui savent où porter plainte, qui savent qu’il y aura des choses de faites», a-t-il dit.

Éric Carbonneau, qui est totalement inconnu des policiers, aurait agi seul, a indiqué pour sa part le capitaine André Boulanger, de la Sûreté du Québec, responsable des enquêtes sur la corruption à l’UPAC.

Il a précisé que l’accusé a été arrêté au moment où il s’apprêtait à livrer les informations stratégiques en échange de l’argent.

Il fait face à des accusations de fraude et de commission secrète.

«Le stratagème utilisé par l’accusé Éric Carbonneau témoigne d’un manque profond d’éthique, alors que son intérêt personnel a défié les règles strictes du cadre des appels d’offres publics», a déploré Robert Lafrenière.

La firme Pomerleau, qui a été informée de l’affaire mardi matin, a réagi en fin de journée, par voie de communiqué. Pomerleau se dit «stupéfait et extrêmement déçu d’apprendre qu’un employé aurait tenté de vendre de l’information confidentielle de Pomerleau touchant ce projet, afin d’en tirer des bénéfices personnels». L’employé, qui était en poste depuis moins de deux ans, a immédiatement été suspendu sans solde. Des plaintes ont officiellement été déposées contre lui.

La firme Pomerleau fait partie du consortium Groupement Nouvel échangeur, avec Verreault, Dessau et Roche, qui tente d’obtenir le contrat public pour le mégaprojet de réfection de l’échangeur Turcot. Dans son communiqué, elle affirme avoir collaboré avec les enquêteurs de l’UPAC, «qu’elle remercie de leur vigilance, et réitère son engagement envers le respect des plus hautes normes d’éthique et d’intégrité».

Le ministère des Transports du Québec a confirmé que le processus d’appel d’offres demeurait conforme, à la suite de la nouvelle. Le choix du soumissionnaire retenu est toujours prévu d’ici la fin décembre, et l’UPAC a confirmé que les candidats au projet sont toujours admissibles, puisque les faits reprochés sont l’oeuvre d’une seule personne, et non d’une entreprise.

Selon le ministère, troisgroupes sont dans la course pour obtenir le contrat pour ces travaux d’envergure, qui doivent être complétés pour 2020.

M. Lafrenière a dit n’être guère surpris par cette tentative, même si SNC-Lavalin est une firme particulièrement surveillée depuis que les affaires de corruption et de collusion défraient les manchettes sur une base quotidienne.

«Malgré toutes les mesures en répression, en vérification et en prévention, il y a encore des gens qui se pensent au-dessus de la loi», a indiqué M. Lafrenière en conférence de presse.

«Nous recevons, bon an mal an, environ quatre dénonciations par jour qui nous viennent des citoyens. Il y a encore beaucoup de choses à faire», a-t-il ajouté.

En fait, le commissaire ne cache pas qu’il serait davantage préoccupé par la situation inverse. «Si on tombait ‘silence radio’ sur tous ces événements, là ce serait plus inquiétant», a-t-il confié aux journalistes.

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Finances publiques Legault doute de la sincérité de Pierre Karl Péladeau

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QUÉBEC – François Legault ne croit pas en la sincérité de Pierre Karl Péladeau lorsqu’il dénonce l’austérité budgétaire et défend le modèle québécois.

Le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ) a dit se souvenir, mardi, de conversations au cours desquelles l’actionnaire de contrôle de l’empire Québecor lui tenait un tout autre discours.

Le favori putatif dans la campagne à la direction du Parti québécois semblait alors tout aussi soucieux de l’état des finances publiques que la CAQ, a raconté le leader caquiste en point de presse.

«J’ai souvent discuté avec Pierre Karl Péladeau, je croyais qu’il était au moins aussi préoccupé que moi de la situation des finances publiques et de la dette du Québec. Je suis surpris de voir son virage à 180 degrés», a déclaré M. Legault.

Selon lui, le «changement de discours» de M. Péladeau est d’autant plus surprenant que son empire médiatique a multiplié ces dernières années les reportages tonitruants sur les dépenses trop élevées et l’endettement du Québec.

«Quand Pierre Karl Péladeau dit qu’il ne faut pas se préoccuper de l’austérité, qu’il faut, dans le fond, oublier la dette, je me demande où était Pierre Karl Péladeau au cours des dernières années. Il n’a pas lu ses propres journaux. On a parlé du Québec dans le rouge pendant des mois et des mois. Là, Pierre Karl Péladeau vient nous dire que le Québec n’est plus dans le rouge, Pierre Karl Péladeau met ses lunettes roses, Pierre Karl Péladeau est complètement déconnecté», a-t-il houspillé.

Dans une entrevue _ sollicitée par son entourage _ au quotidien Le Devoir, le député péquiste de Saint-Jérôme dénonce en effet les compressions budgétaires et reproche au gouvernement libéral de brosser un tableau alarmiste des finances publiques. Il vante aussi les vertus de l’État providence incarné par le «modèle québécois», même si cela signifie des impôts plus élevés ici qu’ailleurs en Amérique.

Pour le chef de la CAQ, la profession de foi de M. Péladeau en faveur de la social-démocratie n’est rien d’autre que «de la petite politique» pour séduire l’aile gauche du Parti québécois.

«Je pense que l’explication vient sûrement du fait qu’il veut se rapprocher des militants péquistes un peu plus à gauche en changeant son image et en essayant d’aller gagner des votes et des appuis pour la course au leadership. Mais, franchement, je pense qu’il fait une grave erreur de laisser entendre que ce n’est pas important», a-t-il estimé.

M. Péladeau maintient le suspense et reste muet sur son intention de se porter candidat ou non à la succession de Pauline Marois. Mais les militants, eux, semblent déjà l’avoir choisi. Un récent sondage Léger Marketing publié dans Le Devoir accorde 53 pour cent des appuis à l’homme d’affaires richissime contre 2 à 7 pour cent pour les autres figurants potentiels.

Chose certaine, «PKP» dérange ses adversaires politiques, que ce soit à la CAQ ou chez les libéraux.

Le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, a d’ailleurs jugé nécessaire mardi de condamner les propos «irresponsables» de M. Péladeau sur l’état des finances publiques.

«Il se positionne en disant que la situation des finances publiques n’est pas sérieuse, il se positionne en disant que le Québec n’a pas de problème budgétaire. Ce sont des propos qui sont graves, ce sont des propos qui sont totalement irresponsables et ce sont des propos qui doivent être dénoncés», a-t-il soutenu.

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Philippe Couillard défend une étude de faisabilité pour un lien ferroviaire

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MONTRÉAL – Le premier ministre Philippe Couillard a défendu mardi la décision de son gouvernement d’injecter jusqu’à 20 millions $ dans une étude de faisabilité sur un nouveau lien ferroviaire visant à faciliter l’accès à la fosse du Labrador.

Certains analystes craignent que le recul du prix du minerai de fer, qui a atteint son creux des cinq dernières années, ne retarde le développement de la fosse du Labrador, où se trouvent les plus importantes réserves entre le Québec et Labrador.

«Ça serait une grave erreur de ne rien faire en attendant que le prix des métaux remonte, a affirmé M. Couillard, mardi, en marge du forum Objectif Nord, à Montréal. Il serait trop tard. Nous serions dépassés par des concurrents.»

L’affaiblissement de la demande, provoqué par le ralentissement de la croissance économique en Chine ainsi qu’une hausse des réserves en Australie, a notamment fait chuter le prix de la tonne à 78 $ US cette semaine, soit son plus faible niveau depuis septembre 2009.

L’analyste Jackie Przybylowski, de Valeurs mobilières Desjardins, croit que la tonne de minerait pourrait se transiger aux alentours de 100 $ US d’ici le milieu de l’hiver, mais elle demeure prudente.

«Nous nous attendons à une remontée des prix au cours de l’hiver (mais) ça ne sera pas à des sommets», indique-t-elle.

Selon la mesure proposée dans le dernier budget du ministre des Finances Carlos Leitao, l’étude de faisabilité se penche sur la construction d’un nouveau lien ferroviaire entre le port de Sept-Îles, sur la Côte-Nord, et la fosse du Labrador.

Conscient du contexte minier actuel, M. Couillard refuse néanmoins de demeurer les bras croisés, puisque selon lui, des entreprises ont déjà démontré de l’intérêt à l’endroit du projet.

«Les entreprises qui nous parlent ont toutes cela dans leurs cartons, la fluctuation (des prix), et disent être intéressées même dans l’ambiance actuelle, a-t-il dit. On a besoin d’un signal clair du Québec en ce qui a trait au lien ferroviaire.»

Pourtant, en février 2013, le CN (TSX:CNR) citait les conditions du marché pour suspendre une étude de faisabilité que la société menait en partenariat avec la Caisse de dépôt et placement du Québec ainsi que six autres compagnie minières.

L’entreprise ferroviaire faisait alors valoir qu’il serait difficile d’obtenir les volumes de minerai nécessaire pour justifier la construction d’une nouvelle infrastructure.

En début de journée, mardi, à l’occasion d’une allocution, le ministre de l’Énergie et responsable du Plan Nord, Pierre Arcand, a confirmé que l’étude de faisabilité «avançait rapidement», laissant entendre qu’elle pourrait être complétée dans environ un an.

«Des travaux géotechniques et d’arpentage sont déjà en cours au moment où on se parle et notre gouvernement a déjà des ententes avec différents partenaires privés pour bonifier l’étude», a-t-il dit.

M. Arcand a rappelé qu’il existait actuellement deux liens ferroviaires dans la région de la fosse du Labrador, mais qu’ils appartenaient à des sociétés privées, ce qui force certaines entreprises minières à débourser d’importantes sommes en frais de transport.

Le lien ferroviaire à l’étude vise justement à réduire les dépenses de transport des sociétés intéressées à s’établir dans le secteur de la fosse du Labrador.

«Le 20 juillet nous avons envoyé des lettre à différentes minières, a souligné M. Arcand. Il y a de l’intérêt. À partir du moment où nous avons une ou deux (minières), il y a un effet d’entraînement.»

D’après ce qu’a laissé entendre M. Arcand, la gestion du nouveau lien ferroviaire — s’il devait voir le jour — se ferait par le biais d’une société en commandite, pour assurer «qu’il n’y ait pas une minière qui prenne le contrôle du lien par rapport à une autre».

Plusieurs entreprises ont des activités dans la fosse du Labrador, dont Rio Tinto, Arcelor Mittal, New Millenium Iron (TSX:NML), Adriana Resources et Champion Iron Mines.

En juillet dernier, Labrador Iron Mines Holdings (TSX:LIM) a décidé d’interrompre ses activités pour l’année à ses installations où travaillaient jusqu’à 370 personnes l’an dernier.

L’exploitation minière s’est amorcée en 1954 dans la fosse du Labrador, qui s’étend sur 1600 kilomètres.

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Les ministres de la santé du Canada doivent faire de la démence leur priorité

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BANFF, Alta. – Les demandes de plus en plus pressantes pour une stratégie nationale sur la démence sont tout en haut de l’ordre du jour d’une rencontre annuelle entre la ministre de la Santé Rona Ambrose et ses homologues provinciaux.

Les ministres provinciaux et fédéral discuteront aussi de tabac aromatisé, d’abus de médicaments sous ordonnance et du prix des médicaments mais la démence est considérée d’une importance cruciale étant donné les possibles retombées sur l’économie et la société canadienne vieillissante.

«La démence et la maladie d’Alzheimer est un dossier non partisan. Il faut que ce soit l’affaire de tous, a affirmé Mimi Lowi-Young, la présidente de la Société Alzheimer du Canada. Il n’y a pas de limites à la démence. Et nous devons collectivement — avec les gouvernements provinciaux et fédéral — se rassembler pour travailler sur ce grave problème.»

La ministre Rona Ambrose a récemment annoncé un financement de 31,5 millions $ pour la recherche sur cette maladie, un investissement que Mme Lowi-Young appelle «un bon début».

Mais les maladies liées à la démence coûtent environ 33 milliards $ par année à l’économie canadienne, un chiffre qui risque de passer à 293 milliards d’ici 2040, à cause du vieillissement de la population. Présentement, environ 750 000 Canadiens souffrent de démence. On s’attend au double de cas d’ici 2031, et le service parlementaire du budget a mentionné dans le rapport sur la viabilité fiscale de 2014, publié mardi, que ni le fédéral ni les provinces n’étaient préparés à faire face aux défis du vieillissement de la population.

Le ministre de l’Île-du-Prince-Édouard, Doug Currie, a affirmé que les provinces et territoires étaient impatients de lancer le groupe de travail national sur la vieillesse qui a été annoncé cet été à Charlottetown.

L’Organisation mondiale de la santé considère que la démence est un problème de santé publique grandissant. Le Canada est toutefois le seul pays du G7 sans programme pour cette maladie. Il s’est toutefois engagé l’an dernier, avec les autres pays du G8, à trouver un traitement pour l’Alzheimer d’ici 2025.

Ebola: pas de panique

Mardi, ils ont tenté de rassurer les Canadiens, après la confirmation du premier cas d’Ebola aux États-Unis. Le médecin de famille et ministre de la Santé de l’Ontario, Eric Hoskins, a rappelé que les États-Unis n’étaient pas comme l’Afrique de l’ouest, où l’épidémie a éclos. Il a aussi affirmé que les provinces et territoires avaient des mesures de contrôle des infections parmi les meilleures au monde.

La surveillance du virus Ebola par les autorités publiques de la santé a été augmentée et les professionnels de la santé du pays sont informés sur la maladie et ses symptômes. Les gens doivent garder en tête que le virus, qui a fait plus de 3000 morts en Afrique de l’ouest depuis cet été, est très difficile à transmettre et que les chances qu’il se répande au Canada sont extrêmement faibles, a indiqué M. Hoskins.

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La mort d’une cycliste aurait pu être évitée par un partage de la route

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MONTRÉAL – La mort de la cycliste Mathilde Blais, le 28 avril dernier dans le tunnel des Carrières, sur la rue Saint-Denis à Montréal, aurait pu être évitée si le camion-remorque qui l’a heurtée avait partagé la route.

Dans son rapport rendu public mardi, le coroner Paul Dionne note que le chauffeur du camion qui l’a happée aurait dû soit empiéter sur la voie de gauche, comme il a le droit de le faire, pour s’éloigner de la cycliste, soit ralentir et lui céder le passage dans le tunnel.

Selon le coroner Dionne, il est impossible de savoir si le camion est entré en contact avec la victime ou si celle-ci a perdu l’équilibre et est tombée d’elle-même. Les expertises ont simplement permis de déterminer qu’elle s’était retrouvée sous le lourd véhicule et a été heurtée à la tête par les roues de la remorque.

Le rapport signale qu’une jupe latérale aurait empêché Mme Blais de se retrouver la tête sous la roue interne et le coroner recommande donc à Québec de réglementer l’installation de telles jupes latérales pour les poids lourds circulant en zone urbaine.

Par ailleurs, M. Dionne recommande d’enchâsser dans un règlement les distances minimales entre un véhicule moteur et un vélo et ajoute que la publicité de la Société de l’assurance automobile du Québec sur le partage de la route avec les vélos n’est pas assez percutante.

Enfin, il suggère au monde municipal de favoriser l’aménagement de corridors sécuritaire pour les vélos, en priorité sur les artères principales.

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Course au leadership au PQ Pierre Karl Péladeau reste muet sur ses intentions

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QUÉBEC – Même s’il trône en tête des sondages et que tout le monde tient pour acquis qu’il sera le meneur de la course, Pierre Karl Péladeau refuse toujours de commenter publiquement sa probable candidature à la direction du Parti québécois (PQ).

Alors que les autres candidats potentiels disent déjà craindre un couronnement, le député de Saint-Jérôme préfère ne pas ouvrir son jeu pour l’instant, demeurant muet devant les médias sur ses ambitions, sa vision du parti et son plan d’accession au pouvoir et à la souveraineté.

Mardi, en marge de la rencontre quotidienne du caucus péquiste, M. Péladeau s’en est tenu à sa position habituelle, en disant brièvement que tout commentaire à ce sujet était prématuré et qu’il parlerait «en temps et lieu», avant de s’éclipser.

Pendant ce temps, d’autres candidats pressentis — les députés Bernard Drainville, Martine Ouellet et Jean-François Lisée — cherchent des appuis, rappellent que la course comme telle n’est toujours pas lancée et affirment que rien n’est encore joué.

Selon un sondage Léger Marketing-Le Devoir publié samedi, effectué auprès de 1000 internautes entre le 22 et le 25 septembre, le magnat de la presse Pierre Karl Péladeau devance tous les autres aspirants pressentis, avec 53 pour cent d’appui chez les militants et sympathisants péquistes. Il semble ainsi le seul à ce moment-ci à prétendre pouvoir unir les troupes souverainistes, selon ce coup de sonde.

Tous les autres candidats potentiels arrivent très loin derrière, avec des appuis variant entre 7 et 2 pour cent.

«Tirer des conclusions avant même que la course commence, je trouve ça prématuré», a commenté le député de Marie-Victorin, Bernard Drainville.

M. Drainville, qui dit poursuivre sa réflexion à savoir s’il se portera candidat, s’est consolé en faisant valoir que la veille une soixantaine de jeunes péquistes avaient publié une lettre vantant ses mérites.

«La lettre des jeunes m’encourage», a-t-il dit en point de presse, en indiquant qu’il ne prendrait pas sa décision «en fonction des sondages», mais plutôt en s’appuyant sur ses convictions.

Il faut à tout prix éviter un couronnement, selon lui. «Il faut qu’il y ait une course, il faut qu’il y ait un débat d’idées au Parti québécois», a-t-il affirmé.

Selon le dernier sondage, le député de Rosemont, Jean-François Lisée, arrive bon dernier, avec deux pour cent d’appui. Mais M. Lisée, toujours intéressé par le poste, ne se laisse pas démonter pour autant. Lui aussi rejette catégoriquement le scénario d’un couronnement, comme ce fut le cas en 2007, quand Pauline Marois est devenue chef.

«La pire chose qui pourrait arriver au Parti québécois, c’est un couronnement», estime M. Lisée.

La seule femme à faire vraisemblablement partie de la course, la députée de Vachon, Martine Ouellet, ne cache pas ses ambitions et poursuit elle aussi sa réflexion. Elle estime que l’enthousiasme des péquistes envers l’actionnaire de contrôle de Québecor repose davantage sur sa popularité personnelle que sur ses idées.

«À ce stade-ci, les sondages présentent un portrait en fonction de la notoriété», a-t-elle commenté en point de presse, en ajoutant qu’on «connaît peu M. Péladeau d’un point de vue politique».

Les règles de la course au leadership seront connues samedi, à l’occasion d’une rencontre des présidents d’association du parti à Sherbrooke. L’identité du prochain chef devrait être connue le printemps prochain.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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