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Moscou irrité par la décision d’Ottawa de refouler une délégation de cosmonautes

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La décision d’Ottawa de refuser d’accorder des visas aux plus importants délégués russes qui voulaient participer à un congrès mondial sur l’astronautique à Toronto irrite Moscou, qui y voit une politisation de l’exploration spatiale et un accroc à la coopération internationale.

Un porte-parole de l’ambassade russe à Ottawa a qualifié de «malheureuse» la décision d’Ottawa, imputable selon lui au conflit en Ukraine.

Kirill Kalinin, deuxième secrétaire à l’ambassade, a indiqué à La Presse Canadienne que cette décision ne contribue pas à maintenir de bonnes relations bilatérales.

Le gouvernement canadien avait d’abord refusé de commenter l’affaire, invoquant la protection des renseignements personnels et de la vie privée. Mais mardi, une porte-parole du ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration a confirmé que certaines demandes de visa avaient été rejetées, alors que d’autres sont toujours à l’étude. Nancy Caron a indiqué que ces demandes seraient étudiées au mérite par des fonctionnaires professionnels et non partisans, en tout respect des lois canadiennes sur la sécurité et l’immigration.

Un haut fonctionnaire de l’agence spatiale russe, Roscosmos, a indiqué à l’agence de nouvelles Interfax que seulement deux des 10 délégués qui devaient participer à la 65e conférence internationale d’astronautique, à Toronto, ont obtenu leur visa d’entrée au Canada. Et ces visas ont été délivrés à deux interprètes russes, et non aux spécialistes — dont des cosmonautes bien connus dans leur milieu.

Le Moscow Times écrivait ainsi mardi que le cosmonaute russe Sergeï Krikalev — qui a séjourné 10 mois dans la station spatiale Mir en 1992 — s’est vu refuser un visa. Mais M. Krikalev aurait indiqué à l’agence de nouvelles TASS qu’il a simplement présenté sa demande de visa trop tard, ce que contredit Roscosmos.

«Il est clair que ce refus est motivé par la politique», a soutenu le fonctionnaire de Roscosmos.

Le Canada a aussi refusé de délivrer des visas à certains délégués chinois, a-t-on appris.

La Presse Canadienne a constaté lundi que cette décision d’Ottawa avait pris de court l’Agence spatiale canadienne et la Fédération internationale d’astronautique, à qui les délégués à Toronto demandaient des explications. L’absence des délégations russes et chinoises a été soulevée publiquement alors que l’on discutait de l’importance de la coopération internationale en matière d’exploration spatiale, un effort illustré de brillante façon par la Station spatiale internationale.

Berndt Feuerbacher, ex-président de la Fédération internationale d’astronautique, a déploré l’absence à Toronto des dirigeants des agences spatiales russes et chinoises. «On s’attendait à les voir ici parmi nous, ils ont participé dans le passé, et ils le feront encore dans l’avenir. C’est dommage qu’ils ne soient pas là, à cause de problèmes de visas, en plus», a indiqué M. Feuerbacher. «Je m’en excuse.»

En avril dernier, Ottawa a annulé le lancement par une fusée russe d’un satellite canadien de télécommunications, invoquant «les événements en Ukraine». Le propriétaire du satellite ignorait encore mardi à quel moment l’engin pourrait être mis en orbite.

C’est l’Institut aéronautique et spatial du Canada qui est l’hôte de l’événement d’une semaine, qui accueille 3000 participants provenant des agences spatiales, des universités et de l’industrie dans quelque 70 pays.

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La route du jade

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En mai dernier le musée de Jade à pris ses nouveaux quartiers au pied du musée national et à deux pas de la place de la démocratie qui accueille quant à elle le musée de l’or.

Le circuit des musées


Un circuit musée à faire à pied permet désormais au touristes et aux josefinos de profiter des richesses culturelles qu’offrent la capitale.
Notre conseil : démarrez la balade par le théâtre national – guide conseillé – pour profiter au mieux des explications riches et variées. Puis descendez au musée de l’or situé sous la place de la démocratie au pied du théâtre.
Continuez votre visite jusqu’au musée de Jade.

Les salles sont conçues dans un style très contemporains et abordent des thèmes variés.
Enfin, terminez la journée par le musée national et vous aurez ainsi eu un bel aperçu des cultures méso-américaines, de l’histoire du Costa Rica et des civilisations qui ont peuplées l’Amérique centrale.
Aujourd’hui c’est au musée de Jade que nos pas nous ont conduit.
Curieuses de découvrir ce nouvel édifice imposant, nous avons tenu à en découvrir les recoins.

Le Musée de Jade et d’art précolombien


Nous sommes donc allé dimanche visiter ce nouvel édifice qui abrite plus de 7000 pièces de jade, de céramique, de pierre, fabriquées et trouvées sur le territoire national pour la plupart.
Musée de jade - EntréeNous y avons découvert les multiples facettes et croyances des civilisations précolombiennes face à cette pierre qui était plus précieuse que l’or aux yeux des Olmèques, Mayas et Aztèques.
Ils l’élevèrent d’ailleurs au rang d’objet de culte !

Le musée est constitué de 5 étages bien organisés qui offrent une découverte à travers de nombreux éléments muséographiques nouveaux, interactifs et attractifs. Les visiteurs de tous âges peuvent interagir et s’amuser tout en apprenant. En effet, un point d’honneur a été mis sur les écrans tactiles, jeux divers et variés et ainsi permettent aux plus jeunes de découvrir une culture de manière très ludique. Les murs lumineux et l’imagerie a été soignée au point de se sentir parfois en pleine jungle entourés des animaux fétiches de nos ancêtres.

Thèmes abordés


Que vous soyez dans la salle du jour ou celle de la nuit, celle de la mémoire où celles des traditions vous pourrez voyager à travers le temps et découvrir la vie quotidienne, religieuse, sexuelle, chamanique et guerrière des civilisations pré-colombiennes.
IMG_1862Une ambiance feutrée et envoutante pour le plus grand plaisir des yeux !
Les chamans ou caciques en particulier occupent une place de choix dans le musée comme d’ailleurs à cette époque. A la fois prêtre, médecin, sorcier ils organisaient la vie religieuse et spirituelle des tribus. Les chamans utilisaient de nombreuses plantes hallucinogènes pour entrer en transe et prodiguaient de nombreux soins physiques et psychiques à base de ces préparations. Ils vouaient aux animaux une grande importance d’où les nombreuses représentations dans les objets visibles au musée.
Le jaguar, l’aigle, la grenouille, la tortue le tout en relation avec les éléments comme le ciel, la terre et l’eau. Un espace particulièrement interressant et attractif du musée où la présence de Sibú (dieu des BriBris et des Cabecars) se fait sentir.

La salle du jade


La salle nommée « Jade » est celle qui vous permettra de découvrir les techniques utilisées pour la fabrication des milliers d’objet de jade qui vous entourent.
Au centre de cet espace on pourra parcourir les routes par lesquelles transitaient le minerai à travers la méso-amérique et découvrir l’importance de son symbolisme, de son usage social et de ses utilisations dans les cérémonies chamaniques.

Les salles du jour et de la nuit


Le jour : située au troisième étage elle donne un aperçu des activités quotidiennes des populations, sa relation avec l’environnement ainsi que les représentations animales du jade, de la pierre, de la céramique et autres matériau. on y voit les activités relatives à la chasse, la pêche et à l’agriculture, les activités quotidiennes, les détails architecturaux.
La nuit : située face à la précédente cette salle aborde des thématiques relatives au crépuscule et à la nuit et toutes les croyances et symbolisme des animaux nocturnes comme la chauve – souris et la chouette. On y aborde également le sujet de la guerre, des rituels d’enterrement.

La salle de la mémoire et la salle d’exposition temporaire


IMG_1875Montons d’un étage et découvrons la façon dont les archéologues et chercheurs oeuvrent pour nous permettre de mieux connaître cette époque. On nous montrent ici les vêtements précolombiens, les instruments de musique, la technologie employée pour l’élaboration de ces mêmes instruments et ustensiles, les objets à destination ou représentation sexuelle ainsi que les traditions héritées des indigènes et qui perdurent encore aujourd’hui au Costa Rica.

Une salle du musée a été dédiée aux expositions. Malheureusement aucune exposition n’avaient lieu ce dimanche mais cela nous donnera une occasion pour y revenir.

 

 

Le stock


Contrairement à de nombreux musée, celui-ci a décidé d’exposer de manière plus scientifique et classifié les objets en cours d’étude ou n’ayant pas trouvé de place dans les salles antérieures. Le visiteur pourra trouver les objets organisés par régions archéologiques et par typologie.

Voilà, la visite s’arrête ici car un regret malgré tout, la boutique du musée est pratiquement inexistante voir minable et nous espérions pouvoir trouver quelques représentations ou souvenir de notre visite (sur le modèle du musée de l’or) mais non, rien.
C’est la seule critique que nous pourrions faire à cet espace culturel que nous vous conseillons fortement d’aller visiter même en famille.

Pura Vida

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Guy Carbonneau être capitaine c’est une affaire de cœur

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Photo: Bruce Bennett Studios/Getty Images

Photo: Bruce Bennett Studios/Getty Images

Blogue_hockey

Le nom « capitaine » tire son origine du mot latin « capitaneus », lui-même tiré du mot « caput », tête. Mais selon Guy Carbonneau, porter le titre de capitaine dans une équipe sportive, c’est d’abord et avant tout une affaire de cœur. De cœur au ventre. Lui-même n’en a jamais manqué au cours de sa carrière de 18 saisons dans la Ligue nationale de hockey (dont 12 à Montréal). Trois fois gagnant du trophée Frank J. Selke, remis au meilleur attaquant défensif de la LNH, il n’hésitait pas à se lancer sur la patinoire pour bloquer des tirs au but. Et il était toujours prêt à « payer le prix » pour gagner un match, comme en témoignent encore aujourd’hui les multiples cicatrices sur son visage.

C’est cette rage de vaincre que ses coéquipiers du Canadien ont d’abord saluée en l’élisant capitaine (au départ, en duo avec Chris Chelios) lors d’un vote secret, en 1989.

Quatre ans plus tard, le Canadien remportait la 24e et dernière Coupe Stanley (pour l’instant…) de son histoire. « Ça fait 20 ans et les gens dans la rue m’en parlent encore, dit Carbonneau, aujourd’hui âgé de 54 ans. Ça reste le plus beau moment de ma carrière : soulever la Coupe à Montréal en portant le “C” sur mon chandail, y a rien qui bat ça ! »

L’actualité l’a rencontré dans un café de l’ouest de l’île de Montréal, où il habite.

À quoi reconnaît-on un bon capitaine ?

De plus en plus de dirigeants de clubs professionnels choisissent le meilleur joueur de l’équipe. C’est une erreur, selon moi. Le talent brut importe moins que la capacité de rassembler les joueurs, de gagner leur respect.

Pendant très longtemps, le capitaine était l’âme, le visage d’une équipe. Aujourd’hui, on a tendance à choisir des super-vedettes, comme Alex Ovechkin, des Capitals de Washington. Je n’ai rien contre lui, cependant j’aurais nommé un gars un peu plus effacé, mais plus présent et impliqué au quotidien.

Les meilleurs capitaines de l’histoire de la LNH ont tous prêché par l’exemple. Bob Gainey, à qui j’ai succédé comme capitaine, avait été désigné par les Russes comme l’un des meilleurs joueurs de hockey au monde, au même titre que Gretzky et Lemieux ! Pourquoi ? Parce qu’il était un travailleur infatigable. Même chose pour Scott Stevens, l’ancien défenseur des Devils du New Jersey. Il n’a jamais compté 50 buts, mais tout le monde le respectait, parce qu’il se donnait corps et âme. C’est plus facile d’aller voir un coéquipier et de lui dire de se forcer le cul quand tu te démènes à chaque match.

Un capitaine devrait donc, au besoin, pouvoir « brasser » ses coéquipiers ?

Oui, et je l’ai souvent fait moi-même, même si je ne nommerai pas de nom ! Il ne faut pas chercher à faire plaisir à une personne en particulier, mais penser d’abord à l’équipe. Parfois, on se sent un peu pris entre l’arbre et l’écorce, parce qu’un capitaine doit aussi être le lien entre l’organisation et les joueurs. On s’attire donc des critiques à la fois de ses coéquipiers et de ses patrons…

Naît-on capitaine ?

Ça peut s’apprendre, mais une bonne partie des compétences de base doit déjà être présente au départ. Une personne négative, qui manque de confiance en soi et n’aime pas le jeu d’équipe aurait toute une côte à remonter… 

Le Canadien a joué toute la saison 2009-2010 sans capitaine et ça n’a pas semblé nuire à son rendement. Le titre de capitaine serait-il une relique du passé ?

Les capitaines n’ont peut-être pas la même importance que dans le passé, c’est vrai. Mais ils restent une nécessité.

Dans le vestiaire, l’entraîneur doit être la voix de la direction. Mais si t’as personne dans le vestiaire pour t’aider, tu ne seras jamais capable de faire passer ton message. J’ai été entraîneur du Canadien, je l’ai vécu de l’intérieur. T’as besoin d’un capitaine et de ses assistants pour donner une direction à l’équipe. Le boulot d’un entraîneur, c’est de mouler 23 joueurs en un seul, pour que tout le monde avance dans la même direction. Pour y arriver, il faut donner un mandat précis à chaque joueur. Mais quand l’entraîneur quitte le vestiaire, les joueurs se parlent entre eux. Des fois, certains vont refuser de faire ce que leur demande le coach, parce qu’ils n’y voient pas leur intérêt. Dans ce temps-là, le capitaine doit être capable d’intervenir, de parler à ces joueurs et de les convaincre d’accepter leur rôle pour le bien de l’équipe.

Est-ce encore possible d’exercer une autorité morale auprès de jeunes hockeyeurs multimillionnaires ?

C’est beaucoup plus difficile qu’avant. La nouvelle génération est plus individualiste, connaît mieux sa valeur. Ce n’est pas une mauvaise chose, c’est simplement un constat : mes enfants ont été élevés beaucoup plus librement que moi, et moi j’étais beaucoup plus libre que mon père.

Il y a aussi beaucoup moins de stabilité dans les équipes de la LNH. Dans les années 1970, 1980 et même au début des années 1990, tu pouvais jouer avec le même groupe pendant une dizaine d’années. Aujourd’hui, si tu restes quatre ou cinq ans avec le même groupe, c’est déjà extraordinaire. Exercer une autorité auprès de quelqu’un dont le contrat prend fin et qui sait qu’il ne sera plus là l’an prochain, c’est plus difficile.

Je ne dirai pas qu’on ne jouait pas pour l’argent quand j’ai commencé ma carrière, ce ne serait pas vrai. Mais on se battait pour avoir 5 000 ou 10 000 dollars de plus dans notre prochain contrat. Maintenant, les joueurs se battent pour des millions de dollars. Chaque point de plus sur leur fiche personnelle peut avoir un poids financier important. Malheureusement, quand tous les joueurs tirent la couverture de leur bord, ça se fait souvent au détriment du jeu d’équipe…

Un capitaine devrait-il aussi avoir un rôle social à jouer ?

De nos jours, tous les joueurs peuvent s’impliquer socialement. Je prends pour exemple la fondation que Max Pacioretty a mise sur pied l’an passé, après sa commotion cérébrale [NDLR : pour financer l’achat d’un appareil d’imagerie par résonance magnétique destiné au Centre de trauma de l’Hôpital général de Montréal].

Mais le capitaine est le visage d’une équipe, il doit être plus présent, visible. À Montréal, ça veut dire faire un effort pour apprendre le français. Jean Béliveau, Serge Savard et moi, on était tous bilingues. Bob Gainey s’est forcé pour apprendre le français ; ça n’a pas été facile, mais il l’a fait. Les amateurs veulent savoir ce qui se passe dans leur équipe. Quelques mots seraient les bienvenus — personne ne demande au capitaine du Canadien d’écrire un roman en français…

Qui sont, d’après vous, les meilleurs capitaines de l’histoire du hockey ?

Tout en haut du classement, je vois Jean Béliveau. J’ai eu la chance de le côtoyer dans l’entourage du Canadien. Il représente tout ce qu’on demande d’un grand capitaine : il était combatif sur la patinoire, il s’est toujours tenu droit, il a toujours soutenu ses joueurs et il n’a jamais parlé contre personne. Bob Gainey, Bobby Clarke et Mark Messier étaient taillés dans le même moule : des gars travailleurs, respectueux, qui n’avaient peur de personne.

[Cet article a originalement paru dans le numéro hors-série Les grands capitaines.]

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La Cour suprême entend trois causes majeures pour le Québec en octobre

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OTTAWA – Québec et Ottawa s’affronteront devant la Cour suprême dans les deux prochaines semaines, dans deux causes sur lesquelles se penche le plus haut tribunal du pays.

Mercredi 8 octobre, c’est la cause de la destruction du registre des armes à feu qui sera entendue. Québec cherche à sauvegarder les données québécoises du registre. Toutes les autres données ont déjà été détruites par le gouvernement fédéral conservateur qui estime l’outil coûteux et inutile.

Dans le camp de Québec, on retrouve la coalition pour le contrôle des armes tandis que la Canada’s National Firearms Association se fera entendre aux côtés d’Ottawa. Les deux associations ont obtenu le statut d’intervenant dans la cause.

Une semaine plus tard, c’est à titre d’intervenant que Québec se présentera dans une cause sur le droit à l’aide au suicide. L’affaire concerne deux patients de Colombie-Britannique aujourd’hui décédés. Québec présentera des arguments sur la compétence des provinces en matière de soins de santé, manière de protéger la loi québécoise sur les soins de fin de vie.

Entre ces deux affrontements, le maire de la Ville de Saguenay ira défendre son droit à la prière. La cour entendra le 14 octobre le Mouvement laïque québécois et Alain Simoneau qui allèguent que la prière au début des séances publiques du conseil municipal et la présence d’objets de culte dans la salle où se tiennent ces séances sont des atteintes à la liberté de conscience.

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Procès de Magnotta le jury regarde les photos des colis envoyés en juin 2012

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MONTRÉAL – Dans le procès de Luka Rocco Magnotta pour meurtre prémédité, le jury a dû examiner mardi plusieurs preuves photographiques, dont celles sur le contenu de colis qui ont été envoyés à des bureaux politiques à Ottawa et à des écoles de Vancouver.

Une technicienne de scène de crime de Montréal, Caroline Simoneau, a témoigné au sujet de ce qui lui a été transmis par ses collègues d’Ottawa et de Vancouver en juin 2012.

La preuve consiste en quatre boîtes de Postes Canada et d’une partie de leur contenu.

Les deux colis envoyés à Ottawa étaient destinés à des bureaux politiques: l’un était adressé au Parti conservateur du Canada et l’autre au quartier général du Parti libéral. Les autres ont été postés à l’école St. George’s et l’école False Creek Elementary, les deux étant situées à Vancouver.

Caroline Simoneau avait dû photographier le contenu des paquets et les quatre avaient des adresses de retour différentes.

Parmi les preuves, il y avait une note manuscrite concernant le premier ministre du Canada Stephen Harper et sa femme Laureen.

«Stephen Harper et Lauren (sic) Teskey sauront qui c’est. Ils ont commis une grosse gaffe (They f–ked up big time)», était-il écrit d’une écriture soignée, sur un papier rose. Teksey est le nom de fille de Mme Harper.

Plusieurs autres papiers dans les paquets mentionnaient la femme du premier ministre.

Deux des accusations auxquelles Magnotta fait face sont harcèlement criminel du premier ministre et d’autres membres du Parlement ainsi que l’envoi de matériel obscène et indécent. Ces accusations s’ajoutent à celles de meurtre prémédité, profanation de cadavre et publication de matériel obscène.

Par ailleurs, une autre technicienne a présenté des photos de l’appartement de l’ouest de Montréal loué par Magnotta, où aurait été tué Jun Lin.

Chantal Turmel a indiqué que le logement était plutôt vide.

«Si vous n’aimez pas la réflexion, ne regardez pas dans le miroir. Je m’en fous», pouvait-on lire sur le mur d’un garde-robe pris en photo par Mme Turmel.

Les jurés ont aussi pu observer le réfrigérateur et le matelas du lit, où des traces rouges sont visibles.

Des biologistes légistes témoigneront la semaine prochaine sur l’origine de ces marques rouges.

Mme Turmel a aussi recueilli des articles à l’extérieur du bâtiment, dont une affiche du film «Casablanca», une bouteille de vin sur laquelle était inscrit «Wish for love» (Espérer l’amour) et un t-shirt jaune.

Finalement, un autre enquêteur a témoigné au sujet de la tête du cadavre qui a été retrouvée dans un parc de Montréal, près de la station de métro Angrignon, en juillet 2012.

Le jury de huit femmes et six hommes va écouter la preuve au cours des prochaines semaines, en lien avec le meurtre et le démembrement de l’étudiant chinois Jun Lin à Montréal en mai 2012.

Lundi, Magnotta a plaidé non coupable à toutes les accusations. Il a admis avoir commis les crimes, mais son avocat a indiqué qu’il va présenter une défense d’aliénation mentale.

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Hongkong révolte pour la liberté électorale

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Photo par Aaron Tam / AFP / Getty Images

Photo par Aaron Tam / AFP / Getty Images

Fouineur

Le climat demeure très tendu à Hongkong, après plusieurs jours de manifestation pour demander à Pékin plus de démocratie et de libertés.

Dimanche, des dizaines de milliers de militants pro-démocratie ont pris d’assaut les rues de l’ex-colonie britannique avec, comme symbole de ralliement, des parapluies destinés à se prémunir contre les gaz lacrymogènes. Les forces de l’ordre font état de 78 arrestations et de 26 blessés, selon l’Agence France Presse.

Que dénoncent les manifestants ? Principalement la décision de Pékin de modifier le mode de scrutin censé désigner le gouverneur local. Dès 2017, les Hongkongais auront à choisir le chef de l’exécutif parmi seulement deux ou trois candidats, préalablement validés par un comité électoral.

La campagne de désobéissance civile perdure depuis des semaines, mais s’est accélérée au cours des derniers jours. Le 22 septembre, 13 000 étudiants chinois ont lancé un mouvement de grève pour demander plus de démocratie et de libertés. Six jours plus tard, Occupy Central, une organisation pro-démocratie, a officiellement rejoint les manifestations. Elle réclame «le retrait» de la décision de Pékin et «une relance du processus de réformes politiques». En cas de refus, le «mouvement s’intensifiera», prévient-il.

Instagram bloqué en Chine

Plus de 10 000 clichés portant le mot-clé #OccupyCentral ont été partagées sur Instagram, montrant notamment la police arrosant les manifestants de gaz lacrymogène. Or, dimanche, le réseau social était inaccessible en Chine, sauf à Honkong.

De nombreux observateurs n’y voient pas un pépin technique, mais bien une réponse de Pékin à la mobilisation.

En ce qui a trait à la couverture médiatique, le Courrier international souligne que le mouvement Occupy Central est qualifié d’«illégal» et de «violent» par certains médias pro-Pékin. D’autres passent même sous silence la «révolte des parapluies». Du côté des médias hongkongais, les manifestants sont encouragés à tenir bon face à la répression.

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Meurtre de Tina Fontaine l’APN veut une enquête indépendante

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WINNIPEG – L’Assemblée des Premières Nations demande une enquête indépendante sur la manière dont la police de Winnipeg a traité la disparition d’une adolescente dont le corps a éventuellement été repêché dans la rivière Rouge.

La police a lancé une enquête interne après avoir découvert que deux de ses agents avaient croisé Tina Fontaine durant un arrêt routier en août — une semaine après qu’elle eut été rapportée disparue — mais ne l’avaient pas amenée au poste de police.

Tina Fontaine a été vue pour la dernière fois le jour suivant. Son corps a été retrouvé dans un sac, dans la rivière, plus d’une semaine après.

La force policière de Winnipeg affirme que les deux agents ont été confinés à des tâches administratives pendant la durée de l’enquête.

Mais Cameron Alexis, le chef régional de l’Alberta, juge qu’une enquête interne n’est pas suffisante et que la province devrait affecter des enquêteurs indépendants.

«C’est inconcevable que des policiers ne prennent pas sous leur garde une adolescente portée disparue», a dit mardi le chef, qui est aussi un policier retraité de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).

«Cela semble être un échec systémique du début jusqu’à la fin… C’est un exemple de ce qui se passe au pays».

Il affirme que la façon dont la police a traité la disparition de l’adolescente de 15 ans fait ressortir le besoin de tenir une commission d’enquête nationale sur les femmes autochtones assassinées ou disparues.

«Les leaders autochtones deviennent de plus en plus frustrés, a-t-il dit. Il faut regarder tout cela de très près pour s’assurer que nos gens ne soient pas dépréciés».

Le procureur général du Manitoba, Andrew Swan, n’était pas disponible dans l’immédiat pour commenter.

Le corps de Tina Fontaine a été retrouvé le 17 août après qu’elle se fut enfuie de son foyer d’accueil de Winnipeg. Elle y avait habité moins d’un mois.

Sa mort est considérée comme un homicide mais la police n’a encore procédé à aucune arrestation.

L’histoire de l’adolescente a touché une corde sensible et a renouvelé les demandes pour une commission d’enquête.

Le gouvernement fédéral a refusé jusqu’à maintenant d’en déclencher une mais a accepté de participer à une table ronde sur le sujet.

«Je suis outré et blessé que nous ayons perdu un autre enfant à cause d’un système qui laisse tomber notre peuple», a déclaré le chef Alexis. «Dans un cas comme celui-là, cela devrait être une agence externe qui mène une enquête complète et détaillée d’un point de vue extérieur».

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Mon voyage au Bhoutan en octobre

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En cette semaine d’octobre je vais réaliser un fantasme de plus de vingt ans : je pars en voyage au Bhoutan. Tenter d’exprimer mon enthousiasme et mon impatience serait vain tant je trépigne à l’idée d’embarquer...
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Garderies des millions de dollars de fonds publics versés en trop

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QUÉBEC – Des millions de dollars de fonds publics sont versés en trop aux garderies chaque année pour des places fictives qui demeurent inoccupées, selon le Conseil québécois des services éducatifs à l’enfance (CQSGEE).

Le conseil dénonce cette situation et exhorte la ministre de la Famille, Francine Charbonneau, à intervenir en donnant plus de pouvoirs aux 163 bureaux coordonnateurs des Centres de la petite enfance (CPE) et des garderies en milieu familial, pour qu’ils puissent resserrer les contrôles sur les sommes réclamées en trop à Québec.

Il y aurait environ 8000 places subventionnées et réservées à des enfants qui n’ont en fait jamais reçu le service de garde payé par les contribuables, selon le conseil.

La facture atteindrait au moins 15 millions $ par année de fonds publics utilisés de façon «inappropriée» dans le réseau, a dénoncé mardi en conférence de presse la directrice générale de l’organisme, Francine Lessard, en estimant que le montant indiqué était «très conservateur».

Cette «perte de 15 millions $ par année d’argent public qui devrait servir à des enfants» est due à des pratiques douteuses qui «entachent la réputation de la profession», a-t-elle fait valoir.

Elle demande donc à la ministre Charbonneau de récupérer les sommes versées en trop et de faire preuve de plus de rigueur financière au moment de verser les subventions. Un moyen proposé serait d’embaucher plus d’enquêteurs financiers.

Selon le conseil, qui prétend faire une évaluation conservatrice, une proportion non négligeable des responsables de services de garde en milieu familial, soit environ 10 pour cent ou 1500 responsables, s’adonnerait à des pratiques financières répréhensibles, en réclamant de Québec de subventionner des places destinées à des enfants qui ne fréquentent pas leur garderie.

Par exemple, des garderies demandent à des parents de payer pour cinq jours par semaine, alors que l’enfant ne se présente que deux jours par semaine. Ou encore, des garderies demandent aux parents de payer leur place à compter de telle date, même si l’enfant n’a besoin du service que six mois plus tard.

Les parents doivent payer leur contribution de 7 $ par jour et «l’État paye la subvention pour cet enfant pendant des mois. Or, ce sont des places qui ne sont pas occupées réellement», dénonce Mme Lessard.

Pour chaque contribution parentale de 7 $, l’État ajoute 33 $ par enfant, par jour.

Ce sont les bureaux coordonnateurs qui encadrent le travail de plus de 15 000 responsables de garde en milieu familial. Les dirigeants des bureaux coordonnateurs ne veulent pas exposer eux-mêmes le problème sur la place publique, de crainte de représailles de la part des responsables de garderies qui abusent des fonds publics, selon Mme Lessard.

En point de presse, la ministre Charbonneau a dit juger qu’il n’était «pas normal qu’on charge pour un service qu’on donne pas».

Il s’agit clairement d’un «geste qui est illégal qu’on pourrait appeler de la fraude», a-t-elle commenté. Pourtant, même si elle reconnaît la gravité de la situation, la ministre est demeurée très évasive sur d’éventuels recours judiciaires.

Au cours des derniers mois, le ministère de la Famille a documenté 22 cas de fraude de ce type, mais n’a réussi à récupérer au total que 22 000 $, a indiqué la ministre.

L’opposition péquiste est restée sur sa faim et réclame des précisions à la ministre. Mme Charbonneau doit donner «l’heure juste» et clarifier cette situation «préoccupante», a indiqué en entrevue téléphonique le porte-parole sur les questions de famille, Mathieu Traversy.

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Mission de combat en Irak le gouvernement semble avoir fait son nid

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OTTAWA – Tout semble indiquer que le Canada se lancera dans une mission de combat contre le groupe armé État islamique (ÉI). Il ne reste qu’à savoir à quel moment le gouvernement présentera son plan.

Le premier ministre Stephen Harper a déclaré mardi que son cabinet examinait actuellement «les prochaines étapes» et que la décision finale n’était pas encore prise.

Le verdict tombera «dans les prochains jours» et sera subséquemment communiqué aux élus de la Chambre des communes. S’ensuivra un débat, puis un vote, a promis M. Harper.

Les velléités du gouvernement quant à la nature de la contribution militaire à venir ne laissent plus beaucoup de place au doute — les troupes de Stephen Harper ne se sont jamais engagées à soumettre les missions autres que celles impliquant des combats à un vote aux Communes.

Le chef conservateur a martelé mardi qu’Ottawa se tiendrait aux côtés de ses alliés et agirait pour éviter l’instauration d’un califat islamique «qui représente une grande menace, non seulement pour la région, mais aussi pour nous, au Canada».

Et alors que la coalition menée par les États-Unis cogne à la porte de la Syrie — des chasseurs et des drones américains y ont effectué plusieurs frappes lundi et mardi —, M. Harper a refusé de dire si le Canada envisageait une intervention au pays de Bachar Al-Assad.

Il a toutefois fait valoir que le gouvernement voulait éviter de se lancer dans une mission qui risquerait de se transformer en bourbier.

Risque d’enlisement ou pas, à en croire les propos du chef de l’opposition officielle, Thomas Mulcair, il y a fort à parier que la mission ne bénéficiera pas de l’appui du Nouveau Parti démocratique (NPD).

«Notre position depuis très longtemps au NPD, c’est de dire: on va agir avec des alliés aux termes des alliances dont on est signataire, même signataire fondateur comme l’organisation du traité de l’Atlantique du Nord (OTAN), même chose pour les Nations unies», a-t-il signalé vendredi dernier.

On ignore toujours précisément si le Parti libéral, de son côté, compte accorder son soutien à une éventuelle mission de combat contre l’ÉI.

La semaine dernière, le porte-parole libéral en matière d’affaires étrangères, Marc Garneau, écartait catégoriquement cette possibilité.

Mais à l’issue de la période de questions, mardi, le chef Justin Trudeau s’est montré plus évasif.

«La position du Parti libéral, c’est qu’avant de s’engager dans une mission de combat, nous allons avoir besoin d’un débat robuste, une ouverture que ce gouvernement jusqu’à présent n’a pas démontrée», a-t-il plaidé.

Le gouvernement majoritaire de Stephen Harper n’a pas besoin de l’aval des partis d’opposition pour déployer d’autres troupes en Irak.

Il a toutefois appelé ses adversaires politiques à «mettre de côté la partisanerie» et à se rallier à une mission qui jouit d’un «vaste support au sein de la communauté internationale».

Le gouvernement a déjà déployé dans le nord de l’Irak 69 conseillers militaires spéciaux des Forces armées canadiennes pour une mission d’«assistance» et de «conseil» d’une durée de 30 jours, qui doit prendre fin au cours des prochains jours.

Ceux-ci ont «aidé les minorités à résister au génocide» en plus de contribuer à mettre fin «à l’avancée de l’État islamique, ce qui n’est pas sans importance», a fait valoir M. Harper aux Communes.

Selon plusieurs médias, le gouvernement fédéral se tiendrait prêt à considérer le déploiement des avions CF-18 et des aéronefs de surveillance.

Intercepté dans les couloirs du parlement, le député James Bezan, le secrétaire parlementaire du ministre de la Défense Rob Nicholson, a précisé mardi qu’environ 80 appareils composaient la flotte actuelle de CF-18.

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Des groupes de patients appuient la réforme proposée par le ministre Barrette

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MONTRÉAL – Les associations de défense des patients donnent un appui conditionnel à la réforme québécoise du réseau de la santé et des services sociaux.

Elles suggèrent que des amendements y soient apportés afin que les patients puissent influencer les orientations et les décisions.

Elles veulent aussi que les personnes responsables d’implanter ces changements, à tous les niveaux, disposent de moyens et d’indicateurs précis pour rendre des comptes.

L’Alliance des patients pour la santé, le Conseil pour la protection des malades, la Coalition Priorité Cancer au Québec et son Comité patients et survivants, ainsi que le Regroupement québécois des maladies orphelines, veulent ainsi être consultés.

Ces associations proposent au ministre Gaétan Barrette la création d’un comité national composé de patients et de groupes qui les représentent. Elles souhaitent que les changements de structures annoncés ne contribuent pas à éloigner davantage les patients des centres de décision.

Par ailleurs, les associations de patients espèrent que la nouvelle réforme puisse permettre plus d’ouverture du système de santé aux nouvelles thérapies.

Elles suggèrent aussi que l’on examine plus soigneusement certaines problématiques qui ont des impacts très importants sur les coûts et sur la santé des malades comme le surdiagnostic médical et la non adhésion aux traitements.

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Québec investit 50 M en capital-actions dans une usine de gaz naturel liquéfié

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MONTRÉAL – Le gouvernement Couillard croit que son partenariat avec Gaz Métro pour faciliter l’accès au gaz naturel liquéfié (GNL) permettra à la fois de stimuler l’économie québécoise et de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES).

Le premier ministre Philippe Couillard a annoncé mardi que le gouvernement, par le biais d’Investissement Québec (IQ), avait pris une participation de 50 millions $ en capital-actions dans Gaz Métro GML, une filiale de la société québécoise.

Avec cet investissement — qui s’inscrit dans la stratégie de relance du Plan Nord — Québec devient actionnaire à 42 pour cent de Gaz Métro GML.

«C’est un changement du mode de développement industriel pour les projets de développement, a affirmé le premier ministre, en marge du forum Objectif Nord. C’est une transition de l’économie du Québec vers une économie plus sobre en carbone.»

Accompagné de son ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, et de la présidente et chef de la direction de Gaz Métro, Sophie Brochu, M. Couillard a affirmé que cette l’initiative permettra de livrer dans les régions éloignées une forme d’énergie beaucoup moins polluante que les combustibles fossiles traditionnels.

«Le Québec frappe un coup de circuit avec trois hommes sur les buts, a commenté Mme Brochu. On réduit l’empreinte environnementale de nos clients industriels (…) en acheminant le GNL.»

Au total, c’est 118 millions $ qui seront investis dans l’usine de Gaz Métro qui se situe dans l’est de Montréal, ce qui permettra d’ajouter 11 nouveaux emplois.

La capacité de production de l’usine devrait tripler, pour passer à neuf milliards de pieds cubes. Les travaux devraient s’amorcer en mai prochain et les premières livraisons devraient se faire à l’été 2016, principalement vers la Côte-Nord et le Nord-du-Québec.

Grâce à un processus cryogénique, le GNL prend environ 600 fois moins d’espace comparativement à sa forme gazeuse, ce qui permet d’en transporter d’importantes quantités par camions, a souligné Mme Brochu.

Cette dernière a également expliqué pourquoi Gaz Métro allait modifier ses installations montréalaises plutôt que de se rapprocher de ses clients, qui sont, pour l’instant, plus au nord.

«Pour liquéfier le gaz naturel, ça prend un approvisionnement, a rappelé Mme Brochu. Il faut se situer sur les réseaux de transport existants. C’est dans une philosophie de développement durable.»

La minière Stornoway, qui exploite le projet diamantifère Renard, à environ 400 kilomètres au nord de Chibougamau, figure parmi les clients les plus importants quant aux livraisons de GNL. Elle estime pouvoir réduire de plus de 40 pour cent ses émissions de GES en plus réduire ses coûts d’exploitation de 8 à 10 millions $ par année.

«Il y a aussi l’élément de la sécurité dans le transport, a souligné le vice-président et chef des opérations de Stornoway, Patrick Godin. Le GNL transporté est moins dangereux que le diesel.»

Gaz Métro a rappelé que l’entreprise de camionnage Transport Robert possède déjà un important parc de véhicules qui fonctionnent au GNL. De plus, la Société des traversiers du Québec s’approvisionnera en gaz naturel liquéfié pour ses trois nouveaux navires à compter de 2015.

«Il fallait que le Québec embarque dans ce train vers le GNL, a affirmé M. Couillard. Cela permet aux entreprises de penser à des projets pour des endroits où c’était difficile d’y penser il y a quelques années.»

La présidente et chef de la direction de Gaz Métro a également précisé que l’annonce de ce mardi ne signifiait pas que la société québécoise mettait sur la glace son projet de construction de gazoduc visant à desservir la Côte-Nord.

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Dette publique les provinces devront corriger le tir selon le DPB

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OTTAWA – Les provinces, territoires et municipalités canadiennes devront apporter des changements de politique importants pour que la dette publique demeure viable, selon le Directeur parlementaire du budget (DPB).

L’organisme prévient que ces ordres de gouvernement devront augmenter leurs revenus, recevoir des transferts fédéraux plus élevés ou dégager des économies dans les régimes de soins de santé ou d’autres programmes pour remédier à la situation.

D’autant plus que les provinces, territoires et municipalités du pays ne sont pas outillées pour faire face aux défis associés au vieillissement de la population, prévient le DPB.

Les coffres d’Ottawa, eux, sont toutefois assez bien garnis pour y parvenir, peut-on lire dans le rapport d’une cinquantaine de pages rendu public mardi.

Le DPB précise dans le même de document que le Régime de pensions du Canada et le Régime de rentes du Québec peuvent assumer les coûts liés à l’augmentation prévue du nombre de bénéficiaires tout en demeurant viables en tant que parts de l’économie.

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Ottawa ne tient pas compte du vieillissement dans les calculs de ses transferts

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OTTAWA – Le fédéral pourrait permettre aux provinces, aux territoires et aux municipalités de souffler un peu en maintenant la hausse de ses paiements de transfert en santé à 6 pour cent, selon le Directeur parlementaire du budget (DPB).

Si les coffres d’Ottawa sont assez bien garnis pour faire face aux défis associés au vieillissement de la population, ceux des provinces et des municipalités sont loin de l’être, conclut l’organisme indépendant.

Dans un document qui risque de fournir des munitions aux provinces redoutant un retour du déséquilibre fiscal, le DPB conclut que l’écart financier entre le fédéral et les autres ordres de gouvernement (provinces, territoires, municipalités et réserves autochtones) n’est «pas viable».

Car aux yeux du DPB, Ottawa néglige un aspect fondamental dans son calcul du Transfert canadien en matière de santé (TCS): le vieillissement de la population, une réalité démographique qui exercera une pression considérable sur les coûts du réseau de santé au moins jusqu’en 2050.

Les équations du gouvernement fédéral ne sont ainsi «pas sensibles à ces changements démographiques», tandis que les autres ordres de gouvernement, eux, doivent en assumer les coûts, a affirmé Mostafa Askari, le directeur parlementaire adjoint du budget.

«Ça fait partie des relations fédérales-provinciales, à savoir que ce sont les provinces qui doivent appliquer la loi fédérale», a fait remarquer le directeur parlementaire du budget, Jean-Denis Fréchette, qui a préféré employer le terme de «disparité» fiscale plutôt que de «déséquilibre» fiscal.

«L’un, le fédéral, fournit les transferts pour que (les autres ordres de gouvernement) puissent appliquer les transferts à donner des services de première ligne, a-t-il poursuivi. Mais ils ne vivent pas la même situation.»

Sans une bonification des transferts fédéraux, une croissance des revenus ou un contrôle serré des dépenses en santé et dans d’autres programmes, les provinces risquent de se retrouver dans une situation intenable.

«Par contre, il y a toujours (le besoin de s’imposer) cette discipline en termes de croissance des dépenses d’un côté comme de l’autre», a tenu à spécifier M. Fréchette.

En 2011, le gouvernement Harper avait provoqué le mécontentement des provinces et territoires en annonçant que le TCS qui leur serait versé augmenterait de 6,0 pour cent par année jusqu’en 2017-2018, mais que par la suite, il serait lié au taux de croissance économique et à l’inflation.

Selon le fiscaliste François Delorme, qui enseigne les sciences économiques à l’Université de Sherbrooke, les pressions auxquelles sont confrontées les provinces iront en s’accentuant.

«Le gouvernement a décidé de plafonner la croissance quand, en principe, les tendances à long terme semblent dire que tout le monde doit mettre l’épaule à la roue pour essayer de contenir les pressions», a-t-il exposé en entrevue téléphonique.

Peut-on parler d’un retour du déséquilibre fiscal? «Ça ressemble à ça», a laissé tomber M. Delorme, qui a travaillé pendant une vingtaine d’années au ministère fédéral des Finances.

«Et au Québec, c’est sûr que ça va avoir un effet énorme; ça pourrait être encore pire que dans les autres provinces, puisque la population est encore plus vieillissante», a-t-il prévenu.

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L’entraîneur-chef des Redmen de McGill Clint Uttley démissionne avec fracas

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MONTRÉAL – L’entraîneur-chef de l’équipe de football des Redmen de McGill, Clint Uttley, démissionne avec fracas de son poste, se disant incapable d’oeuvrer pour une organisation qui ne respecte pas l’équité et l’inclusion.

Dans une lettre lapidaire rendue publique mardi, Clint Uttley se dit en complet désaccord avec la position de l’université, qui soutient que Luis Guimont-Mota n’aurait pas dû être invité à joindre l’équipe parce qu’il avait déjà plaidé coupable dans une affaire de voies de fait survenue en 2010.

Le porteur de ballon vedette des Redmen, originaire de Québec, a été mis en accusation la semaine dernière relativement à une affaire de violence conjugale.

Clint Uttley rappelle qu’au moment de son recrutement, l’université et l’équipe étaient bien au fait de l’incident de 2010. L’ex-entraîneur-chef souligne que l’athlète de 22 ans avait accepté sa condamnation et assumé sa peine.

M. Uttley dit croire fermement en la réhabilitation et se dit troublé de voir l’institution affirmer tout à coup que Luis Guimont-Mota n’aurait pas dû être recruté par les Redmen à cause de son passé, une position qui ne reflète aucunement ses valeurs et son sens moral.

Il ajoute que l’université est justement le meilleur endroit pour former de jeunes adultes pour qu’ils atteignent leur plein potentiel et s’interroge sur les possibilités réelles de réhabilitation lorsque les grandes institutions ferment leur portent à ceux qui ont commis des erreurs de jugement dans le passé.

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L’Université McGill accepte la démission de l’entraîneur en chef Clint Uttley

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MONTRÉAL – Les dirigeants de l’Université McGill ont annoncé qu’ils embaucheront prochainement un nouvel entraîneur en chef de leur équipe de football, quelques heures après la fracassante démission de Clint Uttley, mardi matin.

Drew Love, directeur d’athlétisme et de récréation, a confirmé la nouvelle dans un communiqué. Au passage, il a précisé que l’Université nommera un entraîneur par intérim provenant du personnel en place dans un jour ou deux, et il a profité de l’occasion pour remercier M. Uttley pour son travail avec les Redmen. Ces derniers sont inactifs cette semaine et joueront leur prochain match le jeudi 9 octobre, au stade Percival-Molson face à l’Université Bishop.

Dans le communiqué, l’Université ne répond pas aux propos de M. Uttley, rendus publics dans une lettre lapidaire, et avise qu’elle ne rendra disponible aucun membre de son équipe de football pour des entrevues. Clint Uttley avait aussi fait savoir, selon le communiqué, qu’il n’accorderait pas d’entrevue.

M. Uttley a quitté ses fonctions, qu’il occupait depuis le mois de novembre 2011, se disant incapable d’oeuvrer pour une organisation qui ne respecte pas l’équité et l’inclusion.

Dans sa lettre, Clint Uttley se dit en complet désaccord avec la position de l’université, qui soutient que le demi offensif Luis Guimont-Mota n’aurait pas dû être invité à joindre l’équipe parce qu’il avait déjà plaidé coupable dans une affaire de voies de fait survenue en 2010.

Le porteur de ballon vedette des Redmen, originaire de Québec, a été mis en accusation la semaine dernière relativement à une affaire de violence conjugale.

Clint Uttley rappelle qu’au moment de son recrutement, l’université et l’équipe étaient bien au fait de l’incident de 2010. L’ex-entraîneur-chef souligne que l’athlète de 22 ans avait accepté sa condamnation et assumé sa peine.

M. Uttley dit croire fermement en la réhabilitation et se dit troublé de voir l’institution affirmer tout à coup que Luis Guimont-Mota n’aurait pas dû être recruté par les Redmen à cause de son passé, une position qui ne reflète aucunement ses valeurs et son sens moral.

Il ajoute que l’université est justement le meilleur endroit pour former de jeunes adultes pour qu’ils atteignent leur plein potentiel et s’interroge sur les possibilités réelles de réhabilitation lorsque les grandes institutions ferment leur portent à ceux qui ont commis des erreurs de jugement dans le passé.

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Une pomme par jour contre l’obésité

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MONTRÉAL – La consommation d’une pomme par jour pourrait aider à lutter contre l’obésité, affirme une étude de l’université américaine Washington State.

La chercheure Giuliana Noratto précise que les composé non digestibles de la pomme, et plus spécifiquement des pommes Granny Smith, survivent à la mastication et aux sucs de l’estomac pour atteindre le colon essentiellement intacts, où ils stimulent la croissance des bactéries intestinales bénéfiques.

Ces pommes vertes et surettes contiennent notamment davantage de fibres alimentaires et de polyphénols que les variétés Braeburn, Fuji, Gala, Golden Delicious, McIntosh et Red Delicious. Leur teneur en glucides est aussi plus faible.

Les excréments de souris obèses nourries de pommes Granny Smith finissent par renfermer des proportions de bactéries fécales comparables aux excréments de souris de poids normal, dit Mme Noratto.

Cette découverte pourrait permettre de combattre certains des problèmes qui accompagnent l’obésité, comme une faible inflammation chronique qui peut mener au diabète. Mme Noratto a expliqué que la flore intestinale des personnes obèses est déséquilibrée, ce qui engendre de l’inflammation et influence les problèmes métaboliques associés à l’obésité.

L’équilibre de la flore intestinale, ajoute-t-elle, dépend des aliments consommés. Le rétablissement d’une flore intestinale équilibrée stabilise les processus métaboliques qui influencent l’inflammation et la sensation de satiété, conclut Mme Noratto.

Les conclusions de cette étude sont publiées dans le journal scientifique Food Chemistry.

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Le prix des métaux ne freinera pas la relance du Plan Nord affirme Couillard

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MONTRÉAL – La baisse du prix des métaux ne freinera pas la relance du Plan Nord, a prévenu mardi le premier ministre Philippe Couillard.

Au cours d’un discours prononcé au Palais des Congrès devant un parterre de gens d’affaires, M. Couillard a affirmé que le Québec devait plutôt profiter de la situation pour être prêt lorsque la relance arrivera.

Le prix de plusieurs métaux, comme le minerai de fer et l’or, ont atteint un creux en cinq ans, notamment en raison d’une baisse de la demande dans certains pays émergents ainsi que la Chine.

Le premier ministre Couillard a entre autres tenté de se montrer rassurant, en affirmant que le prix des métaux allait inévitablement remonter prochainement.

Le Plan Nord avait été lancé en 2011 par le premier ministre de l’époque, Jean Charest, qui espérait en faire un élément central de son héritage politique.

Le gouvernement estimait alors que le Plan Nord allait engendrer des retombées de 80 milliards $ en investissements publics et privés sur une période de 25 ans, en plus de créer 20 000 emplois.

Dans son discours, M. Couillard a également écorché le Parti québécois, sans toutefois nommer la formation politique, en affirmant que le gouvernement précédent avait lancé un message ayant contribué à freiner le développement du Nord du Québec.

D’après M. Couillard, la plus grande erreur du gouvernement Marois dans ce dossier a été d’abandonner la Société du Plan Nord, qui devra maintenant être relancée.

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2014 / 21 ans de parrainage avec la Chaîne de lEspoir 1993-2014 / 2e article

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A la fin du parrainage de Ampha, nous avons eu en avril 2001 une nouvelle filleule Thanattha (âgée de 9 ans) issue d'une famille très pauvre. Dans quelques mois (courant 2015), elle sera professeur des écoles, ce que nous n'aurions jamais imaginé lorsque nous l'avons rencontrée pour la première...

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Jour 3 Randonnées Cascade et aiguilles de Bavella

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Randonnée jusqu'a la cascade Piscia di Gallo A environ 25km de Porto-Vecchio, 1km après le barrage de l'Ospedale, au bord de la D368, un parking pour se garer avec 2 snacks bar, le parking est payant (3€) mais il y a possibilité de se garer au bord de la route pour ne pas payer. Attention pour...

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Le Lac - nouvelle physionomie

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Sans eau, pas de vie... Depuis le 30 mars dernier, date à laquelle je vous montrais des clichés du Lac El Mansour, la sécheresse n'a eu de cesse d'étendre ses terribles tentacules... pour arriver à ces photos : des jardins potagers à perte de vue ! Photos prises en août 2014 Des routes ont même été...

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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