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Blog de milou - un mardi de ESCuelita

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Blog de milou - un mardi de ESCuelita...
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Dernier jour à Cusco

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Notre dernière journée à Cusco aujourd'hui, demain 6h départ pour l'inca trail ! 4 jours de trek ça se prépare.. On a donc rendez vous à 10h à l'agence pour le briefing. On rencontre 2 de n
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Un volcan un temple des rizières

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Un volcan, un temple, des rizières...
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Nordthai

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Huhu Alle!Am 17. November verliess ich Bangkok in Richtung Nordthailand. Genauer angeschaut habe ich mir drei ehemalgie Hauptstaedte Thailands (Ayutthaya, Sukhothai und schliesslich Chaing Mai). Geschichtlich und kulturell se
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Rurrenabaque La Pampa

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Il est l’heure de nous rendre au chaud !!!! Mais d’abord nous faisons l’expérience de l’avion 
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Les gants tombent à Montréal

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À moins d’une semaine des élections, les candidats à la mairie de Montréal ont laissé les formules de politesse de côté.

Denis Coderre a insisté sur la monomanie de Richard Bergeron pour les transports collectifs. Richard Bergeron a mis en doute l’intégrité de Denis Coderre. Mélanie Joly a déploré le manque de vision de Marcel Côté. Et Marcel Côté s’est moqué du manque d’expérience de Mélanie Joly.

Le premier des trois face-à-face organisé par le réseau LCN a donné lieu à de sérieuses prises de bec de la part des candidats. Jusqu’ici, ils avaient pourtant tenté de se hisser au-dessus de la mêlée, en évitant autant que possible les attaques personnelles. Il n’y a plus de place pour les bonnes manières dans le dernier droit de la campagne.

Marcel Côté a rendu un grand service à ses deux adversaires. Il a ramené une candidate portée par l’espoir d’un sondage à la dure réalité. Mélanie Joly a peu d’expérience, et sa compréhension des enjeux montréalais se limite parfois à des formules simplistes. La candidate compense son manque d’expérience par une confiance démesurée en ses propres moyens. Ses comparaisons boiteuses avec Robert Bourassa, Jean Drapeau et Steve Jobs n’ont rien fait pour la présenter sous un jour humble.

M. Côté a très bien fait dans ce duel. Il connaît mieux la gestion que son adversaire du moment, et il s’est permis de lui faire la leçon à quelques reprises, en autres en lui expliquant l’abc de la tarification des services à Toronto, une ville dont Mme Joly citait la fiscalité en exemple, sans fournir guère d’explications.

Le chef de la Coalition Montréal a même flirté avec le mépris, en banalisant l’expérience en gestion de Mme Joly. «Vous n’avez jamais rien géré de votre vie. Votre firme, c’était 14 employés», a-t-il lancé.

Dans l’autre face-à-face, il y a des moments où Richard Bergeron a dû batailler contre un adversaire invisible: l’automobiliste frustré.

L’animateur Pierre Bruneau s’est fait le porte-voix des automobilistes pris dans la congestion routière, comme si leur droit à la liberté de circuler était brimé par le programme de Projet Montréal.

Denis Coderre a saisi l’occasion pour traiter Richard Bergeron de «dogmatique» avec sa promesse de doter Montréal d’un tramway en quatre ans. «Tout le monde le sait que vous êtes un antivoiture», a-t-il lancé.

Il est vrai que le chantier du métro a été bouclé en quatre ans dans les années 70. La Ville de Strasbourg, en France, a mis cinq ans entre le lancement de son projet de tramway et l’inauguration de la première ligne, en 1994. À Montréal, où les grands travaux tournent au ralenti en raison du climat ambiant de corruption et de collusion — promettre le tramway en quatre ans comme l’a fait M. Bergeron — est un peu optimiste.

M. Bergeron n’était pas tellement intéressé à discuter de transport lundi soir. Il a pris pour cible l’intégrité de Denis Coderre. Il a recruté 24 élus d’Union Montréal, le parti «de la honte» selon Richard Bergeron. Alors qu’il était député libéral de Bourassa, il a bénéficié de 46 000 $ en dons de contributeurs ciblés par l’UPAC ou vus au quartier général de la mafia.

M. Coderre a assuré qu’il n’a rien à se reprocher. Il a comparé Richard Bergeron à «un technicien», alors que la métropole a besoin d’un leader qui connaît «la “game” politique».

Les quatre candidats s’affronteront encore ce soir et demain à LCN. Les hostilités sont lancées. Ils ne se feront pas de cadeaux.

 

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Imbroglio au sein de l’opposition syrienne

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Photo : BULENT KILIC / Stringer / Getty Images

Photo : BULENT KILIC / Stringer / Getty Images

L’opposition syrienne est semblable à l’Hydre de Lerne de par la multitude d’acteurs politiques et militaires qu’elle subsume dans un trait commun (dont le tracé lui-même peut paraître parfois peu évident) : la volonté de faire chuter le régime de Bachar al-Assad.

Ainsi, les soutiens à l’opposition syrienne paraissent perdus dans cette myriade d’acteurs. Le ballet diplomatique s’éternisant, l’on peine à voir le début d’une énonciation claire des objectifs stratégiques pour la résolution du conflit syrien. Néanmoins, un consensus à court terme de la communauté internationale semble se cristalliser autour de l’importance de la tenue de la conférence de paix, dite « Genève 2 », en novembre prochain.

Cette conférence a pour objectif d’amener les protagonistes du conflit à négocier. Toutefois, il n’est guère certain qu’elle puisse se tenir et encore moins aboutir à une feuille de route.

En effet, les divisions sont nombreuses, y compris au sein de la Coalition nationale des forces de l’opposition et de la révolution syrienne. Cette dernière, créée en novembre 2012, a pour ambition d’incarner l’instance politique légitime, représentant les diverses composantes ethniques, idéologiques et religieuses. Le Conseil national syrien (CNS) en est la principale composante.

Celui-ci a cependant annoncé à la mi-octobre qu’il ne participerait pas à la conférence Genève 2. A contrario, la Coalition nationale a prévu de se rendre à Genève 2, alors même que le CNS menace de la quitter si celle-ci participe à la conférence de paix (voir : La création de la « Coalition nationale des forces de l’opposition et de la révolution syrienne» : une tentative de structuration de l’opposition syrienne).

Par ailleurs, il a été observé au cours des derniers mois que le Conseil militaire suprême syrien (CMS) n’avait pas de réel contrôle sur les commandants locaux de l’insurrection et les différents groupes islamistes qui lui sont en théorie affiliés. Le CMS, organe militaire rattaché à la Coalition nationale, a été constitué en décembre 2012 pour coordonner les différentes opérations de l’insurrection syrienne. Dans les faits, il n’est au mieux qu’un organe de distribution, entre les différentes factions, du financement et des aides provenant entre autres de l’Occident, du Qatar et de l’Arabie Saoudite. De plus, son influence a été considérablement affaiblie récemment.

Le 24 septembre 2013, 11 groupes islamistes, parmi les plus importants de l’insurrection, ont annoncé dans une déclaration commune la création d’une « Alliance islamique ». Celle-ci énonce que les groupes signataires ne reconnaissent pas la Coalition nationale et que, de plus, celle-ci ne les représente pas en tant qu’instance politique. Paradoxalement, parmi les signataires, se trouvent des groupes membres du CMS, qui, lui, reste attaché à la Coalition nationale. Une confusion s’installe dès lors dans les relations qu’entretiendront à l’avenir ses groupes avec le CMS, sans compter que dans l’ « Alliance islamique » se trouve Jabhat al-Nosra, groupe affilié à Al-Qaïda. Enfin, 19 groupes rebelles ont rejeté formellement la tenue de Genève 2. (Voir : Portrait de l’insurrection syrienne : perspectives et tendances).

Ainsi, que l’on privilégie à l’avenir la solution d’une négociation avec le régime d’Assad, la dialectique tactique de la carotte et du bâton, ou encore l’option militaire, les éléments ne pouvant qu’enliser le conflit sont la déconnexion des dimensions politique et militaire au sein de l’insurrection syrienne, ainsi que le refus des composantes de l’opposition de prioriser un dialogue interne avec les nécessaires et parfois douloureux compromis l’accompagnant.

 

Adib Bencherif

Chercheur en résidence, Observatoire sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord

Chaire @RDandurand @UQAM

Suivez-le ici : @AB_analyst

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Mardi 13 Août - Ponte Ferreira - Melide - Arzua 34 km - 07h45

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Infos brèves au quotidien depuis la France: 6h30 : départ pour 34 km effectués en 6h35 pause de 30 mn comprise. 9h 30 : le dernier col du camino est franchi (alt 700m) ; nuages et temps frais. Descente sur la ville de Mélide. Depuis Mélide marche sur "l'autoroute à pélerins" (1 tous les 100m) ; beau...


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De retour avec la réponse à la devinette

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Me voilà d'retour du circuit qui s'est merveilleusement bien passé, merci. Pour la devinette, figurez-vous qu'il y a un gagnant et c'est notre ami Kofkof ! J'sais pas s'il l'a fait exprès ou si il a dit çà au hasard par dérision, mais c'est çà pile-poil ! La première photo a en effet été prise sur...


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Simiane-la-Rotonde

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Simiane-la-Rotonde est située dans les Alpes de Haute Provence.


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Blog de ontheroadagain - Nouveau départ

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Blog de ontheroadagain - Nouveau départ
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Décryptage des Captcha un grand pas pour l’intelligence artificielle

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Pour distinguer les utilisateurs humains des robots malveillants des pirates informatiques, nombre de sites Internet comme Paypal ou Google, par exemple, font appel au décryptage des Captcha (pour Completely Automated Public Turing tests to tell Computers and Humans Apart) — des suites de lettres censées être uniquement lisibles par l’oeil humain.

À lire aussi sur L’actualité.com:
Google Livres : tout le monde y participe (sans savoir)

Mais ce système réputé infaillible n’en a peut-être plus pour longtemps.

Hier, Vicarious, une «start-up» californienne, a annoncé qu’elle avait mis au point un algorithme capable de faire presque aussi bien que l’humain pour décoder les Captcha, sans pour autant nécessiter une puissance de calcul inaccessible aux hackers.

Selon Vicarious, l’algorithme, baptisé Recursive Cortical Network — et dont elle n’entend pas dévoiler les détails pour l’instant — pourraît reconnaitre jusqu’à 90 % des Captcha.

Il serait, aux dires de la compagnie, basé sur une analyse du traitement de l’information par le cerveau humain.

Un journaliste du magazine Science a soumis quatre séquences de lettres à Vicarious, dont deux provenant des sites de Paypal et Google, que l’algorithme a réussi à décrypter rapidement.

Les deux autres, l’une rédigée en alphabet cyrillique et l’autre sur fond à damiers noirs et blancs, n’ont pas été reconnues.

Même si on ne dispose pour l’instant d’aucune preuve de ce qu’avance la compagnie, Vicarious jouit d’une réputation de sérieux parmi les experts en intelligence artificielle (voyez le CV impressionnant des membres de l’équipe).

Si elle est avérée, cette découverte est d’importance, car ce serait la première fois qu’un algorithme parviendrait à franchir l’une des limites actuelles de l’intelligence artificielle, soit la reproduction d’un sens humain (la vue, en l’occurence).

Autrement dit, Vicarious a peut-être passé le test de Turing, censé pouvoir différencier l’humain de la machine, pour ce qui est de la vision.

Selon Vicarious, le décryptage des Captcha ne représente qu’un premier test de la performance de l’algorithme (qui est plutôt destiné à être utilisé sur des robots industriels) qu’un sens de la vision quasiment humain pourrait rendre beaucoup plus performants.

À voir (sans jeu de mots :-)).

 

 

 

 

 

 

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Nouvel An 2014

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Les ponts de la Toussaint sont passés, il est maintenant temps de penser à votre Nouvel An 2014 ! Qu’on le veuille ou on le passage dans une nouvelle année / la soirée de nouvel an est toujours une occasion particulière de prendre de bonnes résolutions ( de toutes sortes !), de partager de bons moments avec […]

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Qui a peur de Philippe Couillard

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Photo: Graham Hughes/Presse canadienne

Photo: Graham Hughes/Presse canadienne

Je me souviens encore très clairement de cette soirée d’automne, en 2003, dans le bureau de Gilles Duceppe au 5e étage du Parlement fédéral. Nous étions trois conseillers autour de lui, devisant tranquillement en sirotant un verre après une longue journée de travail.

À ce moment-là, Paul Martin s’en venait remplacer Jean Chrétien à la tête du PLC et comme premier ministre du Canada. Le futur PM était alors auréolé d’une popularité sans précédant dans les sondages. Les analystes prédisaient un balayage libéral au Québec, lors des élections fédérales. En juin, un sondage Léger leur donnait pas moins de 62% des intentions de vote. C’était du jamais vu.

La majorité des députés du Bloc étaient terrorisés à l’idée d’aller en élections contre le surhomme Martin. On peut les comprendre. Pourtant, ce soir d’automne, Gilles Duceppe n’avait pas peur. Ses trois conseillers non plus. Nous n’avions pas peur de Paul Martin. Nous devions être les seuls à Ottawa à cette époque à ne pas croire qu’il était un politicien si formidable. Sauf, peut-être, Jean Chrétien…

Il faut dire que M. Duceppe connaissait parfaitement Paul Martin, pour avoir siégé 13 ans face à lui. Nous savions, nous sentions presque physiquement que Martin n’était pas à moitié aussi coriace que Jean Chrétien. Nous connaissions ses points de vulnérabilité. Le chef du Bloc s’imaginait déjà, huit mois d’avance, au débat des chefs face au sauveur libéral. Les élections eurent lieu en juin 2004 et c’est finalement le Bloc qui a balayé le Québec, avec 49% des voix et 54 député sur 75.

L’année dernière, lorsque Philippe Couillard s’est lancé dans la course au leadership libéral, plusieurs dans son camp ont vu en lui un sauveur, l’homme providentiel qui allait ramener les libéraux au pouvoir. Plusieurs dans le camp péquiste se sont inquiétés. Il faut dire que l’homme a des qualités indéniables. Son intelligence et son calme peuvent intimider. En juin, un sondage de Léger le plaçait en tête des politiciens les plus appréciés des Québécois, le journal Le Devoir titrant «Couillard, chouchou des Québécois

C’est chou, mais ça ne suffit pas d’être chouchouté. Encore faut-il passer le test du leadership dans la vie politique réelle. Or, jusqu’à maintenant, à chaque fois que Philippe Couillard a eu à passer un test de leadership, il a échoué. Ses défis étaient pourtant clairement identifiés. Il devait:

  1. Renouveler l’équipe libérale et faire le ménage au sein d’un parti entaché par de multiples histoires de corruption
  2. Imprimer sa marque comme chef avec une idée, un projet, un enjeu qui lui soit propre
  3. Faire la démonstration de son jugement en tant que leader

Le Parti libéral présente aujourd’hui la même équipe usée qui a été rejetée par les Québécois en septembre 2012. Il a reconduit Jean-Marc Fournier dans ses fonctions de chef de l’Opposition officielle. Il n’y a tellement pas de changement que le caricaturiste du Soleil, Côté, a proposé ce jeu à ses lecteurs:

Le jeu des 8 erreurs

Non seulement le chef libéral est entouré des mêmes élus qui applaudissaient Tony Tomassi il n’y a pas si longtemps, mais il n’a rien trouvé de mieux pour incarner le changement que de nommer Daniel Johnson au poste de président de la campagne électorale libérale. Pour le sang neuf, il faudra repasser.

Chef d’un parti associé à la corruption, Philippe Couillard nous annonçait depuis des mois que ça allait changer au Parti libéral grâce à un code d’éthique qu’il allait faire adopter cet automne. Or, il a été incapable de faire adopter ce simple code d’éthique par son parti.

Le Québec au grand complet a éclaté de rire quand on a su que le premier principe consistait à respecter les lois. Quand on a entendu le président du Parti libéral affirmer qu’avec ces principes, les libéraux allaient «perdre des amis», nous avons été nombreux à nous pincer. On peut dire que Philippe Couillard aura montré l’exemple, lui qui a dû renier «un ami très proche» actuellement emprisonné au Panama.

Le Québec s’est bidonné, mais au bout du compte, ce qu’on a vu, c’est un chef incapable de changer le Parti libéral et de renouveler son équipe.

On s’attend aussi d’un nouveau chef qu’il imprime sa marque d’une façon ou d’une autre. Philippe Couillard nous promettait un changement de ton. Fini les attaques personnelles et le ton hargneux auxquels les libéraux de Jean Charest nous avaient habitué. Mais rien n’a changé à l’Assemblée nationale. Les insultes libérales (maudite folle, mange de la ma…) ont continué de fuser, tandis que les propos méprisants de Jean-Marc Fournier (La première ministre est assise sur son steak) ouvrent ponctuellement la période des questions. Le chef libéral n’a pas réussi à faire changer de ton à ses députés.

On sait qu’il entend devenir premier ministre, mais pour faire quoi? Au départ, il voulait signer la Constitution canadienne, un projet maintenant relégué au second plan. Puis, ce fut une réforme de la fiscalité, un code d’éthique, une stratégie maritime et, en fin de semaine, il est revenu avec une grande nouveauté: le Plan Nord! À ce rythme-là, Philippe Couillard aura bientôt autant de priorités que Paul Martin à l’époque, lui qui avait réussi à en identifier des dizaines. Cette semaine, notre priorité sera de…

Comme son prédécesseur, il répète maintenant que la priorité, c’est l’économie. Mais quelle crédibilité a-t-il sur cette question? Quelle expérience? En face de lui, il a une femme qui a occupé les fonctions de ministre des Finances, de présidente du Conseil du trésor et maintenant, de première ministre. Il y a François Legault, auréolé de son passé de chef d’entreprise qui a réussi, alors que les incursions de M. Couillard en affaires sont toutes controversées. De son passage de ministre de la Santé à une firme privé oeuvrant dans le même domaine et jusqu’à son association avec Arthur Porter, avec lequel il a fondé une entreprise, la route fut cahoteuse.

Philippe Couillard veut devenir premier ministre pour faire quoi? Jusqu’ici, il n’a pu répondre à cette question.

Et puis, il y a le jugement politique qu’on attend de quelqu’un qui aspire à devenir premier ministre. Il nous a donné un échantillon assez étonnant de son jugement le printemps dernier. Philippe Couillard avait alors exigé que le calendrier des élections à date fixe soit fixé en fonction des fêtes religieuses, notamment pour qu’elles ne coïncident pas avec Roch Hachana, le nouvel an juif. Le lendemain, les organisations juives refusaient de l’appuyer!

Il a décidé de garder secrète la descente de l’UPAC au siège du Parti libéral en plein été, au lieu de prendre les devants, ce qui aurait été une démonstration de sa volonté de transparence. Surpris comme le chevreuil devant les phares d’une voiture, il s’est fait prendre les culottes à terre, ayant l’air de se cacher.

Il a mentionné son ouverture à l’idée que Nathalie Normandeau se présente à nouveau pour les libéraux!?!

Sur la charte des valeurs, il s’oppose à l’interdiction des signes religieux, même pour les juges, prenant une position si radicale qu’il s’est lui-même isolé, seul dans son coin. Il s’est en quelque sorte auto-disqualifié du débat.

Que dire de sa réaction de mollesse suite aux écarts de conduite de l’obscur député Pierre Marsan, pris à distribuer une lettre dans une synagogue qui sollicitait des dons en rappelant grossièrement l’attribution d’un permis de garderie. On aurait voulu rappeler le scandale des garderies et le triste souvenir de Tomassi qu’on aurait pas fait mieux. Le député est encore là, comme si de rien n’était. À toutes les occasions qui se présentent d’exercer son jugement politique, Philippe Couillard échoue le test.

Ceux qui doivent sérieusement commencer à avoir peur de Philippe Couillard, ce sont les libéraux eux-mêmes.

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Mon espace de travail Pascale Quiviger

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Pascale Quiviger a remporté le Prix littéraire du Gouverneur général en 2004, catégorie «Romans et nouvelles», pour Le cercle parfait (éditions L’instant même).

Mon espace de travail

Mon espace de travail – Pascale Quiviger

« Écrire a toujours été ma façon de donner une forme à un paysage intérieur trop souvent surchargé et de le mettre en rapport avec la réalité extérieure, sa beauté, son mystère, sa complexité. J’avais trente-cinq ans quand mon premier roman a remporté le prix du Gouverneur général. Le fait qu’un livre créé dans des conditions extrêmement précaires soit ainsi honoré a transformé ma vision de mon travail. C’était un peu comme si on me donnait la permission de me considérer moi-même comme un écrivain. »

« Maintenant, j’écris tous les jours. Je m’absorbe très vite dans mon travail et les heures passent sans que je m’en aperçoive. Quand je m’arrête, il me faut du temps pour reprendre complètement pied. Si on m’entraîne dans une conversation, c’est un désastre. »

« J’ai tendance à abattre toute ma liste de choses à faire avant de me mettre au travail, pour me sentir libre de m’évader. J’essaie de travailler dans des espaces dégagés. J’évite souvent carrément la maison. Je travaille beaucoup dans les cafés du quartier où j’habite, dans le centre-ville de Nottingham. »

« Mais, plus que tout, j’aime travailler dans la cabane de notre jardin communautaire. C’est un grand jardin isolé et j’ai l’impression d’être en pleine nature. Il n’y a pas d’eau courante, ni d’électricité, ni de téléphone, ni de connexion internet: c’est parfait. Tous les outils sont rangés derrière ma table; devant moi, la fenêtre donne sur un énorme pommier. Si j’ai besoin de réfléchir, je le fais en jardinant. Mon petit chien se roule en boule dans l’herbe s’il fait beau, sur son coussin s’il pleut. Ce sont des moments de grand bonheur. »

Pascale Quiviger - Photo : Ellen Poppy

Pascale Quiviger – Photo : Ellen Poppy

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Blog de MargauxG - I have my PADI

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Blog de MargauxG - I have my PADI !!!
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Apple et le prix de l’innovation

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Photo: Justin Sullivan/Getty Images

Photo: Justin Sullivan/Getty Images

Faut-il s’inquiéter parce que les profits annuels d’Apple sont à la baisse pour la première fois en 11 ans? Ou plutôt se féliciter parce que ses revenus sont toujours à la hausse? Voilà en deux phrases les questions que se posent ses investisseurs et tous les férus de technologie.

D’un côté, il y a les pessimistes.

Oui, disent-ils, Apple continue de bien faire et ses revenus de 171 milliards de dollars en attestent. Malheureusement, ses produits ne se distinguent plus suffisamment pour permettre les faramineux profits dont elle avait l’habitude. Pour vendre autant, la marque à la pomme doit réduire ses marges. Cela fait trois trimestres consécutifs que ses profits diminuent, et la tendance les inquiète. D’autant que le titre, qui touchait les 700 dollars l’action en septembre 2012, peine à se maintenir au-delà des 500 dollars.

Ils se demandent aussi quel sera le produit extraordinaire qui succèdera aux iPod, iPhone et iPad, trois innovations qui ont assuré la renaissance et la domination de l’entreprise. Tim Cook, son PDG depuis août 2011, est un gestionnaire compétent, mais aura-t-il le génie et le cran pour lancer Apple dans une nouvelle aventure? Et quelle sera cette nouvelle incarnation? La montre? Samsung y est déjà. La télévision? Intel est en train d’en faire un véritable terminal numérique. Élargir le rôle et la dimension de iTunes? Ce serait copier Amazon. Accroître les services sur le Web? Google offre déjà une gamme de produits et de services impressionnants.

D’autres investisseurs se posent moins de questions et se contenteraient de l’encaisse de l’entreprise, un magot de 147 milliards de dollars. Le financier Carl Icahn exerce des pressions pour que l’entreprise donne le pognon à ses investisseurs.

Il y a aussi des optimistes qui remettent les choses en perspective.

Remettre tout l’argent aux investisseurs serait pour eux une bêtise absolue. L’entreprise a besoin d’argent pour innover, financer ses futurs projets et pouvoir affronter un éventuel passage à vide. Vider les coffres de l’entreprise, c’est la rendre vulnérable au seul bénéfice d’investisseurs à court terme qui sauteront sur une nouvelle proie un fois l’entreprise bien saignée.

Créer un nouvel iPhone ou iPad dans un tout nouveau marché? Plus facile à dire qu’à faire. Le iPhone est l’un des plus grands succès de l’histoire du monde des affaires. Selon le magazine BusinessWeek, les ventes du iPhone dépassent les revenus combinés de Coca-Cola et de McDonald’s. Si iPhone était une compagnie, elle serait plus grosse que Procter & Gamble, Boeing ou Home Depot. On ne créé pas de tels succès sur demande.

Le iPhone reste une formidable affaire. Apple en a vendu 33,8 millions au dernier trimestre, 26 % de plus que la période équivalente en 2012. Il y a encore de la place pour croître, puis que le iPhone n’est toujours pas distribué par China Mobile, le plus grand opérateur de téléphonie mobile au monde avec ses 740 millions d’abonnés. Oui, vous avez bien lu, 740 millions. Pour signer ce client, Apple devra forcément sacrifier sa marge bénéficiaire.

Apple vit une crise d’identité. On voudrait qu’elle réinvente la roue à chaque trimestre ou à chaque année. Cela est évidemment impossible et il faudra s’y faire, car les innovations de rupture, celles qui changent la donne et créé un marché, sont beaucoup plus rares.

Les récentes innovations consistent plutôt en des améliorations aux appareils et services existants. Ils sont plus puissants, plus légers et plus complets, et ce, au même prix que les précédents modèles. Cela n’est déjà pas mal, mais il faut arrêter de croire aux miracles quand on pense à Apple.

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Blog de lauriannejerome - Ko Lanta

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Record Un vol de 14 956 km sans escale

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turkish

D’ici 2017, Turkish Airlines assurera le plus long vol commercial du monde en reliant Istanbul à Sydney. Mais dans un premier temps, le Boeing 777-300ER fera une courte escale en Asie. Il deviendra ensuite le premier vol sans escale entre l’Europe et l’Australie.

14 956 km sépare Istanbul de Sydney. Actuellement, le plus long vol commercial du monde est détenu par Singapore Airlines entre Singapour et Newark. L’itinéraire parcourt 15 544 km en près de 19 heures. La liaison se termine en fin d’année en raison de son coût.

[Photo]

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Finlande le Père Noël vous dit « Oh Oh Oh

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santa-claus

Dans le nord de la Finlande, au niveau du cercle polaire, Rovaniemi est la ville natale du Père Noël. Vous avez envie d’autre chose cette année que d’un Noël gris et sans neige ? La Finlande en hiver est baignée d’une atmosphère magique. Mais couvrez-vous bien !

Envoyer du courrier affranchi avec le cachet spécial du Cercle polaire en Finlande à vos amis, faire ses achats dans les nombreux magasins et ateliers plein à craquer de cadeaux-souvenirs… Vous êtes partants ? Alors en route pour Helsinki ! Quoique, la route est encore longue vers le Nord pour remonter jusqu’au Cercle Polaire et Rovaniemi. Plus de 800 kilomètres !

Dans ces conditions, mieux vaut prendre un vol pour Oulu, la grande ville du nord de la Finlande, qui se trouve à une distance plus raisonnable du pays du Père Noël : environ 160 kilomètres. La compagnie SAS assure des liaisons directes au départ de Paris.

Le village de Santa Claus

Il paraît que le Père Noël passe le plus clair de son temps au Village-atelier, où il s’adonne à sa vocation : entretenir le bien-être des enfants, propager à travers le monde entier « le message d’amour et de bienveillance de l’Esprit de Noël ». Plus prosaïquement, disons que vous pourrez y rencontrer le Père Noël chaque jour de l’année.

Le Santa Park

Incontournable si vous êtes avec des enfants : c’est un parc d’attractions sous-terre consacré au Père Noël. Il se situe exactement sur le cercle polaire arctique, au nord de Rovaniemi. On y trouve une multitude de décors et d’activités qui recréent l’atmosphère de Noël : le Bureau du Père Noël, le bureau de poste des Elfes, le Gigantic Snow Globe, une usine de jouets, la possibilité de se faire prendre en photo avec des créatures féériques, etc.

Nous vous recommandons particulièrement de faire un tour par la cuisine de Madame Claus Gingerbread. On y sert du pain d’épice et du vin chaud chaud aux adultes et des friandises aux enfants.

  • Ouvert du 23 novembre au 11 janvier
  • Prix d’entrée : 31 euros pour les adultes, 25 euros pour les enfants (gratuit pour les moins de 3 ans)

Photos : Tarja Mitrovic / Flickr cc.
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Quizz voyage spécial villes les plus peuplées au monde

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Pour ce 52e quizz, nous avons décidé de faire un quizz voyage spécial villes les plus peuplées au monde.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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