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Blogs voyage

Dépaysement

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Malgré la pluie, nous sortons nous promener dans les petites rues de Melaka. C'est un total dépaysement. Mosquée, temple chinois et indien se côtoient. Les bâtiments style hollandais de
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Début de notre grande aventure

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Voila, cela fait maintenant une semaine que notre aventure a réellement débuté. Une semaine que nous allons de plage en plage accompagné d'un grand soleil... Et oui, nous sommes bien en Floride :  Nous n'avons pas
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Journée à Cusco

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Ce matin debout vers 8h, il est donc 14h en France, on en profite pour téléphoner à nos familles et Emilie pour aider sa sœur à faire son DM de maths ! (Si c'est pas gentil et beau l'amour entre sœurs ! Fa
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La Dolce Vita

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La Bolivie, comparée au Pérou, c'est la Dolce Vita. Cochabamba (quel nom ridicule pour une ville!) a vraiment été la ville qui nous a fait comprendre que l'on pouvait prendre du
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Le Laos Luang Namtha

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Si on vient a Luang Namtha, comme la plupart des villes de l'exreme nord du Laos, c'est pour faire un trek dans la jungle. On fait donc le tour des agences et on trouve un trek de 2 jours, ou l'on passe une nuit dans un village authentique. Ca nou
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Mike Duffy le Sénat et le déplacement du scandale

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Le sénateur Mike Duffy

Le sénateur Mike Duffy

Les sénateurs Mike Duffy, Pamela Wallin et Patrick Brazeau n’ont rien fait pour attirer la sympathie des Canadiens. Ils ont pigé allègrement dans le buffet des fonds publics, grâce à des règles particulièrement floues du Sénat. (Le comité de la régie interne du Sénat doit d’ailleurs partager une part du blâme dans cette affaire.)

Ils se battent aujourd’hui pour ne pas être suspendus sans salaire du Sénat jusqu’aux prochaines élections, dans deux ans. Stephen Harper souhaite les écarter le plus loin possible de la scène, ayant nommé les trois au Sénat. Gênant. Il veut donc mettre ce scandale derrière lui au plus vite.

Mais en les poussant dans leurs derniers retranchements, il a fait réagir les bêtes blessées. Wallin, Brazeau et Duffy ne veulent pas mourir seuls dans leur coin. Ils répliquent.

La plus cinglante vient certainement de Mike Duffy, ancienne vedette du journalisme télé, que les conservateurs utilisaient avec joie comme orateur vedette dans leurs activités de financement lorsqu’il a été nommé à la Chambre haute.

Ses révélations depuis une semaine, qu’elles soient vraies ou partiellement vraies, font mal au premier ministre et à son entourage.

D’un scandale des dépenses au Sénat, on est passé à un scandale de gestion au bureau du premier ministre Harper.

En voulant éloigner les sénateurs gênants avec sa motion de suspension, il a finalement ramené les réflecteurs vers lui.

Et maintenant, on ne sait plus qui ment pour s’en sortir.

Voici trois raisons qui font en sorte que ce scandale fait mal au gouvernement Harper:

(1) La base militante du Parti conservateur est en colère. Elle était déjà mécontente que la réforme du Sénat promise par Harper piétine. Voir certains des sénateurs-vedettes du PC épinglés pour une mauvaise gestion des fonds publics a été une insulte au sein d’un parti qui a fait de la «loi et l’ordre» l’un de ses créneaux dominants.

L’injure a été ajoutée à l’insulte aujourd’hui, alors que Mike Duffy a affirmé que le chèque de 90 000 $ signé par Nigel Wright — l’ancien chef de cabinet de Harper — pour l’aider à rembourser ses réclamations illégitimes n’était pas le seul. L’avocat du Parti conservateur, Arthur Hamilton, aurait fait un chèque de 13 560 $ pour aider Duffy à couvrir ses frais juridiques dans cette saga.

Mike Duffy a dit croire que cet argent provient du parti — donc, en bout de piste, des membres conservateurs qui ont donné à leur formation. Une formation en laquelle ils croient. Et en laquelle ils ont placé leur confiance.

Ils ont donné pour la cause, et se retrouvent par la bande à financer les agissements douteux d’un sénateur non élu…

Avec le congrès du Parti conservateur qui commence vendredi à Calgary, le moment ne pouvait pas plus mal tomber pour Harper.

Il le sait. C’est pourquoi le premier ministre a fait trois entrevues à la radio depuis vendredi dernier, pour tenter de calmer le jeu. L’homme n’aime pas les entrevues. La dernière fois qu’il a fait une offensive média de cette ampleur (outre les campagnes électorales), c’était en décembre 2008, lors de la crise parlementaire qui menaçait la survie de son gouvernement.

C’est dire si ça chauffe.

(2) Les sorties de Duffy, Wallin et Brazeau ont touché une corde sensible au sein même du caucus conservateur. Plusieurs sénateurs (Hugh Segal, Donald Plett) et députés (Peter Goldering, Peter Kent…) s’opposent à la motion de suspension des sénateurs, même si ces derniers ne sont plus membres du caucus.

Ils jugent que cette volonté de les suspendre sans salaire va trop loin et brime l’indépendance du Sénat, car aucune accusation de la police n’a été déposée, et que les trois sénateurs siègent maintenant comme indépendants. Harper utilise donc sa majorité au Sénat pour punir trois sénateurs indépendants. Aussi populaire cette volonté puisse-t-elle être dans l’opinion publique (je répète que les trois ne méritent pas beaucoup de sympathie), elle pourrait devenir un dangereux précédent, disent ces députés et sénateurs. Qui sait si l’arbitraire pour suspendre des sénateurs (qui votent des lois, rappelons-le) ne sera pas le nouvelle norme, peu importe le parti au pouvoir?

Qu’on aime ou non la décision de Harper de sanctionner les trois sénateurs, le fait que certains de ses députés ou sénateurs attaquent la position du premier ministre nuit à son autorité, ainsi qu’à son image de leader fort et stratégique.

Les tirs amis font toujours plus mal que les tirs ennemis.

(3) La controverse touche directement le bureau du premier ministre et sa gestion interne des affaires de l’État. Qui savait quoi? Qui a tenté de camoufler les agissements des sénateurs quand la controverse a éclaté, au printemps dernier? Que savait vraiment le premier ministre, qui dit ne rien vu venir jusqu’à la démission de son chef de cabinet?

Mike Duffy affirme que c’est le bureau du premier ministre qui l’a forcé à rembourser les 90 000 $; que c’est le bureau du PM qui a élaboré la stratégie médiatique, le forçant à mentir au début en disant qu’il avait contracté un prêt de 90 000 $ à la Banque Royale pour rembourser, alors que le chèque provenait en fait de Nigel Wright; que le bureau du PM savait pour les demandes de remboursement et qu’on lui a dit que c’était correct d’agir ainsi… jusqu’à ce que la controverse éclate.

Bref, maintenant, la question est de savoir: qui savait quoi?

En recoupant les histoires de chacun, les textes dans les journaux et les reportages à la télé, on constate que pas moins de 13 personnes dans l’entourage du premier ministre ont été mêlées de près ou de loin à la gestion des dépenses des sénateurs et à la controverse lorsque celle-ci a éclaté.

Mais le premier ministre continue de dire qu’il n’était pas au courant de la stratégie élaborée par son entourage…

Quand la crédibilité du premier ministre commence à s’effriter, ce n’est pas une bonne nouvelle pour le gouvernement.

Stephen Harper avait un plan pour relancer son gouvernement. Il a remanié son conseil des ministres, proposé un nouveau discours du trône, fait atterrir l’accord de libre-échange avec l’Europe et transformé son équipe immédiate et ses conseillers au Québec. J’en parle d’ailleurs dans le nouveau numéro de L’actualité en kiosque présentement. À long terme, sa stratégie pour remettre son gouvernement sur les rails pourrait fonctionner.

Mais le scandale du Sénat se déplace dans son bureau, et il est en train de le tirer vers le fond. Il devra d’abord sortir la tête de l’eau avant de penser relancer sa formation.

 

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Les nouvelles amitiés québécoises

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Pour la majeure partie des 50 dernières années, la politique québécoise a été définie par la question nationale. Avant toute autre considération, les individus et les formations politiques se distinguaient et s’opposaient sur la question du statut politique du Québec: on militait pour ou contre l’indépendance du Québec, pour ou contre la préservation de notre lien au Canada. La question de la langue, distincte mais connexe, alimentait aussi régulièrement nos débats.

Le Parti libéral était le parti des fédéralistes, le Parti québécois celui des souverainistes. Au plan économique, le PLQ était un peu plus libéral, et le PQ plus social-démocrate, mais les deux formations ne se distinguaient pas très significativement sur l’axe gauche/droite. Les oppositions les plus énergiques concernaient les relations entre le Québec et le Canada. (La formule péquiste voulant que la souveraineté ne soit «ni à droite, ni à gauche, mais en avant!» exprime bien le caractère secondaire qu’avaient tous les autres enjeux par rapport à la question nationale.)

À l’exception des consensus internes sur l’indépendance ou le fédéralisme, les «tentes» péquistes et libérales étaient relativement diversifiées: on trouvait, de chaque côté, des progressistes et des conservateurs, des ruraux et des urbains, des tenants du laissez-faire et d’un État plus interventionniste, etc. Chaque groupe influençait la personnalité politique de son parti à divers degrés.

Puis, au cours de la dernière décennie surtout, la droite et la gauche ont émergé comme nouveaux pôles de ralliement politique, qui s’ajoutaient aux pôles fédéraliste et souverainiste. La fondation de Québec solidaire, en 2006, en constitue sans doute la manifestation la plus évidente. Le Québec comptait soudain un parti politique non-marginal pour qui la gauche décomplexée primait sur la souveraineté. «L’indépendance si nécessaire, mais pas nécessairement», selon la formule d’Amir Khadir. Dans la tente de QS — contrairement aux tentes péquiste ou libérale — on trouve des souverainistes et des fédéralistes, unis par une certaine conception de la justice, du bien commun et du rôle de l’État.

Si aucun parti politique n’est apparu à l’autre bout du spectre (la défunte ADQ est née à la suite d’un désaccord sur la question nationale, et n’était pas réellement à la droite ce que QS est à la gauche), le discours politique de la droite décomplexée a commencé à se faire entendre lui aussi, notamment via la fondation du Réseau Liberté-Québec et l’émergence de certaines voix médiatiques à tendance libertarienne. Dans ce groupe on trouve aussi des souverainistes et des fédéralistes unis, eux aussi, par une conception de la justice, du bien commun et du rôle de l’État. Et pour la droite «pure» comme pour la gauche «pure», la question nationale est secondaire.

(En entrevue à Tout le monde en parle, le libertarien Éric Duhaime a déclaré sans hésitation qu’il préférait un gouvernement de droite dans un Québec souverain qu’un gouvernement de gauche dans un Québec canadien, avant d’ajouter qu’il était las de cette question. On imagine facilement Amir Khadir, qui a voté NPD aux dernières élection fédérales, préférer un Québec de gauche au sein du Canada qu’un Québec souverain de droite.)

Bien que le PQ et le PLQ soient demeurés les principales forces politiques au Québec, l’émergence des pôles de droite et de gauche a eu un effet déstabilisant sur l’échiquier québécois. L’idée qu’on puisse faire de la politique mainstream tout en considérant la question nationale comme secondaire a même propulsé la Coalition de François Legault à près de 40% d’appuis il y a trois ans. Les obsédés de la souveraineté ou du fédéralisme demeuraient, évidemment. Mais, clairement, un vaste segment de la population avait envie de passer à autre chose.

Jusqu’à tout récemment, donc, la politique québécoise s’analysait principalement sur deux axes: le bon vieux clivage souverainiste/fédéraliste, et les nouveaux pôles gauche/droite. Les souverainistes sont convaincus que l’avenir social, culturel et économique du Québec serait plus radieux si la province devenait un pays, alors que les fédéralistes croient que le rattachement du Québec au Canada est plus avantageux. La gauche considère que l’État devrait taxer et réglementer davantage l’activité économique, pour redistribuer la richesse de manière égalitaire, alors que la droite considère que l’État ne devrait pas interférer avec l’activité économique et qu’il devrait favoriser davantage la liberté et la responsabilité individuelles, suivant un principe de méritocratie.

Mais alors même qu’on commençait à s’habituer à un paradigme politique plus complexe, un troisième axe est apparu: l’axe identitaire. Et tout comme l’émergence d’un axe gauche/droite a soudain permis à des souverainistes et des fédéralistes de cohabiter sous la même tente, l’émergence de ce nouvel axe identitaire brasse les cartes pour faire naître des alliances inattendues.

Si le débat en cours sur la Charte des valeurs consacre cette nouvelle dichotomie, elle ne date pas d’hier. Certains la font remonter au commentaire de Jacques Parizeau sur le «vote ethnique» de 1995, qui avait divisé le clan souverainiste. Le psychodrame des accommodements raisonnables de 2006-2007 a donné la mesure du potentiel électoral et des oppositions viscérales qu’elle suscite. Et le projet péquiste de «citoyenneté québécoise», avancé en 2007, annonçait déjà le virage qu’on observe aujourd’hui. (Ce projet avait déjà été vivement dénoncé par les souverainistes progressistes.)

Ce nouvel axe identitaire oppose deux conceptions de la société. D’un côté le pôle «multiculturaliste», favorable à la diversité culturelle et religieuse, tolérant des choix identitaires personnels, et peu attaché à l’idée d’État-nation ou à la préservation d’une identité traditionnelle et homogène. De l’autre le pôle «monoculturaliste», réfractaire à la diversité culturelle et religieuse, favorable à un encadrement strict des choix identitaires personnels, partisan du concept d’État-nation et défenseur d’une «identité commune» uniforme, qui limite ou assimile la différence.

Ces deux camps ont vu naître, sous leur tente respective, des amitiés impensables il y a quelques mois à peine.

Chez les multiculturalistes, on a vu des ultra-souverainistes d’Option Nationale s’allier aux ultra-fédéralistes du Parti Libéral du Canada. On a vu des féministes demander qu’on respecte le choix des femmes de s’habiller comme elles veulent. On a vu la droite attachée aux libertés individuelles, opposée à l’ingérence de l’État dans les choix privés et réfractaire aux tentatives d’uniformisation sociale, marcher avec la gauche soucieuse d’égalité, opposée à la discrimination, et préoccupée d’intégration socioéconomique et de justice sociale. Tous ces gens unis, malgré leurs divergences profondes sur d’autres enjeux, en faveur d’une société diversifiée et inclusive.

Chez les monoculturalistes, on trouve aussi des souverainistes et des fédéralistes, soudain unis dans leur volonté de limiter ou d’exclure certaines pratiques religieuses minoritaires. On trouve d’autres féministes, convaincues de l’oppression symbolique du voile, et opposées à la liberté des femmes de le porter. On a vu des conservateurs qui voudraient réglementer le cadre identitaire permissible au Québec et imposer une «identité nationale» ancrée dans l’histoire du Québec (incluant le crucifix) marcher avec des ultra-laïcs qui voudraient essentiellement chasser la religion et ses manifestations (incluant le crucifix) de l’espace public. Tous ces gens unis, malgré leurs divergences, en faveur d’une société plus homogène, qui encadre plus étroitement les choix identitaires.

Il est encore trop tôt pour déterminer exactement comment ces nouvelles amitiés affecteront la donne politique québécoise au cours des prochaines années, mais il est clair que l’importance relative accordée à ces valeurs sera déterminante. Entre ses convictions souverainiste, de gauche et multiculturaliste, quel pôle un citoyen X privilégiera-t-il? Quelle sera la priorité d’une citoyenne Y, fédéraliste, de droite et monoculturaliste?

Verra-t-on apparaître de nouvelles formations politiques qui incarneront toutes les nuances de ces allégeances émergentes? La pression populaire pour l’adoption d’un mode de scrutin plus représentatif de l’opinion publique deviendra-t-elle irrésistible?

*       *       *

Dans une soirée d’Halloween vendredi dernier, j’ai croisé un militant Libéral, début trentaine, qui se disait souverainiste. Un oiseau rare, assurément. Et il semblait sérieux, malgré son costume de Björn Borg. «Je crois à la souveraineté du Québec,» dit-il, «mais pas avec la gang de fous du PQ actuel».

Visiblement, la volonté du PQ de régimenter l’identité nationale a libéré bien des identités politiques.

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Blog de milou - un dimanche à la mer suite

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Blog de milou - Un dimanche à la mer

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Blog de milou - Un dimanche à la mer......
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7 gadgets pour voyageurs d’affaires avertis

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Pour quiconque se déplace par affaires, voyager efficacement est aussi impératif qu’arriver à l’heure à un rendez-vous. Afin de partir du bon pied, Business Insider et enRoute y vont tous deux d’une série de suggestions, de conseils et d’accessoires qui facilitent la vie du voyageur assidu. En voici sept exemples.

Un chargeur portable
De plus en plus d’aéroports disposent de postes de recharge, mais il demeure parfois difficile de trouver une prise de courant dans plusieurs d’entre eux. Pour pallier à cette lacune, un petit chargeur portable (une pile rechargeable, en fait) se glisse aisément dans la valise, tandis que d’autres chargeurs, en forme de verre, s’intègrent au porte-bouteille de la console centrale des automobiles. Il existe aussi, en dernier recours, des chargeurs solaires et à manivelle.

Un modem MiFi
Même si plusieurs aéroports offrent désormais une connexion WiFi gratuite, d’autres continuent de facturer ce service. Pour un peu plus d’une centaine de dollars, on peut se procurer un modem cellulaire 4G (appelé aussi MiFi ou hotspot sans fil, comme le Jetpack de Verizon ou le Novatel Liberate), qui permet de disposer d’un accès Internet dès qu’un réseau est disponible.

Un support à téléphone/GPS
Au lieu de louer un coûteux GPS auprès de la compagnie de location de voitures, emportez un support à téléphone multifonctions et utilisez son GPS intégré. Le support peut aussi servir à utiliser le téléphone en mode mains libres.

Un limiteur de surtension multiprises
Si les prises de courant peuvent s’avérer rares dans les aéroports, elles peuvent aussi l’être dans la chambre d’hôtel, quand elles sont accessibles. Avec un limiteur de surtension (à prises régulières et USB), une prise murale suffit à alimenter ou à recharger tout le bataclan électronique du voyageur d’affaires.

Un micro surpuissant
Pour enregistrer une réunion d’affaires et être sûr de capter la voix de tout le monde autour de la table de conférence, on peut se procurer un petit micro (comme le IRig MIC Cast) qui se fixe aisément au téléphone multifonctions.

Un mini-projecteur
Compatible avec un téléphone multifonctions, ce projecteur permet d’improviser une présentation en un tournemain.

Des casques audio avec antibruit
Pour favoriser le sommeil lors des longs vols, mieux vaut choisir ce qu’on veut entendre (de la musique planante au lieu des pleurs d’un bambin, par exemple) grâce à un casque audio qui étouffe les bruits ambiants.

Pour consulter la liste de conseils et d’accessoires de Business Insider, cliquez ici; pour celle d’enRoute, c’est par là. D’autres intéressants gadgets sont également suggérés ici.

Pour me suivre sur Twitter, cliquez ici.

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LIAT le petit transporteur broche à foin des Caraïbes

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Malgré plusieurs centaines de vols au compteur, il ne m’est arrivé que très rarement de rater un avion, ces 20 dernières années. Mais ce week-end, j’ai pu revivre cette agréable expérience grâce aux bons soins de LIAT, compagnie aérienne desservant une multitude d’îles des Caraïbes, et qui jouit d’une réputation particulièrement mauvaise — avec raison.

Samedi matin donc, je devais quitter Saint-Vincent-et-les-Grenadines à bord d’un vol de LIAT, pour attraper un vol de WestJet à Bridgetown, à la Barbade. Un saut de puce d’à peine 30 minutes, que j’avais amplement le temps de réaliser grâce à quatre bonnes heures de temps de correspondance entre mes deux vols.

Dès mon arrivée à l’aéroport de Kingstown, à Saint-Vincent, on annonçait — sur un vulgaire tableau de papier — que mon vol matinal sur LIAT était retardé… de près de deux heures et demie. Mais j’avais encore la possibilité d’arriver à temps puisque je prends toujours la précaution, autant que faire se peut, de voyager léger et de ne pas envoyer mes bagages en soute, pour ne pas avoir à les attendre entre deux vols.

Rien n’est cependant si simple avec LIAT, qui n’accepte les bagages en cabine que jusqu’à concurrence de 15 lbs. J’ai donc dû envoyer ma valise en soute… avant de me raviser, de la faire revenir et de transvider une partie de son contenu dans mon sac à dos, tout en abandonnant de la paperasse et mon volumineux Rough Guide to the Caribbean, pour alléger et équilibrer le tout.

Cela fait, j’avais encore espoir de ne pas rater mon prochain vol. Mais quinze minutes plus tard, un nouveau retard d’une heure additionnelle était annoncé. Cette fois, c’était foutu, et j’étais d’autant plus frustré en apprenant que le prochain vol de WestJet était… deux jours plus tard.

À ce stade-ci, n’allez pas croire que LIAT s’est confondu en excuses, a offert de me placer sur un autre vol, de me loger à ses frais ou de pourvoir à une quelconque compensation monétaire pour réserver mon prochain vol, quel qu’il fut. «Conformément à notre politique, nous ne pouvons rien vous offrir de plus que nos excuses… ainsi qu’un repas chez PFK», de lâcher laconiquement un préposé. J’étais déjà rouge de colère, je n’avais pas envie de devenir vert de nausée.

Peu de temps après, coup de théâtre: l’avion allait peut-être arriver 30 minutes plus tôt, faisant renaître mon espoir de dormir dans mon lit le soir-même. Une fois monté à bord d’un ATR flambant neuf, arrivé sans passagers mais bourré de bagages (LIAT est aussi réputée pour les perdre à répétition), la gentille et souriante agent de bord demeurait confiante, puisque j’avais prévenu WestJet par téléphone de mon retard et que je m’étais pré-enregistré.

Une fois descendu de l’avion, j’ai donc entrepris un marathon jusqu’aux contrôles douaniers de Bridgetown… où il n’y avait aucun préposé, ajoutant de longues minutes à mon retard. Une fois les formalités complétées, j’ai repris mon marathon jusqu’au comptoir de WestJet, en vain: l’embarquement était terminé, et pas question de monter à bord.

Avec quelques litres de sueur en moins, j’en fus quitte pour réserver un siège sur le vol d’Air Canada du lendemain — 435 $ l’aller simple, ce que LIAT ne remboursera évidemment pas, pas plus que mes taxis, mon hôtel et mes repas.

À la rigueur, j’aurais pu comprendre ce retard si le mauvais temps en avait été la cause, surtout que la veille, il avait plu des trombes d’eau dignes d’une mousson. Mais non. Ce qui a retardé mon vol, c’est l’incapacité de LIAT à trouver un pilote, ce samedi matin. Pourtant, l’avion partait d’Antigua… où l’entreprise a son siège social.

Cette histoire n’est qu’une parmi les innombrables vécues par des contingents de passagers frustrés et insatisfaits de ce transporteur, qui suscite au mieux les moqueries, au pire le mépris, dans les Caraïbes. Son nom, qui signifie « Leeward Island Air Transport », a d’ailleurs été travesti en maintes formulations loufoques, dont «Leaving Island Any Time», «Luggage In Another Town», «Lousy In All Things» et «Languishing In All Terminals».

Évidemment, les plaintes fusent de toutes parts à l’égard de LIAT. Mais aucune n’égale celle qu’a écrite Arthur Hicks, un passager dont la mésaventure bat à plate couture celle de tous les autres usagers du petit transporteur broche à foin.

En juin dernier, Sir Richard Branson, le milliardaire propriétaire de Virgin Airlines, a diffusé ce petit bijou de sarcasmes (traduction en français ici) à ses millions d’abonnés Twitter, et il est rapidement devenu viral. Dommage que LIAT, qui n’a que peu de concurrents sur ses dessertes, ait retourné la situation à son avantage et en ait profité pour accroître sa visibilité

Pour m’attraper au vol sur Twitter, c’est par ici; sur Facebook, par là.

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l art de rien

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LE lundi cest encore la plage.cela devient un peu la routine .................. bien sur il y a que cela la plaga ..et le bronzage..pourquoi sans privé......hein hein hein hein pourquoi se refuser une petite sieste sous le soleil ..on va pas non plus rester cloitré entre quatres murs avec un tel...


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Château de Chaumont sur Loire et Vol en montgolfière

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Août 2013, je viens passer quelques jours chez ma mère qui vit dans le Loiret, elle me propose d'aller voir le château de Chaumont sur Loire ou se déroule chaque année le festival international des jardins, puis de terminer par un vol en montgolfière au dessus de la Loire. Chaumont sur Loire se...


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Métal steel

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UN JEUDI DE BALADE

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... et le panorama qui va avec. Retour par les petites routes du Gaillaquois, cette année nous profitons de l'été indien, ce qui n'a pas été le cas l'année dernière!


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Découverte de lun des plus vastes lagons fermés du monde

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Demain, ne manquez pas notre reportage direction Mayotte. C'est sur France 5 à 15h40 !


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Une grande pause

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Apres une pause bien trop longue, mais indépendante de ma volonté. Je reviens parmi vous. Le port s'est rempli a nouveau de marins qui attendent que les tempêtes d'hiver soient passées pour traverser l'atlantique, pour la plupart.


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«Des toiles apériodiques

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«Des Toiles Apériodiques », est un recueil de vingt cinq poèmes de Kacem Loubay, natif de Khénifra, surnommé, «Poète de l'autre rive», a été présenté samedi dernier, lors d'une cérémonie organisée au siège de la maison du citoyen de la ville de Khénifra, en présence de professeurs, d'hommes de...


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Déjà 3 mois

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Eh oui, trois mois que je suis arrivé au Cambodge , la semaine prochaine.Bien sûr, il a fallu tourner cette vilaine page thailandaise de 2013, retrouver un logement, s'organiser, trouver des points de repères... regarder, écouter, essayer de communiquer. Et ça, ce n'est pas facile ... Les touristes...


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Un au revoir au Crestet

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Un au revoir vivant à ce village si pittoresque...


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Le gala de l’ADISQ en 17 points et un peu de mauvaise foi

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1) Mon premier gros bémol de la soirée va à… moi, qui suis arrivé devant mon téléviseur à 20 h plutôt qu’à 19 h 30, parce que les vrais hommes ne demandent pas le chemin et ne consultent pas le téléhoraire. J’ai donc manqué tout un numéro d’ouverture (m’a-t-on dit), le très drôle (m’a-t-on dit aussi) stand-up d’introduction de Louis-José Houde et un discours de remerciements de Louis-Jean Cormier. Heureusement, pour ce dernier, j’allais pouvoir me reprendre.

2) Louis-Jean Cormier est rock. Keith Kouna est rock. Daniel Bélanger dans son délire rétro est rock. Les Trois Accords sont rock. Jean-Marc Couture (hum… Qui? Laissez-moi googler… ha! Un ancien académicien. D’accord. On peut poursuivre.) est rock. Tout le monde est rock, selon cette catégorie! Et ma tante Gertrude, elle est rock? Et ma chaise de cuisine, elle est rock? Bref, les catégories du gala de l’ADISQ sont souvent la preuve patente que de catégoriser la musique est un exercice particulièrement absurde… surtout quand c’est le producteur de l’album qui décide de la catégorie où il l’inscrit.

3) Hélène était une chanson délicieusement sucrée (oui, oui : délicieusement!) à l’époque, et elle l’est encore. Souligner son anniversaire n’était pas essentiel, mais c’était bien. Coeur de pirate, par contre… Comment dire? Parfois, j’ai l’impression que la jeune dame sonne de plus en plus souvent comme une imitation de Coeur de pirate.

4) Après des années à me gratter l’os occipital en me demandant ce que peut bien désigner la catégorie «Adulte contemporain», voilà que le formidable Louis-José Houde nous offre la réponse: il s’agit d’une catégorie pour ces artistes qui sortent «un album plus mature». Ça a beau être une blague, ça a tout de même beaucoup de sens.

5) Vous n’avez PAS aimé l’animation de Louis-José Houde? Avez-vous déjà pensé consulter?

Vous voulez d’autres images qui bougent, comme celle-ci? Passez au iciradiocanada.tumblr.com. L’équipe de médias sociaux de Radio-Canada en a concoctés plusieurs très rigolos.

6) Tout au long du gala, quelques capsules sont venues souligner le travail de ces gens de l’ombre qui gèrent les carrières des artistes. C’est une bonne chose. Croyez-moi, savoir organiser un spectacle, envoyer un communiqué aux journalistes, concevoir une pochette et tout le reste, ce n’est pas donné à tout le monde. Écrire de bonnes chansons, c’est bien, mais ce ne sera jamais suffisant pour vous permettre d’en vivre.

7) À chaque année depuis 10 ans (au moins), un artiste (une sœur Boulay, cette année) profite de ses remerciements pour dénoncer les radios commerciales. Et est-ce que ça a changé quoi que ce soit? La réponse en deux mots : Pan et Toute. Je sais bien que ce serait agréable pour tout le monde de passer à CKOI et à CKMF (ou peu importe leur nouveau nom, j’ai cessé de suivre) et de pouvoir vendre éventuellement plus d’albums. Mais ça n’arrivera pas. D’abord, il y a une différence de son entre le disque des sœurs Boulay et celui de Marc Dupré, et l’un ne coule pas très bien après l’autre. C’est la même chose quand la radio de Radio-Canada nous envoie une pièce de Marie-Mai: ça ne sonne pas naturel. Sinon, doit-on rappeler qu’en 2013, ce n’est plus aussi nécessaire de passer entre les rires bien gras de l’équipe du matin pour exister dans le paysage musical?

8) Parlant radio, j’aimerais profiter de ce billet de blogue au sujet du gala de l’ADISQ pour vous annoncer les invités de ma propre émission cette semaine… Vous voyez, Marina et José, combien ça manque de classe ?

9) Parlant de Marina Orsini, j’espère que les artistes vont la prendre au mot et commencer à se présenter à son émission sans attendre d’être invités. Après tout, elle a bien dit qu’ils étaient les bienvenus, non?

10) Si vous trouviez le duo Roch Voisine/Coeur de pirate complètement improbable, vous avez dû vous étouffer en voyant l’époustouflante prestation d’Oliver Jones, Matt Herskowitz, Daniel Thouin, Alex McMahon et Luc Beauséjour. Un bon coup musical du gala.

11) Kaïn, Mes Aïeux, Loco Locass, Les Cowboys Fringants… La catégorie s’appelle Groupe de l’année. On ne dit pas quelle année, par contre. En 2014, ce sera sûrement au tour d’Arcade Fire. (Ne retenons pas notre souffle, puisqu’il faudrait pour cela changer les règles et convaincre le groupe de s’inscrire lui-même.)

12) Une rumeur veut que l’ADISQ ne prenne pas la peine de réimprimer une nouvelle enveloppe pour Mes Aïeux chaque année. Ils recyclent plutôt celle de 2009.

13) Permettez-moi d’être un amateur de musique snob quelques instants : les gagnants choisis par le public nous font redouter le pire pour les élections municipales à venir. Vox populi, vox Marc Dupréi.

14) Remettre une série de Prix du public en finale de gala, quand on vient de passer toute une soirée à remettre des prix selon le mérite (dit-on), c’est s’assurer un «clash» pas possible. C’était inévitable. Pourquoi ne pas les disperser dans la soirée ? Ainsi, les amateurs de musique n’ont pas l’impression que la soirée se termine en queue de poisson et le grand public n’a pas à attendre à la toute fin pour voir ses chouchous faire des remerciements. Mettons-nous à la place de la madame de la rue Panet. Elle devait être tannée de demander à son mari «c’est qui ça, Keith Kouna?».

15) Dans la catégorie Chanson de l’année, on trouvait une reprise (Mon coeur pour te garder, reprise par Amélie Veille d’une chanson chantée par Noëlle Cordier en 1977). C’est parce que, durant l’année, il ne s’est écrit que neuf chansons au Québec. Il fallait bien remplir la dixième case de cette catégorie avec quelque chose. Mentionnons aussi au passage que la chanson gagnante de l’an dernier, Sans cri ni haine, de Marie-Mai, était une reprise en français de la méga-star suédoise Robyn.

16) Félicitations à Karim Ouellet pour son Félix de la chanson de l’année. C’est tout à fait mérité. L’amour est, sans conteste, un petit bijou de musique pop. [Ne me parlez pas de Marc Dupré, je fais du déni. Merci.]

Encore une fois, un gif animé concocté avec l’argent de nos taxes. iciradiocanada.tumblr.com

17) Si Louis-Jean Cormier avait gagné un prix de plus, il ne lui serait resté que le gars qui a inséré le livret dans la pochette de son disque à remercier. Un chic type. (Ho, et Louis-Jean aussi a l’air d’une bonne personne.)

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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