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Point à mi parcours

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Mais ne serait-il pas largement temps de faire un petit bilan intermédiaire ? ;-)Alors, ce qui est fait c'est la Californie du nord et Hawaii. Ce qui reste &agrav
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Dans les alentours de Cusco

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Réveillées par des bruits de feux d'artifices ou du moins des pétards!  (petite pensée à Walter d'ailleurs ! Ici ils en tirent tous les jours, et tout le temps, matin, soir ,après un orage...) On pr
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Fin de semaine à New York

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Un long week end à NYC fin octobre, temps magnifique, visites, shopping, vues incroyables bref on en a pris plein les yeux encore une fois  L'Arbre, le seul, qui a r&
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10 questions Mélanie Joly

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Mélanie Joly

Mélanie-Joly-DRParti : Le Vrai Changement pour Montréal – Groupe Mélanie Joly
Slogan : Levons-nous pour Montréal
Âge : 34 ans
Statut civil : Conjointe de fait
Enfants : Aucun
Animaux : Chien
Lieu de résidence : Plateau-Mont-Royal, Montréal
Taxe foncière : Locataire
Lieu préféré à Montréal : le mont Royal
Voiture personnelle : Fiat 500
Dernier emploi : Associée directrice, Cohn & Wolfe Montréal
Langues parlées : Français, anglais, espagnol
Membre de quel autre parti : Aucun

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Oui, à condition de :

1) changer l’équipe des élus à la tête de la Ville;

2) ouvrir complètement les données de la Ville, incluant celles concernant l’octroi des contrats, de sorte que les 1,6 million de Montréalais aient accès à l’ensemble de l’information et deviennent les yeux et les oreilles de la Ville;

3) remplacer la règle du plus bas soumissionnaire par l’octroi des contrats selon des critères qui mettent l’emphase sur la qualité et la durabilité;

4) exiger des entrepreneurs qui obtiennent des contrats de la Ville qu’ils s’engagent à respecter des règles d’éthique strictes et contraignantes;

5) cesser d’octroyer des contrats aux entrepreneurs dont la qualité des travaux est défaillante;

6) assujettir les processus d’octroi de permis et autorisations de la municipalité à des critères objectifs, des calendriers décisionnels courts et contraignants et l’obligation de rendre des décisions écrites, motivées et publiques.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Non. Dans les autres villes nord-américaines souvent comparées à Montréal pour le nombre d’élus, chaque conseiller peut compter sur plusieurs employés politiques non-élus et payés par la Ville. À Toronto, par exemple, chacun des 44 conseillers municipaux a un « cabinet » qui compte jusqu’à 5 employés. Ainsi, dans les faits, environ 200 personnes dirigent la Ville, mais moins du quart sont élus par la population. Une situation similaire prévaut à New York, qui compte un conseil municipal formé de 51 conseillers, en plus des présidents des 5 arrondissements et du maire, et où chaque élu peut compter sur un important personnel politique.

À Montréal, par comparaison, les conseillers de ville et d’arrondissement d’un même arrondissement doivent partager un seul « chef de cabinet » et une adjointe. Le ratio élus/non-élus y est dont beaucoup plus élevé qu’à Toronto ou New York. En d’autres mots, Montréal a fait le pari d’avoir plus d’élus choisis par la population pour effectuer les tâches qui dans d’autres grandes villes sont accomplies par des individus qui n’ont jamais à faire face à l’électorat. Selon moi, les autres systèmes sont bien plus propices au copinage que le nôtre, où chaque 4 ans l’ensemble des 103 élus doit faire face au jugement des citoyens.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Oui. J’ai annulé mon vote à la mairie.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

L’évolution de l’économie du Canada depuis 50 ans et le déplacement des centres économique et décisionnel vers l’Ouest rend probablement cette possibilité peu réaliste. Ceci étant, Montréal possède plusieurs atouts et en concentrant nos efforts dans les domaines où elle excelle déjà tout en améliorant la qualité de vie de nos concitoyens, nous pourrons développer ces industries tout en retenant nos jeunes talents et en en attirant de nouveaux. Or, de nos jours, les sièges sociaux de l’économie du savoir s’établissent là où les jeunes talents se trouvent et veulent vivre. En jouant d’audace et d’ambition, Montréal saura se renouveler et devenir une plaque tournante de la nouvelle économie.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Non. Il faut ainsi poser des gestes concrets afin d’éliminer les freins à l’investissement privé. Ainsi, on doit :

1) mettre fin à la corruption et la collusion et casser la culture des initiés, qui entachent la réputation de la Ville ici comme ailleurs et agissent comme repoussoirs pour les entreprises étrangères;

2) simplifier la réglementation afin d’éliminer les irritants, les contraintes superflues et les freins au développement économique;

3) clarifier et simplifier les processus d’octroi de permis et d’autorisations;

4) mettre sur pied un véritable guichet unique pour les entreprises, qui coordonnera les efforts des différents acteurs locaux voués à l’aide à l’investissement tout en accompagnant les entrepreneurs dans leurs projets;

5) s’assurer que la Ville se dote d’infrastructures de qualité; et

6) agir rapidement pour diminuer la congestion routière, notamment par la mise en place d’un réseau de système rapide par bus (SRB) à travers tout le territoire de la ville, pour compléter le réseau du métro.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Ce qui réduit le nombre de francophones sur l’île de Montréal, et par le fait même rend plus difficile l’intégration des nouveaux arrivants, c’est l’exode annuel de 20 000 familles vers les banlieues. Un bon nombre de celles-ci demeureraient en ville si ce n’était de la rareté et du prix trop élevé des maisons qui conviennent à leurs besoins, de même que de quartiers mal adaptés aux besoins des enfants. Il faut donc agir à plusieurs niveaux afin d’améliorer les milieux de vie pour tenir compte des besoins des familles (garderies, écoles, parcs) et leur offrir des logements adaptés à leurs besoins et qui soient abordables. En retenant plus de familles francophones sur l’île, nous maintiendrons l’équilibre linguistique et le caractère français de la métropole.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Tout dépend de la définition que chacun donne de la qualité de vie, qui est une donnée toute relative. En effet, certains préféreront posséder une maison détachée avec son propre terrain et la tranquillité de la banlieue, alors que d’autres apprécient plutôt avoir un parc public, des restaurants et des commerces à proximité de chez eux, ce que la ville leur offre. Ce qui importe, c’est que les gens puissent effectuer le choix de leur milieu de vie sans qu’un ou l’autre ne leur soit imposé par des contraintes que la ville a le pouvoir et le devoir d’éliminer.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Absolument. Montréal est une ville créative et innovante, qui compte plusieurs quartiers et lieux uniques absolument magnifiques, où ont lieu des festivals dont la renommée dépasse nos frontières. Cette ville est aussi dotée d’une géographie spectaculaire et elle possède une qualité de vie somme toute très bonne. Plusieurs industries montréalaises excellent par ailleurs dans leur domaine (aéronautique, cirque, numérique), et généralement parlant, la ville a une superbe réputation parmi ceux qui la visitent, sa joie de vivre n’étant plus à démontrer. C’est cette fierté qu’il nous faut retrouver à tout moment.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

On peut certainement faire mieux. Il faut ainsi s’ouvrir aux concours d’architecture et inviter les architectes qui œuvrent à travers le monde pour qu’ils participent à ceux-ci et construisent des édifices qui ont un impact positif sur le paysage urbain. Comme le disait Oscar Niemeyer, « les gens ont besoin de beauté ».

D’ailleurs, il faut absolument changer la réglementation municipale afin que soient intégrés à chaque plan particulier d’urbanisme des éléments de design urbain qui nous permettent de nous démarquer. Plusieurs projets qui seront réalisés au cours de prochaines années devraient d’ailleurs être l’occasion de montrer que Montréal porte bien son titre de ville Unesco du design : le nouveau pont Champlain, la réfection complète de la rue Ste-Catherine Ouest au centre-ville, les legs en bâtiments pour le 375e anniversaire de Montréal, les extensions prévues du Musée des beaux-arts et du Musée d’art contemporain. Chacun de ces projets devrait être une occasion d’amener Montréal vers de nouveaux horizons en matière d’architecture et de design.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Des dizaines de communautés culturelles et différents milieux sociaux cohabitent à Montréal sans que cela ne donne lieu à des frictions majeures, contrairement à bien d’autres endroits à travers le monde. En ce sens, Montréal se démarque. Ceci dit, il faut éviter d’être complaisants, puisque de nombreuses personnes se sentent isolées ou aliénées, alors que le taux de chômage chez les nouveaux arrivants et dans certains groupes ethniques est beaucoup plus élevé que dans la population en général.

Des efforts supplémentaires sont donc requis et Québec doit reconnaître la situation unique de Montréal à cet égard puisque cette ville accueille 70% des immigrants qui s’installent dans la province. La Ville doit donc obtenir les moyens et les ressources qui lui permetteront de bien intégrer ces nouveaux arrivants.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

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Dis c’est quoi Dubai

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Dubai - l'un des endroits les plus incroyables que j'ai pu visiter.L'impression de voir le centre du monde en devenir, pareil à New York au début du XIXe siècle - avec ses migrants, Indiens, Européens, Philippins, Indonésiens, Arabes, qui sont aujourd'hui ce qu'étaient les Italiens et les Irlandais hier pour les Etats-Unis, et qui forment un cocktail détonnant, un Babel où tout le monde, du plus bas au plus haut de l'échelle, maîtrise l'Anglais comme une nécessité.
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Ministres de la culture du gouvernement québécois

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IMG_0038Il y en a qui aiment les listes. Pourquoi pas celle des 23 ministres de la culture, de 1961 à aujourd’hui ?

Ça peut servir lors d’un jeu-concours à la fin d’un repas…

- Georges-Émile Lapalme (entré en fonction le 28 mars 1961).

- Pierre Laporte (celui du pont ? demande mon neveu. Oui, celui de plusieurs écoles itou).

- Jean-Noël Tremblay (ma mère enviait son manteau de fourrure).

- François Cloutier.

- Marie-Claire Kirkland-Casgrain.

- Denis Hardy.

- Jean-Paul L’Allier.

- Louis O’Neill.

- Denis Vaugeois.

- Clément Richard.

- Gérald Godin (deux mois en 1985).

- Lise Bacon.

- Lucienne Robillard.

- Liza Frulla.

- Marie Malavoy (deux mois en 1994).

- Rita Dionne-Marsolais.

- Jacques Parizeau (sept mois en 1995).

- Louise Beaudoin.

- Agnès Maltais.

- Diane Lemieux.

- Line Beauchamp.

- Christine St-Pierre.

- Maka Kotto (comédien).

Le Dieu de la culture reconnaîtra les siens.

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Vidéo] Quel avenir pour le transport maritime

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Fans mais radins

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Thom Yorke a retiré tous les disques de son groupe, Radiohead, des sites de streaming. Photo : Newspix / Rex Features / La Presse Canadienne

Thom Yorke a retiré tous les disques de ses projets en parallèle de Radiohead, dont son album solo et celui du groupe Atoms for Peace, des sites de streaming. Photo : Newspix / Rex Features / La Presse Canadienne

L’écoute de musique en flux (ou en streaming) sur un site ou une application mobile n’est pas encore très populaire au Canada, notamment parce que les principaux acteurs, dont le suédois Spotify, n’y sont pas encore présents. Ailleurs dans le monde, on y voit l’avenir inéluctable de la musique.

Cet avenir a toutefois été remis en question récemment par deux grands noms : Thom Yorke, chanteur de Radiohead, et son complice, le producteur Nigel Godrich, qui ont retiré leurs albums des plateformes d’écoute en flux. Ils dénoncent ce modèle, où les nouveaux artistes n’ont « rien à gagner ».

La part versée par le site de streaming à l’artiste dépend du contrat de celui-ci avec sa maison de disques, mais une constante semble claire : on parle de fractions de cent par écoute.

Ainsi, malgré un million de lectures de la chanson « Low » sur la radio en ligne américaine Pandora, le chanteur de Cracker, David Lowery, explique, relevés à l’appui, n’avoir reçu que 16,89 $. Pour 6 000 écoutes sur Spotify, le groupe Galaxie 500 n’a touché que 1,05 $.

D’après les chiffres obtenus ici et là, on sait qu’un artiste peut s’attendre à recevoir en moyenne de 0,004 $ à 0,01 $ par lecture, selon le service de musique en flux. On est loin des sommes qu’auraient reçues ces musiciens si leurs chansons avaient été téléchargées (généralement autour de 0,07 $ par achat sur iTunes).

Selon les partisans du streaming, cependant, un million d’écoutes ne peuvent pas, et ne doivent pas, être comparées à un million de téléchargements. Ce sont deux façons bien différentes de consommer la musique. Daniel Ek, fondateur de Spotify, avance même que le passage au streaming est inévitable et que les artistes devraient chercher à maximiser le nombre d’écoutes plutôt que de se soustraire à cette technologie.

Les musiciens ne font pas fortune, mais les entreprises qui offrent des services de streaming non plus. Les investisseurs entrevoient des revenus à long terme, mais pour l’instant, ce n’est pas rentable. Spotify dit remettre 70 % de ses revenus — publicités et abonnements — aux titulaires des droits des musiques diffusées. Or, selon un récent sondage, 84 % des Britanniques trouvent que l’abonnement de 15 $ par mois à Spotify, qui leur donne accès à presque toute la musique du monde, c’est trop cher. Il est peut-être là, au fond, le problème des artistes : les consommateurs sont un peu radins.

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Mélanie Joly Trudeau et les souverainistes

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Photo: Denis Beaumont/Presse canadienne

Photo: Denis Beaumont/Presse canadienne

Il y a quelques jours de cela, je posais la question: pourquoi pas Mélanie Joly?

Suite à la publication de ce billet, bien des souverainistes m’ont répondu qu’ils ne pouvaient pas voter pour une candidate ayant participé à la campagne de Justin Trudeau à la direction du Parti libéral du Canada. Cette semaine, la candidate a reçu l’appui d’Alexandre Trudeau. Elle est peinturée Trudeau au carré, si je puis dire.

En même temps, son directeur de campagne se nomme François Leblanc, l’ancien chef de cabinet de Gilles Duceppe, avec lequel j’ai travaillé pendant une dizaine d’années. On peut lire une entrevue qu’il a donnée ici. On y apprend que c’est Lucien Bouchard, mentor de Mme Joly, qui lui aurait recommandé François Leblanc. Voilà donc notre candidate bloquiste au carré.

On aura beau dire, mais les élections municipales à Montréal, ce n’est vraiment pas facile pour les souverainistes. D’un côté, vous avez Denis Coderre, tatoué libéral et fédéraliste de choc au Québec pendant deux décennies. De l’autre, vous avez Marcel Côté, conseiller du Parti libéral pendant trois décennies, qui s’est associé à Louise Harel pour former un duo des plus improbables. Il y a bien Richard Bergeron et Projet Montréal, mais leur précipitation à rejeter la Charte des valeurs a été très décevante.

Car il faut bien le souligner: l’appui le plus fort envers la Charte des valeurs du gouvernement Marois, c’est à Montréal qu’on le trouve, le Montréal francophone. Dans ce sondage de Léger, on voit très clairement que les électeurs francophones des candidats à la mairie de Montréal sont très majoritairement favorables au projet porté par Bernard Drainville et encore plus massivement à l’interdiction du port des signes religieux dans la fonction publique:

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Mais c’est aussi à Montréal que l’opposition à la Charte est la plus forte, dans le Montréal anglophone pour être plus précis. Or, pour espérer l’emporter, faire élire ses candidats et devenir maire de Montréal, impossible de faire l’impasse sur le vote anglophone. C’est très certainement ce qui explique l’empressement qu’ont eu tous les candidats ayant une chance raisonnable de l’emporter à jeter leur fiel sur le projet de Charte.

À cet égard, le champion toutes catégories est sans doute Denis Coderre, qui va jusqu’à promettre de contester devant les tribunaux une loi qu’il n’a même pas encore vu. Brent Tyler, sors de ce corps!

(Et soi-dit en passant, je n’ai rien contre Denis Coderre, personnellement. On se connaît un peu et ayant ferraillé l’un contre l’autre pendant plus de 10 ans – moi dans l’ombre, lui dans la lumière – une forme de respect s’est installée entre nous. C’est souvent comme ça en politique. Les adversaires coriaces, on en vient à les respecter.)

De son côté, Mélanie Joly a d’abord elle aussi menacé de contester la charte, puis elle affirmé qu’elle laisserait le Conseil municipal voter à ce sujet, ce qui ne laisse évidemment aucun doute sur le résultat. Une de ses candidates, Lorraine Pagé, s’est quand même prononcée en faveur de la Charte des valeurs du gouvernement Marois. On peut lire un entretien qu’elle a eue avec Marie-Claude Lortie, ici.

Il y a bien sûr Michel Brûlé, un souverainiste assumé qui ne s’est pas gêné pour appuyer la Charte, ni le caractère francophone de Montréal. Pour un électeur souverainiste, il y a là un vote sans ambiguïté, sans cas de conscience. Mais comme M. Brûlé n’a aucune chance de devenir maire de Montréal, ça ressemble à un vote perdu.

Une autre possibilité pour les souverainistes montréalais qui voudraient se donner bonne conscience, consiste à annuler son vote ou de ne pas aller voter du tout. Ce serait le pire des choix. Les souverainistes montréalais doivent peser sur l’élection municipale en faisant sentir leur poids.

Et la réalité, c’est que pour la mairie, l’élection se joue entre Denis Coderre et Mélanie Joly.

D’un point de vue souverainiste et pour reprendre une expression anglaise, le choix prend la forme du less evil, le choix le moins pire.

Comme souverainiste, ce qu’on peut souhaiter de mieux à Montréal, c’est un nouveau départ, un nouveau souffle, un vent de fraîcheur qui viendrait balayer les fortes odeurs de corruption qui flottent sur la ville depuis tant d’années. Et à cet égard, le seul choix possible, c’est Mélanie Joly.

Je suis un citoyen de Québec, je n’ai pas le droit de vote à Montréal et on pourrait me dire de me mêler de mes affaires. Or, même si je n’ai pas le privilège de voter, c’est de mes affaires, justement.

Après tout Montréal, c’est la seule Métropole de mon seul vrai pays, le Québec.

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Detroit le soir

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<>Detroit est un vaste territoire à éclairer et la facture est élevée. Ses 88 000 lampadaires sont plantés sur une superficie qui peut contenir Manhattan, San Francisco et Boston réunies. Ses 700 000 habitants sont éparpillés sur 370 km2 et une vingtaine de ses quartiers ne sont peuplés qu'à 15 %. - Illustration : Marie Mainguy

Detroit est un vaste territoire à éclairer et la facture est élevée. Ses 88 000 lampadaires sont plantés sur une superficie qui peut contenir Manhattan, San Francisco et Boston réunies. Ses 700 000 habitants sont éparpillés sur 370 km2 et une vingtaine de ses quartiers ne sont peuplés qu’à 15 %. – Illustration : Marie Mainguy

«Non, je n’ai pas peur. Faut pas. Comment veux-tu ranimer une ville si personne n’ose sortir dès qu’il fait noir ? » À l’heure du souper, Kelly buvait un whisky au comptoir du Slows Bar-B-Q. La jeune urbaniste se déplace d’habitude à bicyclette, mais comme elle habite juste à côté et que les lampadaires éclairent ce bout de l’avenue Michigan, à Detroit, elle est venue à pied.

Pas de quoi appeler sa mère, mais dans une ville où le taux d’homicides en 2012 a été le plus élevé des 20 dernières années et où 40 % des lampadaires ne fonctionnent plus, il y a de quoi donner à maman une raison de prendre des nouvelles. Des automobilistes arrêtent Kelly, même en plein jour, pour la sermonner. « Je ne veux pas m’empêcher de vivre. Il m’est arrivé une seule bricole en deux ans », lance-t-elle en laissant les détails dans l’ombre.

C’est par hasard que j’ai croisé Kelly, l’un de ces rares soirs où j’osais m’aventurer, seule, au déclin du jour. Sauf sur les boulevards et à des intersections choisies, la ville américaine en faillite laisse depuis quelques années mourir les feux des lampadaires brisés ou vétustes. Une puissante mesure d’austérité, assez pour que l’obscurité forcée de Detroit attire souvent l’attention des médias et illustre la gravité de son état de santé.

Dans le centre-ville, on ne se doute de rien. Assez éclairée pour drainer les amateurs de sport dans les stades et les congressistes dans les casinos, la nuit de Motor City est fringante de concerts et de fêtes dans les bars. C’est en rentrant chez soi, dans les quartiers résidentiels, qu’on franchit une oppressante muraille de ténèbres. Dans l’obscurité, chacun tente de maîtriser sa peur et d’apprivoiser la bête noire avec un cocktail de résilience et de débrouillardise.

Mon ami Alex, lui, grillait les feux rouges quand la noirceur devenait trop inquiétante. On comprend vite pourquoi en lisant les journaux locaux, qui signalent toutes les semaines des délits de fuite ou des piratages de voitures à des feux de circulation déserts, dans lesquels l’absence de lumière est mise en cause.

Nathan, chez qui je logeais, prend à sa charge une partie de l’éclairage public en illuminant sa cour avant avec un projecteur si puissant qu’il ensoleille même le salon des voisins d’en face. Amoureux fou de sa ville, il amasse des sous de diverses façons — une part des revenus de son gîte, ses économies, l’organisation d’activités dans le voisinage — pour planter une dizaine de lampadaires sensibles au mouvement dans son bout de rue édenté, où les demeures cohabitent avec les terrains vagues et les maisons à l’abandon. « J’aimerais donner aux familles le goût de vivre ici. Le quartier ne changera pas demain matin, mais on va y arriver, dans cinq, dix, vingt ans. Detroit n’est pas une ville différente des autres… mais ça demande plus d’effort pour apprendre à l’aimer ! »

Lumières de Noël allumées à l’année, campagnes de socio-financement sur Indiegogo pour s’offrir des lampadaires photosensibles, des résidants de Highland Park ont aussi pris les moyens du bord pour s’acclimater lorsque leur ville, enclavée dans Detroit, a éteint les deux tiers de ses lampadaires pour économiser 50 000 dollars par mois. Même le pasteur a changé l’heure de l’étude de la Bible, le samedi, pour qu’elle ait lieu avant que la nuit tombe.

Et pourtant, les habitants de Detroit arrivent à voir la clarté même dans les coins les plus sombres. Ça m’a fait penser à une réplique du film Le fantôme de l’opéra (1925), que j’ai vu dans un cinéma indépendant du Cass Corridor, une sorte de phare dans une marée noire d’hôtels en ruine et d’épaves humaines intoxiquées : « Tu seras libre aussitôt que ton amour pour moi vaincra ta peur. » C’est donc comme ça, alors. Il n’y a pas que la résilience. Il faut de l’amour aussi. Mais alors vraiment beaucoup d’amour.

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Danemark laissez-nous allaiter en paix

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Photo : Irene / Wikimedia Commons

Photo : Irene / Wikimedia Commons

Dans plusieurs grandes villes danoises, des centaines de mères de famille s’installent depuis des semaines devant les hôtels de ville… pour allaiter.

Objectif : faire pression sur le ministre de l’Égalité pour qu’il instaure un droit clair d’allaiter dans les lieux publics. Une demande qui n’a toujours pas été exaucée.

Ce mouvement est né à la suite d’une polémique qui a éclaté dans les médias nationaux, il y a quelques semaines, lorsqu’une femme a été invitée à quitter un restaurant de Copenhague avec sa famille parce qu’elle allaitait.

De nombreux pays, tant en Europe qu’en Amérique du Nord, autorisent l’allaitement en public. En France et en Allemagne, notamment, nourrir son enfant au sein est un droit protégé par la loi, même sur les lieux de travail.

Au Royaume-Uni, la Sex Discrimination Act (loi sur la discrimination sexuelle) protège ce droit, tandis qu’au Canada la Cour suprême a déjà statué en faveur de l’allaitement dans les lieux publics.

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Ryanair sort son calendrier sexy 2014 vidéo

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ryanair

Comme chaque année, Ryanair sort son calendrier sexy. Le calendrier a pour objectif de « récolter plus de 100.000 euros pour l’association anglaise Teenage Cancer Trust ». Rappelons que Teenage Cancer Trust est une association anglaise qui est dédiée à améliorer la qualité de vie et les chances de survie pour les jeunes âgés entre 13 et 24 ans atteints d’un cancer.

Le calendrier 2014 est maintenant en vente le site Ryanair.com ou à bord des vols Ryanair pour la somme de 10 euros.

Regardez le making of :

[Photo]

Dernières recherches des voyageurs pour cet article :

  • blog oskar klaren

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INTERVIEWS DE LA TEAM EVANEOScom – Karen assistante web-marketing

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Quelle est votre devise du voyage ? (la vôtre, ou la devise d’un grand sage) On the road again ! Quelle est l’expérience de voyage qui vous a bluffé (paysage, rencontre, évènements, insolite) Indéniablement, lorsque j’ai pris le bateau en Australie pour me rendre sur les Whitesundays ! Bon ok, rien de plus touristique, mais qu’est-ce que

INTERVIEWS DE LA TEAM EVANEOS.com – Karen, assistante web-marketing

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JO de Sotchi ça c’est de l’olympisme

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flamme-olympique

La flamme qui symbolise les valeurs de l’olympisme va en voir du pays d’ici aux Jeux d’hiver 2014 de Sotchi, en Russie : 65 000 kilomètres parcourus par 14 000 relayeurs en 123 jours, dont 2 dans l’espace ! Voici ce qu’il faut retenir de son parcours incroyable.

La flamme est arrivé à Moscou au début du mois d’octobre, en provenance de Grèce et à l’heure où nous écrivons ces lignes, elle se trouve quelque part dans les confins Ouest de la Russie, proche de la frontière avec l’Estonie. Plus précisément entre Izborsk et Pskov. Quand elle arrivera au terme de son périple le 7 février prochain – jour de la cérémonie d’ouverture de Jeux Olympiques d’hiver – la flamme olympique aura traversée 2 900 villes dans 83 provinces russes, de Kaliningrad à Vladivostok.

Elle aura aussi plongé dans le lac Baïkal, grimpé au sommet du Mont Elbrus qui culmine a plus de 5000 mètres dans le Caucase, traversé des lacs gelés et des espaces enneigés en traineau à chien, en moto-neige, et même passé deux jours dans la Station Spatiale Internationale. Plus vite, plus haut, plus fort.

Un petit tour en apesanteur

Un site internet suit le parcours de la flamme, jour après jour. En cliquant sur chaque étape (en jaune, les parcours effectué), vous trouverez une multitude d’infos en français, de photos et de vidéos.

Capture d'écran du site www.torchrelay.sochi2014.com

Le président du comité d’organisation des Jeux de Sotchi détaille les moyens mis en œuvre pour faire voyager la flamme :

“La flamme olympique va être transportée par traîneaux à chiens, traîneaux à rennes, motoneiges, montgolfières et par plusieurs autres moyens de transport et bien sûr à pied, en automobile et sur des milliers de kilomètres en train et en avion. [...] Elle va se rendre au pôle Nord par brise-glace nucléaire et oui, elle va voyager dans l’espace.”

Dans l’espace ! Les Russes n’ont pas fait dans la demi-mesure : pour la première fois de son histoire, la flamme sera mise en orbite. Deux astronautes russes l’emmèneront à bord de la Station Spatiale Internationale pour deux jours d’apesanteur, du 9 au 11 novembre.

Au pôle Nord !

Il a quelques jours, le relais de la flamme olympique se trouvait au Pôle Nord. Il a fallu mobiliser un brise-glaces à propulsion nucléaire russe qui répond au glorieux nom de « 50 ans de la Victoire » pour l’acheminer depuis le port de Mourmansk dans ces contrées froides.

« Une occasion de montrer au monde l’extraordinaire beauté de notre nature du Nord fragile, qu’il faut bien sûr protéger. Et nous allons tout faire pour la sauvegarder dans son état vierge »,

a déclaré solennellement la gouverneure de la région, battue à plate-couture dans le lyrisme par le chef de l’expédition, Arthur Tchilingarov :

« Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la flamme Olympique se trouvera au « sommet du monde ». C’est là que se rejoignent les méridiens et les fuseaux horaires, là où le temps n’a plus de sens. Je crois qu’allumer la flamme Olympique à cet endroit précis revêt une portée symbolique profonde : les valeurs Olympiques n’ont pas changé pendant des siècles. »

Vous le verrez dans la vidéo, l’ambiance n’est pas extrêmement chaleureuse, mais après tout il ne s’agit pas des JO d’été.

Voici pour ce qui est de la beauté du sport et de l’Olympisme (définit par le Comité International Olympique comme “une philosophie de vie, exaltant et combinant en un ensemble équilibré les qualités du corps, de la volonté et de l’esprit”). Pour le reste, ces JO de Sotchi sont controversés, plusieurs ONG internationales et gouvernements dénonçant des violations des droits de l’homme en Russie. Il ne faut pas le passer sous silence.

Mais au fait, où se trouve Sotchi ? Et à quoi cela ressemble-t-il ? Nous vous en dirons plus dans un prochain post.

Photos d’illustration de la flamme olympique aux JO 2010 de Vancouver (keepitsurreal / Flickr cc.)
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Assurance auto à l’étranger oui ou non

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assurance

Vous êtes fins prêts pour vos vacances bien méritées, vos bagages sont faits et votre banque est au courant que vous serez à l’étranger pendant un certain temps. Mais une fois sur place, que fait-on avec l’assurance auto ?

Ceux et celles qui possèdent une carte de crédit couvrant les frais d’assurance lors de la location d’une voiture, devraient se poser quelques questions avant de refuser catégoriquement celle offerte par la compagnie de location à l’étranger.

Carte de crédit et son assurance lors de la location d’une voiture

Vous devriez prendre conscience de ce que couvre l’assurance proposée par votre carte de crédit avant de partir, les types de voitures exclus, ainsi que les pays dans lesquels cette assurance n’est pas valide. La plupart du temps, il s’agit d’une décharge des frais en cas de collision, de vol ou de dommages au véhicule loué avec votre carte de crédit pendant une période maximale déterminée. Cela n’inclut donc pas les dommages causés à d’autres personnes ou véhicules. Certaines compagnies offrent également de couvrir les frais pour les biens personnels dans le cas de vol ou de vandalisme de la voiture louée pour un montant maximal établi.

Couverture étendue avec son assurance auto

Si vous possédez une voiture, vous devriez valider avec votre compagnie d’assurance personnelle à savoir si vous êtes couverts en matière de responsabilité civile à l’étranger. Cela tient compte des accidents dans lesquels vous blesseriez quelqu’un d’autre ou causeriez des dommages à un autre véhicule que votre voiture de location. Certaines compagnies d’assurances permettent de transférer cette clause pour des voitures que vous ne possédez pas, comme celles louées à l’étranger, selon des conditions variant d’une compagnie à l’autre.

Si vous louez un véhicule régulièrement, demandez à ce que l’on ajoute l’avenant 27 à votre contrat d’assurance automobile. L’avenant 27 concerne la responsabilité civile pour des dommages à un véhicule qui ne vous appartient pas. Les compagnies de location proposent ce genre d’assurance lorsque vous louez une automobile, par contre il est plus économique d’en faire l’ajout directement sur votre police d’assurance auto.

Cela dit, si vous faites la location de voiture à l’étranger que très ponctuellement, il peut être préférable d’opter pour l’assurance supplémentaire proposée par la compagnie de location de voiture sur place. La même recommandation s’applique pour les personnes qui ne possèdent pas de voiture ou qui ont une police d’assurance auto personnelle ne couvrant pas suffisamment la responsabilité civile.

D’un pays à l’autre, le prix quotidien de cette assurance supplémentaire variera, oscillant autour d’une quinzaine de dollars par jour. Mais, c’est bien souvent peu cher payé pour vous sauver plusieurs ennuis, particulièrement dans les pays où la sécurité et les conditions routières sont plus désuètes.

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Friday Travel Break 66 InCubation

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Plus de deux ans et demi après cette publication à propos de la vielle Havane (Havana Vieja), c’est la deuxième vidéo à propos de Cuba que je mets à l’honneur sur le blog, dans un style cette fois-ci très différent. Tournée en 15 jours de roadtrip à Cuba, ce petit film de 5 minutes nous dévoile le côté véritable de cette île en pleine mutation économique. Une plongée authentique dans la vie de ses habitants qui ne peut laisser indifférent.

Ce qui me plait énormément dans ce bout de film, c’est le côté brut des images, le choc visuel qui en découle et le parti pris de réalisation. On en prend plein les yeux et surtout plein les oreilles. La post-production est très léchée et la prise de vue ingénieuse, soignée et audacieuse.

Je suis un grand fan du travail de Guillaume Le Berre et je souhaitais le mettre à l’honneur en cette 66ème édition de ma rubrique Friday Travel Break. Bon week-end et bons voyages à toutes et à tous !

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Le Mas de Fanny confort et simplicité

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le mas de fanny

Charmant. Envoûtant. Splendide. On pourrait faire l’éloge du Mas de Fanny pendant de nombreuses minutes, tellement on a été charmé par cet établissement. Et on en est sûr, vous le serez aussi.

Situé dans un lieu calme en plein cœur de la Drôme, le Mas de Fanny possède des chambres qui mélangent confort et simplicité. Le mobilier d’époque Louis Philippe et le sol pavé de terre cuite se fondent totalement dans le décor.

Lors de votre séjour, vous pourrez profiter de la piscine bordée d’un jardin de senteurs. Vous pourrez aussi découvrir le château de Grignan, faire un tour au festival d’Avignon ou passer votre soirée aux Chorégies d’Orange.

Le Mas de Fanny

1220 Route de Valaurie
26 230 CHANTEMERLE-LES-GRIGNAN
04.75.98.63.04

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Parfum saveur road-trip

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Carte d’identité du Vietnam

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vietnam-riziere

Connaissez-vous la capitale du Vietnam? Les pays frontaliers, ou encore le nombre d’habitants ? Révisez votre géographie du Vietnam avec notre petit topo.
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Vietnam fiche pratique et carte

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lanternes

Préparez votre prochain voyage au Vietnam avec notre fiche pratique et notre carte.
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Première journée à Cusco

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Réveillé par le soleil de bonne heure, on se prépare et boucle nos valises. Dans la matinée, on quitte Tanie et le reste de la maison.. Après le petit déjeuner, on s'apprête à dire aurevoir
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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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