Informations aux voyageurs

tourisme - vacances - voyage - séjour - vol - avion - hôtel

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Blogs voyage

Maroc] A la découverte des flèches lunaires du Sarho

Envoyer Imprimer PDF
Le dépaysement, à 3h de Paris - et depuis le ciel, le vol direct Paris-Ouarzazate assuré par Royal Air Maroc permet d'admirer à l'heure du coucher du soleil l'incroyable paysage qu'offre l'Atlas vu d'en haut - dunes rocheuses géantes colorées en vert, bleu, ocre et terre, creusées par les vents et taillées à la serpe, comme si les grands lacs tanzaniens filmés dans The Constant Gardener s'étaient asséchés sans perdre leurs couleurs.
Lire la suite...
 

Les chefs et les chiffres

Envoyer Imprimer PDF

Un pot de peinture pour régler les problèmes de congestion routière à Montréal. Misère.

Denis «pense petit» Coderre a montré lundi soir, lors du débat sur l’économie diffusé à RDI, les raisons pour lesquelles le milieu des affaires se méfiait tant de sa candidature.

À force de simplifier son message, M. Coderre verse dans le simplisme. Pour lui, pas question d’investir dans les grands projets. «J’aime mieux investir dans la peinture. Peut-on avoir des infrastructures qui fonctionnent?», a-t-il lancé.

La remarque visait son adversaire, Richard Bergeron, qui ose rêver d’un tramway pour Montréal (un projet évalué à un milliard de dollars sur 30 ans). Pour Denis Coderre, il vaut mieux faire des nouvelles voies réservées pour les autobus. Un coup de pinceau ici et là sur la chaussée, et les problèmes seront réglés.

Son analyse des problèmes du transport à Montréal sied parfaitement aux attentes des banlieusards. Il ira chercher bien des votes à Laval et à Longueuil, cet aspirant maire de Montréal.

Au moins, le débat a montré les différences marquées entre les quatre candidats en ce qui a trait à l’économie de Montréal.

Mélanie Joly a fait une belle bourde en affirmant que le maire de Montréal ne devait pas se mêler de développement économique. Ah bon. Il aurait fallu le dire à Gérald Tremblay, qui a fait des pieds et des mains pour sauver l’épreuve montréalaise du Grand Prix de Formule 1, il y a quelques années. M. Tremblay avait bien des défauts, mais il avait su reconnaître qu’il ne pouvait pas rester les bras croisés devant la menace de perdre d’importantes retombées économiques pour la métropole.

Marcel Côté s’en est très bien tiré dans ce débat. Il a eu le courage de remettre en question la taille et l’efficacité de la fonction publique de Montréal, une ville dans une ville avec ses 24 000 employés. Dans une métropole étouffée par le carcan de l’impôt foncier, il n’y a pas des millions de façons de dégager une marge de manœuvre financière tout en n’augmentant pas les taxes au-delà du seuil de l’inflation. Il faut couper.

Richard Bergeron continue de marteler son message. La politique d’électrification des transports de Québec offre à la métropole une occasion de relancer son économie autour des transports collectifs. M. Bergeron n’est pas le plus charismatique et le plus populiste des candidats dans la course. Mais encore une fois lundi, il a démontré qu’il maîtrisait les enjeux propres à Montréal.

Le seul reproche qu’on peut lui adresser, c’est de rêver. Denis Coderre n’a d’ailleurs pas manqué une occasion d’assimiler les idées de grandeur de M. Bergeron à «du dogmatisme».

L’enjeu du transport est une priorité dans les sondages. L’aversion des Montréalais pour les dépenses publiques et les grands chantiers pourrait cependant se traduire par des appuis au message attentiste de Denis Coderre.

 

Cet article Les chefs et les chiffres est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Suggestions de lecture c’est la saison des livres politiques

Envoyer Imprimer PDF

Pour faire changement, je vous propose non pas des articles, mais des extraits de livres politiques parus cet automne au Canada anglais.

Le premier extrait, tiré du livre The Longer I’m Prime Minister: Stephen Harper and Canada, 2006- (de mon collègue chroniqueur Paul Wells chez Maclean’s), décline la routine quotidienne du premier ministre — en autant que pareille routine soit possible dans un poste semblable — et décrit sa façon d’interagir avec son personnel. Éclairant. Notez le passage sur l’émission d’un timbre commémorant le 100e anniversaire des Canadiens de Montréal. Ce bout de texte en révèle beaucoup sur ce que j’appellerais les réflexes autocratiques du chef conservateur.

Le second extrait est tiré du livre Shopping for Votes, de la journaliste Susan Delacourt du Toronto Star. Son livre documente la montée du marketing politique, du clientélisme et de l’électeur client (plutôt que citoyen). Dans cet extrait, l’auteure s’attarde à l’importance qu’occupent les banques de données en stratégie politique.

Le troisième extrait est tiré du livre de Michael Ignatieff, Fire and Ashes : Success and Failure in Politics. L’ancien chef libéral, qui a une superbe plume, y fait un retour sur son passage en politique. Dans ce passage, il évoque la douleur de la défaite, la sienne et surtout celles de ses collègues; puis, la sortie du brouillard, ses retrouvailles avec la réflexion politique, l’enseignement…

Bonne lecture!

Cet article Suggestions de lecture: c’est la saison des livres politiques est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Ranger la salière ne vous sauvera pas la vie mais c’est un début

Envoyer Imprimer PDF
Sel : efficaces, les mesures volontaires ?

Photo : iStockphoto

L’organisme Hypertension Canada vient tout juste de hausser la recommandation de consommation journalière de sodium de 1 500 mg à 2 000 mg. Est-ce dire qu’on pourra dorénavant manger plus salé?

Mais non. Au contraire : nous mangeons déjà beaucoup trop salé: 3 400 mg par jour au Canada.

Il faut plutôt couper le sel. La cible canadienne a surtout été ajustée pour s’ajuster à de nouvelles données et suivre celle qui est maintenant proposée par l’OMS.

Au fait, pourquoi diminuer sa consommation de sel? C’est simple: en excès, le sel contribue à la genèse puis au maintien de l’hypertension artérielle, qui touche 7,4 millions de Canadiens. Il s’agit donc de prévenir indirectement ses complications graves: l’AVC et l’infarctus. Comme il s’agit des tueurs #1, on comprend l’importance du sel en matière de santé publique.

Mais d’abord, clarifions un point: on mange du sel, mais on parle de milligrammes (mg) de sodium, ce chiffre qu’on trouve sur les étiquettes de tous les aliments. Parce que le sel est un composé, constitué de sodium et de chlore en parts égales. La partie « sodium » représente 40 % de la masse totale et le « chlore », 60 %. De sorte que 5 000 mg de sel correspondent à 2 000 mg de sodium et à 3 000 mg de chlore, soit l’équivalent d’une cuillerée à thé.

La longue histoire du sel

Pas facile de sortir le sel de l’assiette, parce que ce n’est pas d’hier qu’on sale. On en trouve des traces (de sel) dès la préhistoire, ensuite dans toutes les grandes civilisations: hébraïque, grecque, romaine, etc. Le sel était si important pour la conservation des aliments et l’assaisonnement qu’il jouait alors un rôle économique et politique majeur et structurant.

Le transport du sel étant vital pour la survie des peuples, les grandes routes charroyant le sel ont façonné le déploiement des empires et représenté un enjeu géopolitique majeur. Les Romains, par exemple, pratiquant la salaison, pouvaient non seulement transporter leurs denrées comestibles sur de longues distances, mais surtout éviter le pillage généralisé dans les pays conquis, ce qui favorisait de meilleures relations.

L’importance économique du sel paraît déjà dans son étymologie, puisque « sel » et « salaire » partagent une origine commune, le « salarium », soit la paye (en sel) accordée aux soldats de Rome. Les siècles passent et l’ajout de sel, antibactérien efficace, demeure la principale méthode de conservation des viandes.

Le développement de nouvelles techniques de conservation des aliments n’arrivera d’ailleurs qu’à la fin du XVIIIe siècle, alors que le sel joue un rôle crucial pendant l’expansion maritime des empires européens et permet la survie des équipages durant les longues traversées vers le Nouveau Monde (et ailleurs). Même au XXe siècle, le sel n’est pas de reste quant aux enjeux politiques : la Marche du sel, initiée par Gandhi pour contrer le monopole britannique, a joué un rôle crucial dans la lutte pour l’indépendance de l’Inde.

Nous ne sommes pas en reste, puisque nous avons longtemps dépendu du sel, comme tout le monde. De plus, le sel nous rendait la vie plus agréable durant les « jours maigres » (donc sans viande rouge) qu’imposait notre catholicisme. Le poisson séché conservé dans le sel avait alors la cote et permettait de conserver un apport protéiné essentiel.

Le sel conserve aujourd’hui son importance économique, pas tellement dans nos aliments, contrairement à ce qu’on pourrait croire (7 % du sel seulement est utilisé dans l’alimentation), mais plutôt dans la production de divers produits comme les teintures, les savons, les détergents, les papiers, etc. Surprenant, non?

Nous consommons beaucoup trop de sel

Il demeure que nous mangeons trop salé, beaucoup trop, et que cet enjeu de santé publique se confronte à un enjeu commercial, ce qui rend plus ardue la résolution du problème.

Je ne sais pas s’il s’agit d’un reliquat de notre histoire, mais 3 400 mg de sodium par jour, c’est plus de deux fois la quantité requise pour survivre, qui est de 1 500 mg pour un adulte moyen. Et au Canada, nous en mangeons encore plus que nos amis américains, et bien davantage que dans beaucoup d’autres pays. C’est énorme et certainement nocif pour notre santé de nordiques.

C’est pourquoi les organismes de santé publique sont unanimes à nous recommander, depuis déjà longtemps, de réduire cette énorme consommation. Hypertension Canada suggérait déjà une limite quotidienne de 1 500 mg de sodium, objectif ardu quand on part de 3 400 mg.

Elle est d’autant plus difficile à atteindre que le gros du sel (et non le gros sel) ne se trouve ni dans la salière ni dans le sel de cuisson, qui ensemble ne représentent que 11 % de ce que nous mangeons. Tandis que nos aliments n’en contiennent naturellement que 12 %.

Le sel se trouve plutôt majoritairement dans les aliments préparés ou transformés, tel qu’ajouté par l’industrie alimentaire pour rehausser le goût ou assurer une meilleure conservation. Ça comprend les repas préparés, souvent les pires, mais aussi les aliments de base, ceux de tous les jours: pain, pâtes, conserves, etc. Bref, à peu près tout ce que nous utilisons pour faire la cuisine.

C’est un problème grave, compte tenu des conséquences: l’industrie alimentaire nous fournit des aliments trop riches en sel, qui contribuent directement à une proportion certaine des maladies cardiovasculaires et, donc, des décès prématurés qu’elles occasionnent. Et par ricochet, des coûts de santé qui leur sont reliés.

Mais on l’a dit: depuis Jules César, l’ajout de sel dans les préparations alimentaires est un enjeu économique majeur. C’est rentable. Sinon, ça fait longtemps que le problème serait réglé.

Le sel est essentiel à la vie…

Mais bon, il faut vraiment faire une autre parenthèse. Nous sommes prompts à condamner le sel. Mais il est aussi essentiel à la vie. Notre corps contient entre 100 et 150 g de sel, qui joue un rôle fondamental dans l’équilibre général des liquides corporels, la transmission de l’influx nerveux, la constitution des os et des tissus et dans une multitude de processus cellulaires. Autrement dit, pas de sel, pas de sodium, et pas de sodium, pas de vie. Il ne s’agit donc pas de bannir, mais d’éviter les excès.

Si notre corps travaille constamment à garder ces ions en équilibre, notamment par le biais de nos reins et d’hormones variées, c’est parce qu’un simple débalancement de leur concentration peut causer des complications majeures et même entraîner la mort. Cet équilibre du milieu intérieur est en quelque sorte similaire à l’environnement marin, qui enveloppait nos cellules il y a quelques milliards d’années, quand nous étions de simples unicellulaires marins.

Dans ma pratique médicale, je vois par exemple des patients se présentant à l’urgence avec de la fatigue, de la confusion, des nausées, etc. Dans certains cas, quand on dose leurs ions sanguins, ce qui est très simple, on trouve des anomalies liées au sodium.

La plus fréquente est l’hyponatrémie, une baisse significative de la concentration sanguine du sodium. La normale étant située autour de 140, une baisse jusqu’à disons 120 cause beaucoup de symptômes. Encore plus bas, on frôle la zone dangereuse.

Dans les grandes épreuves sportives de fond, comme un Iron Man, de rares coureurs se présentent même en bout de course avec des natrémies (concentration du sodium) inférieures à 110, ce qui peut les plonger dans le coma et requiert des traitements agressifs, de même qu’un séjour aux soins intensifs.

Des reins qui fonctionnent permettent d’éviter ces problèmes, en rejetant (ou, au contraire, en conservant) le sodium afin de maintenir une concentration constante, peu importe l’apport hydrique et les pertes, notamment par la sueur et l’urine. Mais ces limites peuvent aussi être dépassées.

Chez certaines personnes très sensibles aux diurétiques, médicaments d’ailleurs utilisés pour contrôler l’hypertension artérielle, on observe parfois des chutes du sodium sanguin à des niveaux très bas, les reins ne pouvant à ce moment retenir le sodium adéquatement.

…mais trop de sel peut vous tuer

Si, à court terme, le manque ou l’excès de sel peut facilement être « géré » par des reins fonctionnels, des problèmes apparaîtront à long terme en cas d’apport excessif.

Une diète comme la nôtre, qui comporte en moyenne 3 400 mg de sodium, modifie le fonctionnement des reins et la sécrétion des hormones permettant d’en régulariser la concentration. L’hypertension apparaît alors, pour des raisons qui, dans bien des cas, échappent encore à notre compréhension.

Il semble que de diminuer significativement l’apport de sel permet d’abaisser la pression de manière substantielle, parfois suffisamment pour diminuer la consommation de médicaments et sortir des zones dangereuses.

Ce qui est un peu moins bien démontré, c’est le lien causal entre une baisse de la consommation de sel et une baisse des événements graves observés chez les hypertendus, notamment l’AVC et la crise cardiaque. À cet égard, les études ne sont pas unanimes, bien qu’on tend vers une diminution significative des AVC et, de moindre amplitude, des infarctus.

Dans certains cas, la diminution du sel alimentaire entraînait à court terme une augmentation néfaste de certaines hormones, pouvant même contrecarrer l’effet bénéfique escompté. Mais on pense généralement qu’à plus long terme, les avantages l’emportent sur le risque.

D’autres études ont montré que la diminution du sel abaissait la pression diastolique (le chiffre du bas) de 3 mmHg, ce qui se pourrait se traduire par une baisse des AVC et des infarctus. C’est donc une importante cible de santé publique.

Quant à savoir si ces campagnes populaires de prévention fonctionnent par elle-même, c’est moins clair. Ce qui n’est pas surprenant, dans la mesure où l’apport en sel dépend assez peu des habitudes individuelles et presque entièrement de nos pratiques industrielles. Il faut donc aborder ce problème de manière globale.

Diminuer l’apport de sel dans les aliments préparés et transformés est certainement la mesure la plus importante, étant donné qu’ils constituent la source principale du sel. Mais cela ne peut se faire qu’avec le concours de l’industrie alimentaire, cible principale des actions de santé publique actuellement en cours.

Pourquoi 2 000 mg?

Jusqu’ici, on parlait d’une cible de 1 500 mg de sel par jour en moyenne. Alors pourquoi Hypertension Canada recommande-t-elle depuis quelques jours un cible de 2 000 mg (qui demeure malgré tout beaucoup plus bas que la consommation moyenne) et un maximum de 2 300 mg par jour ?

Il y a quelques bonnes raisons. La première, c’est que les effets bénéfiques d’une alimentation moins riche en sel sont déjà manifestes à 2 000 mg de sodium par jour, soit le contenu en sel de trois muffins préparés.

2000 mg, c’est aussi la cible préconisée par l’OMS. Il faudrait par ailleurs en prendre moins en vieillissant, les besoins diminuant.

Je pense qu’il y a aussi un simple réalisme: quand le sel absorbé est supérieur au double des besoins, il y a loin de la coupe aux lèvres. Peut-être qu’il vaut alors mieux des objectifs accessibles et une approche progressive.

Mais c’est une question d’éducation et de goût. Une technique facile pour diminuer le sel est d’abord d’augmenter les fruits et les légumes dans l’assiette: il restera moins de place pour les aliments transformés.

Nous sommes tellement habitués à manger beaucoup de sel que notre cerveau et nos centres du goût se sont aussi accoutumés à sa présence. Il faut nous déprogrammer, ce qui ne se fait pas en criant ciseau. C’est d’autant plus difficile que certains considèrent que le sel agit comme une drogue, dont ils ne pourraient se passer aisément. De là à penser que l’industrie en rajoute justement pour utiliser à son avantage cette dépendance, il n’y a qu’un pas que d’aucuns franchissent. Comme quoi on en revient toujours à l’économie, quand on parle du sel.

Sortir le sel de l’alimentation implique de combattre deux dépendances liées: celle de notre cerveau (et de notre goût pour le salé) et celle de l’industrie pour le sel. Impossible d’agir efficacement sans aborder le tout de manière globale et sans mettre en place de multiples pour mieux en réguler l’usage dans l’industrie.

En attendant, vous pouvez faire un bout de chemin: en limitant le sel dans la cuisson et dans votre assiette, ne serait-ce que pour habituer votre cerveau à se passer du goût. Mais aussi, en choisissant les aliments moins riches en sodium, par une lecture attentive des étiquettes. Choisissez les aliments contenant par exemple moins de 15 % de l’apport quotidien en sodium.

Parce que si vous rejetez les aliments riches en sodium, l’industrie devra vous écouter et modifier ses habitudes. Et n’ayez crainte: elle survivra.

*

Pour me suivre sur Twitter. Pour me suivre sur Facebook.

Cet article Ranger la salière ne vous sauvera pas la vie, mais c’est un début est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Le chiffre 13

Envoyer Imprimer PDF

13, c’est le rang qu’occupe le Canada dans le monde en ce qui a trait à la vitesse moyenne de connexion Internet sur son territoire. En tête de classement : la Corée du Sud, où la vitesse de téléchargement Internet est presque le double de celle observée au Canada. La chose a son importance : la télémédecine, l’enseignement à distance sont tributaires de la vitesse de nos communications, tout comme les transactions en Bourse, où quelques millisecondes peuvent faire la différence entre profits et pertes.

Vitesse moyenne de connexion Internet (mégabits par seconde)

1. Corée du Sud 14,2

2. Japon 11,7

3. Hongkong 10,9

4. Suisse 10,1

5. Pays-Bas 9,9

6. Lettonie 9,8

7. République tchèque 9,6

8. Suède 8,9

9. États-Unis 8,6

10. Danemark 8,2

11. Autriche 7,9

12. Royaume-Uni 7,9

13. Canada 7,8

14. Finlande 7,7

15. Roumanie 7,5

(Source : The State of the Internet, Akamai)

Cet article Le chiffre : 13 est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Le bruit des avions source de maladies cardiovasculaires

Envoyer Imprimer PDF
Crédit: Sarah M. Stewart / Flickr / CC2.0

Crédit: Sarah M. Stewart / Flickr / CC2.0

Des chercheurs britanniques avancent que les personnes qui vivent près des aéroports pourraient davantage être susceptibles de contracter une maladie cardiovasculaire, rapporte The Guardian.

Selon ces chercheurs, le fait d’être constamment exposé au bruit assourdissant du décollage (et de l’atterrissage) de gros porteurs nuit non seulement à la qualité de vie, mais pourrait augmenter de 10 à 20 % les risques d’AVC (accident vasculaire cérébral) et de maladies coronariennes, après examen d’un échantillonnage de gens résidant près de l’aéroport d’Heathrow, à Londres.

Aux États-Unis, une autre étude révèle que ces mêmes risques augmentent de 3,5 % par tranche de 10 décibels supplémentaires de bruit, après avoir scruté l’état de santé de 6 millions de personnes de 65 ans et plus vivant dans un proche rayon d’un des 89 aéroports étudiés.

Cela dit, les chercheurs s’empressent d’ajouter que leurs études révèlent l’existence d’un simple lien statistique, et non pas de cause à effet, entre la réalité de ces résidents et le risque qu’ils soient atteints de telles maladies. Dans leur recherche, ils ont également tenu compte du contexte socioéconomique, de l’état de santé en général et de l’origine ethnique des personnes admises.

Selon d’autres spécialistes, on connaît encore mal l’impact du bruit dans la détérioration de la santé humaine. Mais il demeure plausible d’affirmer que l’exposition continue à des degrés surélevés de décibels peut nuire au sommeil et contribuer à hausser la pression artérielle, entre autres conséquences.

À cet égard, les auteurs des deux études soumettent qu’en tout état de cause, on ne saurait ignorer les effets du bruit des avions sur la santé, et en tenir compte à l’avenir dans la planification des aéroports.

L’étude britannique a été réalisée par la UK Small Area Health Statistics Unit et le MRC-PHE Centre for Environment and Health, alors que celle menée aux États-Unis est le fruit du travail de chercheurs de la Harvard School of Public Health et de la Boston School of Public Health.

Pour en savoir plus, lisez l’article du Guardian en cliquant ici.

Pour me suivre sur Twitter, c’est par ici; sur Facebook, c’est par là.

Cet article Le bruit des avions, source de maladies cardiovasculaires ? est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Blog de daijiro77 - Moins de 4 mois

Envoyer Imprimer PDF
Blog de daijiro77 - Moins de 4 mois...
Lire la suite...
 

Balade irlandaise 5 choses à faire à Dublin

Envoyer Imprimer PDF

Dublin

Ville à taille humaine, jeune et cosmopolite, Dublin est devenue l’une des destinations touristiques les plus en vogue en Europe. Le temps d’un weekend ou d’une semaine, profitez de son charme la journée et de son ambiance survoltée la nuit. Voici 5 choses à ne pas manquer dans la capitale irlandaise, accessible grâce à des vols pas chers depuis de nombreuses villes françaises.

Temple bar

De jour comme de nuit, le quartier festif de Dublin mérite le détour. Réputé à travers toute l’Europe pour son ambiance unique, cet ensemble de petites rues déborde de pubs et de restaurants. Les musiciens de la ville en ont fait l’un de leurs terrains de jeux favoris et toutes les générations d’Irlandais et de touristes s’y retrouvent chaque soir autour d’une Guinness ou d’un fameux whisky. Si sa célébrité en fait l’un des quartiers les plus chers de la ville, Temple Bar demeure un incontournable pour vous plonger dans l’ambiance chaleureuse de cette capitale festive.

Musique, ambiance et chaleur vous attendent dans les rues piétonnes de Temple Bar

Trinity College

Autre immanquable, situé en plein centre ville, la plus ancienne université d’Irlande est l’une des plus importantes du monde. Sur 19 hectares, Trinity College accueille environ 15 000 étudiants chaque année au beau milieu de nombreux bâtiments historiques. Celle qui a compté dans ses rangs Samuel Beckett ou Oscar Wilde – pour ne citer qu’eux – est aussi le lieu d’exposition du Livre de Kells, considéré comme l’un des plus beaux manuscrits datant du Moyen Âge. Mais c’est sa bibliothèque, l’une des plus belles du monde, qui en fait un lieu incontournable de votre séjour à Dublin. A ne manquer sous aucun prétexte !

Trinity College et ses bâtiments historiques vous transportent dans le temps

Phoenix Park

Quoi de mieux qu’une balade au grand air pour se remettre d’une soirée arrosée dans les pubs de Temple Bar ? Second plus grand parc citadin d’Europe, Phoenix Park est un véritable havre de paix situé au nord-ouest du centre ville. Muni d’un vélo, n’hésitez pas à parcourir les 712 hectares qui le composent. Vous y observerez des daims sauvages et pourrez admirer la résidence officielle du président irlandais, ainsi que des matchs de polo ou de cricket sur les nombreux terrains de sport.

Baladez-vous dans Phoenix Park et approchez les daims

Guiness Storehouse

Dans ce bâtiment de 7 étages situé en bordure de l’usine Guinness, vous apprendrez tout ce qu’il y a à savoir sur la bière la plus connue d’Irlande. Les quatre ingrédients qui la composent, les étapes de la production, la vie du fondateur de la brasserie, les célèbres publicités de la marque…vous saurez tout sur “l’or noir irlandais”. Au sommet du bâtiment en forme de pinte, ne manquez pas la dégustation offerte au sein du Gravity Bar qui offre une vue imprenable à 360° sur la ville.

Ne quittez pas Dublin sans tout savoir sur la Guinness

Howth

Dans la périphérie nord-ouest de Dublin, partez à la découverte de Howth. Ce village de pêcheurs est facilement accessible en train (30 min) ou en bus (50 min). Vous pouvez également bien sûr louer une voiture pour vous y rendre par vos propres moyens. Une fois sur place, profitez du bord de mer pour vous offrir une balade le long des falaises. La vue y est magnifique et le sentier de randonnée à emprunter est facilement accessible. Dans le port, vous pourrez apercevoir ou même nourrir des phoques. Dépaysement et authenticité garantis !

Offrez-vous un bol d'air frais dans le charmant village de pêcheurs de Howth

Autres activités à ne pas manquer : une balade le long de la Liffey, la visite de Kilmainham Jail et un match de football gaélique ou de hurling dans la stade mythique de Croke Park.

Vous avez déjà passé un séjour à Dublin ? Recommandez-nous d’autres activités !

Crédits photos : Miquel Ramia, Paul Sturrs, William Murphy  / Flickr cc.
Lire la suite...
 

Découvrir tout Paris en vidéo

Envoyer Imprimer PDF

paris

Après avoir visité la Tour Eiffel sans bouger de chez vous, vous pourrez découvrir Paris grâce à près de 80 vidéos.

Le site toutparisenvideo vous emmène dans de nombreux lieux de la capitale comme le Panthéon, la cathédrale Notre-Dame-de-Paris ou encore l’Arc de Triomphe.

[Photo]

Lire la suite...
 

Quizz voyage spécial langues du monde

Envoyer Imprimer PDF

Pour ce 51e quizz, nous avons décidé de faire un quizz voyage spécial langues du monde. Plus de 6.000 langues différentes sont répertoriées dans le monde. Les chiffres varient selon les critères. Mais une petite minorité de langues est parlée par la majorité des Terriens.

Bonne chance !

Votre score :  

Votre classement :  

Dernières recherches des voyageurs pour cet article :

  • shorten url

Lire la suite...
 

Welcome to Foxton

Envoyer Imprimer PDF

On s'est arrêté à Foxton un peu par hasard parce qu'il nous fallait de l'essence en urgence. On arrive très tôt et la rue principale est déserte. On demande à la première personne qu'on voit où se trouve la station service. Il faut ressortir de la ville mais comme on est déjà garés et que la[...]
Lire la suite...
 

Blog de remi - Des nouvelles d Australie

Envoyer Imprimer PDF
Blog de remi - Des nouvelles d Australie!!!
Lire la suite...
 

Les temples duTamil Nadul

Envoyer Imprimer PDF
Namaste !Nous voici en Inde depuis le 14 octobre. Nous avons attéri à Chennai une ville de six millions d'habitants dans la quelle nous avons passé nos trois premiers jours indiens.
Lire la suite...
 

Derniers jours à Katmandou

Envoyer Imprimer PDF
Derniers jours à Katmandou !
Lire la suite...
 

Suite et fin

Envoyer Imprimer PDF
C'est bien la première fois que je n'ai aucune inspiration pour décrire une de nos étapes... Évidemment nous n'avons pas tout vu, loin de là. J'aurai aimé voir Little India
Lire la suite...
 

Deuxième semaine

Envoyer Imprimer PDF
Voila la deuxième semaine est déjà terminée. Ce fût une semaine calme dans laquelle nous avons à nouveau connu beaucoup de premièr
Lire la suite...
 

Désert dAtacama

Envoyer Imprimer PDF
Bienvenidos a Chile !!!! Enfin… voilà venu le temps des shorts, marcels et tongs malgré une altitude de 2300m&
Lire la suite...
 

Bienvenue à la maison de Tanie

Envoyer Imprimer PDF
Notre second trajet en bus de nuit s'est bien passé, et Emilie à pu dormir pour une fois .. arrivées à Cusco à 6h00, nous attendons Tanie. C' est une peruvienne connue d' un langonnais et qui nous a donné
Lire la suite...
 

3 jours dans le Salar de Uyuni et le Sud Lipez

Envoyer Imprimer PDF
Comme prévu, à 10h, nous sommes à l'agence, avec nos mochillos (sacs à dos), nos bouteilles d'eau et notre papier wc.  Nous devons embarquer dans une jeep landcruiser a
Lire la suite...
 

Rendez-vous à la brasserie du Lutetia

Envoyer Imprimer PDF
Le Lutetia est un nom qui me fait rêver depuis un petit moment. Non ce n’est pas l’origine latine du mot qui me plait mais plutôt son histoire très “rive gauche” : la création de l’hôtel par la propriétaire du “Bon Marché” pour ses clients provinciaux les plus aisés, sa période artistique et star de l’entre-deux guerres avec des clients comme Picasso, Samuel Beckett, Albert Cohen ou même Joséphine Baker, sa sale période de siège du service secret nazi pendant l’occupation ou enfin à la libération sa période centre d’information pour retrouver les juifs déportés. Et sinon c’est aussi un grand hôtel de luxe. J’avais donc envie de pousser les portes de ce monument et pour une belle occasion, j’avais décidé de dîner dans la brasserie du Lutetia. Le restaurant gastronomique “Paris”, ce sera pour une prochaine fois. Car à la brasserie, entre autre, il y a de superbes plateaux de fruits de mer, et ça, c’était l’atout majeur pour la personne qui m’accompagnait. Nous voici installé dans cette ambiance certe brasserie mais très feutrée. Miroirs, boules de lumière blanche, bois, table impeccablement dressée, un cadre un peu 70′s qui donne une ambiance singulière et très agréable. Sur le menu, [...]
Lire la suite...
 

Rendez-vous à la brasserie du Lutetia

Envoyer Imprimer PDF
Le Lutetia est un nom qui me fait rêver depuis un petit moment. Non ce n’est pas l’origine latine du mot qui me plait mais plutôt son histoire très “rive gauche” : la création de l’hôtel par la propriétaire du “Bon Marché” pour ses clients provinciaux les plus aisés, sa période artistique et star de l’entre-deux guerres avec des clients comme Picasso, Samuel Beckett, Albert Cohen ou même Joséphine Baker, sa sale période de siège du service secret nazi pendant l’occupation ou enfin à la libération sa période centre d’information pour retrouver les juifs déportés. Et sinon c’est aussi un grand hôtel de luxe. J’avais donc envie de pousser les portes de ce monument et pour une belle occasion, j’avais décidé de dîner dans la brasserie du Lutetia. Le restaurant gastronomique “Paris”, ce sera pour une prochaine fois. Car à la brasserie, entre autre, il y a de superbes plateaux de fruits de mer, et ça, c’était l’atout majeur pour la personne qui m’accompagnait. Nous voici installé dans cette ambiance certe brasserie mais très feutrée. Miroirs, boules de lumière blanche, bois, table impeccablement dressée, un cadre un peu 70′s qui donne une ambiance singulière et très agréable. Sur le menu, [...]
Lire la suite...
 


Page 238 sur 771

Partager cette info tourisme / vacances / voyage


BESOIN D'UN CREDIT EN LIGNE RAPIDE POUR FINANCER VOS VACANCES ?


Merci de consulter les sources

Les articles de l'espace "Informations aux voyageurs" sont des articles fournis par les flux RSS de site consacrés au tourisme et au voyage. Ces articles ne sont donc pas le résultat de travail de l'équipe de vacances-voyage-sejour.com mais bien le résultat d'un mashup de contenu, également appellé curation.

Notre travail se limite à vous faire découvrir le travail de qualité effectué par des sites web de référence; nous ne rédigeons de ce fait aucun contenu. Ce site web baptisé "Informations aux voyageurs" est donc un site composé d'un moteur de recherche alimenté par des flux RSS. Nous ne sommes donc pas éditeur mais hébergeur et n'exerçons de ce fait aucun contrôle sur les informations référencées dont nous respectons le droit d'auteur en indiquant la source fournie dans les flux RSS.

Afin de découvrir la totalité des articles proposés, merci de cliquer sur le lien de source mentionné en bas de chaque article afin de découvrir l'excellent travail de ces différents rédacteurs; de nombreux autres contenus de qualités vous attendent sur leur site web.

CRM agence de communication - CRM agence de voyage - CRM agence immobilière - CRM assurance - CRM Analytique - CRM Cabinet de recrutement - CRM cabinet médical - Logiciel de gestion de contrats - Logiciel agenda partagé - CRM Gmail

Statistiques

Membres : 2
Contenu : 35673
Affiche le nombre de clics des articles : 35308140

Les infos touristiques les plus lues

Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


Les dernières infos vacances / voyages

Chercher des infos voyage/vacances