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10 questions Claude Blais

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Claude Blais

Claude-Blais-DRParti : Indépendant
Âge : 53 ans
Enfants : Trois (31 ans, 29 ans et 28 ans)
Animaux : Un chat et un aquarium
Lieu de résidence : Pointe-aux-Trembles
Dernier emploi : Gestion de personnel

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Oui.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Oui, car le coût de tous ces élus est payé par les citoyens et les citoyennes.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

(M. Blais n’a pas souhaité répondre.)

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Oui, en créant de nouveaux emplois.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

(M. Blais n’a pas souhaité répondre.)

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Oui.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Le transport, avec le métro et les autobus, est meilleur qu’en banlieue. Cependant, il y a encore place à l’amélioration, notamment en prolongeant le métro dans l’est de Montréal. En ce qui a trait à l’économie, la réponse est non. Il y a très peu d’emplois, le taux de chômage est élevé et le prix des logements l’est également. Dans mon programme, j’ai prévu une aide aux familles qui passe par la réduction de taxes (autant pour les propriétaires que les locataires).

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Non. Encore une fois, les citoyens payent pour cela.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

(M. Blais n’a pas souhaité répondre.)

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

(M. Blais n’a pas souhaité répondre.)

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

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10 questions Clément Sauriol

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Clément Sauriol

Clément Sauriol - DRParti : Indépendant
Site Web : sauriolclement.blogspot.ca
Âge : 67 ans
Statut civil : Célibataire
Enfants : Aucun
Animaux : Un chat et un aquarium
Lieu de résidence : Villeray, Montréal
Taxe foncière : Locataire
Lieu préféré à Montréal : Marché Jean-Talon
Voiture : Aucune
Dernier emploi : Travailleur autonome
Langues parlées : Français et anglais
Membre de quel parti : Aucun

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

À la condition de mettre un surveillant derrière chaque employé de la ville, c’est oui. Mais soyons réalistes. Qu’il y ait du coulage, de la mauvaise gestion, voire du gaspillage, c’est une chose. Mais la pratique du détournement de fonds, qui a cours depuis 20 ans, doit être totalement éradiquée comme on débroussaille de la mauvaise herbe. Et ça doit prendre bien moins qu’un mandat.

À en croire les médias, Montréal serait la ville la plus corrompue du monde. On se calme. Nous nous sommes fait voler parce que nous étions gouvernés par des inconscients, des ignorants diplômés et bardés de reconnaissances académiques somptueuses et stupéfiantes. Des gens si imbus de leur savoir technocratique qu’ils se sont fait avoir par des vieux malfrats à peine éduqués. Ces vieux roublards de la magouille se sont fait une joie de plastronner ces élus, cantonnés dans leur tour d’ivoire, qui ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez. On a ridiculisé les plus orgueilleux et sans doute aussi menacé les plus vulnérables.

Pourtant, à Montréal, il est rarissime que les élus, les policiers, les juges et les édiles se fassent assassiner. Même au Canada, c’est rare. Ce qui l’est moins, par contre, c’est la facilité avec laquelle quantité de gens « responsables » se laissent acheter par des montants souvent ridicules au regard des sommes détournées. Autant les corrupteurs sont habiles, avides et cupides, autant les corrompus sont petits, mesquins et sans ambition. Dans un tel marécage où la fierté n’a pas cours, il est facile d’y semer la pagaille et d’y régner en maitres. C’est ce que les magouilleurs ont fait. Peut-on les en empêcher maintenant ? La réponse est oui, mais si vous les chassez par la porte, ils reviendront par le soupirail. Donc, il faudra une vigilance de tous les instants.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Pour comprendre cette situation si particulière à Montréal, il faut remonter plus de 20 ans en arrière. Il fut un temps où on constatait que ceux qui prenaient les grosses décisions n’étaient pas élus. Ou bien qu’ils concentraient en leur personne trop de pouvoir. C’était le cas du temps de Drapeau. Au fil du temps, on a décentralisé ce pouvoir presque despotique pour le morceler entre des élus de quartiers, puis d’arrondissements. En fusionnant les villes, on faisait un pas vers une meilleure coordination des recettes fiscales régionales. On partageait les responsabilités. Ce fusionnement n’était pas parfait, mais il fallait lui laisser sa chance.

Au fil des ans, on l’aurait amélioré, et « une ile une ville » aurait pu ressembler à autre chose qu’un conglomérat de gros villages. Hélas, M. Charest a choisi la défusion pour de bas motifs électoralistes et pour ménager sa clientèle provinciale anglophone, provoquant une formidable embrouille dont nous ne sommes toujours pas sortis. Des pratiques étranges ont été importées des villes fusionnées vers le centre-ville, qui a perdu le contrôle sur son budget et son agenda. Aujourd’hui, ce ne sont plus de grands fonctionnaires qui gèrent la ville, mais des élus, qui, malgré leur bonne volonté, ne comprennent pas grand-chose à la gestion d’une grande ville.

Il nous faut un maire indépendant des partis politique qui puisse aller chercher, parmi tous les élus, ceux et celles qui sont les plus aptes à gérer convenablement notre ville. Cela veut dire que ces élus, sans être eux-mêmes des gestionnaires (mais tant mieux si de surcroît ils le sont), pourront aller chercher de l’expertise en dehors de leur entourage immédiat et puiser dans les réserves de talent de la ville.

Le rôle du maire n’est pas de gérer la ville. Il n’est pas et ne doit pas être un comptable. Il n’est pas le PDG d’une entreprise. Montréal est un organisme sans but lucratif (OSBL). Le maire doit s’assurer que chacun fait son travail et rendre ensuite des comptes à ses vrais patrons : les citoyens. Pas au comité exécutif, qui, comme son nom l’indique, est là pour exécuter la volonté populaire en votant des règlements et des contrats exemplaires.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Bien sûr que j’ai voté ! Je vote toujours, même aux élections scolaires. Sauf que la dernière fois, j’ai annulé mon vote en donnant ma voix à tous ceux qui se présentaient. Personne ne me semblait digne de confiance. J’avais raison, non ?

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Là, on entre dans la bagarre entre les grandes villes. Au Canada, qui dit grandes villes, dit Toronto et Montréal. Je ne vois quel est l’intérêt de Montréal à tenter de rattraper Toronto pour obtenir ce titre de métropole des affaires. Et puis, de quelles affaires parle-t-on ? De la finance, de la transformation, du commerce de détail, de la petite et moyenne entreprise ? Montréal n’a même plus de vraie bourse, et Toronto pourrait bien perdre la sienne au profit de Londres.

Montréal doit travailler pour les Québécois et se tailler une place dans le monde, pas seulement au Canada. Pour cela, il faut que Montréal ait une personnalité originale, et en tant que seule vraie ville francophone des deux Amériques, Montréal est dix, même cent fois en avance sur Toronto. On ne se compare même pas. Nous n’avons pas les mêmes intérêts, et le Canada, surtout celui de M. Harper, se fiche complètement de Montréal.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Je suppose que oui. Il ne se passe pas une semaine sans que l’on annonce ici et là de nouvelles entreprises, agences ou commerces qui viennent s’installer ici. Certes, on ferme aussi des commerces, mais c’est la même chose partout. Ce problème de délocalisation reflète la guéguerre abominable du coût de production.

Montréal peut avoir mieux à offrir que des bas coûts de production, c’est-à-dire un climat, une atmosphère de travail de qualité qui vaut toutes les petites économies faites sur le dos de travailleurs exploités jusqu’à la mort, comme on en voit dans d’autres grands pays que je ne nommerai pas ici. Il y a aussi des avantages fiscaux, la proximité du grand marché américain, une main d’œuvre instruite et qualifiée, des coûts énergétiques concurrentiels, des voies de communications qui ouvrent sur toute la planète… Ce n’est pas rien.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Oui. D’ailleurs, le français est toujours menacé en Amérique du Nord, et ce n’est ni la faute des Américains, ni vraiment celle des anglophones du Canada qui font leur possible pour nous rabaisser. La faute réelle en revient aux francophones eux-mêmes, qui se laissent subjuguer par un anglais plutôt approximatif et qui délaissent leur véritable atout dans le monde : leur situation unique de grand état francophone des Amériques.

Il manque aussi à nos dirigeants cette volonté absolue d’imposer le français comme langue du commerce et des affaires, sans états d’âmes particuliers. Un peuple fier est d’abord fier de sa langue. Ce n’est pas le cas partout à Montréal. Certains voudraient faire de Montréal une ville bilingue. Je suis absolument contre et je le dirai haut et fort si l’électorat m’en donne l’occasion.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Là encore, il faudrait comparer des choses comparables. À Montréal, il y a des quartiers qui l’emportent sur bien des banlieues. Si tant de gens optent pour les banlieues, c’est qu’ils doivent y trouver une qualité de vie à des coûts mieux adaptés à leurs finances qu’à Montréal, où les taxes foncières sont beaucoup trop élevées. Les quatre candidats qui se présentent avec les mêmes partis qu’avant sont tous plus ou moins d’accord pour hausser le rôle d’évaluation de 20%, histoire de faire du «rattrapage» (pour quoi faire, grands dieux ?). Et bien évidemment, au cours des quatre prochaines années, les taxes vont augmenter à l’avenant. Ils n’ont strictement rien compris et vont se (nous) tirer dans les deux pieds. Au train où vont les choses, l’exode vers la périphérie risque fort de s’amplifier.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Pourquoi pas ? Ce ne sont pas tous les édiles qui sont corrompus. Cependant, on doit bien constater à regret (mais c’est un peu tard) qu’il aurait fallu qu’ils ouvrent les yeux et les oreilles quand c’était le temps. Ne l’ayant pas fait, je suis époustouflé de l’arrogance de certains d’entre eux, et ils sont nombreux, qui osent se représenter à ces élections. Je dis cela pour tous les partis politiques qui étaient là avant ces élections. Je souhaite que les électeurs, massivement, les renvoient à l’anonymat. Hélas, je doute fort que ce soit le cas.

Par une sorte d’aberration que je ne m’explique pas, les Montréalais s’apprêtent à redonner leur confiance à des incompétents notoires. Allez donc y comprendre quoi que ce soit… Doit-on n’y voir que la toute puissance des médias, qui leur enfoncent dans la tête, par les yeux et les oreilles, la nécessité de réélire ces individus tous plus ineptes les uns que les autres ? Quelle misère !

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Montréal n’est pas vraiment une belle ville. Je la compare souvent à une sorte de marais dans lequel apparaît des oasis de beauté. C’est l’ensemble qui jure sur le particulier. Montréal a de beaux quartiers, de belles constructions, mais tout un amoncellement de rues commerciales où l’indigence visuelle vire au mauvais goût. Il y a beaucoup trop de travail bâclé. Certaines rues ne mériteraient rien d’autre que de tomber sous la dent d’un démolisseur. Mais on a aussi trop souvent détruit des bâtiments exceptionnels aux prétextes infâmes de rentabilité passagère. Le mal est fait. Vivement des concours d’architectes du monde entier pour revamper tous les quartiers.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

De ce coté, je suis assez content. Depuis plus de 25 ans, les nouveaux arrivants s’intègrent assez bien à la communauté, surtout grâce à la loi 101. Il reste tout de même des irritants, mais je pense qu’avec de la patience, de la détermination et une saine ouverture aux autres doublée d’une volonté politique ferme, Montréal, si elle n’est pas encore un modèle d’intégration, peut le devenir assez rapidement.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

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Blog de lauriannejerome - fabrication du caoutchouc

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Attaque de pubs

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On avait bien reçu un mail nous informant qu'un partenariat "droit d'auteur" avait été préactivé pour nous faire gagner des sous (alors qu'on avait rien demandé). On nous demandait aussi de signer un contrat pour finaliser tout ça. On ne pensait pas qu'il y aurait des pubs partout tant qu'on ne[...]
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Blog de magyo - aujourdhui cest RODEO

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Blog de helonounoutz - Page

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Revue de caricatures Sénat en décrépitude élections en sursis et CGI dans l’eau chaude

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Le Québec a réussi cette semaine à s’impliquer d’une façon ou d’une autre dans ce qui aura fait les manchettes aux États-Unis et au Canada.
Chez nos voisins du sud, les caricaturistes se sont régalés des ratés du système informatique de l’Obamacare. C’est la multinationale québécoise CGI qui tente de faire fonctionner ce système hautement complexe, si cher au président américain. L’entreprise est sous les feux de la rampe, comme l’indique cet article qui lui est consacré dans le Washington Post. Les Républicains, bien sûr, se réjouissent des malheurs du système.

MH Obamacare 646-mkUEv.St.91

Obamacare ratésgm131025 Miami Herald Obamacare 102-3IZfp.St.91

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Outre les ratés de l’Obamacare, ce sont les espions de la NSA qui ont fait les manchettes et ont inspiré les caricaturistes, qui ont mis en vedette une Angela Merkel furieuse de voir interceptés ses textos. C’est que la Chancelière allemande serait complètement accro à son portable…

Obama Merkel chi-stantis-clear-signal-20131024

Au Canada comme au Québec, le Sénat a continué à voler le show, le sénateur Mike Duffy et le PM Harper jouant les rôles principaux, avec Mulcair, Brazeau et Wallin dans les rôles secondaire. Pendant que se jouait cette farce explosive autour des comptes de dépense des sénateurs, la Cour d’appel du Québec rendait un jugement catégorique contre la volonté de Harper de réformer cette institution sans l’accord des provinces.

Le Québec a également décidé de contester la nomination du juge Nadon à la cour suprême et a fait adopter une motion unanime à l’Assemblée nationale réitérant la règle du 50% + 1 suite à la décision d’Ottawa de contester la loi 99. Harper en a plein les bras et pendant ce temps-là, Justin Trudeau flotte au-dessus de la mêlée, preuve vivante que le vide est plus léger que l’air vicié du Sénat. On entend personne au Québec, ces jours-ci, défendre le fédéralisme canadien.

Il y a eu tellement de caricatures sur ces histoires que de faire un choix fut déchirant. À mon avis, c’est Aislin qui remporte la palme de la caricature la plus brutale:

Aislin Harper 9066228

Duffy CH

Philippe Duffy761281-24-octobre-2013

Chapleau Sénat

Harper loi 99 Philippe760235-22-octobre-2013

Chapleau Lebel 760233-22-octobre-2013

À Québec, le ministre Drainville a dévoilé les résultats (sa poitrine aussi) de sa consultation sur la Charte, mais ce qui a continué à retenir l’attention, c’est la décision attendue de la première ministre sur la tenue ou non d’élections automnales. Les caricaturistes n’ont pu résister à la tentation de mélanger élections et crucifix. Parlant de ce dernier, Côté m’a presque attendri avec ce petit bijou qui clôt notre revue de la semaine.

Chapleau Drainville760753-23-octobre-2013

Marois élections crucifix 1310853186941_ORIGINAL

Garnotte élections conseil-des-ministres-extraordinaire-au-lac-taureau

Côté Crucifix761280-24-octobre-2013

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Blog de phobac - Pisac

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Le coeur de la Bolivie

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Notre étape à la Paz n'a duré que 3 jours, mais nous savons que cette ville sera la dernière étape de notre voyage, nous y séjournerons quelques jours avant n
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Cest lheure des emplettes

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Encore réveillées par les bruits de feu d'artifice (oui oui en plein jour et oui oui ils font toujours la fête ici!) mais aussi et surtout le bruit de la pluie... On est bien au chaud dans notre lit et on décide d'annu
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Big island

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La personne qui a inventé ces îles est super forte. Arriver à mettre de la magnifique végétation, l'océan et les plages, et en plus des volcans sur une si petite surface, moi je dis bravo ! ;)Bon d'a
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Blog de Gil - Los Angeles

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Blog de Gil - Los Angeles...
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Musique les livres «33 ⅓

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livre-33-1-3

Depuis 10 ans, les livres de la collection « 33 ⅓ » analysent et décortiquent longuement des classiques, de James Brown aux Beastie Boys.

L’auteur dispose d’une grande liberté dans le ton et le style de ses essais, et le résultat fait souvent voir autrement un disque qu’on pensait connaître sous toutes ses coutures.

D’ici avril 2014, l’éditeur fera paraître, en anglais, des essais sur les disques Histoire de Melody Nelson (Serge Gainsbourg), Selected Ambient Works Volume II (Aphex Twin) et Smile (Beach Boys), entre autres. Une cuvée qui s’annonce intéressante.

Infos:
333sound.com

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Blog de lauriannejerome - îles de Trang

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Vietnam nos programmes sur mesure

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lac-hoan-kiem

Vous n’êtes jamais allé au Vietnam ? Vous désirez profiter du climat tropical pour vous relaxer et vous immerger dans une culture incroyablement dépaysante ? Voici deux programmes qui répondront aux attentes des néophytes et aux adeptes du farniente.
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L’adoption des nouvelles technologies en trois temps

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Les nouvelles technologies n’ont jamais eu un taux de pénétration aussi rapide. Le iPad, apparu sur le marché en 2010, n’a mis que 2,5 ans pour rejoindre 10 % de la population. Le téléphone a mis 25 ans avant d’atteindre cette part de marché!

L’adoption d’un produit ou d’une nouvelle technologie se fait généralement en trois phases :

1) La phase des early adopters (10 % de la population). Ce sont ceux qui adoptent les nouveaux produits ou les nouvelles technologies avant qu’elles ne deviennent à la mode. Dans mon cas, c’est ce cousin geek qui croulait sous les jouets ORIGINAUX de Stars Wars quand nous étions petits et dont la famille a eu un micro-onde et une console ATARI avant tout le monde.

2) La phase de maturation (de 10 % à 40 % de la population). Le produit sort de sa niche et le grand public commence à en prendre connaissance. C’est cette étape ou votre cousin geek vous a convaincu d’essayer vous aussi ce gadget. Vous ne serez pas le plus innovateur pour lui, mais serez une vedette auprès de ceux qui n’y connaissent rien. On est toujours le geek des uns et le techno-nul des autres…

3) La phase de saturation (40 à 75 %). De plus en plus de gens en ont et vous commencez vous-même à vous trouvez ringard. Une autre technologie pousse derrière et dans 3-2-1, vous (et votre gadget) serez complètement dépassé.

Un produit prendra généralement plus de temps à atteindre le seuil de 10 % de la population qu’à atteindre son niveau de maturité. Les early adopters, qui sont souvent des influenceurs, vont aider à faire grimper le taux de pénétration d’une technologie de 10 % à 40 %. On sait d’ailleurs que les téléphones intelligents ont mis 8 ans à rejoindre 10 % de la population et 2,5 ans à en atteindre 40 %, propulsés par le lancement du iPhone en 2007. Ils sont maintenant entrés dans leur phase de saturation.

Il est encore trop tôt pour savoir en combien de temps le iPad entrera à son tour dans cette phase, mais jusqu’ici, la tablette est adoptée plus rapidement que toutes les autres technologies avant elle. Et ensuite ce sera quoi? Tiens, je vais appeler mon cousin à qui je n’ai pas parlé depuis un moment…

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Blog de chrisdjo34 - Bienvenue en Barranca del Cobre

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Blog de phobac - Les salines de Maras et le site de Moray

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Ukaz cecky

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HEy les coupains ! Me revoila avec plein de news !Pour moi la vie danoise se passe toujours super bien , et je commence à bien m'habituer au rythme éasmus qui me plait!!Par ou commencer ?! ici le temps file
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Mes premiers pas en Indonésie

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Mes premiers pas... en Indonésie
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Johor Bahru - Batu Pahat - Bandar Maleka

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250 km  en deux jours grâce à une température n'excédant pas 42°, une route presque plate et peu de vent. Nous croisons un peloton de cyclistes VTT accompagné par motard et voiture
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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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