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PUB] Le tour du monde en 80 jours au Splendid Théâtre

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En 1872, Philéas Fogg et Passepartout lancent un pari insensé : faire le tour du monde en quatre-vingts jours. Un road-movie déjanté où se côtoient une princesse indienne en détresse, un Chinois fumeur d’opium, Jack le plus grand loser de l’Ouest, l’inspecteur de police le plus nul de toutes les […]
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Article invité] On the road sur les traces de Jack Kerouac en Californie

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L’Amérique de Jack Kerouac est une Amérique maccarthyste, encore sous le coup de la ségrégation, un pays que l’on embrasse et que l’on rêve au moyen d’acides. Aujourd’hui, la majestuosité des paysages est toujours présente ; la Californie reste un petit havre Beatnick, et ses lois sociales font aujourd’hui la […]
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En Guyane Jean Paul un iguane comme les autres

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  Je suis un reptile semi-arboricole,

La maîtresse des lieux m’a surnommé Jean Paul
Pourquoi ce prénom ?
J'en ignore la raison ...

Je vis au fond de son jardin

Bien planqué sous le manguier
Mon fruitier préféré

Je suis très friand d’insectes,

faisant de moi l’ami des jardiniers


 

 Ma carcasse verdâtre

Permet de me fondre dans le paysage

Echappant ainsi

A qui voudrait m’attaquer


 

Ma crinière à rebrousse poil,

héritage de la préhistoire

ne se prête à aucune caresse,

on me fiche donc une paix royale !  

 

  Dans mon genre, je ne suis pas très beau

Avec ma peau écailleuse

Je n’ai pas l’air très catholique

 Alors pourquoi m’a-t-elle surnommée Jean Paul ?


Voyages : Guyane

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Terrasser le monstre du déficit commercial – 5 Le risque fédéral

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On peut et on doit prendre conscience de l’immense défi posé à l’économie québécoise par le déficit commercial. On doit en souligner les causes à l’aide d’un diagnostic sans complaisance. Et on doit agir sur tous les fronts et en particulier en avançant vers l’indépendance énergétique. C’est l’essence même de la politique économique du gouvernement Marois.

Le Québec a des moyens d’action importants et il les met en oeuvre. Ces moyens, cependant, demeurent limités. C’est que le Québec n’est pas un pays. Ça peut nous désoler, mais notre État demeure à ce jour une province du Canada.

Pour plusieurs, le Québec devrait cesser de blâmer le gouvernement fédéral et se limiter à régler ses propres problèmes. L’éminent blogueur économique Pierre Duhamel l’exprimait ainsi sur ce site:

«Au Québec, nous avons le bouc-émissaire idéal. Il est responsable de nos difficultés et c’est l’empêcheur de tourner en rond universel. Pourquoi le Québec traîne de la patte dans un domaine? À cause d’Ottawa, bien sûr. Pourquoi ne peut-il pas agir plus efficacement? Le fédéral l’en empêche, évidemment. Quand ça va mal, certains ont toujours le même réflexe: ce n’est jamais de notre faute et toujours celle des autres. Je trouve cela assez lassant comme discours et tellement enfantin.»

M. Duhamel sera heureux du fait que quatre des cinq billets de cette série soient consacrés aux problèmes du Québec et à ce que nous pouvons prendre comme actions pour y remédier. Il me permettra sans doute de passer outre à sa lassitude pour aborder dans ce cinquième billet les obstacles qui nous viennent d’Ottawa. On verse quand même des dizaines de milliards de dollars en taxes et impôts au fédéral, un gouvernement qui prend tous les jours des décisions cruciales en notre nom. Il conviendra avec moi que ce serait faire preuve d’un inexcusable manque de lucidité que d’en ignorer les impacts économiques par lassitude. Ce serait même enfantin, n’est-ce pas?

Le déséquilibre commercial canadien et la monnaie

Les deux plus importantes économies du Canada, celles du Québec et de l’Ontario, sont aux prises avec un déficit commercial international gigantesque de 62 milliards de dollars. Autrefois, un tel déficit commercial aurait pesé lourd à la baisse sur la monnaie canadienne. De sorte que lentement mais sûrement, le coût élevé des importations et le prix compétitif des exportations contribueraient à résorber les déficits commerciaux à l’international.

Comme l’indique le prix Nobel d’économie Paul Krugman dans son blogue (si l’économie vous intéresse), ce qui sauve la Grande-Bretagne depuis la crise de 2008, c’est qu’elle a conservé sa propre devise, qui en se dévaluant a constitué un mécanisme d’ajustement. À l’inverse, la Grèce faisant partie de la zone euro,  doit vivre avec une monnaie dont la force n’a aucun rapport avec la faiblesse de son économie.

Au Canada, ce mécanisme d’ajustement ne joue plus, car des forces contraires sont à l’oeuvre et en particulier les cours élevés du pétrole. Pris dans sa globalité, le déficit commercial du Canada à 1,6% du PIB est en effet négligeable. C’est que les provinces pétrolières – Alberta, Saskatchewan et Terre-Neuve – dégagent de leur côté un surplus commercial de 51 milliards de dollars.

Le Québec doit donc vivre lui aussi avec une monnaie décrochée de sa réalité économique. Ce n’est pas la faute du gouvernement fédéral ou de la Banque du Canada. C’est comme ça parce que le Québec est une province du Canada. Les dommages infligés à notre économie sont déjà bien réels, mais imaginons ce qu’il adviendra si le cours du brut devait atteindre 150 ou même 200 dollars le baril. Avec un dollar à 1.20 ou à 1.40. Il y a là un risque économique très important. Pour la province de Québec, c’est le risque fédéral.

Un Québec souverain aura le choix. Peut-être choisirait-il de conserver la monnaie canadienne. Ou peut-être choisirait-il de se doter de sa propre monnaie ou  encore d’adopter la monnaie américaine. Tout cela demeure hypothétique à ce stade, mais il y a une certitude: comme province, le Québec n’a pas le choix, tandis que comme pays, il l’aura. Or, il est bien moins risqué d’avoir le choix, n’est-ce pas?

L’innovation, alors?

J’ai mentionné le déficit commercial de 32 milliards de l’Ontario et on pourrait avancer que cette province a le même problème que le Québec. Or, me dira-t-on, l’Ontario ne se plaint pas, elle.

J’espère bien! Car les bénéfices que l’Ontario tire de son appartenance à la fédération canadienne dépassent de loin les désavantages. D’abord, il y a la concentration des services financiers et du transport aérien dont elle bénéficie pour engranger un surplus commercial interprovincial de 24 milliards de dollars.

Il y a ensuite la présence du gouvernement fédéral sur son territoire. Cela signifie des dizaines de milliers d’emplois très bien payés, des achats en biens et services de plusieurs milliards de dollars.

Et puis, il y a la force politique de l’Ontario, où sont situés plus du tiers des sièges du Parlement fédéral. Les élections fédérales se gagnent ou se perdent en Ontario et on a vu en 2011 qu’il était maintenant possible de remporter une majorité sans le Québec. C’est sans doute ce qui explique qu’Ottawa ait accepté de verser plus de 10 milliards à l’industrie de l’auto en 2009. Ou encore les largesses dont a bénéficié cette province à l’occasion du sommet du G-20.

Malgré tous ces avantages, l’Ontario est maintenant un bénéficiaire de la péréquation et elle est aux prises avec un déficit de 9 milliards, le plus élevé au pays.

Les économies des deux plus grandes provinces sont donc aux prises avec un dollar canadien élevé et un déficit de productivité par rapport aux États-Unis. Le salut se trouve en bonne partie dans l’innovation. Les gouvernements de l’Ontario et du Québec ne s’y sont pas trompés et le financement pour la recherche a augmenté. Le ministre Duchesne vient d’ailleurs d’annoncer des investissements records de 3,7 milliards sur 5 ans.

On pourrait croire que pour aider ces deux économies qui comptent pour plus de la moitié du PIB canadien, Ottawa mettrait le paquet pour stimuler la recherche et le développement. C’est tout le contraire. Depuis 2008, les dépenses fédérales pour la recherche scientifique en proportion de ses dépenses de programme ont chuté de 17%.

Pour ce qui est des dépenses en recherche effectuée par le gouvernement fédéral (intra-muros), l’évolution est très inégale. En Ontario, les dépenses d’Ottawa ont beaucoup augmenté, tandis qu’au Québec, elles sont en chute.

Capture d’écran 2013-10-18 à 10.53.47

Rien pour aider le Québec économique qui se débat avec une monnaie forte. Si la tendance se maintient, en matière d’innovation, le risque fédéral augmente. Tandis que dans un Québec souverain, qui doute du fait que les investissements en recherche et développement seront une grande priorité?

Et la formation de la main-d’oeuvre?

On nous dira que le Québec peut agir au niveau de la formation de la main-d’oeuvre et c’est d’ailleurs ce qu’il fait depuis des années. Dans sa politique économique, le gouvernement Marois rajoute encore plus de moyens et c’est très concret comme le montre cet exemple. Malheureusement, le gouvernement Harper a décidé unilatéralement de saboter les efforts du Québec en imposant son propre programme de formation, pourtant une compétence des provinces. Les patrons, les syndicats et le gouvernement sont tous unis contre la décision fédérale, tout comme l’Ontario. Dans ce domaine névralgique pour l’économie québécoise, Ottawa représente un obstacle indéniable, un risque élevé pour notre avenir économique.

Dans un Québec souverain, quand tous les acteurs seront unanimes comme c’est le cas pour la formation de la main-d’oeuvre, il n’y aura ni chicanes de compétence, ni chevauchements, ni intrusions fédérales. C’est pas mal moins risqué, n’est-ce pas?

Mais il y a l’entreprenariat

Bien sûr. Mais pour démarrer une entreprise et assurer son expansion, ça prend du cash. Le Québec a développé un réseau du capital de risque remarquable, d’ailleurs. Tellement que la moitié du capital de risque investi au Canada dans les 6 premiers mois de 2013 l’a été au Québec. Pendant ce temps-là, que fait le gouvernement fédéral? Il veut détruire les fonds de travailleurs, ce qui va priver des centaines d’entrepreneurs de financement. Au 31 mai dernier, le Fonds de solidarité de la FTQ avait des investissements dans 2 239 entreprises. Et puis, cette épargne québécoise qui est actuellement reversée dans l’économie québécoise sera graduellement redirigée vers la place financière de Toronto, la vraie raison derrière la décision fédérale.

C’est aussi pour renforcer encore davantage Bay Street que le gouvernement fédéral s’acharne à établir une commission canadienne des valeurs mobilières à Toronto.

Extrait d’une chronique de Jean-Philippe Décarie, dans La Presse Affaires:

«Ce n’est malheureusement pas le seul dossier où le ministre Flaherty fait preuve d’un certain acharnementqui va carrément à l’encontre des intérêts économiques du Québec.»

Si la tendance se maintient, le risque fédéral va continuer à s’accroître aussi dans le domaine financier.

Tandis que dans un Québec souverain, nous prendrons évidemment des décisions conformes à nos intérêts économiques. Comme le font tous les pays normaux.

Le risque économique a changé de côté

Pour terrasser le monstre du déficit commercial, le Québec doit agir. J’ai mentionné 10 actions dans lesquelles le gouvernement québécois s’est engagé avec sa nouvelle politique économique. J’ai parlé de l’indépendance énergétique, une approche stratégique.

Mais le geste le plus important que nous puissions poser comme nation pour assurer notre prospérité, c’est d’éliminer le risque fédéral en prenant notre destinée en main.

Pendant des décennies, de Bourassa à Charest, les fédéralistes ont présenté la souveraineté comme un risque économique. On nous parlait de l’incertitude, du «trou noir». Aujourd’hui, on voit bien que le risque a changé de côté.

La souveraineté, c’est l’assurance que les décisions économique du gouvernement seront prises en fonction des intérêts du Québec. Ce qui est risqué pour notre avenir économique, c’est de demeurer une province canadienne.

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Les pièges de la lutte contre-terroriste l’évolution récente du jihadisme 3/3

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Photo : AFP / Getty Images

Photo : AFP / Getty Images

Dans le précédent billet, nous concluions que l’intérêt à court terme des pays occidentaux était de favoriser le noyautage des djihadistes dans des conflits ethno-nationalistes régionaux et de favoriser la négociation politique d’une solution à ces conflits. Quels sont les moyens utilisés par les Occidentaux pour gérer ces conflits ?

La meilleure stratégie serait-elle de porter le fer dans les pays du Moyen-Orient et du Maghreb affectés ? Une simple lecture des objectifs stratégiques d’Al-Qaïda permet de comprendre à quel point ce projet est insensé. L’objectif est d’attirer les pays occidentaux dans des conflits en pays musulman, de « réveiller l’oumma » contre ces envahisseurs et de verrouiller les Occidentaux dans un conflit d’attrition qui se répand dans toute la région concernée.

Parallèlement, il s’agit de montrer que cette intervention occidentale est la preuve que l’Occident veut du mal au monde musulman, tout en suscitant la division en Occident (entre Europe et États-Unis, entre dirigeants et population) sur le bien-fondé de cette intervention.

Enfin, en bon lecteur de Naissance et déclin des grandes puissances de Paul Kennedy, Al-Zawahiri prévoit que les États-Unis sont déjà confrontés à deux des trois motifs de chute des empires : la croissance incessante des coûts de sécurité interne, l’expansion de la présence militaire dans le monde et les coûts associés. Le troisième motif, la concurrence commerciale d’une puissance économique émergente, est en passe de réalisation (voir Abdel Bari Atwan, The secret history of al Qaeda, 2006, p. 221-228.)

Comme je l’argumentais dans G.I. contre jihad, l’essentiel des leviers d’action contre Al-Qaïda sont de nature politique et idéologique, la dimension militaire étant secondaire, voire contre-productive si elle est utilisée à mauvais escient ; le problème étant que les États-Unis recouraient trop facilement à l’armée et ne proposent aucun contre-récit crédible face au récit jihadiste. Comme le dit une source américaine du renseignement dans une formule qui rappelle la guerre du Vietnam : « Tactically, we may have defeated the central leadership, but strategically, they are winning. »

Tout cela est bien et bon, mais si les dirigeants possédaient des « solutions politiques » clé en main pour résoudre les divers conflits qui servent de terreau aux jihadistes, il est peu probable qu’ils les rangent sagement dans un tiroir pour faire la démonstration de leur impuissance, voire de leur incompréhension, de ces conflits devant les médias. Dans ces conditions, l’outil militaire représente bien souvent l’option la moins détestable. Tel est le lot du décideur confronté à une information imparfaite, des moyens limités et un temps de décision réduit.

En prenant en compte toutes ces contraintes, comment juger l’action récente des Occidentaux ? L’action des États-Unis depuis la fin du mandat de Bush et sous les mandats d’Obama est moins inepte que ce que certaines caricatures laissent croire. Face aux jihadistes ayant une réelle capacité internationale, les attaques de drones représentent des gains certains pour des coûts somme toute limités. En effet, ils ont permis d’éliminer des cadres et des leaders capables de fédérer, de planifier, de financer et de nouer des liens avec d’autres groupes. Ces individus étaient des ennemis déclarés qui se voyaient dans une guerre contre l’Occident et utilisaient des moyens militaires : l’utilisation de la force létale contre eux est difficilement contestable de ce point de vue.

De même, la circonspection avec laquelle les pays occidentaux envisagent leur soutien aux rebelles syriens représente bien le fait que la leçon de l’Afghanistan n’est pas répétée mais retenue. Une circonspection que ne partagent pas certaines monarchies du Golfe qui ne voient pas d’inconvénient à soutenir les franges les plus radicales des rebelles. En ce qui concerne le Mali, la France a su contenir son engagement aux objectifs fixés au préalable (mettre un coup d’arrêt à la progression des jihadistes) et est en train de passer le relais aux forces maliennes et africaines.

Si l’outil militaire permet de faire baisser momentanément le niveau de menace, il ne résout pratiquement rien. Pire, il permet même de donner une consécration de champion de la « lutte anti-impérialiste » à des combattants qui demeurent des groupuscules marginaux en nombre et en popularité par rapport aux populations parmi lesquelles ils vivent. Encore pire, l’intervention armée représente précisément le piège dans lequel les jihadistes veulent entraîner les Occidentaux.

En conséquence, ce sont les processus politiques qui sont à privilégier, en particulier le passage de l’autoritarisme vers des formes pluralistes de gouvernance. « Le pays est donc à la croisée des chemins en termes de sécurité : accroître son pluralisme politique, au risque de subir plus d’instabilité (voire de terrorisme) ou prendre un virage autoritaire pour restaurer l’ordre à court terme. » Ce qui est valable pour le Mali l’est également pour l’Égypte. En « volant » les Frères musulmans de leur pouvoir légitimement acquis, l’armée égyptienne offre sur un plateau d’argent le récit d’un revival du coup d’État algérien de 1992 (cent mille morts dans la guerre civile subséquente). En ce sens, le succès du Printemps arabe représente un intérêt de sécurité nationale majeur pour les pays occidentaux. C’est bien en comprenant cela que les États-Unis avaient soutenu l’Égypte de Morsi.

Entre les craintes de l’arrivée au pouvoir de l’islam politique et les impasses de l’autoritarisme, les pays occidentaux ont les plus grandes difficultés à hiérarchiser leurs priorités, à déterminer les moyens d’action à privilégier, ainsi qu’à accepter la décroissance continue de leur capacité à influencer un environnement mondial soumis à des processus subétatiques puissants.

 

Pierre-Alain Clément
Directeur adjoint de l’Observatoire de géopolitique

Chaire @RDandurand @UQAM

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Les trois bons coups de la politique scientifique

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La Politique nationale de la recherche et de l’innovation (pdf) présentée la semaine dernière par le ministre Pierre Duchesne a été très bien reçue autant du côté des chercheurs (voir l’avis de l’Acfas) que des entreprises (voir l’avis de l’Adriq). L’opposition y voit bien évidemment une mesure électoraliste.

Dotée d’un budget de 3,7 milliards de dollars, la PNRI s’étend sur cinq ans, alors que les précédentes stratégies portaient sur seulement trois ans, une période jugée trop courte par les chercheurs qui doivent penser à long terme.

Comme toute politique ou stratégie de ce type, elle prévoit tout un train de mesures pour encourager la recherche, la formation de la relève scientifique et l’innovation en entreprise, que plusieurs journalistes ont bien résumé dans les derniers jours.

Mais elle se distingue nettement concernant trois points essentiels.

1. Une vision claire des défis

Alors que dans ce genre de document, on se contente habituellement d’un discours un peu creux sur les finalités d’une politique scientifique (la société du savoir comme source de richesse et d’épanouissement…), la PNRI  innove en détaillant les trois domaines dans lesquels le Québec a absolument besoin des connaissances issues de la recherche pour préparer son avenir :

  • les changements démographiques (les multiples impacts du vieillissement de la population)
  • le développement durable, particulièrement sous l’angle des changements climatiques et de la sécurité énergétique
  • l’identité québécoise, entendue comme la manière dont les Québécois peuvent vivre ensemble en s’entendant sur certaines valeurs (débat hautement d’actualité…).

Qu’elle soit fondamentale ou appliquée, la recherche que financera Québec devra donc autant que possible essayer de s’attaquer à ces trois défis.

Cibler ainsi ce qu’on attend des chercheurs me semble très porteur. Chacun de ces défis ratisse assez large, ce qui ne devrait donc pas brimer grand monde. En même temps, le gouvernement indique clairement ce qu’il attend des scientifiques, ce qui semble justifié compte tenu des montants d’argent qu’il met à leur disposition.

2. La culture scientifique comme pilier de la société du savoir

La culture scientifique est souvent le parent pauvre des stratégies de recherche et d’innovation. On va rarement au-delà du discours convenu sur l’importance d’une population éclairée et sur la nécessité de préparer la relève, tout en consacrant des fonds faméliques aux acteurs sur le terrain.

La PNRI va beaucoup plus loin que les stratégies précédentes, autant dans son analyse du défi de la culture scientifique que dans les budgets alloués.

Dans la stratégie 2010-2013, les efforts du gouvernement en terme de culture scientifique se résumaient essentiellement au programme Novascience, doté de 4,9 millions de dollars sur trois ans, qui encourageait surtout les projets visant à inciter les jeunes à se tourner vers les carrières en sciences et technologies.

La culture scientifique était donc vue comme une question  de développement de main-d’œuvre, une vision hautement réductrice alors qu’on ne compte plus le nombre de débats qui opposent citoyens, entreprises et gouvernement sur des questions impliquant des notions de science et de technologie (ne pensons qu’au développement du gaz de schiste ou aux pipelines…).

La nouvelle politique ne cible pas uniquement les jeunes. Elle prévoit aussi du soutien pour la science dans les musées, les évènements de sciences dans des lieux comme les centres commerciaux, un soutien accru au Canal Savoir et même un encouragement au journalisme scientifique ! C’est la première fois qu’on reconnaît aussi explicitement que le traitement de la science dans les médias a son importance, et je ne peux que bien évidemment m’en réjouir !

Globalement, la PNRI prévoit 21 millions sur trois ans pour la culture scientifique, et 41 millions sur cinq ans.

Elle inclut aussi des mesures fort intéressantes pour soutenir l’enseignement des sciences au primaire, au secondaire et au collégial, comme l’ajout de 25 millions de dollars aux budgets existants pour financer des équipements scientifiques dans les écoles, particulièrement au primaire et dans les milieux défavorisés. Espérons qu’il y aura aussi des fonds pour soutenir les enseignants qui s’en serviront.

3. L’interface science et politique

La PNRI met le doigt sur un autre problème fondamental qui n’est pourtant jamais explicitement traité dans ce genre de document : le fait que les politiques gouvernementales ne s’appuient pas toujours sur les résultats de la recherche et donc sur les meilleures connaissances disponibles. On se contente habituellement à ce stade d’un beau discours sur la «valorisation de la recherche» par toutes les instances gouvernementales.

Après une attaque en règle de la politique fédérale obscurantiste du gouvernement Harper, Québec explique comment il compte faire mieux.

La PNRI prévoit deux actions notables à ce chapitre :

- «Créer une table de concertation interministérielle sur les grands enjeux de société afin d’assurer la convergence des actions de l’État en matière de recherche.»

Il faut y voir une tentative de tirer le meilleur parti des efforts de recherche interne du gouvernement. Actuellement, plusieurs ministères ont des (petites) équipes de chercheurs dans divers domaines, mais le tout manque de cohérence.

Faire travailler un peu plus ensemble les chercheurs des ressources naturelles avec ceux de l’environnement, par exemple, permettrait certainement de tirer un bien meilleur parti de leurs expertises.

-«Favoriser la création de forums réguliers entre les élus et les chercheurs et trouver les modalités d’une meilleure interaction entre scientifiques et acteurs gouvernementaux.»

Ces rapports ne doivent pas servir à l’instrumentalisation de la recherche, mais visent l’usage systématique de ses résultats dans la définition et dans l’orientation des actions de l’État québécois. Ils ne doivent pas nuire à l’indépendance du milieu scientifique, car elle est la condition d’une recherche fiable fondée sur le respect des règles propres à la recherche scientifique. Celles-ci doivent présider au développement de toute nouvelle connaissance comme de toute innovation, qu’elle soit sociale, technologique ou organisationnelle.

Sur le papier, tout du moins, cette politique me semble donc fort innovante, et fort intéressante.

Maintenant que la table est mise, il reste à voir comment tout cela se concrétisera, alors que les rumeurs d’élections vont bon train…

 

 

 

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Blog de lauriannejerome - avion

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Hong Kong star de Chine cest demain sur France 5

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Envie de voyager ? Retrouvez demain à 15h40 sur France 5 notre reportage sur Hong Kong, star de Chine


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Avatar aura bientôt son parc d’attractions vidéo

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avatar

Un parc d’attractions inspiré du monde de Pandora va prochainement être construit en Floride. « Les visiteurs feront face à d’impressionnantes montagnes flottantes et traverseront une jungle nocturne de plantes bioluminescentes. Les visiteurs découvriront aussi ce qu’on ressent lorsqu’on s’envole en enfourchant un Banshee », a expliqué le président des parcs Walt Disney Tom Taggs.

Le parc ouvrira ses portes en 2017.

[Photo]

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Vols depuis et vers la Tunisie à seulement 65 €

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C’est que vient d’annoncer Tunisair sur sa page officielle sur Facebook. Le 21 Octobre 2013, la compagnie aérienne Tunisienne fête ses 65 ans. Et pour cette occasion et pendant tout un mois Tunisair propose des promotions allant jusqu’à 65 € HT sur les prix de billets sur plusieurs destinations.(...)Read the rest of Vols depuis et

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Lundi 12 Août - Lugo - Sa Roman da Retorta - Ponte Ferreira - 35 km - 07h30

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Infos brèves au quotidien depuis la France: En partant à 5h00 il arrive à12h30 à Ponte Ferreira. (San Román da Retorta) En chemin détour de 5 km pour admirer dans le village de Boveda, l'église paléochrétienne Santa Eulalia. (ci dessus photo de Lugo prise ce matin à 5h00.) Demain étape prévue de 35...


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Les envahisseurs

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Au secours, les envahisseurs nous attaquent en masse ! La preuve sur ces images angoissantes... çà se passe à la Dune Blanche vers Dakhla et ce sont les crabes qui sortent de leur trou à marée basse. Il suffit d'avoir un seau et de se baisser pour les ramasser ! Ensuite, bien cuits avec les épices...


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Eh Luc Françoise a lair dapprécier ce que tu fais

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15 000

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Merci aux 15 000 visiteurs qui sont venus voir ce modeste blog !


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Reg arts plastiques

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Sri Lanka - 12ème Jour

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Fin du voyage... il est l'heure de se réveiller ! Et voilà, c'est l'heure du retour . Nous faisons notre dernière escale à Negombo, non loin de l'aéroport pour pouvoir nous envoler dès le lendemain matin. On trouve tout de même une guesthouse face à la mer (Beach Villa Guest House à 1200 Rs...


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futur miss des ziles

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Voici en premiére oui plus vite que le circuit habituel de l info..les futures candidates de la Miss des ziles mauricette 2014 oui je sais l info nest pas facile a obtenir ....mais pour vous je me suis battue force et ame ..jusquau resultat de cette photololo...biensur ceci a un prix celui de notre...


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Vous ne pouvez pas voir les videos

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On m'a signale que certaines videos ne pouvaient pas etre lues sur ce blog. C'est vrai. Moi-meme, je ne peux pas les visionner sur mon ordinateur. Apres maintes manipulations, j'ai trouve le probleme: c'est le blog lui-meme qui montre ses limites techniques. Donc pour visionner les videos, je vais...


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La photo mode de communication

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j'ai racheté un appareil photo numérique il y a peu, Olympus VG 170 puisque fidèle à la marque depuis 30 ans (OM 10 ) et cette fois assez déçu pour faire de la bonne photo instantanée, même si globalement il est facile de prise en main. petits doigts nécessaires, et prévoir le réglage avant qu'une...


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Sagarmatha suite

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24 Octobre au matin, nous quittons Namché pour une longue étape jusqu'à Timboché et son célèbre monastère. Hier soir tête dans le pâté malgré la journée de repos, le guide me donne du Diamox. Plus la journée avance plus le temps se gâte. Après avoir suivi un balcon sur quelques kilomètres, le chemin...


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Top 10 des pires aéroports pour dormir en Europe

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aéroport

Le site sleepinginairports vient de publier le classement des « pires aéroports pour dormir ». Celui qui manque de propreté, de confort, d’équipement, de services et dans lequel il faut pour passer la nuit sans utiliser de prestations hôtelières. Découvrez le top 10 des pires aéroports pour dormir en Europe.

1 – Bergame-Orio al Serio (Italie)

Bergame-Orio al Serio

Surtout ne dormez pas dans l’aéroport de Bergame-Orio al Serio, le plus important d’Italie pour le trafic aérien Low cost. Il remporte la palme des pires aéroports pour dormir en Europe.

2 – Paris Beauvais (France)

paris beauvais

L’aéroport français arrive en deuxième position. Aucun vol ne circule entre 23h et 6h. C’est donc difficile de dormir dans l’aéroport.

3 – Francfort Hahn (Allemagne)

Francfort Hahn

Dormir sur le sol ou sur des sièges en plastique, ça fait vraiment mal au dos. L’avantage c’est que vous ne serez pas inquiétés par la sécurité. Faut bien trouver un point positif pour l’aéroport Francfort Hahn.

4 – Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino (Italie)

Rome Fiumicino

L’Italie est bien représentée dans ce top 10 des pires aéroports pour dormir en Europe. L’aéroport Léonard-de-Vinci de Rome Fiumicino se classe au pied du podium. En ce moment, un projet d’agrandissement est à l’étude. Les dirigeants de l’aéroport devraient plus se porter vers la qualité plutôt que vers la quantité.

5 – Londres Luton (Angleterre)

london luton

Avec des annonces au micro toute la nuit, pas sûr que l’on arrive à trouver le sommeil dans l’aéroport de Londres Luton. Il se classe à la 5e position.

6 – Kiev Boryspil (Ukraine)

Kiev Boryspil

Très peu d’endroit pour s’asseoir. Un personnel de sécurité assez agressif. L’accueil ukrainien n’est pas le meilleur au monde. L’aéroport de Kiev Boryspil se positionne à la 6e place.

7 – Moscou Sheremetyevo (Russie)

Moscou Sheremetyevo

Certaines boutiques n’acceptent pas l’euro. Les sièges pour se reposer quelques heures ne sont pas du tout confortables. L’aéroport de Moscou Sheremetyevo fait forcément partie des pires aéroports pour dormir en Europe.

8 – Rome Ciampino (Italie)

Rome Ciampino

Comme le dit un anonyme sur le site sleepinginairports : « si vous prévoyez d’arriver à Ciampino au milieu de la nuit pour attraper un départ tôt le matin … vous avez fait une grosse erreur ». Le personnel de la sécurité n’est pas forcément présent la nuit et la température est plus fraiche qu’en dehors de l’aéroport de Rome Ciampino.

9 – Berlin Tegel (Allemagne)

Berlin Tegel

Une odeur infecte. Un endroit très éclairé. Pas sûr que votre nuit dans l’aéroport de Berlin Tegel soit l’une des meilleures que vous passerez.

10 – Pise (Italie)

pise

Les arroseurs automatiques qui aspergent les bagages. Comme pogoPete, on n’aurait pas été content de dormir à côté de l’aéroport de Pise. Malheureusement, on ne peut pas se reposer tranquillement dedans car il est fermé entre 0h et 4h.

Dans le monde, le pire aéroport pour dormir se trouve à Manille (Philippines). Vous pouvez aussi (re)découvrir notre top 10 des aéroports les plus dangereux ou encore notre top 10 des plus beaux aéroports du monde.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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