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Blog de dreamtrip - En version minute de la Paz à la Patagonie - Argentine

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Blog de dreamtrip - En version minute, de la Paz à la Patagonie - Argentine
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A cause d’une poignée trop courte un hôtelier perd son label handicap

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handicap

Le premier hôtel de l’Oise à être labellisé Tourisme et Handicap, en 2003, a perdu son label. « On ne me l’a pas renouvelé à cause d’une poignée. Je refuse de la déplacer : il faudrait que je casse tout un mur. J’ai fait assez de travaux comme ça. », explique Patrick Gautier, directeur de l’hôtel Le Cèdre (Noyon) au Courrier Picard. Comme l’explique le journal, « fixée près des toilettes, elle aide les personnes à se relever. Mais elle est trop courte et non coudée, comme l’exigent les nouvelles normes d’accessibilité ».

Pour Patrick Gautier, « les handicapés sont des touristes comme les autres : ils ne veulent pas se sentir à l’hôpital, mais à l’hôtel ». En tout 19 autres hébergements isariens labellisés se sont adaptés à ces handicaps.

[Photo]

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Déprime de retour de voyage mon guide contre le blues du voyageur

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Le retour de voyage est sans doute le moment le plus difficile d’un long voyage ou d’un tour du monde. Certes, nous sommes toujours heureux (en général) de rentrer au bercail. Pour autant, les retours de voyage sont souvent marqués par un blues, voire une petite déprime. Voici quelques tuyaux pour mieux gérer le retour de voyage.

 

Après chacun de mes longs voyages, le retour a toujours été un petit moment que j’appréhendais. Je savais que passés les premiers jours et les retrouvailles, cela risquait d’être difficile.

D’ailleurs, l’intensité de cette période est peut-être proportionnelle à la durée de la période durant laquelle vous avez échappé au mur. Tiens, cela me fait penser aux séparations amoureuses. Ne dit-on pas que la difficulté de celle-ci est fonction du temps passé avec l’autre ?

Je dois tout de même dire que ces périodes ont été un peu plus faciles à vivre à chaque fois, à chaque retour. L’expérience aide sans doute.

Autant vous le dire tout de suite, évidemment, il n’y a pas de solution miracle ou de petites pilules bleus pour faire passer…la pilule du retour de voyage. Niet, nada, nothing.

Ne partez pas pour autant ! Je vais quand même vous donner quelques pistes pour mieux gérer le retour. L’occasion d’en discuter entre nous.

 retour de voyage Déprime de retour de voyage : mon guide contre le blues du voyageur !
 

1. Essayer de rentrer durant les beaux jours.

C’est un avantage de rentrer juste avant l’été ou pendant l’été. Déjà, il fait (normalement) , beau et chaud. Aussi, vous n’aurez peut-être pas le changement thermique à gérer. Peut-être, vous aurez un peu l’impression d’être dans la continuité.

Le soleil, c’est bon pour l’humeur, c’est prouvé. L’être humain est fait pour la lumière, pas pour l’obscurité. Pourquoi croyez-vous qu’en Bretagne, on boit beaucoup ?

L’été, c’est le mois des vacances en France. Tout le monde a cela en tête. Les Français se plaignent en général moins à l’approche de l’été et des vacances non ? Quoiqu’en ce moment…

 

2. Anticiper le retour de voyage

Comme il convient de préparer un minimum, un long voyage, vous vivrez mieux le retour si vous l’avez un peu anticipé.

En clair, si vous savez ce que vous aller faire et où vous allez aller.

Je pense ici notamment à ceux qui reviennent sans boulot. Lors d’un premier long voyage, il y a toujours une part de fuite. Il peut s’agir de fuir une séparation amoureuse  difficile, le décès d’un proche, un licenciement économique, l’envie de changer de vie, une pression trop forte au travail, etc. Si l’envie de découvrir le monde a toujours été là, il y a souvent la présence d’un élément déclencheur dans le fait de franchir le pas.

Entre parenthèses, fuir n’est pas forcément le bon mot d’ailleurs. A la place de fuite, employez le verbe « s’éloigner », « prendre l’air » etc.… La fuite a une connotation péjorative, hors, il existe des bonnes fuites.

Donc, si au moment du départ, vous étiez dans un de ces cas, il va falloir réfléchir un tant soit peu à la direction que vous voulez donner à votre vie personnelle et/ou professionnelle.

J’ai rencontré pas mal de voyageurs qui ne savaient pas au niveau professionnel que faire de leur vie. Ils pensaient que durant leur voyage, ils auraient le temps d’y réfléchir. En réalité, la plupart de ces voyageurs  sont rarement plus avancés au moment du retour de voyage. Le temps passe vite et la réflexion et la contemplation ont aussi des leurs limites. L’action est importante.

Et puis, cela reste assez difficile et abstrait de prendre une décision précise à l’autre bout du monde.

Pour autant, il convient de cerner au moins quelques notions et d’y voir plus clair quant à vos envies.

 

3. Retrouvez vite un boulot

Il est certainement plus simple de reprendre son travail dès que l’on rentre. C’est le cas de ceux qui ont opté pour le congé sabbatique. Certes, un temps de transition est peut-être mieux. D’un côté, reprendre sans tarder le travail évite de trop cogiter, avec le blues qui vient parfois avec.

C’est bien connu, trop cogiter, ce n’est pas forcément très bon. Pour ceux qui reprennent un travail dès leur arrivé, le retour de voyage sera mieux vécu sans doute.

Qu’en pensez-vous ?

 

retour Déprime de retour de voyage : mon guide contre le blues du voyageur !

 

Si vous n’avez pas de boulot au retour de votre voyage, et bien, cela va être moins évident…Bon, je vous aide pas là je sais.

Ce fut mon cas pendant des années, car pendant longtemps, j’ai alterné CDD et long voyage. Oui, je n’ai jamais recherché un CDI, ce n’est pas courant.

Les retours n’étaient pas forcément évidents donc pour moi. Heureusement, je ne m’étais jamais plus de 2 ou 3 mois pour retrouver un poste. Pourtant, j’étais loin d’être dans un secteur d’activité vraiment porteur et en manque de main d’œuvre.

Peut-être j’ai eu un peu de chance. Surtout, je pense que cela vient de moi, plus égocentriquement. Sérieusement, j’avais la niaque et la confiance aux entretiens. Je pensais vraiment que j’allais retrouver vite un boulot. Le fait d’être sûr de soi,  vous le savez, cela aide dans bien des choses.

 

 

4. Soyez actif !

C’est sans doute le plus important. Dès votre retour, soyez actif ! Prenez des rendez-vous si vous souhaitez changer d’activité (cela arrive souvent), ou de travail.

Faites du sport, bougez ! Une activité physique régulière apporte beaucoup de choses, vous le savez. Dans des périodes un peu difficiles au niveau du moral, le sport est un bienfait contre le stress, l’angoisse ou la déprime. Et puis, cela éclaircit les idées !

En plus, vous avez le temps si vous ne reprenez pas tout de suite un travail, profitez-en ! Lisez, découvrez une nouvelle activité, apprenez une nouvelle compétence, etc.

A chaque retour d’un de mes longs voyages, j’ai toujours fait beaucoup de choses. Clairement, à n’en pas douter, cela m’a aidé à passer le cap du retour.

J’ai eu des périodes de riches lecteurs ou je découvrais de nouveaux auteurs. J’ai approfondi ou découvert certains domaines.

Par exemple, à Paris, j’aimais beaucoup ces périodes, car j’en profitais pour visiter les musées que je ne connaissais pas. En plus, dans la journée et en semaine, il n’y a pas foule, c’est tranquille !

 

livres voyage Déprime de retour de voyage : mon guide contre le blues du voyageur !

 

5. Sortez, rencontrez vos amis

Personnellement, j’ai tendance après un voyage au long cours en solitaire à être un peu solitaire à mon retour. Comme pendant des mois, je me suis « passé » de mes amis, j’éprouve moins le besoin de les voir, passé les retrouvailles du retour. D’ailleurs, on me l’a parfois reproché.

C’est un peu comme si j’étais encore dans la continuité du voyage.

Enfin, c’est une question de personnalité avant tout, je crois.

Et vous, de votre côté ?

 

6. Voyagez chez vous !

Nul besoin d’aller très loin pour voyager. Le voyage, c’est avant tout un regard et un état d’esprit.

Dans votre région et même dans votre rue, peut-être avez-vous manqué de ce regard. Le retour d’un long voyage peut vous permettre de renouveler votre regard sur votre environnement.

Peut-être que vous vous attarderez pour discuter avec le gérant égyptien de la pizzeria.

Bref, vous avez compris la démarche.

Et puis, la France est un beau et riche pays, je suis sûr qu’il y a nombre de régions que vous ne connaissez pas, non ? Si vous avez du temps libre, partez à la découverte de votre quartier, de votre ville ou de votre région.

 

7. Pensez à votre prochain voyage !

Même si celui-ci se limite cette fois à deux semaines et qu’il ne sera pas avant quelques mois, cela peut vous aider.

Comment on dit, dans les moments difficiles, il vaut mieux penser aux bonnes choses.

Commencez à économiser tout de suite, même si c’est de manière symboliqueJ.

Réfléchissez à votre prochaine destination, renseignez-vous, lisez des livres sur sa culture, l’histoire etc.

 

8. Prolongez votre voyage

Certains aiment faire des albums photos de leur voyage à leur retour. Avec l’impression numérique, le coût est vraiment raisonnable et le résultat très pro !

Je connais quelques amies qui après leur tout du monde ont fait imprimer ce genre de livre. C’est Le Livre de leur voyage, il trône toujours quelque part dans leur salon. C’st une belle façon de boucler la boucle et faire quelque chose de concret avec toutes ces photos et aventures.

Je connais un ami qui après deux ans de vélo en Amérique du Sud s’est vu offrir par ses parents plusieurs albums réalisés en scrapbooking. Pour l’avoir vu, le résultat est vraiment chouette ! C’est du travail qui vous occupera pendant des semaines.

Vous pouvez aussi organiser une petite projection chez vous, avec vos amis. C’est sympa, surtout si vous prenez des photos de bonne facture.

J’ai parfois fait cela de retour de voyage, de bons souvenirs. Pour ces soirées, je préparais quelques encas à manger en relation avec le pays. Ou des boissons comme tu tchai pour l’Inde.

Bon, après, il ne faut pas trop souler vos amis avec vos photos et histoires, sinon, vous risquez de conforter Sacha Guitry :

 

« En somme, je m’aperçois que les voyages, ça sert surtout à embêter les autres une fois qu’on est revenu »

 

Enfin, si vous avez un blog de voyage, continuez à le mettre à jour et à publier quelques articles et photos sur votre voyage.

 

9. Rencontrer d’autres passionnés

Pour cela, le top, ce sont les associations de voyageurs.

La plus importante est surement ABM, pour Aventure du Bout du Monde. Cette association organise un grand festival de voyage chaque année en septembre.

De plus, elle possède plusieurs antennes en Province : Lyon, Rouen, Avignon notamment.

Le centre de Paris possède un centre de documentation pour préparer votre voyage. Des sorties sont aussi organisées, ainsi que des ateliers et rencontres.

Si dans votre entourage, vous avez peu de gros voyageurs, quoi de mieux que de rencontrer des passionnés. Ils sauront vous comprendre et vous vous sentirez compris. C’est important.

Vous saurez ainsi où vous pouvez aller pour trouver de l’énergie positive.

 

 festivals voyage Déprime de retour de voyage : mon guide contre le blues du voyageur !

 

10. Les festivals de voyage

Ce sont des événements un peu dans le même esprit que les associations de voyageurs. Le temps d’un week-end, ils organisent une grande messe du voyage. Là aussi, beaucoup de bonnes vibrations.

Il y a surement un festival de voyage près de votre région. Vous avez une liste sur cette page.

A lire: les festivals de voyage en France.
 

Le, ou l’un des plus grands festivals de voyage, c’est celui du Grand Bivouac à Albertville. Il se déroule fin octobre chaque année. J’y suis passé cette année, beaucoup de projections, de stands, de rencontres, et le tout dans un cadre de toute beauté.

 

Ce qu’il ne faut pas faire

Quelques attitudes à éviter au retour :

  • Ne pas avoir du tout de projets pour la suite. C’est je crois le pire.
  • Ne rien faire, rester chez vous. Mauvaise idée, c’est le meilleur moyen pour inviter Dame Déprime chez vous. Elle risque de sentir comme chez elle ensuite.
  • Se fermer aux autres…

 

Différentes phases

Vous allez passer durant différentes phases lors de votre retour de voyage.

Tout d’abord, les premiers jours seront excitants, vous revoyez vos proches, votre esprit est encore baigné par vos expériences. Vous êtes encore dans le prolongement du voyage, vous avez la pêche !

Puis, le temps passant, petit à petit votre humeur peut en prendre un coup. Une certaine routine se réinstalle, les côtés négatifs de la France vous apparaissent davantage et pour un peu que vous soyez de retour de voyage en hiver, le manque de soleil joue un rôle également.

Certains voyageurs connaissent alors une vraie déprime. Pour d’autres, il s’agit d’un coup de blues passager. Nous ne réagissons pas tous de la même manière.

Ces différences s’expliquent par la durée du voyage, l’intensité du voyage et des expériences vécues et surtout notre personnalité.

Enfin, après quelques semaines ou quelques mois, vous êtes dans la troisième phase. Vous vous êtes réadaptés à la société, un peu comme une brique retrouvant sa place bien ordonnée dans le mur.

.A lire :Comme une brique dans un mur
 

La capacité d’adaptation est une des qualités de l’être humain. C’est comme cela que notre espèce a survécu pendant des millénaires.

Il y a aussi la lecture de blog de voyage comme celui-ci bien sûr. Mais si vous êtes là, cela va de soit !

 

Le mieux est d’avoir un peu préparé son retour de voyage. Je pense surtout aux projets futurs et à la direction que l’on veut donner à sa vie.

Voilà pour ces quelques conseils pour mieux gérer une retour de voyage. En avez-vous d’autres ? 

Avez-vous déjà connu une déprime post-voyage? 

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Top 10 des meilleures destinations françaises pendant les vacances de la Toussaint

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vacances

On est déjà à la fin du mois d’octobre et il fait toujours bon. Vous pouvez donc profiter des vacances de la Toussaint pour faire un break, partir dans l’une des meilleures destinations françaises et, sur place, louer une voiture sur le site http://www.hertz.fr.

Nice

nice

On pense souvent qu’il faut partir sur la Côte d’Azur pendant les vacances d’été. Pourtant, en automne, elle reste aussi une destination idéale. Avec la douceur de ses températures, la beauté des lumières et la splendeur des jardins azuréens, Nice est une ville parfaite pour un séjour en famille ou entre amis.

Avignon

avignon

Grâce à son Palais des Papes, à son célèbre pont ou encore à ses remparts conservés, il est difficile de ne pas être fasciné par Avignon. Cette cité historique a accueilli les papes entre le XIVe et XVe siècle. Une période qui a marqué l’architecture de la ville.

Montpellier

montpellier

Montpellier est idéale pour des vacances reposantes mais aussi pour un séjour festif. Les richesses et les beautés de l’arrière pays et du littoral héraultais sauront vous redonner des forces avant de reprendre le travail. En opposition, cette ville, qui accueille chaque année de nombreux étudiants, est aussi connue pour ses soirées festives.

Biarritz

biarritz

Biarritz est réputée pour ses plages connues des surfeurs dans le monde entier. Ville de bien-être, cette station balnéaire est restée authentique sans tomber dans les strass et les paillettes.

Lille

lille

Lille est devenue au fil des années une destination très prisée par les touristes. La richesse du vieux Lille vous séduira. Rajoutons à cela la convivialité et la chaleur des Cht’is. Vous avez de bonnes raisons pour partir à Lille pendant ces vacances de la Toussaint.

Annecy

annecy

Véritable havre de paix, Annecy est la capitale de la tranquillité. La « Venise des Alpes » vous charme grâce à ses ruelles médiévales, grâce à sa gastronomie avec sa traditionnelle fondue ou encore grâce à sa vue sur les Alpes. C’est une ville propice pour des séjours en amoureux.

Bordeaux

bordeaux

Les vacances de la Toussaint sont aussi un moyen de découvrir les spécialités françaises, comme le vin. Bordeaux est un délice pour les personnes assoiffées de culture. La capitale mondiale du vin vous charme par ses nombreux jardins publics ainsi que ses quartiers très animés.

Paris

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La ville lumière devait figurer dans le classement des meilleures destinations françaises pour les vacances de la Toussaint. Paris a tous les atouts en main pour vous faire passer un séjour très romantique, avec ses sites historiques comme Notre-Dame-de-Paris mais aussi avec sa célèbre avenue des Champs-Elysées.

Fougères

fougeres

Ville d’art et d’histoire, Fougères possède l’une des plus grandes forteresses d’Europe. Lors de votre séjour en Bretagne, les locaux partageront avec plaisir leurs traditions.

Strasbourg

strasbourg

La capitale européenne vous enchante grâce à ses maisons à colombages ou encore à son centre-ville historique. La ville de Strasbourg est aussi connue pour la spécialité locale : la choucroute. Maintenant, vous avez des bonnes raisons pour visiter la capitale de l’Alsace.

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Air France se met à l’heure d’hiver

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air-france

Plus de vols long-courrier, moins de vols moyen et court-courrier. Depuis dimanche 27 octobre jusqu’au au 29 mars 2014, la compagnie française a supprimé 10 liaisons depuis ses bases de province et réduit la fréquence de ses vols sur 14 destinations en France et en Europe.

Le PDG d’Air France-KLM Alexandre de Juniac expliquait récemment que le groupe avait besoin de plus de flexibilité pour s’adapter à une activité très saisonnière, notamment pendant les périodes plus creuses. En accord avec son plan de réductions des dépenses « Transform 2015 », Air France a présenté un programme d’hiver réduit.

Marseille, Nice et Toulouse particulièrement concernées

Les 10 liaisons suspendues

Elles concernent toutes des bases de province.

  • Au départ de Marseille : Casablanca, Prague et Berlin.
  • Au départ de Nice : Tunis, Athènes et Venise.
  • Au départ de Toulouse : Tunis, Istanbul, Naples et Prague.

Les liaisons concernées par une baisse de fréquence

  • Au départ de Paris-Charles de Gaulle : suspension d’une fréquence sur Bordeaux, Nice, Düsseldorf, Francfort, Stuttgart, Bologne, Florence, Gênes, Venise, Vérone, Copenhague et Varsovie.
  • Au départ de Paris-Orly : suspension d’une fréquence quotidienne sur Montpellier et deux fréquences quotidiennes sur Marseille.

L’Afrique, grande gagnante

Le nombre de vols long-courrier opérés par Air France est en hausse de 3,6% pour cet hiver.

Plusieurs villes de différents pays d’Afrique de l’Ouest bénéficient désormais d’une desserte quotidienne : Yaoundé au Cameroun, Abuja et Port Harcourt au Nigéria, Abidjan en Côte d’Ivoire et Libreville au Gabon.

La fréquence de vols est augmentée aussi sur d’autres destinations, parmi lesquelles : Cancun, Canton, Bangkok, Punta Cana et New York

A noter aussi : l’ouverture d’une nouvelle liaison vers Panama City.

easyJet se frotte les mains

La compagnie britannique easyJet a le vent en poupe en France, rappelle le quotidien économique Les Echos : elle devrait franchir le cap des 13 millions de passagers transportés en France en 2013, contre 12,2 millions l’an dernier.

easyJet a annoncé l’ouverture de 13 nouvelles lignes l’an prochain, au départ de plusieurs ville françaises : Paris, Bordeaux, Lyon, Nice et Brest et Bâle-Mulhouse. D’autres lignes devraient être annoncées dans les jours prochains.

La compagnie va-t-elle se positionner sur les lignes abandonnées par Air France ?

« Nous regardons si cela nous offre des opportunités, mais cela dépendra aussi des avions disponibles »,

a répondu François Bacchetta, le directeur France de la compagnie.

Source : communiqué d’Air France du mardi 22 octobre

Photo : addallahh / Flicr cc.
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Un week-end à Londres en famille

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Londres

Londres est une destination idéale avec les enfants. Un petit coup d’Eurostar, 2 heures et 15 minutes plus tard, nous voici chez la Reine. Mais Londres c’est immense et épuisant, il faut donc choisir. Quelques expériences qui réjouiront petits et grands.
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En route vers Taranaki

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On commence la première journée de la 2° partie de notre roadtrip vers le Nord (vous avez suivi?) avec un bô lever de soleil. Ok, les gros poteaux électriques sont moches mais avec le soleil en pleine gueule on n'y fait pas trop attention. Non loin de là, un chat nous montre la direction vers[...]
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Blog de phobac - Tipon

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Blog de phobac - Tipon
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10 questions aux candidats à la mairie de Montréal

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Cet article 10 questions aux candidats à la mairie de Montréal est apparu en premier sur L'actualité.

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Féérie et filouterie à Maninjau

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De Hong-Kong et Denpasar, Perayu visite l'Asie du Sud-Est pendant six mois, ...

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Les ruines de Pisac

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Aujourd'hui qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige (mince la neige pas possible ici ! Pourtant on est à 3400 mètres d'altitude!), bref quelque soit le temps on va visiter Pisac. Ville à 32 km au nord de Cusco. Vers 9h on e
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Bolivia partie 1 La Paz et ses environs

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Bolivia partie 1 : La Paz et ses environs
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10 questions Denis Coderre

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Denis Coderre

Denis Coderre _DRParti : Équipe Denis Coderre pour Montréal
Slogan : Aucun
Âge : 50 ans
Statut civil : Marié
Enfants : Une fille et un garçon
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Montréal-Nord
Taxe foncière : N’a pas souhaité répondre
Lieu préféré à Montréal : Les parcs Gouin et Aimé-Léonard à Montréal-Nord
Voiture personnelle : Jeep Grand Cherokee
Dernier emploi : Député fédéral, circonscription de Bourassa
Langues parlées : Français, anglais et créole
Membre de quel autre parti : Parti libéral du Canada

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Assurément. Le gouvernement du Québec et l’administration sortante de Montréal ont déjà pris certaines dispositions. Nous arrivons avec un plan complet qui comprend une vingtaine de mesures concrètes pour mettre fin à la corruption et la collusion. La majorité des mesures que nous proposons peuvent être mises en place dans les premiers mois suivant notre arrivée au pouvoir. Par exemple:

- créer le poste d’inspecteur général, nommé par le conseil municipal et qui relèvera des élus. Il aura un véritable pouvoir de contrainte et d’enquête, contrairement au vérificateur général et au contôleur général;

- instaurer une culture de transparence, en obligeant les services à rendre public un bilan annuel pour chaque contrat, en développant un guichet unique où employés et élus peuvent obtenir de l’information sur les contrats antérieurs, en ayant une véritable politique de données ouvertes;

- assurer un meilleur encadrement de la fonction publique, en mettant en place un mécanisme de reddition de comptes, en soumettant certains postes décisionnels à une rotation aux deux ans, en augmentant l’expertise interne pour diminuer le recours à la sous-traitance.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Nous ne voulons pas replonger Montréal dans un débat de structures et faire revivre aux Montréalais le cauchemar des fusions-défusions. On a perdu assez de temps à parler de gouvernance, il est temps de passer à l’action; la population veut une administration efficace qui livre la marchandise. Nous miserons donc sur la cohérence, en nous assurant que chaque citoyen puisse recevoir des services de proximité, quel que soit son arrondissement.

Nous allons uniformiser les méthodologies et critères de services entre la ville centre et les arrondissements, par exemple au niveau du déneigement des rues (dont les critères varient beaucoup d’un arrondissement à l’autre).

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Oui, pour Gilles Deguire dans Montréal-Nord. Et pour Gérald Tremblay à la mairie de Montréal.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Commençons par reprendre notre place de métropole du Québec, une place que les deux paliers de gouvernement semblent avoir oubliée. J’ai répété tout au long de la campagne que Montréal se devait de reprendre sa place de grande métropole. Comment ? D’abord, en assumant pleinement notre rôle de leader à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), pour faire en sorte que toute la région puisse parler d’une seule voix à Québec et à Ottawa. Il est temps que les gouvernements reconnaissent notre statut de métropole : la grande région de Montréal compte pour la moitié de la population du Québec et pour près de 54% de son PIB. La prospérité du Québec est liée à celle de la métropole.

Cela va nécessiter une solide dose de leadership. On ne s’improvise pas maire et j’ai démontré, tout au long de ma carrière politique, que j’avais le leadership nécessaire pour faire avancer les choses.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Montréal a fait de très gros efforts dans le passé pour encadrer et promouvoir les activités économiques prometteuses, notamment au moyen des sept grappes industrielles. On a ainsi vu progresser des secteurs de pointe comme les technologies de l’information ou les sciences de la vie au cours des dernières années grâce aux entrepreneurs qui ont répondu à l’appel.

Il faut aller plus loin. La Ville doit maintenant simplifier ses structures et ses processus administratifs pour encourager et surtout faciliter la tâche des entrepreneurs qui veulent se lancer en affaires.On doit également rétablir un climat de confiance auprès des entrepreneurs qui ont été échaudés par les histoires de corruption et de collusion. Enfin, la ville doit se transformer, réparer ses infrastructures vieillissantes et en état de dégradation, qui donnent une mauvaise image aux partenaires d’affaires potentiels et qui gênent la fluidité des transports, un obstacle au développement économique.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Sur le plan des services municipaux, la Ville fait un travail acceptable et respectueux en communiquant en français d’abord, puis en anglais aux citoyens qui le demandent. Pour ce qui est de la vie montréalaise, je ne crois pas qu’il faille parler de «menace». N’oublions pas que la langue maternelle de près de 50% de la population de l’agglomération de Montréal n’est pas le français. Nous devons donc vivre avec cette réalité, dans le respect, en sachant que Montréal a pu développer son côté créatif justement à cause de cette dualité. Il faut par contre demeurer vigilant. Montréal est une ville francophone et doit le demeurer. Sans retomber dans les abus du «pastagate», les mécanismes de contrôle de l’Office québécois de la langue française sont en place pour assurer que personne ne soit lésé sur ce point.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Depuis des années, la banlieue mise sur ses atouts pour attirer (surtout) les jeunes familles. Montréal devrait, elle aussi, vanter tous ses avantages, mais elle le fait très peu (ou pas du tout). Alors que, quand on y pense, les inconvénients de demeurer en banlieue sont nombreux: le temps de transport pour se rendre au travail (ou à l’université) sur l’île, la nécessité d’avoir deux voitures, peu de commerces de proximité, pas de vie communautaire, etc.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Les scandales liés à la corruption ont certainement fait mal à l’amour-propre des Montréalais. Plusieurs sont tombés dans le cynisme, blâmant toute la classe politique et une grande partie de l’administration. Mais pendant ce temps, Montréal – la ville – a continué à évoluer et à se transformer. On parle beaucoup des cônes oranges, mais ils finissent par disparaître. On a aujourd’hui le magnifique Quartier des spectacles, le Planétarium à l’Espace pour la vie, la Maison du développement durable, etc. Sans parler des nombreux projets en cours comme le Quartier de la santé autour du CHUM… Il est temps de tourner la page sur les scandales. En plus de nos mesures anti-corruption, nous mettrons en place la ville intelligente, une initiative qui vise à rapprocher la Ville de ses citoyens, à les inclure dans les prises de décisions et à leur donner des outils (les données ouvertes, par exemple) pour qu’ils participent activement au fonctionnement de la ville. C’est notre antidote au cynisme.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Le développement de notre territoire doit mettre l’accent davantage que par le passé sur la qualité de l’aménagement des sites, de l’architecture des bâtiments et de l’insertion d’œuvres d’art public dans ses différents paysages. Montréal est une ville UNESCO du design et doit se doter d‘une pratique du design qui correspond à son statut. Un design de qualité contribue de façon puissante à l’image et à la réputation des villes: il s’agit d’un investissement au vrai sens du mot qui, s’il est bien fait, rapporte bien davantage qu’il n’a coûté. Une ville qui sait innover dans ces domaines se retrouve rapidement sur les devants de la scène internationale et peut en profiter au niveau du tourisme et dans sa capacité à attirer ou  produire des événements d’envergure, sans parler de l’effet qu’une telle approche entraîne sur ses créateurs de toutes disciplines.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Les communautés culturelles nous ont interpellés durant la campagne. Elles veulent qu’on les écoute. Elles veulent une meilleure représentation à la ville, à la fois au niveau des décisions politiques et au niveau des effectifs dans la fonction publique. Nous allons donc réviser les processus d’embauche pour que les effectifs accordent une plus grande représentativité aux communautés culturelles.

Par ailleurs, nous allons nommer un conseiller à la diversité au cabinet du maire et un conseiller par arrondissement qui sera responsable des questions liées aux communautés culturelles. Mais l’intégration des immigrants passe par une conscientisation au niveau provincial.

La réalité est que, malgré les politiques de régionalisation de l’immigration de Québec, plus de 70% des nouveaux arrivants restent à Montréal. Nous sommes prêts à vivre avec cette réalité, mais il faut que le gouvernement du Québec nous donne les ressources pour favoriser leur intégration à la fois en ce qui concerne l’apprentissage de la langue et leur entrée sur le marché du travail.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

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10 questions Richard Bergeron

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Richard Bergeron

Richard-Bergeron-DRParti : Projet Montréal
Slogan : Intégrité, Compétence, Audace
Âge : 58 ans
Statut civil : Marié
Enfants : Un garçon (29 ans) et une fille (19 ans)
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Centre-ville de Montréal, district St-Jacques
Taxe foncière : 5 000 $
Lieu préféré à Montréal : La place d’Armes
Voiture personnelle : Aucune
Dernier emploi : Conseiller de ville, écrivain
Langues parlées : Français, anglais, créole
Membre de quel autre parti : Aucun

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Je crois que oui. Depuis les révélations qui ont conduit à la commission Charbonneau, un travail remarquable a été fait autant par le gouvernement du Québec que par la Ville pour contrer la corruption et le système de collusion élaboré durant l’ère de l’administration Tremblay. Ce travail doit toutefois être complété et seul Projet Montréal peut offrir une garantie absolue que ce travail sera complété. Mais nous devrons toujours rester vigilants afin d’empêcher un autre système de voir le jour.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Oui, il y a trop d’élus. Le gouvernement du Québec a chamboulé à deux reprises la gouvernance de Montréal et a imposé des modèles sans consulter la population. Le moment est venu pour que la population définisse par et pour elle-même le modèle de gouvernance qu’elle souhaite pour sa ville. Projet Montréal propose de mandater une des commissions permanentes du conseil municipal pour engager une réflexion complète sur le système politique montréalais. Nous souhaitons aussi confier un mandat à l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) pour élargir le débat à l’ensemble de la population.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Oui, j’ai voté pour moi-même, j’avais un parti pris.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Oui, Montréal a les atouts et la capacité de redevenir la métropole économique du Canada. Mais il y a énormément de travail à faire. Nous devons assainir nos finances publiques, éliminer la corruption, minimiser le coût de nos services et offrir une fiscalité avantageuse pour créer un environnement favorable au développement économique. Pour assurer notre compétitivité, nous devons également nous ouvrir sur le monde et établir des liens avec les grands marchés, mettre en valeur notre main-d’œuvre et le caractère universitaire de notre métropole, favoriser la création d’un milieu propice à l’innovation et technologiquement avancé, et hausser la qualité de vie de nos citoyens et l’attractivité de la ville en investissant dans nos infrastructures, le transport collectif et des aménagements de qualité. Seulement en s’engageant dans cette direction pourrons-nous redonner à Montréal sa position en tant que métropole économique du Canada.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Non, la complexité de l’appareil municipal nuit au climat entrepreneurial. On doit effectuer une réforme administrative pour simplifier les rapports entre la Ville et le milieu des affaires et éliminer les tracasseries administratives qui nuisent au développement commercial. En simplifiant l’appareil municipal, nous pourrons soutenir le développement de notre entrepreneuriat.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Non, Il y a présentement un équilibre représentatif de la réalité québécoise et montréalaise. Cet équilibre est toutefois fragile et nous devons rester vigilants. Mais Montréal est la première ville bilingue en Amérique du Nord et c’est un atout qui engendre une énorme richesse culturelle.

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7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Non, elle est moins bonne. Pour les familles des classes moyennes et supérieures, la situation est meilleure mais ce sont ces mêmes familles qui ont les moyens et qui déménagent vers la banlieue. Pour les familles moins fortunées, la situation se dégrade, leurs conditions se détériorent. Il y a des cas d’insalubrité et certains propriétaires exploitent cette situation. Nous devons donc rehausser la qualité de vie de nos citoyens pour retenir et attirer les jeunes familles sur l’île, dans le but ultime d’améliorer les conditions de vie de tous les citoyens.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Non, ils ont tout à fait raison d’être très inquiets et il y a une énorme responsabilité qui pèse sur leurs épaules le 3 novembre prochain.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Non, et ça n’a rien avoir avec le prix. On entend trop souvent dire que ça coûte cher de faire de belles choses mais on peut payer très cher pour de la laideur aussi. Nous devons laisser à notre talent la chance de s’exprimer, l’image de Montréal ne pourra qu’en bénéficier.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Oui, mais elle approche d’un point de rupture. Si l’on continue de tolérer l’exode des familles vers la banlieue, la situation va rapidement se détériorer, et, par simple effet de nombre, la pauvreté risque de se concentrer sur l’île de Montréal.

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10 questions Marcel Côté

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Marcel Côté

Marcel-Côté-DRParti : Coalition Montréal
Slogan : Le temps d’agir
Site Web : coalitionmtl.com
Âge : 71 ans
Statut civil : Célibataire, mais avec une conjointe depuis 1972
Enfants : Aucun
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Ghetto McGill, Montréal
Taxe foncière : 6 000 $
Lieu préféré à Montréal : Centre-ville
Voiture personnelle : Acura LT 2005
Dernier emploi : Associé à Secor
Langues parlées : Français et anglais
Membre de quel autre parti : Aucun

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1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Oui. Elle peut disparaître en quelques mois, par quelques changements dans les systèmes de gestion.

D’une part, toute décision financière doit relever de deux directions indépendantes l’une de l’autre. D’autre part, la Ville doit promouvoir un code de déontologie explicite, accompagné d’une politique de conformité tout aussi publicisée, qui souligne le devoir de tous les employés de ne pas tolérer les manquements au code et de dénoncer (anonymement si souhaité) toute malversation observée. Enfin, la Ville doit poursuivre une politique de transparence absolue, rendant impossible le non-dévoilement d’ententes et de contrats.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

La question est mal posée. Le nombre d’élus dans chaque arrondissement, entre cinq et sept, est normal. La véritable question doit porter sur le nombre d’arrondissements, 19 actuellement, avec des populations variant entre 25 000 et 150 000 personnes. Cette question se divise d’ailleurs en deux.

Premièrement, devrions-nous fusionner les petits arrondissements ? Cela pourrait porter leur nombre de 19 à 12 ou 13, et le nombre d’élus au conseil municipal de 63 à 50 ou même 40. Faire disparaître Outremont, l’Île Bizard–Sainte-Geneviève ou autres petits arrondissements ne changerait que très peu les coûts et la dynamique du conseil. Mais cela exigerait beaucoup de capital politique et ce serait une distraction majeure pour le nouveau maire, avec peu de résultats.

Deuxièmement, devrions-nous changer la distribution des pouvoirs entre la ville centre et les arrondissements, et centraliser plus de pouvoir à la ville centre ? Les mêmes remarques s’appliquent : beaucoup d’efforts pour peu de résultats.

À ces deux questions, je réponds donc non pour les quatre prochaines années. La Ville a d’autres priorités. Il faut d’abord faire marcher le système actuel et bâtir un sentiment de confiance entre la ville centre et les arrondissements.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

J’ai voté pour Gérald Tremblay en 2009, sur la base des informations que je connaissais à l’époque. Sur la base de ce que je sais aujourd’hui, j’aurais voté pour Louise Harel.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

La réponse est non. Ce rôle appartient désormais à Toronto. Mais la notion de métropole économique d’un pays perd de plus en plus de son sens et de son importance à l’ère de la mondialisation. Montréal a tout pour devenir une métropole mondiale de savoir et de créativité, transcendant les frontières nationales. C’est ainsi que Montréal pourra rattraper, voire doubler Toronto, une métropole financière avec beaucoup moins d’avantages comparatifs distinctifs.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Non. Les statistiques de la Fondation québécoise de l’entrepreneuriat indiquent non seulement des carences importantes face à Toronto et Vancouver, mais aussi des tendances défavorables à Montréal. Le problème semble se situer chez les communautés culturelles, qui représentent le tiers de la population de la région métropolitaine. Elles sont moins intégrées qu’ailleurs et moins dynamiques que dans d’autres grandes villes d’Amérique du Nord.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Il y aura toujours des menaces qui pèsent sur la langue française en Amérique du Nord, mais le français au Québec se défend très bien : contrairement à la croyance populaire, le français gagne du terrain. En 40 ans, nous avons francisé toutes les grandes institutions montréalaises. Notre défi collectif consiste à devenir à l’aise dans un monde où l’anglais est la langue de la mondialisation.

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7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Elle est différente, mais se compare très favorablement à certains égards. Les maisons coûtent plus cher à Montréal qu’en banlieue. Mais lorsqu’on habite sur l’île, le transport vers le centre-ville coûte beaucoup moins cher et cela permet d’éviter la congestion des ponts. Il y a donc des choix de style de vie, influencés par ailleurs par les revenus familiaux. Toutefois, Montréal a baissé les bras et n’a pas cherché à développer une politique familiale attractive visant à conserver à Montréal les jeunes ménages qui préfèrent un milieu urbain à la vie de banlieue. Coalition Montréal entend changer cette situation.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

« Malgré les scandales » est une hypothèse très forte. Ces scandales sont intolérables et humiliants. Tant que nous ne serons pas confiants qu’ils appartiennent au passé, les Montréalais se sentiront humiliés. Mais avec leur disparition, les Montréalais retrouveront leur fierté, qui émane du caractère distinctif de leur ville, de sa civilité, de sa tolérance, de son ouverture sur les cultures d’ailleurs et de la grande créativité qui découle de la rencontre quotidienne d’idées venant de partout dans le monde.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

De façon globale, l’architecture récente à Montréal est plutôt moche. Comme maire, j’entends promouvoir une architecture d’une qualité nettement supérieure. Montréal a mieux réussi du côté des places publiques, en particulier avec le Quartier des spectacles, le Quartier international et le Parc des Faubourgs à l’entrée du pont Jacques-Cartier.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Oui et non. Non quant aux résultats globaux, et en particulier quand on considère le taux de chômage chez les nouveaux immigrants, un indicateur qui ne ment pas. Oui si l’on tient compte du fait que plus de 80 % des immigrants s’installent sur le territoire montréalais. Il faut non seulement s’améliorer en matière d’intégration et élargir le cercle des villes hôtes, mais aussi développer des modèles de succès au sein de chaque communauté culturelle.

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10 questions Michel Brûlé

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Michel Brûlé

Michel-Brûlé-DRParti : Intégrité Montréal
Slogan : 100 % français, zéro corruption
Âge : 49 ans
Statut civil : Célibataire
Enfants : Aucun
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Plateau-Mont-Royal, Montréal
Taxe foncière : Demandez à mon comptable
Lieu préféré à Montréal : Le Diabolissimo
Voiture personnelle : Aucune
Dernier emploi : Éditeur depuis 1993
Langues parlées : Français, espagnol, allemand, russe, bulgare, portugais, italien
Membre de quel autre parti : Parti québécois

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1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Bien sûr que oui, mais il faudra de la fermeté. Mon parti est le seul qui n’est pas associé au Parti libéral du Canada et ça veut dire beaucoup. Pour ma part, je suis indépendant de fortune, l’argent ne m’intéresse pas et je préfère mourir qu’être croche.

Je veux m’attaquer non seulement à la corruption, mais aussi au copinage. Des gens d’affaires, qu’on dit respectables, pratiquent la surfacturation depuis des décennies. Je le dis depuis des années, et ce, bien avant la commission Charbonneau : on se fait voler à coups de milliards à Montréal. Vous comprenez maintenant pourquoi on m’a donné aussi peu de visibilité pendant la campagne. Le peuple veut que ça change, mais l’establishment veut le statu quo. Moi, je suis du côté des citoyens.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Oui, tout à fait. Je veux réduire le nombre d’élus de 103 à 31.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

J’étais un partisan de Louise Harel.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Il y a dix ans encore, l’argent parlait anglais. Aujourd’hui, l’argent parle le mandarin, le russe, le portugais, l’allemand, etc. L’empire anglo-américain exerce toujours son hégémonie culturelle presque partout dans le monde, mais au niveau économique, le bateau commence à prendre l’eau.

À l’heure de la diversité de l’économie mondiale, Montréal a tout à gagner en affirmant son identité française et en développant des partenariats avec les puissances économiques mondiales de demain que sont la Chine, la Russie et le Brésil. Jadis, la mondialisation était un synonyme d’américanisation, mais très bientôt, le mot aura pris son sens véritable. C’est en s’ouvrant à la nouvelle réalité mondiale que Montréal pourra espérer être une des villes les plus prospères en Amérique du Nord.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Pas du tout, malheureusement. Au Québec, on n’a pas l’habitude de parler de la gauche et de la droite, mais c’est pourtant elles qui freinent le développement économique et entrepreneurial de Montréal.

La gauche, incarnée par Projet Montréal, se comporte de façon totalitaire. Sur le Plateau, Projet Montréal fait fi de la grogne des commerçants et continue l’implantation unilatérale de son plan d’urbanisme. Les PME créent 72 % des emplois au Québec et il faut être à l’écoute des petits commerçants. Personnellement, je suis un défenseur de l’environnement, mais avec un souci d’équilibre.

La droite, incarnée par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, est très réactionnaire. Selon ces gens d’affaires, le Printemps érable, qui a terni l’image de Montréal dans le monde entier, est la seule responsabilité des étudiants. Les scandales de corruption, qui ont aussi terni l’image de la métropole, on n’en parle pas. Le copinage, surtout pas ! Stationnement Montréal, qui est une société paramunicipale administrée par la Chambre de commerce, est un exemple de parti pris. Autrement dit, la création de sociétés paramunicipales va à l’encontre des intérêts de la Ville. Finalement, la droite montréalaise s’enlise en ne voyant que l’empire anglo-américain comme partenaire d’affaires. Une vision éclairée favoriserait une diversification des partenariats et une réelle ouverture aux économies émergentes.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Mes adversaires ne font pas la différence entre le bilinguisme individuel et collectif. Parler anglais, c’est bien, mais dans toute ville bilingue, une langue empiète sur l’autre et depuis 15 ans, l’anglais ne cesse de progresser au détriment du français. Je veux renverser la vapeur pour que le français soit la langue commune de tous les Montréalais.

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7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Projet Montréal prétend vouloir garder les familles à Montréal. Pourtant, est-il réaliste d’avoir deux ou trois enfants sans avoir de voiture ? Certes, on peut encourager les gens à utiliser leur voiture le moins souvent possible, mais faut-il pour autant les décourager d’en avoir une ? Chose certaine, les gens qui déménagent en banlieue — souvent à contrecœur —, invoquent généralement les problèmes de stationnement, les contraventions et les vignettes.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Je trouve qu’il n’y a pas de quoi être fier et c’est pour ça que j’ai décidé de faire le saut en politique. Montréal a besoin d’un virage à 180 degrés.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Montréal a besoin d’un plan urbanisme cohérent basé principalement sur la beauté architecturale des nouvelles constructions.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Bien sûr que non. Sur le plan linguistique, c’est la catastrophe. Depuis des décennies, on anglicise des immigrés qui arrivent ici en ne connaissant que trois mots d’anglais, alors qu’on aurait très bien pu les franciser. Si on s’en était donné la peine depuis 30 ans, le français serait la langue commune de tous les Montréalais.

Les maires qui se sont succédé ont cédé à la pression des anglophones et ont fait de Montréal une ville bilingue dans les faits. Il n’est pas trop tard pour renverser la vapeur, mais il semble que je suis le seul candidat à militer pour un Montréal français.

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10 questions Paunel Paterne Matondot

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Paunel Paterne Matondot

Paunel Paterne Matondot - DR (2)Parti : Indépendant
Slogan : Pour un vrai ménage
Âge : 39 ans
Statut civil : Marié
Enfants : Trois garçons (13 ans, 3 ans et 2 ans)
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Montréal (Ahuntsic)
Taxe foncière : Aucune
Lieu préféré à Montréal : Hochelaga (les gens de ce quartier vivent vrai)
Voiture personnelle : Aucune
Dernier emploi : Homme de ménage
Langues parlées : Français
Membre de quel parti : Aucun

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1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Oui, il suffit que le maire élu investisse de sa personne, de son temps, de son autorité et de son indépendance pour accompagner les instruments juridiques en place.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Oui, 103 élus, c’est beaucoup. Il faut en réduire le 1/3 et arriver à 69 élus. Cela fera faire des économies à la Ville. Voilà un autre moyen de stopper le gaspillage financier.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Non, je n’avais pas encore obtenu le droit de vote.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Oui, il faut juste revoir la politique économique de la Ville. Ouvrir davantage les possibilités d’implantation des investisseurs, mettre sur pied des conditions encourageantes en ce qui concerne les taxes pour les quatre premières années d’installation des entreprises. Les extrémités est et ouest de la ville sont à la portée de grands plans de développement.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Aujourd’hui, non. Entre autres, l’anarchie et le chaos générés par une moindre importance de l’éthique faussent la libre concurrence et découragent les éventuels entrepreneurs. De plus, l’engouement des habitants à «se mettre dans la rue» poussent les entrepreneurs à la méfiance. Et il y a aussi les taxes et l’absence de politique économique efficace…

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Oui, le français est menacé d’autant plus qu’il n’ouvre pas les portes à des emplois importants. Il faudrait qu’il se hisse au rang de langue des affaires pour maintenir sa majestueuse position.

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7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Oui, elle reste bonne. La proximité des services publics, des lieux de travail, de loisirs et autres centres d’affaires à fréquentation quotidienne procurent une économie importante de temps à réinvestir dans la famille.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Oui, car ne plus être fiers de Montréal, c’est accepter la fatalité, l’irréversibilité des conditions génératrices de scandales. Être fiers, c’est lutter et vaincre le pessimisme; c’est s’engager à rendre compétitive la ville de Montréal.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Non, on note une timidité architecturale à Montréal. La preuve, c’est toujours le stade olympique construit dans les années 70 qui est la «carte postale» de Montréal.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Non, Montréal n’est pas un modèle. Du point de vue social, le niveau de mixité est en dessous de la moyenne. Le communautarisme prend de plus en plus d’ampleur au point où l’on s’attend au pire dans les décennies à venir. D’un point de vue professionnel, tout laisse à désirer chez les immigrants. Voilà pourquoi dès aujourd’hui, la municipalité doit s’employer à valoriser l’humain plus que le capital.

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10 questions Louai Hamida

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Louai Hamida

Louai-Hamida-DRParti : Indépendant
Slogan : Nous, vous, Nouveau Montréal
Site Web : louai-hamida.ca
Âge : 36 ans
Statut civil : Célibataire
Enfants : Aucun
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Plateau Mont-Royal
Taxe foncière : Aucune
Lieu préféré à Montréal : Parc Nature de l’Île de la Visitation
Voiture personnelle : Toyota Corolla
Dernier emploi : Spécialiste en contrôle de qualité, Pratt & Whitney Canada
Langues parlées : Français, anglais, arabe et suédois
Membre de quel parti : Aucun

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1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Oui, car la corruption est le symptôme d’un réel problème : l’exclusion. À partir du moment où les citoyens sont impliqués dans le développement, la planification et l’implantation des projets municipaux, il en résultera de la transparence par défaut. Il n’y aura donc plus aucune place à la corruption, ce qui est ma priorité en tant qu’aspirant maire de Montréal.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Dans la situation actuelle où la participation des citoyens est particulièrement faible, le nombre d’élus à Montréal est justifié. Mais avec un engagement plus important des citoyens dans les projets municipaux, il y aura avantage à diminuer la quantité d’élus à Montréal.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Oui, j’ai voté pour Richard Bergeron.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Oui, tous les éléments sont réunis pour faire de Montréal la métropole économique du Canada : son aéroport, son port fluvial, ses quatre universités, ses nombreux cégeps, son important mélange d’entrepreneurs, de scientifiques, d’artistes ainsi que la richesse de ses communautés culturelles. Lorsque tous ces éléments travailleront réellement ensemble, Montréal pourra redevenir la métropole économique du Canada.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Oui, mais cela n’est pas suffisant. La Ville pourrait offrir davantage de services pour les petits commerces et les nouveaux entrepreneurs afin de les aider à être rentables rapidement, ce qui bénéficiera à l’économie de la Ville en général et en particulier au développement du commerce de proximité.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Non, car une ville francophone en Amérique du Nord comme Montréal est un réel avantage distinctif, et la communauté anglophone l’a bien compris. Les anglophones défendent le fait que cette spécificité représente un attrait économique et touristique non négligeable.

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7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Il y a une qualité de vie agréable pour les familles à Montréal, que ce soit sa richesse culturelle, artistique et sa quantité d’activités offertes. Cependant, il y a place à l’amélioration en ce qui a trait au logement et aux espaces prévus pour les familles.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Il y a beaucoup de choses dont les Montréalais devraient être fiers. Montréal est une ville ouverte où il fait bon vivre. Les derniers scandales ont eu comme résultat d’exclure le public de la vie politique. À partir du moment où la participation des citoyens est favorisée et où les infrastructures sont améliorées, les Montréalais auront toutes les raisons d’être fiers de leur Ville.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

S’il est question de bâtiments, je pense que nous mettons trop l’emphase sur le côté fonctionnel à court terme et nous négligeons l’esthétisme et la pérennité des bâtiments. Avoir un paysage urbain audacieux passe par une implication réelle des acteurs de la culture et de l’art dans le développement des nouvelles constructions.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Avoir un modèle d’intégration, c’est impliquer les communautés culturelles à trois niveaux : dans le développement, la planification et l’implantation des projets municipaux. Lorsque les communautés sentiront qu’elles font partie du processus décisionnel de la Ville, elles auront un réel sentiment d’appartenance et se sentiront comme à la maison.

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10 questions Patricia Tulasne

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Patricia Tulasne

Patricia Tulasne - DRParti : Indépendant
Slogan : Réinventer Montréal
Site Web : https://www.facebook.com/PatriciaTulasneMontreal2013
Âge : 54 ans
Statut civil : Célibataire
Enfants : Aucun
Animaux : Chiens et chats
Lieu de résidence : Montréal
Taxe foncière : 3 300 $
Lieu préféré à Montréal : L’Homme de Calder, sur l’Île Sainte-Hélène
Voiture personnelle : Toyota Corolla
Dernier emploi : Comédienne
Langues parlées : Français, anglais
Membre de quel parti : Parti québécois

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1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Il le faut. Me basant sur le rapport Léonard, en collaboration avec le vérificateur général, je compte mettre un terme à la corruption au cours de mon premier mandat. Je compte offrir aux citoyens une transparence totale et pratiquer la tolérance zéro envers la corruption et la collusion.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Définitivement. Trop d’élus, pas assez de cohésion. Montréal est une ville dysfonctionnelle.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour quel candidat ?

Oui, j’ai voté pour Louise Harel.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Elle le peut, avec la collaboration de tous les intéressés. Il faut rassurer les promoteurs et les entrepreneurs en assainissant le climat de la Ville et en assurant un marché de libre concurrence. Il faut également se servir des opportunités que nous offre l’accord de libre échange avec l’Union européenne.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Le climat de corruption donne une réputation sulfureuse à la Ville. Une fois assaini, il faut utiliser toutes les ressources disponibles pour attirer les entrepreneurs à Montréal.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Certainement. Montréal, en ce moment, est une ville bilingue. Les jeunes sont démobilisés par rapport au français. Montréal doit demeurer la deuxième grande ville francophone au monde. C’est ce qui fait son identité et c’est un atout majeur pour la culture et le tourisme.

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7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Non. Il faut que Montréal redevienne une ville conviviale, sécuritaire et propre. Il faut se questionner sur notre tolérance face à l’industrie du sexe à Montréal. Il faut régler les problèmes d’itinérance. Il faut orienter Montréal vers le développement durable, en mettant en place des politiques vertes. Il faut rendre les infrastructures fonctionnelles, accorder une priorité à la voirie et aux égouts. Enfin il faut régler les problèmes de circulation et de stationnement à Montréal, tout en bonifiant le transport en commun.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Montréal a un potentiel immense, mais s’est détériorée avec les années. Le laxisme des administrations précédentes a ébranlé la confiance des Montréalais envers leur ville et leurs élus. Mais tout est encore possible. Avec une administration rigoureuse, une saine gestion des fonds publics et en accordant la priorité aux services essentiels, Montréal peut redevenir la grande ville qu’elle a déjà été. Montréal jouit d’une disposition géographique exceptionnelle, et son capital n’est pas encore mis en valeur. Montréal doit se tourner vers l’avenir, et devenir une ville exemplaire, éthique, visionnaire, et ce dans toutes les sphères de ses activités.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Il manque une vision globale d’urbanisme à la Ville de Montréal. Le laid côtoie le beau, sans distinction. Il faut que Montréal s’inspire de ce qui se fait ailleurs en matière d’architecture, et applique les règles du développement durable dans ses nouvelles constructions.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Plus ou moins. Il a plusieurs Montréal, francophone, allophone, anglophone, et religieux. Il y a les pauvres et les riches. Ces mondes n’interfèrent pas ou peu. Il y a encore des efforts à faire pour rendre la cohabitation plus harmonieuse, pour que tous ces gens qui habitent la même ville se sentent liés par le même désir de vivre ensemble, quelle que soit leur statut, leur âge ou leur condition.

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10 questions Kofi Sonokpon

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Kofi Sonokpon

Kofi Sonokpon - DRParti : Indépendant
Slogan : Ensemble, agissons maintenant !
Site Web : www.mtl2013.com
Âge : 40 ans
Statut civil : Marié
Enfants : Deux filles de 8 ans et 7 ans
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Ahuntsic-Cartierville
Taxe foncière : Locataire
Lieu préféré à Montréal : Vieux Port, Parc Jarry et Parc Raimbault
Voiture personnelle : Hyundai Elantra
Dernier emploi : Expert aéronautique, auteur et conférencier
Langues parlées : Fon (langue maternelle), français, anglais, allemand (élémentaire)
Membre de quel parti : Aucun

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1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Oui, à condition que la population montréalaise procède au grand ménage le 3 novembre en allant voter massivement pour de nouveaux visages et surtout, pour des candidats indépendants. Ce serait une grave erreur de penser que la responsabilité du grand ménage repose sur le seul maire. La transparence absolue doit être la règle d’or à la mairie. Il faudra également limiter l’exercice du maire à deux mandats et celui du conseiller municipal à trois mandats maximum.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Absolument ! La taille du conseil municipal devrait être réduite de 25 à 30%.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

Non. Je venais de me réinstaller à Montréal après un séjour de deux ans et demi à Toronto, donc je n’étais pas inscrit sur la liste électorale du Québec.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Oui, Montréal possède les ressources, les talents, la créativité, la maturité et l’énergie nécessaires pour non seulement reprendre sa place de première métropole économique du Canada, mais aussi pour passer du 30e à ne serait-ce qu’au cinquième rang mondial d’ici son 400e anniversaire, en 2042. Ce qui manque, c’est une vision audacieuse, de l’autonomie et du leadership efficace et durable, basé sur le principe infaillible du service rendu aux autres.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Non. Il faut trouver des moyens efficaces pour réduire le fardeau fiscal des entreprises montréalaises. Ensuite, beaucoup reste à faire pour attirer et profiter des investissements et des talents étrangers. Nos infrastructures de piètre qualité et la mauvaise réputation due aux scandales de corruption et de collusion ne contribuent pas non plus à un climat entrepreneurial rassurant.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Oui et non. Oui, si nous continuons de percevoir l’anglais comme une langue antagoniste dont la finalité absolue serait d’étouffer le français. Non, si nous comprenons que les deux langues sont en réalité des atouts précieux et constituent un avantage compétitif majeur pour le développement économique et le renforcement du leadership de Montréal en tant que métropole de rang mondial, digne du 21e siècle. Sur un plan personnel, ma langue maternelle est le fon. J’ai dû apprendre le français, puis l’anglais. En rétrospective, je n’aurais pas pu faire le parcours que j’ai fait sans l’avantage compétitif que m’ont conféré ces deux langues. Ensuite, un constat relatif à mon séjour à Toronto est que le rêve des parents anglophones là-bas, c’est de trouver une place pour leurs enfants dans un programme d’immersion française, parce qu’ils comprennent l’importance de l’apprentissage et de la maîtrise du français. Nous devrions nous inspirer de ce modèle.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Il y a effectivement cette perception selon laquelle la vie en banlieue serait mieux qu’à Montréal. Cependant, tout compte fait, je trouve que la qualité de vie à Montréal est aussi bonne, sinon meilleure comparée à la banlieue, surtout pour quelqu’un qui a son lieu de travail sur l’île de Montréal. Il faut toutefois des mesures concrètes pour garder et attirer les familles à Montréal et réduire l’exode des familles vers la banlieue. En outre, il serait urgent de trouver d’autres sources de revenus au niveau de la ville, afin d’alléger le fardeau fiscal des Montréalais.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Montréal n’a jamais eu autant besoin de la fierté, de la confiance et de l’implication de ses citoyens que maintenant. Le temps n’est certainement pas à l’indifférence et au cynisme, mais plutôt à l’action. Les scandales offrent aux Montréalais une occasion unique de se mobiliser, de reprendre le contrôle de leur ville et de travailler ensemble sur de nouvelles bases pour bâtir une ville dont ils seront beaucoup plus fiers dans les années à venir. Car l’adversité quelle qu’elle soit, s’accompagne toujours de belles opportunités. Il revient donc aux Montréalais de ne pas se laisser prendre au piège du cynisme, de l’indifférence et de l’abstention, mais plutôt de voir et surtout de saisir la grande opportunité que nous offrent ces scandales pour faire décoller aujourd’hui le Montréal de demain. Cela implique évidemment que les Montréalais doivent aller voter massivement le 3 novembre prochain pour que les choses changent réellement.

9. Les nouvelles constructions à Montréal sont-elles assez audacieuses ?

Cela dépend de ce que l’on entend par constructions audacieuses. Il faut différencier le côté architectural des matériaux et des technologies qui sont utilisés.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Beaucoup reste à faire, surtout au niveau de l’intégration économique des immigrants, pour que Montréal devienne un véritable modèle d’intégration. Cela aura un impact positif certain sur l’intégration culturelle et linguistique.

Nous avons beaucoup entendu parler de reconnaissance des acquis ou d’équivalence de diplôme. Tout cela constitue un premier pas dans la bonne direction, mais il faut trouver d’autres moyens plus efficaces pour enrichir Montréal de l’immense expérience et du talent diversifié des immigrants.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

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10 questions Joseph Young

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Joseph Young

Parti : Ligue communiste
Slogan : Votez pour l’alternative ouvrière ! Votez pour la Ligue Communiste à Montréal !
Site Web : www.themilitant.com
Âge : 66 ans
Statut civil : Célibataire
Enfants : Aucun
Animaux : Aucun
Lieu de résidence : Parc Extension, Montréal
Taxe foncière : Locataire
Lieu préféré à Montréal : La ligne de piquetage des Travailleurs unis de l’alimentation et du commerce en grève contre Salaison Lévesque, coin Beaumont et Querbes
Voiture personnelle : Toyota Corolla 1993
Dernier emploi : Aide générale de production en usine
Langues parlées : Anglais, français, espagnol
Membre de quel parti : Ligue communiste

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

1. La corruption à Montréal peut-elle être éliminée dans un premier mandat ?

Non. Les classes possédantes et leurs politiciens sont, de tout temps, corrompus. Ils se sont toujours trompés et ont toujours utilisé le gouvernement pour s’enrichir. La différence, aujourd’hui, c’est que l’étendue de la crise économique et sociale rend plus difficile aux exploiteurs de le cacher. C’est par leur lutte que les travailleurs formeront des dirigeants qui ne s’achètent et ne se vendent pas.

C’est pour cela que la Ligue communiste fait campagne pour la libération des Cinq Cubains, des révolutionnaires victimes d’un coup monté et emprisonnés aux États-Unis depuis 1998 en raison de leur défense de la révolution cubaine. Ces cinq hommes sont de vrais dirigeants de la classe ouvrière. Ils ont refusé de négocier un arrangement pour revoir à la baisse les chefs d’inculpation et ont insisté sur leur droit à un procès. Les autorités n’ont pas réussi à les briser et ils continuent la lutte de l’intérieur de la prison. C’est la révolution cubaine qui les a forgés.

2. Y a-t-il trop d’élus à Montréal ?

Peu importe le nombre, le gouvernement fonctionnera dans l’intérêt des patrons. Ma campagne appelle à construire un mouvement de masse de la classe ouvrière, un mouvement indépendant des partis des capitalistes qui pourra prendre le pouvoir de leurs mains et établir un gouvernement des travailleurs et des agriculteurs. Cette question ne revêtira une importance que lorsque nous aurons remplacé les patrons au pouvoir.

3. Avez-vous voté lors des dernières élections municipales à Montréal ? Si oui, pour qui ?

J’ai voté pour Michel Prairie, de la Ligue communiste.

4. Montréal peut-elle redevenir la métropole économique du Canada ?

Il n’y a pas un « Montréal », ni un « Québec », ni un « Canada ». Il y en a deux : celui des patrons et celui des travailleurs. Je fais campagne pour aider à construire un mouvement des travailleurs capable d’utiliser la force des syndicats pour exiger un programme de travaux publics massifs qui créera des emplois à des salaires syndicaux, et pour exiger une augmentation substantielle du salaire minimum.

5. Le climat entrepreneurial est-il suffisamment accueillant à Montréal ?

Ma campagne se préoccupe du climat ouvrier. Le chômage est élevé, les salaires réels chutent et de plus en plus de travailleurs occupent des postes à temps partiel. Au travail, les cadences augmentent, de même que les accidents et les blessures. Les soins de santé et les autres services sont coupés.

Poussées par la soif de profits et la compétition pour les marchés et les ressources, les puissances impérialistes avancent vers de plus grands conflits et interventions militaires. La campagne de la Ligue communiste va de porte en porte dans les quartiers ouvriers pour discuter des réponses possibles à l’offensive des patrons. Nous participons aux lignes de piquetage et aux manifestations qui défendent les droits des travailleurs.

6. Le français est-il menacé à Montréal ?

Pour nous unifier contre l’offensive patronale, les travailleurs doivent s’opposer à toute forme de discrimination. Les travailleurs québécois ont mené une lutte contre l’oppression nationale et ont fait des pas de géant pour éliminer le statut de citoyen de deuxième zone qui leur était réservé depuis longtemps. J’appuie des parties de la Loi 101 qui y ont contribué. J’accueille l’arrivée massive de travailleuses et travailleurs immigrants qui renforceront notre unité et notre capacité de combat.

Avec sa Charte des valeurs québécoises, le gouvernement du Parti québécois attaque le droit de chacun de pratiquer sa religion et défend les intérêts d’une couche privilégiée. Les dirigeants capitalistes partout au Canada cherchent à diviser les travailleurs pour affaiblir notre résistance à la crise économique. Je m’oppose à la Charte des valeurs québécoises dans toutes ses formes parce qu’elle cherche à promouvoir la discrimination et la division entre les travailleurs.

[Cliquez ici pour accéder aux questionnaires des autres candidats à la mairie de Montréal.]

7. La qualité de vie pour les familles est-elle aussi bonne à Montréal qu’en banlieue ?

Pour se loger convenablement, bien des travailleurs et leurs familles doivent fuir Montréal puisque les profits passent avant les besoins des êtres humains. À Cuba, par exemple, le droit au logement a été établi par une lutte révolutionnaire. C’est par des luttes massives dirigées par les syndicats pour unir tous les travailleurs et nos alliés que nous obtiendrons des logements décents.

8. Malgré les scandales, les Montréalais ont-ils toujours raison d’être fiers de leur ville ?

Il y a le Montréal des patrons et le Montréal des travailleurs. Ces derniers ne sont pas responsables des scandales. Nous confrontons des problèmes bien plus importants. Le brouhaha sert de diversion. De plus, la commission Charbonneau s’en prend aux syndicats de la construction qui ont mené une grève importante au mois de juin. Ma campagne a participé à leurs lignes de piquetage et a aidé à construire la solidarité avec leur lutte.

9. Les nouvelles constructions à Montréal, sont-elles assez audacieuses ?

Les travailleurs ont besoin d’un programme audacieux de construction de logements, de garderies et de réparation de routes pour nous mettre au travail et nous offrir les services dont nous avons besoin. Aucun politicien capitaliste ne lancera un tel programme de son plein gré. Je fais campagne pour aider à construire un mouvement des travailleurs capable d’utiliser la force des syndicats pour exiger un programme de travaux publics massifs qui créera des emplois à des salaires syndicaux.

10. Montréal est-elle un modèle d’intégration ?

Je ne cherche pas l’« intégration » des immigrants. Je cherche l’unité des travailleurs dans la lutte contre les effets de la crise économique et sociale qui s’intensifie. Tandis qu’il y a six millions de réfugiés syriens, le Canada n’en a accueilli que quelques dizaines dans la dernière année. J’exige que le Canada ouvre ses portes aux réfugiés. Je fais campagne en solidarité avec les travailleurs et les agriculteurs de la Syrie contre le régime de Bachar al-Assad et je m’oppose à toute intervention américaine.

Le ministre Bernard Drainville accuse les musulmans, les juifs et, les sikhs d’être responsables des reculs récents sur les droits des femmes. C’est faux. Les luttes pour nos droits, les travailleuses et travailleurs, nous les avons toujours mené contre les gouvernements des patrons. Ce sont eux qui coupent systématiquement dans les services de santé, qui réduisent l’accès à l’avortement et qui maintiennent un salaire minimum minable. En restreignant l’accès aux emplois du secteur public aux travailleuses voilées et aux travailleurs portant le kippa ou un turban, le gouvernement du Québec cherche à nous diviser. C’est pour cela que je m’oppose à la Charte des valeurs québécoises.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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