Les Français se montrent davantage soucieux du prix que du beau temps pour choisir leur destination de vacances cet été, indique mardi une étude du cabinet CCM Benchmark pour Poulpéo.
Selon ce sondage réalisé entre le 17 et le 27 mai auprès de 1.000 internautes représentatifs de la population française, 67% des sondés déclarent que le prix est leur premier critère de choix pour leurs vacances.
Le climat n'arrive qu'en deuxième position (48%), devant la possibilité de pouvoir se baigner (32%).
Le critère prix est particulièrement important pour les moins de 35 ans (74% organisent leurs vacances en fonction de lui), un peu moins chez les 35-54 ans (66%) et les séniors (57%).
Globalement, 69% des Français déclarent qu'ils feront plus attention à leurs dépenses qu'il y a un an. Un tiers des estivants (31%) prévoient de débourser moins de 500 euros pour leurs vacances d'été, tandis que 23% ont prévu un budget de plus de 1.000 euros par personne.
"La crise impacte naturellement les projets de vacances et ce n'est pas le moment où les Français font des folies", a commenté Olivier David, directeur général de Poulpéo, un site de "cash-back" qui permet d'obtenir des réductions de prix et des codes promo.
Outre les coûts d'hébergement et de transport, c'est l'alimentation qui constituera le poste de dépenses majeur des Français (57%). 21% déclare vouloir investir dans les visites culturelles, alors que seuls 12% comptent faire du shopping sur place.


 

trivago Reputation Ranking: Greece tops Mediterranean destinations

The Greek islands of Santorini and Crete are clear favourites in hotel comparison website trivago.co.uk, with Santorini’s Imerovigli and Fira occupying the top two spots, followed by Crete’s Chania and Rethymnon in positions four and five.
With the summer holidays drawing close, hotel comparison website trivago.co.uk has ranked Mediterranean beach destinations according to the reputation of their hotels. The reputation percentage is calculated from over 34 million user ratings and reviews compiled from over 160 booking sites. Included in the ranking are destinations with over 5000 aggregated reviews.
Below there is the top twenty Mediterranean beach destinations. The Greek islands of Santorini and Crete are clear favourites, with Santorini’s Imerovigli and Fira occupying the top two spots, followed by Crete’s Chania and Rethymnon in positions four and five. Italy is another highly-rated destination, with the town of Capri taking third place. Five Spanish destinations feature in the top twenty, the highest ranked being Llanes at position eight.

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Quitte à voyager au-dessus de ses moyens, les Caraïbes seraient la destination idéale jugent 65% des personnes interrogées par Degriftour Selection, le site de vente privée en ligne de voyages haut de gamme dégriffés.
Les cocotiers, le sable blanc et les plages de rêve font donc toujours autant rêver les vacanciers. Les grands espaces aussi puisque les États-Unis arrivent en deuxième position, plébiscités par 39% des sondés, suivis par l'Amérique Latine à 32%. Plus que le faste, ce sont les destinations lointaines qui semblent faire rêver les voyageurs.
La tendance est au raisonnable si l'on en juge les activités de luxe préférées des personnes interrogées. Une majorité (69%) souhaiterait revenir avec des souvenirs mémorables grâce à la pratique d'activités étonnantes, comme nager avec des requins ou partir en excursion sur les traces des Incas.
Le bling-bling n'est toutefois jamais bien loin : 41% préfèreraient faire du shopping illimité tandis que pour 22% des sondés, le comble du luxe serait de boire du champagne au petit déjeuner.
Cette étude a été menée en ligne par Degriff Tour du 26 avril au 30 mai 2013 auprès de 1.249 personnes.

 

Le particulier qui fait poser des panneaux solaires sur le toit de sa maison et signe un contrat de rachat d'énergie avec EDF peut déduire de ses factures la TVA payée.
L'exploitation d'une installation photovoltaïque par un particulier, suite à la pose sur le toit de son habitation de panneaux photovoltaïques, constitue une "activité économique" permettant de déduire la TVA acquittée sur la pose si :
- elle est accomplie en vue de retirer des recettes ayant un caractère de permanence, peu important que l'exploitation permette ou non de générer des profits (notamment les premières années) ;
- elle est dépourvue de capacités de stockage de l'énergie produite.
Pour la Cour de Justice de l'Union européenne, dans un arrêt du 20 juin 2013 (Aff. n°C-219/12), le droit à déduction de la TVA payée en amont de l'installation d'une production d'énergie au moyen de panneaux solaires privés, est ouverte aux particuliers. Ce droit à déduction s'exerce sur la TVA appliquée à leur consommation d'énergie.

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Le préfet d'Aquitaine, Michel Delpuech, a présenté jeudi à La-Teste-de-Buch (Gironde) un dispositif unique en France de 417 balises géolocalisées, installées sur le littoral aquitain afin d'offrir aux secours des repères précis, notamment en cas de noyade.
Installées entre Soulac, au nord de la Gironde, et Tarnos, au sud des Landes, elles se présentent sous la forme de drapeaux oranges numérotés et fixés à un mât planté dans le sable.
Les numéros des secours figurent dessus. En cas de noyade, les gens pourront avertir les secours et indiquer le numéro de la balise la plus proche, ce qui leur permettra, avec les coordonnées GPS des balises, de géolocaliser précisément la zone d'intervention.
"L'idée, c'est la justesse de l'information et derrière, la rapidité et donc l'efficacité du secours", a insisté M. Delpuech lors de la présentation du dispositif à la presse.
Selon lui, ce dispositif est "une première en France". "C'est tiré de l'expérience des années passées, notamment de la saison précédente" au cours de laquelle 12 personnes ont péri noyées sur les plages girondines.
En avril, deux noyades survenues le même week-end sur les plages girondines avaient déjà conduit à un renforcement des mesures de sécurité sur le littoral aquitain.
La saison passée, "ce sont les secours eux-mêmes qui ont signalé cette difficulté d'appels imprécis, de telle sorte qu'ils ne savaient pas exactement où se projeter", a-t-il souligné.
"Ca va être un plus surtout pour les personnes qui sont en difficulté en dehors des zones surveillées parce que dans ce cas-là, bien souvent, les gens ont du mal à se situer", s'est félicité le commandant Eric Barbier, chef de la base hélicoptère de la sécurité civile de Bordeaux.
"Avec ce principe de balises, ce qu'on espère, c'est que les gens pourront donner leur position précise et nous permettre d'intervenir le plus directement et le plus rapidement sur le lieu de la noyade", a-t-il ajouté.
"Nous avons de plus en plus de personnes qui se baignent en dehors des zones réglementées et des zones de surveillance", a estimé le brigadier-chef Arnaud Bonnefille, responsable des postes de secours de la Teste-de-Buch.
Les balises sont réparties tous les 500 m, ce qui permet "d'intervenir plus rapidement car nous localisons en temps réel les touristes ou les estivants en difficulté", s'est-il félicité.

 

Répondant à la demande florissante de bien-être de la part des consommateurs, le spa s’est imposé dans l’industrie hôtelière pour devenir aujourd’hui un incontournable des catégories haut de gamme et luxe, notamment sur le segment loisirs.
Si les professionnels reconnaissent l’impact positif d’un tel investissement sur l’activité des établissements, la rentabilité et l’optimisation des revenus restent la principale préoccupation des hôteliers, qui doivent apprendre à gérer une nouvelle activité avec un personnel adapté.
L'entrée en vigueur du nouveau classement hôtelier en juillet dernier a joué un rôle de moteur pour l'industrie française des spas dans les hôtels et autres hébergements touristiques. En favorisant la montée en gamme des établissements, la nouvelle classification a entraîné la multiplication de l'offre de bien-être dans l'industrie, désormais considérée comme un élément clé de différenciation par les professionnels. Actuellement, l'Hexagone dispose d'un réseau de 9 000 spas, dont 400 sont installés au sein d'infrastructures hôtelières. Sur le seul segment cinq étoiles, 46% des établissements en sont équipés.
La tendance à l'augmentation de l'offre de spas dans l'hôtellerie devrait se poursuivre au cours des prochaines années et suivre l'évolution du tourisme de bien-être, qui devrait continuer à se développer jusqu'en 2020, dans le monde et en France, selon les experts. "L'utilisation des spas dans les hôtels augmente depuis quelques années et ces derniers ne sont plus uniquement utilisés comme un endroit pour séjourner, mais plutôt comme un endroit pour se sentir bien.

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Alors que la date du Ramadan 2013 fait débat au sein de la communauté française, ses effets ne s’en font pas moins ressentir sur l’activité hôtelière des palaces français en ce début de saison estivale, notamment à Paris et sur la Côte d’Azur. MKG Hospitality observe ainsi des conséquences récurrentes d’une année sur l’autre de l’avancé progressive du Ramadan sur les deux mois d’été.
Depuis l'année 2010, le Ramadan empiète sur la saison estivale et bouscule les habitudes de la clientèle moyen-orientale des palaces français, traditionnellement friande de Paris et de la Côte d'Azur en été, et notamment au mois d'août. Les chiffres observés par MKG Hospitality montrent clairement les effets du départ de cette clientèle sur l'activité hôtelière haut de gamme de l'Hexagone.

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Les sports de nature sont devenus, dans de nombreux territoires, un enjeu de développement local et touristique. Si le ministère chargé des Sports dispose que leur développement doit être “maîtrisé”, la loi a transféré la compétence de ce développement aux départements, à travers les plans départementaux de espaces, sites et itinéraires (Pdesi) relatifs aux sports de nature.
Les services déconcentrés du ministère du Développement durable, quant à eux, s’assurent que le développement des sports de nature n’affecte pas le patrimoine environnemental.
Enfin, un nombre croissant de régions s’impliquent dans leur développement. À l’heure de l’acte III de la décentralisation, on aurait pu souhaiter que s’engage un débat de fond sur les enjeux de gouvernance en matière de sports de nature.

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Mettre la recherche, les bonnes pratiques et les nouvelles méthodologies au service du développement du tourisme : telle est l’ambition d'un accord signé entre l’OMT et l’entreprise publique ISDEFE (Ingeniería de Sistemas para la Defensa de España) dans le cadre duquel des projets pilotes creuseront des questions telles que la connectivité ou l’énergie dans le tourisme.
L’OMT se vaudra de l’expertise d’ISDEFE qui offre des services d’ingénierie à l’administration espagnole et à des organismes publics internationaux.
« ISDEFE et l’OMT ont une position commune et cet accord contribuera à faire progresser de nouveaux concepts de développement touristique qui seront intégrés dans l’agenda mondial du tourisme » a expliqué le Secrétaire général de l’OMT, Taleb Rifai, lors de la signature de l’accord.
Des projets sur les infrastructures touristiques et la connectivité ou l’énergie ainsi que l’aide au développement figurent au nombre des domaines spécifiques de coopération.
« Nous sommes fiers d’unir nos efforts au travail que l’OMT mène à bien pour soutenir l’une des activités économiques majeures de notre époque » a affirmé Francisco Quereda Rubio, le Président Directeur général d’ISDEFE, avant d’ajouter : « Cet accord renforce notre engagement en faveur des objectifs d’ensemble des Nations Unies en matière de durabilité et de responsabilité sociale des entreprises, des objectifs que nous avons souscrit dès 2009 en adhérant au Pacte mondial des Nations Unies. ».

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Le recrutement via les réseaux sociaux, ou recrutement 2.0, bouleverse progressivement les habitudes et les méthodes de travail des recruteurs, tant dans les entreprises que dans les cabinets de recrutement. Certaines grandes entreprises, telles que le Club Med, Accor ou Disneyland Paris, mettent désormais les réseaux sociaux professionnels (Viadeo, Linkedin…), mais aussi grand public (Facebook, Twitter…) au cœur de leur stratégie de recrutement. Ce qui leur permet de toucher des candidats dans le monde entier.
Les "événements de recrutement", physiques ou virtuels, remplacent, dans certains cas, la publication de petites annonces. Les PME, les collectivités locales ou les cabinets de recrutement, quant à eux, sont encore peu présents sur les réseaux. Ils limitent souvent leur utilisation à du “repérage” de compétences, pour des profils spécifiques (cadres commerciaux, informaticiens, notamment).
Les réseaux sociaux sont d’abord des lieux de communication, qui ne sont efficaces que dans le cadre de stratégies à long terme. D’où l’importance, pour les entreprises, d’allier le recrutement 2.0 à la construction d’une "marque employeur", d’une part, et à l’animation d’une communauté de candidats potentiels, d’autre part. Quant aux candidats, ils doivent surveiller leur "e-réputation".

au sommaire :
- Le recrutement 2.0. Un enjeu de communication
- Le recrutement 2.0. Un outil à manier avec discernement
- Faire du recrutement 2.0, c'est gérer une communauté de candidats potentiels
- Le recrutement 2.0 en est à ses balbutiements
- ADT et CDT adoptent progressivement le recrutement 2.0
- Les réseaux sociaux ouvrent les nouvelles frontières du groupe Accor
- Le Club Med recrute les talents du monde sur Facebook, Twitter et Youtube
- Disneyland Paris recrute activement sur tous les réseaux sociaux

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Le développement du tourisme de mémoire répond à de nombreux enjeux, qui vont de la valorisation du patrimoine de l’armée à l’éducation civique, en passant par le développement territorial.
La notion de “lieu de mémoire” sert principalement à désigner des lieux liés à des violences de guerre : champs de bataille, camps de concentration… Les musées et lieux de mémoire ont changé au cours des trente dernières années, notamment pour répondre aux attentes d’un public nouveau, qui n’a pas vécu la guerre.
Tandis que l’utilisation de techniques scénographiques modernes vise à “impliquer” le visiteur, le discours n’est plus seulement militaire, mais aussi humain, et s’intéresse à tous les acteurs et à toutes les victimes du conflit. Au-delà des musées et lieux de bataille, c’est le territoire tout entier dont on cherche à valoriser la dimension mémorielle. Le centenaire de 14-18 ainsi que les célébrations, en 2014, du soixante-dixième anniversaire de la bataille de Normandie seront des temps forts du tourisme de mémoire en France.

au sommaire :
- Le tourisme de mémoire. Un enjeu civique, pédagogique, économique et culturel pour la France
- Quand le tourisme de mémoire bouleverse le travail de mémoire
- Les lieux de mémoire, une valeur sociale plus que touristique
- Du tourisme des batailles au tourisme des mémoires
- Les Historiales de Pressins (Isère) commémorent les mémoires 14-18
- Le tourisme de mémoire lié à la Grande Guerre. Un enjeu d'avenir
- Le "paysage de mémoire". Un concept en construction
- Quand le "virtuel" permet de mieux appréhender le "réel" de la Grande Guerre
- "Carnets 14-18", une application au service du tourisme de mémoire
- "En 2014, la Normandie a rendez-vous avec le monde"
- Les Courants de la liberté courent pour la mémoire en Normandie
- Le tourisme de mémoire doit se réinventer
- Le musée de la Grande Guerre du pays de Meaux. Un nouveau regard sur le tourisme de mémoire
 Les musées de la Shoah en France. Lieux d'histoire, de mémoire et d'éducation
- Les musées urbains de la Shoah. Entre souvenir, promotion de la paix et marketing territorial
- Le mont Valérien, haut lieu de la mémoire nationale

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Une étude de l'Université de Bergame révèle que, pour 75 % des membres de Trocmaison.com "on peut faire confiance à la plupart des gens".
 L’Université de Bergame dévoile “My House is Yours”, la première étude approfondie sur les acteurs d’une tendance en plein essor : le troc de maisons ; une enquête internationale menée auprès des 46.000 membres de HomeExchange.com (Trocmaison.com dans sa version française).
Pour la première fois, une étude internationale dessine le profil détaillé de ces voyageurs, de plus en plus nombreux, qui échangent leur maison, démontrant que cette pratique a un impact profond sur la société. D’après les chercheurs, “les gens se tournent de plus en plus vers des modèles de consommation qui mettent le collectif au-dessus de l’individualisme. Le troc de maisons pourrait aider nos sociétés à prendre un autre chemin, plus porteur d’avenir”.
Alors que 93% des personnes interrogées se déclarent satisfaites de leurs expériences et que 81% ont échangé leur logement plus d’une fois, l’avenir sourit au troc de maisons. Ces habitués ne sont pas seulement à la recherche de bons plans pour réduire leur budget de voyage: ils sont poussés par une soif de découverte d’autres cultures. 98% déclarent leur intérêt pour l’héritage culturel, et 84% fréquentent les musées et les parcs naturels des pays dans lesquels ils séjournent.
Bien que faisant partie des catégories éduquées (62% ont fait des études supérieures), les adeptes du troc de maisons sont assez représentatifs de la population des vacanciers (49% voyagent avec des enfants). S’ils viennent des 5 continents, les 5 pays les plus représentés sont dans l’ordre les USA, la France, l’Espagne, le Canada et l’Italie.
Le commerce équitable (63%) et l’alimentation bio (73%) comptent beaucoup pour les personnes interrogées : 69%, d’entre elles préparent leurs repas à la maison lorsqu’ils sont en vacances, profitant de la cuisine équipée que leur offre le troc de maisons. Quand ils ne sont pas en vacances, ils contribuent activement à la vie associative: 59% sont impliqués dans des associations de proximité, de soutien à l’éducation, caritatives ou tournées vers la défense du patrimoine.
Valeur essentielle parmi les personnes interrogées: la confiance, à laquelle elles accordent une grande importance. 75% des personnes interrogées sont d’accord l’affirmation selon laquelle «on peut faire confiance à plupart des gens».
La consommation collaborative et le troc de maisons ont de beaux jours devant eux: « Le troc de maison est devenu la nouvelle frontière du tourisme. C’est une tendance lourde qui répond aux attentes du voyageur du nouveau millénaire : un désir croissant de voyager plusieurs fois par an - même avec un budget limité - l’envie de s’organiser des voyages «cousu main» et surtout, de faire de chaque escapade une expérience de dépaysement authentique... la découverte d’un nouveau pays, avec tous ses attraits, mais aussi l’immersion dans une nouvelle culture.» affirme Francesca Forno.



 

Le Groupe réaffirme son ambition de se développer dans la région et d’atteindre un réseau de 50 hôtels d’ici à 2016.
Accor inaugure aujourd’hui le Novotel Moscow City, son 5ème établissement à Moscou et son 16ème en Russie. Cet hôtel est l’un des plus modernes du pays ainsi que le premier et le seul présent actuellement dans le centre d’affaires international de Moscow City. Il s’agit d’un projet conjoint entre Tashir, une holding qui est l’un des plus grands promoteurs russes et l’investisseur CJSC Soglasie. Le total des investissements réalisés par les deux partenaires s’élève à 160 M$. Accor exploite l’hôtel dans le cadre d’un contrat de management long terme.

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Istanbul : effondrement des tarifs hôteliers pour l’été 2013
Séjourner une nuit dans la capitale turque coûte 109 euros en moyenne en juillet 2013, ce qui représente une chute considérable en comparaison avec le mois dernier et avec
l’année dernière. Ces données proviennent de l’actuel trivago Hotel Price Index (tHPI),
baromètre des tarifs hôteliers en ligne publié chaque mois par le comparateur de prix
d’hôtels www.trivago.fr
Istanbul, avec une forte actualité depuis quelques semaines, affiche ce mois-ci des prix hôteliers fortement en baisse. La nuit en chambre double standard s’élève à 109 euros en juillet 2013, soit une chute de 25 pour cent par rapport au mois dernier, et de 20 pour cent en comparaison avec juillet 2012.
Chute de 20 pour cent à Paris
En comparaison avec juin dernier, on peut observer ce mois-ci dans la plupart des
métropoles européennes un dégonflement des tarifs hôteliers. Ces derniers restent en
revanche souvent à peu de choses près similaires aux prix pratiqués l’an dernier.
A Paris, les voyageurs devront débourser 175 euros pour la nuit, soit 20 pour cent de moins que le mois dernier, mais seulement 2 pour cent de moins qu’en juillet 2012.

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Pour certaines, l’objectif est de favoriser l’emploi de la langue; pour d’autres, il s’agit d’enrichir leurs activités culturelles. De nombreuses destinations ont développé des programmes d’immersion linguistique combinés à des visites touristiques. Mais il existe une offre plus large qui séduit différents types de clientèles, des jeunes aux seniors, qu’ils soient en quête de connaissances ou bien de divertissement. De plus, certains pays ou régions ont façonné une image de marque autour de leur langue. Voici quelques exemples inspirants.
Des forfaits alliant apprentissage de la langue et visites culturelles

Le tourisme linguistique se définit comme l’ensemble des activités menées au cours d’un voyage et ayant pour but l’étude d’une langue. Ce marché est dominé par le Royaume-Uni et les États-Unis, mais le Canada, l’Australie, l’Irlande, Malte et la Nouvelle-Zélande en reconnaissent aussi l’importance. Principalement organisés par les universités et destinés aux étudiants, les cours de langue sont maintenant combinés à des visites culturelles et s’adressent à tout le monde.

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A report from Deloitte says the oil-and-gas rich nation of Qatar plans to spend $200 billion over the next decade as it prepares to host the 2022 World Cup.
The report, released on Tuesday, said $140 billion of that will be for transportation infrastructure including a new airport, roads and a metro system to deal with the 400,000 fans expected for the month-long.

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The member states' Permanent Representatives today endorsed the compromise reached between the Council and the European Parliament in their negotiations on the Connecting Europe Facility (CEF), the future funding instrument for the trans-European networks (TEN) in the fields of transport, energy and telecommunications. The draft regulation establishing the CEF determines the conditions, methods and procedures for the Union's financial contribution to TEN projects. It will replace the existing legal bases for TEN funding. The overall objective of the CEF is to help create high-performing and environmentally-sustainable interconnected networks across Europe, thereby contributing to economic growth and social and territorial cohesion within the Union.
The agreed text still needs to be formally approved by the Parliament, whose vote in plenary is expected to take place in the autumn, and by the Council, which is due to take its decision after the vote in Parliament.
The final budget figures still need to be determined in the light of the outcome of the negotiations with the Parliament on the next multi-annual financial framework (MFF), for the years 2014-2020. However, they are likely to correspond more or less to those set by the February European Council, namely an overall CEF budget of EUR 29 299 million, with EUR 23 174 million (including EUR 10 billion earmarked in the Cohesion Fund) allocated to the transport sector, EUR 5 126 million to the energy sector and EUR 1 billion to the telecommunications sector. Moreover, additional investment from private and public sources may be leveraged through the use of innovative financial instruments such as project bonds.
The EU will contribute to the financing of projects at different rates depending on the sector and the type of action concerned. To be eligible for aid from the CEF, the projects must be in line with the requirements set out in the CEF regulation and in the sectorspecific guidelines. The guidelines for the energy sector have already been adopted and published in the EU's Official Journal (regulation 347/2013). The Council and the Parliament have also reached agreement on the transport guidelines. The guidelines for the telecommunications sector, however, still need to be discussed with the European Parliament.
Background on the outcome of negotiations:
With respect to the main issues of discussion between the Council and Parliament on this draft regulation, the negotiations have delivered the following compromise solutions: Regarding the use of innovative financial instruments, it has been agreed, in particular, that the contribution from the CEF to such financial instruments may not exceed 10 % of the overall CEF budget and that the project bond initiative will start progressively in 2014 and 2015, with full implementation depending on an independent evaluation of the initial phase. Moreover, the ceiling for subordinated debt financing has been set at 30 % of the total amount of senior debt.
As to the question of whether value added tax (VAT) should be an eligible cost for grants under the CEF, it has been agreed that the VAT rules of the Cohesion Fund will apply to funding coming from this Fund and that other funding under the CEF will be subject to the VAT rules of the EU's Financial Regulation, which means that VAT non-recoverable under national legislation will be eligible under certain conditions.
As regards the transport sector, co-financing will be extended to components of the new air traffic management system SESAR and actions improving accessibility to transport infrastructure for disabled persons. Moreover, the list of eligible projects will also include actions implementing transport infrastructure in nodes of the core network, studies for cross-border priority projects as well as actions concerning the comprehensive network that are intended to bridge missing links or contribute to the deployment of the European Rail Traffic Management System (ERTMS) on principal routes of rail freight corridors. In addition, indicative percentages have been set for the distribution of funds to specific transport objectives. The text agreed also provides for the alignment of core network
corridors with the existing rail freight corridors. As regards the energy sector, EU financial assistance is to be provided as a priority in the form of financial instruments, where appropriate, so as to enhance the multiplier effect of this aid. Furthermore, ending energy isolation, eliminating energy bottlenecks and
completing the internal energy market will be priorities in the first two annual work programmes. The particular importance of electricity projects has also been underscored.
The provisions on telecommunication have been adapted to reflect the amended proposal for guidelines on telecommunication networks (10201/13), adopted by the Commission at the end of May to take account of the budgetary cuts agreed by the European Council for this sector.
Finally, stronger emphasis has been put on synergies across the three sectors covered by the CEF, for instance by providing that the Commission will launch at least one multisector call for proposals.

Spain's tourism boom keeps troubled country partying
Summer could not have come soon enough for Lloret de Mar, a tourist resort north of Barcelona that is brimming with young travelers from Britain, Germany, France and Russia.
By day, they flock to the main beach with its steep descent into the Mediterranean, and by night they crowd the streets lined with clubs called Londoner, Hot Spot or Zoo.
It is a scene repeated up and down Spain's extensive coastline along the Mediterranean, the Atlantic and its famous archipelagos, the Balearic and Canary Islands.
Spain's economic crisis is in its sixth straight year yet tourism, worth 11% of GDP, is holding its own, one of the few bright spots on a bleak horizon.

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