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Tourisme professionnel

La commission Mobilité 21 appelle à sortir du tout TGV

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Le rapport de la commission Mobilité 21 chargée de hiérarchiser les 70 projets d'infrastructures figurant dans le Schéma national des infrastructures de transport (Snit) élaboré en 2007 a été remis au gouvernement ce 27 juin. Il préconise une sortie du tout TGV, au profit d'une politique de transports axée sur la proximité et le renforcement du réseau existant.

Les travaux de la commission, dirigée par le député PS du Calvados, Philippe Duron, devaient établir des priorités parmi les 70 projets du schéma national des infrastructures de transports (Snit), établi sous le gouvernement Fillon pour l'ensemble des infrastructures de transport. Après huit mois de consultation, la commission a remis son rapport à Frédéric Cuvillier, ministre délégué aux Transports, ce 27 juin.
"La commission ne propose pas l'abandon de tel ou tel projet mais un phasage dans le temps, a déclaré Philippe Duron. Elle fait aussi des recommandations et son travail ne se résume pas au classement des projets. Nous préconisons qu'elle se remette a l'oeuvre tous les cinq ans. Son travail a consisté à remettre l'usager au centre, en pensant aux transports du quotidien, et a homogénéiser la liste des projets existants." "En France, la polarisation sur la grande vitesse a eu tendance a masquer des situations localement préoccupantes, a poursuivi Philippe Duron. Il est temps de s'interroger sur le modèle économique de la LGV."
Un grand nombre de projets actuels sont liés à la saturation, un sujet qui fait débat, pour lequel les choses ne sont pas claires. Pour sortir de la controverse, la commission propose la création d'observatoires de la saturation pour savoir quand il sera pertinent d'engager les projets. Elle propose aussi de développer une expertise nationale sur le lissage des pointes de trafic ferroviaire. Et de rénover en profondeur les mécanismes de gouvernance et de financement du système de transports (recours à l'épargne privée, renforcement de la participation des usagers, élargissement de l'assiette de la taxe poids-lourds, évolution du versement transport).

Deux scénarios

L'accent est mis dans le rapport sur le renforcement du réseau existant, devenu vieillissant. "On a besoin de transports inter-cités qui roulent à 200 km/h, le chaînon manquant entre TER et TGV", a indiqué Philippe Duron. Autre priorité : le traitement des noeuds ferroviaires, dont les dysfonctionnements se diffusent largement à l'ensemble des grandes lignes et qui, malgré des efforts entrepris au niveau de certaines gares, méritent un plan d'envergure. La priorité va aussi aux projets contribuant directement à l'amélioration de la desserte des ports et de leur hinterland.
52 projets ont été classés selon deux scénarios, l'un raisonnable et dit "au fil de l'eau", qui reviendrait à dégager de 8 à 10 milliards d'euros d'ici à 2030, ce qui est compatible avec les marges budgétaires de l'Agence de financement des infrastructures de France (Afitf). L'autre, plus ambitieux, dit scénario d'amplification, représente un investissement de 25 à 30 milliards d'euros, ce qui correspond à abonder de 400 millions d'euros supplémentaires par an les caisses de l'Afitf. Son ampleur peut être comparée à celle du financement du Nouveau Grand Paris. Ce scénario repose sur l'hypothèse d'une amélioration de la conjoncture économique et de la mobilisation de nouvelles sources de financement.
Dans le scénario 1, neuf projets sont considérés comme des "premières priorités" : ils concernent les flux portuaires (électrification de la ligne Gisors-Serqueux, contournement de Fos), le traitement des points noirs ferroviaires (1 milliard pour le noeud lyonnais, 2,5 milliards pour le traitement du noeud marseillais, 3 milliards pour le noeud Paris St Lazare-Mantes) ou bien relèvent d'enjeux d'attractivité économique (liaison Roissy-Picardie, Route Centre Europe Atlantique en Allier et Saône-et-Loire).
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Les vacances dété des Français en quelques repères

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Voici quelques repères sur les vacances d'été des Français :

 

Nombre

Entre la moitié et les deux tiers des Français devraient partir en vacances, selon les périmètres retenus (65% des Français entre juin et septembre selon Ipsos, 53% "cet été" selon OpinionWay...).

Mais seulement 48% en juillet-août, soit 30,5 millions, selon Protourisme. C'est 5 points de moins sur un an et entre 800.000 et 900.000 de vacanciers en moins. Parmi les partants, 5,3 millions ne prévoient qu'un court séjour (moins de 4 nuits).

Durée

En moyenne 11,5 jours pour les vacanciers de juillet-août (Protourisme). Six vacanciers sur 10 partiront moins longtemps que l'été dernier.

Entre 50 et 56% des vacanciers partiront plus d'une semaine (Protourisme, Panel On The Web), dont seulement 15% plus de 15 jours (Protourisme).

Budget

En moyenne 1.340 euros par foyer (hors transport), soit 32 euros par jour et par personne. C'est un peu plus que l'an dernier en raison de la hausse des budgets pour les départs à l'étranger, plus nombreux que l'an dernier (Protourisme).

Transport compris, le budget moyen oscille entre 580 et 850 euros par personne selon les destinations et les modes d'hébergements.

Quatre à cinq Français sur 10 comptent réduire leur budget et "faire des sacrifices" en vacances.

53% des vacanciers dépenseront moins de 1.000 euros par foyer (Protourisme).

Les classes moyennes sont celles dont le budget a le plus baissé sur un an (-7%), note Protourisme.

Dates

Les départs se concentreront surtout sur le mois d'août. Les réservations sur juillet sont très en retard par rapport à l'an dernier.

Traditionnellement, parmi les Français qui partent en vacances, environ 40% partent uniquement l'été.

Destinations

Au moins 7 Français sur 10 resteront en France.

25 à 30% iront à l'étranger, surtout dans des destinations proches et au soleil, bassin méditerranéen en tête.

La mer reste la destination phare (58%), suivie par la campagne (20%), la ville (13%) et la montagne (9%) (Protourisme).

63% recherchent le soleil (Panel On The Web pour Easyvoyage.com).

Les régions en tête restent la Provence Côte d'Azur, le Languedoc-Roussillon et la Corse. Le Limousin apparaît comme l'option la moins coûteuse.

Hébergement

Environ un tiers des Français iront en vacances chez des proches, famille ou amis. À noter: 10% des partants bénéficient d'un bien ou d'un financement des grands-parents, la solidarité familiale jouant de plus en plus pour les vacances, surtout au profit des jeunes (Protourisme).

30% comptent louer (appartements, maisons, gîtes...), 12% aller au camping (Panel On The Web).

La France compte 17.000 hôtels, 2.100 résidences de tourisme, un bon millier de villages de vacances, 7.800 campings, 37.000 chambres d'hôtes, 2,9 millions de résidences secondaires...

Public

Les jeunes sont très touchés par la crise. Moins de la moitié des 18-24 ans ont prévu de partir en vacances (47%), contre 52% des 25-34 ans, 57% des 35-49 ans, 53% des 50-59 ans et 54% des 60 ans et plus (OpinionWay).

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Le Mexique sera bientôt plus compétitif que la Chine

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Mexico’s Growing Cost Advantage over China, Other Economies Will Boost Its Exports—and U.S. Manufacturers
  • Lower Labor and Energy Costs Are Expected to Propel Mexican Manufacturing Exports, Adding $20 Billion to $60 Billion in Output to Mexico's Economy Annually by 2017; U.S. Suppliers Also Will Benefit, Predicts The Boston Consulting Group
     

    CHICAGO, June 28, 2013—Within five years, higher manufacturing exports due to a widening cost advantage over China and other major economies could add $20 billion to $60 billion in output to Mexico’s economy annually. And thanks to the North America Free Trade Agreement (NAFTA), U.S. manufacturers of components for everything from automobiles to computers assembled in Mexico also stand to benefit, according to new research by The Boston Consulting Group (BCG).

    The key drivers of Mexico’s improving competitive edge are relatively low labor costs and shorter supply chains due to the country's proximity to markets in the U.S. Another important advantage is that Mexico has 44 free-trade agreements—more than any other nation—allowing many of its exports to enter major economies with few or no duties.

    A tipping point was reached in 2012, when average manufacturing costs in Mexico, adjusted for productivity, dropped below those of China. By 2015, BCG projects, average total manufacturing costs in Mexico are likely to be around 6 percent lower than in China and around 20 to 30 percent lower than in Japan, Germany, Italy, and Belgium.

    “Mexico is in a strong position to be a significant winner from shifts in the global economy,” said Harold L. Sirkin, a BCG senior partner. “That is good news not only for Mexico, which relies on exports for around one-third of its GDP. It’s also good for America, since products made in Mexico contain four times as many U.S.-made parts, on average, as those made in China.”

    The research is part of BCG’s ongoing “Made in America, Again” series on the changing global economics of manufacturing, produced by its Operations and Global Advantage practices. BCG has previously released research predicting that rising U.S. exports, combined with production “reshored” from China, could create up to 5 million new U.S. jobs in manufacturing and related services by the end of the decade, thanks largely to significant labor- and energy-cost advantages over Western Europe and Japan and rising costs in China.

    Global companies are expected to continue moving production to Mexico despite concerns over crime and safety. Research by the World Economic Forum has found that companies view violence and corruption as the most problematic factors of having operations in Mexico—as well as significant costs of doing business. Another drawback is the perception that Mexico lacks enough skilled workers.

    But the cost advantages of producing in Mexico are becoming so attractive that many companies are finding ways to mitigate these perceived risks. “When the economics are a wash, U.S. manufacturers often keep production in the U.S.,” said Michael Zinser, a BCG partner who leads the firm’s manufacturing work in North America. “But when the economics are compelling, companies will invest in additional security and training to address these issues.”

    Mexico’s labor costs are especially competitive when productivity differences with other economies are factored in. By 2015, for example, average manufacturing-labor costs in Mexico are projected to be 19 percent lower than in China, where wages are rising rapidly, and around 30 percent lower when adjusted for output per worker. In 2000, Mexican labor was 58 percent more expensive than in China. Mexico will also have lower energy costs than many other economies. Average electricity costs are around 4 percent lower in Mexico than in China, for example, while the average price of industrial natural gas is 63 percent lower.

    The industries expected to see the biggest production gains are likely to be transportation goods, computers and electronics, appliances, and machinery. “These industries have relatively high labor content, stringent logistical requirements, and strong existing manufacturing clusters in Mexico,” explained Eduardo León, a BCG senior partner based in Monterrey. Due to Mexico’s growing cost advantage, production in these industries could increase between 7 to 19 percent by 2017 over and above the projected level if current growth trends remain the same. This could result in 300,000 to 900,000 direct manufacturing jobs annually in Mexico and 1.5 million to 3.5 million jobs in related services jobs.

    “Companies investing in Mexico must balance the economics with the potential downsides,” said Sirkin, who, along with Zinser and BCG partner Justin Rose, is coauthor of The US Manufacturing Renaissance: How Shifting Global Economics Are Creating an American Comeback (Knowledge@Wharton, 2012). “But the economic advantages are becoming so pronounced that global companies should include Mexico on a shortlist of locations for their next manufacturing plant.”

    To arrange an interview with a BCG expert, please contact Alexandra Corriveau at 212 446 3261 or at corriveau.alexandra@bcg.com
      

    La Tribune du 1er juillet
    D'après une étude publiée, ce vendredi 28 juin, par le Boston Consulting Group, le Mexique pourrait bientôt devenir plus compétitif que la Chine, notamment grâce au coût de ses salaires et de son énergie.

    Les Chinois ont-ils du souci à se faire ? D'après une étude du Boston Consulting Group, publiée ce vendredi 28 juin, le Mexique devrait bientôt devenir plus compétitif que la Chine... en matière de coût de production. L'Empire du Milieu, surnommé "l'usine du monde", devrait perdre son titre au profit du troisième plus grand pays d'Amérique latine.

    Les points forts de son rival américain ? Le montant de ses salaires, ses nombreux accords de libre-échange et le coût de son énergie. 

    Pour l'instant, le troisième partenaire commercial des Etats-Unis n'est que la 14e puissance économique mondiale. Le Mexique doit beaucoup à son grand-frère américain, puisque 75% de ses exportations sont dirigées vers les Etats-Unis, avec lesquels il partage 3.200 kilomètres de frontières... ultra-sécurisées.

    Plusieurs millions d'emplois à la clé

    D'ici à 2015, les salaires des Mexicains devraient être inférieurs de 30% à ceux des Chinois, plafonnant à un peu moins de 4 dollars de l'heure (taxes comprises), contre un peu plus de 4 dollars en Chine.

    Ce pays hispanophone bénéficie également de nombreux accords commerciaux très avantageux. Il a ainsi signé quelques 44 traités tels que l'ALENA (Accord de libre-échange Nord Américain), en 1994, ou l'Alliance du Pacifique (Chili, Colombie, Mexique, Pérou) en 2012. La Chine, elle, n'en détient que 18... suite

     
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Budget vacances le camping une valeur sûre en temps de crise

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Les Français, le camping et la crise économique
Budget vacances : le camping, une valeur sûre en temps de crise !
- 65% des Français ont l’intention de partir cet été en vacances, 5 points de moins qu’en 2012
- 40% des vacanciers prévoient de diminuer leur budget, avec une baisse moyenne de 28%
- 36% des vacanciers envisagent l’option camping cet été, dont pour moitié en raison de la crise
A moins d’un mois des premiers départs en congés, SeLogerVacances confirme la baisse du budget des Français alloué aux vacances d’été et révèle, en conséquence, un intérêt toujours aussi fort pour les séjours en camping, selon le sondage commandé à IPSOS en juin 2013 : plus d’1/3 des vacanciers envisagent l’option camping cet été. En ces périodes de restrictions budgétaires, le camping s’impose comme le meilleur rapport qualité-prix, pour les familles et les jeunes de moins de 35 ans.
SeLogerVacances.com est l’observateur attentif du marché du camping et de la location de vacances, membre de l’Union Nationale pour la Promotion de la Location de Vacances (UNPLV). Il s’adosse aux deux autres sites du groupe SeLoger, Vacances.com et a-gites.com pour offrir au million de visiteurs uniques qui se présentent chaque mois, le plus vaste choix de locations de vacances, parmi des appartements, gîtes, villages de vacances, bateaux, mobil-homes ou encore logements insolites…

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Pierre MOSCOVICI annonce la cession par l’Etat et le FSI d’une participation au capital d’Aéroports de Paris

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A l'issue du processus annoncé le 30 mai 2013 par Pierre Moscovici, Ministre de l’Economie et des Finances, et lancé le 8 juin par la publication du cahier des charges de l’opération, l’Etat et le Fonds Stratégique d’Investissement ont conjointement décidé d'allouer 4 757 291 actions (soit 4,81% du capital d’Aéroports de Paris) à Crédit Agricole Assurances / Predica et 4 643 968 actions (soit 4,69% du capital d’Aéroports de Paris) au groupe Vinci, au prix unitaire de 78,5 € par action.
 
Conformément au cahier des charges, les acquéreurs se sont engagés à conserver ces titres pendant une période minimale d’un an, et à ne pas dépasser le seuil de participation de 8% du capital pendant une durée de cinq ans. Ils pourront chacun bénéficier, au plus tard à l’assemblée générale des actionnaires qui se tiendra en 2014, d'un siège au conseil d’administration de la société, aux côtés de l'Etat qui y dispose de six représentants et de N.V Luchthaven Schiphol, société gestionnaire de l'aéroport d'Amsterdam Schiphol, qui y dispose de deux représentants.
 
Conformément à la loi n°2005-357 du 20 juillet 2005 relative aux aéroports, l’Etat conserve à l’issue de cette opération la majorité du capital d’Aéroports de Paris, avec une participation de 50,63%.

L’opération permet de dégager un produit de cession total de 738 millions d’euros, dont 303 millions d’euros pour l'Etat et 435 millions d’euros pour le Fonds Stratégique d’Investissement. Elle s’inscrit ainsi pleinement dans la politique de gestion active des participations de l’Etat définie par le gouvernement, qui doit permettre de préserver les intérêts patrimoniaux et stratégiques de l'Etat tout en dégageant des ressources en fonds propres pour de nouveaux secteurs porteurs de développement économique.

Pierre Moscovici, Ministre de l'Economie et des Finances, se félicite du succès de l’opération permis par la mobilisation conjointe de l'Agence des participations de l'Etat et des services du Fonds Stratégique d’Investissement, qui a répondu positivement a son invitation, et par la mise en œuvre d'un processus de cession bien adapté et innovant.
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Le cabinet-conseil François Tourisme Consultants décide de reporter ECORISMO 2013

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Le cabinet-conseil FRANCOIS TOURISME CONSULTANTS constate la part trop faible d'entreprises impliquées à ce jour dans l'environnementau point que les fournisseurs de l’économie verte délaissent ce marché et décide de reporter ECORISMO 2013.
Les indicateurs sur l'état de santé de notre planète sont au rouge.
Les indicateurs de l'état de prise en compte de l'environnement par les grands groupes hôteliers sont au vert.Les indicateurs ECORISMO, eux, clignotent à l'orange !
En effet, en dehors des grands groupes hôteliers, les petites et moyennes entreprises du secteur ne prennent pas encore suffisamment en compte les solutions environnementales dans leur financement et leur gestion. Face à cedéfaut d’intérêt des professionnels se traduisant par une fréquentation insuffisamment attractive pour les exposants, Ecorismo reporte son forum-salon prévu à Nantes cette année.
ECORISMO, c’est le rendez-vous régulier des professionnels de l'hôtellerie et du tourisme qui recherchent des idéespratiques et des économies de charges d'exploitation grâce aux solutions de l'environnement et du développement durable, spécifiques à leurs métiers.Pour sa 8è édition, à l'invitation de "Nantes - Capitale européenne de l'environnement 2013", ECORISMO s'était donné des objectifs ambitieux : réunir les professions et les fournisseurs de biens et de services de toute l'Europe, à Nantes, les 30 septembre et 1 octobre 2013.
"Nous avons reçu un accueil chaleureux de la part des représentants des professions ainsi que de l'état français. L'objectif de réunir, gratuitement, dans le Forum ECORISMO plus de 1 000 professionnels de toute l'Europe était très atteignable, explique Philippe FRANCOIS, président d'Ecorismo, en revanche, nous n'atteindrons pas les 150 exposants, seuil de rentabilité pour l'ensemble de cette opération particulière. A ce jour nous avons enregistré de nombreuses inscriptions de la part d'exposants, anciens et nouveaux, très motivés, mais pas en nombre suffisant et pas en origines géographiques européennes suffisamment diversifiées. Nous avons lancé cette nouvelle édition d'ECORISMO, sans subvention publique, uniquement avec nos moyens propres."
"L'objectif d'ECORISMO est de promouvoir, de sensibiliser et de faciliter les échanges professionnels sur le développement durable, mais nous ne pouvons, seuls, dans unesituation économique européenne difficile,dans le contexte général plus attentiste que dynamique de cette édition particulière, et en accord avec les exposants, nous engager dans une opération que nous estimons déficitaire à terme", précise Philippe FRANCOIS.
Les dirigeants d'ECORISMO soulignent toutefois que les prochaines éditions en projet (Paris et Agadir, l'an prochain) sont en cours de validation, probablement sous une forme adaptée. Les équipes de FRANCOIS TOURISME CONSULTANTS, le cabinet-conseil, créateur d'ECORISMO, et TERTIO, la société co-organisatrice du Salon, sont d'ores et déjà à pied d'oeuvre pour ces prochaines éditions.
Alors que les clientèles touristiques n’ont jamais été aussi réceptives aux efforts des professionnels du tourisme en faveur du développement durable, l’absence d'un Forum-Salon ECORISMO cette année ne peut être que regrettée : c'est pourtant bien aujourd'hui que les décisions environnementales doivent se prendre tant pour la planète et nos enfants, que pour la rentabilité des entreprises et l'attractivité des territoires touristiques !

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Etats-Unis lassociation US Travel félicite le Sénat pour le passage de la loi sur limmigration

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U.S. Travel Commends Senate Passage of Immigration Bill
Landmark Legislation Will Deliver Increased Economic Opportunity and Jobs to Communities Across America by Encouraging More Travel To and Within the United States
Roger Dow, president and CEO of the U.S. Travel Association, today released the following statement commending the U.S. Senate for approving S. 744, the Border Security, Economic Opportunity, and Immigration Modernization Act, which recognizes the importance of travel – an industry that contributes $2.0 trillion per year to the U.S. economy and constitutes America's No. 1 services export:
"The Senate's passage today of historic immigration reform legislation is a significant step toward strengthening U.S. national security and encouraging more travel to and within the United States. Through a number of travel-friendly provisions, the bill will boost America's recovery by delivering jobs and economic growth to communities and businesses nationwide.
"As we welcome the Senate bill today, we urge the House of Representatives to equally consider how increased legitimate inbound travel for business and leisure purposes will enhance U.S. security and leverage the economic benefits of travel for all Americans."
The Senate bill includes numerous important travel-facilitation provisions and, for their leadership, U.S. Travel applauds Senators Pat Leahy (D-VT), Chuck Schumer (D-NY), Harry Reid (D-NV), Amy Klobuchar (D-MN), Marco Rubio (R-FL), Mike Lee (R-UT), Orrin Hatch (R-UT) and Mazie Hirono (D-HI). For a provision to reduce processing delays for passengers at high-volume international airports, U.S. Travel further applauds Senator Dean Heller (R-NV).

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La filière Tourisme et sport se lance au passage du Tour de France

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"Le sport et le tourisme mêlés, le Tour de France fait cela depuis cent ans ! Avec un succès mondial. Tant d’image que financier... Alors pas étonnant que ce soit dans le sillage de ses coureurs que le Pays de Lunel et sa pépinière d’entreprises, Via Innova, aient décidé de se placer, pour lancer une nouvelle filière économique.
Dans l’aspiration de la course, elle sera consacrée, justement, au sport, au tourisme et aux activités d’extérieurs. “À vos marques“ sera donc présentée officiellement ce jeudi 4 juillet à 11 h à Saint-Just par le président François Berna et son vice-président Hervé Dieulefès."

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Espagne les hôteliers sadaptent à lafflux des touristes russes

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Spanish hoteliers adapt to Russian influx
More than 1 million visitors from Russia and the ex-Soviet republics visited Spain during 2012, a 40% increase from the prior year
Restaurant menus written in Cyrillic characters, premium vodkas at the hotel bar and children’s’ clubs staffed by employees with names like Sasha and Tatiana. Russians travelers have arrived in Spain, and the country’s hoteliers are trying to accommodate with open arms.
The growing influx of guests from the former Soviet Union are filling Spanish hotel beds that have gone empty in recent years from the drastic fall in domestic and regional travel triggered by southern Europe’s economic implosion.
Last year, 1.2 million visitors from Russia and the ex-Soviet republics chose Spain for their vacations, a 40% increase over 2011 and twice the number that arrived the previous year, according to Spanish tourist board figures.

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Disney Cruise Line se classe premier pour la satisfaction de la clientèle parmi les marques de ligne de croisière

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Disney Cruise Line ranks highest in customer satisfaction among cruise line brands
While overall customer satisfaction with cruise lines is high, nearly one in five customers experience a problem while on their cruise, according to the J.D. Power 2013 Cruise Line Satisfaction Report.
The inaugural report measures cruise line customer satisfaction based on seven key factors (in order of importance): service; stateroom; food; embark/debark; entertainment; cost; and excursions.
 
Disney Cruise Line ranks highest in customer satisfaction with a score of 871 (on a 1,000-point scale), significantly higher than the report average of 824, and performs particularly well in the entertainment and food factors. Royal Caribbean International ranks second with a score of 838, and performs particularly well in service. Holland America Line ranks third at 835, also performing particularly well in service.

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Le tourisme en Isère prévisions de la fréquentation pour la saison estivale 2013

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Des réservations molles mais l’été est encore rattrapable…
A la date du 15 juin, les réservations cumulées pour l’été 2013 en Isère sont plutôt décevantes et inférieures à 2012 :
10% à 60% de taux réservation, tout type d’hébergements confondu, et des prévisions orientées à la baisse pour près de 50% des professionnels interrogés.
Météorologie catastrophique en avril et mai, chute des intentions de départ en vacances des Français et des Européens, budgets serrés et attentisme des clients… autant de facteurs qui pèsent sur les tendances.
Toutefois, les professionnels du tourisme isérois, forts de leur expérience des dernières saisons, se disent plutôt dans l’expectative.
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Le futur musée dart moderne de Hong Kong devrait transformer la ville en centre artistique

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M+, Hong Kong future Museum of Modern and Contemporary Art, will open its doors in 2017 in West Kowloon. Swiss architects Herzog & de Meuron won the bid last week after two years of discussions…
Hong Kong is not a haven for art despite playing recently host for Art Basel Hong Kong, the Asian pendant of the Europe-based Art Exhibition , probably the largest international event for selling and buying art in Europe and now in Asia. However, there is now the idea of turning the metropolis into a hub for art from China, especially as censorship is not as strong than in the Mainland. Hong Kong could then become the gateway for all forms of art, especially for Chinese artists looking to gain fame. Even if the magazine Time Out recently made its headlines under the question “Is Hong Kong ready for contemporary art?”
The answer was an obvious no, especially as the author of the article found that Hong Kong people generally shows a limited interest for art and if yes, this would mostly be driven by commercial interest. The magazine even told that they have been more interest and enthusiasm abroad than in Hong Kong following the acquisition of a major collection of contemporary art for the future M+, the new center of modern and contemporary art.

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Découvrir les structures touristiques accessibles

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Le Portail des marques nationales du tourisme recense l’ensemble des structures labellisés "Tourisme et Handicap". Il permet d’identifier, par zone géographique, les musées et autres lieux de visites, les hôtels, les meublés, les résidences de tourisme, les campings ou encore les offices de tourisme accessibles, grâce à un moteur de recherche.
Au-delà de l’information du grand public sur les principales caractéristiques de cette marque et du recensement des structures touristiques accessibles, le portail présente également aux professionnels qui souhaiteraient rejoindre cette démarche des éléments sur le parcours de labellisation et sur le cahier des charges.

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C’est en Isère que les observatoires du tourisme de Rhône-Alpes ont lancé le tableau de bord du tourisme local

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Jeudi 27 juin, les 8 observatoires du tourisme de Rhône-Alpes (dont celui d’Isère Tourisme), ont présenté aux professionnels rhônalpins le nouveau tableau de bord du tourisme local.
Grâce à la mise en commun des études, données, ratios et savoir-faire de chacun, ce nouvel outil collaboratif permettra d’estimer facilement et le plus précisément possible le volume de nuitées touristiques d’un territoire (commune, communauté de communes, Parcs naturels, etc.) ainsi que les dépenses générées par les touristes.

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Le tourisme moteur économique régional

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A l'occasion de la session plénière du conseil régional, Pascale Rossler (écologiste), vice-présidente chargée du tourisme, a présenté une communication très détaillée qui constitue un opportun point de situation avant la saison. En résumé : le Centre a un fort potentiel touristique qu'une bonne politique peut transformer en atouts économiques réels.
Investir et se former
Dans le Centre, le tourisme, c'est 3 milliards d'euros de consommation. On sait que la dépense moyenne par jour et par personne est de l'ordre de 66 € pour un Français et 79 € pour un étranger. A elle seule, La Loire à vélo a produit 17 M€ de retombées économiques en 2012, selon le document du conseil régional. C'est la grande réussite régionale.

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Applications pour randonnées à vélo de nos cartes à nos écrans

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Maintenant que nos smartphones et autres tablettes nous accompagnent dans nos quotidiens, pourquoi ne nous accompagneraient-ils pas à vélo ? D’autant plus que de nombreuses applications pour vos randonnées à vélo sont maintenant disponibles sur l’Apple ou Google store.

Beaucoup vous proposent des cartes, des e-itinéraires, souvent plus claires qu’une carte classique avec de nombreuses fonctionnalités en plus : distances parcourues, vitesse moyenne, dénivelés … A l’heure où le numérique s’installe à bord de nos vélos, Citycle vous propose une petite sélection de ces applications.

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Des vacances et des loisirs pour tous

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Le tourisme social a pour objectif de rendre les voyages et les loisirs accessibles au plus grand nombre, tout en favorisant le marché domestique.
Les voyages sont inaccessibles pour un large pan de la population. Selon un sondage réalisé par La Presse en mars 2012, 57% des Québécois n’ont pas voyagé lors de la dernière année. Voici quelques initiatives européennes et québécoises de démocratisation des vacances.
De quoi parle-t-on?
Le droit au tourisme pour tous est reconnu par le code mondial d’éthique de l’Organisation mondiale du tourisme. Le tourisme social regroupe les acteurs œuvrant plus largement dans l’économie sociale et solidaire, et ses valeurs se rapprochent de celles du tourisme durable. La mission de l’association, de la coopérative ou encore de la fédération est de rendre les loisirs touristiques accessibles aux personnes défavorisées ou ayant un revenu modeste, et de soutenir la mixité sociale, sans poursuivre un objectif de rentabilité. Les activités de ces organismes sont souvent rendues possibles par le soutien ou l’intervention de l’État, grâce à ses politiques sociales.
Louis Jolin, professeur à l’Université du Québec à Montréal et membre de l’Organisation internationale du tourisme social, précise que ce dernier vise «la qualité de la relation entre les visiteurs et les communautés d’accueil. […] Il a donc le mérite d’accroître la démocratisation du territoire pour des fins récréotouristiques mais aussi socioéducatives.

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La consommation collaborative une révolution par le partage

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Louer un appartement pour un court séjour, recourir au covoiturage ou camper dans le jardin d’un habitant: la consommation collaborative est en pleine explosion. Un spécialiste estime ce commerce de particulier à particulier à 26 milliards de dollars américains.
Consommer différemment
L’insatisfaction liée à la consommation traditionnelle a poussé certaines personnes à réfléchir sur de nouvelles façons de subvenir à leurs besoins. Les conséquences de la surconsommation – sa lourde empreinte environnementale, notamment –, mais aussi les effets de la crise sont certainement des facteurs clés dans ce mouvement vers une utilisation partagée des biens qui, par le fait même, deviennent des services.
«Utiliser» plutôt que «posséder», voilà l’idée véhiculée par le concept de la consommation collaborative. On observe aussi une culture de la «bonne affaire». Ce n’est plus ce que nous possédons qui compte, mais plutôt notre capacité à dénicher des bons plans.

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Des concepts qui définissent l’hôtellerie de demain

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En cette ère de socialisation numérique à outrance, difficile de ressortir du lot des gazouillis et des offres Internet. Comment se faire remarquer et susciter l’engouement? Certains hôtels ont choisi de créer des concepts innovants, d’autres, de revenir à la source en mettant l’accent sur la qualité du sommeil.
- Hôtels «cinq sens»
- Hôtels «grande nature»
- Hôtels «santé»
- Hôtels «librairie»
- Hôtels «vitrines sur la ville»
- Hôtels «bureaux»
- Hôtels sociaux, l’hôtellerie du futur

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Google le réseau qui ne fait pas l’unanimité

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Bien que certains le qualifient d’incontournable, d’autres semblent encore peu convaincus de sa performance. Google+ a certes beaucoup de potentiel, mais demeure toujours en quête d’utilisateurs actifs et présents.
Cet été, Google+ célèbre ses deux ans. En peu de temps, il s’est hissé parmi les plus importants réseaux sociaux au monde; en décembre 2012, on rapportait 500 millions d’utilisateurs, dont 135 millions actifs sur la plateforme sociale. Ces résultats fort positifs cachent toutefois une réalité peu réjouissante: l’abonné moyen passe bien peu de temps sur le réseau, soit 6 minutes 47 secondes en mars 2013, comparativement à 6 heures 44 secondes pour les usagers de Facebook. De plus, bon nombre semblent sceptiques quant à la façon dont Google+ calcule le nombre de ses utilisateurs actifs.
Les raisons qui expliquent la mise à l’écart de Google+ par de nombreuses entreprises sont multiples. On retrouve entre autres une mauvaise connaissance du réseau, le choix ainsi que la préférence d’autres plateformes, et dans certains cas, le peu de temps que passent les utilisateurs sur le site. Mais faut-il pour autant faire abstraction de ce réseau ?

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Les agences de voyages et internet len Chine et en Russie de plus en plus de personnes réservent leur voyage en ligne

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Travel agencies versus the internet: China and Russia are catching up with online travel bookings
ITB Berlin and IPK International analyse global booking trends – Great Britain is the league leader for internet bookings, Germany lies mid-table – in western Europe travel agencies are becoming less important
In China and Russia more and more people are making use of the internet to book their trips instead of going to travel agencies. According to a special evaluation of IPK International’s World Travel Monitor, which was commissioned by ITB Berlin, from 2008 to 2012 the market share of internet bookings in China more than doubled, rising from 19 to 39 per cent. In Russia too, the internet has rapidly become an important medium for booking trips abroad. Over the last five years its market share has nearly quadrupled, rising from nine to 42 per cent. Thus in 2012, for the first time, more trips were booked on the internet than through travel agencies.
Compared with other nations, people in Great Britain are the most avid internet users. Among Britons, the internet was the booking instrument of choice for 78 per cent of their trips. For the British market that represents a 47 per cent increase in internet bookings over 2008. Only 15 per cent of foreign trips were booked through travel agencies, almost two-thirds less than in 2008. Italy, Canada, Japan, France and the Netherlands also represent travel markets with above-average internet bookings (between 61 and 67 per cent), whereas in Germany the use of this medium is below average, at 53 per cent.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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