"Entre les allées des Soupirs et les allées Fénelon, la Ville de Cahors inaugure ce samedi un nouvel aménagement mis en place pour accompagner la découverte d’une cité au patrimoine remarquable, en insistant en particulier sur ce qui revêt une Valeur Universelle Exceptionnelle : le Chemin de Saint-Jacques de Compostelle qui traverse la ville et qui est inscrit sur la Liste du Patrimoine mondial par l’Unesco.

Après avoir renouvelé entièrement la signalétique patrimoniale et touristique en 2010, la Ville de Cahors propose un nouveau cheminement contemporain, agréable et convivial baptisé le Trait d’union qui accompagne les touristes du pont Valentré jusqu’à la ville ancienne, mais également un nouveau lieu de vie aux Cadurciens. Le Grand Cahors quant à lui ouvre une seconde antenne de l’Office de tourisme au pied du pont Valentré, pour mieux informer et orienter les visiteurs vers la ville ancienne.

Samedi 22 juin en fin de matinée, un parcours inaugural permettra ainsi de découvrir ce nouveau cheminement, en partant de la cathédrale Saint-Étienne pour rejoindre, via le Trait d’union, le pont Valentré.

Cette visite sera l’occasion de lever le voile sur les plaques apposées désormais sur ces deux édifices et de rappeler ainsi au public qu’ils sont référencés au Patrimoine mondial de l’Unesco dans le cadre des Chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

Ce sera également l’occasion d’emprunter le tracé du chemin de Saint-Jacques qui traverse Cahors en suivant le cheminement tout récemment matérialisé par des clous disposés sur le sol, en forme de coquille.

Ce week-end sera donc dédié au site du patrimoine mondial qui relie Cahors à l’Europe et au monde. Grâce à l’itinéraire pédestre et culturel au départ du Puy-en-Velay vers Saint-Jacques de Compostelle, 10 000 cheminants passent à Cahors chaque année. Ainsi, plusieurs rendez-vous sont proposés au grand public pour (re)découvrir ces chemins prestigieux et le Patrimoine mondial de l’Unesco".

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Travel and tourism spending outpaced growth in the overall economy in the first quarter of 2013

Real spending on travel and tourism accelerated in the first quarter of 2013, increasing at an annual rate of 6.8 percent after increasing 2.1 percent (revised) in the fourth quarter of 2012. By comparison, growth in real gross domestic product (GDP) increased 2.4 percent (second estimate) in the first quarter after increasing 0.4 percent in the fourth quarter.
The leading contributors to the acceleration in the first quarter were “passenger air transportation,” and “all other transportation-related commodities,” such as automotive rentals. “Passenger air transportation” turned up, increasing 19.0 percent in the first quarter after decreasing 2.7 percent, reflecting a notable upturn in “international passenger air transportation” and an acceleration in “domestic passenger air transportation.” “All other transportation-related commodities” also turned up in the first quarter, increasing 8.9 percent after decreasing 1.2 percent, primarily reflecting an upturn in “automotive rental and leasing.” Partially offsetting these upturns was slower growth in “food services and drinking places” and “traveler accommodations,” which increased 2.0 percent and 4.9 percent, respectively, in the first quarter, after increasing 8.5 percent and 9.5 percent, respectively.
Overall growth in prices for travel and tourism goods and services slowed in the first quarter of 2013, increasing 0.3 percent following a 2.4 percent (revised) increase in the fourth quarter. The first quarter deceleration was more than accounted for by a downturn in prices for “all other transportation-related commodities,” primarily reflecting a downturn in gasoline prices.

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According to a study conducted by TravelClick, a New York company providing business data and booking software for a number of hotels, the steady recovery of the American economy has allowed many Americans to once again be able to afford family vacations. This recovery has led to an increase in hotel bookings by holiday travelers in America by about 4.6%.
A majority of the American corporations however, still remain tightfisted when it comes to spending money on business conventions and conferences. Hotel bookings for individual business travelers are only up by just 7% compared to an earlier period.

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Overall, the U.S. hotel industry’s occupancy rose 1.1 percent to 64.0 percent, its average daily rate was up 3.6 percent to US$109.86 and its revenue per available room increased 4.7 percent to US$70.34.
“While demand for transient hotel rooms was solid for the month (+4.3 percent), year-over-year demand growth for group rooms was down (-3.4 percent) and continued to be a drag on overall industry performance,” said Brad Garner, COO at STR. “Key performance indicators were still positive for the month, firming year-over-year comparisons worked to slow the rate of growth experienced in previous months. The absolute level of ADR for the 12-months ending May reached an all time high of US$108, up more than US$4 from the previous peak in 2009.

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In May, the Asia/Pacific region’s occupancy ended the month with a 1.3-percent decrease to 65.9 percent, its average daily rate dropped 2.5 percent to US$119.69 and its revenue per available room was down 3.8 percent to US$78.82.
“In U.S. dollars, Asia/Pacific was the only global region to report negative RevPAR growth year-to-date 2013, falling 3.1 percent”, said Elizabeth Winkle, managing director of STR Global. “The RevPAR decrease was mainly driven by Central/South Asia, where countries such as India are suffering from oversupply, and in Northeastern Asia, where countries such as China are reigning in spending. However, Southeast Asia is reporting strong growth, where markets such as Jakarta are posting an 18.2 percent growth in ADR year-to-date 2013; ADR growth is driving RevPAR performance in this region”.

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Delphine BATHO, Ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie salue le renouvellement de la charte du Parc Naturel Régional des Volcans d'Auvergne, par décret du 19 juin 2013, pour une durée de 12 ans.
Le Parc Naturel Régional des Volcans d'Auvergne, parmi les plus grands de France avec 388 957 hectares, s'étend sur les départements du Cantal et du Puy-de-Dôme en Auvergne.
La Ministre salue l'engagement des élus locaux qui agissent au quotidien pour l'intégration des enjeux liés aux patrimoines naturel et culturel dans les politiques et projets locaux.

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The International Air Transport Association (IATA) announced global passenger traffic results for April showing a 3.2% increase in demand over the previous April. Emerging markets are continuing to lead air travel growth, with all regions reporting year-over-year gains.
The timing of the Easter holiday (which occurred in March 2013 and in April 2012) is largely responsible for the apparent decline from March performance (when year-on-year demand showed a 6.2% increase). The seasonally adjusted rate for April showed demand up almost 5%, which is in line with the long term historical trend.
“Passenger demand continued to grow in April, extending the positive trend that has been developing since late 2012. The increase, however, is concentrated in emerging markets. Airlines in Europe and North America reported a modest expansion compared to the strong growth seen in Africa, the Middle East and Asia. While economic developments in Europe and the US certainly bear watching, most indicators continue to signal further expansion in air travel,” said Tony Tyler, IATA Director General and CEO.
Capacity rose 4.4% on the previous April which was slightly ahead of demand. This pushed the industry load factor downwards by 0.9 percentage points to 78.1%. If we adjust for the impacts of seasonality, the load factor remained near record highs of 80%.

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Les intentions de départ des Européens sont de nouveau à la baisse en 2013 (-4 points) avec un décrochage très net à la baisse par rapport à la fin des années 2000

Les effets de la crise se ressentent cette année encore dans les intentions de départ des Européens qui ne sont plus que 54% à avoir l’intention de partir au moins une fois en vacances cet été (entre juin et septembre inclus).
Pour la deuxième année consécutive, les intentions de départ chutent (-4 points par rapport à 2012 et -12 points par rapport à 2011) pour atteindre un nouveau record à la baisse dans le baromètre. Il s’agit du niveau le plus bas depuis huit ans.
L’ampleur de la crise, en Espagne et en Italie, est particulièrement visible dans les intentions de départ qui chutent encore fortement cette année (42% d’intentions de départ pour les Espagnols contre 51% en 2012 et 65% en 2011 ; 53% pour les Italiens contre 63% en 2012 et 78% en 2011). Du fait d’une situation économique et sociale moins tendue, les intentions de départ des Allemands (52%, -3 points) et des Autrichiens (57%, -2 points) semblent se stabiliser.
Les Français sont, pour la première fois depuis le début de la crise économique, particulièrement affectés cette année. Ils sont à présent 62% à déclarer vouloir partir en vacances cet été, soit 8 points de moins que l’an dernier (70%), un record pour le pays depuis 2005 (63%).

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Pierre MOSCOVICI annonce que l’Etat prépare une cession de participation au capital d’Aéroports de Paris
Pierre MOSCOVICI, ministre de l’Economie et des Finances, annonce avoir demandé à l’Agence des Participations de l’Etat de préparer la cession de la participation de l’Etat excédant le seuil de la majorité du capital de la société Aéroports de Paris à plusieurs investisseurs de long-terme, dans le cadre d’une procédure hors marché, ouverte et transparente et de proposer au Fonds Stratégique d’Investissement de s’y associer. L’Etat considérera avec la société une offre réservée aux salariés.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre des orientations du gouvernement pour une politique de gestion active des participations de l’Etat, qui doit permettre de préserver les intérêts patrimoniaux et stratégiques de l'Etat tout en dégageant des ressources en fonds propres pour de nouveaux secteurs porteurs de développement économique.
L’Etat détient actuellement 54,5% du capital social d’Aéroports de Paris, et le FSI en détient 5,6%. La cession envisagée, qui représenterait jusqu’à 10 millions d’actions environ, assurerait à l’Etat de conserver la majorité du capital, conformément à la loi.

Pour la première fois, le HPI d'hotels.com inclut une enquête* sur le prix moyen payé pour une chambre d'hôtel en France, en fonction du pays d'origine du touriste. Ces informations montrent que les visiteurs de 32 des 40 nations étudiées pour ce rapport ont payé davantage pour leur hébergement en 2012 que l'année précédente.
Au total, 128€ séparent le sommet et le bas du classement.
Ce sont les touristes venus du Moyen- Orient qui ont dépensé le plus, à savoir 217€, soit 13 % de plus qu'en 2011.
Les Japonais les suivent, assez loin, avec 167€ soit 7 % de plus en un an.
Ils sont suivis par des visiteurs de plusieurs autres nationalités, venus en France par des vols long-courriers. Deux pays se disputent la troisième place avec 160€ dépensés en plus : le Brésil (hausse de 14 %) et les Etats-Unis (+10 %) ; les Australiens sont en cinquième position avec une hausse de 9 % soit la somme de 154€.
De tous les résidents du continent européen, les Russes et les Norvégiens sont ceux qui ont payé le plus cher en France à savoir 151€. Grâce à des hausses de 11 % et de 10 % respectivement, ils arrivent à la 6e place, qu'ils partagent aussi avec les touristes venus de Chine.
Les visiteurs venus de Nouvelle-Zélande, à la 25e place du classement, revendiquent l''augmentation la plus forte, à savoir 15 % avec la somme de 126€. Ceux qui peuvent se targuer d'avoir le moins dépensé d'une année sur l'autre sont les visiteurs d'Afrique du Sud, avec 142€ soit 6 % de moins. Ils partagent désormais la 13e place avec les ressortissants d'Israël et de Colombie.
Ceux qui ont déboursé le moins d'argent sont essentiellement originaires des pays voisins de l'Hexagone ; les 15 dernières places du classement sont toutes occupées par des pays européens. Les Lituaniens ferment la marche avec une moyenne de 89€ dépensés par nuit, en hausse de 2 %, derrière les Polonais (100€, en baisse de 5 %), et les Belges (101€, hausse de 1 %).



 

Six organisations professionnelles de l'hôtellerie-restauration, qui représentent la grande majorité du secteur, ont déclaré jeudi leur "opposition massive" à la création d'une appellation "restaurant" restrictive, agitant la menace de pertes d'emplois.
L'UMIH, principale organisation du secteur, ainsi que les syndicats GNC, SNARR, SNRPO, SNRTC et CPIH, affirment que "la vraie richesse de la restauration française" est sa "diversité" et s'inquiètent d'une initiative qui réserverait l'appellation "restaurant" aux seuls lieux où le repas est cuisiné sur place à partir de produits bruts, selon un communiqué.
Les six organisations réagissent ainsi à une proposition du syndicat Synhorcat en vue de la création des appellations "restaurant" et "restaurateur" pour mettre en valeur les établissements qui font le choix de la qualité.
Cette initiative, qui vise à améliorer l'information des consommateurs, est soutenue par une proposition de loi du député UMP Daniel Fasquelle sous forme d'un amendement au projet de loi Hamon sur la consommation.
Les six syndicats, qui représentent également les fast-food, les chaînes d'hôtels, les cafétérias et les chaînes de restaurants, rappellent que selon le Petit Robert, "un restaurant est un établissement où l'on sert des repas moyennant paiement".
Ils soulignent que l'usage restrictif du mot "restaurant" aurait "des conséquences dramatiques en termes d'emplois notamment chez les jeunes" alors qu'un quart des 700.000 salariés du secteur a moins de 25 ans.
Et ils s'inquiètent d'une appellation restrictive qui risquerait, selon eux, "de créer une complète confusion dans l'esprit du public, des clients et surtout des touristes internationaux".
Ces professionnels soutiennent en revanche la création d'un statut d'"artisan-restaurateur", qui est discutée lors des réunions du comité de filière "restauration" en cours à Bercy.
Le Syndicat national des hôteliers, restaurateurs, cafetiers et traiteurs, qui soutient la création de l'appellation, estime que 10% des établissements seraient contraints d'abandonner l'appellation "restaurant" si la réglementation était mise en place, essentiellement des chaînes et des franchisés.

 

Des économies de coûts en ligne avec le plan annoncé
Une stratégie d’innovation profitable en ordre de marche

Le chiffre d’affaires touristique du Groupe au 1er semestre de l’exercice 2012/2013 s’élève à 459,3 millions d’euros, en progression de 1,3% par rapport au 1er semestre de l’exercice précédent, tiré par des prix moyens de vente nets en hausse de 2,4%.
- Pierre & Vacances Tourisme Europe (246,0 millions d’euros de chiffre d’affaires, en hausse de 3,8%) bénéficie des bonnes performances des sites montagne et des résidences urbaines, en partie liées à des effets périmètre (exploitation des nouveaux appartements à Avoriaz et de 5 nouvelles résidences urbaines). Retraité des différents
effets d’offre, le chiffre d’affaires de location de ce pôle progresse de près de 1%.
- Center Parcs Europe (213,2 millions d’euros de chiffre d’affaires, en recul de 1,5%) affiche une activité en retrait sur les villages français, imputable principalement au recul des ventes au 1er trimestre.
Le chiffre d’affaires du développement immobilier s’établit à 61,7 millions d’euros. La diminution du chiffre d’affaires sur le 1er semestre de l’exercice est liée au phasage des programmes immobiliers et non à la conjoncture immobilière.
En effet, les réservations immobilières enregistrées sur le 1er semestre de l’exercice représentent un chiffre d’affaires de 245,2 millions d’euros, à comparer à 183,7 millions d’euros sur le 1er semestre de l’exercice précédent.

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La Région Basse-Normandie a lancé jeudi un appel au public pour qu'il soutienne sur Internet ses efforts en vue d'une inscription des plages du Débarquement au patrimoine de l'humanité de l'Unesco, à un an du 70e anniversaire du D-Day du 6 juin 1944.
"Les Bas-Normands, les visiteurs français et internationaux" sont invités à appuyer cette candidature via le site www.liberte-normandie.com, créé cette semaine, est-il précisé dans un communiqué.
L'opération a été baptisée "Liberté j'inscris ton nom", en référence au poème de Paul Eluard, car "la liberté est la valeur universelle que porte ce projet", a souligné le président du conseil régional de Basse-Normandie, Laurent Beauvais (PS), lors d'une conférence de presse.
La région souhaite déposer formellement son dossier auprès des ministères concernés début 2014.
Le président François Hollande a assuré en juin 2012 qu'il apportait "tout le soutien de l'Etat" à cette initiative mais "il y a encore de travail" et "il y a de la concurrence" avant que le dossier ne soit présenté par le gouvernement à l'Unesco, a prévenu M. Beauvais.
La candidature de ces plages est motivée par la volonté de faire perdurer leur fréquentation touristique, alors que les vétérans sont de moins en moins nombreux et leurs descendants plus âgés, a-t-il expliqué.
La région a aussi en vue des travaux pour rénover par exemple certaines barges du port artificiel d'Arromanches (Calvados) qui se dégradent au fil du temps, a précisé M. Beauvais.
Le projet de parc éolien offshore de Courseulles, à 10 km des côtes, sera intégré à la candidature à l'Unesco. "Modernité et mémoire sont compatibles. Le Havre a ainsi réussi à conjuguer Unesco et développement portuaire massif", a souligné M. Beauvais, alors que les opposants à ce parc jugent les deux démarches incompatibles.
En pratique, la région espère que sa candidature sera validée par le Comité des biens français du patrimoine mondial avant les commémorations du 70e anniversaire du Débarquement en juin 2014.
Il appartiendra alors au gouvernement de choisir un ou des sites sur la liste établie par ce Comité avant de les proposer à l'Unesco. Le processus dure ensuite encore de trois à cinq ans, selon un conseiller de M. Beauvais.
Les cinq plages du D-Day (Utah, Omaha, Gold, Sword et Juno) affichent près de cinq millions de visites chaque année, selon la Région Basse-Normandie.

 

Le Comité Régional du Tourisme Paris Ile-de-France, la RATP ainsi que SNCF Transilien se sont associés pour mener une étude sur l’usage des transports en commun par les visiteurs se rendant à Paris Ile-de-France. Au total, ce sont 2 500 touristes français et internationaux qui ont été interrogés.
- Plus de 8 voyageurs sur 10 déclarent n’avoir rencontré aucune difficulté lors de l’utilisation des transports en commun à Paris Ile-de-France.
- Les trois quarts des touristes utilisent les transports en commun pendant leur séjour
- Les Britanniques sont ceux qui ont le moins recours aux transports en commun
- En revanche, les Italiens suivis des Allemands et des Espagnols, sont ceux qui privilégient le plus les transports en commun
- Parmi les utilisateurs des transports en commun, tous ou presque ont voyagé dans Paris intramuros
- Si le métro est de loin le mode de transport le plus utilisé (par plus de 9 visiteurs sur 10) et le plus fréquemment employé, près de 6 usagers des transports en commun sur 10 ont également recours au RER
- Les transports en commun sont utilisés dès l’arrivée à Paris Ile-de-France
- Plus des deux tiers des touristes s’informent sur leurs déplacements avant ou pendant leur voyage
- Les transports en commun enregistrent des scores de satisfaction très élevés auprès des touristes (9 visiteurs sur 10 en sont satisfaits) sur l’ensemble de l’offre de transport

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Les familles constituent l’un des segments de clientèle connaissant la plus forte croissance dans le domaine des voyages. L’industrie touristique tente de mieux cerner les intérêts des enfants, qu’ils aient 2 ou 17 ans.
Toucher la fourrure d’un renard, se prendre pour un pilote d’avion ou embarquer dans les plus hautes montagnes russes d’Amérique du Nord, les préférences en matière d’activités de loisirs changent avec l’âge.
Une étude a été menée sur le sujet dans le cadre d’une enquête plus globale sur les vacances familiales. En voici un aperçu, suivi d’exemples de destinations hors Québec s’adressant à ce lucratif marché.

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A deux ans de l'échéance fixée par la loi de 2005 (qui impose à tous les établissements recevant du public d'être accessibles aux quatre familles de handicap), l'association Tourisme et handicaps continue néanmoins d'œuvrer pour recenser tous les sites touristiques français qui s'impliquent en faveur des visiteurs handicapés.
De nouvelles règles applicables au 1er juin 2013 permettent d'ailleurs de mieux prendre en compte les impératifs de cette loi et renforcent les éléments de confort d'usage ou de qualité.
En 2012, 1 219 dossiers ont été examinés (nouvelle inscription ou renouvellement) et, parmi eux, 272 ont été annulés ou radiés.

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"Selon un sondage réalisé par l'organisme de tourisme britannique ABTA, plus de la moitié des interrogés (55%) considère que le vacancier britannique se rend coupable de comportements bruyants sous l'emprise de l'alcool.

Cela s'avère particulièrement vrai chez les sondés d'Irlande du nord qui, à 53%, se décrivent comme des trouble-fêtes et des agitateurs (contre 27% pour l'ensemble des sondés).

Par ailleurs, 65% des vacanciers britanniques se montrerait hermétiques à la langue du pays dans lequel ils séjournent et près de 38% critiquent les touristes anglais pour leurs tenues vestimentaires en vacances, considérant que celles-ci manquent de raffinement.

Toutefois, un tiers des sondés se dit poli et 42% des interrogés se considèrent comme d'aimables ambassadeurs de leur contrée.

Ce sondage se fonde sur un panel national représentatif".

 

Le groupe Accor, premier opérateur hôtelier mondial et leader en Europe, présente aujourd’hui le nouveau positionnement de Pullman, en adéquation avec les nouveaux comportements des voyageurs d’affaires. Accélération du développement de son réseau, engagement soutenu en matière de design et d’Art contemporain, enrichissement de son identité visuelle… Pullman déploie un projet global et propose une approche résolument nouvelle dans la façon de vivre l’hôtel.
Acteur historique des segments milieu de gamme et économique, le Groupe Accor a accéléré son développement dans l’hôtellerie haut de gamme grâce à la redéfinition de son portefeuille de marques. Le groupe compte aujourd’hui 300 hôtels dans le haut de gamme et le luxe (Sofitel, Pullman, MGallery et Grand Mercure) et a l’ambition d’atteindre 400 adresses sur ce marché en 2015.

« Les segments haut de gamme et luxe sont clés pour la stratégie de Accor. Le succès du repositionnement de Sofitel nous donne une crédibilité forte auprès de nos clients et des investisseurs sur ces marchés. En 2007, nous avons fait renaître Pullman. Aujourd’hui, nous avons repensé en profondeur son identité et son offre de service pour en faire une marque unique sur un segment ultra compétitif qui sera un levier majeur pour atteindre notre ambition sur le haut et le très haut de gamme » déclare Yann Caillère – Directeur général du Groupe Accor.
Le portfolio Pullman : développement et mutation accélérés en 2012 - 2013

Présents dans 23 pays, les hôtels et resorts Pullman sont situés au coeur des principaux hubs d’affaires et de tourisme. Le réseau s’est développé très rapidement pour atteindre 79 hôtels en 5 ans. L’objectif est d’atteindre 150 établissements d’ici 2015-2020 et 500 à terme. La marque compte actuellement la moitié de son réseau en Asie-Pacifique, dont 15 établissements en Chine, premier pays de Pullman en nombre d’hôtels.
En 2012, Pullman a connu une croissance de son réseau sans précédent. Près de vingt nouvelles adresses ont vu le jour notamment dans de grandes capitales comme Londres, Bangkok, New Delhi ou Sydney.

L’année 2013 se poursuit sur cette dynamique avec, a minima, une ouverture Pullman par mois parmi lesquelles des adresses à Phuket, Dubai, Melbourne et Hanoi qui ont déjà vu le jour. « Nous articulons notre développement autour du renforcement de nos positions en Europe, d’ouvertures dans les régions à forte croissance notamment en Russie et en Amérique Latine ainsi que la poursuite de notre expansion en Asie-Pacifique. En Europe, en plus d’ouvrir en juin une première adresse à Bruxelles –qui sera le 80ème établissement du réseau et le 24ème pays Pullman -, nous menons un projet sans précédent à Paris : la rénovation de nos cinq établissements de la capitale française qui, après 30 mois de travaux, s’achèvera en avril 2014 avec la fin de rénovation emblématique du Pullman Paris Tour Eiffel» déclare Christophe Vanswieten – Directeur Général Europe de Pullman

Pullman : une réponse aux attentes des grands voyageurs « nouvelle génération »
Les comportements des voyageurs sur le segment haut de gamme international ont profondément changé.
Cette clientèle est plus que jamais cosmopolite, hyper-connectée et nomade. La frontière entre vie professionnelle et sphère privée s’estompe de plus en plus. La volonté de rester connecté avec ses « tribus » est une caractéristique importante de la nouvelle génération d’hommes d’affaires.
« Le confort, la qualité et l’efficacité des services sont des notions inhérentes au segment haut de gamme. Pour nous différencier sur ce marché, il est impératif d’offrir à notre clientèle de l’émotion. Chaque voyage doit procurer une expérience enrichissante, favoriser la performance et la créativité dans le travail et ne pas perdre de vue la dimension plaisir et sociale d’un déplacement. Nous avons repensé le positionnement de Pullman en vue de répondre à cette tendance de fond » explique Grégoire Champetier – Directeur
général marketing du Groupe Accor.
Le nom de Pullman fait écho à un imaginaire fort de voyage et de confort. Le positionnement de la marque a été défini avec l’objectif de conserver ces notions tout en les inscrivant dans la modernité. L’ensemble des détails de son offre, le parcours client et la façon de vivre l’hôtel ont été repensés pour faire des hôtels Pullman de véritables lieux de vie et d’échanges au design contemporain.
Pullman : des services et une identité réinventés
Pullman a réfléchi à une nouvelle manière d’accueillir les hôtes et de faire vivre une expérience de l’hôtel à ses clients dont le leitmotiv est « Work hard, Play hard ». La marque résume cette attitude par le terme
« Bleisure », un condensé de « Business » et de « Leisure ».

Design, art contemporain et création au coeur de la nouvelle identité de Pullman
Pullman a fait appel à des designers de renom pour créer des objets iconiques, liens entre ses hôtels à travers le monde.
Christophe Pillet a réinterprété l’accueil des clients notamment autour d’une table d’accueil, identifiable par son design, ou encore un fauteuil inspiré des banquettes de train, rappel à ce que fut Pullman à son origine. Mathieu Lehanneur a conçu un globe pour le lobby, symbolisant le caractère cosmopolite de la marque. Il a également décliné une nouvelle façon de vivre l’hôtel dans l’approche de la réunion et dessiné une « board room » dans laquelle « Work hard Play hard » prend tout son sens : une table de réunion dessinée comme une table de poker, un espace intimiste pour les échanges informels ou les pauses, un cabinet de curiosité… Autant d’éléments pour stimuler la créativité tout en revisitant les codes de l’hôtellerie.
Pullman démarre également une collection d’art contemporain. A commencer par Paris, Londres et Bruxelles, elle incarnera le multiculturalisme, au coeur de l’ADN de Pullman. L’art contemporain sera ainsi présent dans les différents espaces de l’hôtel via des expositions permanentes ou éphémères, des partenariats avec des artistes locaux ou internationaux…Enfin, une collection de tenues, imaginée par la créatrice Martine Sitbon, habillera les équipes Pullman.
Cette collection symbolise la volonté de la marque d’allier professionnalisme et allure.
Des designers interviennent également sur l’architecture intérieure de chaque établissement comme Didier Rey, Jean-Philippe Nuel, Marcello Julia, Harald Klein, Didier Gomez, Isabelle Miaja….
Une offre restauration réinventée
Avec CuisinMotion by Pullman, la marque signe une offre résolument moderne et casse les codes de la
restauration hôtelière traditionnelle avec la volonté de créer dans chaque hôtel une offre culinaire originale.
A n’importe quel moment de la journée et dans différents espaces de l’hôtel, Pullman propose une restauration 24/24 et des concepts inédits grâce à ses services signatures : « Tapastry by Pullman » pour des afterworks conviviaux, la « Vinoteca by Pullman » ou le « Tea Deli by Pullman » font découvrir des saveurs du monde, « l’Open Kitchen » qui met en scène la cuisine comme un spectacle… Les restaurants et les bars des hôtels Pullman sont pensés comme des lieux d’échanges et de découverte.
Un accès et un usage des technologies facilités
La marque a développé l’expérience Connectivity by Pullman : grande vitesse, mobilité, intuition, sécurité au service du plaisir et de la performance. Le concept s’étend du lobby à la piscine : une connexion wifi haut débit gratuite dans tout l’hôtel, une offre de divertissement unifié (le téléviseur, le smartphone et la tablette sont synchronisés dans une seule application), des équipements dernière génération en partenariat avec Microsoft et Samsung disponibles dans les différents espaces de l’hôtel, des chambres connectées…
Pullman facilite l’accès et l’usage de toutes les technologies.
Pullman : « Design your journey »
Pour refléter son nouveau positionnement, Pullman a fait appel au groupe DDB (Agences DDB Paris et Marie-Louise) et présente une nouvelle campagne de publicité qui met en avant l’état d’esprit et le design de ses hôtels et resorts.
Les prises de vue ont été confiées au photographe britannique Nick Meek et une nouvelle signature publicitaire - Design Your Journey – a été développée. Des plans médias (affichage, print et Web) sont planifiés en 2013 et 2014.
Pullman a également refondu intégralement son identité graphique et éditoriale. Au coeur de ce travail, une évolution de son logo avec l’ajout d’un sigle inspiré du yin et du yang, expression de la dualité « Bleisure » de l’expérience Pullman.
L’esprit Pullman s’incarne aussi dans son magazine « The Pullman Magazine » dont la ligne éditoriale s’oriente autour des voyages, de la création, des idées… Pullman veut ainsi partager ses passions et ses découvertes avec les voyageurs.

"L'Unesco a annoncé mardi avoir classé trois sites espagnols en tant que réserves de biosphères, l'Espagne étant désormais au deuxième rang mondial dans ce domaine avec 45 réserves, juste derrière les Etats-Unis qui en abritent 47.

Les réserves de biosphère sont choisies en vue de servir de lieux d'expérimentation de diverses approches de gestion intégrée de la biodiversité et des ressources naturelles. Les réserves sont aussi des sites d'expérimentation et d'apprentissage du développement durable, précise l'Unesco dans un communiqué.

Le site royal de San ildefonso-El Espinar près de Ségovie (centre), Mariñas Coruñesas e Terras do Mandeo en Galice (nord), et les terres de l'Ebre en Catalogne (nord-est) ont été choisis par le Conseil international de coordination du Programme de l'Unesco sur l'Homme et la biosphère.

A une cinquantaine de kilomètres de Madrid, San Ildefonso s'étend sur 35.414 hectares et abrite la montagne de Valsaín, une grande zone boisée de 14.000 habitants qui "revêt une importante valeur à la fois écologique, économique et sociale, et abrite des centres de recherche notamment forestière", estime l'Unesco.

La réserve en Galice, située sur le littoral cantabrique et atlantique de la région, s'étend, quant à elle, sur quelque 116 000 hectares et compte 190 000 habitants. "Elle abrite une grande biodiversité et (une grande) diversité culturelle liées à l'utilisation de ressources naturelles (engrais, production de miel, etc.) qui a permis le maintien de communautés ainsi que la conservation de races de bétail autochtones".

Pour leur part, les Terres de l'Ebre couvrent une superficie de 367.729 hectares pour une population de 190 000 habitants. Elles incluent le delta et le bassin de l'Ebre, le plus grand fleuve d'Espagne en débit.

L'Unesco souligne que la plus grande partie du site est consacrée à l'élevage et que les énergies alternatives -éolienne, solaire ou hydraulique- y ont été développées dans le respect de l'environnement.

Au total, 12 nouveaux sites ont été classés dont également deux en France, le Marais Audomarois qui comprend la ville de Saint-Omer (nord) et la réserve de Mont-Viso (sud-est), l'île des serpents-Mont Laotie en Chine, le Massif de Cajas en Equateur et l'Alakol au Kazakhstan.

Le réseau mondial des réserves de biosphère compte désormais 621 sites répartis dans 117 pays. Avec 45 sites classés, l'Espagne devance le Mexique et la Russie qui en comptent chacun 41".