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Des professionnels de la santé veulent une hausse du salaire minimum en Ontario

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TORONTO – Un regroupement de professionnels de la santé a exhorté le gouvernement ontarien, mardi, à faire passer le salaire minimum de 10,25 $ à 14 $ de l’heure, affirmant que la pauvreté entraînait de réels problèmes en matière de santé, plus particulièrement chez les enfants.

Les médecins, les infirmières et les autres membres des Intervenants en matière de santé contre la pauvreté (Health Providers Against Poverty) soutiennent que le stress engendré par la pauvreté libère des substances chimiques dans l’organisme qui freinent la croissance du cerveau chez les bébés et les enfants.

Selon l’infirmière Lorraine Telford, il existe une réelle différence entre les enfants issus de milieux pauvres et ceux provenant de milieux plus aisés sur le plan du développement et de la maturité scolaire. Selon elle, un enfant sur quatre arrive à l’école avec une prédisposition pour l’échec.

Le Dr Gary Block, médecin de famille à l’hôpital St.Michael à Toronto, a dit comprendre les inquiétudes des petites entreprises, qui craignent qu’une hausse du salaire minimum ne fasse augmenter leurs coûts d’exploitation et ne les oblige à congédier des employés.

Mais le Dr Block a fait remarquer que la plupart des travailleurs payés au salaire minimum au Canada étaient à l’emploi de grandes multinationales.

D’après le groupe, fixer le salaire minimum à 14 $ de l’heure permettrait un gain de 650 $ par mois avant impôts, un montant qui serait par ailleurs dépensé localement.

Les données de Statistique Canada montrent que neuf pour cent de la population active de l’Ontario travaillait au salaire minimum en 2011, soit deux fois plus qu’en 2003.

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Un délinquant sexuel canadien écope de sept mois de prison pour harcèlement

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SEATTLE – Le délinquant sexuel Michael Sean Stanley, qui a fui le Canada l’an dernier, a plaidé coupable mardi à des accusations de harcèlement et d’entrave au travail des policiers, des délits mineurs, devant la Cour municipale de Seattle, dans l’État de Washington.

Selon ce qu’a rapporté le quotidien The Seattle Times, l’homme de 48 ans a été condamné à sept mois d’emprisonnement, desquels seront déduits les semaines déjà passées derrière les barreaux depuis son arrestation, en octobre dernier.

Les autorités canadiennes l’avaient à l’oeil jusqu’à ce qu’il réussisse, en sectionnant son bracelet de surveillance électronique, à entrer aux États-Unis, l’an dernier.

Le bracelet avait été retrouvé sur le toit d’un commerce de Lloydminster, à la frontière entre l’Alberta et la Saskatchewan, provoquant un branle-bas de combat dans les écoles de la région. La Gendarmerie royale du Canada avait alerté la direction des écoles, qui avait verrouillé leurs portes et gardé les élèves à l’intérieur par mesure de sécurité.

Michael Sean Stanley, connu depuis longtemps du milieu policier canadien pour des crimes à caractère sexuel, a déjà enlevé des enfants de terrains de jeux, entre autres.

Le Canada n’a pas exigé, pour l’instant, son extradition des États-Unis.

La police de Seattle avait d’abord indiqué n’avoir aucune raison de l’arrêter, mais lui avait tout de même demandé de déclarer son statut de délinquant sexuel. L’homme a été interpellé le 22 octobre et accusé d’avoir proféré des menaces à l’endroit de quelqu’un qui lui demandait de se taire.

Dans une affaire distincte, Stanley est aussi soupçonné d’agression sexuelle contre une mineure. Cette allégation fait toujours l’objet d’une enquête.

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Reporter canado-égyptien détenu au Caire ses proches frustrés contre Ottawa

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La famille d’un journaliste possédant la double nationalité canado-égyptienne presse Ottawa d’agir pour faciliter la libération de Mohamed Fahmy, détenu dans une prison à sécurité maximale du Caire.

M. Fahmy, qui travaille pour le réseau anglais de la chaîne télévisée Al-Jazeera, a été arrêté le 29 décembre alors qu’il travaillait dans une chambre d’hôtel de la capitale égyptienne. Deux autres collègues journalistes avaient aussi été arrêtés.

Le ministère égyptien de l’Intérieur a soutenu que ces arrestations avaient été effectuées dans le cadre d’une répression contre les Frères musulmans, que le gouvernement considère comme une organisation terroriste.

Le cadet de M. Fahmy qualifie ces allégations «d’insensées» et affirme que sa famille ne comprend pas pourquoi le gouvernement canadien n’en a pas fait davantage dans le dossier.

Sherif Fahmy a dit espérer que les responsables canadiens fassent à tout le moins pression pour que son frère, détenu dans une cellule «sombre, froide et grouillant d’insectes», obtienne une couverture pour se réchauffer.

À Ottawa, le ministère des Affaires étrangères s’est contenté d’indiquer que les représentants canadiens étaient en contact avec le détenu et qu’ils lui fournissaient des services consulaires.

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Une résidence pour aînés a été la cible d’un vol qualifié mardi après-midi

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MONTRÉAL – Un vol qualifié s’est produit dans une résidence de personnages âgées, mardi en début d’après-midi, à Montréal.

Un homme est entré dans la résidence, située près des rues Sherbrooke et Dickson, et s’est rendu directement au service de comptabilité où il a menacé l’employée qui s’y trouvait.

Selon les informations fournies par le Service de police de la Ville de Montréal, l’homme transportait avec lui un objet qui avait toutes les apparences d’une arme à feu.

Une somme d’argent a été dérobée et l’individu a pris la fuite.

Cet incident n’a fait aucun blessé, mais une dame a été traitée sur place par le personnel d’Urgence-santé pour un choc nerveux.

La police est à la recherche du suspect.

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Les lions aiment les câlins et autres choses que vous ignorez à propos de l’Afrique

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Photo : D.R.

Photo : D.R.

Pauvreté, famine, maladie, guerre… Afrique rime parfois avec misère. Parfois. Car l’Afrique a évolué, au point de devenir un acteur économique important, et un partenaire clé pour le Canada.

« Maintenant, quand je voyage en Afrique, je n’apporte plus de comprimés contre le paludisme. J’amène plutôt des investisseurs qui y reconnaissent quelque chose que la plupart des Canadiens ne voient pas encore : l’Afrique compte », a écrit dans Maclean’s Scott Gilmore, le fondateur de Building Markets, organisation sans but lucratif qui vise à combattre la pauvreté dans le monde en faisant le lien entre entrepreneurs locaux et acheteurs du monde entier.

Grâce à une plus grande stabilité politique, des réformes économiques ont pu être engagées. De fait, les échanges commerciaux et les investissements ont amené une certaine prospérité qui change tout. Si Bombardier Aéronautique a fait du marché africain une priorité, c’est entre autres parce que les Nigérians ont dépensé pas moins de sept milliards de dollars pour des jets privés au cours des cinq dernières années.

« De plus en plus, le continent aura de l’importance pour le Canada, dit Gilmore. Il demande déjà l’attention d’Ottawa et de Bay Street. »

Avec raison, puisque les accords commerciaux bilatéraux dépassent les 20 milliards de dollars annuels. Le Canada donne une aide publique à hauteur de 1,9 milliard de dollars chaque année, et ses investissements représentent trois fois cette somme.

« Peu de Canadiens réalisent que le Canada est l’un des plus grands investisseurs dans ce continent, concurrençant même la Chine », explique Gilmore.

Selon ce dernier, l’Afrique est en train de devenir une véritable puissance économique, qui produira l’an prochain neuf millions de barils de pétrole par jour – rivalisant ainsi avec l’Arabie saoudite et la Russie. De plus, un accord tripartite de libre-échange entre 26 pays de l’Afrique australe, de l’Afrique orientale et de l’Afrique de l’Est créera une zone commerciale avec un produit intérieur brut évalué à 600  milliards de dollars.

Mieux, la Banque mondiale prévoit qu’un tiers de ses 55 économies (si l’on inclut le Somaliland) bénéficieront d’une croissance de 6 % ou plus – plus de deux fois ce qui est prévu au Canada.

Mais cet essor économique ne profite pas à tous. La population rurale assiste de loin à l’émergence de métropoles. Ainsi, selon la Banque africaine de développement, ce continent abrite six des 10 pays les plus inégalitaires au monde. La nouvelle classe moyenne reste fragile et pauvre, ne gagnant qu’entre 2$ et 20 $ par jour, et l’an prochain, près d’un Africain sur deux éprouvera de la difficulté à trouver de la nourriture, de l’eau et des médicaments.

Reste que, selon Gilmore, l’expression « cas désespéré » ne s’applique plus à l’Afrique. Il faut plutôt parler d’une success story en cours.

Même les lions africains ont changé. Comme le montre l’impressionnante vidéo ci-dessous, ils ne sont au final que des gros matous en manque de caresses. (Enfin, attention, tout de même…)

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Tendances 2014 Prénoms

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Photo : Rex Features / PC

Bachar
Après trois ans d’une guerre civile qui a fait plus de 120 000 morts dans son pays, le président syrien, Bachar al-Assad, rejoint Adolf, Oussama et Saddam parmi les « vilains » exclus à jamais du répertoire des prénoms socialement acceptables.

Prénoms ostentatoires
Les Nathan, Thomas, Jacob et Raphaël dominent la liste des prénoms les plus populaires au Québec. (Deux petits Jésus et 16 Moïse y ont aussi vu le jour au cours des cinq dernières années.) Le débat sur la Charte des valeurs sonnera-t-il le glas de la mode des prénoms bibliques ?

Gabrielle
Ce prénom sera sur toutes les lèvres à l’approche de la cérémonie des oscars. Le long métrage de Louise Archambault, sur la quête d’autonomie d’une jeune femme handicapée intellectuellement et douée pour la musique, représente le Canada dans la course à l’oscar du meilleur film étranger.

Milos
Un seul bébé Milos a vu le jour au Québec depuis cinq ans, mais parions que d’autres se joindront bientôt à lui. S’il poursuit sur sa lancée, le prodige canadien Raonic fera son entrée cette année dans le palmarès des 10 meilleures raquettes mondiales.

Malala
Les petites Malala pourraient bien se multiplier au pays dans la prochaine année. Miraculée qui a survécu à une tentative de meurtre des talibans, militante pour le droit des filles à l’éducation et candidate au prix Nobel de la paix 2013, l’adolescente pakistanaise Malala Yousafzai vient d’obtenir la citoyenneté canadienne honoraire.

Michaël
L’orthographe est à votre discrétion. Épelez-le Mikaël — comme Kingsbury, le roi des bosses et prétendant sérieux à une médaille d’or aux Jeux de Sotchi — ou Michaël — comme Bournival, la recrue du Canadien qui impressionne par sa vitesse.

Eugenie (sans accent)
Comme dans Eugenie Bouchard, qui a atteint le 32e rang mondial au tennis en battant des championnes comme Jelena Jankovic et Ana Ivanovic, et qui devrait continuer d’épater. À surveiller dès janvier aux Internationaux d’Australie.

Janette
Ce n’est plus simplement un prénom joliment rétro, associé à Mme Bertrand, femme de télévision dont l’œuvre a marqué nombre de Québécois. En 2014, s’appeler Janette, c’est être associée au camp pro-Charte. Un prénom désormais explosif, à manipuler avec soin.

George (sans « s »)
La fièvre du royal baby, dont chaque apparition publique est assurée d’alimenter les manchettes, pourrait donner lieu à une nouvelle génération de bébés George, orthographié à l’anglaise.

Carrie ou Carey
Appelez votre fille Carrie, et elle évoquera l’adolescente ensanglantée revenue hanter le grand écran dans une nouvelle version du film d’horreur inspiré du roman de Stephen King. Prénommez votre garçon Carey, et il sera associé à Price, le gardien de but du Canadien de Montréal qui connaîtra peut-être enfin une fin de saison à la hauteur de son talent.

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Pauline Marois annonce 10 millions pour la Maison Théâtre de Montréal

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MONTRÉAL – La première ministre Pauline Marois était de passage à la Maison Théâtre de Montréal, mardi, pour annoncer un investissement de près de 10 millions $ pour la construction d’une deuxième salle de spectacle attenante au cégep du Vieux-Montréal.

La nouvelle salle à géométrie variable de 250 places servira tant au cégep qu’à la Maison Théâtre.

Cette dernière, qui présente du théâtre spécifiquement destiné aux enfants et aux jeunes et qui est située à côté du cégep, prévoit utiliser cet espace pour des spectacles plus intimes conçus pour la petite enfance.

Le cégep, quant à lui, utilisera la nouvelle salle pour ses activités liées aux arts de la scène.

«Notre avenir économique et politique repose en bonne partie sur notre culture. Notre histoire nous le démontre. C’est par la créativité que les Québécois sont parvenus à se dépasser», a déclaré Mme Marois.

Lors de l’annonce, la première ministre a rencontré des enfants de 4e année et a discuté durant de longues minutes avec eux au sujet des spectacles qu’ils avaient vus, qu’il s’agisse de théâtre, de cirque, d’expositions ou autres.

Elle a par la suite raconté avoir emmené ses propres enfants au théâtre, disant vouloir faire de même éventuellement avec ses petits-enfants, pour expliquer que l’expérience théâtrale démontrait qu’il n’y a pas d’âge pour l’exposition aux arts.

«À voir le niveau d’attention des jeunes, à voir leurs yeux ronds, leurs oreilles grandes ouvertes, l’expression de leur visage, de leur corps entier qui trahit l’émotion qu’ils ressentent à suivre l’intrigue, je peux vous assurer qu’ils ne forment pas le public de demain; ils forment déjà en soi un public à part entière», a-t-elle dit.

Le projet de 9,95 millions $ sera financé par le ministère de la Culture et des Communications (8 millions $) et celui de l’Enseignement supérieur (1,95 million $), dont les ministres titulaires, Maka Kotto et Pierre Duchesne, respectivement, participaient également à l’annonce.

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Le président du Conseil du Trésor a remboursé ses cartes de visite dorées

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OTTAWA – Le président du Conseil du Trésor, Tony Clement, a utilisé sa propre carte de crédit la semaine dernière pour rembourser une deuxième commande de cartes professionnelles dorées, qui contreviennent aux règles du gouvernement fédéral en matière d’approvisionnement.

Selon les règlements adoptés en 1994 sous le gouvernement libéral de Jean Chrétien, la seule couleur autorisée est le rouge du petit drapeau canadien figurant au-dessus des armoiries du pays, et le tout doit être imprimé à l’endos de la carte de visite.

M. Clement a remboursé le 8 janvier dernier les 195,98 $ de frais engagés pour ses cartes professionnelles imprimées en relief d’or, commandées à son arrivée en poste en 2011. Ce paiement s’ajoute à un premier remboursement de 434 $ qu’il a effectué le mois dernier pour une erreur semblable. La facture s’élève donc à 630 $ pour le président du Conseil du Trésor, qui impute la commande de ces cartes professionnelles dorées à un membre de son cabinet.

Ses deux lots de cartes de visite arborent les armoiries du Canada et sont ornées d’une feuille d’érable dorée, une option coûteuse qui avait été abolie avec l’adoption des nouvelles règles en 1994.

Des factures, courriels et autres documents datés du 3 décembre et obtenus par La Presse Canadienne en vertu de la Loi sur l’accès à l’information démontrent que le cabinet de M. Clement a fait fi de ces règles quelque temps après que les conservateurs eurent remporté la majorité aux Communes, en 2011.

La journée même où ces documents ont été transmis à La Presse Canadienne, M. Clement remboursait la première commande de cartes avec sa carte de crédit personnelle. Le ministre n’a remboursé que les frais attribuables à l’ajout d’une feuille d’érable dorée sur ses cartes.

Il a effectué le second remboursement le 8 janvier, soit une journée avant que les autres documents ne soient transmis à l’agence de presse en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.

M. Clement n’est pas le seul à avoir contrevenu aux règles entourant les articles de papeterie des ministres: son collègue des Affaires étrangères, John Baird, a commandé, en 2011, des cartes uniquement en anglais et arborant elles aussi en relief la feuille d’érable dorée. La politique gouvernementale prévoit plutôt que les cartes professionnelles des ministres soient rédigées dans les deux langues officielles.

Dans son rapport publié en août 2013, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, avait demandé que le ministre Baird se départisse des cartes unilingues anglaises.

M. Fraser a indiqué cette semaine qu’il n’avait pas encore eu de nouvelles du ministre Baird là-dessus.

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Hausse des dépenses fédérales les catastrophes naturelles ont coûté cher

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OTTAWA – Ottawa a dépensé un peu plus pendant les six premiers mois de l’année financière en cours qu’à la même période l’an dernier, indique un rapport du Directeur parlementaire du budget (DPB).

Les inondations majeures qui ont frappé les provinces des Prairies entre 2011 et 2013 expliquent la hausse observée dans les dépenses allouées aux catastrophes naturelles majeures.

Et comme Environnement Canada prévoit des précipitations plus importantes dans le futur, le gouvernement fédéral, qui a déjà versé 4,1 milliards $, pourrait devoir dépenser encore davantage, prévient-on dans le document.

Le DPB précise par ailleurs ne pas être en mesure de déterminer si les compressions budgétaires prévues dans le budget de 2012 sont réalistes dans le cadre actuel des finances publiques, puisqu’il n’a pas obtenu suffisamment d’informations d’Ottawa à ce chapitre.

Le gouvernement fédéral ayant refusé de fournir les informations nécessaires, le DPB a dû se rabattre sur les données publiques déjà existantes, limitant du même coup la portée de ses évaluations.

Selon le DPB, la performance de près de 40 pour cent des programmes n’a pu être évaluée en raison de certaines données incomplètes ou de récents changements de cibles.

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Pétrole un manifeste qui part bien mal le débat

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Le Manifeste pour tirer profit collectivement de notre pétrole, signé la semaine dernière par 11 personnalités, ne passera certainement pas à l’histoire comme une avancée significative dans le débat sur l’exploitation du pétrole du Québec.

Les signataires justifient leur position par la nécessité pour le Québec de réfléchir sérieusement à la question, compte tenu de ce que les importations de pétrole coûtent à la province. On peut y lire que :

 Le débat doit avoir lieu ! Mais il doit se faire correctement et surtout, nous aurons tous avantage à ce qu’il repose sur des faits.

Faux. Nous avons tous avantage à ce que le débat repose sur «les» faits, pas «des» faits astucieusement choisis pour faire pencher la balance dans un sens ou dans l’autre.

Le poids des importations de pétrole sur les finances du Québec est un fait indéniable. L’augmentation actuelle de la consommation de pétrole aussi.

Mais l’idée qu’exploiter le pétrole va être grandement profitable aux finances publiques est une simple supposition basée sur l’idée que le Québec disposerait de ressources pétrolières considérables, ce qui est loin d’être démontré.

Le manifeste repose par ailleurs en grande partie sur des comparaisons boiteuses.

Par exemple, les signataires expliquent que :

Cependant, nous savons fort bien que d’autres endroits dans le monde se sont enrichis significativement grâce à des projets similaires.

Par exemple, en Ohio, pour une formation géologique similaire à celle de l’île d’Anticosti, les shales d’Utica, les autorités ont estimé que le nombre d’emplois directs et indirects générés par l’exploitation de ce site serait de plus de 200 000. L’industrie s’attend à verser près de 12 milliards de dollars en salaires, durant une période de cinq ans.

D’abord, même si la formation géologique est de même nature, on ne peut vraiment pas considérer que le golfe du Saint-Laurent et l’Ohio sont dans des situations similaires !

Le premier est un milieu marin fragile, tandis que le second est un territoire déjà largement industrialisé, où 220 000 puits de pétrole et de gaz ont déjà été creusés depuis les années 1860 — dont 60 000 sont encore en opération, selon les autorités (soit le Département des ressources naturelles de l’Ohio, qui est responsable de l’attribution des permis).

En lisant la note de bas de page du manifeste, on s’aperçoit en outre que «les autorités» qui ont estimé le nombre d’emplois en Ohio sont en fait trois consultants qui ont publié une analyse d’impact économique pour le compte du Ohio Oil and Gas Energy Education Program, financé exclusivement par les producteurs pétroliers et gaziers de cet État.

Je ne vois aucune raison de faire confiance à ces chiffres.

Je vous invite d’ailleurs à lire l’étude Exaggerating the Employment Impacts of Shale Drilling: How and Why, publiée en novembre dernier par un groupe environnemental appuyé par des chercheurs de plusieurs universités, qui estime que l’exploitation engendre 4 emplois par puits creusé, alors que l’industrie en annonce 31. Au moins aussi fiable que l’étude de l’industrie.

Pour un manifeste basé sur des faits, on repassera.

Les signataires vantent par ailleurs les pêcheries et l’aquaculture norvégienne pour nous convaincre que le Québec pourrait imiter la Norvège en exploitant son pétrole tout en protégeant ses ressources marines.

La valeur de la pêche et de l’aquaculture a représenté 9,2 milliards de dollars en 2011 en Norvège, soit 60 fois plus qu’au Québec.

Fait : la Norvège exploite du pétrole conventionnel avec des technologies éprouvées depuis des décennies, fort différentes dans leurs effets sur l’environnement de la fracturation hydraulique qui serait nécessaire pour aller chercher le pétrole non conventionnel québécois. À ce petit jeu-là de comparaisons boiteuses, on pourrait tout aussi bien confronter Anticosti à l’Alberta !

Autre fait : le littoral norvégien compte une multitudes de criques et baies protégées baignées par le Gulf Stream, où les conditions très stables sont infiniment plus propices à l’aquaculture que les côtes du Québec. La Norvège a massivement investi dans le développement de l’aquaculture depuis les années 1970. Quand je vous dis qu’on compare des pommes avec des poires…

Clairement pas la bonne manière d’engager le débat.

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Selon l’IRIS les faveurs fiscales aux plus fortunés coutent 960 M au Trésor

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MONTRÉAL – Les contribuables québécois plus fortunés ayant des revenus d’autres sources qu’un salaire sont favorisés par le régime fiscal de la province.

C’est la conclusion à laquelle en arrivent deux chercheurs de l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) qui soulignent que si les mêmes règles s’appliquaient à tous les types de revenus, le Trésor québécois serait en mesure de récupérer 960 millions $ par année.

Les auteurs de l’étude déplorent au passage l’inutile complexité du système d’imposition québécois, notant que c’est cette complexité qui permet aux contribuables ayant des sources de revenus diverses d’être mieux servis par le régime, notamment par le biais de déductions fiscales et de crédits d’impôt.

Ces déductions et crédits permettent aux contribuables dont les revenus sont supérieurs à 70 000 $ _ et dont ces revenus proviennent notamment de rentes diverses _ de se prévaloir de stratégies fiscales plus complexes qui leur permettent de diminuer leur part d’impôt.

De manière plus précise, les chercheurs identifient les crédits d’impôt sur les gains en capital et les dividendes ainsi que la capacité d’un conjoint très riche de transférer des sommes importantes à un conjoint sans revenu pour créer deux revenus plus faibles parmi les ouvertures fiscales qui ne sont pas accessibles aux salariés.

Les chercheurs concluent donc que le régime fiscal québécois favorise clairement ceux qui vivent des rentes d’un capital investi au détriment des salariés.

Or, selon eux, rien ne justifie que des revenus obtenus par l’investissement soient moins imposés que des revenus issus d’un travail salarié.

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Blog de TDM1 - Thanjavur

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22 6 milliards de dollars d’investissements en péril

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Depuis 2009, des grands projets industriels privés (plus de 1 milliard chacun) qui totalisent 42 milliards de dollars ont été annoncés au Québec. Malheureusement, moins de la moitié de ces investissements sont confirmés ou en cours de réalisation, selon E&B Data, une boîte spécialisée dans l’information économique et industrielle.

Jean Matuszewski, le président de cette société québécoise active dans plusieurs pays, a fait un décompte saisissant. Ainsi, 13 % des projets pourtant annoncés ont été abandonnés et 40 % sont considérés comme fragiles, c’est-à-dire que leur envergure a été réduite, que l’échéancier a été reporté ou que le projet est carrément suspendu.

Parmi les projets dont l’ampleur pourrait être réduite, le président de E&B Data donne en exemple le projet de 13 milliards de dollars de l’entreprise chinoise Wisco et de la torontoise Adriana au nord de Schefferville. Selon lui, la mine serait en terrain solide, mais le projet d’usine de traitement de minerai de fer concentré lui apparaît très fragile.

«Il y avait un nombre élevé de grands projets dans le collimateurs, mais on observe de plus en plus de fragilité dans les projets depuis 18 mois», dit Jean Matuszewski.

Cette difficulté à concrétiser les grands projets privés met le Québec à la traîne de la majorité des provinces en ce qui concerne l’investissement privé. En 2013, l’Alberta, Terre-Neuve, la Saskatchewan, la Colombie-Britannique, le Manitoba et l’Ontario ont mieux fait que le Québec pour l’investissement privé par capita.

La fragilité est plus grande au Québec parce que la majorité des grands projets proviennent des secteurs minier et métallurgique, très affectés par la conjoncture mondiale. Dans l’aluminium, par exemple, il y a une surcapacité mondiale et de nouveaux concurrents qui ont accès à des coûts énergétiques beaucoup plus bas qu’au Québec.

Les investissements se maintiennent beaucoup mieux du côté des hydrocarbures, et des projets importants sont en cours dans six provinces canadiennes. La raison est simple : ces années-ci, les profits des sociétés énergétiques sont trois fois plus élevés que ceux des sociétés minières et métallurgiques.

Si des projets sont enterrés ou suspendus, on peut aussi parler de projets ressuscités. Jean Matuszewski donne l’exemple de l’unité de cokéfaction de la raffinerie de Suncor, à Montréal-Est, un projet de 1,5 milliard abandonné en 2009 et dont il est à nouveau question depuis la demande d’inversion de la canalisation numéro 9 d’Enbridge. Ce projet devrait également susciter des investissements de plus de 200 millions pour les installations de Valero, à Montréal-Est, et à sa raffinerie de Saint-Romuald.

Certains se demandent pourquoi ces grands projets miniers, métallurgiques ou énergétiques sont si importants. La réponse est simple. Les neuf alumineries du Québec comptent 4 000 fournisseurs au Québec qui embauchent eux-mêmes des milliers de personnes.

Il s’agit quelquefois de fournisseurs de proximité, mais on retrouve aussi des sous-contractants spécialisés qui sont eux-mêmes devenus des exportateurs. E&B Data a compté 800 fournisseurs de l’industrie minière sur l’île de Montréal, ce qui fait dire à Jean Matuszewski que Montréal est une ville minière !

En comparaison, un centre de serveurs informatiques — un secteur bien choyé par le gouvernement — n’emploie pas beaucoup de personnes et fait peu d’achats locaux, sauf l’électricité.

On peut lever avec dédain le nez sur les mines et l’énergie, mais ces secteurs ont un effet moteur très fort qu’on ne retrouve pas facilement dans d’autres secteurs.

 

 

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La cigarette et les produits du tabac diminueraient l’espérance de vie de 10 ans

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MONTRÉAL – Selon le Conseil québécois sur le tabac et la santé, la cigarette et les produits du tabac diminuent l’espérance de vie de 10 ans.

Cette statistique qui frappe l’imaginaire a été retenue pour lancer la Semaine pour un Québec sans tabac, qui se tiendra du 19 au 25 janvier.

Les efforts de sensibilisation touchent bien sûr les fumeurs, mais aussi les proches qui pourraient devoir composer avec les conséquences du décès prématuré d’un être cher.

Pour accompagner les personnes qui désirent s’affranchir du tabac, plusieurs organismes proposent des ressources d’accompagnement en ligne et des trucs pour aider à écraser pour de bon.

Mario Bujold, directeur général du Conseil québécois sur le tabac et la santé, rappelle que 24 pour cent des Québécois fument toujours, et que le tabac représente une facture de près d’un milliard de dollars annuellement en soins de santé.

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Les proches d’un Québécois disparu au Mexique espèrent toujours le retrouver

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MONTRÉAL – Les amis et la famille d’un Québécois qui a mystérieusement disparu il y a 10 mois alors qu’il revenait du Mexique en voiture espèrent toujours le retrouver vivant.

Mais les proches de Marc Ménard affirment avoir besoin d’aide supplémentaire sur le terrain s’ils veulent un jour savoir ce qui est arrivé à l’homme de 45 ans après qu’il se fut volatilisé près de la frontière américaine en mars 2013.

«On est dans l’incertitude, admet Jonathan Ménard, le frère de Marc, en entrevue téléphonique. Est-ce qu’il est vivant? Qu’est-ce qu’ils ont fait avec lui? Est-ce qu’il mange? Est-ce qu’il boit?»

M. Ménard, un chauffeur d’autobus de Laval, est décrit par son entourage comme un bon vivant qui aime voyager et voulait continuer à le faire tant qu’il était en santé. Il était en amour avec le Mexique; il s’est marié là-bas et y a séjourné souvent au cours des dernières années.

Lors de son plus récent voyage, il avait décidé de demeurer plus longtemps et avait organisé son agenda pour être en sol mexicain lors des célébrations entourant la fin du calendrier maya. Certains des tatouages sur son corps sont inspirés de cette culture ancienne.

Marc Ménard a quitté le Canada en décembre 2012. Au moment de sa disparition, il était sur le chemin du retour après avoir voyagé en voiture au Mexique et au Guatemala pendant trois mois. Son plan était de franchir la frontière américaine à Nuevo Laredo, une ville dangereuse connue pour être le théâtre d’affrontements entre cartels de la drogue.

L’État de Tamaulipas, où Nuevo Laredo est située, fait l’objet d’un avertissement de la part d’Ottawa, qui recommande aux Canadiens d’éviter tout voyage non essentiel dans cette région. C’est aussi là que se trouve le quartier général de Los Zetas, le cartel de la drogue le plus craint du Mexique.

Le dernier contact du quadragénaire avec le Québec remonte au 14 mars 2013. Il se trouvait alors dans la ville de Matehuala, à environ 500 kilomètres au sud de la frontière américaine. Lors d’une conversation sur Skype avec l’un des membres de sa famille, M. Ménard indiquait qu’il chercherait un vétérinaire pour son basset, Maya, avant d’entrer aux États-Unis.

Selon les registres officiels, le Québécois n’a jamais franchi la frontière. La chienne Maya a été découverte près de Nuevo Laredo et renvoyée au Québec. Le véhicule de Marc Ménard, une camionnette Pontiac blanche, a été retrouvé, mais tous ses effets personnels, incluant son ordinateur portable, ont disparu. Francophone, l’homme ne possédait pas de téléphone mobile et n’avait que des notions de base en anglais et en espagnol.

Ses proches racontent que seules les personnes ayant tenté de vendre le véhicule du disparu ont été accusées, mais que la piste s’arrête là. «On sait qu’il a été kidnappé, mais pour ce qui est du reste, on ne sait rien», confie Jonathan Ménard.

Les amis et la famille souhaitent obtenir l’aide des politiciens canadiens. Ils ont lancé une pétition dans l’espoir que le député de Marc Ménard la présente devant la Chambre des communes.

Le ministère des Affaires étrangères assure avoir la situation à l’oeil.

«Les autorités canadiennes sont en contact avec la famille d’un citoyen canadien qui a été porté disparu au Mexique et sont prêtes à fournir davantage d’aide consulaire, écrit le porte-parole Mathieu Roy dans un courriel. Les autorités canadiennes continuent aussi d’assurer la liaison avec les autorités locales.»

Mais Jonathan Ménard dit se sentir impuissant et frustré face au manque de renseignements. Sa mère lui a fait promettre de ne pas mettre sa vie en danger en se rendant au Mexique, mais le plus jeune des frères Ménard confie qu’il serait prêt à partir sur-le-champ.

«Moi, je serais dans l’avion demain matin pour aller le chercher, mon frère, mais je ne sais pas où il est», conclut-il.

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Double homicide de Gatineau la police municipale remet le dossier à la SQ

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GATINEAU, Qc – Le Service de police de la Ville de Gatineau (SPVG) annonce le transfert à la Sûreté du Québec (SQ) de la responsabilité de l’enquête criminelle sur le double homicide découvert lundi le 6 janvier dernier dans une résidence du secteur Aylmer.

La police municipale explique avoir entrepris cette procédure en fonction de la Loi sur la police et du lien possible de ces homicides avec le crime organisé.

Néanmoins, une équipe d’enquêteurs du SPVG continuera d’être dédiée à temps complet à cette enquête, en partenariat avec la SQ. Jusqu’ici, des dizaines de personnes ont été interrogées par la police.

Les deux cadavres ont été trouvés après qu’un appel d’urgence eut été lancé vers 12h50. La macabre découverte a été faite dans la résidence du 158 rue de la Terrasse-Eardley. Les victimes sont un homme et une femme, de jeune âge.

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Un policier de Sudbury a été agressé par une automobiliste récalcitrante

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SUDBURY, Ont. – Un policier de Sudbury, en Ontario, a été grièvement blessé, lundi soir, par une automobiliste qui refusait de subir un test de sobriété.

Malgré leur gravité, les blessures infligées au policier ne mettent pas sa vie en danger. Il a obtenu son congé de l’hôpital mardi.

L’incident s’est produit lorsque le policier a tenté de faire subir un test de sobriété à la dame de 41 ans, qui aurait résisté avant d’agresser le policier.

La femme est accusée d’avoir résisté à son arrestation, de voies de fait graves sur un policier, et de refus de se plier à un test de coordination des mouvements.

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Drainville est prêt à faire de la charte de la laïcité un enjeu électoral

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QUÉBEC – Le gouvernement Marois écarte tout compromis sur la question épineuse des signes religieux, et il est prêt, s’il le faut, à faire de son projet de charte des valeurs un enjeu électoral.

Mais si ce scénario s’avère, ce sera la faute des partis d’opposition, a fait valoir mardi le ministre des Institutions démocratiques, Bernard Drainville, en point de presse, en marge du lancement de la consultation publique portant sur le projet de loi 60, qui définit les règles de la charte des valeurs de laïcité.

Car si les partis d’opposition votent contre le budget ce printemps, au moment où le débat sur la charte bat son plein, le Québec se retrouvera en élection. L’enjeu de la charte sera donc forcément au coeur de la prochaine campagne, a soulevé M. Drainville.

«La CAQ et les libéraux ont essentiellement dit qu’ils allaient voter contre le budget, ce qui provoquerait des élections. Cela voudrait dire que la CAQ et les libéraux décideraient d’eux-mêmes de faire de la charte un enjeu de la prochaine élection. S’ils décident de nous défaire, et que la charte n’a pas été adoptée, l’une des conséquences est que la charte deviendra un des enjeux de l’élection», a commenté M. Drainville.

Ce scénario d’élections hâtives n’incitera pas pour autant le gouvernement à mettre de l’eau dans son vin. D’entrée de jeu, le ministre a indiqué qu’il n’était pas question que le gouvernement recule sur son projet d’interdire aux employés de l’État de porter des signes religieux.

Cette interdiction constitue un volet «essentiel et incontournable du projet de loi», a soutenu M. Drainville dans ses remarques d’ouverture de cette commission parlementaire qui devrait durer au moins deux mois. La commission a reçu plus de 250 mémoires de personnes et d’organismes intéressés à témoigner et à faire valoir leur point de vue aux élus.

La neutralité religieuse de l’État doit être «visible, apparente, concrète», a-t-il dit, et faire partie de l’image projetée par ses employés, a dit en substance le ministre pour justifier sa position sur les signes religieux. «Il faut incarner la laïcité», selon lui.

A Montréal, la première ministre Pauline Marois a renchéri pour affirmer que le gouvernement ne céderait pas sur les signes religieux. L’interdiction des «signes religieux ostentatoires, nous y tenons, c’est clair, nous y tenons», a-t-elle dit, en marge d’une conférence de presse sur un autre sujet. «C’est fondamental dans le projet» de loi, a-t-elle ajouté, en semblant écarter un scénario d’élections précipitées.

Le ministre Drainville a aussi voulu se faire rassurant pour les croyants, en rappelant que le projet de loi ne visait pas à empêcher qui que ce soit de pratiquer sa religion.

Le défi pour le Québec consiste à «conjuguer identité et diversité», alors que 12 pour cent des Québécois sont nés à l’étranger.

Le porte-parole de l’opposition officielle, le député libéral Marc Tanguay, a répliqué en déplorant le fait que le gouvernement ait choisi d’adopter une stratégie «électoraliste» en cette matière. Il a noté que la plupart des éléments contenus dans le projet de loi faisaient consensus parmi les élus des différentes formations, sauf la question controversée de l’interdiction des signes religieux.

«Ce qui divise la population, c’est l’interdiction de porter des signes religieux, a déclaré M. Tanguay. Le gouvernement du Parti québécois veut tabler sur cette division en vue des prochaines élections et le ministre ne bougera aucunement sur cette atteinte aux libertés.»

En point de presse, les reporters ont tenté en vain de lui faire préciser la position du parti par rapport au tchador, à savoir si par exemple une enseignante pourrait être autorisée à le porter. Les libéraux défendent le principe de la totale liberté du port de signes religieux si le visage est découvert, tout en disant qu’une femme portant le tchador ne pourrait pas être candidate libérale.

Les libéraux de Philippe Couillard ne sont toujours pas prêts à rendre publique leur position globale sur la neutralité de l’État et la lutte à l’intégrisme, ce qui devrait être fait dans les prochaines semaines.

Le premier témoin entendu mardi était un leader syndical, l’ancien président de la CSQ, Réjean Parent, venu à titre personnel. M. Parent appuie l’interdiction des symboles religieux chez les employés de l’État, même si cela implique le congédiement des contrevenants.

«Il appartiendra aux employés de l’État de voir comment ils naviguent avec ces règles-là. S’ils ne veulent pas suivre les règles, jusqu’à un certain point, ce sont eux qui se congédient ou qui s’excluent» d’eux-mêmes, a-t-il dit.

Plus tôt, le ministre Drainville avait donné le ton, en disant que les employés de l’État qui refuseraient de respecter la loi devraient vivre avec les conséquences de leur décision. Le ministre n’emploie jamais le mot «congédiement», mais il est clair qu’un employé rebelle perdrait son emploi.

«Si un employé de l’État considère que le port de signes religieux durant les heures de travail est plus important que la neutralité religieuse de l’État et le respect de la loi, ce sera son choix, a-t-il soutenu. Si une personne refusait de retirer son signe religieux, elle confirmerait qu’elle place sa religion au-dessus de tout le reste, au-dessus de l’intérêt général, au-dessus de la loi.»

Un autre appui enthousiaste au projet de loi 60 est venu de la Société d’histoire de Charlevoix venue dire que «les mouvements religieux cherchant à empêcher la mise en oeuvre du projet de loi font ainsi un mouvement à l’envers du cheminement historique et culturel du Québec contemporain et il ne faut pas permettre cela».

Coiffée d’un hidjab, la présidente du C.O.R. (Communication, ouverture et rapprochement interculturel), Samira Laouni, a exprimé un point de vue bien différent sur les signes religieux. En marge de son témoignage devant les députés, elle a confié: «Je ne peux rejeter mon islam le temps d’un travail». Elle juge donc «odieux» de voir qu’un gouvernement s’autorise à demander à ses citoyens de choisir entre leur religion et leur emploi.

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Carnet de voyage Canada le Québec

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Voici le carnet de voyage Canada de Julie, professionnelle du tourisme partie à la découverte des villes mythiques du Québec et de ses grandes étendues. Voyage Canada – 1ère étape au Québec : la belle, la cosmopolite, l’agréable, l’effervescente ville nord-américaine à la fois latine et anglo-saxone; Montréal. Ce n’est pas un mythe, Montréal est une […]

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Trop de détresse psychologique chez les travailleurs de centres d’appels

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MONTRÉAL – La détresse psychologique touche 57 pour cent des travailleurs des centres d’appels au Québec, selon une étude rendue publique mardi par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).

La recherche de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM tend à démontrer que la surcharge de travail, l’excès de surveillance, le peu d’autonomie et les problèmes de conciliation travail-famille constituent les principales cause de la détresse ressentie par les travailleurs.

Alain Caron, président du Conseil provincial du secteur des communications du SCFP, estime qu’il y a environ 3000 personnes qui oeuvrent dans des centres d’appels au Québec et selon lui, il faut changer la culture au travail et prendre des décisions de gestion plus humaines.

Le SCFP soutient que plusieurs membres du syndicat formulaient des plaintes mais qu’aucune étude n’avait été réalisée jusqu’ici en Amérique du Nord pour corrober ces éléments. Puis, vague de suicides a frappé France Télécom et Alain Caron a précisé que le syndicat a voulu brosser le portrait de la situation avant de se retrouver dans une situation similaire.

Pas moins de 659 employés de centres d’appels membres du SCFP ont répondu à un questionnaire exhaustif des chercheurs. Chaque personne interrogée a été questionnée durant près d’une heure trente.

Les résultats ont démontré que 57 pour cent des travailleurs vivent une détresse psychologique élevée. On y retrouve un taux d’absentéisme fréquent et prolongé, une consommation accrue de médicaments pour réduire l’anxiété et la nervosité et aider à dormir.

Le SCFP souhaite qu’une attention plus importante soit portée à la qualité de vie au travail, aux exigences et aux directives envers les employés. Des démarches ont été entreprises avec les employeurs en ce sens.

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Écoute électronique Tony Accurso propose un «tax scheme à la SOLIM

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MONTRÉAL – Dans un extrait d’écoute électronique entendu mardi par la Commission Charbonneau, l’entrepreneur en construction Tony Accurso propose au pdg de la SOLIM, Guy Gionet, de participer à ce qu’il appelle un «tax scheme».

L’extrait d’écoute, qui date de février 2009, a trait à des terrains vacants à Terrebonne qu’une entreprise de M. Accurso détenait déjà avec la SOLIM, le bras immobilier du Fonds de solidarité de la FTQ. M. Accurso propose un «tax scheme» pour le rendre temporairement seul propriétaire du vaste terrain pendant une courte période de temps. Dès que ce sera approuvé, dit M. Accurso, il pourra tout changer.

«Guy, tu te souviens que je t’avais parlé rapidement du terrain à Terrebonne qui avait un tax scheme que je voulais jouer? Il faut absolument, pour que ça fonctionne, que je sois propriétaire personnel du terrain à 100 pour cent pour un laps de temps. Après ça, on se réorganisera autrement. C’est pour une courte période de temps», affirme M. Accurso.

«Tu veux que je regarde ça comment on pourrait faire ça?» lui réplique M. Gionet. «Et combien de temps que t’as besoin de…»

«Six mois, un an», lui répond l’entrepreneur.

«Ok, je regarde ça et je te rappelle», lui répond M. Gionet.

Finalement, le projet de construction résidentielle sur ce vaste terrain vacant n’a pas vu le jour, selon M. Gionet. Mais c’est parce qu’il aurait eu aussi des répercussions fiscales pour la SOLIM.

Le commissaire Renaud Lachance lui a carrément demandé s’il ne s’agissait pas d’une façon d’éviter de l’impôt à Tony Accurso.

«Quand on écoute le ton de la voix de M. Accurso qui propose une transaction… un tax scheme, parfois, ça peut être interprété comme une transaction artificielle, de justement contourner un peu les lois fiscales pour éviter de payer un fardeau fiscal. C’est un peu ça qu’on sent dans l’offre qu’il vous fait. Et vous, vous dites ‘je vais regarder ça quand même’? Donc, pendant un temps, un an, on va faire semblant que c’est moi qui suis le propriétaire à 100 pour cent et après ça, on va s’organiser pour les retourner, vos terrains. Ça ne donne pas une invitation, un peu, à participer à ce qui pourrait s’appeler une forme d’évitement fiscal ou même de fraude fiscale?» lui a demandé le commissaire Lachance.

La juge France Charbonneau s’est aussi élevée contre son attitude, arguant qu’en tant que pdg de la SOLIM, il aurait eu «l’autorité» pour refuser d’embarquer dans le stratagème, mais qu’«il n’avait pas le caractère» pour le faire.

Lavallée, un «dieu»

Comme il l’avait fait la veille, M. Gionet a cherché à se délester de ses responsabilités de pdg de la SOLIM en montrant du doigt le président du conseil d’administration, Jean Lavallée. Lundi, il avait affirmé qu’il n’avait guère le choix de suivre ses directives.

«Monsieur Lavallée, juste pour vous mettre dans le contexte, c’est quand même un dieu. Le terme est un peu fort, (mais c’est) un dieu à la FTQ et au Fonds. C’est quelqu’un de très, très, très puissant. Il est là depuis le début, la création du Fonds; c’est son bébé», a illustré M. Gionet.

Le témoin a aussi raconté qu’à au moins deux reprises, il a demandé à Jean Lavallée s’il n’y aurait pas lieu de pousser plus loin les vérifications auprès des partenaires d’affaires de la SOLIM. Mais M. Lavallée s’y est refusé, affirmant que le bilan social des entreprises ne relevait pas de lui, que le Fonds s’en occupait déjà.

M. Gionet affirme avoir alors senti qu’il ne pouvait influencer M. Lavallée, que sa décision était prise de ne pas renforcer les vérifications des partenaires de la SOLIM.

Stratégie de sortie

La commission d’enquête a ensuite entendu plusieurs minutes d’écoute électronique portant sur la stratégie de sortie de crise au Fonds de solidarité et à la SOLIM, après que plusieurs transactions eurent fait l’objet de reportages dans les médias.

C’est alors que pour sauvegarder sa réputation, la direction du Fonds a décidé de prendre ses distances des entreprises de Tony Accurso et de Denis Vincent, ainsi que des dossiers amenés par Jocelyn Dupuis, ex-directeur général de la FTQ-Construction, a expliqué M. Gionet. Le pdg du Fonds de solidarité, Yvon Bolduc, parle carrément des «cochonneries, encore, qui venaient de Jocelyn» (Dupuis).

Dans des extraits, MM. Bolduc et Gionet cherchent une façon de sortir de ces partenariats en ménageant l’orgueil du partenaire en question, en lui faisant comprendre que lui aussi sera gagnant au change.

M. Gionet propose même de se servir du spectre des banques, en disant au partenaire problématique que les banques ne voudront plus financer le projet, à cause des reportages dans les médias, et qu’ils sont donc condamnés à s’entendre pour une sortie honorable pour tous.

«Là, pour Place Québec, j’appelle les banques. Place Québec, je le passerais en disant ‘regarde, il faut absolument qu’on te protège là-dedans; laisse-moi te protéger; sors’. Ça a l’air bête à dire, mais il ne faut pas que je dise regarde, stie, ta réputation, on veut plus t’avoir, décrisse, tu comprends? C’est dans ce sens-là qu’il faut toujours que je le mette comme: j’ai ce que je veux, mais il pense qu’on est correct avec lui, que c’est pour le protéger aussi», propose M. Gionet à Yvon Bolduc.

Dans d’autres extraits, M. Gionet semble plutôt prendre parti pour Tony Accurso, lui disant comment se tenir face au Fonds de solidarité, comment exprimer son mécontentement face à la façon dont il a été traité par le Fonds dans les médias.

M. Gionet semble donc jouer sur les deux tableaux, étant tantôt du côté d’Yvon Bolduc, du Fonds de solidarité, tantôt du côté de M. Accurso. Quand la juge France Charbonneau le lui a souligné, il a justifié son attitude par le fait qu’il cherchait habilement à trouver une sortie honorable pour tous.

Lorsque M. Gionet aura terminé son témoignage devant la commission, vraisemblablement mercredi, il sera suivi par Jean Lavallée.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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