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Chiang Mai - 2014

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Retrouvailles à Bangkok et train pour le Nord dans la foulée... Un peu de décallage horaire dans la tête et grosse envie de goûter un bon petit plat d'ici après ces 3 jours de voyage! Un coucou à la famille, aux amis et aux fans! Le site réouvre ses portes, et bientôt qq photos pour partager notre...


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Ancienne muraille

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Il reste peu de choses de l'ancienne muraille...


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Frais de ports offerts

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Les soldes continuent sur www.decouvrir-le-monde.com !


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Un Canadien serait mort en août pendant le conflit en Syrie selon la CBC

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TORONTO – Un Canadien aurait été tué en août dernier alors qu’il prenait part au conflit en Syrie.

Le réseau anglais de Radio-Canada a révélé qu’Andre Poulin, de Timmins, en Ontario, avait changé son nom pour Abu Muslim et était arrivé en Syrie vers la fin de 2012.

Selon la société d’État, M. Poulin est décédé lors d’une attaque menée par des djihadistes dans un aéroport contrôlé par le gouvernement, dans le nord du pays.

La CBC ajoute que le corps du jeune homme a été découvert et enseveli par d’autres djihadistes. Selon le réseau, il laisse dans le deuil son épouse et un jeune enfant en Syrie.

Plus tôt cette semaine, des sources médiatiques ont déclaré que Mustafa al-Gharib, un homme de 22 ans né en Nouvelle-Écosse sous le nom de Damian Clairmont, a été abattu lors de violents combats dans la ville d’Alep.

Il aurait été tué par des forces de l’Armée syrienne libre (ASL) lors de luttes intestines sanglantes entre combattants opposés au régime du président Bachar el-Assad.

Lors d’une visite à Washington, le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird, a déclaré que ses responsables étaient au courant de la nouvelle faisant état du décès de M. al-Gharib. Le ministre a aussi laissé sous-entendre qu’il pourrait être un parmi plusieurs Canadiens à combattre outre-mer.

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Le ministre Hébert rassure la population sur l’hospitalisation gratuite

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MONTRÉAL – Des chambres d’hôpital gratuites continueront d’être disponibles, a assuré jeudi le ministre québécois de la Santé et des Services sociaux Réjean Hébert.

Dans un communiqué de presse publié alors qu’il est à l’extérieur du Québec, le ministre a tenu à rassurer les Québécois sur le fait qu’il était «essentiel» de maintenir une offre de chambres gratuites dans les hôpitaux, y compris dans les futurs complexes présentement en construction, comme le Centre universitaire de santé McGill (CUSM) et le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).

La tarification en fonction du revenu ne fait pas non plus partie des options pour le ministère.

Présentement, l’hospitalisation dans des chambres à quatre lits est gratuite et entièrement assumée par l’État. Les patients désirant une chambre privée ou semi-privée (deux lits) doivent assumer une partie des coûts, sauf s’ils ont une prescription de leur médecin. Selon le journal La Presse, cela rapporte 60 millions de dollars à l’État annuellement.

Souhaitant limiter la propagation des infections nosocomiales (comme la bactérie C. difficile) dans les centres hospitaliers, Québec instaurera de plus en plus de chambres à un ou deux patients, et de moins en moins de salles à quatre lits.

Toutefois, explique le ministère, cette reconfiguration des chambres l’oblige à revoir le système de tarification s’il veut maintenir une offre gratuite. Un comité se penchera sur ce casse-tête.

«Le groupe de travail fera le tour de la question, analysera des exemples issus d’ailleurs et proposera des scénarios qui seront à la fois en mesure d’assurer le maintien de l’accessibilité aux soins de santé, incluant l’hospitalisation, en plus d’assurer une équité entre les différents hôpitaux du Québec, a affirmé le ministre Hébert. Chose certaine, la tarification en fonction du revenu ne figure pas parmi les scénarios acceptables.»

«L’accessibilité et l’universalité des soins de santé est un principe fondamental de notre système de santé au Québec. De ce fait, il est essentiel qu’il y ait une offre de chambres gratuites dans les hôpitaux et cela continuera d’être le cas».

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Blog de milou - Ultima diafiestita en casa de milou

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Blog de milou - Ultima dia...fiestita en casa de milou!!!
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Blog de damduc - Arrivée à Hong Kong

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Blog de damduc - Arrivée à Hong Kong
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Le ministre John Baird assistera aux discusssions de paix sur la Syrie à Genève

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OTTAWA – Le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird, assistera la semaine prochaine à une importante rencontre de paix internationale visant à mettre fin à la guerre en Syrie, alors que la pression sur les rebelles s’accentue pour qu’ils assistent aux discussions.

M. Baird se rendra à Montreux, en Suisse, pour le début de la conférence de paix, connue sous le nom de Genève 2. Il s’agit de la plus récente initiative visant à trouver une solution politique au conflit syrien qui a fait environ 120 000 morts.

Le secrétaire d’État américain, John Kerry, tente de réunir tous les groupes impliqués dans le conflit, mais les différentes factions ne rendront pas leur décision avant vendredi.

À Genève, mercredi prochain, M. Baird devrait s’exprimer sur le besoin de permettre l’accès sécuritaire aux organismes humanitaires en Syrie.

Il planifie également souligner à l’opposition la nécessité de s’unir et d’exclure les éléments extrémistes.

À Washington, M. Kerry a dit à des journalistes que les États-Unis étaient aussi très inquiets de la montée de l’extrémisme en Syrie.

«Le monde n’a pas besoin de se faire rappeler que la Syrie est un aimant à djihadistes et à extrémistes. De tout autre endroit, aujourd’hui, c’est le plus puissant aimant à terrorisme», a-t-il déclaré.

Rick Roth, le porte-parole de M. Baird, a réitéré que le Canada souhaitait une solution politique pour mettre fin au conflit.

Un militant montréalais d’origine syrienne n’était pas optimiste quant à la conférence de paix de la semaine prochain, mais a affirmé que M. Baird et le reste de la communauté internationale n’avaient pas d’autre choix que d’essayer.

«L’opposition syrienne n’a vraiment rien à offrir en ce moment», a affirmé Faisal Alazem, qui se rendra en Turquie ce week-end pour aider bénévolement des réfugiés syriens.

«Elle est en mauvaise posture pour Genève 2. Je pense que le régime a la mainmise sur ces négociations», a-t-il ajouté.

M. Alazem ira visiter une école de fortune que fréquentent 1200 enfants qui ont été forcés de fuir leur pays.

Située à cinq kilomètres de la frontière syrienne, l’école est financée par des Canadiens d’origine syrienne qui vivent à Montréal. Le même groupe finance également un hôpital de campagne en Syrie. M. Alazem a soutenu avoir proposé au gouvernement canadien de financer ces deux projets.

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Une maladie porcine pourrait prendre le Canada au dépourvu dit une organisation

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Le Conseil canadien de la santé porcine soutient que le Canada n’est pas prêt à faire face à un virus s’étant propagé dans des fermes aux États-Unis, tuant des millions de porcelets.

La Diarrhée épidémique porcine (DEP) n’a pas été détectée au Canada, mais des producteurs craignent qu’elle puisse ravager rapidement les exploitations porcines au pays si le virus traverse la frontière.

Le directeur général de du Conseil canadien de la santé porcine, Robert Harding, a affirmé depuis Ottawa qu’il y avait un travail colossal à accomplir pour se préparer.

«Ce serait le chaos si c’était découvert ici aussi. Nous avons énormément de boulot à faire. Si ce virus nous frappait, ce serait catastrophique pour toute notre industrie», a-t-il indiqué depuis les bureaux de l’organisme basé à Ottawa.

Le Conseil canadien du porc (CCP) estime que les producteurs exportent environ quatre millions de porcelets vivants aux États-Unis chaque année, ajoutant que des camions traversent la frontière en divers points presque quotidiennement.

L’organisation — financée par le gouvernement fédéral et l’industrie porcine et ses membres comme l’Association canadienne des vétérinaires porcins — prévient que cette maladie est hautement contagieuse et peut tuer tous les porcelets d’une exploitation.

La Diarrhée épidémique porcine (DEP) est apparue pour la première fois aux États-Unis le printemps dernier et s’est déjà propagée dans 22 États.

M. Harding a souligné que la DEP n’est toujours pas une maladie répertoriée au Canada, ce qui signifie qu’aucun protocole n’est en place.

Plutôt que de s’appuyer sur des initiatives gouvernementales, les provinces et l’industrie partagent ensemble de l’information et développent une stratégie en cette matière, de pair avec le Conseil canadien de la santé porcine.

M. Harding a fait savoir que son organisation travaillait néanmoins de pair avec le gouvernement fédéral pour améliorer les inspections faites dans les camions qui traversent la frontière.

Il est essentiel, a-t-il dit, que ceux-ci soient propres et qu’ils aient été désinfectés.

Le Conseil canadien de la santé porcine rappelle aussi aux fermes et aux abattoirs d’adopter à la lettre toutes les procédures de sécurité prévues.

Cela inclut s’assurer que les animaux qui arrivent de l’extérieur proviennent d’un troupeau en santé, et de connaître la source et la qualité de leur alimentation. Les producteurs doivent aussi rapporter à un vétérinaire tout signe de maladie.

Le Conseil canadien de la santé porcine a publié en ligne des informations sur la maladie et demande l’implantation d’un plan pouvant permettre de s’attaquer au virus s’il devait être détecté.

«Une stratégie d’intervention doit être instaurée pour qu’un plan précis soit en place, et déployé sur-le-champ, dans l’éventualité de la détection d’une DEP au Canada. Les composantes de ce plan comprennent le bio-confinement pour prévenir la propagation et les stratégies pour enrayer la maladie», peut-on lire sur le site Internet du Conseil.

Tom Burkgren, directeur de l’Association américaine de la santé porcine, a indiqué que personne ne savait comment le virus avait pu entrer sur le territoire américain.

Les données officielles ne permettent pas de savoir avec exactitude combien de porcs sont décédés des suites du virus, mais M. Burkgren a indiqué que les animaux morts se comptaient par millions.

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Le comportement téméraire d’un automobiliste lui aurait coûté la vie

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SALLABERRY-DE-VALLEYFIELD, Qc – Le comportement téméraire d’un automobiliste pourrait lui avoir coûté la vie, jeudi avant-midi, à Salaberry-de-Valleyfield en Montérégie.

Selon Audrey-Anne Bilodeau, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ), vers 11 h, un conducteur aurait effectué un dépassement par la droite afin de s’engager dans une sortie de l’autoroute 530.

L’homme, âgé d’une trentaine d’années, aurait alors perdu la maîtrise du véhicule qu’il conduisait avant de capoter.

Les pinces de désincarcération ont dû être utilisées afin d’extirper le conducteur. Il a ensuite été transporté dans un centre hospitalier où son décès a été constaté.

Une passagère a aussi été blessée mais sa vie ne serait pas en danger.

Un enquêteur de la SQ tentera de préciser ce qui a causé cette situation tragique.

Ce segment de l’autoroute 30 a été fermé à la circulation pendant un peu plus de quatre heures.

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Comment les femmes musulmanes devraient-elles s’habiller

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Un des problèmes sous-tendus par le débat sur la laïcité qui agite la scène publique depuis une décennie est le malaise de certains face à la tenue vestimentaire des femmes musulmanes.

Ce débat, vivace au Québec comme en France, existe dans une certaine mesure en terre musulmane. De l’Égypte au Pakistan, il n’y a pas de consensus sur la forme vestimentaire appropriée pour les femmes sur la place publique, d’où quelques variations. En Turquie, le marché de la mode islamique est en plein boum !

« Les questions de genre font partie intégrante des débats culturels parmi les intellectuels et les activistes politiques du monde musulman depuis le XIXe siècle. […] Ce n’est pas juste un problème culturel. Ça tourne également autour de la question de la liberté individuelle, de l’égalité des sexes et de la souveraineté des femmes sur leur propre corps et sur leur sexualité », dit Mansoor Moaddel, chercheur principal d’une étude qui, pour le compte de l’Institut pour la recherche sociale de l’Université du Michigan, s’est intéressée à la question.

Dans le cadre d’une plus vaste enquête sur la Tunisie, le berceau de la révolution arabe, les chercheurs ont conduit un sondage auprès d’habitants de sept pays où la religion musulmane est majoritaire (Égypte, Irak, Liban, Pakistan, Arabie saoudite, Tunisie et Turquie), qui ont dû répondre à la question suivante : « Laquelle de ces femmes est habillée de la manière la plus appropriée pour l’espace public ? »

U. Mich. 6 © Pew Research

Le style n° 1 (burqa) est en vogue en Afghanistan, dit l’étude; le style n° 2 (niqab) est populaire chez les conservateurs et les fondamentalistes d’Arabie Saoudite et d’autres pays du golfe Arabo-Persique; le style n° 3 (tchador) est vigoureusement promu par les fondamentalistes chiites et les conservateurs iraniens, irakiens et libanais; les styles n° 4 et 5 (hidjab) sont considérés comme les plus appropriés par les femmes musulmanes modernes d’Iran et de Turquie.

Voici le tableau synthétique des résultats.

U. Mich. 4 © Pew Research

Qu’en conclure ?

La majorité des sondés préfèrent voir les femmes couvrir leur tête, mais pas nécessairement leur visage. La Turquie et le Liban sont les seuls pays où plus d’un quart de la population ne juge pas approprié qu’une femme se voile en public. Ailleurs, cette opinion est l’affaire de minorités.

D’une manière générale, c’est le hidjab blanc (style n° 4), couvrant les cheveux et les oreilles, qui est plébiscité : 57 % en Tunisie, 52 % en Égypte, 46 % en Turquie et 44 % en Irak.

Classé par genre, les résultats apportent peu de nuances, et c’est là un enseignement particulièrement intéressant. En effet, il n’y a pas de différence significative entre les préférences des hommes et des femmes, à part au Pakistan, où les hommes ont une vision plus conservatrice de l’habillement féminin.

U. Mich. 3 © Pew Research

Les résultats, filtrés selon l’âge, montrent que les 18-29 ans sont moins conservateurs face à l’habillement que les 30 ans et plus. Mais le facteur qui divise le plus les répondants est l’éducation, notamment au Liban, en Turquie et au Pakistan. « D’une manière générale, le code vestimentaire est un bon prédicateur des orientations libérales ou fondamentalistes », explique Moaddel.

U. Mich. 2 © Pew Research

Bien que la plupart des pays aient exprimé une vision conservatrice du code vestimentaire des femmes, ils sont toutefois nombreux à penser qu’elles devraient décider par elles-mêmes de la manière dont elles veulent s’habiller, comme le montre le tableau ci-dessous.

U. Mich. 5 © Pew Research

« En se basant sur ces résultats, il est difficile d’associer le style vestimentaire des femmes au niveau de modernité et de développement d’un pays. L’Arabie saoudite, qui est économiquement développé, est le pays le plus conservateur en termes de style vestimentaire féminin. Cela reflète plutôt les orientations de chaque pays en ce qui concerne les valeurs libérales et le niveau de liberté dont les populations jouissent. Au Liban, en Tunisie et en Turquie, où les gens tendent à être moins conservateurs que dans les quatre autres pays, le style vestimentaire préférentiel des femmes est également moins conservateur », explique l’étude.

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A quoi ressemble réellement Phuket en Thaïlande

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Lorsque l’on évoque la Thaïlande

ou même plus globalement

 le sud est asiatique,

le nom de Phuket

vient immédiatement à l’esprit

 et déclenche une multitudes de

souvenirs de vacances. 

 Vue générale Baie Phang hd Nga Avion (33)

La merveilleuse baie de Phang Nga est aux portes de Phuket en Thaïlande
Photos Sud Est Asiatique 2014 : tous droits réservés ©

 

 

Phuket est synonyme de plages,

de jet set et detourisme de masse,

 avec un arrière goût de tsunami.

 

Mais qu’en est-il réellement ?

Certes,

les préjugés que l’on a sont bien réels,

 mais ils sont très loin

de refléter toute la réalité des lieux.

 

En fait, Phuket n’est pas une ville,

mais une grande presqu’île

avec plusieurs villes

et environnements différents.

 

Phuket---Baie-Phang_hd.jpgLes plages... vision classique de Phuket ...
Photos Thaïlande 2014 : tous droits réservés ©

 

 

 Cela va de la plage ultra bétonnée,

 piège à touristes

avec ses restos

et boutiques typiques

 mais qui se sont adaptés

à nos prix européens

 et malheureusement aux dérives

qui vont avec notre mode de vie,

au village de gitans de la mer

qui cherchent à conserver

tant bien que mal leurs traditions.

 

 

Phuket---village-gitans-de-la-mer.jpgVillage traditionnel de gitans de la mer... c'est aussi cela Phuket
Photos Phuket 2014 : tous droits réservés ©

 

 

 

Phuket c’est aussi la sublime

 baie de Phang Nga

qui rappelle fortement la baie d’Halong

au Vietnam

 parfaitement calme bien

que densément visitée,

 ainsi que le magnifique archipel

de Koh Phi Phi,

où là on atteint le summum du tourisme de masse

avec en tête de proue allemands et hollandais

qui s’y sentent

 comme des poissons dans l’eau.

 

 

Pour son séjour en Thaïlande,

on accède à Phuket

 par des vols intérieurs

pour une bouchée de pain (de l’ordre de 40-50€),

et une fois sur place

il suffit de se laisser porter pour se voir organiser

son séjour en deux temps trois mouvements,

magique et facile.

 

 

Phuket et ses paysages-copie-1Ces panneaux sont une des seules traces du passage dévastateur du tsunami en 2004
Photos Phuket 2014 : tous droits réservés ©

 

 

Par contre, on est quand même assez loin

de l’authenticité que l’on peut retrouver ailleurs

dans le pays

un bon compromis donc à conseiller

 à ceux qui veulent garder leurs repères

 de tous les jours et leur petit confort,

tout en partant à la découverte

de paysages splendides sans trop se fatiguer

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Oui au privé en santé

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Le Dr Alain Vadebonceur, dans un billet de blogue paru récemment, accuse l’IEDM de faire des «erreurs de faits et d’interprétations» à propos de l’ampleur de la médecine privée au Québec. Il fait référence à une récente Note économique publiée par l’Institut qui démontre, entre autres, que le nombre de médecins dans le secteur privé ne représente qu’un infime 1,38 % de l’ensemble des médecins au Québec.

Selon M. Vadeboncoeur, la croissance du privé en santé n’est pas souhaitable. Car selon lui — et selon le «sophisme de la pente glissante» — une ouverture plus grande au privé serait désastreuse pour le système de santé québécois.

Dr Vadeboncoeur s’inquiète notamment du taux de croissance du nombre de médecins non participants au régime public québécois, qui est passé de 60 à 263 en l’espace de 10 ans. Ce qu’il faut noter, c’est que la proportion de ces médecins dans le total des effectifs demeure insignifiante (elle est passée de 0,38 % à 1,38 %). Gardons aussi en tête que pendant la même période, le nombre de médecins œuvrant dans le secteur public n’a pas diminué à cause de cette « croissance » du privé. Il a plutôt augmenté, de plus de 17 %. Malgré cette augmentation — et malgré le fait que le Québec compte plus de médecins par habitant que la moyenne canadienne —, les temps d’attente continuent de s’allonger pour les patients québécois.

L’exemple de la France

Si la croissance du secteur privé se poursuivait, ce ne serait pas une mauvaise chose. Plusieurs exemples de pays sociaux-démocrates, dont la France, le démontrent. En France, 40 000 médecins – soit 31 % des médecins libéraux dans tout le pays – travaillent au sein de 1076 cliniques privées à but lucratif (soit environ 39 % de tous les établissements de santé avec capacité d’hospitalisation), tout comme 150 000 employés salariés. Ces médecins pratiquent pour la plupart dans le système public et le système privé, car la mixité de pratique est autorisée, comme dans la quasi-totalité des pays développés à l’exception du Canada.

Quant aux cliniques médicales Lacroix, présentes dans la région de Québec, elles sont effectivement passées d’un nombre de 1 à 5 en l’espace de quelques années seulement, signe que les services offerts sont nécessaires et appréciés par une clientèle grandissante. Mais regardons ce qu’il en est chez nos cousins. Générale de Santé, le plus important groupe de médecine privée en France est propriétaire de 110 cliniques comptant en moyenne 147 lits d’hospitalisation complète chacune. Le groupe peut miser sur l’expertise de 23 800 employés et son chiffre d’affaires s’élève à plus de 2 milliards d’euros annuellement. Le groupe Vitalia possède 48 cliniques qui emploient 7200 employés et a généré des revenus de 650 millions d’euros l’an dernier. Pour sa part, le groupe Capio, qui exporte son expertise dans toute l’Europe, compte 26 cliniques en France, regroupant 5100 salariés et générant 490 millions d’euros annuellement de chiffre d’affaires.

Dans l’ensemble, les cliniques privées en France prennent en charge chaque année environ huit millions de patients, réalisent 55 % des chirurgies et dispensent 70 % des services ambulatoires. Par exemple, le secteur privé à but lucratif effectue environ une chirurgie sur deux de l’appareil digestif, deux chirurgies cardiaques sur cinq, trois opérations de la cataracte sur quatre et trois accouchements sur dix. En outre, ces cliniques traitent un patient atteint de cancer sur deux.

Les cliniques privées ne traitent-elles que les riches?

Et ce n’est pas comme si l’accès aux soins par les établissements privés était réservé uniquement à ceux qui ont les moyens de payer. Tous les Français peuvent choisir de se faire soigner dans les cliniques privées, et les soins sont couverts par le régime public d’assurance maladie.

D’ailleurs, le secteur privé s’est davantage implanté dans les régions plus pauvres de la France, où le secteur public n’a pas su répondre adéquatement aux besoins de la population. Alors qu’il n’existe qu’une seule clinique de plus de 200 lits à Paris, et aucune dans le département voisin des Hauts-de-Seine, le plus riche de France, on dénombre sept établissements de 200 lits et plus en Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de la région. C’est ce qui explique pourquoi la moitié des bénéficiaires de la couverture médicale universelle complémentaire (les plus pauvres) ayant besoin d’être hospitalisée choisissent de l’être dans des cliniques privées.

La qualité du service en souffre-t-elle?

Depuis 1997, la France arrive au premier rang mondial au chapitre du taux de mortalité évitable en raison de causes liées à des soins de santé déficients. Par ailleurs, le système de santé français a été classé au premier rang sur 191 pays par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans un rapport publié en 2000. En outre, les indicateurs de santé en France, à l’image des mesures de satisfaction de la population à l’égard du système lui-même, figurent parmi les plus élevés au monde. Par exemple, au chapitre de l’espérance de vie à 65 ans et de la mortalité infantile, la France devance presque tous les pays développés, y compris le Canada (et le Québec).

Et il se trouve que le privé contribue à cette bonne performance. Une étude nous apprenait en 2005 que la probabilité de décéder à l’intérieur des murs d’un hôpital privé à but lucratif est moindre qu’au sein de tout autre type d’établissement de santé en France. L’étude révélait que le taux de mortalité à la suite d’une admission pour un infarctus du myocarde est de 6,4 % dans les cliniques privées à but lucratif, de 10 % dans les hôpitaux privés à but non lucratif et 14,6 % dans les hôpitaux publics.

Qu’en est-il des temps d’attente?

Selon les enquêtes du Commonwealth Fund, le Québec arrive bon dernier en ce qui concerne les temps d’attente pour consulter un médecin dans les classements internationaux regroupant une douzaine de pays développés. En 2010, alors que 52 % des Québécois ont affirmé avoir dû attendre 6 jours ou plus avant de pouvoir rencontrer un médecin lorsqu’ils en ont eu besoin, seulement 16 % des Français ont admis avoir été contraints de patienter aussi longtemps. L’attente pour obtenir un rendez-vous avec un médecin spécialiste est pour sa part environ deux fois moins longue en France qu’au Québec.

Au Québec, malgré une hausse de 28 % du nombre de médecins depuis ces vingt dernières années – plus de deux fois plus rapide que la croissance de la population –, le temps d’attente médian entre la visite chez le médecin généraliste et le traitement par le spécialiste a plus que doublé, passant de 7,3 semaines en 1993, à 17,8 semaines en 2013. Le séjour moyen des patients sur civière à l’urgence est passé de 15,2 heures en 2005 à 17,5 heures en 2013. Comme dirait l’ancien président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence, un dénommé Dr Vadeboncoeur : « C’est clair que ça se détériore! »

Le nombre de médecins n’est donc pas le facteur clé et le deviendra de moins en moins à l’avenir. D’ailleurs, nos médecins souhaiteraient travailler davantage si on leur permettait de le faire. Un sondage récent mené par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada nous apprenait que dans certaines spécialités, plus de 30 % des médecins considèrent qu’ils sont actuellement sous-utilisés. Un nouveau diplômé sur six aurait même du mal à se trouver de l’emploi au pays.

Rappelons qu’en 2009, l’IEDM publiait une Note économique qui démontrait qu’autoriser les médecins spécialistes à travailler à la fois dans le public et le privé permettrait de combler en bonne partie la pénurie de spécialistes. En 2007, une autre enquête de l’IEDM avait révélé que les salles d’opération des hôpitaux du Québec sont utilisées à 50 % de leur capacité les jours de semaine.

Pourquoi le système français parvient-il à offrir un meilleur accès aux soins à sa population? Non pas grâce à la taille de ses effectifs médicaux, mais surtout en raison des mécanismes en place qui incitent les établissements à utiliser judicieusement les ressources médicales disponibles pour traiter le plus grand nombre de cas possibles dans les meilleurs délais. Notamment par le mode de financement des hôpitaux à l’activité, qui est venu remplacer les budgets globaux en 2004. Plusieurs études récentes ont montré que la productivité hospitalière a augmenté significativement en France depuis 10 ans.

Cette méthode de financement des hôpitaux a fait ses preuves pour diminuer l’attente, mais le Dr Vadebonceur continue pourtant de s’y opposer vigoureusement.

Le système de santé français n’est d’ailleurs pas le seul à bien performer tout en faisant une place au privé. Je suggère au Dr Vadeboncoeur de jeter un œil sur le système allemand, le système suisse, le système suédois, le système australien, ou même le système japonais.

En conclusion

Dr Vadeboncoeur a raison lorsqu’il affirme que des solutions existent pour améliorer le système public. Notamment en réorganisant la première ligne, en intégrant mieux les soins, en développant le travail d’équipe, en favorisant l’accès adapté, et en misant sur la prévention et une meilleure éducation, entre autres.

Cependant, il faut être honnête et réaliste et admettre que malgré toute la bonne volonté de certaines personnes, ces enjeux ne seront pas réglés du jour au lendemain. Un problème réel d’accès à la première ligne demeure, et plusieurs Québécois, malgré un revenu familial modeste, choisissent de recourir au privé pour prendre soin d’eux-mêmes et de leurs familles.

D’ailleurs, une grande proportion de Québécois est en faveur de permettre davantage l’accès à des soins de santé privé. Pourquoi s’acharner à leur refuser cette option?

*****

 Yanick Labrie est Chercheur associé à l’Institut économique de Montréal.

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Réplique oui au privé en santé

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Le Dr Alain Vadebonceur, dans un billet de blogue paru récemment, accuse l’IEDM de faire des «erreurs de faits et d’interprétations» à propos de l’ampleur de la médecine privée au Québec. Il fait référence à une récente Note économique publiée par l’Institut qui démontre, entre autres, que le nombre de médecins dans le secteur privé ne représente qu’un infime 1,38 % de l’ensemble des médecins au Québec.

Selon M. Vadeboncoeur, la croissance du privé en santé n’est pas souhaitable. Car selon lui — et selon le «sophisme de la pente glissante» — une ouverture plus grande au privé serait désastreuse pour le système de santé québécois.

Dr Vadeboncoeur s’inquiète notamment du taux de croissance du nombre de médecins non participants au régime public québécois, qui est passé de 60 à 263 en l’espace de 10 ans. Ce qu’il faut noter, c’est que la proportion de ces médecins dans le total des effectifs demeure insignifiante (elle est passée de 0,38 % à 1,38 %). Gardons aussi en tête que pendant la même période, le nombre de médecins œuvrant dans le secteur public n’a pas diminué à cause de cette « croissance » du privé. Il a plutôt augmenté, de plus de 17 %. Malgré cette augmentation — et malgré le fait que le Québec compte plus de médecins par habitant que la moyenne canadienne —, les temps d’attente continuent de s’allonger pour les patients québécois.

L’exemple de la France

Si la croissance du secteur privé se poursuivait, ce ne serait pas une mauvaise chose. Plusieurs exemples de pays sociaux-démocrates, dont la France, le démontrent. En France, 40 000 médecins – soit 31 % des médecins libéraux dans tout le pays – travaillent au sein de 1076 cliniques privées à but lucratif (soit environ 39 % de tous les établissements de santé avec capacité d’hospitalisation), tout comme 150 000 employés salariés. Ces médecins pratiquent pour la plupart dans le système public et le système privé, car la mixité de pratique est autorisée, comme dans la quasi-totalité des pays développés à l’exception du Canada.

Quant aux cliniques médicales Lacroix, présentes dans la région de Québec, elles sont effectivement passées d’un nombre de 1 à 5 en l’espace de quelques années seulement, signe que les services offerts sont nécessaires et appréciés par une clientèle grandissante. Mais regardons ce qu’il en est chez nos cousins. Générale de Santé, le plus important groupe de médecine privée en France est propriétaire de 110 cliniques comptant en moyenne 147 lits d’hospitalisation complète chacune. Le groupe peut miser sur l’expertise de 23 800 employés et son chiffre d’affaires s’élève à plus de 2 milliards d’euros annuellement. Le groupe Vitalia possède 48 cliniques qui emploient 7200 employés et a généré des revenus de 650 millions d’euros l’an dernier. Pour sa part, le groupe Capio, qui exporte son expertise dans toute l’Europe, compte 26 cliniques en France, regroupant 5100 salariés et générant 490 millions d’euros annuellement de chiffre d’affaires.

Dans l’ensemble, les cliniques privées en France prennent en charge chaque année environ huit millions de patients, réalisent 55 % des chirurgies et dispensent 70 % des services ambulatoires. Par exemple, le secteur privé à but lucratif effectue environ une chirurgie sur deux de l’appareil digestif, deux chirurgies cardiaques sur cinq, trois opérations de la cataracte sur quatre et trois accouchements sur dix. En outre, ces cliniques traitent un patient atteint de cancer sur deux.

Les cliniques privées ne traitent-elles que les riches?

Et ce n’est pas comme si l’accès aux soins par les établissements privés était réservé uniquement à ceux qui ont les moyens de payer. Tous les Français peuvent choisir de se faire soigner dans les cliniques privées, et les soins sont couverts par le régime public d’assurance maladie.

D’ailleurs, le secteur privé s’est davantage implanté dans les régions plus pauvres de la France, où le secteur public n’a pas su répondre adéquatement aux besoins de la population. Alors qu’il n’existe qu’une seule clinique de plus de 200 lits à Paris, et aucune dans le département voisin des Hauts-de-Seine, le plus riche de France, on dénombre sept établissements de 200 lits et plus en Seine-Saint-Denis, le département le plus pauvre de la région. C’est ce qui explique pourquoi la moitié des bénéficiaires de la couverture médicale universelle complémentaire (les plus pauvres) ayant besoin d’être hospitalisée choisissent de l’être dans des cliniques privées.

La qualité du service en souffre-t-elle?

Depuis 1997, la France arrive au premier rang mondial au chapitre du taux de mortalité évitable en raison de causes liées à des soins de santé déficients. Par ailleurs, le système de santé français a été classé au premier rang sur 191 pays par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dans un rapport publié en 2000. En outre, les indicateurs de santé en France, à l’image des mesures de satisfaction de la population à l’égard du système lui-même, figurent parmi les plus élevés au monde. Par exemple, au chapitre de l’espérance de vie à 65 ans et de la mortalité infantile, la France devance presque tous les pays développés, y compris le Canada (et le Québec).

Et il se trouve que le privé contribue à cette bonne performance. Une étude nous apprenait en 2005 que la probabilité de décéder à l’intérieur des murs d’un hôpital privé à but lucratif est moindre qu’au sein de tout autre type d’établissement de santé en France. L’étude révélait que le taux de mortalité à la suite d’une admission pour un infarctus du myocarde est de 6,4 % dans les cliniques privées à but lucratif, de 10 % dans les hôpitaux privés à but non lucratif et 14,6 % dans les hôpitaux publics.

Qu’en est-il des temps d’attente?

Selon les enquêtes du Commonwealth Fund, le Québec arrive bon dernier en ce qui concerne les temps d’attente pour consulter un médecin dans les classements internationaux regroupant une douzaine de pays développés. En 2010, alors que 52 % des Québécois ont affirmé avoir dû attendre 6 jours ou plus avant de pouvoir rencontrer un médecin lorsqu’ils en ont eu besoin, seulement 16 % des Français ont admis avoir été contraints de patienter aussi longtemps. L’attente pour obtenir un rendez-vous avec un médecin spécialiste est pour sa part environ deux fois moins longue en France qu’au Québec.

Au Québec, malgré une hausse de 28 % du nombre de médecins depuis ces vingt dernières années – plus de deux fois plus rapide que la croissance de la population –, le temps d’attente médian entre la visite chez le médecin généraliste et le traitement par le spécialiste a plus que doublé, passant de 7,3 semaines en 1993, à 17,8 semaines en 2013. Le séjour moyen des patients sur civière à l’urgence est passé de 15,2 heures en 2005 à 17,5 heures en 2013. Comme dirait l’ancien président de l’Association des spécialistes en médecine d’urgence, un dénommé Dr Vadeboncoeur : « C’est clair que ça se détériore! »

Le nombre de médecins n’est donc pas le facteur clé et le deviendra de moins en moins à l’avenir. D’ailleurs, nos médecins souhaiteraient travailler davantage si on leur permettait de le faire. Un sondage récent mené par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada nous apprenait que dans certaines spécialités, plus de 30 % des médecins considèrent qu’ils sont actuellement sous-utilisés. Un nouveau diplômé sur six aurait même du mal à se trouver de l’emploi au pays.

Rappelons qu’en 2009, l’IEDM publiait une Note économique qui démontrait qu’autoriser les médecins spécialistes à travailler à la fois dans le public et le privé permettrait de combler en bonne partie la pénurie de spécialistes. En 2007, une autre enquête de l’IEDM avait révélé que les salles d’opération des hôpitaux du Québec sont utilisées à 50 % de leur capacité les jours de semaine.

Pourquoi le système français parvient-il à offrir un meilleur accès aux soins à sa population? Non pas grâce à la taille de ses effectifs médicaux, mais surtout en raison des mécanismes en place qui incitent les établissements à utiliser judicieusement les ressources médicales disponibles pour traiter le plus grand nombre de cas possibles dans les meilleurs délais. Notamment par le mode de financement des hôpitaux à l’activité, qui est venu remplacer les budgets globaux en 2004. Plusieurs études récentes ont montré que la productivité hospitalière a augmenté significativement en France depuis 10 ans.

Cette méthode de financement des hôpitaux a fait ses preuves pour diminuer l’attente, mais le Dr Vadebonceur continue pourtant de s’y opposer vigoureusement.

Le système de santé français n’est d’ailleurs pas le seul à bien performer tout en faisant une place au privé. Je suggère au Dr Vadeboncoeur de jeter un œil sur le système allemand, le système suisse, le système suédois, le système australien, ou même le système japonais.

En conclusion

Dr Vadeboncoeur a raison lorsqu’il affirme que des solutions existent pour améliorer le système public. Notamment en réorganisant la première ligne, en intégrant mieux les soins, en développant le travail d’équipe, en favorisant l’accès adapté, et en misant sur la prévention et une meilleure éducation, entre autres.

Cependant, il faut être honnête et réaliste et admettre que malgré toute la bonne volonté de certaines personnes, ces enjeux ne seront pas réglés du jour au lendemain. Un problème réel d’accès à la première ligne demeure, et plusieurs Québécois, malgré un revenu familial modeste, choisissent de recourir au privé pour prendre soin d’eux-mêmes et de leurs familles.

D’ailleurs, une grande proportion de Québécois est en faveur de permettre davantage l’accès à des soins de santé privé. Pourquoi s’acharner à leur refuser cette option?

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 Yanick Labrie est Chercheur associé à l’Institut économique de Montréal.

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Les ruines de Tikal

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A nous Tikal et son histoire Maya ! Départ à 8h00 pour une longue journée
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Harper souhaiterait financer l’éducation des Palestiniens

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OTTAWA – Le Canada souhaite augmenter son aide à la Cisjordanie en enseignant aux jeunes Palestiniens à cesser de détester leurs voisins juifs, une mission considérée comme stratégique par Israël.

Des responsables palestiniens et juifs du Canada affirment que le premier ministre Stephen Harper annoncera vraisemblablement une réaffectation de l’aide au développement, la semaine prochaine, lors de sa visite en Cisjordanie.

Said Hamad, le plus haut diplomate palestinien au Canada, affirme qu’il accueille favorablement la possibilité d’une aide éventuelle à l’éducation.

Le Canada s’était engagé à verser 300 millions $ sur cinq ans à l’Autorité palestinienne. L’entente, qui a expiré en mars dernier, a été prolongée d’un an, puisque l’argent n’a pas été complètement dépensé.

Le directeur du Centre consultatif des relations juives et israéliennes, Shimon Fogel, est presque certain qu’une telle annonce figure à l’agenda du premier ministre lors de sa mission au Proche-Orient.

Après un périple de quatre jours en Israël durant lesquels il prononcera un discours historique au Parlement — une première pour un dirigeant canadien —, le premier ministre Harper se rendra en Jordanie et en Cisjordanie.

L’aide d’Ottawa à l’Autorité palestinienne était surtout destinée à stimuler l’économie locale et à soutenir la gouvernance locale. L’aide était notamment allouée à des programmes de renforcement du système judiciaire, d’aide alimentaire et de mesures pour stimuler la croissance économique.

Le gouvernement canadien songe toutefois à injecter de l’argent dans le système d’éducation palestinien, qu’Israël considère comme le terreau d’une future génération de terroristes.

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La Cour d’appel confirme la culpabilité d’un homme pour conduite dangereuse

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OTTAWA – La culpabilité de Benoît Richer, un homme condamné pour conduite dangereuse ayant notamment causé la mort de son fils adolescent, vient d’être confirmée par la Cour d’appel du Québec.

L’homme a aussi blessé gravement les trois membres d’une famille qui se trouvaient dans un autre véhicule. La femme a fait une fausse-couche et leur bambin a même été éjecté du véhicule.

En août 2008, sur le boulevard des Laurentides, près de Saint-Jérôme, Benoît Richer conduisait pour la première fois le véhicule de sa fille pour se rendre au club vidéo avec son fils. C’est ce dernier qui lui aurait demandé de tester les capacités de la voiture, a témoigné le père de famille.

Il pleuvait, la chaussée était mouillée et l’homme a perdu le contrôle de sa voiture après avoir dépassé un véhicule par la droite. Il a percuté une autre voiture venant en sens inverse alors qu’il roulait à 100 km/h sur un viaduc où la limite permise était de 50 km/h.

Après l’accident, un ambulancier a constaté que son haleine dégageait une assez forte odeur d’alcool. Aucune preuve de facultés affaiblies n’a toutefois été établie.

Ni lui ni son fils ne portaient de ceinture de sécurité au moment de l’accident. Son fils de 14 ans est mort le jour même des conséquences de la collision.

Benoît Richer a été condamné le 19 avril 2012.

La Cour d’appel a tranché que le juge de première instance avait conclu, avec raison, que Benoît Richer avait conduit son véhicule de façon dangereuse pour le public. La Cour précise qu’aucune erreur de droit pouvant avoir un impact sur le jugement n’a été commise.

La Cour d’appel ordonne à l’homme de se présenter aux autorités carcérales au plus tard lundi.

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Justin Trudeau se montre prudent face à la légalisation de la prostitution

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OTTAWA – Justin Trudeau ne semble pas chaud à l’idée d’appuyer une proposition de jeunes militants libéraux qui souhaitent la légalisation, la régulation par l’État et la taxation de la prostitution.

Le chef du Parti libéral du Canada a affirmé jeudi que cette proposition n’est qu’une des nombreuses résolutions qui seront débattues lors du congrès national du parti, le mois prochain à Montréal.

Bien que M. Trudeau affirme être impatient d’en débattre et d’entendre le point de vue des militants libéraux là-dessus, il a laissé entendre qu’il serait contre la légalisation de la prostitution, parce qu’il s’agit d’une forme de violence faite aux femmes.

La Cour suprême a invalidé le mois dernier des articles majeurs de la loi sur la prostitution. Le gouvernement conservateur doit maintenant proposer un nouveau texte de loi qui tiendra compte de cet avis juridique, en respectant la Charte des droits et libertés.

M. Trudeau fait déjà l’objet de critiques des conservateurs, qui l’accusaient jusqu’ici de vouloir légaliser la marijuana, et maintenant la prostitution.

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Comparutions des fraudeurs des bornes de paiement des parcomètres de Montréal

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MONTRÉAL – Sept personnes ont comparu jeudi en lien avec des fraudes menées à partir des bornes de parcomètres de la Ville de Montréal. Les policiers tentent maintenant de savoir si les fraudeurs faisaient partie d’un même réseau.

Les suspects ont été arrêtés mercredi, lors de deux frappes distinctes, dont une non planifiée.

Quatre individus avaient été appréhendés lors d’une opération menée à Montréal et Laval par l’Escouade de protection de l’intégrité municipale (EPIM) en collaboration avec la Section des crimes économiques du Service de police de la ville de Montréal. Puis trois hommes avaient été arrêtés alors qu’ils étaient en plein délit au centre-ville de Montréal.

Mihai Andrei Mazilu, âgé de 24 ans, Sivakandara Radnam, 35 ans, et Visvanatar Sivuruban, 33 ans, ont comparu sous des accusations de fraude de plus de 5000 $, utilisation non autorisée de données relatives à une carte de crédit, possession d’instrument destiné à fabriquer ou à falsifier des cartes de crédit, recel et complot. Ngoc Tuan Hoang, 51 ans, fait face à des accusations de recel de véhicule.

Selon la police, ces quatre personnes auraient détourné plusieurs dizaines de milliers de dollars grâce à leur stratagème.

Outre ces individus, la police a mis la main au collet de trois autres suspects, arrêtés en flagrant délit. Ces trois hommes utilisaient le même système d’encodage des données.

C’est un citoyen qui avait remarqué le comportement louche de ces trois personnes qui a contacté les autorités.

Emerson Brings, 22 ans, Sergio Bulgarelli et Nicholas Sabini, tous deux âgés de 21 ans, ont aussi comparu jeudi et feront face à des accusations en matière de fraudes, dont possession de cartes de crédit contrefaites, possession d’un dispositif destiné à copier des données relatives à une carte de crédit, vol d’identité et complot.

Dans ce dossier, le SPVM estime que plus de 100 personnes ont été victimes de ce réseau qui installait des dispositifs sur les bornes de stationnement afin de lire et capter les informations des cartes bancaires.

La police invite les utilisateurs de cartes bancaires à faire des vérifications régulières de leurs relevés et d’être vigilants lorsqu’ils utilisent des appareils bancaires afin de déceler des anomalies ou des signes d’altérations.

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Trudeau admet avoir réclamé des dépenses non liées à ses fonctions de député

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OTTAWA – Dans la foulée du scandale des dépenses sénatoriales, le chef du Parti libéral du Canada, Justin Trudeau, a révélé jeudi qu’il avait réclamé à tort 840 $ en dépenses qui n’étaient pas reliées à ses fonctions de député.

Les dépenses, encourues alors qu’il se déplaçait pour prononcer des discours rémunérés, comprenaient 672 $ de frais de transport de 2012 et deux indemnités quotidiennes de 2009 et 2010.

M. Trudeau a affirmé qu’il s’agissait d’une simple erreur administrative «humaine», et assuré qu’il avait remboursé la totalité du montant dès qu’il avait été mis au courant.

Ses rivaux conservateurs et néodémocrates se sont rués sur cette révélation, accusant M. Trudeau d’être dans le même bateau que les sénateurs qui font l’objet d’une enquête de la GRC pour des allégations de dépenses injustifiées.

De son côté, le chef libéral a insisté sur le fait que son honnêteté et la rapidité de sa réaction pour remédier à la situation établissent une nouvelle norme de transparence.

«Je l’explique maintenant aux Canadiens, parce que l’un des éléments les plus importants de mon approche en politique est de créer un niveau d’imputabilité, de transparence, d’ouverture et d’honnêteté. Cela implique d’admettre nos erreurs, d’en assumer la responsabilité et d’y remédier d’une manière ouverte qui permettra de rétablir la confiance des Canadiens en notre système politique», a-t-il déclaré lors d’une activité publique aux côtés d’un candidat libéral à une élection partielle à Thornhill, en Ontario.

Toutefois, son aveu n’était pas totalement volontaire.

Le printemps dernier, le Nouveau Parti démocratique a demandé que soient examinées les ressources du Parlement utilisées par les députés qui obtiennent des contrats pour des discours rémunérés. Il a obtenu un consentement unanime de la Chambre des communes, donc également celui de M. Trudeau.

Cette motion visait directement le jeune chef libéral, qui, durant la course à la chefferie du PLC, avait volontairement rendu publics des revenus de 1,3 millions $ pour des discours prononcés depuis 2006. Or, 277 000 $ provenaient de 17 contrats acceptés après sa première élection en 2008, notamment auprès d’organismes de charité, de commissions scolaires, d’universités et de municipalités.

M. Trudeau avait alors martelé qu’il n’avait «absolument jamais utilisé les ressources du Parlement ou de la Chambre» pour ces activités, qu’il a cessées lorsqu’il a soumis sa candidature pour devenir chef du parti.

Le mois dernier, une commis de la Chambre des communes lui a appris la découverte d’une réclamation de 672 $ pour des frais de transport non liés à ses activités de député, a-t-il avoué.

Son bureau a alors vu que la facture lui avait été remboursée par Speaker’s Spotlight, l’agence responsable de sa carrière de conférencier. La facture avait aussi été envoyée «par inadvertance» à son bureau parlementaire, qui faisait affaire avec la même compagnie de transport pour ses déplacements entre la circonscription de Papineau et Ottawa.

Le député a affirmé avoir immédiatement fait un chèque personnel pour remédier à cette erreur et demandé à son bureau que ses autres dépenses soient attentivement révisées. Deux autres cas ont été notés: deux indemnités quotidiennes en 2009 et 2010, pour un total de 168 $, qu’il a aussi remboursées.

«Je pense qu’il y a quand même ici une question de jugement de Justin Trudeau et ce sens typiquement libéral du « tout-m’est-dû »», a affirmé jeudi le chef de l’opposition officielle, Thomas Mulcair, ajoutant que M. Trudeau n’aurait jamais dû accepter d’être payé pour ces discours une fois élu.

«Donc on peut être payé à temps plein à la Chambre des communes et recevoir des centaines de milliers de dollars pour donner essentiellement des discours politiques dans des charités, des hôpitaux et des commissions scolaires.»

Il estime également que M. Trudeau, comme le premier ministre Stephen Harper, nie en bloc jusqu’à ce qu’il se fasse prendre, puis s’excuse pour passer rapidement à autre chose.

Jeudi, une porte-parole du PLC a soutenu que les 17 groupes qui ont embauché M. Trudeau après son élection ont été contactés et qu’aucun n’a demandé à être remboursé, tel que le chef libéral l’avait offert plus tôt.

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La table est mise pour l’adoption du projet de loi sur l’aide médicale à mourir

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QUÉBEC – La table est mise pour l’adoption dans quelques semaines du projet de loi sur l’aide médicale à mourir.

Le projet de loi 52 a franchi l’étape cruciale de l’étude détaillée en commission parlementaire et pourra être adopté dès la reprise des travaux à l’Assemblée nationale à compter du 11 février, a indiqué jeudi la ministre des Services sociaux, Véronique Hivon.

En tout, 57 amendements ont été apportés sur 70 articles mais le coeur du projet de loi est demeuré intact, a précisé Mme Hivon, en point de presse.

Si tout se déroule comme prévu, les Québécois gravement malades pourront, sous de strictes conditions, demander et obtenir une aide médicale pour mettre fin à leurs jours.

L’accès à la sédation «palliative continue» sera encadré et limité. Pour être admissible, un candidat adulte devra souffrir d’une maladie incurable, être à l’agonie, et affirmer ne plus pouvoir supporter ses souffrances. Il devra consentir par écrit au traitement.

Le projet de loi définit les conditions et les balises qui permettront à un médecin de donner suite à la demande d’un patient, sans risque de s’exposer à des poursuites.

L’automne dernier, un peu plus de la moitié des libéraux en Chambre _ 25 sur 48 _ ont voté contre l’adoption de principe du projet de loi. Une solide majorité des 125 députés de l’Assemblée nationale appuie toutefois la pièce législative.

La ministre Hivon a dit souhaiter que le service soit pleinement disponible à compter de 2015.

«Il y a des choses à faire, il y a de la formation à donner, il y a une commission sur les soins de fin de vie qui sera mise en place, il y a un formulaire de directive médicale anticipée qui sera élaboré, des protocoles, et des politiques sur les soins de fin de vie pour chaque établissement. (…) J’ai tout à fait espoir que dans un an, ce sera en vigueur et une réalité», a-t-elle souligné.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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