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L’OMS veut en savoir plus sur le cas du virus H5N1 en Alberta

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EDMONTON – L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a confirmé jeudi que la première personne atteinte du virus de la grippe aviaire H5N1 en Amérique du Nord était une femme dans la fin vingtaine.

La victime aurait contracté le virus en Chine, où elle a passé la majeure partie du mois de décembre, à Pékin.

Elle était malade à son retour au Canada le 27 décembre, a été hospitalisée le 1er janvier et est morte deux jours plus tard.

L’une des spécialistes de la grippe à l’OMS a affirmé que l’agence souhaite plus d’information sur ce cas, car les renseignements initiaux laissent croire que ses symptômes n’étaient pas entièrement propres au virus H5N1.

La docteure Nikki Shindo a indiqué que l’agence veut savoir si une autopsie a été pratiquée ou s’il y en a une de planifié.

On ignorait dans l’immédiat si une autopsie a été menée.

Le médecin hygiéniste en chef en Alberta, le docteur James Talbot, a affirmé que la femme avait des symptômes neurologiques laissant croire aux médecins qu’elle pouvait avoir été victime d’une encéphalite, ou d’une infection au cerveau.

Bien que cela ne soit pas un symptôme habituel de la grippe, il a été signalé dans certains cas de H5N1.

En fait, le docteur Keiji Fukuda, le principal expert de la grippe à l’OMS, a dit avoir été attiré par la référence à l’encéphalite lorsqu’il a entendu parler du cas.

La première personne connue infectée par le H5N1 — un garçon âgé de trois ans à Hong Kong en 1997 — a montré des signes d’encéphalopathie, a indiqué M. Fukuda, qui a aidé à enquêter sur cette éclosion.

La docteure Shindo a affirmé que les autorités chinoises ont fait des recherches poussées sur les virus de la grippe de type A en raison des récents problèmes du pays avec le H7N9 — un autre virus de grippe aviaire. Elle s’est donc dit quelque peu surprise de l’émergence d’un cas de H5N1.

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Le fédéral adopte discrètement de nouvelles règles de sécurité ferroviaire

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OTTAWA – Transports Canada a discrètement approuvé, au lendemain de Noël, de nouvelles règles de sécurité élaborées par l’industrie ferroviaire, au moment où une injonction ministérielle adoptée dans la foulée de la catastrophe à Lac-Mégantic était sur le point d’arriver à échéance.

L’agence fédérale a aussi adopté une nouvelle injonction ministérielle le 1er janvier, encore une fois sans avis public, concernant les sociétés ferroviaires qui ne sont pas membres de l’Association des chemins de fer du Canada.

La ministre des Transports, Lisa Raitt, a émis l’injonction ministérielle en juillet pour encadrer certaines des défaillances de sécurité les plus flagrantes exposées par le déraillement, les explosions et le gigantesque incendie qui ont fait 47 morts à Lac-Mégantic l’été dernier.

Depuis, il y a eu au moins cinq autres accidents de train significatifs en Amérique du Nord impliquant le déversement ou la combustion de pétrole, dont le déraillement cette semaine d’un train du CN dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick.

Les mesures d’urgence mises en place l’été dernier exigent qu’au moins deux employés se trouvent à bord des trains qui transportent des marchandises dangereuses.

De plus, l’injonction ministérielle prévoit qu’aucune locomotive attachée à un ou plusieurs wagons-citernes chargés de matières dangereuses ne soit laissée sans surveillance sur la voie principale.

Transports Canada a refusé, jeudi, de commenter les nouvelles règles, approuvées le 26 décembre par Gerard McDonald, sous-ministre adjoint responsable de la sécurité et de la sûreté.

L’Association des chemins de fer du Canada a néanmoins fourni un exemplaire des nouvelles règles à La Presse Canadienne.

Tout comme l’injonction ministérielle, les nouvelles règles continuent d’exiger qu’au moins deux membres du personnel soient présents dans les trains transportant des matières dangereuses, comme du pétrole brut.

Les règles abandonnent l’exigence qui prévoyait que les trains transportant des matières dangereuses soient surveillés en permanence, mais insistent sur le fait que si un train est laissé sans surveillance, les nouvelles règles doivent être respectées afin d’appliquer correctement les freins et de sécuriser la cabine de la locomotive pour éviter toute entrée non autorisée.

Ainsi, avant de laisser un train à l’arrêt dans n’importe quel endroit, l’employé qui en est responsable «doit confirmer avec un autre employé la manière dont l’équipement a été sécurisé».

Kevin McKinnon, directeur des affaires réglementaires à l’Association des chemins de fer du Canada, a indiqué que les nouvelles règles empêcheraient les trains de marchandises de se mettre à rouler sans surveillance ou d’être vandalisés par des personnes malveillantes.

«Le public devrait être très confortable avec ce que nous avons mis de l’avant», a-t-il déclaré jeudi.

M. McKinnon, un mécanicien de locomotive qualifié, a estimé qu’il n’était pas réaliste d’exiger qu’un employé soit présent en tout temps pour surveiller les trains chargés de marchandises dangereuses.

«Nous transportons des marchandises dangereuses, c’est vrai. Nous les transportons à travers le pays, et il y a des moments où elles ne sont pas surveillées», a-t-il affirmé. «Mais dites-moi, ne laissez-vous pas votre voiture dans un stationnement? Dormez-vous à côté chaque soir?»

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Printemps érable une étudiante blessée à Victoriaville poursuit la SQ

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MONTRÉAL – Une étudiante blessée lors de la manifestation en marge du Conseil général du Parti libéral du Québec (PLQ) à Victoriaville, en mai 2012, a intenté une poursuite pour ce qu’elle considère comme de l’«usage disproportionné» de la force par la Sûreté du Québec.

En plein Printemps érable, des étudiants et autres militants — réunis notamment sous la coupe de la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics — avaient tenté de perturber le Conseil général du PLQ.

Selon la poursuite contre la SQ, déposée mercredi, et dont a fait état jeudi le cabinet d’avocats Ménard, Martin, l’étudiante Dominique Laliberté-Martineau avait manifesté pacifiquement et était sur le point de regagner l’autobus qui devait la reconduire vers Québec lorsqu’elle fut atteinte «violemment» au visage par un projectile.

Le cabinet d’avocats soutient que Mme Laliberté-Martineau se tenait debout, à l’écart de la foule et ne représentait aucune menace pour qui que ce soit.

Il est allégué que le projectile est une balle de couleur verte et noire et correspond à une munition d’arme intermédiaire de type AR-1 utilisée par les agents de la SQ lors de la manifestation du 4 mai 2012.

Selon ses avocats, en raison de la force de l’impact, l’étudiante a subi une fracture complexe de la mandibule gauche ainsi qu’une fracture de l’os maxillaire supérieur en plus de perdre six dents.

Il est indiqué qu’elle doit subir de «nombreux traitements invasifs et douloureux» afin de procéder à la restauration de sa dentition.

La poursuite allègue que la blessure subie par Mme Laliberté-Martineau découlait «clairement d’un usage disproportionné de la force», et que les agents ont contrevenu aux règles applicables à de telles armes.

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On senvoleee

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Premier réveil à Rio chez André et Suzana. On se rejoins tous dans le salon pour prendre le petit déjeuner. Suzana a tout prévu pour que l'on se sentent bien et que l'on goûte aux sp&eacu
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Arrivée à New Delhi et premiers aperçus de lInde plus ou moins bons

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Namaste !!!Le 8 janvier 2014, nous arrivons à Delhi et voulons r
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Roatan Bays islands

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Roatan, les Bays Islands, Nous arrivons à l’aéroport de Roatan vers midi et prenons directement un taxi pour le peti
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First impressions of INDIA Mixed feelings

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 Namaste !!!
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Un accommodement religieux à l’Université York suscite la réprobation politique

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OTTAWA – Des politiciens fédéraux ont dénoncé en choeur, jeudi, l’Université York, à Toronto, qui a accepté la demande d’un étudiant qui avait réclamé, pour des motifs religieux, de ne pas travailler avec des femmes.

Le professeur de sociologie Paul Grayson avait initialement rejeté la requête de l’étudiant d’être exempté d’un projet de groupe, mais sa position a été renversée par l’administration.

Le ministre fédéral de la Justice, Peter MacKay, a déclaré que la mixité hommes-femmes dans les établissements scolaires était au coeur du combat mené par les soldats canadiens en Afghanistan.

Le député conservateur Mark Adler, élu dans une circonscription voisine de celle de l’université York, a soutenu qu’un tel sexisme n’avait pas sa place dans la société canadienne.

Le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), Thomas Mulcair, a estimé qu’une université ne devrait pas faire d’accommodements pour une telle demande.

La députée libérale Judy Sgro, dont la circonscription inclut l’établissement universitaire, a qualifié la requête de ridicule, et a estimé que le professeur Grayson avait pris la bonne décision à l’origine.

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Quel avenir pour le Groupe Jean Coutu

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Photo: Ryan Remiorz/Presse canadienne

Photo: Ryan Remiorz / Presse canadienne

Le Groupe Jean Coutu annonçait, jeudi, des profits à la hausse pour le troisième trimestre de son année financière.

Voilà de bonnes nouvelles pour cette icône de Québec inc., mais qui cachent aussi un problème, alors que les ventes par magasins reculaient de 1,3 % pendant la même période.

Ne nous inquiétons pas, car le géant de la pharmacie québécoise se porte à ravir et n’a presque pas de dette. Le léger glissement des ventes s’expliquerait par la plus grande popularité des médicaments génériques, qui coûtent moins cher, et une saison de la grippe qui aurait tardé à se manifester.

Ces raisons sont sans doute valables, mais force est d’admettre que la concurrence est de plus en plus féroce alors que les Loblaws, Wal-Mart, Target et compagnie ont investi ce marché et poursuivent leur implantation au Québec. Loblaws, par exemple, a mis la main sur Shoppers (Pharmaprix) il y a quelques mois et veut accroître son réseau ainsi que ses parts de marché.

Le recul —même minime — des ventes de Jean Coutu inquiète certains investisseurs qui se demandent d’où proviendront les nouveaux revenus qui permettront à l’entreprise de continuer sa croissance.

La taille d’une entreprise complexifie sa gestion, et on ne compte pas le nombre d’entreprises qui ont cessé leurs activités à cause d’une acquisition trop chère payée. L’entreprise de Longueuil s’est elle-même brûlé les ailes sur le marché américain il y a quelques années.

En revanche, elle procure des avantages réels sur le marché. On apprend que Sobeys (IGA), qui vient d’avaler Safeway dans l’ouest du pays, exige que ses fournisseurs baissent leur prix de 1 % cette année, tout en leur précisant que la chaîne n’acceptera aucune augmentation en 2014. Sobeys présume que ses fournisseurs n’auront tout simplement pas le choix que de se plier à ses exigences.

Cela complique la vie de Metro, seulement implantée au Québec et en Ontario, et qui n’a pas le même rapport de force.

Voilà pourquoi certains analystes financiers croient qu’un mariage entre Metro et Jean Coutu serait salutaire. La force combinée de ces deux géants québécois leur donnerait une dimension et des moyens susceptibles de bien défendre leur territoire et de conquérir ultérieurement d’autres marchés.

Appelons cela le scénario Québec. Cela ressemble un peu à la stratégie de TC (Transcontinental) qui a abandonné les marchés américain et mexicain pour accroître sa domination du marché canadien de l’imprimerie et du marché québécois de la presse régionale et de la distribution de circulaires. Ou encore à celle de Québecor qui, de multinationale de l’imprimerie, est devenue le géant québécois des télécommunications.

L’autre stratégie passe par la conquête du monde. C’est celle qui est suivie notamment par CGI et Alimentation Couche-Tard, qui sont devenues des forces à l’international. On parle d’ailleurs ces jours-ci d’une nouvelle acquisition spectaculaire pour Couche-Tard, qui pourrait mettre la main sur les 1258 dépanneurs de l’Américaine Hess situés dans 15 États de la Côte-Est américaine.

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Canada et Moyen-Orient se mettre hors jeu

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Élus par d’autres élus

Photo : Adrian Wyld/PC

À la veille du premier voyage du premier ministre Stephen Harper en Israël, et alors que les Américains s’échinent à relancer le processus de paix israélo-palestinien, le Canada affiche à nouveau ses couleurs tranchées. En choisissant pour ambassadrice une femme reconnue pour son soutien inconditionnel à Israël et en refusant, encore une fois, de déplorer la reprise de la colonisation dans les territoires occupés.

Le ministre des Affaires étrangères, John Baird, se défend ce matin, en entrevue à La Presse, d’avoir un parti pris contre les Palestiniens. Le Canada et l’Autorité palestinienne ont des «différences d’opinions raisonnables», mais le Canada croit toujours que la solution dans cette région passe par deux États vivant en paix, côte à côte.

«Nous soutenons fortement la solution à deux États. Nous voulons voir un État palestinien prospère et indépendant qui vit en paix, en sécurité et en prospérité avec son voisin juif», a-t-il dit.

Il s’est aussi dit optimiste face aux pourparlers de paix relancés en juillet par le secrétaire d’État américain John Kerry, qu’il a louangé. Et il a ajouté être persuadé que les deux parties négocient de bonne foi.

Ces propos détonnent avec ceux qu’il a tenus hier, au moment de présenter la nouvelle ambassadrice canadienne en Israël, Vivian Bercovici. Ils tranchent aussi avec les positions prises par cette dernière.

Mercredi, M. Baird a refusé d’ajouter sa voix à celles des Américains et de bien d’autres pays qui voient les nouveaux empiètements en territoires occupés comme un possible obstacle à la paix, en plus d’être contraires aux résolutions des Nations Unies.

Aux journalistes qui lui demandaient ce qu’il pensait des nouvelles constructions autorisées par le gouvernement Netanyahu, M. Baird a rétorqué : «I’m not going to join an international pile on». (Ce qui veut dire à peu près ceci:  «Je ne me joindrai pas à d’autres pays pour casser du sucre sur le dos d’Israël.»)

Il a, à cet égard, trouvé une ambassadrice totalement au diapason de sa position. Et même plus. Avocate de profession, Mme Bercovici n’a aucune expérience diplomatique. Mais jusqu’à tout récemment, elle écrivait, en particulier dans le Toronto Star, où elle avait une chronique mensuelle.

Et elle l’a toujours fait avec une grande clarté. Pour prendre fait et cause pour Israël, et le gouvernement Netanyahu en particulier. Pour les Nations Unies et leur propension à blâmer Israël. Pour douter de la politique du président Barack Obama au Moyen-Orient. Pour mettre en doute la volonté de paix du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.

Sa nomination n’est qu’une confirmation de plus de l’appui indéfectible et, disons-le, aveugle du gouvernement Harper au gouvernement israélien. Le Canada a choisi son camp et il ne se lasse pas de le faire savoir, même si cela équivaut à se mettre encore plus hors jeu dans le ballet diplomatique en cours.

Dans ce contexte, ce n’était pas d’une diplomate dont il avait besoin, mais d’une porte-étendard. Il en a une qui a, en plus, la plume acérée. À suivre.

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Fillette tuée au Manitoba le rapport ne sera pas publié avant des élections

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WINNIPEG – Le gouvernement du Manitoba est critiqué pour sa décision d’attendre la tenue de deux élections complémentaires avant de publier le rapport final sur les ratés des services sociaux relativement au meurtre d’une fillette de cinq ans par sa mère et son beau-père.

Depuis près de deux ans, une commission d’enquête publique se penche sur la mort de Phoenix Sinclair, ballottée d’une famille d’accueil à l’autre, avant d’être tuée en 2005. Le commissaire Ted Hughes avait le mandat de déterminer comment la fillette avait pu échapper à l’aide des services sociaux, et pourquoi son décès n’avait été découvert que des mois après le fait.

M. Hughes a livré son rapport final au gouvernement néo-démocrate le 15 décembre dernier. Mais une porte-parole du gouvernement a indiqué que les conclusions et recommandations de la commission ne seront pas rendues publiques avant la tenue des deux élections complémentaires du 28 janvier prochain. Angela Jamieson a soutenu que l’«esprit de la loi» sur les élections commande d’éviter de telles annonces gouvernementales.

L’avocat Jeff Gindin, qui représente à l’enquête le père de Phoenix Sinclair et sa belle-mère, a dit juger «à tout le moins suspecte» la décision du gouvernement. Il ne se fait pas trop de doutes sur le fait que le gouvernement sera critiqué dans le rapport.

Phoenix Sinclair a été tuée par sa mère, Samantha Kematch, et le copain de celle-ci, Karl McKay, après des agressions répétées. Les deux ont été condamnés pour meurtre prémédité en 2008. Le couple a torturé et battu la fillette pendant plusieurs mois avant qu’elle ne meure de ses blessures au domicile familial. Elle a été enterrée près d’un dépotoir, et sa mère a continué de recevoir des allocations familiales du gouvernement pendant tout ce temps.

L’enquête a permis d’apprendre qu’un travailleur social s’était rendu au domicile à la suite d’allégations d’agressions. Il n’a pas vu la fillette lors de sa visite, et a fermé le dossier. Phoenix Sinclair est morte trois mois plus tard.

L’enquête a entendu 126 témoins, et la facture des travaux est évaluée à au moins 10 millions $ — ce qui en fait l’une des enquêtes les plus coûteuses de l’histoire du Manitoba.

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Québec et les sages-femmes concluent une entente de principe

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MONTRÉAL – Alors que le ministre de la Santé, Réjean Hébert, s’est réjoui de la conclusion d’une entente de principe avec les sages-femmes du Québec, celles-ci l’accueillent avec un enthousiasme modéré — et la promesse de remonter aux barricades.

«Ça été une très longue bataille. On est très fières de la lutte qu’on a menée, mais ce n’est pas une entente qu’on accepte avec des cris de joie», a exposé jeudi la présidente du Regroupement des sages-femmes du Québec (RSFQ), Claudia Faille.

Mais après des mois de pourparlers, un temps d’arrêt s’imposait, a-t-elle fait valoir, spécifiant que le rapport de force entre les quelque 150 sages-femmes représentées par le RSFQ et le gouvernement du Québec était pour le moins inégal.

«L’entente sera échue le 31 mars 2015, donc on prend une pause, on se prépare et on va continuer à se battre pour des conditions justes et équitables», a assuré Mme Faille en entrevue téléphonique.

L’entente de principe prévoit notamment la bonification de la compensation des sages-femmes pour les heures de garde.

«Tous les professionnels de la santé reçoivent une heure de salaire pour huit heures de garde. Les sages-femmes recevaient un dollar de l’heure, c’est-à-dire huit dollars au total», a expliqué Mme Faille.

L’entente de principe fait passer la rémunération à environ deux dollars de l’heure pour huit heures de garde, soit environ 16 dollars pour un quart de travail de garde.

Elle prévoit également une meilleure reconnaissance de la formation universitaire additionnelle — les sages-femmes certifiées sont minimalement détentrices d’un baccalauréat — ainsi qu’une amélioration du mécanisme de progression dans l’échelle salariale.

Il aura fallu plus de deux ans de négociations avant que les deux parties n’en viennent à une entente de principe.

Le précédent contrat entre l’État et les sages-femmes remontait à 2004. Il avait été renouvelé par décret par le gouvernement libéral jusqu’en 2010.

Si Claudia Faille dit n’avoir pas véritablement remarqué de changement de ton dans les négociations entre les régimes libéral et péquiste, elle a salué l’intérêt que porte l’actuel gouvernement à l’importance du rôle des sages-femmes.

«On voit que le Parti québécois veut développer les services de sages-femmes. Il y a eu des annonces, il y a des nouvelles maisons de naissance qui vont ouvrir, et le ministre Hébert a dit qu’il souhaitait développer la profession», a-t-elle commenté.

Réjean Hébert a déclaré par voie de communiqué qu’en plus «de respecter la capacité de payer de l’État», l’entente de principe annoncée jeudi reconnaissait l’expertise et le savoir-faire de ces travailleuses de la santé.

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La BST dépose son rapport sur une quasi-collision à Dorval en août 2011

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MONTRÉAL – Le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) demeure préoccupé par les risques de collision entre avions au sol lors des manoeuvres en piste.

Le Bureau a rendu public jeudi son rapport d’enquête concernant un risque de collision survenu en août 2011 à l’aéroport Montréal-Trudeau lorsqu’un avion de passagers a traversé une piste en service au moment où un aéronef bimoteur turbopropulseur décollait.

L’appareil, un Bombardier Dash-8 exploité par Sky Regional Airlines, transportait 25 passagers et quatre membres d’équipage lorsqu’il a atterri sur la piste 24R à l’aéroport de Dorval.

Après l’atterrissage, le contrôleur au sol a demandé au pilote de circuler sur la voie de circulation et d’arrêter avant la piste 28 jusqu’à ce qu’il obtienne l’autorisation de traverser la piste.

Presque au même moment, le contrôleur de la circulation aérienne a autorisé un Beech King Air, avec trois membres d’équipage à bord, à décoller de la piste 28.

Toutefois, le Dash-8 s’est engagé sur la piste 28 sans s’arrêter alors que le King Air avait presque atteint sa vitesse de décollage. Celui-ci a interrompu son décollage et bifurqué à droite de l’axe de piste pour passer environ 40 pieds derrière le DHC-8. Personne n’a été blessé, mais le King Air a subi des dommages mineurs causés par la décélération rapide.

Dans son rapport, le BST considère que cet événement est d’une gravité «extrême». L’organisme souligne que Sky Regional Airlines et Nav Canada, responsable du contrôle aérien, ont modifié leurs procédures pour réduire le risque d’une telle incursion sur piste. De son côté, Aéroports de Montréal a amélioré la signalisation sur la voie de circulation de part et d’autre de la piste 28.

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Négociations inachevées dans la constructionpas encore de reprise mais bientôt

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MONTRÉAL – Les négociations en vue de renouveler les conventions collectives dans le seul secteur de l’industrie de la construction qui n’était pas parvenu à une entente, l’été dernier, n’ont toujours pas été relancées, six mois plus tard. Mais elles devraient finalement commencer au début du mois de février, a appris La Presse Canadienne.

L’été dernier, des ententes étaient intervenues entre les parties patronales et syndicales dans le secteur de la construction résidentielle et dans celui du génie civil et voirie. Toutefois, l’important secteur industriel, commercial et institutionnel, qui concerne quelque 80 000 ouvriers, n’avait pu conclure d’entente.

En conséquence, une loi spéciale avait été adoptée, forçant le retour au travail le 2 juillet dernier. Mais la ministre du Travail, Agnès Maltais, avait été claire: elle demandait aux parties qui n’avaient pas encore conclu d’entente de retourner à la table de négociation pour conclure une convention négociée d’ici le 30 juin 2014.

Entre-temps, les salaires avaient été majorés de 2 pour cent jusqu’au 30 juin prochain et les frais de déplacement avaient été augmentés.

Or, depuis juillet dernier, les parties ne sont pas retournées à la table de négociation, malgré l’ampleur du fossé qui les sépare. Mais les choses devraient changer bientôt, a-t-on appris.

«On est pratiquement prêt» pour commencer la négociation avec la partie patronale, a indiqué jeudi Yves Ouellet, directeur général de la FTQ-Construction et porte-parole de l’Alliance syndicale. «On a quasiment finalisé nos demandes pour cette négo-là.»

«On a demandé une date pour commencer les négos et présenter les demandes _ on espère dans les plus brefs délais _ parce qu’on ne veut pas non plus que ça s’éternise», a-t-il commenté.

L’alliance regroupe les cinq organisations syndicales du secteur de la construction, à savoir la FTQ-Construction, le Conseil provincial du Québec des métiers de la construction (international), la CSD-Construction, la CSN-Construction et le Syndicat québécois de la construction.

M. Ouellet tient à corriger une impression que plusieurs avaient. «Il y en a qui pensaient qu’on continuait une négociation déjà entamée, mais ce n’est pas ça. La loi, de la manière qu’elle est faite, c’est une nouvelle négociation qui recommence avec tous les processus qu’il faut suivre. Il faut dénoncer la convention, envoyer les lettres aux employeurs, au gouvernement; il faut faire un protocole d’entente avec les employeurs, etc. C’est toute la poutine qui recommence à zéro. Ce n’est pas ‘on se rassoit et on recommence où on était le dernier coup’», a-t-il corrigé.

Quelque 80 000 des 165 000 ouvriers de la construction du Québec sont concernés par cette négociation. Le secteur qu’on appelle ICI constitue en fait deux secteurs, soit l’industriel, d’une part, et le commercial et institutionnel d’autre part. Il inclut de grands chantiers de construction comme la construction des hôpitaux universitaires.

M. Ouellet rappelle que le fossé qui séparait les parties, en juin dernier, était considérable _ ce qui laisse croire que bien des clauses de la convention collective seront encore à l’ordre du jour. «Les travailleurs de la construction ont été pratiquement deux semaines en grève sur des points extrêmement précis. Ils n’ont pas fait ça parce qu’ils avaient l’intention d’avoir du fun. Ce n’était pas des vacances de plus qu’ils se payaient. Il y a une logique là-dedans. Il n’y a pas eu une grève _ après 30 ans qu’il n’y en ait pas eue _ parce que ces demandes-là, on les aurait faites pour le fun», a-t-il justifié.

Du côté de l’Association de la construction du Québec _ l’association patronale qui négocie dans le secteur ICI _, on confirme que les rencontres de négociation n’ont pas encore débuté, mais que cela ne devrait plus tarder.

«On est tout à fait disponible pour négocier», a indiqué Éric Côté, porte-parole pour l’Association de la construction du Québec.

La question de la rémunération des heures supplémentaires avait été un des principaux points en litige, lors de la dernière négociation. L’ACQ demandait également plus de «flexibilité dans les conventions collectives», disant vouloir ainsi présenter «une facture raisonnable aux clients».

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Charte Drainville doit se dissocier d’Yves Michaud affirme le PLQ

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QUÉBEC – L’opposition libérale presse le ministre Bernard Drainville de se dissocier des propos du militant indépendantiste Yves Michaud.

Lors d’un entretien accordé à La Presse Canadienne plus tôt cette semaine, l’ex-délégué général du Québec à Paris a exprimé son appui à la charte de la laïcité tout en s’en prenant aux opposants au projet. Il a suggéré aux employés des services publics qui refuseront de se départir de leurs symboles religieux au travail de quitter le Québec.

De tels propos sont «totalement inacceptables», a soutenu le porte-parole de l’opposition officielle en matière de justice, Gilles Ouimet, en point de presse, jeudi.

Le député de Fabre reproche à l’octogénaire souverainiste de diviser les Québécois en deux classes de citoyen: les bons, c’est-à-dire ceux qui appuient les orientations péquistes, et les autres.

M. Ouimet estime que le ministre Drainville, responsable du projet de loi 60 qui institue la charte, a le devoir d’intervenir publiquement pour remettre les pendules à l’heure et désavouer le point de vue de M. Michaud.

«M. Drainville doit se dissocier de ces propos et le faire clairement», a déclaré le député libéral devant un groupe de reporters.

«Ce que M. Michaud exprime, c’est cette idée que la charte de M. Drainville entretient, cette idée des bons Québécois et des mauvais Québécois. C’est ça qui est totalement inacceptable», a-t-il ajouté.

De l’avis de M. Ouimet, ce nouveau chapitre dans le débat sur la laïcité et les valeurs montre à quel point le projet de charte «divise» la société québécoise.

«On n’a pas besoin de ça», a-t-il dit.

Opposé au projet de loi 60, le PLQ présentera au caucus «dans les prochains jours» le rapport du comité interne du parti sur l’intégrisme religieux au sein duquel siège notamment la députée Fatima Houda-Pepin.

La question du code vestimentaire des agents de l’État investis d’un pouvoir coercitif _ policiers, juges, procureurs de la Couronne, gardiens de prison _ a été abordée pendant les travaux.

Coprésidé par M. Ouimet, le comité proposera des «balises» pour cette catégorie de représentants de l’État, sans interdire formellement le port de signes religieux.

«Ce n’est pas le chemin de l’interdiction qui est privilégié», a précisé M. Ouimet.

Toujours en vacances, le ministre Drainville n’a pu être joint, de son côté, pour réagir aux propos controversés de M. Michaud sur les opposants à la charte.

Son collègue de la Justice, Bertrand St-Arnaud, a cependant tenu à lancer un appel au respect des opinions des «uns et des autres» dans ce débat.

Prudent, M. St-Arnaud a refusé de condamner la sortie de M. Michaud, affirmant ne pas avoir lu «attentivement» ses propos.

«J’ai pas lu exactement ce qu’il a dit alors je ne commencerai pas à commenter ses propos. Cela dit, le débat sur la laïcité est important pour la société québécoise et il doit se tenir dans le calme et le respect», a-t-il souligné.

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Le producteur de théâtre Garth Drabinsky ne pourra ravoir l’Ordre du Canada

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TORONTO – L’ancien producteur de spectacles torontois Garth Drabinsky a perdu son combat judiciaire pour récupérer son titre de l’Ordre du Canada, qui lui avait été retiré alors qu’il purgeait une peine de prison pour fraude.

Un juge de la Cour fédérale a estimé qu’il n’y avait «aucun fondement» pour autoriser une révision judiciaire de la décision du Conseil consultatif de l’Ordre du Canada.

Le juge James O’Reilly, qui a entendu les plaidoiries dans ce dossier en septembre dernier, a estimé que le Conseil consultatif de l’Ordre, son secrétaire général et le gouverneur général, qui gèrent l’attribution des distinctions, avaient traité M. Drabinsky de façon juste en lui permettant de présenter ses arguments pour contester le retrait de son titre. Le juge O’Reilly a rendu sa décision cette semaine.

M. Drabinsky, qui a été libéré d’une maison de transition de Toronto à la fin de 2012 après avoir purgé une peine de cinq ans de prison, avait demandé à la cour d’invalider la décision du Conseil consultatif de l’Ordre du Canada.

Puisqu’il est maintenant sorti de prison, il voulait que la cour ordonne au Conseil d’entendre de nouveaux motifs pour lesquels il estime avoir droit de garder le titre reçu en 1995.

Son avocat, John Koch, avait plaidé que la façon dont M. Drabinsky a été dépouillé de son titre constituait «un déni des principes généraux du droit». Me Koch a plaidé qu’il n’était pas certain que le Conseil consultatif ait rapporté adéquatement ses conclusions en recommandant au gouverneur général que M. Drabinsky soit dépouillé de l’Ordre du Canada.

Mais un avocat du Conseil consultatif a affirmé que le processus d’examen avait été juste et avait largement pris en compte les arguments de M. Drabinsky. Le Conseil consultatif de l’Ordre du Canada a également fait valoir que la Cour fédérale n’avait pas le pouvoir de réviser ses décisions sur l’attribution de titres honorifiques.

Le juge O’Reilly a finalement conclu que Garth Drabinsky avait été traité de façon juste dans ce dossier.

M. Drabinsky et son partenaire d’affaires, Myron Gottlieb, ont été condamnés en 2009 dans le cadre d’une affaire de fraude fiscale qui a mené à la chute de Livent Inc., l’entreprise derrière des succès théâtraux comme «Le Fantôme de l’opéra» et «Ragtime».

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Internet en Chine et maintenant l’autocensure

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Mark Zuckerberg, créateur de Facebook, a beau affirmer sans rire que la vie priv

Photo: iStock

Des concepteurs informatiques chinois commencent à dévoiler la censure systématique à laquelle se livrent, d’eux-mêmes, les plus beaux fleurons du Web chinois.

Un informaticien de Tencent — principal portail de services Internet en Chine — a ainsi révélé au journal Le Monde, sous le couvert de l’anonymat, avoir dû intégrer des filtres aux produits qu’il créait. (Il existe une base de données de termes interdits auxquels ces filtres sont associés.)

L’utilisateur ne saura pas qu’il a été censuré, mais son ordinateur affichera un message de problème technique : service interrompu, erreur de serveur, etc.

Les entreprises — appâtées par ce grand marché de 591 millions d’internautes — agissent ainsi parce qu’elles craignent que Pékin ne débranche leurs serveurs, ce qui est arrivé au printemps 2012 à Sina Weibo, le Twitter chinois.

Les autorités chinoises poursuivent depuis peu les blogueurs qui diffusent des « rumeurs » vues par plus de 50 000 personnes ou partagées plus de 500 fois.

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À quand un express pour la Chine

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chine

Photo : Danita Delimont / Alamy

Bien des journalistes vous le diront : rien ne vaut le confinement d’un siège d’avion pour soutirer des informations ! Quand je pars en reportage à l’étranger, je commence à travailler bien avant d’arriver.

Dès l’embarquement, je vois des passagers échanger poignées de main et cartes de visite. Chaque fois, je me dis que l’aéroport est devenu le terrain de golf de la nouvelle génération de gens d’affaires.

AUSSI SUR L’ACTUALITÉ.COM :
La bataille des liaisons aériennes [audio] >>
Carte interactive : les destinations accessibles en avion à partir du Canada >>

Certaines liaisons sont plus propices que d’autres pour réseauter. J’aimerais bien monter à bord du légendaire Bangalore Express, ce vol de la compagnie aérienne allemande Lufthansa qui transporte quotidiennement des entrepreneurs de la Silicon Valley vers Bangalore, capitale technologique de l’Inde.

Cette liaison est si bien fréquentée depuis son inauguration, en 2001, que certains n’hésitent pas à payer 17 300 dollars pour un aller-retour en première classe, dans l’espoir de faire le trajet aux côtés d’un PDG influent !

Le vol quotidien vers San Francisco qu’a inauguré, il y a quelques semaines, Air Canada, deviendra-t-il notre San Francisco Express ? Autrefois limitée à l’été, la liaison est maintenant offerte toute l’année.

Michel Archambault, président du Bureau des gouverneurs de la chaire de tourisme Transat, à l’UQAM, s’en réjouit. Depuis une dizaine d’années, il milite pour qu’il y ait plus de liaisons directes entre Montréal et les points chauds de l’économie mondiale. « Imaginez, Montréal n’a aucun vol direct vers l’Asie, alors que Toronto en compte 63 ! »

En se basant sur des études réalisées pour des villes américaines de taille comparable, il estime que Montréal est privée de retombées de plus de 300 millions de dollars par année. « Il y a 10 millions de passagers qui transitent chaque année par Toronto en provenance de Montréal. Juste en taxes de transit, les Québécois ont laissé depuis 10 ans à l’aéroport Pearson l’équivalent de deux toits du Stade olympique. »

Il y a un an, Michel Archambault a soulevé un tollé en dénonçant ce fait dans une lettre au quotidien Le Devoir. Son intervention a été perçue comme une charge contre le principal transporteur aérien du pays, Air Canada, qui a fait de Toronto sa plaque tournante. « C’était surtout une sonnette d’alarme destinée aux acteurs économiques et touristiques », dit-il.

Selon l’Organisation mondiale du tourisme, 100 millions de touristes chinois sillonneront la planète d’ici 2020. Pour les attirer ici, il faut offrir des vols directs, croit Michel Archambault. Déjà, depuis que le Canada a obtenu le statut de destination approuvée par Pékin, en juin 2010, le nombre de voyages effectués par des Chinois au Québec a augmenté de 90 %.

Air Canada n’est pas sourde à cette nouvelle réalité. Le transporteur négocie déjà avec Aéroports de Montréal (ADM) et Air China pour offrir un vol direct entre Pékin et Montréal. Mais la première liaison ne sera pas effective avant 2015, selon ADM. Il faut d’abord pouvoir offrir des heures de vol décentes — l’aéroport de Pékin, dont la capacité est de 82 millions de passagers par an (au deuxième rang mondial, après Atlanta), est ultra-congestionné. Ensuite, il faut des appareils technologiquement capables d’effectuer le vol sans escale, ce que pourront faire les DreamLiner, qui seront livrés à Air Canada en 2014. Et il faut les remplir, ces avions ! Selon ADM, 150 personnes s’embarquent chaque jour à Montréal à destination de la Chine, via Toronto. Cela représente 60 % de la capacité totale du vol. C’est déjà ça.

Enfin, le succès d’une liaison directe repose sur les voyageurs d’affaires. L’aéroport de Calgary a réussi à obtenir un vol direct vers Tokyo en offrant à Air Canada une réduction de ses frais aéroportuaires et en finançant une campagne de promotion auprès des gens d’affaires en Alberta, mais aussi au Japon !

Alors, on le prend quand, ce San Francisco Express ?

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Rob Ford se demande pourquoi Ottawa ne décriminaliserait pas la marijuana

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TORONTO – Le maire de Toronto, Rob Ford, se demande pourquoi le gouvernement fédéral ne décriminaliserait pas la marijuana.

Le maire a été appelé à se prononcer sur la question, jeudi, dans le cadre de l’émission de radio de Washington «The Sports Junkies», où il est commentateur sportif invité.

M. Ford, qui a déjà admis qu’il avait fumé «beaucoup» de marijuana dans sa vie, a affirmé jeudi que la décriminalisation ne verra probablement pas le jour au Canada tant que les conservateurs seront au pouvoir.

Mais il remet en question cette politique, se demandant pourquoi les conservateurs «ne décriminaliseraient pas à tout le moins la marijuana pour tenter d’en tirer des revenus».

Le maire Ford a aussi confirmé aux animateurs de l’émission de radio qu’il avait donné de l’argent à sa femme pour Noël — 5000 $, pour être exact —, avant d’y aller de ses habituelles prédictions pour les matchs de football américain.

Le maire a dit avoir été la cible de certains reproches pour ses commentaires tenus lors de sa précédente entrevue à l’émission. Il avait alors dit qu’il donnerait de l’argent à sa conjointe pour Noël car «les femmes aiment l’argent», tout en ajoutant que son épouse était «très heureuse» de ce cadeau.

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Pilule antidécalage

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Des scientifiques japonais pensent être sur la piste d’un traitement contre le décalage horaire.

En bloquant l’action de la vasopressine (une hormone sécrétée par l’hypothalamus), ils ont réussi en quelque sorte à remettre à zéro l’horloge interne du cerveau, écrivent-ils dans la revue Science.

Des tests sur des souris génétiquement modifiées se sont avérés prometteurs. Seul hic : la vasopressine est essentielle au bon fonctionnement des reins !

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Le PQ veut refiler une nouvelle facture aux automobilistes selon la CAQ

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QUÉBEC – Les automobilistes se verront refiler la facture pour le financement du transport en commun, redoute la Coalition avenir Québec (CAQ).

En point de presse, jeudi, le député Éric Caire a exigé du ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, qu’il exclut toute nouvelle hausse de la taxe sur l’essence dans sa politique de mobilité durable.

Le report, peu avant les Fêtes, du dépôt de cette nouvelle politique attendue depuis deux ans n’augure rien de bon, selon le député de La Peltrie.

À son avis, le gouvernement Marois s’apprête à réduire sa participation financière dans le transport collectif pour refiler la facture aux automobilistes.

M. Caire se méfie du ministre Gaudreault à qui il impute un préjugé défavorable envers l’automobile. Il rappelle aussi que le ministre a évoqué, le printemps dernier, la possibilité d’une taxe supplémentaire sur l’essence dans le cadre de la future entente Québec-municipalités.

Les signaux envoyés par M. Gaudreault font craindre un scénario «apocalyptique» pour les contribuables déjà surtaxés, a soutenu le député caquiste.

«Quand Sylvain Gaudreault nous dit: ‘Je reporte la politique pour des raisons de contexte budgétaire’, s’il y a quelqu’un qui pense que c’est parce qu’il veut annoncer des bonnes nouvelles, tant mieux pour lui, mais moi, je ne crois pas au Père Noël», a-t-il dit.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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