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Insolite à 5 ans il écrit au monde entier

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toby

Toby Little, 5 ans, a décidé d’écrire une lettre manuscrite à au moins une personne dans les 193 pays reconnus par l’ONU. C’est après avoir lu un livre intitulé « Une lettre à la Nouvelle-Zélande » que Toby a décidé de tenter cette expérience.

L’enfant a déjà envoyé 251 courriers et a reçu plus de 72 réponses. Son prochain objectif est de « faire le tour du monde » comme le raconte sa maman.

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Air France est “en voie d’être sauvée” affirme son PDG

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air-france

Air France est encore déficitaire, mais ses dirigeants espèrent renouer avec les bénéfices dès 2014, au prix d’un vaste plan de réduction de ses effectifs. La compagnie a présenté vendredi à son comité central d’entreprise un nouveau plan de départs volontaires, à hauteur de 1.826 postes dans son personnel au sol. D’autres suivront l’an prochain pour ce qui est du personnel naviguant.  

“Air France est en voie d’être sauvée, mais il faut que nous fassions tout ce que nous avons dit. Les personnels se sont engagés dans un énorme plan. On leur a demandé des efforts considérables : ils ont augmenté leur temps de travail, ils ont augmenté les heures de vol, ils ont changé leur façon de travailler”,

s’est félicité le PDG du groupe Alexandre de Juniac, ce lundi matin 7 octobre sur Europe 1.

Telle une montgolfière qui se délesterait de ses sacs de sable suspendus à la nacelle pour mieux s’envoler, Air France a décidé de réduire son personnel de plusieurs milliers de postes. La compagnie française s’est dotée d’un nom volontariste pour désigner officiellement la grande restructuration qui devrait lui permettre de renouer avec le profit et de tenir la dragée haute face aux compagnies low cost qui viennent marcher sur ses plates-bandes : « Transform 2015 ».

« La réduction des effectifs aura déjà été très significative chez Air France : 5122 postes supprimés, puis 2800 plus récemment, auxquels il faut ajouter un millier de postes à l’étranger. [...] A l’issue de Transform 2015, nous allons continuer à nous moderniser, à améliorer notre compétitivité, mais sans plan de départ massif »,

avait promis le PDG d’Air France-KLM Alexandre de Juniac, dans le journal Les Échos, mercredi dernier.

Les 2 800 postes évoqués correspondent à la seconde phase du plan « Transform 2015 » : soit les 1.826 postes dans son personnel au sol présentés vendredi + 1000 emplois dans le personnel naviguant au début de l’année prochaine, pilotes, hôtesses et stewards.

Le patron d’Air France, Frédéric Gagey, explique que la grande faiblesse de la compagnie est de ne pas savoir s’adapter aux variations saisonnières très importantes. L’idéal, estime-t-il, serait de pouvoir ajuster les effectifs de son personnel en fonction de l’activité, élevée en été, basse en hiver (schématiquement).

« Alors que notre activité est très saisonnière, nous manquons de flexibilité pour nous adapter aux périodes plus creuses. »

Le personnel doit donc s’attendre à une annualisation du temps de travail voulu par la direction.

Transavia au cœur de la stratégie

La compagnie low-cost Transavia, filiale d’Air France, aura un rôle à jouer dans cette grande stratégie, en proposant des vols pas chers au départ de l’aéroport d’Orly, pour la France et l’Europe. Frédéric Gagey indique :

« L’idée n’est pas de substituer Transavia à Air France, mais de réutiliser les créneaux horaires libérés à Orly pour développer l’activité de Transavia sur les liaisons européennes à dominante loisirs, qui offrent des perspectives de croissance et sur lesquelles les coûts unitaires de Transavia lui permettent d’être rentable»,

Des secousses chez les salariés ?

Les représentants syndicaux ne partagent pas l’optimisme de leur direction, rappelle Les Échos. Le secrétaire général de FO-Air France déplore :

« Les personnels sont inquiets ; ils n’ont plus confiance dans la direction et ne voient pas de perspective. On nous remet une couche au milieu d’un projet qui devrait nous ramener à l’équilibre. Avec le recul, on a l’impression de s’être fait berner. »

Source : Les Échos, Le Figaro
Photo : kla4067 / Flickr cc.
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Top 10 des villes où il ne fait pas bon de vivre

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danger

Après vous avoir parlé des villes les plus agréables, on se focalise cette semaine sur les pires villes dans le monde où il ne fait pas bon vivre. Etabli par The Economist, ce classement se base sur les plusieurs critères : stabilité, soins de santé, infrastructures de la métropole, éducation, culture et environnement.

10. Téhéran, Iran

téhéran

Avec une moyenne de 45,8/100, Téhéran arrive à la 10e place. Ces dernières semaines, la capitale iranienne a plutôt fait la une des journaux en raison d’un contexte politique tendu que pour l’activité touristique de la tour Milad, 6e plus haute tour du monde actuellement.

9. Douala, Cameroun

Douala

Principale centre d’affaires du Cameroun, Douala est aussi l’une des villes les plus corrompues du pays. La capitale de « l’Afrique en miniature » a une moyenne de 43,3/100.

8. Tripoli, Libye

Tripoli

Depuis la chute de Mouammar Kadhafi, il continue à régner à Tripoli une certaine instabilité politique et une insécurité. Avec une moyenne de 41,7/100, la capitale de la Libye se classe 8e.

7. Karachi, Pakistan

Karachi

Le trésorier de l’organisation Al-Qaida, Ramzi Binalshibh ou encore un important commandant taliban, Abdul Ghani Baradar. De nombreux terroristes ont été arrêtés à Karachi. Ajoutons à cela l’affaire Karachi qui aurait financé la campagne d’Édouard Balladur à l’élection présidentielle de 1995. Ce mélange permet à la capitale du Pakistan d’arriver à la 7e place avec une moyenne de 40,9/100.

6. Alger, Algérie

alger

La Commission consultative de promotion et de protection des droits de l’homme a dressé un constat affligeant : la « corruption dans l’économie algérienne a atteint des proportions insupportables ». « La Blanche » vit des heures sombres. Elle arrive à la 6e position avec une moyenne de 40,9/100.

5. Harare, Zimbabwe

Harare

En 2009, Harare remportait ce classement des pires villes dans le monde pour vivre. Quatre ans plus tard, la ville va un peu mieux, essentiellement grâce à la destruction des bidonvilles. Mais de nombreux efforts restent à faire. La capitale du Zimbabwe arrive à une moyenne de 40,7/100.

4. Lagos, Nigéria

lagos

Corruption, corruption, corruption et … corruption. Le Nigéria est l’un des pays les plus corrompus dans le monde. Selon un rapport de l’organisation des droits de l’homme, Human Rights Watch, même l’agence nigériane contre la corruption (EFCC) est corrompue. Lagos se positionne au pied du podium avec une moyenne de 38,9/100.

3. Port Moresby, Papouasie-Nouvelle-Guinée

Port Moresby

Sur la troisième marche du podium, on retrouve Port Moresby avec une moyenne de 38,9/100. La capitale de Papouasie-Nouvelle-Guinée se classe fréquemment dans les villes les plus dangereuses dans le monde à cause de ses gangs, de ses assassinats réguliers et des ses vols habituels.

2. Dhaka, Bangladesh

dhaka

Première de ce top l’année dernière, Dhaka a été détrônée. Un air pollué, des enfants abandonnés, une eau non potable font les charmes de la capitale du Bangladesh. La plus grande ville du pays prend la médaille d’argent avec une moyenne de 38,7/100.

1. Damas, Syrie

damas

La médaille d’or de la ville où il ne fait pas bon de vivre est attribuée à Damas. Depuis plusieurs mois, les rebelles et les autorités s’entretuent au milieu des civils. D’après les estimations de l’ONU, Guerre civile syrienne dans le cadre du Printemps arabe a fait plus de 100 000 morts depuis 2011. Damas atteint la note de 38,4/100.

C’est Melbourne qui est classée ville la plus agréable au monde pour y habiter avec une moyenne de 97,5/100.

[Photo 1, Photo 2, Photo 3, Photo 4, Photo 5, Photo 6, Photo 7, Photo 8, Photo 9, Photo 10, Photo 11]

Dernières recherches des voyageurs pour cet article :

  • prison

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Un mariage en Septembre

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Juste avant le circuit que j'viens de vous conter ces jours-ci, nous avons fait une petite fête à Agdz chez nos amis Fanny et Bernard. Ils se sont mariés en France cet été et ils ont voulu fêter çà avec leurs amis d'ici. Voilà une chtite vidéo que j'vous livre toute crue. Z'excuserez la qualité...


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La malédiction des Incas

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Dimanche 6 octobre, 18h 30 Juste un petit mot pour parler des deux sites visités. A Ollantaytambo, site à flanc de montagne , vestige d'un temple du soleil , nous avions perdu les billets d'entrée. A Pisaq, c'était le déluge, nous nous sommes trempés , nous n'avons pas vu grand chose. Nous avons dû...


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Trajet en train entre Kandy et Hatton

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Lac Aguelmame Azegza

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Aguelmame Azegza (أكلمام أزيزة), qui signifie « le lac vert » en berbère, est un lac naturel situé à 30 km de la ville Khénifra au Maroc. Présentation D'origine karstique, à une altitude 1474 m, enclavé et occupant une zone dépressive...


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BALADE SUR LA RANCE A DINAN 4

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PETITES CABANES DE PECHEURS


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2013 Notre jardin en octobre / festival de toiles daraignées

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Ce matin 5 octobre, un festival de toiles d'araignées dans notre jardin Diaporama


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La vie

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La vie est une chance, saisis la La vie est une beauté admir la La vie est une beatitude savour la La vie est un rêve fais-en une realité La vie est un defi fais lui face La vie est un devoir accpmplis le La vie est un jeux joue le La vie est precieuse prends-en soin La vie est une richesse...


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Boyas in the Mist

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On se réveille tôt, ce matin, tu sais. Si ; rappelle toi : on faisait du camping sauvage au bord du Jökulsárlón. Les cris des sternes nous ont sorti de notre torpeur. On plie la tente en vitesse, et Monsieur file sur la plage toute proche pour en profiter seul. Pas si seul : il y a déjà des traces :...


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Entrez

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Entrez, mais surtout sans frapper !


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Montréal ville créative et communautaire

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© Elise Rubin

Je vous emmène à la découverte de Montréal, ville créative, dont l'attractivité est souvent comparée à celle de Berlin ou Barcelone.
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Grand Nord beautés d’une région et contradictions pour le voyageur

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Les régions du Grand Nord ne manquent pas d’attraits: nature, animaux, paysages à couper le souffle…Les raisons d’y aller ne manquent pas ! Pour autant, c’est aussi une destination qui peut être sujet à débat. 

Une région peu fréquentée et isolée

Voilà une destination où vous rencontrerez peu de voyageurs ! Le Grand Nord est une des rares zones de la planète encore délaissée par la masse.

Il faut dire que la moitié de l’année, les températures sont vraiment glaciales. Ce monde-là est alors un monde hostile. Tout le monde n’est pas un Mike Horn, lui qui avait fait, entre autres, le tour du globe le long du cercle arctique. Très bon livre au passage.

 

A lire: au sujet de Mike Horn

 

Il faut aussi aimer les déserts blancs. Et puis surtout, y voyager demande un gros budget. Et tant mieux j’allais vous dire (voir plus bas).

 

Le grand Nord : de vastes régions hétérogènes

Le grand Nord regroupe de vastes superficies et des cultures diverses : pays scandinaves, Sibérie, Groenland, Islande, Canada, Alaska…Beaucoup d’îles également comme les fameuses îles Spitzberg où j’aimerais beaucoup aller.

Bref, vous avez le choix !

 

La nature avec un grand N

C’est la raison première à mon sens pour y aller. Qui n’a pas rêvé de voir au moins une fois dans sa vie des aurores boréales ? Franchement ?

Sans parler de la banquise, des icebergs, des fjords et autres merveilles de la nature.

L’observation animalière est aussi une activité majeure dans le Grand Nord. Cette région est l’habitat d’animaux sauvages que l’on ne trouve qu’ici.

 groenland voyage Grand Nord: beautés dune région et contradictions pour le voyageur

 

La navigation

C’est le mode de transports le plus répandu. Forcément, l’eau n’est jamais très loin dans ces régions du grand Nord.

Des croisières sont proposées, mais aussi des voyages sur des brises glaces ou des vieux gréements. J’opte pour ma part pour les deux derniers !

Une foule d’activités

Vous aurez le choix en la matière : canoës, kayak, motoneige, raquettes, ski de fond, traineaux à chiens, et j’en passe !

Comment voyager dans cette région ?

En indépendant

La chose n’est pas facile et se mérite. Votre budget va en prendre un coup aussi.

Rien que prendre un vol pour le Groenland représente une grosse somme.

Par une agence spécialisée

Il existe plusieurs agences spécialisées sur le Grand Nord. Elles ont le vent en poupe.

Passer par une agence pour voyager dans le grand Nord peut tout à fait se justifier. En effet, une agence fournira les moyens de déplacements dans une région où les transports publics sont quasiment inexistants.

En termes de sécurité, c’est aussi une bonne chose. La nature présente certains risques. De plus, avoir un guide passionné qui vous explique tout sur la faune, la flore et le mode de vie local est tout de même très intéressant.

Vous trouverez plusieurs agences sur le net. L’une des plus renommées est l’agence Grand Nord, Grand large. Cette agence propose aussi des voyages sur-mesure. Regarder sur ce site pour voyager dans le grand nord !

 voyage grand nord Grand Nord: beautés dune région et contradictions pour le voyageur

 

Or blanc et contradictions

Je me souviens d’un reportage sur France 2 qui enquêtait sur ce tourisme de niche. La journaliste interrogeait le propriétaire d’une petite agence locale au Groenland. Les affaires marchaient bien pour lui.

Il était pleinement conscient que son business allait s’écrouler dans 20 ans lorsque les glaces auront reculé, voire disparu dans cette région. Du coup, il essayait de se faire un maximum d’argent durant ce laps de temps, avant que l’or blanc disparaisse.

En résumé, son activité consiste à amener des touristes qui contribuent par leurs déplacements au réchauffement et à la fonte des glaces. Glaces qui sont à la base de son business.

Cela peut sembler paradoxal et cynique. C’est la réalité de ce chef d’entreprise et de beaucoup d’autres.

Tout n’est pas négatif. Il est évident que si vous ou moi allons constater de nos yeux le recul des glaces, les implications sur place et la beauté de cet univers, nous allons revenir sans doute plus sensibilisés au problème du réchauffement non ?

Oui, mais nous ne seront jamais qu’une infime minorité. Et tout le monde ne se pose pas de questions en voyage. Ce sont les politiques qui devraient aller faire ce voyage. Et encore, contrôlées par les lobbies et les oligarchies de ce monde, leurs marges de manœuvre seraient petites.

Que faire alors, point de salut ?

Pour le voyageur, n’est-ce pas une contradiction interne que de se rendre dans le Grand Nord? Il a conscience qu’il n’arrange pas le problème en allant voir sur place. Pourtant il le fait, poussé par sa curiosité.

D’une certaine façon, vous pouvez transposer ce paradoxe à l’échelle du tourisme planétaire.

Heureusement, vous pouvez réduire votre empreinte carbone en voyageant en indépendant, d’une façon responsable et en évitant de prendre l’avion.

Qu’en pensez-vous ? Aimeriez-vous aller dans cette région du monde ? 

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50 sites canadiens à voir une fois dans sa vie

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La semaine dernière, le magazine National Geographic Traveler lançait 50 places of a lifetime: Canada, en collaboration avec la Commission canadienne du tourisme.

Pour produire ce « supermagazine en ligne », la célèbre société a fourni de (généralement superbes) photos de même que des « histoires fascinantes » (lire: de brefs survols et des textes pratico-pratiques) écrits par les « meilleurs rédacteurs touristiques canadiens » (lire: chez les anglophones).

La baie de Percé - Crédit:

La baie de Gaspé – Crédit: Catherine Karnow

Les textes sont regroupés en quatre catégories : pays aux mille visages  (Country Unbound, qui traite de « la civilisation et de la nature en harmonie »; villes (Urban Places); les grands espaces (Wild Spaces) ; et paradis terrestre (Paradise Found) : les « retraites qui ressourcent l’âme ».

Des 50 sites choisis, le Québec fait bonne figure puisqu’il revient à 8 reprises: la chaîne des Laurentides, Charlevoix, les Cantons-de-l’Est, les Îles de la Madeleine, la péninsule de Gaspésie, le Saguenay-Lac-Saint-Jean, Québec et Montréal y sont tous mentionnés, mais pas toujours avec exactitude.

Crédit: Melissa Farlow

Crédit: Melissa Farlow

Ainsi, la journaliste qui a écrit le texte sur la métropole québécoise recommande notamment d’aller faire un tour chez Wilensky’s, dans le Mile-End  (« où a vécu Mordecai Richler », encore lui), pour « goûter un smoked meat montréalais », pourtant absent du menu de cette gargote historique, réputée pour ses sandwiches graisseux salami-moutarde.

Entre autres endroits retenus dans le ROC, soulignons également les incontournables parcs de Jasper, Banff et Gros Morne, mais aussi les Badlands, Yellowknife et le Grand lac des Esclaves, la péninsule du cap Breton, Vancouver, Toronto, Lunenburg…

La réserve mondiale de Biosphère de la baie Clayoquot, en Colombie-britannique - Crédit: Jeremy Koreski/Getty Images

La réserve mondiale de Biosphère de la baie Clayoquot, en Colombie-britannique – Crédit: Jeremy Koreski/Getty Images

Parmi les autres lieux choisis, mais qui jouissent de moins de notoriété, on compte aussi les Discovery Islands (C.-B.), Big Muddy Valley (Sask.), la réserve de Biosphère de la baie Clayoquot (C.-B.) et le parc provincial Quetico (Ont.), pour ne nommer qu’eux.

Évidemment, les choix sont parfois discutables, comme dans tous les palmarès de ce genre, a fortiori quand on réalise que 50 sites, c’est bien peu pour un pays aussi vaste. Mais fallait-il vraiment inclure Saskatoon et Winnipeg sur cette liste?

Le parc national de Banff – Crédit: Jonathan Irish

À cet égard, au cours du mois d’octobre, les internautes qui fréquenteront le site du magazine sont invités à se prononcer sur leur destination canadienne préférée, en remplissant le formulaire « Mon choix de destination à visiter une fois dans sa vie ». Les destinations qui reviendront le plus souvent seront dévoilées en novembre.

Enfin, quatre galeries de photos inédites seront mises en ligne, de façon progressive, tout au long du mois d’octobre.

Aurores boréales aux abords du Grand lac des Esclaves, dans les Territoires du Nord-Ouest – Crédit: Jason Pineau

Pour consulter la liste des 50 sites, cliquez ici.

Pour me suivre sur Twitter, rendez-vous ici; sur Facebook, plutôt là.

 

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L’intégrité au menu

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Intégrité. C’est l’enjeu numéro un de la campagne électorale à Montréal. Elle n’est pas si lointaine, l’époque où l’hôtel de ville tremblait sous les scandales à répétition: financement illégal d’Union Montréal, vente à rabais de terrains municipaux, collusion parmi les entrepreneurs et les ingénieurs, complicité des élus et des fonctionnaires.

Vendredi, le maire par intérim, Laurent Blanchard, a laissé son legs à la postérité. Avec l’appui du gouvernement du Québec, Montréal a annoncé un resserrement des règles d’attribution des contrats. Encore une fois.

Dorénavant, tous les contrats de voirie de 100 000 $ et plus et tous les sous contrats de 25 000 $ et plus seront assujettis à la loi 1. Pour brasser des affaires à Montréal, la certification de l’Autorité des marchés financiers (AMF) devient un incontournable. Cette nouvelle exigence vise à prévenir que des entreprises exclues des contrats publics pour mauvaise conduite puissent revenir par la porte d’en arrière en agissant à titre de sous-traitants pour des firmes exemptes de reproches.

Depuis le début de la campagne, on assiste à une surenchère des candidats à la mairie, sauf une exception, sur le thème de l’intégrité. Jusqu’à présent, voici ce qu’ils ont promis pour endiguer la corruption.

Denis Coderre: création d’un poste d’inspecteur général, avec des pouvoirs coercitifs pour enquêter et sanctionner les actes de corruption dans tout l’appareil municipal. Il entend aussi procéder à des vérifications de sécurité avant l’embauche des hauts fonctionnaires. De tous les candidats, M. Coderre est celui qui s’est le moins mouillé sur le thème de l’intégrité. Il faut dire qu’il a l’habitude de révéler ses engagements au compte-goutte et qu’il n’a pas encore abordé le sujet pourtant névralgique de la lutte à la corruption.

Marcel Côté: Sa coalition se veut «pragmatique» et elle propose de faire table rase du passé. Au lieu d’interdire aux entreprises fautives de soumissionner à Montréal, il suggère de punir les coupables, en les forçant de rembourser les sommes perçues en trop. Pour éviter les délais inhérents au système judiciaire, M. Côté suggère une médiation. Reprenant une partie du programme de Vision Montréal, il propose aussi la création d’un poste de commissaire à l’éthique à temps plein, relevant exclusivement du conseil municipal. M. Côté suggère enfin de poursuivre la diffusion des séances du comité exécutif, et de revoir la loi 102 pour accorder une place prépondérante au critère de la qualité dans l’octroi des contrats.

Richard Bergeron: son parti, Projet Montréal, propose une petite révolution démocratique en réduisant les pouvoirs du comité exécutif (la première instance décisionnelle) dans l’octroi des contrats. Il en appelle à un plus grand rôle pour le conseil municipal et les commissions permanentes. Celles-ci seraient représentatives de tous les partis et elles assumeraient une partie des responsabilités de l’exécutif. Le conseil municipal deviendrait la seule instance décisionnelle. Toutes les séances du comité exécutif et des commissions devraient être diffusées dans Internet, une mesure visant à accroître la transparence.

Mélanie Joly: elle propose une amnistie pour les entreprises fautives, à la condition qu’elles remboursent les sommes volées aux Montréalais et qu’elles se dotent de nouvelles règles de gouvernance. Se disant elle aussi «pragmatique», elle s’écarte des politiques publiques visant à durcir les règles. Les processus actuels d’octroi des contrats sont trop lourds et ils pèsent sur l’économie montréalaise, croit-elle. Pour contrebalancer ce pragmatisme aux accents de laisser-faire, elle suggère d’accroître la transparence en diffusant dans Internet davantage d’informations sur les appels d’offres et l’octroi des contrats. Elle demande enfin une révision de la loi 102 afin de prendre en compte des critères autres que le prix (rapidité d’exécution, qualité et impacts environnements) dans l’évaluation des appels d’offres.

Si l’on résume la situation, deux indolents (Mélanie Joly et Marcel Côté) trouvent que Québec va trop loin avec le durcissement des règles, et ils sont près à passer l’éponge sur plus d’une décennie de vol au nom du sempiternel développement économique. Un insouciant (Denis Coderre) pense qu’il suffit d’avoir un shérif dans la place pour régler tous les problèmes. Un méfiant (Richard Bergeron) a appris à ne plus faire confiance au comité exécutif, et il plaide pour une révision de la séparation des pouvoirs à l’hôtel de ville.

Aucun ne vous dira la vérité toute crue. En matière de lutte à la corruption et des règles d’attribution des contrats, le vrai pouvoir est à Québec. La loi 1 est là pour rester. Le gouvernement en a soupé des frasques des élus municipaux, tantôt aveugles, tantôt complices des stratagèmes de collusion et de corruption.

Les élus locaux devront s’y faire. Ils ont perdu beaucoup de latitude et d’autonomie au gré des scandales et des resserrements des règles. Le thème de l’intégrité ne leur appartient plus tout à fait.

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Mairie de Montréal l’intégrité au menu

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Intégrité. C’est l’enjeu numéro un de la campagne électorale à Montréal. Elle n’est pas si lointaine, l’époque où l’hôtel de ville tremblait sous les scandales à répétition: financement illégal d’Union Montréal, vente à rabais de terrains municipaux, collusion parmi les entrepreneurs et les ingénieurs, complicité des élus et des fonctionnaires.

Vendredi, le maire par intérim, Laurent Blanchard, a laissé son legs à la postérité. Avec l’appui du gouvernement du Québec, Montréal a annoncé un resserrement des règles d’attribution des contrats. Encore une fois.

Dorénavant, tous les contrats de voirie de 100 000 $ et plus et tous les sous contrats de 25 000 $ et plus seront assujettis à la loi 1. Pour brasser des affaires à Montréal, la certification de l’Autorité des marchés financiers (AMF) devient un incontournable. Cette nouvelle exigence vise à prévenir que des entreprises exclues des contrats publics pour mauvaise conduite puissent revenir par la porte d’en arrière en agissant à titre de sous-traitants pour des firmes exemptes de reproches.

Depuis le début de la campagne, on assiste à une surenchère des candidats à la mairie, sauf une exception, sur le thème de l’intégrité. Jusqu’à présent, voici ce qu’ils ont promis pour endiguer la corruption:

Denis Coderre: création d’un poste d’inspecteur général, avec des pouvoirs coercitifs pour enquêter et sanctionner les actes de corruption dans tout l’appareil municipal. Il entend aussi procéder à des vérifications de sécurité avant l’embauche des hauts fonctionnaires. De tous les candidats, M. Coderre est celui qui s’est le moins mouillé sur le thème de l’intégrité. Il faut dire qu’il a l’habitude de révéler ses engagements au compte-goutte et qu’il n’a pas encore abordé le sujet pourtant névralgique de la lutte à la corruption.

Marcel Côté: Sa coalition se veut «pragmatique» et elle propose de faire table rase du passé. Au lieu d’interdire aux entreprises fautives de soumissionner à Montréal, il suggère de punir les coupables, en les forçant de rembourser les sommes perçues en trop. Pour éviter les délais inhérents au système judiciaire, M. Côté suggère une médiation. Reprenant une partie du programme de Vision Montréal, il propose aussi la création d’un poste de commissaire à l’éthique à temps plein, relevant exclusivement du conseil municipal. M. Côté suggère enfin de poursuivre la diffusion des séances du comité exécutif, et de revoir la loi 102 pour accorder une place prépondérante au critère de la qualité dans l’octroi des contrats.

Richard Bergeron: son parti, Projet Montréal, propose une petite révolution démocratique en réduisant les pouvoirs du comité exécutif (la première instance décisionnelle) dans l’octroi des contrats. Il en appelle à un plus grand rôle pour le conseil municipal et les commissions permanentes. Celles-ci seraient représentatives de tous les partis et elles assumeraient une partie des responsabilités de l’exécutif. Le conseil municipal deviendrait la seule instance décisionnelle. Toutes les séances du comité exécutif et des commissions devraient être diffusées dans Internet, une mesure visant à accroître la transparence.

Mélanie Joly: elle propose une amnistie pour les entreprises fautives, à la condition qu’elles remboursent les sommes volées aux Montréalais et qu’elles se dotent de nouvelles règles de gouvernance. Se disant elle aussi «pragmatique», elle s’écarte des politiques publiques visant à durcir les règles. Les processus actuels d’octroi des contrats sont trop lourds et ils pèsent sur l’économie montréalaise, croit-elle. Pour contrebalancer ce pragmatisme aux accents de laisser-faire, elle suggère d’accroître la transparence en diffusant dans Internet davantage d’informations sur les appels d’offres et l’octroi des contrats. Elle demande enfin une révision de la loi 102 afin de prendre en compte des critères autres que le prix (rapidité d’exécution, qualité et impacts environnements) dans l’évaluation des appels d’offres.

Si l’on résume la situation, deux indolents (Mélanie Joly et Marcel Côté) trouvent que Québec va trop loin avec le durcissement des règles, et ils sont près à passer l’éponge sur plus d’une décennie de vol au nom du sempiternel développement économique. Un insouciant (Denis Coderre) pense qu’il suffit d’avoir un shérif dans la place pour régler tous les problèmes. Un méfiant (Richard Bergeron) a appris à ne plus faire confiance au comité exécutif, et il plaide pour une révision de la séparation des pouvoirs à l’hôtel de ville.

Aucun ne vous dira la vérité toute crue. En matière de lutte à la corruption et des règles d’attribution des contrats, le vrai pouvoir est à Québec. La loi 1 est là pour rester. Le gouvernement en a soupé des frasques des élus municipaux, tantôt aveugles, tantôt complices des stratagèmes de collusion et de corruption.

Les élus locaux devront s’y faire. Ils ont perdu beaucoup de latitude et d’autonomie au gré des scandales et des resserrements des règles. Le thème de l’intégrité ne leur appartient plus tout à fait.

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Blog de phobac - Lima - suite

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Blog de chrisdjo34 - Adios Mexico city Bienvenidos baja California

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Blog de chrisdjo34 - Adios Mexico city Bienvenidos baja California!!
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Photos autour du Heaven Palace de Pékin Beijing en Chine

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Pekin (Beijing) est une capitale millénaire

chargée de la riche histoire de la Chine

 

Les monuments de Pékin

sont très nombreux et bien souvent magnifiques

 

 

photo Heaven-Palace-de-Beijing.jpg

Vue sur le bâtiment du hall des prières

au coeur du Temple du Ciel de Pekin

(Heaven Temple of Beijing)

 Photos Chine 2013 : tous droits réservés ©

 

 

 

François et Karine,

les deux Québécois des chroniques du vaste monde,

nous font aujourd'hui découvrir

le Heaven Palace, ou Temple du Ciel

 

C'est un lieu chargé de symboles

pour les chinois

car l'Empereur de Chine

étant considéré comme un fils du ciel,

le Heaven Palace lui est logiquement dédié

et les cérénomies et sacrifices sont très nombreux

 

Le Temple du Ciel

est un grand complexe Taoïste

de grosso modo 1 km²

et l'architecture des différents bâtiments

vise à symboliser la relation entre le ciel et la terre

 

 

 

communiste en chine au heaven palace.jpg

Un habitant de Pékintout sourrire en habit communiste

dans le parc du Heaven Palace de Pékin

 Photos Chine 2013 : tous droits réservés ©

 

 

 

 

Le Heaven Palace date du XIIIème siècle,

et a été construit sous le règne de l'empereur Yongle,

le même empereur chinois qui fit construire

la cité interdite au coeur de Pékin

 

Le Temple du Ciel a été complètement rénové

en prévision de jeux olympiques en 2005

et est classé

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Suggestions de lecture deux problèmes de Stephen Harper

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Le premier ministre Stephen Harper a un problème – en fait, plusieurs – avec diverses personnes et organisations. Voici deux textes qui s’attardent à deux d’entre elles: le Sénat et Élections Canada.

Dans le premier, le journaliste Stephen Maher, de Postmedia News, écrit que le premier ministre n’a qu’une personne à blâmer pour les cauchemars que lui donnent ses sénateurs puisque ceux pris à partie au cours des dernières années ont tous été nommés par lui. Et il les a généralement défendus.

Dans le second texte, Kate Heartfield, du Ottawa Citizen, rappelle que depuis les élections de 2006, Stephen Harper et son parti ont eu, après chaque scrutin, maille à partir avec Élections Canada. Et chaque fois, les dépenses électorales du parti ou de candidats étaient au coeur du litige. Heartfield rappelle que M. Harper a affronté Élections Canada devant les tribunaux alors qu’il était président de la National Citizens Coalition, cause qu’il a perdue en Cour suprême. «Il y a un lien entre Stephen Harper le premier ministre pragmatique et Stephen Harper le jeune idéologue. Fondamentalement, le Parti conservateur sous Harper n’aime vraiment pas qu’on lui dise comment dépenser son argent durant une  élection», écrit-elle avant d’anciennes prises de positions du chef conservateur et d’autres controverses qui le hantent encore. Il y a là de quoi faire réfléchir.

Bonne lecture!

 

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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