que va ton faire Mardi, 08 Octobre 2013 12:23 voyage Lire la suite... Y A JAMAIS RIEN QUI VA Mardi, 08 Octobre 2013 12:23 voyage En traînant mes guêtres sur fesse de bouc, j'ai découvert un article sur la cigarette électronique. Je dois préciser que le sujet m'intéresse, dans la mesure où ma Françoise s'y est mise pour essayer de fumer moins de vraies clopes… Donc, je lis l'article : la clope électronique c'est pas... Lire la suite... Un tronc fleuri Mardi, 08 Octobre 2013 12:23 voyage Lire la suite... Vol 714 pour Berlin Mardi, 08 Octobre 2013 11:16 Jef Après avoir découvert une capitale royale en Italie, Turin, je prends la direction d’une autre capitale, un peu plus au nord de l’Europe, une capitale bien contemporaine, la capitale de l’Allemagne, Berlin. La dernière fois que j’ai mis les pieds à Berlin, la porte de Brandebourg avait des petits airs de cage de football. C’était la coupe du monde de football de 2006. Oui 7 ans que je n’avais pas mis les pieds dans une villa qui m’avait pourtant emballé. Dans mon souvenir, il règne dans la capitale allemande une atmosphère assez incroyable. Les grands espaces et bâtiments staliniens, héritages d’un autre monde mariés avec une créativité artistique foisonnante, des bars et des lieux de fêtes insolites… Berlin est pour moi magique. C’est donc avec grand plaisir que j’ai répondu à l’invitation de la Deutsche Bahn qui lance une ligne de train de nuit reliant Paris à Berlin, la City Night Line. Comme vous l’avez sûrement déjà compris je pars donc le soir, pour passer la nuit dans ma voiture lit. J’avoue adorer le concept : passer la nuit dans le train permet non seulement d’économiser une journée mais de donner un petit air d’orient express à ce voyage qui [...] Lire la suite... Blog de lauriannejerome - coordonnées des amis Mardi, 08 Octobre 2013 10:43 voyage Blog de lauriannejerome - coordonnées des amis Lire la suite... « Maman j’ai pris l’avion pour Vegas Mardi, 08 Octobre 2013 10:28 Corentin
La ville du péché attire toujours autant, mais de plus en plus jeune. La presse américaine se délecte de l’histoire d’un jeune garçon de 9 ans qui est parvenu à embarquer dans un avion effectuant la liaison Minneapolis-Las Vegas, seul et sans billet, et s’interroge : comment diable est-il possible de déjouer si facilement la sécurité d’un aéroport ? L’affaire a été révélée dimanche par les autorités du Minnesota, un peu embarrassées. On ne connaît pas les raisons exactes qui ont poussées un jeune américain à embarquer clandestinement pour Las Vegas jeudi dernier. Peut-être trouvait-il sa vie trop monotone à Minneapolis, dans le Minnesota. Peut-être qu’il avait été tenté par la lecture de notre blog présentant les mille et une façons de se marier à Las Vegas ou encore ce club qui sent la poudre, le Machine Guns Vegas. Pat Hogan, porte-parole de l’aéroport de Minneapolis revient partiellement sur les faits : “Il a commandé un repas et l’a mangé, puis il a dit aux serveurs qu’il devait aller aux toilettes. Alors, il a laissé le sac, il a quitté le restaurant et n’est jamais revenu pour payer. On ne sait vraiment pas pourquoi il allait à Las Vegas.”
Le jeune fraudeur a été découvert seulement au cours du vol et a été intercepté par la police dès son arrivée à destination. Tout cela sera sans conséquences pour lui. Mais l’affaire provoque des remous : les aéroports sont-ils aussi sûrs qu’on veut bien le dire ? “Malgré les nombreux points de contrôle et les agents de sécurité, l’aéroport international de Minneapolis/St. Paul a annoncé qu’un enfant de 9 ans a été capable de se faufiler à travers la sécurité pour embarquer sur le vol Delta 1651 pour Las Vegas.”
La sécurité s’est extrêmement renforcée dans les aéroports ces dernières années, en raison notamment de l’électrochoc des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. L’utilisation de scanners corporels est par exemple en train de se généraliser. Pourtant, chacun le sait, le secret, c’est la simplicité. Un simple gamin plein de volonté et avec un peu d’astuce peut donc déjouer la vigilance du personnel de sécurité. Sur CNN, un expert en sécurité a estimé que cet incident est “très inquiétant” : “Depuis le 11 septembre, les mesures prises assurent notre sécurité. Mais il existe encore des failles, et c’en est un parfait exemple.”
Ce n’est pas la première histoire du genre qui défraie la chronique. Souvenez-vous, il était une fois deux petits Irlandais… Vous avez déjà été à Vegas ? Voici une scène extraite du film “Les infidèles”, sur une musique de The Shoes, “Time to dance”. Lire la suite... « Maman j’ai pris l’avion pour Vegas Mardi, 08 Octobre 2013 10:28 Corentin
La ville du péché attire toujours autant, mais de plus en plus jeune. La presse américaine se délecte de l’histoire d’un jeune garçon de 9 ans qui est parvenu à embarquer dans un avion effectuant la liaison Minneapolis-Las Vegas, seul et sans billet, et s’interroge : comment diable est-il possible de déjouer si facilement la sécurité d’un aéroport ? L’affaire a été révélée dimanche par les autorités du Minnesota, un peu embarrassées. On ne connaît pas les raisons exactes qui ont poussées un jeune américain à embarquer clandestinement pour Las Vegas jeudi dernier. Peut-être trouvait-il sa vie trop monotone à Minneapolis, dans le Minnesota. Peut-être qu’il avait été tenté par la lecture de notre blog présentant les mille et une façons de se marier à Las Vegas ou encore ce club qui sent la poudre, le Machine Guns Vegas. Pat Hogan, porte-parole de l’aéroport de Minneapolis revient partiellement sur les faits : “Il a commandé un repas et l’a mangé, puis il a dit aux serveurs qu’il devait aller aux toilettes. Alors, il a laissé le sac, il a quitté le restaurant et n’est jamais revenu pour payer. On ne sait vraiment pas pourquoi il allait à Las Vegas.”
Le jeune fraudeur a été découvert seulement au cours du vol et a été intercepté par la police dès son arrivée à destination. Tout cela sera sans conséquences pour lui. Mais l’affaire provoque des remous : les aéroports sont-ils aussi sûrs qu’on veut bien le dire ? “Malgré les nombreux points de contrôle et les agents de sécurité, l’aéroport international de Minneapolis/St. Paul a annoncé qu’un enfant de 9 ans a été capable de se faufiler à travers la sécurité pour embarquer sur le vol Delta 1651 pour Las Vegas.”
La sécurité s’est extrêmement renforcée dans les aéroports ces dernières années, en raison notamment de l’électrochoc des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. L’utilisation de scanners corporels est par exemple en train de se généraliser. Pourtant, chacun le sait, le secret, c’est la simplicité. Un simple gamin plein de volonté et avec un peu d’astuce peut donc déjouer la vigilance du personnel de sécurité. Sur CNN, un expert en sécurité a estimé que cet incident est “très inquiétant” : “Depuis le 11 septembre, les mesures prises assurent notre sécurité. Mais il existe encore des failles, et c’en est un parfait exemple.”
Ce n’est pas la première histoire du genre qui défraie la chronique. Souvenez-vous, il était une fois deux petits Irlandais… Vous avez déjà été à Vegas ? Voici une scène extraite du film “Les infidèles”, sur une musique de The Shoes, “Time to dance”. Lire la suite... Insolite le premier mariage homosexuel dans les airs Mardi, 08 Octobre 2013 09:50 olivier
Le premier mariage homosexuel dans les airs a été célébré le 19 août dernier, à 9000 mètres d’altitude au-dessus d’Auckland (Nouvelle-Zélande). Le vol reliant Queenstown à Auckland a été exceptionnellement affrété pour l’occasion par la compagnie Air New Zealand. Lynley Bendall et Ally Wanikau, ensemble depuis 14 ans, ont pu se dire oui. [photo] Lire la suite... Newtown Mardi, 08 Octobre 2013 09:37 vacances Newtown, c'est le nom d'un quartier de Wellington. Avant on y trouvait surtout des gens aux revenus modestes, des boutiques de seconde main et des petites maisons en bois multicolores. "Chambre à louer", une occasion à ne pas rater pour les fans de Tigrou ! Aujourd'hui, le quartier devient[...] Lire la suite... Quizz voyage spécial surnom de pays Mardi, 08 Octobre 2013 09:02 olivier
Pour ce 49e quizz, nous avons décidé de faire un quizz voyage spécial surnom de pays. On sait que « l’Outre-Rhin » désigne l’Allemagne, qu’on appelle Monaco, le Rocher. Mais connaissez les autres surnoms des pays ? Bonne chance ! Votre score : Votre classement : Lire la suite... Blog de Egypte2012 - J20 - Back to Jimbaran Mardi, 08 Octobre 2013 02:40 voyage Blog de Egypte2012 - J20 - Back to Jimbaran Lire la suite... BON ANNIVERSAIRE FREDERIQUE Mardi, 08 Octobre 2013 00:00 En Escale Ma chère Fille, Lire la suite... Dernier jour a Miami fin de la première escale Mardi, 08 Octobre 2013 00:00 En Escale Aujourd'hui réveillé par une espagnole qui skype à 6h du mat ! (Génial la vie en collectivité !) lol mais c'est pas grave comme ça on aura plus de temps pour profiter de notre dernière journée & Lire la suite... Deuxième escale Le Pérou Mardi, 08 Octobre 2013 00:00 En Escale Après une nuit difficile dans l'avion (accumulation de la fatigue et sans arrivé à s'installer correctement) nous arrivons au Pérouà 5h20. Le temps de passer au poste douanier pour ajouter un nouveau tamp Lire la suite... Les Colin font un tour de train au Sri Lanka Mardi, 08 Octobre 2013 00:00 En Escale Nous avons lu dans les guides touristiques que les trains Sri Lankais sont superbes, surtout dans les régions montagneuses du centre.Cela tombe bien car nous passions quelques jours &agr Lire la suite... Le Plan Sud du gouvernement Marois Lundi, 07 Octobre 2013 22:07 Stéphane Gobeil Photo: Paul Chiasson/Presse canadienne Avec cette politique économique priorité emploi, il n’y a pas à dire, le gouvernement Marois frappe fort! L’ambition à court terme : créer plus de 100 000 emplois de qualité dans les trois prochaines années. L’ambition à long terme : faire de l’économie québécoise un moteur de création de richesse carburant à l’innovation, aux exportations et à l’électrification des transports. Les moyens financiers sont très substantiels, avec des investissements publics et privés de 13 milliards de dollars sur dix ans. Le levier le plus important est sans doute l’utilisation des surplus d’électricité pour attirer et provoquer des investissements privés. … Avec son Plan Nord, le gouvernement Charest voulaient mettre tous nos œufs économiques dans le même panier de l’exploitation des ressources naturelles. Comme on l’a vu avec la dégringolade du prix des métaux et des minerais, cette stratégie économique reposait sur des assises fragiles. Voici donc le Plan Sud du gouvernement Marois. Une vision beaucoup plus ambitieuse, qui mise sur des secteurs stratégiques d’avenir et qui a le potentiel de propulser l’économie québécoise au cœur du 21e siècle. … Cette politique comporte de nombreux avantages pour le gouvernement. D’abord, les mesures pour stimuler l’économie à court terme sont convaincantes, simples et désirables : - Les particuliers pourront rénover leur résidence à moins de frais; - Les parents et les enseignants verront enfin les écoles être rénovées; - Les PME seront encouragées à investir rapidement dans l’accroissement de leur productivité; - Les infrastructures sportives et touristiques seront retapées. Tout ça est logique d’un point de vue économique, simple à expliquer et désirable du point de vue de l’électeur, qui y trouvera son compte. … Le plus gros morceau, qui ne nécessite aucune nouvelle injection de fonds publics, c’est l’utilisation des surplus d’électricité pour attirer des investissements dans la transformation des ressources naturelles, la fabrication de composantes liées aux énergies renouvelables, aux technologies vertes et à l’électrification des transports et au secteur des technologies de l’information. Le gouvernement prévoit que cette seule mesure provoquera la création de plus de 10 000 emplois dans ces domaines d’avenir. Tant qu’à brader nos surplus d’électricité, autant en profiter pour stimuler les investissements stratégiques et la création d’emplois payants. … À plus long terme, le gouvernement entend déployer une politique de développement économique axée sur quatre piliers stratégiques : - La Politique de recherche et d’innovation, qui doit nous permettre de demeurer dans le peloton de tête des économies du savoir; - Une Politique industrielle, pour renforcer le secteur manufacturier québécois; - Un Plan de développement du commerce extérieur, pour relancer nos exportations, un facteur important de création de richesse; - Et la Stratégie d’électrification des transports, un chantier qui offre un potentiel d’enrichissement extraordinaire pour le Québec. … Avec ce plan économique qui mise résolument sur la création d’emplois, Mme Marois prend une sérieuse option sur cette majorité qu’elle recherche. Elle a maintenant tout ce qu’il faut pour se lancer en campagne électorale au moment de son choix, que ce soit à l’automne, à l’hiver ou au printemps. Le défi – et quel défi! – est lancé aux adversaires. La barre est haute pour François Legault, qui devra bien finir par convaincre les Québécois que son projet Saint-Laurent est porteur d’avenir, à court et à moyen terme. Il aura une dernière chance de convaincre les Québécois, fin octobre, au moment du lancement de son livre. Quant au Parti libéral, qui n’a toujours pas de projet économique, le temps commence à jouer contre lui. Les libéraux n’ont pas la crédibilité pour faire campagne ni sur l’intégrité, ni sur l’identité. Le seul terrain qu’il leur reste est celui de l’économie et pour gagner, ils devront être nettement plus forts sur ce terrain. Se vanter d’être le «parti de l’économie» ne suffira pas. Pour convaincre les Québécois, les libéraux devront arriver avec une vision économique crédible et concrète. Philippe Couillard doit maintenant relever le défi lancé par le gouvernement Marois. Et le temps presse… … Plan Sud, Plan Saint-Laurent, Plan…? Cet article Le Plan Sud du gouvernement Marois est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... La machine à fabriquer du vide Lundi, 07 Octobre 2013 20:03 Chantal Hébert Photo : Reuters / Mike Cassese Par sa confession publique et la promesse de légaliser ladite substance, Justin Trudeau a volé la vedette au premier ministre, Stephen Harper, et au chef de l’opposition officielle, Thomas Mulcair (tout en faisant un ménage préventif de son placard.) Au nombre des paradoxes actuels au Canada, il y a le fait que la conversation politique s’apparente de plus en plus à du bavardage, alors que Harper et Mulcair, qui devraient animer le débat à titre de principaux chefs fédéraux, sont tous les deux des hommes de contenu. Dans l’ouvrage Shopping for Votes, publié cet automne, ma collègue du Toronto Star Susan Delacourt affirme, recherches à l’appui, que la vacuité croissante du propos politique canadien n’est pas un accident. Elle résulterait plutôt du fait qu’une partie importante de la classe politique a troqué ses habits d’officiant de l’État contre ceux de marchand du temple. De citoyens convoqués aux rites d’une société démocratique, les électeurs sont devenus, aux yeux de ceux qui convoitent leurs votes, des consommateurs qu’on cherche à fidéliser en s’appuyant sur les règles de l’art du marketing commercial. Selon l’auteure, aucun parti n’a autant adapté les techniques du clientélisme à ses objectifs que celui de Stephen Harper. Au-delà de l’image, c’est le discours conservateur dans son ensemble qui est filtré à travers le tamis du marketing. • Le populisme à la Tim Hortons que cultive le chef conservateur ne reflète en rien la personnalité distante du premier ministre. Il s’agit de l’emballage qui correspond le mieux aux goûts de la clientèle recherchée par son parti. • Les propos, presque robotisés, qui sortent de la bouche de ses députés n’ont pas pour objectif d’alimenter intelligemment la conversation publique, mais de marteler le message — le plus simple possible — conçu par les faiseurs d’image du parti. • La mise à l’écart de la presse parlementaire découle de l’utilité tout à fait relative de cette dernière dans les nouvelles stratégies de communication de la classe gouvernante. Armés d’une banque de données personnelles de plus en plus élaborée, les partis — conservateur en tête — sont à même de découper l’électorat en tranches de plus en plus minces et de cibler des messages de plus en plus pointus. La notion d’auditoire pancanadien devient alors une abstraction. Les trois victoires électorales de Harper témoignent du succès de la recette, mais celle-ci comporte ses effets pervers. Delacourt note entre autres la disparition de la ligne entre le cycle électoral et la gouvernance, laquelle est désormais au service des impératifs d’une campagne permanente. Dans un monde où le client a toujours raison, personne ne lui dira que l’habit qu’il aime le mieux ne lui convient pas. De plus en plus, les partis fédéraux préfèrent remettre cinq cents dans la poche de chaque contribuable que d’en convaincre 20 d’investir un dollar dans l’infrastructure sociale de la collectivité. Enfin, les politiciens s’approprient les méthodes de marketing commercial tout en se soustrayant, au nom de leur statut d’agents démocratiques, aux critères de rigueur auxquels l’entreprise privée est soumise. Et contrairement aux grandes chaînes, qui s’astreignent à ne pas faire de marketing sur le dos de leurs concurrentes, les partis se vilipendent à qui mieux mieux, avec pour résultat, note l’auteure, que de plus en plus d’électeurs décrochent de la politique. Le Parti conservateur n’a déjà plus le monopole du marketing 2.0. Susan Delacourt raconte comment, en prévision des dernières élections fédérales, le NPD avait trimé dur pour mettre sa machine et son discours au même diapason. Ironie de la chose, la vague orange québécoise qui a donné au résultat du NPD, en 2011, son caractère historique a été obtenue à l’ancienne, à coups de discours rassembleurs, plutôt qu’à l’aide des nouvelles techniques de pointe du marketing politique. C’est peut-être parce qu’au Québec le « nous » collectif est trop enraciné dans les mœurs pour que la stratégie axée sur le « je » que décrit Susan Delacourt dans son livre soit vraiment efficace. Mais pour combien de temps ? Cet article La machine à fabriquer du vide est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Papa Last Call Lundi, 07 Octobre 2013 19:09 Dominique Forget Photo : RGB Ventures / Superstock / Alamy Il n’y a pas que les femmes qui doivent se soucier de leur horloge biologique. Selon une étude réalisée à Los Angeles, la qualité des spermatozoïdes déclinerait quand les hommes passent le cap des 35 ans. « On a observé une baisse du nombre de spermatozoïdes par éjaculat, résume Bronte Stone, spécialiste en fertilité aux Reproductive Technology Laboratories. On a aussi constaté une perte sur le plan de leur motilité. » Son équipe a analysé 5 081 échantillons provenant d’hommes âgés de 16 à 72 ans. Chez les participants de plus de 55 ans, la proportion de spermatozoïdes portant un chromosome Y déclinait légèrement, ce qui laisse croire que les hommes plus vieux engendreraient plus de filles que de garçons. « On ne s’explique pas encore pourquoi », dit Bronte Stone. Cet article Papa Last Call est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de titicindy road - préparation du voyage Lundi, 07 Octobre 2013 16:34 voyage Blog de titicindy road - préparation du voyage Lire la suite... Blog de Egypte2012 - J19 - le lundi au soleil Lundi, 07 Octobre 2013 13:16 voyage Blog de Egypte2012 - J19 - le lundi au soleil Lire la suite... |
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