Les chevaliers de lordre Lundi, 07 Octobre 2013 00:00 En Escale Nous voici rendus à Malte après 30 heures de navigation. Les quarts de nuit nous semblent de plus en plus longs, à scruter les cargos. Heureusement, cette traversée nous aura laissé Lire la suite... Urbain Lundi, 07 Octobre 2013 00:00 En Escale Premières journées citadines, histoire de faire "je découvre la ville", de dérouiller un peu l'anglais et d'avoir le temps d'organiser la suite. Lire la suite... Une jolie ville cosmopolite Lundi, 07 Octobre 2013 00:00 En Escale Salut les loulous ! Lire la suite... Le Cercle dOr Lundi, 07 Octobre 2013 00:00 voyage ![](http://lescitesdor.my.tripper-tips.com/images/photos/120/9/29/89129.jpg) L'Islande réserve bien des secrets aux Occidentaux en manque de dépaysement ... Lire la suite... La grande solitude de Philippe Couillard Dimanche, 06 Octobre 2013 20:52 Stéphane Gobeil Un peu plus de trois semaines après le lancement du débat sur le projet de Charte des valeurs, le 10 septembre dernier, un immense chemin a déjà été parcouru. Il y a à peine un mois, on entendait encore des gens affirmer que cet enjeu était artificiel, populiste, électoraliste. Il fallait renoncer à tout ça, nous disaient les opposants. Aujourd’hui, il y a presque unanimité chez ces mêmes opposants pour adopter dans l’urgence 90% du projet présenté par Bernard Drainville. Les débats ont été vifs, revigorants et passionnés. Ça fait du bien au Canayen. Nous avons même eu droit à une sortie en cascade de trois anciens premiers ministres du Québec. La sortie très attendue de M. Parizeau fut étonnement modérée et même, sibylline. Lucien Bouchard a appuyé Jacques Parizeau, le soutenant sans réserve. Effluve de réconciliation? Et puis il y a eu Bernard Landry qui s’est rangé, lui aussi, dans le camp de ceux qui prônent le compromis. De mémoire de souverainiste, il y a longtemps, très longtemps qu’on n’avait pas assisté à une telle chorégraphie des trois ténors. Ils ont pris la parole, l’un après l’autre, dans le même ordre où ils se sont succédés en tant que premier ministre du Québec. Procession? S’ils s’accordent pour en appeler à une position de compromis, les trois appuient le projet de Charte des valeurs québécoises. Lucien Bouchard: «Le gouvernement peut frapper un coup de circuit! Il est possible, je dirais même probable, que l’Assemblée nationale vote à l’unanimité un tel compromis. Ce serait un triomphe.»
Les fédéralistes aussi se sont précipités sur le texte de M. Parizeau, l’utilisant pour charger le gouvernement Marois et son projet. Justin Trudeau a pris la pose, déclarant que M. Parizeau incarnait «la voie de la modération.» Comme je le soulignais ici, c’est quand même quelque chose d’entendre le chef du Parti libéral du Canada approuver l’idée d’interdire le port de signes religieux pour les policiers, les juges, les procureurs, etc. Il y a des agents de la GRC dont les turbans ont dû défriser en entendant ça! Le chef de l’opposition libérale et officielle, Jean-Marc Fournier, s’est appuyé sur le texte de M. Parizeau pour planter le gouvernement. Il appuie l’ancien premier ministre, qui prône le retrait du crucifix de l’Assemblée nationale et l’interdiction du port de signes religieux pour les policiers, les juges, les procureurs, etc. Même un opposant féroce au projet de Charte comme Jérôme Lussier en appelle au ralliement derrière les hommes d’État que sont devenus à ses yeux (il était temps) les trois ténors souverainistes. Et ce, même si l’ancien premier ministre prône le retrait du crucifix de l’Assemblée nationale et l’interdiction du port de signes religieux pour les policiers, les juges, les procureurs, etc. À l’Assemblée nationale, Québec solidaire s’est jeté – sans voile! – dans le sillage de M. Parizeau, tandis que François Legault s’y appuyait comme sur une béquille pour appeler au compromis (Sauve qui peut!). Quel compromis? Le suivant: on adopte toutes les dispositions du projet de Charte des valeurs québécoises. Toutes, y compris celle portant sur l’interdiction du port des signes religieux. Simplement, on doit l’assouplir, pour reprendre les mots de Monsieur, et l’appliquer seulement (pour l’instant) aux policiers, juges, procureurs, etc. Je partage pour ma part l’avis de Bernard Descôteaux, du Devoir. Extrait: «Il faut pour la Charte des valeurs aller au fond des choses. Il serait de fait assez facile aujourd’hui de trouver un consensus construit sur le plus petit dénominateur commun (…) S’en tenir à cela serait occulter le débat du port de signes religieux par les agents ordinaires de l’État, tout particulièrement celui sur le port du voile. On est là au cœur du débat. On ne trouvera sans doute pas une réponse dans une acceptation ou une interdiction universelle du port de signes religieux. Au contraire, il faut porter un regard sur la dimension politique que peuvent avoir certains d’entre eux.»
Au moment du dépôt du projet du gouvernement, Bernard Drainville demandait à la population de lui donner un rapport de force. Selon le dernier sondage disponible, l’appui au projet de Charte atteint près de 60% chez les francophones, tandis que seulement 31% s’y opposent. Le ministre semble avoir gagné son pari. Il y a donc cette position de compromis qui rallie trois anciens premiers ministres, Trudeau, Fournier, David et Legault (qui assujettirait aussi les enseignants à l’interdiction). Et il y a le projet du gouvernement. Ce sont les limites du terrain où l’immense majorité des Québécois se situe. Et puis il y a Philippe Couillard. Seul dans son coin. Philippe Couillard, qui a prévenu qu’il faudrait lui «passer sur le corps» pour interdire à qui que ce soit de porter un signe religieux. Même les policiers. Même les juges. Même les procureurs. Cette grande solitude du bon docteur fait peine à voir. Empathique, j’ai bricolé un haïku: Comme un fantôme solitaire, Il rame, dans le brouillard, Isolé, retranché, sans repaire, Le chef errant: Philippe. Couillard. Cet article La grande solitude de Philippe Couillard est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de phobac - Lima Dimanche, 06 Octobre 2013 16:17 voyage Blog de phobac - Lima Lire la suite... Blog de Egypte2012 - J18 - Tenganan et promenade dans la jungle Dimanche, 06 Octobre 2013 13:14 voyage Blog de Egypte2012 - J18 - Tenganan et promenade dans la jungle Lire la suite... Gastronomie néo-zélandaise Dimanche, 06 Octobre 2013 09:37 vacances
Lire la suite... Blog de magyo - le retour en Calédonie hard Dimanche, 06 Octobre 2013 09:33 voyage Blog de magyo - le retour en Calédonie... hard! Lire la suite... Blog de voyageaveccyril - Lhassa on sen lasse pas Dimanche, 06 Octobre 2013 02:56 voyage Blog de voyageaveccyril - Lhassa on s'en lasse pas ! Lire la suite... Blog de dreamtrip - Arrivés à la Paz Dimanche, 06 Octobre 2013 01:39 voyage Blog de dreamtrip - Arrivés à la Paz... Lire la suite... un doux repos Dimanche, 06 Octobre 2013 00:00 En Escale coucou tout le monde!!Voici un petit moment que je n'avais pas eu le temps de vous ecrire, mais nous pensons à vous!!Alors où nous étions nous arreté, ah oui si Lire la suite... J - 1440 Fais de ta vie un rêve Fais de ton rêve une réalité - Saint Exupéry Dimanche, 06 Octobre 2013 00:00 En Escale Premier article que l'on ne peut pas définir comme un "récit de voyage" vu que le voyage ne commence que dans 1440 jours (bientôt, bientôt!!). Lire la suite... Villa Tunari fief dEvo Dimanche, 06 Octobre 2013 00:00 En Escale Le we dernier, nous avons décidé de visiter Villa Tunari, à 3h de CBB, à l'orée de l' Amazonie. Nous demandons conseil à Maria qui nous dit que la route est bonne, assez Lire la suite... Le nord et fin du 1er passage en Thaïlande Dimanche, 06 Octobre 2013 00:00 En Escale Alors que le nouveau passeport de Seb est en cours de fabrication, nous continuons notre découverte de la Thaïlande avec la région du nord. Nous prenons un bus de nuit pour aller à Chiang Rai. Trajet un Lire la suite... PARADISE Dimanche, 06 Octobre 2013 00:00 En Escale Samedi, nous décidons finalement de nous rendre à Huacachina, tant les récits sur cette ville étaient échantés. Mais là n'était pas notre seule Lire la suite... Deuxième journée à Miami Dimanche, 06 Octobre 2013 00:00 En Escale Réveil à 10h la tête dans le Biiiip et pleine de sable ^^ .. on se motive, prenons une douche et allons visiter un peu les environs .. après avoir beaucoup marché à South Beach, un arrêt au Mac do ( bah Lire la suite... Vifs débats sur les soins de fin de vie et le projet de loi 52 Samedi, 05 Octobre 2013 22:49 Alain Vadeboncoeur Les audiences portant sur le projet de loi 52 se poursuivent en commission parlementaire, prenant de l’intensité au fur et à mesure que les organisations marquent fermement leur position. Il faut donc y revenir, parce que ce débat est fondamental, autant pour les médecins que pour tout le monde, et parce que le ton monte, alors que des joueurs virulents se manifestent. Du coté des «pour», on trouve notamment les grandes organisations médicales – FMSQ, FMOQ et Collège des médecins du Québec, qui veut même en élargir la portée – et plusieurs syndicats, qui appuient sans réserve ou demandent seulement des modifications mineures. Le président de la FMSQ, le docteur Gaétan Barrette, a souligné la grande qualité du projet, jugeant qu’il pouvait être adopté tel quel. La Protectrice du citoyen, dont les opinions pertinentes demeurent toujours sensibles aux réalités humaines, a également fortement appuyé. Citée par La Presse, elle disait que: «Cet élément est d’une importance capitale. Toute personne, lorsqu’elle arrive à cette étape terminale de sa vie, doit pouvoir recevoir des soins de qualité et d’un environnement stable où le respect de son intimité est assuré.»
Quant à la Commission des droits de la personne, elle est aussi très favorable et souhaite même, comme le Collège des médecins du Québec, que le droit d’accès à l’aide médicale à mourir soit étendu, parce qu’elle: «s’inquiète (…) des conditions juridiques imposées par le projet de loi qui font en sorte que ni les personnes mineures, ni les personnes inaptes à consentir aux soins, ni les personnes qui ne sont pas assurées au sens de la Loi sur l’assurance maladie ne peuvent bénéficier de l’aide médicale à mourir.»
Mais d’autres groupes de médecins (on parle parfois de petits groupes) ont enchaîné, avec des avis nettement plus critiques. Tandis que sur le Web, des groupes de la mouvance pro-vie en profitaient pour tomber dans la désinformation manifeste. Le docteur Patrick Vinay, ancien doyen de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et actuel président de la toute récente Société québécoise des médecins en soins palliatifs (fondée en mai 2013) s’est insurgé contre le projet. Il a même suggéré que des médecins pourraient accélérer la mort de leurs patients afin de pouvoir en hospitaliser d’autres, question de faire un peu plus d’argent. Ouch! Ainsi va un passage surprenant de leur mémoire: «Les médecins hospitaliers seront en conflit d’intérêts avec le malade puisqu’ils retireront des bénéfices personnels directs en posant un geste euthanasique: les lits ainsi libérés seront alors occupés par l’admission de nouveaux malades, lesquels nécessiteront des soins actifs beaucoup plus rémunérateurs».
![euthanasie](http://www.lactualite.com/wp-content/uploads/2013/10/euthanasie.jpg) Tiré de: http://www.xn--pourunecolelibre-hqb.com/2013/01/le-rapport-menard-une-conception.html Une position froidement reçue par certains parlementaires, notamment la docteure Hélène Daneault de la CAQ, médecin de famille, qui juge que ce «mémoire (n’avait) plus aucune crédibilité. (…) Une insulte à ma profession». Elle leur aurait demandé sèchement d’aller refaire leurs devoirs. Accueil peu chaleureux, pour des médecins qui placent le respect de la vie humaine si haut. Le Rassemblement québécois contre l’euthanasie, pour sa part, juge le projet «antidémocratique» parce qu’il contrevient au droit criminel. (Dans cette optique, le terme «illégal» aurait été mieux choisi, mais bon.) Ce groupe a aussi jugé la démarche précipitée – ce qui est curieux, parce que la réflexion évolue depuis au moins quatre ans. Vous vous doutez bien que sur le site Profession santé, réservé aux professionnels des soins, toutes ces positions antagonistes ont soulevé de vifs débats. Mais les médecins, à leur habitude, se prononcent encore insuffisamment. Pourtant, ces changements vont grandement changer leur pratique. Mais c’est la diffusion du testament vidéo du microbiologiste Donald Low, médecin connu pour son rôle exemplaire dans la crise du SRAS en 2003, qui a vraiment brassé la cage. Presque mourant, atteint d’une tumeur inopérable au cerveau, il y plaide pour l’accès à l’aide médicale à mourir. Il voulait que soit diffusé après sa mort ce poignant témoignage. Ailleurs, on tenterait de contraindre au silence des médecins en soins palliatifs, sans doute pour présenter une apparente unité, que des «déviants» affaibliraient. Mais des voix dissidentes ont commencé à se manifester, apportant un peu d’air frais. Quoi qu’il en soit, rien n’est joué. La Presse rapportait d’ailleurs samedi (le 5 octobre) les inquiétudes du docteur Barrette, qui craint un recul du gouvernement, en raison de toutes ces pressions: « »Le danger de cette ronde d’audition est que ça vienne amenuiser la portée de la loi », craint le Dr Barrette, choqué par ce qu’il entend actuellement en commission parlementaire.»
Mais contrairement à ce que prétendent les opposants, la profession médicale, sondée plusieurs fois, appuie l’aide médicale à mourir, tout en insistant sur la nécessité de donner aussi plus de place aux soins palliatifs – ce que vise d’ailleurs le projet de loi. Il faudra toutefois un effort supplémentaire pour clarifier les termes utilisés auprès de la population, parce qu’ils ne sont pas toujours compris de la même façon, comme le montre un sondage récent. Pour ma part, j’appuie le projet parce que je souhaite voir instaurer cette pratique répondant à la nécessité de place les patients très malades au coeur des décisions les plus intimes que l’on puisse imaginer. Et parce que, bien honnêtement, rendu au seuil de la mort, je ne vois pas en quoi un médecin est mieux placé pour décider de ce qui est bon ou pas pour le mourant, surtout dans l’état de souffrance intolérable décrit dans le projet de loi comme condition pour accéder à ces soins. Ce projet de loi est donc d’une rare pertinence. Nous devrions d’ailleurs vivre plus souvent ces échanges matures, importants et admirablement menés. Ce qui est rafraîchissant, dans le contexte trouble du débat sur le Charte des valeurs et de l’esprit préélectoral qui prévaut actuellement. Mais vous, qu’en pensez-vous, de ce projet de loi qui transformera bien sûr la pratique de la médecine, mais surtout, les soins entourant votre fin de vie? La mienne aussi, au fait. * Pour me suivre sur Twitter. Pour me suivre sur Facebook. Cet article Vifs débats sur les soins de fin de vie et le projet de loi 52 est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Égalité et laïcité pas de panacée Samedi, 05 Octobre 2013 21:07 Manon Cornellier Le projet de Charte des valeurs du gouvernement Marois part d’une excellente intention, faire triompher la laïcité et l’égalité entre les hommes et les femmes. Mais depuis le début de ce vigoureux débat, j’ai le sentiment que quelque chose cloche. L’interdiction du port de signes religieux ostentatoires par les employés de la fonction publique et parapublique québécoise vise toutes les religions et non une seule. La rencontre des principes d’égalité et de neutralité religieuse de l’État a cependant pour effet de concentrer les regards sur le voile musulman, qui se révèle, finalement, être la vraie cible. Ce voile accapare l’essentiel de l’attention et alimente les échanges les plus vifs. Le voile est un symbole et comme l’écrit si bien Carole Beaulieu dans son dernier éditorial, les symboles ont un sens. Et le sens de celui-ci, pour moi, en est un de sujétion des femmes et de dévalorisation de leur corps. Le port du voile est l’envers de l’émancipation gagnée de haute lutte par les femmes d’ici. Le voile musulman est revenu en force dans le monde musulman et ailleurs sous la pression des groupes intégristes et des tenants d’un Islam politique. On ne peut ignorer ce contexte. Je n’arrive cependant pas à comprendre comment sa simple interdiction dans la fonction publique québécoise résoudra les problèmes plus profonds que le voile cache, le gouvernement n’ayant rien proposé pour s’y attaquer. Prenons d’abord la situation personnelle des femmes qu’on dit vouloir aider. Les pressions exercées sur les filles et les femmes pour qu’elles se conforment à certains codes de conduite et qu’elles se soumettent à la volonté de leur mari, père ou frère ne cesseront pas. Ce genre de pressions ne sont d’ailleurs pas le lot exclusif des musulmanes ou des femmes voilées. Les trois filles Shafia et la première femme de leur père n’étaient pas voilées. Elles vivaient quand même un enfer. Elles ont cherché de l’aide qu’on n’a pas su leur offrir et sont mortes, en 2009, aux mains de leur père, de leur mère et de leur frère. Que propose-t-on pour éviter que pareil drame ne se reproduise? Avons-nous mis en place plus de ressources pour détecter ces situations problématiques et intervenir avant qu’elles ne dégénèrent? Qu’en partie. Et avons-nous vraiment pensé à l’impact de cette interdiction sur les femmes qui portent le voile en réponse aux dictats de leur mari, père ou frère? Ces femmes ne pourront abandonner le voile sans courir de sérieux risques. A-t-on prévu leur offrir une aide véritable si elles choisissent de défier leurs proches pour conserver leur emploi? Celles qui disent le porter par choix (?) feront à nouveau un choix, mais au bout du compte, ce sont celles qui jouissent le moins des promesses d’égalité du Québec et qui sont les plus vulnérables qui risquent d’écoper davantage. On leur offre quoi? Il y a aussi le problème plus large de l’intégrisme. Ce dernier ne reculera pas parce qu’on fait disparaître le voile. Si on veut vraiment le freiner, il faut lui couper les vivres. Ce qui veut dire être prêt à s’attaquer à de plus gros poissons que les femmes voilées. Car il faudrait une solide volonté politique pour mettre fin au statut fiscal privilégié accordé aux organisations religieuses. Pour interdire le financement étranger des institutions religieuses et ainsi en finir avec les mosquées soutenues par l’Arabie saoudite, les Frères musulmans et qui sais-je encore. Le gouvernement pourrait aussi mettre fin au financement public des écoles privées confessionnelles et appliquer à la lettre la Loi sur l’instruction publique. Interdire ou restreindre le recrutement d’officiants formés à l’étranger, en excluant d’office ceux sortant d’écoles ou d’institutions réputées pour leur intégrisme, pourrait aussi être envisagé. Je pourrais continuer. La liste serait encore plus longue si on parlait d’une véritable stratégie de promotion de l’égalité des femmes. Réaffirmer la neutralité religieuse de l’État et l’égalité entre hommes et femmes dans la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, offrir des balises pour encadrer les accommodements raisonnables, interdire le port du voile intégral pour offrir ou recevoir des services publics, j’en suis. Même chose lorsqu’il est question d’interdire le port de signes religieux par les fonctionnaires en position d’autorité. Mon idée n’est pas faite sur le monde de l’enseignement, mais je suis ce débat avec attention. Le voile me dérange, me met mal à l’aise, mais je ne comprends pas en quoi l’interdire à une technicienne de laboratoire, à une bibliothécaire, à une comptable fera reculer l’intégrisme et avancer l’égalité. Il faut plus que cela. Beaucoup plus. Ne serait-ce que pour être plus cohérent. Cet article Égalité et laïcité: pas de panacée est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de Julesetmel - Une soirée dau revoir que nous nsommes pas prêts doubl Samedi, 05 Octobre 2013 21:07 voyage Blog de Julesetmel - Une soirée d'au revoir que nous n'sommes pas prêts d'oubl Lire la suite... |
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