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Tourisme professionnel

Dubai Enquête de compétitivité Dubaï obtient les scores de notoriété et d’image les plus élevés dans la péninsule arabe

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A partir d’une enquête réalisée auprès de son panel voyageurs, TCI Research place Dubai en tête dans la péninsule arabe en termes de notoriété et d’image. Avec un taux de 93% de notoriété assistée et doté d’un capital d’image positive acquis auprès de 3 touristes sur 4, l’Emirat se situe devant ses rivales de la région. Toutefois Abu Dhabi et le Qatar bénéficie également de niveaux de notoriété élevés mais doivent encore améliorer leur image pour rivaliser avec Dubaï, notamment auprès des femmes

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Bourgogne Le soleil en haute saison rattrape un peu le retard

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Note de conjoncture réalisée entre le 19 et le 26 août - 600 professionnels bourguignons ont répondu
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Inde Fréquentation et cibles une grande diversité

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Près de 15 millions d’Indiens auront voyagé à l’étranger en 2012, mais qui sont-ils ? Comment voyagent ils ? Comment réservent-ils ? Si la majorité voyage encore en groupe, un nombre croissant de voyageurs indiens aspirent à des séjours de plus en plus hors des sentiers battus. Le mot clé est désormais « expérience » et ce mot peut rassembler un nombre infini de motivations et bien sur de produits touristiques très différents les uns des autres. Dans le cadre du lancement de notre campagne « Be There ! Do That ! » il est important pour nous de faire un point sur les cibles clientèles, leurs motivations et leurs modes de consommation.

Les cibles clientèles sont de mieux en mieux définies et les professionnels du tourisme se doivent d’affiner leurs produits.

LES ETUDIANTS – Vaste programme ! La cible des jeunes est bien sûr celle que nous devons observer au plus près et satisfaire au mieux afin de la transformer en repeaters de demain. La cible des jeunes comprend de nombreux visages : des groupes scolaires d’écoles privées (tendances actuelles de groupes de 40 participants) ou des groupes d’universitaires (un groupe de plus de 400 étudiants de l’Université de Bangalore a visité Paris en Février 2013). Ces voyages relativement courts (une semaine environ), s’ils sont réussis, sont la meilleure façon de séduire le voyageur de demain. Les jeunes plus aventureux que leurs ainés attendent d’une destination qu’elle leur offre des activités sportives  de type rafting, canoé….

LES JEUNES  HOMMES et LES JEUNES FEMMES (18 – 30 ans) peuvent également décider de partir entre amis de même sexe et consacrer une partie de leur voyage à l’une de leurs passions. Pour les hommes, les sports extrêmes (skydiving, scuba diving comme dans le film à grand succès « Zindagi da milagi dobara » désormais la référence en matière de promotion touristique idéale d’un pays, en l’occurrence l’Espagne). Pour les femmes, les motivations sont plus nombreuses. Hormis le shopping, le bien-être, la découverte des vins et les cours de cuisine (notamment de desserts) deviennent des aspirations fortes. Ces femmes, éduquées, indépendantes financièrement sont prêtes à explorer le monde. De plus en plus de clubs se développent pour des femmes autour de leurs thématiques favorites (ex : la découverte du vin).

LES COUPLES SANS ENFANT (DINKS – Double Income No Kids) – Ces couples ont des revenus suffisamment importants pour voyager sans restriction en termes de périodes de voyages (ils ne prennent pas en compte les vacances scolaires). Ces voyageurs ont une mentalité peu conventionnelle et sont attirés par des voyages non encore explorés, très orientés « expériences »

LES VOYAGES DE NOCES  – 65 000 Indiens partent en voyages de noces chaque année et les voyages vers l’étranger ont enregistré une augmentation de 30% en 2012. Les destinations les plus prisées sont la Suisse, l’Australie, la Nouvelle Zélande, les Maldives. La principale saison des voyages de noces qui s’étend de novembre à mars, n’est pas nécessairement  propice aux pays d’Europe, mais les destinations d’outre-mer ont une carte à jouer.

LE VOYAGEUR DU VILLAGE MONDIAL – Outre les grandes familles d’industriels établis depuis des décennies et l’ancienne aristocratie indienne, la croissance économique de ces dernières années a donné naissance à une nouvelle bourgeoisie et à une classe d’Indiens « nouveaux riches ». Les motivations varient selon les âges mais ces voyageurs de luxe sont à la recherche d’expériences et de services hors du commun, hors des sentiers battus. Ils recherchent des palaces ou des villas privées, des spas très haut de gamme, des voyages en hélicoptères ou en montgolfières, des yachts, des services de conciergerie, de « personal shopper », des restaurants gastronomiques et aussi des cours de cuisine.

LA FAMILLE – c’est l’une des cibles les plus caractéristiques de l’Inde. Les Indiens vivent encore souvent en famille multi-générations et aiment partir à l’étranger en famille nombreuse. Ces voyages sont souvent l’occasion de rencontrer les membres de la famille qui vivent à l’étranger. Ces familles aux revenus confortables (HNI, présidents de sociétés, la classe moyenne montante) voyagent en groupe de 3 à 12 personnes, un groupe multi générationnel où les enfants sont privilégiés. Le voyage comporte alors des activités dédiées à ces derniers. Les enfants, plus ou moins jeunes, ont une influence toute particulière dans la décision de la destination et des activités qui seront retenues. Ces familles sont tout particulièrement influencées par les réseaux sociaux, le bouche à oreille, Bollywood et les media traditionnels.

Les cibles clientèles sont nombreuses, tout comme les destinations où elles se rendent.

LES DESTINATIONS ? Selon le rapport d’une enquête effectuée sur internet par le site SKYSCANNER, la Grande Bretagne, la Thaïlande et les Etats-Unis seraient les destinations les plus recherchées par les Indiens. Les couplesrechercheraient non seulement une de ces trois destinations mais aussi vers les Emirats Arabes Unis. Les couples sont également prêts à explorer des destinations telles que le Népal, le Sri Lanka et la Russie. Les familles quant à elles s’orientent plus vers les destinations proches telles que les Emirats Arabes Unis et la Thaïlande.

Des destinations telles qu’Oman dont la présence est plus récente sur le marché, enregistrent des augmentations de 249% en termes de recherches de vols. Des destinations plutôt nouvelles et lointaines telles que la Polynésie Francaise et Maurice font également une percée.

Le voyageur Indien a un appétit tout particulier pour les « bonnes choses de la vie » tout en gardant un œil attentif sur les coûts. Vikram Madhok, Directeur de Abercrombie & Kent, confirme que « la façon de penser du voyageur Indien a évolué ces dernières années. Les voyageurs sont à la recherche de lieux moins visités et sont attirés par l’exclusivité pour chacun de leurs séjours. Ainsi, ils ne se restreignent pas à des activités classiques : ils se tournent également vers des aventures « soft » mais désormais d’aventures hautes en adrénaline. La France reste une destination prisée mais la concurrence se fait de plus en plus féroce avec des pays qui investissent fortement sur le marché ou qui ont des offres au rapport qualité-prix nettement supérieur à celui de notre pays.

QUELS DELAIS DE RESERVATIONS ? – le temps de planning et de réservations est l’un des plus courts au monde : seulement 39 jours avant le départ, parfois moins (à comparer avec les Australiens ou Néo Zélandais qui préparent en moyenne 72 jours à l’avance) 

COMMENT S’EFFECTUENT LES RESERVATIONS ? Les Indiens tiennent encore beaucoup à leur agence de voyage car celle-ci leur permet de négocier, changer d’avis et de programme, payer en cash et surtout ne pas avoir à s’occuper de leurs passeports et de leurs visas.

Un grand changement s’opère néanmoins et ce phénomène inquiète tout particulièrement les agences. Le client surfe de plus en plus sur internet (100 millions d’utilisateurs en Inde) et négocie désormais avec son agent de voyage des tarifs que ce dernier accorde mais en prenant le risque de perdre de l’argent. La situation est devenue très difficile pour un certain nombre d’agences qui n’obtiennent plus de commissions de la part de certaines compagnies aériennes et sont moins bien traitées par les hôteliers qui préfèrent donner des avantages systématiques à leurs clients dans le cadre de programme de fidélisation.

Internet joue donc un rôle de plus en plus important : le client recherche de l’information et s’il le peut, réserve son billet d’avion voire ses hôtels. L’achat de voyages en ligne représenterait 70% des achats effectués en ligne ; information à modérer puisque la majorité des achats en ligne seraient encore effectués par les agents de voyages.

Les réseaux sociaux jouent également un rôle crucial dans la décision et les agences de voyages en ligne ne s’y trompent pas. Certaines sont ainsi très actives. Selon Unmetric Scores * pour Facebook et Twitter, l’agence de voyage en ligne MakeMyTrip domine le marché avec un total de 79 « unmetric score » sur 200 ; il est suivi par Goibibo avec 76 et Yatra 68. Un petit nouveau qui semble plein d’avenir, EaseMyTrip enregistre une croissance de 55% sur trois semaines en Février 2013 ; contre 14% pour Goibibo et 13% pour Thomas Cook, Expedia enregistrerait une croissance négative sur la période étudiée.

Sources : 
Atout France – rencontres agences, Travel Trends Today, Voyager’s World; India Tourism Review.
*Unmetric Scores : Agence spécialisée dans les études de benchmarking dans les réseaux sociaux

 
 
 
 
 
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Corée Evolution du marché coréen

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La Corée est aujourd’hui sur le devant de la scène, ne serait-ce qu’à travers sa musique K-Pop, et le désormais fameux « Gangnam Style ». Beaucoup de regards se tournent vers ce pays d’Asie qui a réussi une formidable croissance économique en un temps record. La Corée du sud s’exporte et elle plaît, notamment grâce à ses innovations et sa culture qui sont souvent utilisées comme instruments de promotion et de fierté nationale.

 

Actuellement 14ème  puissance économique mondiale, leader dans l’électronique grand public avec ses marques Samsung et LG, sa population  découvre depuis quelques années les loisirs et les plaisirs du divertissement.

La Corée est un marché relativement jeune sur le plan touristique. Les premiers départs vers l’étranger datent d’une trentaine d’année et cet engouement ne se dément pas, dopé entre autre  par un fort pouvoir d’achat.
 
Les choses se sont encore accélérées en 2006, avec le passage à la semaine de travail de 5 jours. Si prendre ses vacances était encore bloquant pour sa carrière il y a 20 ans, on observe un changement important de comportement et particulièrement chez les jeunes générations.

Ces changements sont confortés par un accès très facile à l’information, particulièrement sur internet où les Coréens passent beaucoup de temps que ce soit via leur ordinateur ou leur Smartphone. Avec un taux d’équipement et une vitesse de connexion parmi les plus élevés de la planète, le monde s’offre aux internautes coréens qui ont ensuite tout loisir d’acheter leur vacances chez les agences de voyage ; le marché gardant un taux d’intermédiation élevé.
Au niveau du marché, nous observons des chiffres du tourisme particulièrement significatifs.

Pour le outbound, avec un nombre légèrement supérieur à 13 millions en 2013, le volume de touristes coréens est en croissance régulière (+ 40% depuis 2009).  La principale zone de destination des Coréens reste l’Asie  et notamment les grands voisins chinois et japonais qui, à eux deux, accueillent près de 40% des flux. En Europe (qui représente environ 7% des arrivées), c’est la France qui est la première destination.

La France est de plus en plus demandée par les touristes coréens avides de découvrir notre culture et notre art de vivre. C’est d’ailleurs vers les destinations européennes que les professionnels du tourisme prévoient la meilleure croissance.

Cette culture du loisir se développe aussi en interne avec une offre qui commence à se structurer et qui a permis à la Corée de franchir la barre des 10 millions de visiteurs en 2013.

Les grandes tendances du tourisme coréen sont aujourd’hui particulièrement intéressantes pour les destinations françaises.

Comme pour tout ce qui touche à ce pays, la demande évolue très vite, les séjours FIT sont en passe de dépasser les groupes et la demande évolue de plus en plus vers un concept de mono destination France  ciblant une région spécifique.

Sur le plan qualitatif, la demande se fait aussi plus structurée, les choix s’affinent, sont plus réfléchis et les Coréens veulent désormais vivre une vraie expérience de voyage.

La Corée est aussi un pays très sensible aux marques et aux logos et le choix des destinations est alors surtout défini par une marque touristique. Dans ce contexte, Paris bien sûr, mais aussi la Riviera, les Alpes, la Provence, la Normandie,…sont des marques qui trouvent facilement écho.

L’année 2013 s’annonce prometteuse, avec une croissance économique en légère reprise et une stabilité politique après les élections présidentielles. L’environnement psychologique est donc favorable aux voyages et nos destinations ont une carte à jouer.

 
 
 
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La Vélodyssée roule vers Saint-Jacques

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La fréquentation de la Vélodyssée est en hausse constante de même que le passage de pèlerins vers Saint-Jacques-de-Compostelle. « Sud Ouest » a rencontré le Tarnosien Philippe Laplace, président de la PIM (Pilgrim inter maritimum ou itinéraire jacquaire du littoral).
 

« Sud Ouest ». Pourquoi avoir créé cette association ?

Philippe Laplace. Des marcheurs issus de divers horizons, qui empruntaient le chemin de Saint-Jacques, réhabilitaient des tronçons de la voie dite voie littorale ou voie des Anglais, entre Soulac et Hendaye. Une équipe de passionnés a été à l’origine de l’association PIM. Nous avons constaté que le tracé de la Vélodyssée en Aquitaine était à 80 % celui de la voie littorale de Saint-Jacques. Notre association a collaboré intelligemment avec les créateurs de la Véloroute et différents corps associées à Saint-Jacques. À partir du constat « ceux qui aiment le chemin mais ne peuvent le faire à pied, peuvent le faire en vélo » (sur une base d’environ 80 km/jour) nous avons produit une carte avec l’aide d’acteurs touristiques impliqués dans l’hébergement et la logistique autour de la voie de Saint-Jacques Littorale et de la Vélodyssée.

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Espagne En Juillet 2013 les touristes étrangers ont dépensé 7794000 deuros soit 4 3 de plus que le même mois de 2012

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En julio 2013 los turistas internacionales que visitaron España realizaron un gasto total de 7.794 millones de euros, un 4,3% más que en el mismo mes de 2012. Este incremento vino impulsado por el aumento en la llegada de turistas y por el mayor gasto medio por persona.
El mercado nórdico ha sido el principal artífice del incremento en el gasto y en las llegadas de turistas este mes. Reino Unido, Alemania y Países nórdicos son los que más peso acaparan en el volumen de gasto total en julio. En términos globales, los gastos medios se
incrementaron, el gasto medio por turista un 1,3% alcanzando los 992 euros, y el gasto medio diario un 1,2% fijándose en 103 euros. En enero-julio 2013 el gasto total desembolsado por los turistas internacionales ascendió a 32.210 millones de euros, acumulando una subida del 6% respecto al mismo periodo de 2012. Los gastos medios por persona y día han evolucionado positivamente con incrementos del 2,0% y del 2,1%, respectivamente. suite

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Chine Léger ralentissement de la croissance en vue d’une croissance plus durable

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     L’économie chinoise a bien terminé l’année 2012 avec une croissance spectaculaire de 10.3% en décembre, amenant la croissance totale sur l’année à un résultat de 7.8%. Le taux de chômage est désormais de 4,1%, en grande partie grâce à la création de 12.3 millions d’emplois en milieu urbain, confirmant bien la tendance actuelle à l’urbanisation.

    Le commerce extérieur chinois n’a pas pu atteindre en 2012 les objectifs fixés par le gouvernement, en grande partie à cause de la contraction des échanges avec le Japon, fortement affectés par les tensions politiques autour des iles contestées entre les deux pays. Même ainsi l’excédent du commerce extérieur chinois a progressé de près de 50% par rapport à  2011.

    Attestant, entre autres raisons, des difficultés des économies européennes, les investissements étrangers en Chine ont sensiblement décru en 2012. Simultanément, les investissements chinois à l’étranger (hors investissements financiers) ont progressé de plus de 28%, confirmant bien la volonté des entreprises chinoises de se développer à l’étranger et pas seulement à l’export.

    La Chine est désormais le premier marché au monde pour les ventes de véhicules passagers, avec plus de 19 millions d’unités vendues en 2012. Cette progression constante du nombre d’automobiles entraine une dépendance accrue de la Chine envers l’étranger pour les importations de pétrole, tendance qui devrait continuer à se renforcer, et peut constituer une source de fragilité pour l’économie chinoise dans les années à venir.

    Avec 51 millions de nouveaux internautes en 2012, le taux de pénétration du web en Chine atteint désormais 42%. La progression des réseaux sociaux est encore plus soutenue grâce au rôle croissant de ceux-ci dans l’expression publique de la population chinoise.

    Parallèlement à ces performances réelles de l’économie chinoise, l’écart des revenus se creuse. Les autorités chinoises ont publié début 2013 - pour la première fois depuis 2000 - des statistiques en termes de coefficient de Gini afin de mesurer les inégalités sociales. Les indicateurs montrent très clairement que la situation des moins fortunés s’est dégradée ces dernières années.

    Le nouveau Président Xi Jinping a posé très clairement dès la fin 2012 les enjeux d’avenir : restructuration de l’économie chinoise autour de la demande intérieure, de l’urbanisation et de la montée en gamme technologique, lutte contre les inégalités sociales et en faveur des conditions de vie des travailleurs migrants, rôle majeur de l’investissement public ciblé dans le soutien à la croissance durable.

    Selon les observateurs, les perspectives de croissance de l’économie chinoise en 2013 vont de 7.8 à 8.4% mais, plus que l’observation d’un strict objectif en termes de PIB, le discours public actuel semble indiquer que le gouvernement chinois est prêt à accepter un relatif ralentissement de la croissance si celui-ci permet de pallier aux problèmes créés par un développement trop rapide, comme les tensions sociales et la dégradation de l’environnement.

     
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Bagafrance prend la roue

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Outre les cyclistes, la Loire à vélo entraîne dans sa roue de plus en plus de projets innovants autour du tourisme de plein air.
Parmi eux, Bagafrance, jeune société qui vient de voir le jour à Vouvray et spécialisée dans le transfert de bagages.

 
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Résultats ACCOR premier semestre 2013 Un premier semestre 2013 de mutation au service de la transformation et performance du Groupe

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1er semestre mitigé, prévisions annuelles confirmées
Malgré un chiffre d'affaires en hausse de 1,8% à périmètre et changes constants, le résultat d'exploitation est en baisse de 6,4% sur le 1er semestre. Pour autant, le groupe confirme son objectif de...télécharger les résultats
 Chiffre d’affaires : 2 694 M€ (+1,8% à pcc1)
 Résultat d’exploitation : 198 M€ (-6,4% à pcc)
 Résultat avant impôt et éléments non récurrents : 148 M€ (-14,7% à pcc)
 Résultat net : 34 M€ (vs -532 M€ au 30 juin 2012)
***
 Programme d’asset management : réduction de 248 M€ de la dette nette retraitée sécurisée au 28 août
***
 Objectif de Résultat d’exploitation 2013 : entre 510 M€ et 530 M€
Le 1er semestre 2013 a été marqué par :
 des mesures de transformation pour consolider la performance du Groupe, avec :
- des initiatives stratégiques dans les domaines de la distribution et de la fidélisation, en s’appuyant sur le plan digital du Groupe
- le lancement du plan d’économies de 100 M€ sur 2013-2014, dont l’essentiel des effets pour 2013 portera sur le second semestre
- la création de la Direction Générale Asset & Investissements
- la mise en place d’une organisation par marque en Europe
 une activité solide
- une bonne croissance du chiffre d’affaires sur l’ensemble des segments et dans les marchés clés du Groupe, marqué par la forte hausse du chiffre d’affaires lié aux redevances de management et franchise (+15,9%)
- une stabilité de la performance opérationnelle dans un environnement complexe
- un autofinancement disponible de 212 M€
- l’ouverture de 9 940 nouvelles chambres, à 80% en asset light
- Le lancement en mars d’une émission obligataire d’un montant de 600 M€ à maturité 6 ans avec un coupon annuel de 2,5%
http://www.accor.com/fileadmin/user_upload/Contenus_Accor/Finance/Pressreleases/2013/FR/20130828_cp_s1_2013.pdf
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Assemblée générale de lOMT message du Président du Conseil mondial du tourisme le partenariat public-privé est plus important que jamais dans le secteur du tourisme

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«La nécessité d'un partenariat solide entre les secteurs public et privé est plus importante aujourd'hui qu'elle ne l'a jamais été si le tourisme veut est d'atteindre son véritable potentiel comme l'un des grands créateurs d'emplois et la croissance économique du monde."

C'est le message de David Scowsill, président du World Travel & Tourism Council (WTTC), dans son discours à la 20e Assemblée générale de l'Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies.

Il a rappelé aux membres de l'OMT et aux délégués que le secteur privé a besoin des gouvernements pour mettre en œuvre des politiques qui permettent à l'industrie de se développer durablement, en même temps le secteur public exige des entreprises privées de gérer les hôtels, les aéroports, les compagnies aériennes, les croisère et les voyages de sorte à donner vie au potentiel touristique des pays.

«En tenant compte des impacts direct, indirect et induit du tourisme, la contribution du secteur du tourisme et des voyages au PIB en 2012 était de 6600 milliards de dollars (6,6 trillions), 260 millions d'emplois et 1,2 milliards de dollars d'exportations.

Public: private relationship more important than ever”, says WTTC boss

27 August 2013

“The need for a strong partnership between the public and private sectors is more important today than it has ever been if tourism is to achieve its true potential as one of the world’s great creators of jobs and economic growth.”

That is the message that David Scowsill, President & CEO, World Travel & Tourism Council (WTTC), gave in his address to the 20th General Assembly of the UN World Tourism Organization.

Scowsill reminded UNWTO members and delegates that the private sector, which WTTC represents, needs governments to implement policies which allow the industry to grow sustainably; while the public sector requires the privately-owned companies to run the hotels, airports, airlines, cruise lines and tour operators to bring to life a country’s tourism potential.

“Taking account of its direct, indirect and induced impacts, Travel & Tourism’s total contribution to GDP in 2012 was US$6.6 trillion, 260 million jobs and US$1.2 trillion in exports. So this is already a powerhouse industry that helps drive the world economy. But there is still more that can be achieved. Governments need the private sector as much as provide companies need Governments to adopt the right policies in order for Travel & Tourism to realise its full potential as a driver of economic growth and a creator of jobs. Neither party can go it alone.”

Scowsill will also praise the highly-constructive relationship between UNWTO & WTTC and particularly the complementary research undertaken by the organisations: “UNWTO and WTTC are two sides of the same coin. We both seek to promote the economic and social benefits of our great industry. In pursuit of that mission, we complement each other’s work. WTTC provides the economic contribution of Travel & Tourism to GDP, job growth and investment, while UNWTO delivers the invaluable data on arrivals and flow of receipts for each economy.”

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Vélo Tourisme le Luberon maintient le cap

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Dans le Luberon, on a compris depuis bien longtemps tous les bienfaits du développement du vélotourisme pour le territoire. Dès 1995, le premier itinéraire vélo jalonné voyait le jour, à l’initiative du Parc Naturel Régional. Dans la foulée, les professionnels du tourisme prenaient conscience que l’offre vélotouristique ne devait pas se cantonner aux aménagements cyclables, mais s’accompagner d’une offre de service adaptée et structurée.

En pays luberonnais, c’est donc avec une longueur d’avance qu’a été pris le virage vélotouristique que connaît la France depuis les années 2000, grâce à une collaboration atypique et fructueuse entre le PNR du Luberon, qui promeut toutes les formes de randonnées non motorisées, et des professionnels regroupés en association de développement touristique, « Vélo Loisir en Luberon ».

 
« Vélo Loisir en Luberon » : plus de cent professionnels au service du vélotourisme

L’objectif de ce réseau de professionnels est simple : favoriser la découverte du Luberon à vélo, en facilitant au maximum la vie des cyclistes transitant ou séjournant au sein du Parc Naturel Régional. Véritable acteur du développement du vélotourisme sur le territoire, « Vélo Loisir en Luberon » regroupe aujourd’hui plus de cent professionnels aussi divers que des hébergeurs, restaurateurs, accompagnateurs, loueurs, sociétés de taxis, agences de voyages, cavistes, producteurs, sites culturels ou de loisirs.

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Alpes-Maritimes bonne fréquentation touristique malgré un juillet décevant

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"La fréquentation touristique estivale des Alpes-Maritimes, tirée par les étrangers, se révèle "bonne" malgré un juillet en retrait, mais les vacanciers ont visiblement serré leurs dépenses, selon un bilan des professionnels du tourisme présenté mardi.

"La Côte d'Azur tire son épingle du jeu dans une situation qui demeure marquée par la crise", a résumé mardi devant la presse le président du Conseil général, Eric Ciotti, présentant le bilan de la principale activité des Alpes-Maritimes (5 milliards d'euros de chiffre d'affaires, 75.000 emplois directs).

La fréquentation de la saison estivale de mai à octobre s'annonce même en "légère progression" par rapport à 2012. Une récente enquête d'opinion auprès de 200 professionnels du tourisme révèle que 63% jugent la fréquentation égale ou supérieure à celle observée l'an passé.

L'avant-saison touristique a atteint "d'excellents niveaux", inégalés depuis environ cinq ans: 70% de taux d'occupation dans les hôtels et résidences en mai, plus de 75% en juin.
En juillet, l'occupation hôtelière a cependant baissé de quatre points sur un an, avec un taux de 78%, tandis que le taux d'occupation des résidences hôtelières était stable à 81%. Ce mois touristique décevant est lié à une baisse de la fréquentation de la clientèle française et à l'absence de Moyen-orientaux en pleine période du Ramadan.

En août, l'hôtellerie devrait atteindre un taux d'occupation compris entre 85% et 88%, la première quinzaine aoûtienne affichant même un taux de 91%.
Autre indicateur positif, le trafic aérien de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur, premier aéroport de province, affichait une hausse de 2,5% de passagers transportés en juillet (1,358 million de personnes, un record absolu pour ce mois). Sur la première quinzaine d'août, le trafic passagers était en hausse de 5,7% (643.301 passagers)".

 
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Espagne En Avril 2013 les résidents espagnols ont effectué 12 1 millions de voyages soit -252 quen avril 2012

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Los residentes en España realizaron 12,1 millones de viajes, un -25,2% menos que en el mismo mes de 2012. Este descenso tan pronunciado se explica principalmente por el efecto Semana Santa. En 2012 esta festividad tuvo lugar en abril y este año se ha celebrado en su mayor parte en marzo. Como consecuencia de esto, se han producido descensos generalizados en prácticamente todas las variables analizadas. suite

 

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STR hotel performance - july 2013 - Performance de lindustrie hôtelière internationale - juillet 2013

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HENDERSONVILLE, TENNESSEE - The U.S. hotel industry reported positive results in the three key performance metrics during July 2013, according to data from STR Global.

Overall, the U.S. hotel industry’s occupancy rose 1.7 percent to 71.1 percent, its average daily rate was up 4.1 percent to US$112.18 and its revenue per available room increased 5.8 percent to US$79.73.

“The third quarter got off to a good start with July RevPAR up 5.8 percent, driven primarily by ADR,” said Bobby Bowers, senior VP of operations at STR. “Occupancy hit 71.1 percent, the highest July industry occupancy rate since 2006. The July numbers were boosted by one less Sunday in the month versus 2012, after June’s numbers were negatively impacted by similar calendar-related issues. July year-to-date RevPAR growth of 5.6 percent remains on track to achieve STR’s current full-year 2013 forecast of 5.8 percent.”

Among the Top 25 Markets, Houston, Texas, reported the largest occupancy increase, rising 8.2 percent to 70.1 percent. Denver, Colorado, followed with a 6.8-percent increase to 84.4 percent. New Orleans, Louisiana, posted the largest occupancy decrease, falling 6.6 percent to 63.8 percent.

Two markets achieved double-digit ADR increases: Houston (+14.1 percent to US$99.50) and Oahu Island, Hawaii (+13.4 percent to US$221.42). Washington, D.C., reported the only ADR decrease in July, falling 1.6 percent to US$131.45.

Houston led the RevPAR growth, rising 23.5 percent to US$69.74, followed by Nashville, Tennessee (+13.2 percent to US$73.22), and Seattle, Washington (+12.6 percent to US$125.36). Washington, D.C. (-7.0 percent to US$97.50), and New Orleans (-5.5 percent to US$75.45) ended the month with the largest RevPAR decreases.

The Americas region recorded positive results in the three key performance metrics when reported in U.S. dollars during July 2013, according to data compiled by STR and STR Global.

Compared to July 2012, the Americas region reported a 1.7-percent monthly increase in occupancy to 71.0 percent, a 3.8-percent monthly increase in average daily rate to US$114.07 and a 5.5-percent monthly growth in revenue per available room to US$80.97.

Among the key markets in the region, Vancouver, Canada (+5.9 percent to 85.1 percent), and Buenos Aires, Argentina (+5.3 percent to 58.5 percent), reported the largest occupancy increases for the month. Rio de Janeiro, Brazil, posted the largest occupancy decrease, falling 8.5 percent to 70.0 percent. Panama City, Panama, followed with an 8.1-percent decrease to 50.0 percent.

San Francisco, California, achieved the largest ADR increase, rising 9.0 percent to US$192.13. Chicago, Illinois, followed with an 8.4-percent increase to US$131.16. Toronto, Canada, fell 6.4 percent in ADR to US$129.20, reporting the largest decrease in that metric.

San Francisco (+11.3 percent to US$171.75) and Chicago (+10.2 percent to US$102.17) also led with double-digit RevPAR growth. Panama City (-11.6 percent to US$54.34) and Sao Paulo, Brazil (-10.3 percent to US$83.17), posted the largest RevPAR decreases.

The European hotel industry posted mixed results in year-over-year metrics when reported in U.S. dollars, Euros and British pounds for July 2013, according to data compiled by STR Global.

“Europe is posting quite positive demand growth in 2013”, said Elizabeth Winkle, managing director of STR Global. “Year-to-date, on a 12-month moving average, the region is achieving record demand levels (1,038,703,967 rooms sold). This is the highest actual demand they have ever achieved since STR Global has been tracking hotel performance in Europe (back to 2000). Year-to-date supply remains at a one-percent growth level and average daily rate is still a bit weak, when compared to YTD 2012. In July ADR fell 5.5 percent; the sharpest ADR decrease the region has seen since the financial crisis. Ramadan was in July this year, which had a negative impact on hotel performance, especially since last July was also strong. The euro is still quite strong compared to the pound and U.S. dollar which reduces spending power and limits hoteliers’ ability to increase their rates”.

Highlights from key market performers for July 2013 include (year-over-year comparisons, all currency in Euros):
  • Athens, Greece, reported the only double-digit occupancy increase, rising 16.9 percent to 70.6 percent.
  • Istanbul, Turkey, fell 29.6 percent in occupancy to 50.5 percent, reporting the largest decrease in that metric.
  • Vilnius, Lithuania, rose 15.6 percent in ADR to 59.66 euros, achieving the largest increase in that metric.
  • London, United Kingdom (-23.5 percent to 165.14 euros), and Istanbul (-15.5 percent to 141.06 euros), posted the largest ADR decreases for the month.
  • Six markets experienced RevPAR growth of more than 10 percent: Athens (+15.2 percent to 66.50 euros); Edinburgh (+14.0 percent to 101.54 euros); Lisbon, Portugal (+13.7 percent to 60.07 euros); Vilnius (+12.4 percent to 45.68 euros); Bratislava, Slovakia (+11.0 percent to 31.83 euros); and Copenhagen, Denmark (+10.5 percent to 79.76 euros).
  • Istanbul fell 40.5 percent in RevPAR to 71.29 euros, reporting the largest decrease in that metric.
The Middle East/Africa region reported mixed performance results during July 2013 when reported in U.S. dollars, according to data compiled by STR Global. The region reported a 13.5-percent decrease in occupancy to 49.0 percent, a 5.6-percent increase in average daily rate to US$147.82 and an 8.6-percent decrease in revenue per available room to US$72.37.

“The timing of Ramadan in July, coupled with the ongoing unrest issues in the Middle East/Africa region have had a negative impact on hotel performance”, said Elizabeth Winkle. “Northern Africa was impacted by the recent overthrow of President Morsi and violent clashes between his supporters and opposition in Egypt; Cairo only achieved 16.6-percent occupancy rate this month. However, in Africa, Cape Town and Nairobi posted positive results as these markets are not impacted by Ramadan as much as the markets in the Middle East are.   For the total region, average occupancy in the region is less than 50 percent. However, overall year-to-date the performance in the region is still positive”.

Highlights among the region’s key markets for July 2013 include (year-over-year comparisons, all currency in U.S. dollars):
  • Doha, Qatar (+9.5 percent to 48.2 percent), and Nairobi, Kenya (+0.8 percent to 65.1 percent), reported the only occupancy increases for the month.
  • Cairo, Egypt, fell 60.1 percent in occupancy to 16.6 percent, posting the largest decrease in that metric.
  • Jeddah, Saudi Arabia, rose 13.0 percent in ADR to US$258.81, achieving the only double-digit increase in that metric.
  • Beirut, Lebanon (-20.2 percent to US$157.03), and Sandton, South Africa, and the surrounding areas (-11.0 percent to US$110.37), reported the only double-digit ADR decreases.
  • Jeddah (+6.3 percent to US$203.68) and Doha (+2.5 percent to US$83.96) experienced the only RevPAR increases in July.
  • Cairo fell 62.0 percent in RevPAR to US$16.68, reporting the largest decrease in that metric, followed by Beirut with a 43.5-percent decrease to US$60.73.
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Ouverture de l’Assemblée générale de l’OMT aux chutes Victoria

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La communauté touristique mondiale se réunit cette semaine aux chutes Victoria à l’occasion de la vingtième session de l’Assemblée générale de l’OMT. La simplification des formalités de visas, la connectivité et l’accessibilité sont les principaux thèmes sur lesquels se penchera cette Assemblée, qui s’est fixé pour but de faire progresser la croissance durable du tourisme (chutes Victoria, Zambie/Zimbabwe, 24-29 août 2013).

Les thèmes principaux comme la simplification des formalités de visa, la connectivité et l’accessibilité seront à l’ordre du jour de plus de 120 délégations des États Membres de l’OMT qui sont réunies cette semaine aux chutes Victoria. La vingtième session de l’Assemblée générale débattra également du Programme de travail de l’Organisation pour 2014-2015 et élira le Secrétaire général pour les quatre prochaines années.

Le Secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, a souhaité la bienvenue aux participants dans un message vidéo : « Le tourisme est une source incontestée de richesse nationale, de revenus pour les entreprises et d’emploi local » a-t-il affirmé en s’adressant à l’Assemblée. « Alors que nous œuvrons à concrétiser les objectifs du Millénaire pour le développement et à fixer un programme de développement pour l’après-2015, j’en appelle à tous les Membres de l’OMT et à la communauté touristique mondiale pour qu’ils réfléchissent au meilleur moyen de contribuer à un développement durable. »

« Cette Assemblée est une opportunité qui arrive à point pour que nous poursuivions tous ensemble la voie encourageante qui portera le tourisme à son meilleur potentiel en favorisant la croissance économique durable, l’emploi et le développement ; et quel meilleur cadre pour ce faire que celui de l’Afrique, région dont nous sommes convaincus que le tourisme peut être une véritable force », ainsi s’est exprimé M. Taleb Rifai, Secrétaire général de l’OMT.

L’Assemblée générale est la principale réunion statutaire de l’OMT et le rassemblement le plus important de dirigeants du tourisme et de hauts représentants du secteur privé venus de tous les horizons. Des délégations représentant les membres effectifs et associés de l’OMT, les membres affiliés, et des délégués d’autres organisations internationales assistent à l’Assemblée, qui se tient tous les deux ans.

 Liens utiles :

Assemblée générale de l’OMT

Support médias de l’Assemblée générale (en anglais)

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Poitou-Charentes le niveau de fréquentation semble comparable à 2012 pour une majorité de professionnels

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- Le niveau de fréquentation semble comparable à 2012 pour une majorité de professionnels
- Certaines destinations sont plus avantagées que d’autres, notamment le littoral
- La clientèle étrangère continue sur sa lancée de bons résultats

- Après un début de saison peu satisfaisant, les résultats sur cette période estivale (14 juillet - 15 août) semblent mieux correspondre aux attentes de nos prestataires : 38% d’entre eux estiment la fréquentation similaire à celle de 2012 et 29% supérieure.

Une météo certes capricieuse (orages), un contexte économique toujours pointé du doigt pour certains, la volatilité des touristes, les actions promotionnelles, la fidélisation ou la clientèle de dernière minute pour d’autres, expliquent ces résultats assez mitigés mais encourageants. Les clientèles locales et de proximité (excursions) sont moins assidues en cette période et ne viennent donc pas contrebalancer une clientèle française d’agrément légèrement en retrait. Dans un faible volume, la clientèle affaire se maintient.

La fin juillet semble avoir été plus difficile pour bon nombre de professionnels. Les réservations de dernière minute étaient encore nombreuses cette année. Sur la première quinzaine d’août les prestataires présentent un bilan enthousiaste : des flux touristiques plus importants, une semaine du 15 août très satisfaisante.

- Suivant les destinations touristiques, le constat est mitigé : la météo semble avoir favorisé largement le balnéaire au détriment de destinations plus culturelles ou intérieures.

- Les hébergements de la région présentent une activité globalement stable. La fréquentation en hôtellerie est jugée moyenne et en dessous des années traditionnelles alors que la fréquentation dans les campings (nus et locatifs), villages de vacances ou locations (meublés, chambres d’hôtes) demeure satisfaisante pour cette période.
Pour les autres activités1, des résultats variables : un thermalisme qui se maintient ; des sites de visite non culturels satisfaits mais des thalasso ou sites culturels plus éprouvés. La fréquentation dans les OTSI est en hausse.

- Les touristes étrangers sont bien présents : les Britanniques demeurent assez nettement la 1re clientèle étrangère de la région, suivis des Belges et Néerlandais. A noter : une clientèle suisse assez importante.
La clientèle française présente un niveau légèrement inférieur à 2012 : elle est très volatile et
privilégie le littoral.

- Les résultats régionaux sont plutôt prometteurs. Les prestataires sont enthousiastes pour la suite de la saison touristique (réservation, météo). Une réussite, qu’il faudra bien sûr confirmer sur la deuxième quinzaine du mois d’août, mais qui laisse présager un vif succès …


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Hausse des nuitées au mois de juin et au premier semestre 2013

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"Selon les résultats provisoires de l’Office fédéral de la statistique (OFS), l’hôtellerie a enregistré en Suisse 3,3 millions de nuitées en juin 2013, soit une augmentation de 4,0% (+124'000 nuitées) par rapport à juin 2012. Les visiteurs étrangers génèrent 2 millions de nuitées, ce qui correspond à une croissance de 5,7% (+106'000 nuitées). Les hôtes indigènes affichent 1,3 million de nuitées, soit une hausse de 1,4% (+18'000 nuitées).

Le nombre cumulé des nuitées pour le premier semestre 2013 se chiffre à 17,1 millions. Ceci représente une augmentation de 1,2% (+210'000 nuitées) par rapport à la même période de l’année précédente. Les hôtes étrangers, avec 9,5 millions de nuitées enregistrées, affichent une croissance de 1,8% (+170'000 nuitées). Avec un total de 7,6 millions de nuitées, la demande indigène présente une hausse de 0,5% (+40'000 unités).

Augmentation des nuitées des visiteurs de Chine en juin 2013

En juin 2013, ce sont les visiteurs venus de Chine (sans Hongkong) qui affichent la plus forte augmentation absolue, soit une hausse de 20'000 nuitées (+29%) par rapport à juin 2012. Suivent les hôtes en provenance du Royaume-Uni avec une croissance de 14'000 nuitées (+9,8%) et ceux des Pays du Golfe avec 13'000 nuitées en plus (+16%). Arrivent ensuite les Etats-Unis (+12'000 nuitées / +6,4%), la Belgique (+11'000 / +26%), l’Inde (+7600 / +8,1%) et la France (+4900 / +5,2%). Quant aux visiteurs d'Allemagne, ils enregistrent la diminution absolue la plus prononcée, soit une baisse de 8100 nuitées (-2,0%). Suivent les hôtes d'Italie (-2300 nuitées / -3,1%) et les visiteurs d'Espagne (-1700 / -4,5%).

La plupart des régions touristiques en hausse en juin 2013

Au niveau des régions touristiques, onze régions sur treize enregistrent des progressions en juin 2013 par rapport à juin 2012. Le Tessin affiche la plus forte augmentation absolue de nuitées (+32'000 nuitées / +13%). Arrivent ensuite la région zurichoise (+28'000 / +5,4%), l’Oberland bernois et la région lémanique (Vaud) (+19'000 nuitées pour chaque région / respectivement +5,4% et +7,7%) ainsi que la région Berne (+9000 / +6,3%). Seules régions touristiques à connaître un recul du nombre de nuitées, les Grisons et le Valais affichent des baisses respectives de 7200 (-2,2%) et 2400 nuitées (-1,0%)".

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Les avis sur Internet tout le monde en profite

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"Autrefois, le voyageur prenait le risque de se retrouver face à des draps douteux ou du personnel acariâtre. Avec la flambée de sites comme TripAdvisor ou Yelp, il sait où il va.

Le commerce en profite aussi. Mais un hôtel ou un restaurant peut se retrouver très vite puni, si le client n'est pas satisfait et l'écrit.

"Cela a marché pour nous de manière phénoménale", assure Adele Gutman, vice-présidente des ventes de Library Hotel Collection, qui gère quatre hôtels à New York.

Mme Gutman a remarqué les premiers avis positifs en 2004, quand l'un de ses hôtels s'est retrouvé au 7e rang des hôtels les plus appréciés de New York, sur le site TripAdvisor. Les réservations ont alors explosé.

"Nous avons alors décidé que ce serait notre priorité. Chouchouter nos hôtes, trouver ce qui leur plaît et regarder les avis pour nous améliorer", dit-elle à l'AFP.

Depuis, les quatre hôtels du groupe sont dans la liste des huit premiers recommandés à New York et un seul d'entre eux, le Casablanca, génère entre 100.000 et 180.000 revues par mois sur TripAdvisor.

"Quand vous avez cette visibilité, vous n'avez pas besoin d'autre publicité", ajoute la responsable selon qui le taux d'occupation de ses hôtels va de 89 à 94%.

Une étude de la Harvard University a montré que les chiffres d'affaires de restaurants à Seattle (nord-ouest) avaient augmenté de 5 à 9% par étoile rajoutée à leur critique sur le site Yelp.

Une autre enquête de l'université de Californie à Berkeley assure que la probabilité qu'un restaurant de San Francisco remplisse toutes ses tables augmente de 20 points par demi-étoile ajoutée.

Il est plus difficile en revanche de mesurer les mauvaises critiques, quelquefois sanglantes : "Je suis sûr que ce serait meilleur à la soupe populaire", écrit ainsi un touriste du Texas, Aldo D, sur Yelp, en commentant un restaurant de Chicago".

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Venise victime du tourisme de masse

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"Venise va-t-elle mourir victime de son succès? Le tourisme de masse rend encore plus flagrante la fragilité endémique de la Sérénissime vieille de dix siècles. La ville est usée, écrivait déjà Guy de Maupassant en 1855... La municipalité considère que le tourisme dit pendulaire est devenu le fléau le plus dangereux pour la pérennité de Venise, victime de son formidable pouvoir d’attraction.

Que faire pour contenir ces masses de touristes, de badauds désœuvrés errant de la Piazzetta, du Palais des Doges au Musée Correr restauré par le Comité français pour la sauvegarde de Venise, assis sur les quais battus par les eaux ou les six marches du Campanile (deux heures de queue pour y pénétrer) ou tentant d’entrer dans la basilique (trois heures de queue le weekend) alors que dans les cinq autres sestiers (quartiers), la balade romantique de ruelles en ponts (110) et églises «une symphonie de pierres» (Élie Faure) conserve tout son charme et «sa gloire ancienne» (Maupassant). La vraie Venise est là aussi.

A Venise, rien n'est simple

Rien à faire, la place Saint-Marc, ses lions qui volent (Cocteau), la Tour de l’Horloge, les bureaux des procuraties, les vendeurs de breloques et de chapeaux, les concerts aux terrasses des cafés (il y en a jusqu’à vingt-deux), la course aux pigeons, hélas revenus, «redoutables comme des rats» dit Christophe Mercier, directeur du Danieli, tout cela polarise l’attention et le trop bref séjour de ces visiteurs d’un jour.

Innombrables sont les aléas liés à cette concentration. Une charge très lourde pour la ville sur pilotis et ses barques qui transportent sur les canaux les marchandises du marché du Rialto, les pompiers et les morts. On n’a pas idée des complications matérielles liées aux livraisons de toutes sortes. À Venise, rien n’est simple.

Mais sur la Piazza San Marco, le problème majeur, c’est la faim. Comment se nourrir? Sur les poubelles, on peut lire: «Il est interdit de manger et de boire en s’asseyant sur la place». Depuis 2000, la municipalité a supprimé les bancs, clôturé le bas des colonnes et des statues. N’ont le droit de s’asseoir que les gondoliers dans leur casemate et les clients des cafés et restaurants.

Venise reste une ville de commerçants, de rapines, et pour croquer un tramezzini (petit sandwich au pain de mie), une part de pizza ou des cicchetti, ces tapas à la vénitienne, la station debout s’impose à tous, même aux Vénitiens postés dans les bacari, les bistrots à vins locaux.

«Si on laissait faire ces errants de la place Saint-Marc, les badauds qui ne vont nulle part ailleurs, ils feraient des barbecues ou des raclettes», lance Christophe Mercier, un rien blagueur.

Une taxe pour entrer dans la ville

La municipalité cherche de l’argent partout —elle a mis en vente le casino 350 millions d’euros et la commercialisation du nom Venise n’a rien donné. La ville avait en projet une taxe à régler pour tous les visiteurs pénétrant dans la cité. Un vœu pieu: où placer les guichets en ville et les fonctionnaires en mer ?

L’autre idée reste de faire payer les dizaines de millions de croisiéristes embarqués sur des monstres marins de 140.000 tonnes —une menace quotidienne, impressionnante. Par an, 900 navires croisent sur la lagune devant la place Saint-Marc, le Palais des Doges, le Danieli, le quai des Esclavons, la Pietà (l’église où est né Vivaldi), les Giardini (jardins publics) avant de gagner la haute mer.

Il est 21h30 ce vendredi soir d’été à la Terrazza, le grand restaurant à la vue panoramique du Danieli d’où l’on voit l’île de San Giorgio Maggiore, l’île de la Giudecca du Cipriani et du Bauer Palazzo et la percée vers l’Adriatique, fabuleuse vision de la Venise des fondateurs du XIIIe siècle. Tout amoureux de la Sérénissime tient à contempler ce spectacle immobile, figé dans la nuit des temps.

Tout à coup, sur la droite du paysage lagunaire, tout près de la Salute, la magnifique basilique et sa statuaire restaurée en 1956 grâce à la France, surgit le Pacific Princess, un paquebot tout blanc, haut de six ponts, qui glisse sur les eaux du bassin de Saint-Marc à une allure de lente procession. La centaine de convives de la Terrazza cesse de mastiquer la pasta: stupéfaction et crainte sourde. Si le monstre des mers s’affaissait ?

Il y a peu, à la fin juillet, un paquebot de croisière a frôlé le quai de l’Arsenal, déviation comparable à celle du Concordia. Tous les journaux vénitiens ont relevé ce fait divers maritime.

Qu’a-t-on fait depuis l’échouage du navire de la compagnie Costa Croisières à Grosseto en 2012? À Venise, chef-d’œuvre en péril, rien. Si le nouveau maire, Giorgio Orsoni, fervent défenseur de la marine à voile et des régates en gondoles, est opposé au trafic périlleux des paquebots géants à 4.000 passagers et plus, il n’a hélas pas le pouvoir de faire dériver ces navires par la passe de la Malamocco, la route du pétrole, recommandée par certains édiles et professionnels de la navigation sur la lagune aux 110 îles.

C’est que le mouvement des bateaux, des ferries et autres immeubles flottants, le stationnement sur le port vénitien, le temps des escales, les bagages par centaines à porter, à stocker, tout cela relève du Venice Port Authority, qui tire la majorité de ses revenus du transit maritime, soit 45.000 euros par navire étranger".

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Fréquentation touristique dans les hôtels campings et autres hébergements collectifs touristiques en France métropolitaine - Résultats du 2e trimestre 2013

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Nombre de nuitées au deuxième trimestre 2013 et évolution par rapport à 2012

"Au deuxième trimestre 2013, la fréquentation dans les hôtels se tasse (-0,6 %) par rapport à la même période de 2012, ce qui confirme la tendance du trimestre précédent. La nette diminution de la fréquentation des touristes français (-3,4 %) n'est que partiellement compensée par la hausse des nuitées en provenance de l'étranger (+4,5 %). Dans les campings, sur la période de mai et juin, les nuitées progressent de 6,4 % grâce à l'afflux de touristes français (+5,4 %) comme étrangers (+7,9 %). Avec 14 % de nuitées supplémentaires, les emplacements locatifs dotés d'un hébergement (bungalows, chalets.) sont plébiscités par les touristes quelque soit leur provenance.

La fréquentation est stable (-0,2 %) dans les autres hébergements collectifs. En effet, la progression de 1,8 % dans les résidences de tourisme ou résidences hôtelières de chaine, qui concentrent 73 % des nuitées, est compensée par le repli de 5,2 % dans les autres hébergements (villages de vacances, auberges de jeunesse.).

Le mois d'avril a été particulièrement en repli par rapport à avril 2012 dans les hôtels (-6,3 %) comme dans les autres hébergements (-11,5 %). Cette baisse concerne les clientèles françaises comme étrangères.

En revanche, le mois de mai a bénéficié de ponts importants pour les 1er mai, 8 mai (y compris l'Ascension) et des vacances scolaires de la zone C. Ainsi, il est très bien orienté pour les 3 types d'hébergement : +4,3 % dans les hôtels, +16 % dans les campings et +14 % dans les autres hébergements. Les étrangers ont largement contribué à cette embellie : leur fréquentation a notamment progressé de 27 % dans les campings en mai 2013 par rapport à mai 2012.

Au total toutefois, la fréquentation hôtelière cumulée sur les mois d'avril et mai 2013 est en deçà de celle observée en 2012, le mois de mai ne compensant pas les mauvais résultats d'avril.

Le mois de juin est stable dans les hôtels et les campings, la progression des nuitées étrangères compensant la baisse des nuitées françaises".

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Bretagne un mois de juillet décevant

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En bref ...
"Il était attendu, il a brillé tout au long du mois... mais cela n’a pas suffi à redonner le sourire à tous les professionnels bretons. La conjoncture économique pénalise aussi l’activité touristique avec un recul des taux de départ des Français, qui s’en ressent sur la fréquentation bretonne.
 
Plus précisément...
Absence remarquée de la clientèle française Plus de la moitié des professionnels bretons sont déçus du mois de juillet, avec notamment un net recul de la fréquentation française. La baisse annoncée des taux de départ en vacances de cette clientèle semble se confirmer. La fréquentation étrangère paraît plus satisfaisante.

Des budgets hébergement réduits et des dépenses loisirs maîtrisées Les professionnels de l’hébergement sont moroses. Seuls ceux des résidences de tourisme et de l’hôtellerie de plein air, dopés pour leur part par la fréquentation des emplacements nus, esquissent un sourire. Quant aux équipements de loisirs, ceux de plein-air ont souffert de la concurrence avec la plage et les structures couvertes de la météo radieuse. Par ailleurs, les arbitrages budgétaires ne favorisent pas ces structures.

Des disparités régionales Il existe des différences sur le territoire, avec notamment l’impact positif pour certains du passage du Tour de France et des résultats bien meilleurs pour le littoral Nord que pour le sud"...

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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