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Tourisme professionnel

Le tourisme festif vous entraîne au bout de la nuit

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Loin des visites de musées et des tours de ville organisés, les adeptes du nightlife jugent les destinations sur la qualité de leur vie nocturne. Certaines villes ont donc fait du tourisme festif, véritable tendance auprès des jeunes adultes, leur nouvelle image de marque.
C’est la fête! Oui, mais pour qui?
Généralement âgés de 18 à 35 ans, les touristes festifs voyagent en groupe d’amis, souvent du même sexe. Leur séjour est relativement court (3 à 5 jours) et s’oriente autour de la découverte d’une destination à travers sa vie nocturne et la fréquentation de ses bars, boîtes de nuit ou plages animées.
La représentation sociale tient une place non négligeable dans le choix d’un voyage festif. Ses adeptes optent pour des destinations à la mode et aiment le faire savoir sur les médias sociaux. Le temps d’un séjour, les noctambules peuvent se prendre pour des vedettes ou des millionnaires par la fréquentation des lieux «chauds», les consommations excessives et l’adoption d’un comportement éloigné de leur quotidien. À New York, les dépenses des visiteurs pendant la nuit sont sept fois supérieures à celles des résidents.

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Royal Caribbean veut sa part du marché français des croisières

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Les résultats de Royal Caribbean en Espagne parlent d'eux-mêmes : le groupe a enregistré dans ce pays une croissance de 400% depuis son arrivée, en 2005. Bien ancré au port de Barcelone, le croisiériste part aujourd’hui à la conquête du marché français. Une équipe commerciale d'une dizaine de personnes a été formée en France depuis quelques mois pour démarcher les agents de voyages, prescripteurs incontournables selon Emmanuel Joly, directeur commercial Espagne & France de Royal Caribbean International : « Nous misons toute notre politique de distribution sur ces réseaux professionnels des agences de voyages parce que cela correspond parfaitement à ce qu'attend notre clientèle, c'est-à-dire du conseil ».
Royal Caribbean espère maintenir ainsi une dynamique qui se traduit par une hausse de 30% du chiffre d'affaires en 2012 l'an dernier en France, sur un marché avec un très fort potentiel de croissance : « Nous représentons environ 6% des ventes de croisières en France, où la demande progresse globalement de 15% par an ». Royal Caribbean International annonce aussi « une croissance à deux chiffres » de son ticket moyen dans l'Hexagone.

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Mongolie Azerbaïdjan Ethiopie ces destinations rares qui courtisent les Français

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Peu connues en France, des destinations comme la Mongolie, l'Azerbaïdjan, l'Ouzbékistan, l'Ethiopie ou la Mauritanie tentent de convaincre au salon du tourisme Top Resa à Paris que leur pays vaut le voyage. Mais il leur faut d'abord tordre le cou aux clichés.
"L'Ethiopie n'est pas un pays sec. Il y a de hauts plateaux dans le nord, où l'altitude est de plus de 1.800 mètres, et c'est une terre d'agriculture et d'élevage", souligne Philippe Bourgès, qui défend les intérêts de Kibran Tours en Ethiopie.
Le pays ne reçoit qu'environ 5.000 Français par an, surtout "des voyageurs avertis et de plus de 50 ans", mais l'intérêt s'accroît depuis deux ans, assure M. Bourgès.
C'est le Nord qui attire particulièrement car c'est le lieu de l'ancien royaume chrétien, "le pays de la reine de Saba", dit-il.
Grande comme deux fois la France, l'Ethiopie vend un tourisme de culture et de nature, entre les monastères du XIVe siècle, les vestiges d'inspiration française et portugaise, le désert du Danakil, les lacs de soufre et le volcan Erta Ale...
A quelques stands de là, la Mongolie rivalise, accessible aux Occidentaux depuis la fin de l'emprise soviétique. Environ "7.000 francophones" s'y sont rendus l'an dernier, "Français, Belges, Suisses, Québécois...", sur près de 450.000 touristes reçus, explique une spécialiste de la destination.
"Pour beaucoup de Français, la Mongolie c'est faire du cheval dans les steppes et passer des nuits sous la yourte", note Anya Theatin, qui dirige l'agence Evasion Mongolie.
"C'est vrai que c'est un tourisme d'aventure. On a des pistes, peu d'infrastructures touristiques, pas d'autoroute... C'est assez sauvage. Mais il y a l'électricité et la télévision dans les yourtes!", dit-elle.
Cette année, se félicite-t-elle, "on a eu beaucoup de jeunes séniors, des gens de 60 ans amateurs de voyages de découverte. Ils visitent le désert de Gobi, la vallée d'Orkhon, le lac Khuvsgul... et rencontrent des peuples nomades".
"La Mongolie, c'est une vraie déconnexion.... et nos séjours démarrent à 700 euros les 12 jours, hors billet d'avion!", glisse-t-elle.
A l'autre bout des allées du salon Top Resa, l'Azerbaïdjan tente de faire passer comme message qu'il existe un tourisme au pays du pétrole -- même s'il n'assure que 2% du PIB.

 
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Les gîtes comment mettre en valeur vos atouts

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Parce que l’accueil est personnalisé et qu’il n’y a pas deux chambres pareilles, les gîtes offrent des expériences uniques. Encore doivent-ils suggérer un décor et une ambiance attractifs, mettre le tout en valeur sur le Web et sortir du lot!
Souvent bien situés, ils permettent au visiteur de rencontrer des résidents, et d’avoir leurs suggestions d’activités et de lieux à fréquenter. Un séjour inclut habituellement l’accès Wi-Fi et presque toujours des petits déjeuners raffinés et délicieux. Les gîtes s’inscrivent dans de nombreuses tendances lourdes telles que:

la quête d’authenticité;
les plaisirs gourmands;
l’immersion dans la culture locale;
la recherche d’expériences uniques;
les services personnalisés.

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Nouvelles tendances des clientèles loisir et affaires perçues par les agents de voyages

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Analyse de Guy Raffour, Président du Cabinet d’études. Cette étude a été menée auprès d’un échantillon de 200 Agents de voyages répartis par types de réseaux et d’activités, France entière. Terrain du 25 juillet au 18 septembre 2013.

A) LES SEJOURS DE LOISIR DES FRANCAIS
Question posée aux Agents de voyages : Quel est votre tout premier "bilan" des ventes loisir pour cet été 2013...
Agents d’Ile de France satisfaits de l’été 53%
Agents de province satisfaits de l’été 43%

Guy Raffour : les Agents font un bilan contrasté selon Paris / Province, en notant dans les deux cas une différence entre le mois de juillet moins porteur que le mois d’août, un développement des ventes de dernière minute précédé par un attentisme des clients, une recherche de promotions généralisée avec une prédominance à comparer les prix sur internet et à se rendre en agence surinformés. La destination France a bénéficié du beau temps mais elle est moins distribuée dans les agences et davantage réservée directement aux prestataires et essentiellement pour de l’hébergement. 

LE BUDGET, question posée aux Agents de voyages : Sur 100 clients loisir, combien viennent vous voir avec un budget vacances défini : 66%

Guy Raffour : les Français ont majoritairement un "besoin vital" de partir en séjours. Mais leur revenu libéré a baissé, du fait de la hausse continue des charges "contraintes". Ils "rationalisent leur envie" en faisant attention à leurs dépenses dans le projet même, et en les réduisant sur place (moins de pauses, de restauration, d’activités de loisirs…)

Question aux AGV : Et ces clients sont-ils prêts, après explications, à dépasser leur budget vacances...
oui facilement 12%
oui mais difficilement 62%
non et alors ils changent le contenu du projet 17%
non et alors ils changent de destination 14%
non et ils changent de projet 4%

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Tourisme pour convaincre les Français l’Egypte audite la sécurité

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"L’Egypte a présenté mercredi à Paris un audit réalisé par un cabinet français indépendant sur la sécurité de ses sites touristiques, afin de convaincre le Quai d’Orsay de lever ses restrictions de voyages et les touristes français de revenir en Egypte.

Après 10 jours de mission, du 7 au 17 septembre, à Louxor, Assouan, dans la vallée du Nil, au bord de la Mer Rouge et dans le Sud Sinaï, le cabinet Scutum Security First conclut que «tous les dispositifs sont en place pour la sécurité des touristes en Egypte», a indiqué son directeur Bernard Jacquemart lors d’une conférence de presse au salon du tourisme Top Resa.

 
Le stand Egypte au Salon du tourisme Top Resa à Paris le 25 septembre 2013 (Photo Eric Piermont. AFP)

L’Egypte a présenté mercredi à Paris un audit réalisé par un cabinet français indépendant sur la sécurité de ses sites touristiques, afin de convaincre le Quai d’Orsay de lever ses restrictions de voyages et les touristes français de revenir en Egypte.

Après 10 jours de mission, du 7 au 17 septembre, à Louxor, Assouan, dans la vallée du Nil, au bord de la Mer Rouge et dans le Sud Sinaï, le cabinet Scutum Security First conclut que «tous les dispositifs sont en place pour la sécurité des touristes en Egypte», a indiqué son directeur Bernard Jacquemart lors d’une conférence de presse au salon du tourisme Top Resa.

«Toutes les procédures fonctionnent, et plutôt bien. Si vous me demandez si je pars demain en vacances avec ma famille en Egypte, je vous réponds oui sans hésiter», a-t-il lancé, en présence du ministre égyptien du Tourisme, Hicham Zazou.

Il a souligné que son cabinet avait effectué le même genre d’audit de sécurité au Sri Lanka en 2007, pour différencier les sites touchés alors par la guerre civile et ceux touristiques épargnés.

Le ministre égyptien du Tourisme a fait savoir qu’il serait reçu jeudi au Quai d’Orsay. Il espère que le gouvernement modifiera ses restrictions de voyages vers les sites touristiques d’Egypte comme l’ont déjà fait la Belgique, les Pays-Bas, la Suisse ou «l’Allemagne hier soir».

«Nous aurons des discussions très ouvertes», a-t-il dit en rappelant l’importance cruciale pour les sites culturels égyptiens des touristes français, plus adeptes de ce type de tourisme que d’autres Européens.

«Louxor est aujourd’hui une ville fantôme, il n’y a personne, les magasins sont fermés. Le tourisme à Louxor est entre 1 et 2% de ce qu’il était auparavant», a plaidé M. Zazou. «La France doit reconsidérer sa position», a-t-il dit.

Il avait déjà lancé devant la presse mardi un appel pressant. «La situation est calme et stable à Louxor, à Assouan et sur la Mer Rouge. La vallée du Nil attend les touristes français», avait-il dit, en estimant que «le problème actuel est égypto-égyptien» et ne touche aucunement les touristes."

 

AFP
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La Réunion - fréquentation touristique au 1e semestre - un début dannée en recul de 10

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Un début d’année en recul de 10 %

"Au premier semestre 2013, 190 000 touristes ont visité La Réunion, soit un niveau proche de 2009, mais en retrait de 10 % par rapport au 1er semestre 2012.

Cette baisse de la fréquentation résulte en partie de la crise économique en France. Elle affecte La Réunion, dont la Métropole demeure le principal marché émetteur en matière touristique. Les deux tiers de la baisse de fréquentation au 1er semestre sont d’ailleurs imputables aux voyageurs en provenance de France métropolitaine (- 14 000 sur - 21 000).

Le recul de la fréquentation a sans doute été renforcé par deux autres facteurs : d’une part, les attaques de requins qui ont fait l’objet d’une large couverture médiatique nationale ; d’autre part, la fermeture de plusieurs dessertes aériennes directes en 2012 en provenance de province, mais aussi de l’Océanie.

Les visiteurs en provenance du reste du continent européen ou de la zone océan Indien sont en revanche plus nombreux, avec une hausse de respectivement + 13 % et + 7 %.

Le tourisme d’affaires baisse de 15 %

Le tourisme d’affaires est le plus touché : - 15 % par rapport au 1er semestre 2012. Environ 18 000 personnes sont venues pour affaires. Les autres entrées touristiques diminuent également. Les touristes d’agrément, venus principalement pour visiter l’île, sont en recul de 10 % et repassent en dessous de la barre des 70 000 visiteurs, proche du niveau de 2010.

Le tourisme affinitaire (visite dans la famille ou chez des amis) baisse aussi (- 11 %). Il représente toujours la moitié des arrivées au 1er semestre. Seuls les visiteurs voyageant pour un autre motif (sport, formation, santé, etc.), très minoritaires, sont venus plus nombreux qu’en 2012.

L’hébergement à l’hôtel est particulièrement touché

Conséquence de la diminution du nombre de touristes, la fréquentation des hôtels ou résidences de tourisme baisse de 17 %. La location meublée résiste un peu mieux, mais elle est en léger recul pour la première fois depuis 2008 (- 3 %).

Avec le recul du tourisme affinitaire, l’hébergement chez la famille ou les amis diminue également de 16 %. A contrario, les touristes sont plus nombreux à avoir choisi cette année un autre mode d’hébergement marchand, notamment le gîte rural ou la chambre d’hôtes (+ 36 %).

Des séjours un peu plus courts

Les touristes ont séjourné en moyenne 16,5 jours sur l’île, soit une demijournée de moins qu’au 1er semestre 2012. De même, les séjours à l’hôtel ont été un peu plus courts : 6,2 jours contre 6,6 jours au premier semestre 2012.

Conséquence de la baisse de fréquentation, le montant des dépenses totales des visiteurs diminue de 8 % et s’établit à 141 millions d’euros. Néanmoins, l’impact de la crise n’est pas visible dans les dépenses individuelles des ménages (1 320 euros par séjour en moyenne). Les postes de dépenses restent relativement stables, à l’exception de l’achat de cadeaux (+ 21 euros en moyenne) et de la restauration (+ 12 euros). Un quart du budget des touristes reste consacré à l’hébergement.

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Voyages à forfait les premiers résultats de la saison Eté 2013 pour le Syndicat des Entreprises du Tour Operating SETO Les résultats de l’activité tour operating au 31 août 2013

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Lors de la période du 1er mai 2013 au 31 août 2013, les tour-opérateurs membres du SETO (Syndicat des Entreprises du Tour Operating) ont enregistré une baisse de leur activité avec un volume d’affaires de l’activité voyages à forfait en retrait de -3,9% (1 708 M€) par rapport à la même période de l’exercice précédent.
Cette baisse est due à un recul de l’activité même si une légère augmentation de la recette unitaire moyenne est à signaler. Ainsi, les tour-opérateurs membres du SETO ont fait voyager 1 866 734 clients en voyages à forfait, ce qui correspond à une baisse de l’activité (-4,9%) par rapport à la même période de l’exercice précédent (à périmètre comparable). La recette unitaire moyenne quant à elle s’est légèrement redressée au cours de la période (+1,0%) pour s’établir à 915 €.
Le volume d’affaires de l’activité des voyages à forfait se répartit sur les grandes zones suivantes :
- La France a réalisé un volume d’affaires de 170 M€ en baisse de -4,4% : le nombre de clients recule de -5,1% (337 443 clients) et la recette unitaire moyenne de 503 € est en hausse de +0,7%
- Les destinations moyen-courrier ont réalisé un volume d’affaires de 1 120 M€ en baisse de -2,6%, associé à une baisse du trafic de -3,5% (1 334 344 clients) et à une légère hausse de la recette unitaire de +1,0% (839€)
- Les destinations long-courrier ont réalisé un volume d’affaires de 419 M€ en baisse (-7,0%) en raison de la baisse du trafic de -13,1% (194 947 clients). A signaler, une hausse de la recette unitaire de +6,9% (2 148€).
Les résultats de la saison Eté 2013 à la fin du mois d’août 2013 sont dominés par trois faits marquants :
a) une évolution négative pour l’ensemble des destinations impactées par le « printemps arabe » qui est accompagnée par une hausse de trafic pour la plupart des autres grandes destinations moyen-courrier
b) une baisse importante de l’ensemble de l’activité long-courrier suite à une reconfiguration des capacités aériennes, notamment dans les Caraïbes.
c) une hausse de la recette unitaire, notamment sur les destinations long-courrier.

 
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Destinations préférées des Français le Maroc et la Tunisie remontent la pente

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"Les destinations plébiscitées par les Français ont été dévoilées par le palmarès annuel du magazine professionnel l'Echo Touristique, lors de la première journée du salon du tourisme IFTM Top Resa qui se tient Porte de Versailles à Paris jusqu'à vendredi prochain.

Sans surprise, l'Espagne reste la destination numéro un des Français. Avec 8,9 millions de touristes hexagonaux en 2012 et une progression de 7,1% par rapport à l'année précédente, elle est loin devant ses concurrents comme l'Italie, en deuxième position, qui comptabilise 4,9 millions de visiteurs français, un chiffre stable comparé à 2011.

Dans le quinté de tête arrivent ensuite la Grande-Bretagne, avec une hausse de fréquentation depuis l'Hexagone de 4,3%, puis le Portugal (+10%) et le Maroc (stable).

Focus sur le bassin méditerranéen

L'Echo Touristique fait un point sur la situation des grandes destinations des pays du bassin méditerranéen, qui avaient connu une chute brutale de leur fréquentation suite aux événements du Printemps arabe en 2011.

Même si les Français avaient été moins nombreux à s'y rendre en 2011 (-16%), ils semblent renouer avec le Maroc qui retrouve presque son niveau d'avant-crise avec environ 1,7 million de Français en vacances sur son sol en 2012.

La Tunisie souffre toujours mais progresse : 1,385 million de visiteurs français s'y étaient rendus en 2010, en 2011 ils n'étaient plus que 807.000 et en 2012, leur nombre s'est hissé à 985.000.

L'Egypte en revanche est le grand perdant du bassin méditerranéen. Depuis 2010, la destination a perdu 47,4% de ses visiteurs depuis la France. Ils n'ont été en 2012 que 315.000 alors qu'en 2010 ils se comptaient autour de 600.000 environ.

Les îles progressent

Parmi les tendances à observer, Laurence Rousseau, directrice de la rédaction de l'Echo Touristique, note que sur les destinations moyen-courrier la Sardaigne connaît la plus forte progression (45,7% de plus), suivie des Emirats Arabes Unis (+40,2%). Les touristes français qui ont déserté les pays du Maghreb et l'Egypte semblent s'être reportés sur des destinations soleil comme Madère (+30,2%), les Canaries (+25%) ou la Sicile (+10%), plus chères mais pas trop loin de la France, ajoute-t-elle.

Enfin, sur les long-courriers, la Birmanie confirme l'intérêt croissant des Français pour sa destination, avec une progression de 55% en 2012.

Pour établir ce palmarès, l'Echo Touristique s'est basé sur les données de l'Organisation mondiale du Tourisme (OMT) et les chiffres donnés par les tours opérateurs".
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Airbus parie sur une croissance sans fin du trafic aérien

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Airbus reste optimiste sur la vigueur du marché aéronautique mondial pour les vingt prochaines années. Il table sur un marché total de plus de 29.220 appareils à livrer entre 2013 et 2032, soit près de 4.400 milliards de dollars en valeur.

Airbus reste optimiste - le contraire aurait été surprenant - sur la vigueur du marché aéronautique mondial pour les vingt prochaines années, et continue de parier sur l'intérêt des compagnies aériennes pour son très gros porteur A380, qui peinait récemment à enregistrer de nouvelles commandes. L'avionneur table sur un marché total de plus de 29.220 appareils de transport de passagers et de fret à livrer entre 2013 et 2032, représentant une valeur de près de 4.400 milliards de dollars, selon un document présenté mardi à Londres.

"L'aviation devenant de plus en plus accessible dans toutes les régions du monde, les voyages futurs feront de plus en plus appel à l'aviation, notamment au départ et à destination des marchés émergents", estime Airbus.

C'est plus de 1.000 appareils supplémentaires par rapport à sa précédente prévision pour la période 2012/2031. Ces chiffres portent sur l'ensemble du marché aéronautique, qu'Airbus devrait donc se partager avec son concurrent américain Boeing. Mais aussi peut-être avec de nouveaux venus, comme le canadien Bombardier dont le CS100, un appareil de plus de 100 places, vient de réaliser son premier vol. Selon l'avionneur toulousain, le trafic aérien augmentera au rythme annuel de 4,7 % au cours des 20 prochaines années

Une croissance tirée par les pays émergents

L'Association internationale des transporteurs aériens (IATA) vient de réviser à la baisse ses prévisions de bénéfices pour les compagnies aériennes cette année affectés par les cours du pétrole, la crise syrienne et la croissance décevante sur plusieurs marchés émergents. Pour autant, l'augmentation du transport de passagers par rapport à l'an dernier devrait être de 5 % avec un total de 3,12 milliards de passagers. Selon l'IATA, le taux d'occupation des sièges atteindra un niveau record à 80,2 % en moyenne dans les avions dans le monde. Le chiffre d'affaires pour les passagers pourrait atteindre 565 milliards de dollars (+ 13,7 %).

Pourtant selon les analyses d'Airbus, à moyen terme, le trafic aérien et la demande de nouveaux avions devrait être tirés par les pays émergents, en particulier l'Asie, où les villes et les classes moyennes se développent. Le patron des ventes d'Airbus, John Leahy, cité dans le communiqué de l'avionneur, constate :

"D'ici à 2032, la région Asie-Pacifique se positionnera en tête du trafic mondial, devant l'Europe et l'Amérique du Nord. Aujourd'hui en moyenne, un cinquième de la population des marchés émergents effectue un vol par an et, d'ici à 2032, ce taux passera à deux tiers. L'intérêt suscité par l'avion en tant que moyen de déplacement signifie que le nombre de passagers fera plus que doubler, de 2,9 milliards actuels à 6,7 milliards d'ici à 2032, démontrant clairement le rôle essentiel de l'aviation dans la croissance économique"

Doublement de la flotte mondiale

"Une urbanisation accrue entraînera le doublement du nombre de mégapoles, qui passera de 42 aujourd'hui à 89 d'ici à 2032, et 99 % du trafic long-courrier mondial s'effectuera entre ou via ces mégapoles"

Face à la hausse des prix du pétrole, les compagnies devraient se doter d'avions moins gourmands en carburant comme le nouveau A320neo, équipé de nouveaux moteurs plus efficaces.

Dans ce contexte, quelque 28.350 de ces appareils seront des avions passagers, d'une valeur de 4.100 milliards de dollars. Sur ce total, 10.400 environ viendront remplacer les avions existants par des appareils plus efficients. D'ici à 2032, la flotte mondiale doublera, passant de 17.740 appareils aujourd'hui à près de 36.560 appareils. Son concurrent Boeing se montre tout aussi optimiste pour le marché international, estimant que la flotte d'avions dans le monde doublera en vingt ans. Il a en revanche revu à la baisse en juin ses prévisions pour la demande de très gros porteurs comme l'A380 ou son propre 747-8 Intercontinental, avec une demande estimée limitée à 760 appareils au total.

Airbus continue de croire en l'A380

En dépit du scepticisme de Boeing, Airbus continue de penser que les compagnies s'intéresseront aux très gros porteurs, un marché dominé par son A380, des appareils qui devraient représenter 1.334 unités, soit une valeur de 519 milliards de dollars sur vingt ans. Sur ce total, 47 % seront destinés à la région Asie-Pacifique, suivie par le Moyen-Orient (26 %), puis l'Europe (16 %).

"Cette croissance du trafic a conduit à une augmentation de la capacité moyenne des appareils de 25 %, les compagnies aériennes optant pour des appareils de plus grande capacité, ou modifiant la capacité des appareils déjà commandés"

A ce jour, Airbus compte seulement 262 commandes fermes au total pour l'A380, et peinait ces derniers temps à remplir le carnet de commandes de son emblématique avion géant. La société Doric, spécialiste du financement d'achats d'avions pour le compte des compagnies aériennes, a signé un protocole d'accord pour 20 A380 au dernier salon aéronautique du Bourget mais le contrat reste encore à finaliser".

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Hotelscom définit lévolution des prix des villes du monde Rapport des prix hôteliers 2013

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Dans son Hôtel Price Index (HPI), Hotels.com présente les prix réels payés par les voyageurs en provenance de la zone euro en Euro (€) au cours des six premiers mois de 2013 par rapport à la même période en 2012. Les voyageurs de la zone euro ont dépensé d'avantage dans plus de la moitié des destinations internationales incluses dans le HPI avec des hausses principalement aux Etats-Unis et dans certaines parties de l'Europe ainsi que dans de nombreuses destinations du monde entier. L'Asie s'est maintenue comme destination proposant les meilleures offres. Sur les 114 villes incluses dans le rapport HPI, les prix moyens ont augmenté dans 59 destinations, n'ont pas changé dans 6 et ont baissé dans 49.
Les prix européens se stabilisent
La situation économique difficile dans la zone euro se poursuit, mais les gains sont supérieurs aux pertes dans les villes européennes figurant dans le rapport sur cette période. En France, Nice a connu une hausse des prix hôteliers de 10% avec un prix moyen de 116€ la nuit au premier semestre 2013. Paris a augmenté de 4% pour atteindre 133€, la ville de Cannes quant à elle reste fidèle à ses 135€.
Les villes des pays européens les plus touchées par la crise économique ont enregistré de meilleurs résultats au cours de cette période, les touristes européens se rendant à Reykjavik, par exemple, paient leur nuit 26% de plus, pour s'établir à 128€, c'est la plus forte hausse du HPI.
Au Portugal, Albufeira a augmenté de 17% pour atteindre 89€, Lisbonne elle, a connu une hausse de 8% à 79€. En Espagne, les destinations de vacances préférées des touristes ont également enregistré une bonne performance : Palma de Majorque (+ 18% à 116€), Marbella (+ 17% à 125€), Torre Molinos (+ 12% à 79€), Alicante (+ 9% à 72€), Barcelone (+ 6% à 115€) et Benidorm (+ 4% à 86 €). Madrid (76€) pourrait ne pas correspondre à ces résultats avec une baisse moyenne de 4%.
Durant l'année post-olympique, les voyageurs zone euro ont payé moins pour des chambres d'hôtel à Londres, en baisse de 1% à 138€, et d'Edimbourg, en baisse de 5% à 108€. Les prix payés en Suisse ont chuté. Genève (174€) a connu une baisse de 8%, et Zurich (144€) a enregistré 5% de baisse. Kiev a connu la plus grosse chute, en baisse de 25% à 101€. Quant à Varsovie (75€), 9% de baisse a été enregistré, alors que les prix dans les deux villes sont à des niveaux plus normaux après le Championnat d'Europe de Football de Juin 2012. La destination offrant la plus grande valeur en Europe était Vilnius, en moyenne 68€ la nuit en dépit d'une hausse de 8%, avec sa voisine Riga prochaine (69€), en hausse de 5%.
Ralentissement des hausses de prix aux Etats Unis
Les taux d'occupation à travers les Etats-Unis, en particulier dans les grandes villes, ont augmenté au cours des six premiers mois de 2013, en particulier au premier trimestre. Cela a contribué à la hausse des prix pour les voyageurs de la zone euro dans 10 des 15 destinations américaines du HPI, cependant, ils ne sont pas aussi élevés que dans les rapports récents. La plus forte hausse a été enregistrée à Miami avec 10% (147€). La Nouvelle-Orléans a connu une croissance de 9% à 115€. La croissance a été plus modeste à San Francisco en hausse de 6% à 138€. Key West et Seattle ont connu une hausse de respectivement 5% à 181€ et 127€ respectivement. Une augmentation de 3% à Chicago à 133€, Los Angeles à 118€ et Orlando à 78€, tandis que, sur la côte Est, New York, est à la cinquième place dans le tableau des destinations du monde avec une hausse de 2% à 183€ (comparé au premier semestre 2012). Boston, en baisse de 6% à 155€, Fort Lauderdale en baisse de 5% à 109€ et Washington DC, en baisse de 2% à 137€. San Diego et Las Vegas ont toutes les deux connu une baisse de 1% à 107€ et 80€ respectivement.
Gagnants et perdants en Asie
La hausse du nombre de voyageurs chinois a continué à avoir un impact dans cette région plus que toute autre, ce qui, ajouté à l'augmentation du nombre de transporteurs à bas coûts et de nouvelles voies, aide à stimuler la demande. Cependant, les voyageurs de la zone euro ont payé moins cher dans la plupart des destinations asiatiques selon le HPI et la hausse reste modeste dans les destinations où les prix ont augmenté. L'Asie offre toujours le meilleur prix pour les voyageurs de la zone euro, selon le rapport, occupant huit des dix dernières destinations dans le tableau général des prix. Les destinations qui ont connu une hausse sont Phuket, 8% à 79€, Shanghai, 5% à 79€, Pékin et Pattaya, à la fois en hausse de 4% à 75€ et 57€ respectivement.
Les grandes villes ont également connu des baisses de prix. Les tarifs payés à Phnom Penh ont chuté de 12% durant cette période, faisant de la capitale cambodgienne la destination avec les prix les plus bas pour les voyageurs de la zone euro à 42€ la nuitée. Séoul a chuté de 17% à 100€, Tokyo en baisse de 11% à 94€ et Kyoto en baisse de 8% à 96€. Hong Kong, quant à elle, a perdu 4% à 138€, malgré une augmentation des arrivées de touristes et les ouvertures de nouveaux hôtels, et Ho Chi Minh-Ville a chuté dans la même proportion à 55€.
Le Mexique devance l'Amérique Latine
Le Mexique a de loin la meilleure performance en Amérique Latine au cours du premier semestre 2013. Les voyageurs de la zone euro ont payé 17% de plus à 153€ pour visiter la station balnéaire des Caraïbes de Cancun et 9% de plus (92€) pour la capitale Mexico. Par ailleurs, le real ayant perdu de sa valeur, les visiteurs de la zone euro ont moins payé avec une chute du prix moyen d'une nuit d'hôtel de 7% à Rio de Janeiro (201€). Même si la ville a organisé la Coupe des Confédérations de la FIFA en Juin et se prépare pour la Coupe du Monde 2014, elle se place au troisième rang du classement. Sao Paulo et Buenos Aires ont connu une baisse de 5% à respectivement 141€ et 86€.

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Au Grand Pavois la filière nautique avide de rebond après un point bas 2013

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Le Grand Pavois, l'un des plus grands salons nautiques internationaux, tient à partir de mercredi sa 41e édition à La Rochelle, rendez-vous à la voilure réduite, et avide de signaux positifs du marché, après une année 2013 qualifiée par la filière de "point bas".
Près de 100.000 visiteurs sont attendus jusqu'à dimanche au port de plaisance des Minimes, autour des bateaux, stands de constructeurs, équipementiers, sur ce salon à la fois professionnel et grand public, le "salon de la plaisance de Monsieur-tout-le-monde", comme l'explique son Commissaire général Christophe Vieux. Salon, qui, à ce titre, souffre aussi davantage de la crise que des salons plus "luxe" comme Cannes ou Monaco.
Le Pavois 2013, qu'inaugure officiellement le ministre délégué à la Mer Frédéric Cuvillier vendredi, compte presque autant d'exposants qu'en 2012, 800 venus de 35 pays, mais surtout moins de bateaux, 550 (dont 220 à flot) contre 750 l'an dernier. Signe selon M. Vieux "des restrictions budgétaires que chacun s'impose, et d'exposants qui dans leur grande majorité, ont +pu+ un peu moins que d'habitude".
"L'année la plus délicate a été 2013; dans la profession on estime qu'on a passé le point bas, et on pense, on espère, que l'année 2014 verra un redressement", déclare à l'AFP Jean-François Fountaine, président de la Fédération des Industries nautiques (FIN), justifiant cet optimisme prudent par des "signes positifs sur un certain nombre de destinations" à l'exportation: l'export, nerf de la guerre car représentant 70% de la filière française.
"Le retour du marché américain est significatif. On sent, à beaucoup de signes comme des commandes, des demandes de devis, qu'il y a une activité nautique qui repart fortement aux Etats-Unis", premier marché nautique mondial, selon M. Fountaine, lui-même président de grand chantier, et pour qui le grand salon américain d'Annapolis (10-14 octobre) devrait confirmer cette tendance.
Moins de ventes, mais toujours plus de bateaux
L'Allemagne, où les ventes augmentent, le Sud-est asiatique sont d'autres marchés aux signaux positifs.
Le marché français "difficile", a pour sa part reculé de 22% en 2013, troisième année de baisse, même si les ventes d'occasion restent à un "bon niveau", avec pour chaque bateau neuf vendu, sept à huit bateaux d'occasion vendus, selon la FIN. Et si on achète moins, on entretient davantage, d'où un marché de l'équipement qui se défend.
Selon la filière, deux types d'acheteurs tirent le marché malgré la conjoncture: les sociétés de location qui ont fait une année honnête, et les plaisanciers retraités, +baby-boomers+ qui se sont constitué un patrimoine pendant les Trente Glorieuses, et en vendent une partie pour acquérir un bateau "de plus en plus utilisé comme quelque chose pour passer une partie de la retraite", analyse le patron de la FIN.
En marge des nouveautés présentées, dont les grands catamarans Etoile (chantiers May Day Boat) ou Victoria 67 (Fountaine-Pajot), le Pavois 2013 devrait aussi attester des tendances du marché, comme l'explosion du "stand-up paddle".
Le Grand Pavois, n'échappe cependant pas aux restrictions budgétaires: son budget est repassé sous la barre des 3 millions d'euros, et il se passera donc cette année de son grand spectacle nocturne de voiles et pyrotechnie, selon M. Vieux.
Mais les acteurs de la filière relèvent que si les ventes reculent, le parc français de bateaux continue, lui, d'augmenter chaque année de quelques petits pour cent. "Le lien à la mer, l'envie de naviguer restent forts", prêts à faire redémarrer le marché quand la conjoncture permettra, selon Fountaine.
A défaut et en attendant, c'est le concept de salon nautique "populaire" type Pavois qui s'exporte: le Grand Pavois a été chargé d'organiser son double sur le Brésil émergeant, en février 2014 à Itajai, port d'arrivée de la prochaine Transat Jacques Vabre.

 
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Baisse de 2 2 des ventes de billets SNCF en agences de voyages

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PARIS, 24 sept 2013 (AFP) - Les ventes de billets SNCF en agences de voyages ont diminué de 2,2% au premier semestre 2013 par rapport au premier semestre 2012, a annoncé la directrice générale de SNCF Voyages Barbara Dalibard, mardi lors d'une conférence de presse.

Au premier semestre 2012, ces ventes étaient en hausse de 2,3%.

La SNCF et le Syndicat national des agents de voyages (Snav) ont annoncé, lors de cette conférence de presse organisée sur le salon professionnel du tourisme IFTM Top Resa, le prolongement pour un an, jusqu'au 31 décembre 2014, de la convention sur la rémunération des voyagistes qui vendent des produits SNCF.

"Cette prolongation permet de mieux rémunérer les agences de voyages agréées les plus contributives aux axes stratégiques de SNCF Voyages", précise la SNCF dans un communiqué.

"C'est un modèle qui a conforté le poids des agences de voyages dans le mix de distribution de la SNCF", a commenté Barbara Dalibard. La part des ventes de billets en agences de voyages reste stable, à 20%.

Signée le 14 décembre 2009, cette convention prévoyait que le montant de la commission versée aux agences de voyages sur la vente de billets de trains, auparavant fixé à 4,8%, soit désormais composée d'une commission fixe de 2,4% et d'une commission variable pour certains types de produits que la SNCF souhaite mettre en avant, notamment pour les billets en première classe.

Les agences de voyages vendent plus de première classe que les autres canaux, a commenté Barbara Dalibard.

La rémunération des agences est en moyenne de 4%, a précisé la SNCF, et le volume d'affaires en agences de voyages était de 1,3 milliard d'euros en 2012.

Les agences agréées peuvent également vendre des voyages en ID Bus, transports en car opérés par la SNCF.

Selon Barbara Dalibar, 50% des clients des offres de transports à petits prix récemment lancés, ID Bus et Ouigo, les TGV low-cost, sont des clients nouveaux pour la SNCF.

SNCF Voyages a également confirmé sa volonté, déjà exprimée en 2012, d'avoir un positionnement renforcé sur les déplacements professionnels, à travers des services dédiés à cette clientèle.
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2013-2022 Projet à 10 ans pour le Réseau des Grands Sites de France

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Le projet à 10 ans du Réseau des Grands Sites de France a reposé à la fois sur la consultation d'acteurs clés de la politique des Grands Sites de France, de partenaires du RGSF et d'experts, mais aussi sur une large mobilisation des membres du Réseau, élus et techniciens, consultés à toutes les étapes de son élaboration. Validé à l'unanimité par l'ensemble des membres du RGSF, réunis en Assemblée générale le 24 avril 2013, il s'inscrit dans une vision partagée entre le RGSF et le Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie (MEDDE) sur la politique des Grands Sites de France.
Sur la base du bilan de l'action menée depuis la création du RGSF en 2000, de l'écoute des attentes de ses membres, d'un travail sur les évolutions du contexte global, quatre grandes ambitions à l'horizon de dix ans (2013-2022), déclinées en 15 objectifs à 5 ans (2013-2017) ont été dégagées.

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Les ventes sur internet en hausse de 16 au 2ème trimestre 2013

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A l’occasion de l’ouverture de E-Commerce Paris 2013 (du 24 au 26 septembre –Paris Expo – Porte de Versailles), la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad)publie aujourd’hui le bilan des ventes sur internet au 2ème trimestre 2013, à partir des résultats de son enquête trimestrielle sur 128 000 sites.

Plus de 12 milliards d’euros dépensés sur internet au 2ème trimestre

Au cours de ce 2ème trimestre, le nombre de transactions sur internet a continué de progresser de 20% par rapport au même trimestre de l’année 2012. Au total, les Français ont dépensé 12,2 milliards d’euros en ligne sur la période, un chiffre en hausse de 16% sur un an. Même si le rythme de progression est moins important depuis le début de l’année, le marché des ventes sur internet reste tiré par la croissance de l’offre et de la demande.

Le high-tech/électroménager et l’habillement continuent ainsi de progresser respectivement de +7% et +13%. D’autres marchés montent en puissance. C’est le cas du marché des produits de Grande Consommation et Frais libre-service (drive et livraison à domicile). Le nombre d’internautes qui achètent de l’alimentaire sur internet a augmenté de 3 points par rapport à 2012. Cette percée des ventes internet de produits de grande consommation contribue à hauteur de 2 points à la croissance globale du e-commerce au 1er semestre 2013.

Au cours de ce 2ème trimestre, le nombre de Français qui achètent en ligne a continué d’augmenter de 3% et le nombre de sites marchands maintient un niveau de croissance élevé avec +17%. En 3 mois, 5 000 nouveaux sites marchands ont été créés. Au total, on en dénombre aujourd’hui plus de 128 000. Fin 2013, on devrait en compter plus de 135 000 sites actifs.

Le panier moyen amorce enfin une remontée

Le panier moyen s’affiche à 87 euros et remonte après 24 mois consécutifs de baisse. Parallèlement, la fréquence d’achat en ligne et le montant dépensé par acheteur continuent de progresser. En moyenne, les cyberacheteurs français ont réalisés 5,5 achats en ligne et dépensé en moyenne 476 euros au cours du 2ème trimestre 2013 (contre 453 euros au 2ème trimestre 2012).

Les places de marché et les ventes sur mobile en très forte hausse

L’indice iCE 40, permettant de mesurer l’évolution des sites leaders à périmètre constant, progresse de 4% au 2ème trimestre, une croissance comparable à celle des 3 premiers mois de l’année. Les sites de ventes de biens grand public voient leur volume d’affaires progresser plus vite qu’au 1er trimestre sans toutefois retrouver le niveau de croissance de 2012.

Dans ce contexte, les places de marché occupent une place de plus en plus importante dans l’activité de certains sites leaders. L’indice iPM, destiné à mesurer le volume des ventes réalisé sur les places de marché (ventes réalisées par les sites hébergés sur les places de marché de l’iCE40), augmente de 62% par rapport au 2ème trimestre 2012. Les ventes des marchands tiers représentent 15% du chiffre d’affaires total des sites participant à cet indice (9% au 2ème trimestre 2012).

Les ventes sur l’internet mobile (smartphones et tablettes, sites mobiles et applications) continuent également de se développer à un rythme particulièrement soutenu: +120% sur un an. Chaque trimestre, elles pèsent 1 point de plus dans le chiffre d’affaires des sites participant à l’Indice Commerce Mobile (iCM) produits et services B2C. En un an, la part des achats réalisés sur mobile a doublé. En 2013, le chiffre d’affaires de l’internet mobile représentera environ 6 fois celui de l’année 2011. Les ventes sur mobile connaissent aujourd’hui un démarrage 2 fois plus rapide que celui qu’avaient connu les ventes sur ordinateur au début des années 2000. Source

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Lobservatoire des usages internet top 5 des agences de voyage en ligne top 10 des sites de marques e-tourisme

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Le top 5 des « Agences de Voyages » en ligne les plus visitées en France
3 Au 2ème trimestre 2013, plus d’1 internaute sur 5 (22,3 %) a consulté, en moyenne
chaque mois, au moins un des sites du Top 5 des « Agences de Voyages » en ligne.
Au total, ce sont en moyenne 10,3 millions d’internautes qui ont consulté un de
ces sites au cours de cette période.








Le top 10 des sites des marques « e-tourisme »
Source : Médiamétrie//NetRatings – Catégorie créée spécialement pour la Fevad -Tous lieux de connexion – Applications Internet exclues – France – Moyenne mensuelle des mois d’avril, mai, juin 2013 – Copyright Médiamétrie//NetRatings – Tous droits réservés
3
Au 2ème trimestre 2013, 29,1 % des internautes ont consulté, en moyenne chaque mois, au moins un des sites du Top 10 des sites des marques e-tourisme. Au total, ce sont en moyenne 13,5 millions d’internautes qui ont consulté un de ces sites au cours de cette période.


> Télécharger le communiqué et les classements

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Réseaux sociaux comment votre site Internet peut vous aider à déterminer si vous avez intérêt à « y aller

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Les entreprises ou institutions qui hésitent à aller vers une présence active sur les réseaux sociaux se posent parfois les questions suivantes :

► comment savoir si les réseaux sociaux peuvent apporter quelque chose à mon activité professionnelle ?

► et dans ce cas, sur quel réseau social dois-je prioritairement créer un compte ?

Ne sachant pas par quoi commencer, certains professionnels créent une présence sur Facebook un peu au hasard, en se disant « Allez, ça marche pour les autres, ça doit bien servir à quelque chose ! ». Je vois aussi des entreprises qui estiment que Facebook n’est pas pour elles… et donc qui abandonnent toute idée de présence sur les médias sociaux. C’est dommage car dans les 2 cas, à mon avis, ce n’est pas du tout comme cela qu’il faut raisonner !

Il existe un outil très simple qui peut vous aider à répondre aux questions que vous vous posez : votre site Internet (ou votre blog professionnel, bien sûr).

Et plus précisément : les statistiques de votre site Internet ou blog.

Pourquoi les statistiques de votre site Internet peuvent influencer votre décision de présence sur les réseaux sociaux
Si vous utilisez Google Analytics (je prends cet exemple parce que c’est le plus répandu, mais d’autres outils de statistiques peuvent aussi vous proposer des possibilités similaires), il existe des informations sur les réseaux sociaux que vous aviez peut-être négligé de consulter jusqu’à présent : ce sont les rapports sur les réseaux sociaux. lire la suite
http://networkedblogs.com/PknS6
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La Commission européennes crée l Observatoire virtuel du tourisme

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Observatoire virtuel du tourisme

 

Un observatoire virtuel du tourisme va être mis en place afin de coordonner la collecte et le stockage d'informations et de garantir une plus grande synergie entre les différents niveaux d'élaboration des stratégies en matière de tourisme. Il aura pour mission:
 
  • de fournir des informations fiables, comparables et actualisées aux responsables des politiques du tourisme, aux acteurs concernés et aux chercheurs;
  • de cerner les tendances et les évolutions dans le secteur du tourisme;
  • d'aider à l'élaboration de politiques fondées sur des données concrètes.

L'observatoire sera créé sur la base d'une étude de faisabilité. Il comportera trois sections, consacrées:

  1. à la création d'une base de données statistiques, servant à élaborer des politiques informées, s'appuyant sur des données concrètes. L'étude de faisabilité dressera le bilan des données existantes, afin de faire le point sur les statistiques actuelles et de déterminer dans quels domaines les données sont insuffisantes;
  2. à l'analyse des évolutions. Des rapports réguliers rendront compte des nouvelles tendances et pourraient servir à prévenir rapidement des changements affectant le secteur du tourisme, afin de trouver des réponses efficaces;
  3. à l'observation des politiques et des travaux de recherche, afin de suivre l'évolution du secteur. Cette section proposera un ensemble de bonnes pratiques et d'outils pour l'élaboration de nouvelles initiatives.

Les idées et les suggestions sont les bienvenues

La Commission européenne attend les suggestions et les idées des futurs utilisateurs de l'observatoire. Vous voulez faire des observations générales sur le champ d'étude ou la composition de l'observatoire, ou vous souhaitez qu'il réponde à des besoins spécifiques? Écrivez à cette adresse: ENTR-VTO-IDEAS-BOX@ec.europa.

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Normandie à fin août 2013 - une bonne saison touristique mais avec des hauts et des bas

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La saison 2013 avait démarré lentement. La pluie, tombée en abondance tout au long du printemps, a incontestablement nui à l’activité touristique du début de saison, heureusement dopée en juin par l’Armada de Rouen et les beaux débuts du Festival Normandie Impressionniste. A partir de juillet, et avec l’arrivée du soleil, la fréquentation est allée crescendo jusqu’à la mi-août, point d’orgue de la saison. L’activité touristique est ensuite restée soutenue, au moins jusqu’à la fin du mois. Le bilan de la saison 2013, à fin août, se montre supérieur à celui de la saison précédente. Les chiffres d’affaires ont connu une moindre progression que la fréquentation, les dépenses étant à nouveau en baisse.

Une saison en deux temps

Un faux départ

Manqué en 2012, le début de saison le fut aussi en 2013. La pluie et les températures fraîches du printemps ont contrarié les envies de vacances et de courts séjours. La Normandie a bien connu quelques temps forts : un excellent pont du 8 mai (couplé avec l’Ascension) et une magnifique Armada, qui a fait les affaires des professionnels de l’agglomération rouennaise et des environs pendant une dizaine de jours en juin. Le bilan global du début de saison n’est reste pas moins décevant.
A fin juin, la saison était donc mal engagée. De nombreux établissements accusaient un retard dans leur planning, la mauvaise météo du printemps n’ayant pas incité aux réservations pour la suite de la saison.

Un rattrapage pendant l’été

L’arrivée du soleil, très attendue, a heureusement changé la donne en juillet. Les professionnels ont enfin vu la fréquentation touristique décoller, une partie des hébergements ont comblé leur retard grâce à la multiplication des réservations de dernière minute.

L’amélioration constatée en juillet s’est confirmée et amplifiée en août. Les touristes français et étrangers ont été très nombreux à choisir la Normandie pour profiter des beaux jours et des animations proposées. Bien que surtout concentrée sur la première moitié du mois, l’activité est aussi restée soutenue sur toute la deuxième quinzaine.

Si la fréquentation de l’été 2013 est considérée comme bonne et très certainement supérieure à celle, à peine correcte, de l’été 2012, la prise en compte des dépenses touristiques nuance le bilan. Le contexte de crise économique a en effet pesé sur les budgets vacances.

Des Français peu enclins à la dépense, des étrangers au rendez-vous

Au printemps, la météo défavorable n’a pas permis à la Normandie de jouer pleinement sa carte de destination de court séjour auprès de la clientèle de proximité. En revanche, pendant les deux mois d’été, les visiteurs français sont venus en nombre pour profiter des beaux jours, mais avec un budget réduit.

Les professionnels du tourisme ont pu compter sur la présence des touristes étrangers, moins attentifs à la dépense. La plupart des clientèles étrangères traditionnelles ont été observées en hausse par rapport à 2012.

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Tourisme Plus de 7 millions de touristes ont déjà visité le Maroc en 2013

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"A fin août 2013, près de 7,2 millions de touristes étrangers ont visité le Maroc, contre 6,5 millions au cours de la même période en 2012, soit 7% de plus. Les arrivées de touristes allemands, italiens et britanniques ont enregistré des hausses respectives de 7%, 14% et 10%.L’arrivée de touristes espagnols a marqué une baisse de 7%, contre 2% pour les Français, relève le ministère du Tourisme. Parmi les destinations en vogue, on retrouve Casablanca (+10%), Marrakech (+10%) et Agadir (+9%).Les recettes générées au cours des huit premiers mois de 2013 ont totalisé 38,8 milliards de DH, contre 38 milliards entre janvier et août 2012".

Source : Info-Express
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Aux portes de lAuvergne lAllier se prête idéalement à la pratique du vélo en famille ou de manière plus sportive

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"Aux portes de l'Auvergne, l'Allier se prête idéalement à la pratique du vélo en famille ou de manière plus sportive ! Avec ses paysages légèrement vallonnés et ses petites routes pittoresques, groupes "cyclos" ou fondus de VTT, à vous de pédaler" !

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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