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In love with Welli

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Ça fait déjà plusieurs jours qu'on est à Wellington. On s'y plaît bien et la ville nous inspire pas mal. C'est d'ailleurs une des premières villes en NZ où on voit autant de street-art, de sculptures en tout genre et de gens intéressants. Faut croire qu'on n'est pas les seul à apprécier la[...]
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Le Havre et ses cabines de bain

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P1320699.JPGPosées sur les galets gris, les cabines de bain sur la plage se serrent pudiquement les unes contre les autres.

Autrefois mobiles, elles sont devenues sédentaires, abritant vêtements, parasols et objets de plage.

Ont-elles la nostalgie des temps anciens où elles étaient approchées du rivage pour permettre la baignade en toute dignité?

 

Un beau site sur les cabines de bain à Ostende

La boite verte

 

 

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Hôtel le Paquis toujours plus haut toujours plus fort

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hôtel le paquis

Pour notre coup de cœur de cette semaine, on prend de la hauteur et on part à 2.100 mètres d’altitude. Situé au pied des pistes de ski et des remontées de Tignes-le-Lac (Savoie), l’hôtel le Paquis offre un décor merveilleux.

Cet hôtel typiquement savoyard est tenu par la même famille depuis 50 ans. A l’intérieur, vous trouverez des chambres avec salle de bain, télévisions ou encore des balcons pour les chambres doubles. Dans la salle à manger, vous savourerez la cuisine régionale variée et raffinée et pourrez contempler la vue unique grâce à la grande baie vitrée.

Pour votre plus grand plaisir, vous pourrez profiter des pistes de ski jusqu’au jour de votre départ car l’établissement met à votre disposition des douches avec serviettes de bain. Après une journée à vous dépenser sur les pentes, vous pourrez découvrir l’espace bien-être avec sauna, bain de vapeur et bain à remous couvert.

Hôtel le Paquis

Hôtel le Paquis
LE ROSSET
73320 TIGNES
04.79.06.37.33

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J’ai visité le zoo de Berlin

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zoo de Berlin

Zoologischer Garten. Depuis des années que je connais Berlin ces mots évoquaient surtout pour moi une station de métro et de S-Bahn (le RER berlinois). Quand à penser qu'il y avait vraiment un énorme zoo en plein cœur de la capitale allemande… Cet été, avec comme excuse de vouloir faire plaisir à ma fille, j'ai visité ce superbe zoo, qui vaut autant pour ses nombreux animaux que pour son atmosphère surannée et attachante.
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Blog de voyageaveccyril - Voyage en terre inconnue partie 3

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Blog de voyageaveccyril - Voyage en terre inconnue partie 3
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Duchesneau à l’école du mauvais goût

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Les attaques de Jacques Duchesneau contre l’ancien chef péquiste André Boisclair montrent la politique sous ses traits les plus laids. En mélangeant, cocaïne, André Boisclair, Hells Angels et Paul Sauvé dans une même phrase, le député caquiste s’est laissé emporté par la partisanerie au point de négliger les faits. Aurait-il pris des leçons à l’école du mauvais goût de Christine Saint-Pierre?

La controverse part du témoignage rendu par Paul Sauvé à la commission Charbonneau, dont l’essentiel reste frappé d’une ordonnance de non publication. Les quelques bribes rendues publiques révèlent une trame factuelle fort simple.

M. Sauvé est un ami d’André Boisclair qu’il a connu au Collège Jean-de-Brébeuf. Il a même collecté des fonds pour M. Boisclair. Nulle part dans son témoignage n’a-t-il parlé des habitudes de consommation de cocaïne d’André Boisclair. C’eut été trop beau pour un ancien chef de police qui voit des complots où il n’y en a pas.

M. Sauvé est aussi un entrepreneur en maçonnerie qui a mené à la ruine une entreprise familiale de troisième génération, L.M. Sauvé. L’un de ses derniers chantiers d’envergure fut celui de l’Église Saint-James. Le majestueux bâtiment de la rue Sainte-Catherine était caché derrière une rangée d’immeubles commerciaux de faible intérêt. Sauvé a tout démoli, et il a restauré l’église pour lui redonner la place qui lui revient dans le patrimoine montréalais.

Dans le cadre de ce projet qui s’est échelonné sur plusieurs années, à cheval entre le règne péquiste et libéral, la compagnie exsangue a fait appel à de bien mauvais partenaires pour redresser sa situation. Paul Sauvé a accepté dans son giron Normand Marvin Ouimet, un présumé membre des Hells Angels qui aurait graduellement pris le contrôle de la compagnie à partir de 2003.

Ouimet est en attente d’un procès pour gangstérisme, extorsion et blanchiment d’argent dans cette affaire. C’est pour éviter de nuire à son procès que la commission Charbonneau a siégé derrière des portes closes pendant une semaine. Il n’y a rien dans le témoignage de Sauvé pour permettre de conclure qu’André Boisclair était au courant de la présence des Hells Angels dans le giron de L.M. Sauvé.

Reste donc une histoire de subvention promise à un ami.

À quatre jours des élections d’avril 2003, M. Boisclair a confirmé l’octroi d’une subvention de 2,6 millions à l’Église unie du Canada. Ce jour là, le ministre des Affaires municipales a signé d’autres promesses de subvention, sans que les crédits budgétaires n’aient été autorisés.

La pratique peut surprendre, mais elle n’a rien d’illégale. Tous les vieux partis qui se disputent le pouvoir succombent à la tentation des promesses électoralistes. Lors de la dernière campagne, le PLQ avait annoncé des investissements non budgétés de cinq milliards dans les infrastructures, selon un rapport Secor-KPMG brandi de manière revancharde par le PQ. Tout récemment, les ténors du gouvernement Marois ont annoncé le prolongement du métro sur la ligne bleue, sans trajet, sans budget, sans échéancier. De l’électoralisme pur jus.

Pour en revenir à l’Église Saint-James, la fameuse promesse de subvention ne passait pas auprès du nouveau ministre des Affaires municipales, Jean-Marc Fournier. Il disposait d’une enveloppe de 300 000 $ pour toutes les églises de la région montréalaise. M. Sauvé, abattu, a décidé de se rapprocher du PLQ en participant à des activités de financement du ministre Fournier. Il a fait un lien entre sa générosité envers le parti et le déblocage des fonds après quelques mois de délai. Va-t-on maintenant accuser M. Fournier d’avoir subventionné les Hells Angels?

André Boisclair a beaucoup à perdre dans cette histoire. Sa réputation est en jeu. Le délégué général du Québec à New York a envoyé une mise en demeure à Jacques Duchesneau. Le député caquiste refuse de se rétracter. Pire, il a l’appui de son chef, François Legault.

André Boisclair est l’ami d’un entrepreneur, Paul Sauvé, qui a accepté les Hells Angels dans son giron sans s’en vanter publiquement. Les Hells Angels vendent de la cocaïne, une drogue autrefois consommée par M. Boisclair. J’ai beau brasser les cartes, je n’arrive pas à voir les liens qui semblent si clairs au yeux de Jacques Duchesneau.

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Jour J-3

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Dans trois jours le départ ..Pour l'instant la météo semble clémente pour la semaine prochaine du moins jusqu'à jeudi. 
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La ville de Cochabamba

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Hola amigas y amigos,  
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Les Sherlock Holmes de la médecine

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En science, ce n’est pas parce qu’on a eu le prix Nobel qu’on ne peut pas se tromper ! Parlez-en à Linus Pauling, le chimiste américain de génie qui, dans les années 1970, a popularisé l’idée que la vitamine C protégeait contre le rhume. Depuis, dès que l’automne pointe son nez, les suppléments figurent en bonne place dans les pharmacies. Sauf qu’après avoir analysé l’ensemble des études scientifiques publiées dans le monde à ce sujet, les chercheurs membres de la Collaboration Cochrane ont démontré qu’il s’agissait d’un mythe ! Que vous preniez ou non de la vitamine C cet automne, vous serez tout autant sujet au rhume…

Presque aussi inconnue qu’une société secrète, mais pourtant dévouée au bien public, la Collaboration Cochrane est un réseau mondial de chercheurs qui ont une préoccupation commune : que les interventions visant à améliorer la santé des personnes ou des populations dans le monde soient basées sur des études scientifiques solides, plutôt que sur des analyses bâclées ou bidouillées par des groupes d’intérêts, sur des idées toutes faites ou même sur des opinions d’experts, fussent-ils des Prix Nobel.

L’organisation, qui soulignera ses 20 ans lors d’un colloque international à Québec du 19 au 23 septembre, est née du rêve d’Archie Cochrane, médecin écossais qui, dans les années 1970, s’inquiétait du gaspillage de fonds publics et des souffrances que représenterait une médecine qui ne soit pas fondée sur des preuves.

Pour écarter les traitements inefficaces, il a imaginé une manière d’analyser les multiples études publiées dans des revues savantes sur un sujet donné, afin de sélectionner les plus fiables et de compiler leurs résultats, cela en faisant appel à des spécialistes du monde entier.

Le premier Centre national Cochrane est né à Oxford, en Angleterre. Aujourd’hui, environ 31 000 chercheurs, professeurs d’universités ou médecins d’une centaine de pays sont membres du réseau et consacrent une partie de leur travail de recherche à ses revues de littérature savante.

Ainsi, ces Sherlock Holmes ont répondu depuis 20 ans à environ 5 000 questions sur des approches visant à améliorer la santé ou à diminuer la mortalité. Accoucher avec une sage-femme, est-ce sûr, s’il n’y a pas de problème en vue ? Oui. Les médicaments antihypertenseurs ont-ils des effets favorables sur l’hypertension modérée ? Pas sûr du tout. Les suppléments d’antioxydants sont-ils utiles pour les gens en bonne santé ? Non, et la prise de bêta-carotène et peut-être celle des vitamines A et E augmentent le risque de mortalité. Et si de nouvelles études prétendent le contraire, les chercheurs s’engagent à mettre à jour leur travail pour en tenir compte.

« Les revues systématiques Cochrane, c’est ce qu’on peut imaginer de plus fiable à l’heure actuelle pour répondre à des questions liées à la santé », croit l’urgentologue Alain Vadeboncœur, qui s’appuie sur ces publications autant dans sa pratique médicale que pour préparer ses interventions dans les médias.

Les gouvernements en tiennent aussi compte pour déterminer, notamment, quels médicaments rembourser. Au Québec, les autorités médicales remettent aujourd’hui en question la pratique des examens annuels de santé depuis que Cochrane a conclu qu’ils ne servent à rien. Tous les avis que publie l’organisme, très détaillés, sont accompagnés d’un résumé vulgarisé traduit en plusieurs langues et accessible gratuitement sur le site Cochrane.org.

« Pour bâtir ces méta-analyses, on examine rigoureusement les résultats des études, alors que les spécialistes qui édictent des guides de pratiques cliniques à l’intention des médecins se basent sur des opinions, et sont souvent influencés par l’industrie pharmaceutique », précise le biochimiste François Rousseau, spécialiste des analyses de laboratoire et des tests génétiques à l’hôpital Saint-François-d’Assise, à Québec, et membre de Cochrane depuis quatre ans.

Le travail de ces chercheurs est financé par une soixantaine d’organisations dans le monde : des universités et hôpitaux, des gouvernements, l’Organisation mondiale de la santé, des fondations… Mais la Collaboration n’accepte pas un sou de l’industrie pharmaceutique ou médicale. « On fait beaucoup de bénévolat ! » dit Nadine Tremblay, du Centre hospitalier universitaire de Québec, qui gère la majeure partie des formations en français à la méthode Cochrane pour le Canada.

Le Centre Cochrane Canada, établi à l’hôpital d’Ottawa, reçoit un budget de neuf millions de dollars sur cinq ans des Instituts de recherche en santé du fédéral. Près de 3 000 chercheurs en sont membres.

Ce qui rend leurs conclusions plus solides que celles de Linus Pauling à propos de la vitamine C, c’est la méthode extrêmement rigoureuse à laquelle ils s’astreignent.

« Si, par exemple, on s’intéresse aux approches pour diminuer les crampes menstruelles, on ne peut pas juste considérer les études qui nous semblent intéressantes », explique France Légaré, médecin de famille et professeure à l’Université Laval, qui a participé à quatre avis. En suivant la recette — sans cesse peaufinée — que leur transmettent les formateurs agréés par la Collaboration, les chercheurs commencent par fouiller méthodiquement dans les bases de données de publications scientifiques à l’aide de mots-clés, validés auprès de leurs pairs. « À ce stade, on peut trouver des dizaines de milliers d’études sur les crampes menstruelles ! » raconte France Légaré.

Commence alors un long travail de sélection qui aboutira à ne conserver que les études où les « cobayes » ont été choisis au hasard, en nombre suffisant pour être représentatif, où ils ont été comparés avec un groupe témoin, et où les données ont été analysées avec des méthodes statistiques rigoureuses.

Pour estimer l’effet de la vitamine C sur le rhume, par exemple, ils ont recensé 29 études répondant à ces critères, menées auprès de plus de 11 000 personnes dans la population générale. Aucune d’entre elles n’ayant constaté une baisse de l’incidence du rhume chez les gens ayant pris des suppléments, la conclusion est sans appel. Jusqu’à ce que, éventuellement, de nouvelles études amènent la preuve du contraire…

« Le seul défaut de Cochrane, c’est la lenteur du processus. On voudrait souvent avoir des réponses plus vite à nos questions ! » dit le Dr Vadeboncœur. Alors que le nombre de publications scientifiques ne cesse de croître, notamment parce que des pays comme la Chine font beaucoup plus de recherche qu’avant, les chercheurs de la Collaboration ont parfois bien du mal à trouver le temps de tout regarder. Des renforts seraient les bienvenus pour analyser les quelque 22 millions d’études en santé répertoriées dans Medline, la plus vaste base de données du genre !

Sans compter que nombre d’études ne sont pas rendues publiques par les sociétés pharmaceutiques… Depuis plusieurs années, par exemple, les chiens de garde de Cochrane se battent pour que la multinationale suisse Roche divulgue toutes celles qu’elle a menées sur le médicament antiviral Tamiflu, que nombre de pays stockent en prévision d’une pandémie de grippe. Selon eux, 60 % des études auraient été gardées secrètes !

COCHRANE EN CHIFFRES

Nom officiel : The Cochrane Collaboration

Naissance : 1993, Oxford (Angleterre)

Nombre de bénévoles : 31 000, provenant de 120 pays

Budget annuel : 5,6 millions de dollars

Centres Cochrane : 14 dans le monde pour coordonner les efforts

Publications scientifiques (2011) :

• 637 protocoles pour des revues
à venir

• 436 nouvelles revues

• 427 revues mises à jour

Centre Cochrane Canada : Ottawa, 2 875 membres

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La tortue québécoise

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Les données trimestrielles sur le PIB sont en quelque sorte le thermomètre de l’état de l’économie. Les données dévoilées aujourd’hui par l’Institut de la statistique du Québec montrent que le Québec n’est pas en bonne santé.

«Faiblesse plus généralisée de l’économie», «passage difficile», écrivent les économistes de Desjardins. Le PIB réel, c’est-à-dire une fois qu’on a tenu compte de l’inflation, affiche un recul de 2,9% entre avril et juin en rythme annualisé.

C’est beaucoup.

C’est d’autant plus fâcheux quand on se compare à l’ensemble du Canada qui a enregistré une hausse de son PIB de 1,7 % pendant le deuxième trimestre. Le reste du pays avance, nous reculons.

Évidemment, la grève dans l’industrie de la construction a eu un impact négatif. Elle n’explique néanmoins que la moitié du recul, et ce, pour un seul mois. L’économie aurait quand même fléchi de 0,3% en juin en excluant la construction. Retenons que 15 des 18 secteurs industriels accusent un recul.

Cette faiblesse de l’économie a évidemment un impact sur les rentrées d’argent dans les coffres du gouvernement. Moins d’activité économique, cela veut dire moins d’emplois (cela est observable), moins de revenus d’impôts et moins de taxes à la consommation.

Dans son budget de novembre dernier, le ministre des Finances tablait sur une croissance économique de 1,5% en 2013. Selon les économistes de Desjardins et de la Banque Nationale, elle sera plutôt de 1%.

La Première ministre a défendu le bilan de son gouvernement en faisait état des milliards dépensés pour appuyer les investissements. Plus que des milliards et des politiques, il faut des résultats. Or, les résultats ne sont manifestement pas au rendez-vous.

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Le sans-fil gagne du sous-terrain à Montréal

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Photo : Matt Hintsa / CC BY-NC-ND 2.0

Photo : Matt Hintsa / CC BY-NC-ND 2.0

Il y a une bonne part de génie québécois dans la technologie qui permettra bientôt aux usagers du métro de Montréal de rester branchés sur le réseau sans fil durant leur trajets sous terre.

C’est avec les solutions logicielles de l’entreprise québécoise iBwave, 15e au palmarès des Leaders de la croissance de L’actualité, que les partenaires du projet – Bell, Vidéotron, Telus et Rogers – travailleront pour rendre accessible leur réseau sans fil dans le métro.

Cette entreprise de Montréal a développé des logiciels qui permettent de concevoir et de déployer les réseaux sans fil intra-muros. Ses logiciels sont utilisés par 500 clients dans 80 pays. Bouygues Telecom s’en sert notamment pour déployer son réseau dans le métro de Paris.

On ne pourra pas reprocher à la STM d’ignorer les fournisseurs québécois dans son projet, comme ce fut le cas pour le remplacement de son système de contrôle informatisé, confié à la Française Alstom.

Cliquez ici pour lire le portrait de iBwave publiée dans la cadre du palmarès 2013 des Leaders de la croissance de L’actualité.

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(sous-)terrain à Montréal
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Transport ferroviaire des bolides entrent en gare

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Photo : The Asahi Shimbun via Getty Images

Photo : The Asahi Shimbun via Getty Images

FLOTTER AU-DESSUS DES RAILS

Les essais de la plus récente version du Maglev (pour lévitation magnétique) débutent ce mois-ci, au Japon. Ce train rapide, qui « flotte » au-dessus des rails grâce à des électroaimants, permettra de franchir la distance entre Tokyo et Nagoya (322 km) en 40 minutes. Une version précédente – et expérimentale – de ce train rapide détient le record mondial de vitesse sur rail : 581 km/h. La nouvelle version pourra accueillir 1 000 passagers. Elle « roulera » un peu moins vite…

Vitesse : 480 km/h
Année de mise en service : 2027

Photo : Hyperloop / D.R.

Photo : Hyperloop / D.R.

VOYAGER SOUS VIDE

Les premières ébauches de l’Hyperloop, qui pourrait relier Los Angeles et San Francisco (563 km) en 35 minutes, ont été dévoilées à la mi-août. Toutes les deux minutes, une capsule transportant 28 passagers ou trois voitures serait propulsée par des électroaimants à l’intérieur d’un tube fixé à des pylônes. On y maintiendrait l’atmosphère à très basse pression pour reproduire les conditions régnant dans l’espace, où le vide permet des vitesses très élevées.

Vitesse potentielle : 1 100 km/h
Année de mise en service : inconnue

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Orléans le Festival de Loire chalands et gabares sapines et coches deau

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Sur les quais de Loire à Orléans avait lieu du 18 au 22 septembre,  le plus grand rassemblement de la marine fluviale en Europe.

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Plus de  220 bateaux et 700 mariniers venus des quatre coins de France et d’Italie, pays invité. 


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Une grande parade pour les gondoles vénitiennes qui avaient quitté le Grand Canal pour la Loire.

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La navigation sur la Loire est très ancienne. Une grande variété de bateaux, chalands ou gabares en chêne, sapines, coches d'eau y naviguaient, des bateaux à fond plat munis d'une voile carrée permettant de profiter des vents d'ouest à la remonte.

 

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Créé en 2003 le Festival de Loire se tient tous les deux ans à Orléans (Loiret). Il rend hommage à la culture ligérienne et aux traditions de la Loire, dernier grand fleuve sauvage d'Europe.

 

Ligérien :relatif à la Loire







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Paris jardin des Tuileries chèvres et minotaure

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Autour du grand bassin rond du jardin des Tuileries, rien de tel que la chèvre des fossés pour remplacer la tondeuse mécanique. Un travail devenu dangereux pour les jardiniers en raison de la forte pente.


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Sous le regard attendri de Thésée combattant le Minotaure, elle broute et débroussaille sans relâche.


P1380340.JPGParis, jardin des Tuileries, septembre 2013

 

La chèvre des fossés est une race caprine française. Elle provient des régions Bretagne, Haute et Basse-Normandie, Pays de Loire. C'était autrefois la chèvre des plus pauvres.

Le regain d'intérêt pour cette  race à la robe à la couleur variable et aux poils longs est très récent et ne date que des années 1990.

La principale qualité de cette race est sa capacité à débroussailler et donc à entretenir certains espaces naturels.

 


 

 

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Premiers moments à Tokyo au quartier Ikebukuro

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Une fois mes mésaventures du vol Tunis – Japon sont finies, première chose aller au toilettes suite au cumul du stress. Et c’est la, le premier contact culturo-Technologique, des toilettes HI-TECH, des boutons de partout, et j’avoue que c’est la fois ou j’étais resté le plus souvent dans les WC, non que je prenais mon temps, mais

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Jacques Duchesneau d’Eliot Ness à Eliot Mess

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Photo: Jacques Boissinot/Presse canadienne

Photo: Jacques Boissinot/Presse canadienne

À quelques jours de la campagne électorale de l’été 2012, je me suis mis à recevoir des courriels, textos et appels téléphoniques m’empressant de dire à qui de droit de parler avec Jacques Duchesneau pour qu’il devienne candidat du Parti québécois. Tous ces contacts me disaient qu’il voulait faire de la politique et que ce serait un coup fumant pour nous.

J’avoue que ça m’a titillé quelques minutes. Après tout, Duchesneau était devenu un héros populaire, celui qui avait donné la dernière poussée obligeant le gouvernement libéral à créer une commission d’enquête sur la corruption. L’annonce de sa candidature pouvait avoir assez d’effet pour nous donner quelques points, ceux qui nous manquaient pour obtenir une majorité.

Mais je suis vite revenu sur terre. D’abord, il avait lui-même avoué être un libéral depuis toujours. Et puis, j’avais eu à travailler sur son cas lorsque j’étais à Ottawa et je savais qu’il traînait plusieurs histoires derrière lui.

À l’époque où il dirigeait l’ACSTA, l’organisme fédéral chargé de la sécurité dans les aéroports, M. Duchesneau devait faire face à des allégations de conflits d’intérêt et de dépenses excessives. Jean Lapierre, le ministre responsable de l’époque, avouera plus tard que ça l’empêchait de dormir la nuit.

Mais ce qui me revenait en mémoire avec le plus d’acuité, c’était cette histoire avec Julie « c’t'ivident » Couillard. Toute cette saga autour de la relation de Maxime Bernier et Julie Couillard avait défrayé les manchettes de long en large à l’époque. Et notre homme y était mêlé.

Alors patron de l’ACSTA, il avait rencontré Julie Couillard et son associé et ami de coeur de l’époque, un certain Robert Pépin. Les deux voulaient obtenir un contrat, or  les médias ont rapporté que le monsieur avait un passé criminel et avait contracté une dette auprès des Hells Angels. Difficile moment pour Jacques Duchesneau.

En plus de cela, il était manifestement un franc-tireur, imprévisible, qui pouvait à tout moment lancer des affirmations explosives.

Bref, il n’était pas question pour nous de l’approcher comme candidat. Mais j’étais inquiet, très inquiet. J’avais peur que François Legault le recrute. À ce moment de la pré-campagne, la CAQ végétait autour de 20% dans les sondages. Nous avions le momentum de notre côté et dans une bataille à deux, PQ contre PLQ, nous avions de bonnes chances de l’emporter et même d’obtenir une majorité.

Mais si par malheur Duchesneau acceptait de se présenter pour la CAQ, plus rien n’était certain, en particulier dans la zone névralgique du 450. J’en ai mal dormi pendant plusieurs jours. Et quand la rumeur s’est confirmée, je n’ai pas dormi du tout!

Au moment de l’annonce, François Legault était fier comme un paon et on pouvait le comprendre. Son parti venait de ressusciter d’un coup. Il présenta son candidat superstar comme le Eliot Ness du Québec.

Mais quelques heures à peine après son arrivée, Duchesneau mettait déjà son chef dans l’embarras en affirmant en entrevue qu’une fois au gouvernement, il allait nommer lui-même des ministres!?! Ça patinait fort du côté de la CAQ le lendemain…Vincent Marissal avait bien souligné les aléas d’une candidature-vedette aussi imprévisible.

Je pensais à tout ça après avoir entendu les insinuations très graves de Jacques Duchesneau contre André Boisclair. Il a fait le lien entre un contrat accordé en 2003, la consommation de cocaïne de Boisclair et l’entrepreneur Sauvé qui disait avoir été infiltré par les Hells…en 2006!

Je n’en revenais tout simplement pas de le voir lancer des accusations aussi graves, aussi légèrement. Je me demande si François Legault est heureux, aujourd’hui, de l’avoir dans son équipe.

Il pensait avoir mis la main sur un Eliot Ness et il se retrouve finalement avec un Eliot Mess.

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Les Journées de la culture du carillon du crochet des dessins sur le trottoir et de l’abandon de soi-même…

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Juste à Montréal, durant les Journées de la culture, les 27, 28 et 29 septembre, les centaines d’activités proposées, et toutes gratuites, vont d’une exposition guidée sur l’évolution des prothèses auditives à la découverte des « bienfaits du clown thérapeutique en pédiatrie », d’un atelier interactif de carillon à l’Oratoire Saint-Joseph à un cours de danse pour les mères avec bébés de 2 à 12 mois, en passant par un atelier de, attendez je cite, « création de liens avec le crochet en notant des mots spontanément » (qui comprend peut-il m’éclairer ?), un circuit à pied pour découvrir des murales du Quartier latin ou une « participation à la danse-éclair, chant-éclair, dessins sur trottoir ». C’est si riche la culture ! J’en entends qui pinaillent : « C’est n’importe quoi ! » Ah, toujours les mêmes chipoteux ! À l’École nationale de l’humour, il y aura une « démonstration de jeux d’impro, d’abandon de soi-même ». M’est d’avis qu’ils s’abandonnent parfois un peu trop, les humoristes. Faudrait pas plutôt leur enseigner la retenue ?

Parmi les 10 ambassadeurs des Journées de la culture, des artistes qu’on aime : Isabelle Blais, Ève Landry, Kim Thuy, Élisapie, Élage Diouf.

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Insolite après un séisme une île apparaît

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Après le tremblement de terre magnitude de 7,7 qui a secoué le 24 septembre le sud-ouest du Pakistan, une nouvelle île serait apparue. Cette île mesurerait selon Gentside une vingtaine de mètres de hauteur, une quarantaine de mètres de longueur et une centaine de largeur.

Elle se trouve sur la côte de Gwadar.

[Photo]

Dernières recherches des voyageurs pour cet article :

  • îles réapparaît

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Captif d’al-Qaida 130 jours en enfer

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Photo : Alvaro Canovas / Paris Match via Getty Images

Photo : Alvaro Canovas / Paris Match via Getty Images

14 décembre 2008. Robert Fowler se trouve au Niger, où il agit comme émissaire spécial du secrétaire général de l’Organisation des Nations unies. Une journée tranquille, dans une zone du pays reconnue comme « totalement sûre ». À 17 h 35, pourtant, tout bascule : lui, son collègue Louis Guay et leur chauffeur, Soumana Moukaila, sont enlevés par AQMI (al-Qaida au Maghreb islamique). Dans son livre Ma saison en enfer, qui vient de paraître aux éditions Québec Amérique, le diplomate canadien fait le récit des 130 jours durant lesquels ils ont été détenus.

 ****

« Nous ne savions pas vraiment comment nos ravisseurs s’organisaient, sauf pour ce qu’on en voyait depuis notre arbre. Habituellement, c’étaient leurs prières avant l’aube qui nous éveillaient dans l’obscurité totale (nous ne nous tenions pas debout pour celles-là). Plusieurs de nos geôliers retournaient ensuite vers leurs couvertures, largement disséminées dans le camp, pour y dormir encore un peu, tandis que le personnel affecté aux cuisines allumait des feux et commençait à préparer un rudimentaire petit-déjeuner.

Ils se partageaient toutes les tâches essentielles. Chacun — y compris Jack [NDLR : les détenus donnent souvent des surnoms à leurs ravisseurs] et ses adjoints, quand ils étaient au camp — était tour à tour affecté aux cuisines ou aux tours de garde selon un horaire prévu. Nous voyions souvent Omar Un se promener à travers le camp, établissant cet horaire sur un bout de carton.

Il y avait toujours des sentinelles en place, dont une, armée d’une mitrailleuse PK avec sa ceinture de munitions, installée sur le sommet le plus rapproché, ce qui, au camp Canada, était une colline peu élevée au-dessus de la falaise au sud-ouest, d’où le garde jouissait d’une ligne de feu qui couvrait tout notre espace désigné. Il y avait aussi des gardes mobiles répartis largement vers le nord, l’ouest et le sud. La nuit, on amenait Soumana dormir près de nous et au moins deux sentinelles nous surveillaient tous les trois — l’une immobile, assise à quelques mètres de nous et habituellement en compagnie de l’un des enfants [NDLR : l’auteur nomme ainsi les adolescents qui fréquentent le camp], et l’autre, mobile, patrouillant un rayon situé à environ 20 mètres de notre position.

À part les sorties pour l’eau et les télécommunications, nos ravisseurs passaient la journée à réparer les camions ou les pneus, à dormir après leur tour de garde, ou à prier, à psalmodier et à lire le Coran. Quand nous étions en déplacement, ils ne voyageaient qu’à contrecœur pendant les heures de chaleur extrême, entre 11 heures et 16 heures. Si l’expédition prévue était trop longue pour être accomplie avant ou après cette période, ils trouvaient quand même un endroit où attendre la fin de cette partie de la journée, mais je n’étais jamais content, ensuite, que nous ayons à rouler dans le désert en pleine nuit et à toute vitesse.

L’inquiétude et la peur extrêmes représentaient d’énormes facteurs d’affaiblissement et étaient physiquement très pénibles (perte de mémoire, faible appétit, insomnie). Tout cela jouait sûrement un grand rôle dans mon problème de constipation.

Mais pour quelqu’un comme moi qui avait passé l’essentiel de sa vie professionnelle à faire l’analyse de défis géo-stratégiques, il était fascinant de vivre, de parler et de dormir avec al-Qaida. À un certain moment, je dis à Louis que, si seulement nous étions certains que ce cauchemar se terminerait bien, cette chance d’examiner de très près le fondamentalisme islamique militant — sans doute la plus importante menace actuelle contre la stabilité internationale — serait sur le plan professionnel une expérience unique et instructive.

Je pense que c’est à ce moment-là que j’ai décidé que, si je m’en tirais, j’écrirais ce livre.

[…]

Robert Fowler en compagnie du président burkinabé Blaise Compaoré, qui est intervenu dans sa libération et celle de son collègue Louis Guay (Photo aimablement fournie par la présidence burkinabée)

Robert Fowler en compagnie du président burkinabé Blaise Compaoré, qui est intervenu dans sa libération et celle de son collègue Louis Guay (Photo aimablement fournie par la présidence burkinabée)

Les moudjahidines d’AQMI qui nous détenaient semblaient vivre une vie particulièrement dépourvue de joie. Ils riaient, mais rarement, et quand ça arrivait, je ne comprenais pas toujours pourquoi. De temps en temps, Louis et moi gloussions bien un peu au sujet d’une chose ou l’autre, mais nous avions tendance à couper court. En tenant compte du fait que nous avions peu de contrôle sur leur perception de notre comportement, nous n’étions pas d’accord entre nous à savoir si nous devions montrer à nos ravisseurs que nous tenions bien le coup (solides, braves, en santé) ou plutôt que nous étions frêles et abattus (déprimés et vulnérables) ; j’étais favorable à la première manière, pensant qu’elle nous donnerait de meilleurs résultats, tandis que Louis croyait que la seconde provoquerait une réaction plus favorable de sympathie.

Nous étions convenus de ne pas nous couper les cheveux, dans l’espoir que nos ravisseurs en viendraient à croire que la décapitation d’un vieil échevelé à l’air fragile ne ferait pas une bonne vidéo de propagande. Pendant nos séances d’endoctrinement religieux, ils insistaient pour dire qu’ils vénéraient l’âge et que l’islam leur imposait d’être généreux avec les faibles. Nous espérions que nos crinières sauvages et nos visages hâves stimuleraient leur instinct charitable.

Nous avons aussi décidé que nous chercherions à nous comporter en tout temps et en toute occasion avec dignité et que nous serions respectueux, ouverts et courtois dans nos relations avec nos gardiens, dans l’espoir de les encourager à nous traiter de la même façon.

Les juifs et les chrétiens sont pour les musulmans des croyants qui observent une plus ancienne — et bien sûr obsolète — révélation divine, et par conséquent, aux yeux de nos ravisseurs, ces croyants sont plus rapprochés de l’islam que n’importe quelle autre sorte de kafir (mécréant, incroyant). Au-delà de cela, Omar Un n’était pas du tout intéressé par les différences entre nos paraboles bibli-ques et leurs parallèles coraniques. Il était tout à fait indifférent à l’évolution de l’Église chrétienne, aux distinctions sectaires et aux finesses théologiques et liturgiques au sujet desquelles Louis, le catholique, et moi, le prétendu protestant, avions nos divergences. Sa certitude était totale. Aucune autre religion que l’islam n’importait le moindrement. Sa version était la bonne, complètement et absolument, pour tout détail de la foi, et nous, les non-catholiques et la plupart des musulmans, étions au mieux malavisés, sans discernement (« Sur 74 sectes, 73 se trompent », affirmait-il) ou au pire des hérétiques finis.

J’ai trouvé saisissante l’absence de curiosité intellec-tuelle chez les moudjahidines, surtout pour le question-nement religieux, mais peu différente de celle des chré-tiens ou des juifs fondamentalistes que j’avais connus. Le meilleur parallèle que je puisse tracer (et il aurait fait enrager mes kidnappeurs) est celui des moines guerriers des Croisades, ces bons chevaliers chrétiens qui criaient « Deus lo volt! » quand ils prirent Jérusalem en 1099 et assassinèrent, dit-on, chaque homme, femme et enfant dans la ville — baignant dans le sang jusqu’aux genoux —, simplement parce qu’ils étaient des infidèles qui occupaient la Terre sainte. Cela n’est pas très différent, je dirais, des moudjahidines hurlant « Allahu Akbar ! » en se faisant exploser ni de ceux qui les entourent lors de missions-suicides ayant pour but d’expulser des infidèles qui occupent les terres musulmanes. »

 

MaSaisonEnEnferMa saison en enfer, par Robert Fowler, traduit par Émile Martel et Nicole Perron-Martel, Québec Amérique.

Parution : 11 septembre 2013.

 

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Le resto du jeudi midi Le Valois

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Le Valois 1

Montréal – Il n’a pas encore sept ans, Le Valois, et il est pourtant  déjà un  classique. « D’abord parce qu’il dure », me dit mon complice de table et habitué de la maison. « Ensuite parce qu’il a su garder sa qualité de resto de quartier, ce qui en fait un joyau de l’endroit. Enfin et aussi, bien sûr, pour sa grande terrasse. » Où nous voici, heureux de pouvoir encore manger dehors un midi d’automne, presque assis sur cette place sans voitures, cette oasis pour flâneurs qu’est la place Simon-Valois, dans HoMa, le quartier Hochela-Maisonneuve.

Le menu du midi, trois entrées, six plats dont un poisson, est assez varié pour nous donner l’embarras du choix. En entrée, mon complice opte pour le roulé de saumon fumé farci au fromage, un plat tout simple mais, dit-il, « soigné » ; j’y vais avec la salade mélangée, bien faite, bien assaisonnée. Suivent les plats, qui nous séduiront. Pour mon complice, un rognon de veau de lait grillé, servi rosé avec une sauce onctueuse (fond de veau, moutarde et vin rouge), un classique de la cuisine bistro, tout à fait réussi. Pour moi, un filet de maquereau rôti déposé sur une piperade (en version simplifiée, avec oignons et tomates seulement) et coiffé d’asperges grillées, un bonheur simple. Ajoutez à tout cela un dessert où le chef Denis Peyrat, un Bordelais d’origine, joue avec sa découverte de l’érable, et vous comprendrez pourquoi un midi au Valois vaut bien le détour dans ce quartier  – au fond pas si lointain – de l’est de la ville.

De 14 à 24 $ pour l’entrée, le plat et le café ou thé ; 8 $ pour le dessert du jour.

Le Valois 25, place Simon-Valois (angle 3809, Ontario), Montréal, 514 528-0202

Photo Yanick Villedieu

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Escalader les cathédrales jusqu’au vertige

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Ils gravissent les gratte-ciel, les grues de construction, les ponts et même la flèche des cathédrales: rien ne semble arrêter les grimpeurs urbains Vadim Mahora et Vitaly Raskalovym.

Crédit: Vadim Mahora

Crédit: Vadim Mahora

Depuis plusieurs mois, ces deux « skywalkers » russes visitent les villes d’Europe en escaladant illégalement leurs plus hauts sommets avant de se prendre en photo, en équilibre, tout là-haut.

Crédit: Vadim Mahora/Vitaly Raskalovym

Crédit: Vadim Mahora/Vitaly Raskalovym

Leurs photos étourdissantes donnent littéralement le vertige, en plus d’offrir d’excellents et rarissimes points de vue sur l’architecture urbaine. À date, ces deux excellents photographes ont parcouru une douzaine de villes et ils continuent à jouer les hommes-araignées, de la Sagrada Familia de Barcelone en passant par la tour Eiffel et les tours de Varsovie.

Crédit: Vadim Mahora

Crédit: Vadim Mahora

Dans le cas de Vitaly, on a même droit à des photos de Dubaï, Mumbai, Hong-Kong et du sommet des pyramides de Gizeh, entre autres lieux.

Crédit: Vadim Mahora

Crédit: Vadim Mahora

On peut admirer leurs images (en demeurant bien assis) en cliquant ici et ici. Ah oui: les commentaires de leurs photoblogues sont émis uniquement en russe. Saurez-vous reconnaître où ont été croquées leurs images?

Crédit: Vadim Mahora

Crédit: Vadim Mahora

Pour gravir les échelons de mon compte Twitter, c’est par ici; pour suivre à la trace mon compte Facebook, c’est par là.

Trouvé via Designboom.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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