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Bryan is in the kitchen

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Nous rencontrons Linda et Frédéric, alias la gazelle et le dégoulinant , jeune couple parisien en vacances. Ils logent également à l'ABC Chalet. Nous sympathisons très vit
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Rendez-vous en terre connue

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Namaste depuis Katmandou !
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Le Havre port des géants

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P1320708.JPGLe Havre, situé sur l'estuaire de la Seine est une ville aux larges avenues. Reconstruite après la seconde guerre mondiale, elle  garde cependant le charme des villes de bord de mer, avec son ciel immense et le cri des mouettes.

 

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Sa belle et immense plage de galets, recouverte de ses légendaires cabines de bain.

 

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Une grande ville portuaire qui fait rêver les voyageurs en partance.



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Son immense port, ses cargos et voiliers en partance vers d'autres horizons.



P1320783Un port de commerce stratégique à l'entrée de la Manche, la mer la plus fréquentée du globe, il est le premier port français pour le commerce extérieur et les conteneurs.




 

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  Voyage en cargo du Havre à Bélem (Brésil)

 
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De rizières en Temples

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Salamat sore mes amis!!   Je vous ecris, ce soir, de notre nouveau coin de paradis que nous quittons deja demain!!
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Charte des valeurs et islamisme le quiz

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Photo: Partha Pal/Getty Images

Photo: Partha Pal/Getty Images

Dans l’évolution du débat des dernières semaines sur la Charte des valeurs, une idée ressort clairement des lettres ouvertes, des commentaires de blogues et des innombrables vox pop: la grande majorité des partisans de la Charte ne s’inquiètent pas de la laïcité et de la neutralité de l’État, mais de la montée de l’islamisme dans le monde – les crimes d’honneur, les lapidations, le terrorisme – et ils souhaitent que le Québec agisse concrètement à l’encontre de cette menace.

Pour bien comprendre ces enjeux et leurs interactions, testez vos connaissances avec le quiz ci-dessous:

1) Après les attentats du 11 septembre à New York, ceux de Londres et de Madrid, et plusieurs autres actes violents un peu partout sur la planète, dont tout récemment au Kenya, croyez-vous que le terrorisme et l’islamisme radical posent un danger pour la sécurité des individus et des États, incluant en Occident?

A) Oui.

B) Je vis au fond d’une caverne du Nunavut depuis 30 ans.

2) Si vous n’habitez pas au fond d’une caverne du Nunavut depuis 30 ans, croyez-vous que les États, notamment occidentaux, doivent prendre des mesures pour réagir à cette menace?

A) Oui.

B) Non, il suffit de parachuter des fleurs en Afghanistan.

C) Mauvaise question. Le problème, c’est le capitalisme et les OGM.

3) Vrai ou Faux: Après les attentats meurtriers à New York, Londres et Madrid, les États-Unis, l’Angleterre et l’Espagne ont rapidement conclu que le meilleur moyen de confronter la menace islamiste sur leur territoire était d’interdire immédiatement les voiles et les kippas dans la fonction publique.

A) Vrai.

B) Faux.

C) On s’en fout des morons Américains, des maudits Anglais et des Espagnols.

4) Selon le Manuel de recrutement d’Al-Qaïda, quels individus sont les plus susceptibles de répondre favorablement à l’appel de l’islamisme radical?

A) Les jeunes idéalistes déçus.

B) Les marginaux et les personnes en recherche existentielle.

C) Les individus issus de familles dysfonctionnelles.

D) Les enfants en CPE, les malades hospitalisés et les usagers des services publics.

5) Parmi les 19 terroristes responsables des attentats du 11 septembre 2001, combien étaient identifiables grâce à leur voile islamique et/ou leur barbe de terroriste?

A) 15 – 5 barbus, 5 voilés et 5 barbus voilés.

B) 19 – 12 barbus et 7 voilés.

C) 19 – 10 éducatrices en CPE et 9 infirmières, toutes voilées.

D) 0 – mais on comptait quand même deux moustaches et deux goatees louches.

6) L’objectif fondamental de l’islamisme radical est d’établir:

A) Une société multiculturelle respectueuse des libertés individuelles et de la diversité religieuse.

B) Une société monoculturelle régie par un code de valeurs qui exlut la diversité religieuse au profit d’une identité nationale homogène.

C) Ok, j’ai compris ton petit jeu, maudit Trudeauiste.

7) Le meilleur moyen de lutter contre l’islamisme radical et de protéger la population du Québec contre le terrorisme, les amputations et les lapidations consiste à:

A) Interdire les voiles dans toute la fonction publique, forcer des femmes à quitter leur emploi, et augmenter la précarité financière et le ressentiment de la communauté musulmane.

B) Prier le Jésus du crucifix de l’Assemblée nationale pour qu’il nous protège des envahisseurs.

C) Impliquer davantage la communauté musulmane, favoriser l’intégration socioéconomique des jeunes, et s’assurer que les services de police et de renseignements identifient et traquent les suspects.

D) Lancer du sang de porc sur les mosquées, bombarder les populations du Moyen-Orient et insulter tous les Mohammed et les Fatima qu’on croise.

E) Expulser tous les musulmans du Québec, faire sauter les mosquées, abolir l’immigration et construire un mur de protection autour de la province.

8) Dans le cadre de la résistance québécoise à la montée de l’islamisme et du terrorisme, il est logique d’interdire le port du voile dans toute la fonction publique parce que:

A) Parce que.

B) Parce que les femmes voilées dans les cafétérias d’hôpitaux et aux comptoirs de service de la SAAQ suscitent un malaise.

C) Parce qu’il est établi que le prosélytisme islamique et l’élaboration de complots terroristes se font surtout dans les locaux gouvernementaux, par des femmes voilées, pendant les heures de travail.

D) Parce que quand les femmes voilées employées par l’État perdront leur emploi, elles, leurs maris et leurs enfants verront soudain la supériorité des «valeurs québécoises», qu’elles embrasseront sur le champ en renonçant à leur religion et à leurs complots terroristes.

E) Finalement, je ne suis pas certain de voir de lien entre l’interdiction du port des signes religieux dans la fonction publique et la lutte efficace à l’islamisme au Québec.

9) Ok, donc l’interdiction des voiles dans la fonction publique ne fera rien pour freiner l’islamisme ou le terrorisme au Québec, mais c’est quand même une bonne idée parce que ça envoie le message que:

A) Icitte, on aime pas les musulmans.

B) En cette nation meurtrie par la dissolution du politique dans la vacuité ordinaire de notre époque, la volonté souveraine du peuple s’est affranchie de l’étau libéral du multiculturalisme radical et impose sans complexe son identité aux nouveaux arrivants qu’il faut assimiler au creuset de notre histoire.

C) Nous tolérons la diversité pourvu qu’elle soit comme Nous.

D) On a peur des islamistes mais on sait pas trop quoi faire, alors on va bannir les voiles dans les CLSC de Montréal pis espérer qu’on n’aura pas trop l’air fou.

10) Si on n’interdit pas aux fonctionnaires du ministère du Revenu et aux éducatrices en CPE de porter le voile, dans combien de temps les lapidations et les amputations publiques seront-elles légales au Québec?

A) 10 ans. Checkez ben ça.

B) C’est pas déjà le cas?

C) Certainement pas avant que le Canadien remporte sa 30e Coupe Stanley.

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LES RÉPONSES! :  1)A; 2)A; 3)B; 4) A-B-C; 5)D; 6)B; 7)C; 8)E; 9)D; 10)C.

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Je me souviens… ou l’ai-je imaginé

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Les spécialistes en neurosciences ont d’abord placé les rongeurs dans un environnement «A», parfaitement agréable. Par la suite, ils les ont déplacés vers un environnement «B», hostile, où les souris recevaient de petites décharges électriques sous les pieds.

Au même moment, ils ont réactivé leur souvenir de l’environnement «A» en stimulant des neurones avec des faisceaux lumineux. Quand les animaux ont été replacés dans l’environnement «A», ils semblaient effrayés, comme s’ils y avaient vécu une mauvaise expérience.

Les chercheurs rêvent d’élucider le phénomène des faux souvenirs chez les humains, qui fait que des personnes sont persuadées d’avoir vécu des expériences qui n’ont jamais existé.

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Escapade à Tokyo Disney dans la ville de Chiba

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Nous quittons Asakusa, et nous nous rendons à la station de ce même quartier, prendre le métro de 17h00 direction la station « Maihama (舞浜駅) », et la bas on prendra le fameux métro Disney du Tokyo Resort. Il est à savoir qu’après 18h00, le parc d’attraction Tokyo Disney offre une réduction de presque 50% du prix du

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Transatlantic

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Transatlantic1919

Ombres et nuages

C’ÉTAIT UN BOMBARDIER. Un Vickers Vimy, bricolé. Du bois, de la toile, des câbles en acier. Un avion lourd et large, qu’Alcock appelait encore un petit zinc nerveux. Chaque fois, il tapotait sur le fuselage, puis d’un mouvement souple et délié s’installait dans le cockpit à côté de Brown. Une main sur les gaz, les pieds sur le palonnier, il était déjà dans les hauteurs.

Par-dessus tout, il aimait franchir les nuées, voler en plein soleil. En se penchant un peu, il voyait l’ombre du Vickers glisser sur une mer blanche, grossir et rétrécir sur le relief nuageux.

Brown, le navigateur, était un homme plus réservé. Se donner en spectacle le gênait. Le buste en avant, il restait à l’écoute de l’appareil. Son intuition lui apprenait la direction du vent, mais il se basait plutôt sur ce qu’il pouvait toucher : boussoles, compas, cartes, le niveau à alcool à ses pieds.

En cette période du siècle, le terme de gentleman avait presque déjà valeur de mythe. La Grande Guerre avait ébranlé le monde. Tournant à plein, les rotatives avaient lâché le chiffre insupportable de seize millions. L’Europe : un ossuaire.

Alcock avait été pilote de chasse pour l’Air Service. Les bombinettes se détachaient des râteliers. L’avion soudain plus léger. Grimper haut dans la nuit. En se courbant légèrement, il voyait les champignons de fumée s’élever en bas. Palier, altitude et demi-tour à la base. À ces moments-là, Alcock ne recherchait surtout pas la célébrité. Il volait dans le noir, le cockpit ouvert aux étoiles. Puis l’aérodrome apparaissait à terre – les barbelés illuminés sur l’autel d’une étrange église.

Brown avait fait des missions de reconnaissance. La bosse des maths, des mesures aériennes. Il savait convertir tous les ciels en séries de chiffres. Même au sol, il poursuivait ses calculs, cherchait de nouvelles routes vers le plancher des vaches.

Se faire abattre : tous deux savaient précisément de quoi il retournait.

Alcock était tombé. dans les mains des Turcs lors d’un bombardement à longue distance dans la baie de Suvla. Son avion criblé de balles de mitrailleuse, l’hélice gauche arrachée. Obligé d’amerrir et de nager jusqu’au rivage avec ses deux équipiers. Ils avaient été escortés, nus, jusqu’aux petites cages en bois construites pour les prisonniers de guerre, où le vent s’engouffrait entre les barreaux. Grâce au Gallois qui avait sauvé une carte des constellations, Alcock avait exercé ses dons dans la nuit étoilée des Dardanelles ; un coup d’oeil au ciel, et il vous donnait l’heure exacte. Mais il préférait bricoler avec les moteurs. Transféré dans un camp de détention à Kedos, il avait échangé le chocolat de la Croix-Rouge contre une dynamo et le shampooing contre des pièces de tracteur, pour fabriquer avec tout ça une batterie de ventilateurs : fil de fer, bambous, accus et boulons.

Teddy Brown avait lui aussi été prisonnier de guerre, forcé d’atterrir en France lors d’une mission de reconnaissance. Il tenait son rôle de navigateur lorsqu’une balle lui avait brisé la jambe. Une autre perforait le réservoir. Tandis que l’avion piquait, il avait jeté son appareil photo et déchiré ses cartes pour les éparpiller. Leur BE2c échoué dans un champ de blé boueux, le pilote et lui avaient coupé le moteur avant de lever les mains en l’air. L’ennemi sortait en courant de la forêt pour les éloigner de l’épave. Brown avait senti l’odeur de l’essence qui s’écoulait du réservoir troué. Un des Boches avait une cigarette au bec, et Brown était connu pour sa retenue. «Excusez-moi !» avait-il crié. L’Allemand continuait d’avancer, avec le bout rouge de son clope. «Nein, nein». Une volute de fumée s’échappait de sa bouche. Il ne restait plus au pilote qu’à gueuler en agitant les bras : «Mais putain, arrêtez-vous, merde !»

Le Boche s’était soudain figé. Renversant la tête en arrière, il avait avalé son mégot sans l’éteindre, s’était remis à courir vers eux.

L’histoire faisait encore rire Buster, le fils de Brown, la veille de son propre départ à la guerre, vingt ans plus tard. «Excusez-moi !» Comme si la chemise de l’Allemand dépassait de son pantalon, ou qu’il avait mal lacé ses chaussures. «Nein, nein». Expédié chez lui avant l’armistice, Brown perdit sa casquette quelque part dans les hauteurs de Piccadilly Circus. Les filles portaient des rouges à lèvres très rouges. L’ourlet de leurs robes atteignait presque les genoux. Il se promena sur les bords de la Tamise, suivit la rive jusqu’à ce qu’elle gagne le ciel.

Ne retrouvant Londres qu’en décembre, Alcock observa les hommes en costume noir et chapeau melon qui avançaient avec précaution parmi les décombres. Dans une ruelle près de Pimlico Road, il se prit à donner des coups de pied dans un ballon rond, puis il joua toute la partie avec une des équipes. Déjà il retrouvait la sensation de voler. Marchant dans les gravats, il alluma une cigarette, regarda la fumée tournoyer et disparaître dans les airs.

La suite ? Dans le livre…

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Frères

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FrèresIls avançaient au milieu des battements d’ailes et des cris des oiseaux qui s’envolaient autour d’eux par dizaines. Leurs pieds s’enfonçaient dans la vase. L’odeur du sel emplissait leurs narines, mêlée à celle d’une eau boueuse, stagnante, marécageuse. Le premier, manchot, marchait devant, d’une démarche incertaine, comme si son membre manquant nuisait à son équilibre. Le second le suivait quelques mètres plus loin avec ses bras d’infirme, trop courts pour son corps. Tous deux avaient de l’eau jusqu’au ventre et la sueur coulait le long de leurs visages, si semblables avec leurs regards noirs et leur air de dieu étrange, primitif.

Ils ne s’étaient jamais aventurés si loin dans les marais côtiers. Mais ce jour-là, les mouettes et les cormorans s’y étaient réunis par centaines, criant, battant des ailes, faisant claquer leurs becs. Un couple d’urubus à tête rouge planait même au-dessus de la scène. Ces charognards ne s’étaient pas réunis pour rien : la nuit dernière, la tempête avait dû abandonner quelque chose sur les côtes marécageuses. C’est le plus jeune des deux frères qui avait eu l’idée d’aller voir. L’aîné avait accepté, sans avouer qu’il craignait la marée qui pourrait les surprendre dans les marais. Mais il marchait maintenant devant, écartant les herbes hautes de son seul bras, et c’est lui qui avait vu l’oeil en premier, dévoilé à son approche par la fuite des oiseaux occupés à le dévorer.

C’était l’oeil d’un monstre venu de mondes inconnus des deux frères, d’univers abyssaux où grouillaient des créatures semblant appartenir à un ordre des choses qui leur était étranger. Autour de son corps mou s’étiraient de longs tentacules blanchâtres légèrement putréfiés qui flottaient sur l’eau du marais. Des ventouses s’y ouvraient comme en une longue série d’yeux ou de gueules édentées. Les deux frères regardaient silencieusement la scène, le cadet s’étant rapproché de l’aîné, installé à ses côtés, là où aurait dû se trouver son bras manquant. Au-dessus d’eux, des oiseaux s’étaient réunis, volaient et criaient, masquant le soleil, impatients de retrouver leur festin. Dans l’ombre, l’oeil mort de la bête semblait regarder les deux frères malgré le sang noir qui s’en écoulait. Le plus jeune dit : « C’est un signe. Ce n’est pas pour rien. C’est aussi de la mer qu’est venu notre chien de père. »

De retour chez eux, ils n’avaient rien dit à leur mère, occupée à cuisiner un ragoût de chèvre. Et de toute façon, ils savaient qu’il n’y aurait bientôt plus la moindre trace de leur découverte, qu’elle disparaîtrait, dévorée de jour par les mouettes et les autres volatiles marins, et de nuit par des rats, des loutres voraces, des chiens errants, et en tout temps par des hordes d’insectes volants et rampants qui creuseraient son corps, s’enfonçant dans sa chair comme en d’innombrables terriers et qui, à terme, n’en laisseraient rien : aucune trace, aucune preuve de son existence.

Ils n’en avaient rien dit à leur mère, ils ne savaient pas si elle les aurait crus, mais ils savaient que la bête correspondait à ce qu’elle leur disait de la Grande Mare, l’océan, de cette étendue infinie d’eau noire et agitée, imprévisible et dangereuse, qui s’ouvrait devant eux, mais fermait leur univers, et où vivaient, leur disait-elle, des créatures monstrueuses, démesurées, des poissons bicéphales, des tortues aux carapaces grosses comme des îles, des baleines aux bouches si grandes qu’elles pouvaient avaler des cités entières. Ils n’en avaient rien dit à leur mère, comme ils lui parlaient de moins en moins de leur vie au fur et à mesure qu’ils grandissaient, encore enfants mais de plus en plus adultes, affranchis, et qu’elle sortait de moins en moins de leur maison de planches grises, peu à peu gagnée par la cécité, sachant toujours nourrir ses chèvres, ramasser les plantes qui poussaient dans la plaine et les algues que la marée laissait sur la grève, mais incapable de voir ses fils courir au loin sur les collines qui s’élevaient derrière les marais, là où ils aimaient sentir le vent souffler sur leur corps et y déposer des gouttelettes d’eau salée venues de l’océan.

Ils grandissaient et elle ne semblait pas les voir grandir, elle qui les avait eus si tard, à un âge où l’on ne devient plus mère, et où son corps vieillissant, couvert d’une peau sèche, ridée et un peu lâche, avait dû retrouver pour eux la vigueur de la jeunesse. Et chaque soir à l’heure du coucher, elle leur racontait encore, comme aux premières années de leur vie, des histoires anciennes et inquiétantes, celles de tout ce mal qu’amenait l’océan, lui qui avait amené un jour leur « chien de père », qu’elle disait tantôt arrivé sur une barque, tantôt sur un vieux rafiot ou même encore jeté sur la grève le lendemain d’une tempête ; un géniteur de passage, dont le récit de l’arrivée variait avec le temps et au gré des humeurs de la vieille.

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Ce n’est pas parce qu’on rit…

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Vous croyez qu’un bon stratège politique ignorera les caricatures dans les journaux pour se concentrer plutôt sur les chroniques et les éditoriaux? Détrompez-vous. Une bonne caricature politique en dit parfois beaucoup plus long sur l’opinion qu’un éditorial et c’est toujours plus drôle!

Pour terminer la semaine en beauté, je vous en propose quelques unes, qui résument l’actualité politique.

La semaine a commencé par un autre point de presse de Philippe Couillard pour annoncer que l’UPAC avait rencontré la DG du Parti libéral. Ygreck, du Journal de Québec, a illustré les déboires du PLQ avec le débat sur la charte en fond de scène  :

PLQ UPAC 6a00d8341c5dd653ef019aff7df810970d-800wi

L’affaire Julie Miville-Dechêne a continué à faire les manchettes, surtout après les insultes de Christine St-Pierre. Celle-ci a réussi (malgré elle?) à faire oublier les déboires de son parti avec l’UPAC. Trois caricatures. Dans l’ordre: Roy, du Voir; Garnotte, du Devoir et Beaudet, du Journal de Montréal.

roy2013_09_25

une-femme-voilee-a-l-assemblee-nationale

C St-Pierre Beaudet1310845667089_ORIGINAL

 

Mais ce qui a sans doute marqué le plus l’actualité politique au Québec, ce sont les accusations abracadabrantes de Jacques Duchesneau envers André Boisclair. Voici trois caricatures. Dans l’ordre: Chapleau, Garnotte et la caricature coup-de-poing de Beaudet, qui montre la CAQ en train de perpétrer un attentat-suicide.

Chapleau Duchesneau 749227-27-septembre-2013

 

jacques-eliot-ness-duchesneau

 

Beaudet attentat 1310845977926_ORIGINAL

 

On termine avec un dessin de Aislin, du journal The Gazette, qui propose d’unifier les Québécois autour d’un symbole quasi-religieux. Autour du hockey, united we stand!

Aislin 8951287

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Le Tiramisu Costaricien

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Ok, le titre est bizarre. Normal, personne ne pensait que le Tiramisu pouvait être originaire du Costa Rica. Non, pas de soucis il est et restera italien. Toutefois, au bureau, toute l’équipe de Costa Rica Découverte me tanne pour que, régulièrement je leur fasse ma recette de Tiramisu surnommé Tiramisu Costaricien. Il en son fans [...]
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Blog de cocogallylis - videos

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Blog de cocogallylis - videos
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Blog de cocogallylis - les photos sont la

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Blog de cocogallylis - les photos sont la !!!
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FIN apocalypse en douceur

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Jamais n’aura-t-on vu un film aborder la fin du monde de façon aussi anodine, avec si peu d’effets spéciaux, de scènes apocalyptiques et de violence.

Fin, du réalisateur espagnol Jorge Torregrossa, mise avant tout sur le mystère. Résultat : un film dont on se lasse bien vite sitôt qu’on a compris le modus operandi.

D’anciens camarades de classe se réunissent dans un chalet pour célébrer les 20 ans de leur graduation. Ce qui s’annonce comme un weekend de beuverie, de partage de souvenirs et, parfois, de règlements de compte, se transforme en cauchemar. Un à un, les personnages disparaissent sans laisser la moindre trace.

Adapté du roman de David Monteagudo, Fin aurait tout aussi bien pu être écrit par Stpehen King. Le mystère, l’angoisse de ne pas savoir, l’horreur tapie dans tous les recoins, tout rappelle certains romans du maître américain de l’horreur. À une différence près : Fin est sans intérêt. Les dialogues sont creux, les personnages n’ont aucune profondeur. Et, plus gros défaut encore, pas un mot à propos de ce qui se passe sur la planète et sur les raisons qui font que tout le monde a disparu.

À noter, la bande annonce est plus intéressante que le film. Ne vous laisser pas berner…

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Visite du quartier Asakusa le plus vieux quartier à Tokyo

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Après que je me suis perdu malgré les désignations à la ligne Yamanote Line, j’étais arrivé à la station Asakusa 30 minute de retard à l’heure du RDV,  j’avais immédiatement reconnu mes amies Rina et Yu. Fini les prises de têtes avec les indications, j’étais bien heureux d’être enfin guidé par habitantes de la régions, elles

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Rabii Rammal le blogueur blagueur

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Photo : Jocelyn Michel

Photo : Jocelyn Michel

Dans son bureau : une affiche de la chanteuse Adele, une table à dessin, un ordinateur, une immense glace, mais aucune fenêtre. « C’est pour mieux me concentrer sur mon paysage intérieur », dit l’humoriste et auteur Rabii Rammal.

Né au Québec de parents libanais, ce diplômé (2012) de l’École nationale de l’humour connaît par cœur les chansons de Frank Sinatra, sculpte des maquettes de voitures anciennes, fait de la BD, de la breakdance et des tractions. Surtout, il publie pour Urbania des billets sous forme de lettres à des destinataires on ne peut plus clairs : « Chère danseuse nue », « Chers 570 000 fifs », « Cher ami qui veut fourrer son iPhone ».

Sous l’égide du magazine multiplateforme, le blogueur peaufine également une websérie, présentement en montage financier — Rabii nous dit des choses en dessinant —, dans laquelle il vulgarise des concepts abstraits, tel le système électoral, en accompagnant ses propos de ses dessins, animés par logiciel. Mis en ligne, l’épisode pilote sur le crédit réjouit.

Et le spectacle solo ? « Pas pressé. » Rabii a 23 ans.

Que pensez-vous du gag du Comte de Bouderbala, l’humoriste français qui est passé par Montréal l’été dernier : «Avant, j’étais arabe. Maintenant, j’ai arrêté, c’est trop dur.»?

Je ne connais ni le gars ni le gag, mais je dirais qu’au contraire je suis fier que mes parents m’aient gâché mes samedis pendant 12 ans pour m’envoyer dans une école où j’ai appris à parler et à écrire l’arabe. Mais je reste avant tout un Québécois, même si j’adore le chiche-taouk.

Vous dites qu’on vous prend souvent pour un Italien, un Grec, un Indien…

Je n’ai pas l’air d’un Arabe, j’ai juste l’air bizarre, pas d’ici. Alors, c’est comme pour la lessive : on met le blanc d’un côté, toutes les couleurs de l’autre.

Si le comique est là pour faire rire, à quoi sert l’humoriste?

À commenter toute chose qui heurte sa sensibilité. Le policier qui laisse tourner le moteur de sa voiture pendant qu’il texte sur son cellulaire et qui me crie « Scramme ! » quand je lui fais remarquer qu’il est en infraction mérite un billet de 1 000 mots.

Vous pratiquez, dans un français écrit impeccable, une écriture moqueuse et acide que vous criblez de grossièretés. Pourquoi?

Quand un gars atteint le plus haut degré de « troudecultitude » — garer sa voiture dans une place de stationnement réservée aux handicapés —, il n’y a pas d’autre mot que « tabarnak », ou pis, pour exprimer votre émotion devant la situation.

Dans les commentaires des internautes, on vous traite souvent de génie. Ils ne vont pas un peu vite en affaires, vos lecteurs?

Je pense à combien de gens me lisent [autour de 15 000 personnes par semaine], mais aussi à tous ceux qui n’en ont rien à foutre de moi. Ça relativise, et je ne prends pas ça au pied de la lettre pour ne pas me mettre de pression. La seule chose qui me stresse vraiment, c’est la combustion spontanée, la peur de prendre feu.

D’accord (!), mais vos débuts à la télé ne vous stressent-ils pas?

Ça m’excite, plutôt. Me voici collaborateur à Alors on jase! et, tous les vendredis, chroniqueur à Entrée principale, deux émissions de Radio-Canada.

Vous devez ces contrats à votre agent?

Je m’occupe seul de mes affaires. À ma sortie de l’École, une grosse boîte, que je préfère ne pas nommer, m’a abordé. Au moment de signer, on m’a dit : « Tu vas voir, ça va être big. On va faire de toi un Sugar Sammy. » J’aurais souhaité entendre : « On va faire de toi… toi ! »

Que de maturité pour votre âge!

Je passe beaucoup de temps avec ma grand-mère. Ses propos me changent des histoires des gens de ma génération : « On est sortis, on s’est pété la face, on a baisé. »

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Blog de milou - UN anniv super

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Blog de milou - UN anniv super......
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Blog de Egypte2012 - J9 - temples volcan et lac

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Blog de Egypte2012 - J9 - temples, volcan et lac
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Friday Travel Break 65 Travel Love

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Il est de ces vidéos qui se passent de tout commentaire. “Speechless” comme savent si bien le dire nos amis anglophones. Ces rares court métrages qui parviennent à propulser une énergie telle qu’on en reste souvent scotché à son fauteuil ou son canapé.

Je me souviens avoir visionné la séquence qui va suivre près de 10 fois d’affilé le jour ou Julie l’avait relayé (je l’en remercie au passage, quelle découverte !). Réflexe oblige, je me suis empressé de la copier sur ma TV afin de pouvoir voyager le plus souvent possible à domicile. C’est même désormais devenu un rituel à chaque fois que le moral n’est pas au rendez-vous.

Et le remède marche plutôt bien…Jugez plutôt par vous-même.

Un superbe souvenir ramené par Christian Grewe d’un voyage au long court entre le Chili, la Bolivie, le Pérou, l’Uruguay, l’Argentine, le Vietnam, le Cambodge et la Thaïlande

L’été est déjà fini, on s’imagine à l’autre bout du monde, on se console en visionnant ces petites perles dénichées sur le web, on patiente en organisant un week-end pas cher de temps en temps. Ça ne remplace pas un tour du monde, mais c’est déjà pas mal ;)

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Des activités gratuites à faire à Milan

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Milan n’est pas exactement ce que l’on peut appeler une ville pour les petits budgets. Si il est possible de visiter certaines régions de l’Italie sans trop dépenser, visiter la capitale de la Lombardie est assez onéreux. Pour y remédier, nous avons trouvé des activités gratuites et un vol aller-retour pas cher pour Milan.

Le Duomo : La majestueuse cathédrale gothique est un emblème de la ville. L’entrée est encore gratuite, mais pour combien de temps… personne ne peut le dire. C’est la troisième plus grande cathédrale du monde, elle compte des centaines de statues dont une réalisée par De Vinci lui-même. En un mot : monumental ! En revanche il faut payer pour visiter les toits : 12 € en ascenseur, 7 € par les escaliers. C’est un endroit sombre et frais même en été quand la chaleur écrase la ville. À noter que les jupes courtes et les débardeurs sont interdits.

Castello Sforzesco - Au centre-ville, sur la Via Dante, le château de Milan est une forteresse du XIVe siècle qui abrite aujourd’hui des galeries d’art et des musées payants, mais le parc du château est libre d’accès.

Galleria Vittorio Emanuele II - Cette galerie abrite les boutiques les plus chics de la ville, juste à côté de la cathédrale. L’architecture de cette arcade est vraiment impressionnante.

Le cheval de Leonardo - Il s’agit de la plus grande sculpture de cheval en bronze du monde, basée sur les dessins de Léonard de Vinci du 15ème siècle.

Villa Belgiojoso / Musée Bonaparte - Cette magnifique villa fut autrefois la demeure de Napoléon et de sa famille, d’où son nom, mais abrite aujourd’hui un musée avec une belle collection de peintures des 18e et 19e siècles.

Palazzo Reale - Le “Palais Royal” était autrefois le siège du gouvernement local mais une partie a été détruite pour faire place à la cathédrale voisine. Aujourd’hui, le bâtiment abrite l’office de tourisme. Le musée du palais est gratuit.

Des musées gratuits après 14 heures le vendredi

Plusieurs musées dont l’entrée est payante le reste de la semaine sont gratuits le vendredi après-midi. Parmi eux :

  • Musée de l’Unification
  • Musée d’Histoire Naturelle
  • Musée d’archéologie
  • Les musées et galeries du Castello Sforzesco
Paris - Milan
17/10/2013 20/10/2013

Expériences qui ne coûtent pas un centime

Essuyez vos semelles sur les couilles du taureau - Vous nous avez bien compris. Dans la galleria Vittorio Emanuele II, une mosaïque au sol représente un taureau. Une tradition veut que l’on frotte ses chaussures sur ses testicules proéminentes.

Faire du lèche-vitrine - Ce n’est pas aussi amusant que de faire du shopping pour de vrai, mais c’est mieux que rien. Franchement, qui a besoin d’un sac à main à 999 € ? Le quartier commerçant le plus chic de Milan est le Quadrilatero d’Oro. Observer les passants et les clients qui s’y pressent est un spectacle en soi.

Vous connaissez Milan ? Partagez vos conseils avec les autres lecteurs !

Images : Nouhailler, paalia, sapheron, ericF200 / Flickr cc.
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Insolite les pilotes s’endorment en plein vol long-courrier

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airbus

Deux pilotes d’une compagnie aérienne, qui faisaient voler un Airbus A330, se sont endormis durant le vol de l’appareil. L’incident s’est déroulé vers la mi-août, rapporte The Sun.

Les deux hommes s’étaient assoupis, pendant un temps indéterminé, alors que le pilote automatique de leur appareil était mis en route. Les autorités de l’Aviation Civile britannique (CAA) ont refusé de révéler les noms de la compagnie aérienne et celui des pilotes pour que ces derniers n’aient pas de sanctions.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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