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Garderies à 7 par jour un comité recommande de hausser le tarif

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QUÉBEC – La table est mise pour une hausse du tarif des garderies à 7 $ par jour.

La contribution des parents devrait augmenter dès maintenant et être indexée annuellement par la suite, selon un groupe de travail mis sur pied par la ministre de la Famille, Nicole Léger.

La ministre a réagi aux conclusions du groupe en rappelant que l’engagement de son gouvernement de geler le tarif à 7 $ valait uniquement «pour le mandat actuel», un mandat qui pourrait prendre fin n’importe quand, dans une situation minoritaire.

Le scénario d’une hausse et d’une indexation annuelle proposé par le comité, «c’est sûr que je vais le regarder», a convenu Mme Léger, lors d’un bref point de presse, à sa sortie de la réunion hebdomadaire du conseil des ministres.

Le groupe de travail, présidé par un ancien sous-ministre du ministère, Maurice Boisvert, a remis son rapport qui a été rendu public mercredi. Mis sur pied en octobre 2013, il devait faire le point sur le financement et la pérennité des services de garde.

Les membres du groupe ont donc convenu qu’une hausse du tarif imposé aux parents rétablirait l’équilibre rompu en raison du gel imposé il y a une dizaine d’années. Au fil des ans, proportionnellement, la contribution des parents, par rapport à celle de l’ensemble des contribuables, n’a cessé de diminuer.

«Ce gel a entraîné un déséquilibre des parts respectives qui avaient été prévues lors de l’implantation du programme, car le coût des services n’a cessé de croître», constatent les auteurs.

Ainsi, la somme versée par les parents représentait environ 20 pour cent du coût réel d’une place en garderie en 1997, au moment de la création du réseau des Centres de la petite enfance (CPE), et elle n’est plus aujourd’hui que de 13 pour cent. L’État assume donc 87 pour cent de la facture.

Et cette facture est exponentielle: le réseau grugeait 221 millions $ de fonds publics en 1997, contre 2,2 milliards $ l’an passé.

Le comité explique cette disproportion grandissante par le fait que le tarif a été gelé, tandis que les coûts de fonctionnement, eux, n’ont cessé d’augmenter année après année, dans un contexte de développement accéléré du réseau.

En 1997, le tarif quotidien d’une place à contribution réduite avait été fixé par le gouvernement péquiste à 5 $, pour passer à 7 $ en 2004, sous un gouvernement libéral. Il est gelé depuis maintenant 10 ans. Cela s’explique aisément: sur le plan politique, l’enjeu est explosif. Les gouvernements ne veulent pas risquer de s’attirer les foudres de milliers de jeunes parents appréciant ce programme social fort populaire depuis sa création.

Le comité Boisvert ne va pas cependant jusqu’à se risquer à dire quelle serait à ses yeux une hausse acceptable du tarif que devraient assumer les parents, mais il demande au gouvernement d’y aller en douceur.

«Il faudrait que l’augmentation ne crée pas de choc tarifaire et que les répercussions sur les familles à faible revenu puissent être atténuées par des mesures fiscales si nécessaire. Par la suite, un mécanisme d’indexation annuel devrait s’appliquer», peut-on lire dans le rapport d’une vingtaine de pages.

Il recommande aussi de revoir la structure de la subvention de fonctionnement versée aux CPE. Il juge que Québec devrait favoriser les regroupements de CPE, encourager les économies d’échelle et simplifier les règles budgétaires.

Par contre, le mode de financement des services de garde _ c’est-à-dire un tarif égal pour tous, quel que soit le revenu des parents _ n’a pas été remis en question par le groupe.

Le comité était formé de fonctionnaires du ministère de la Famille et du ministère des Affaires municipales, ainsi que de représentants de l’Association québécoise des CPE et du Conseil québécois des services de garde éducatifs.

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Ottawa des Canado-Ukrainiens veulent plus de sanctions contre l’Ukraine

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OTTAWA – Des membres de la communauté canado-ukrainienne et des députés de l’opposition ont lancé un appel au gouvernement Harper, mercredi, afin qu’Ottawa durcisse les sanctions contre Kiev en réaction à la violente répression des manifestations agitant le pays depuis l’an dernier.

Le ministre des Affaires étrangères, John Baird, avait annoncé mardi que les hauts représentants ukrainiens seront dorénavant interdits de séjour au Canada. Cette décision a été annoncée alors que de violents affrontements entre forces de l’ordre et manifestants ont toujours lieu en Ukraine.

Quelques dizaines de personnes ont manifesté à Ottawa mercredi pour exprimer leur solidarité avec les protestataires ukrainiens. Ils ont appelé le gouvernement de Stephen Harper à aller au-delà des mesures symboliques, et à imposer des sanctions économiques à l’endroit de la classe politique de l’Ukraine.

Le premier président à avoir été élu après l’indépendance ukrainienne, Leonid Kravtchouk, a prévenu que son pays était sur le point de sombrer dans une guerre civile. Il a exhorté les parlementaires à agir de façon responsable alors qu’ils débattent de la pertinence d’accorder ou non l’amnistie aux manifestants qui ont été incarcérés.

Le président actuel, Viktor Ianoukovitch, a déclaré que l’amnistie devait être conditionnelle au démantèlement des barricades dans les rues de la capitale et au départ des manifestants occupant les édifices gouvernementaux.

Les manifestations ont éclaté quand le président Ianoukovitch a refusé de signer une entente avec l’Union européenne, choisissant plutôt un accord avec la Russie. Le mouvement s’est depuis transformé en plaidoyer pour un respect accru des droits de la personne, moins de corruption et plus de démocratie dans ce pays de 45 millions d’habitants. Au moins cinq personnes ont perdu la vie dans les affrontements et plusieurs bureaux gouvernementaux du pays ont été occupés par des manifestants en colère.

À Ottawa, les manifestants ont mis en garde le gouvernement canadien, affirmant qu’il faudrait éviter de pénaliser la population ukrainienne si des sanctions économiques étaient bel et bien imposées contre Kiev.

Le député néo-démocrate Paul Dewar a interpellé le premier ministre Harper, l’invitant à contacter lui-même le président Ianoukovitch pour lui signifier son mécontentement. Le président des États-Unis, Barack Obama, a déjà passé un tel coup de fil à son homologue ukrainien.

M. Dewar a aussi joint sa voix à ceux qui réclament l’adoption de mesures plus sévères à l’endroit du gouvernement Ianoukovitch. «Nous allons demander à notre gouvernement d’instaurer des sanctions économiques contre ceux qui pillent le trésor ukrainien et le sorte du pays», a-t-il déclaré aux manifestants rassemblés sur la colline parlementaire. «De telles mesures doivent être mises en place afin d’envoyer un message fort.»

Le député libéral Marc Garneau a quant à lui affirmé que le Canada était solidaire avec les forces démocratiques en Ukraine.

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Un sommeil irrégulier stimulerait la croissance des tumeurs cancéreuses

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MONTRÉAL – Un sommeil de mauvaise qualité marqué par des réveils fréquents semble stimuler la croissance des tumeurs cancéreuses, en plus d’accroître l’agressivité de ces tumeurs et de réduire l’efficacité du système immunitaire, démontre une étude publiée récemment par le journal scientifique Cancer Research.

L’auteur de l’étude, le docteur David Gozki de l’hôpital pour enfants Comer de l’Université de Chicago, a expliqué qu’un sommeil interrompu modifie le comportement du système immunitaire face au cancer, ce qui rend la maladie plus agressive.

Le docteur Gozki et ses collègues de l’Université de Louisville, au Kentucky, ont étudié deux populations de souris: une qui a été réveillée à toutes les deux minutes et l’autre dont le sommeil n’a pas été perturbé. Au bout de sept jours, toutes les souris ont reçu une injection de cellules cancéreuses et toutes avaient développé une tumeur palpable une dizaine de jours plus tard.

Les tumeurs des souris dont le sommeil avait été dérangé étaient deux fois plus grosses. De plus, lorsque les tumeurs avaient été implantées dans le muscle de la cuisse, ce qui aurait dû aider à freiner leur croissance, elles se sont révélées plus agressives et plus envahissantes chez les souris ayant mal dormi.

Les chercheurs ont découvert que les souris bien reposées présentaient, en majorité, des cellules capables d’attaquer les tumeurs en provoquant une réponse immunitaire féroce. En revanche, les souris fatiguées présentaient surtout des cellules dont le rôle est de freiner l’action du système immunutaire et de stimuler le développement de nouveaux vaisseaux sanguins — ce qui aide à la croissance des tumeurs.

Environ 70 millions d’Américains souffrent de troubles du sommeil chroniques. Les scientifiques veulent maintenant savoir si le sommeil affecte aussi les métastases et la résistance à la chimiothérapie.

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Chèque de 3000 Charest nie tout selon Philippe Couillard

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SAINT-FÉLICIEN, Qc – Jean Charest assure n’avoir jamais reçu de chèque de 3000 $ des mains d’un lobbyiste. C’est du moins ce que rapporte l’actuel chef libéral, Philippe Couillard, qui lui a parlé mercredi, à la suite des révélations stupéfiantes de la Commission Charbonneau.

En effet, c’est la première fois que le nom de l’ancien premier ministre est évoqué à la commission d’enquête. C’est le témoignage de Louis-Pierre Lafortune qui le met en cause. Lafortune est l’ex-vice-président des Grues Guay qui a été accusé de gangstérisme au terme de l’opération Diligence.

Dans son témoignage, qui était interdit de publication jusqu’à mercredi, on apprend qu’un lobbyiste a versé un chèque de 3000 $ à l’Association libérale de Sherbrooke, circonscription dont le député était Jean Charest à l’époque.

Le chèque a été fait à quelques jours des élections générales de décembre 2008. Il était signé par le chef de la direction financière du fabricant d’éoliennes AAER, Jean-Robert Pronovost.

Lafortune avait investi 200 000 $ dans la compagnie, qui s’était installée dans l’ancienne usine Hyundai de Bromont. Toujours selon le témoignage de Lafortune, le lobbyiste dont on ne peut révéler l’identité a confirmé avoir remis le chèque à M. Charest.

Toutefois, aucun projet d’AAER n’a finalement été retenu par le gouvernement Charest. L’entreprise a fait faillite en 2010.

Au terme d’un caucus tenu à Saint-Félicien, le chef libéral Philippe Couillard a tenu à réagir, mercredi en début d’après-midi. Il a rapporté les propos de son ancien chef.

«Avant de venir vous voir (les médias), j’ai moi-même parlé à M. Charest. Il nie catégoriquement avoir reçu quoi que ce soit de M. Lafortune ou de qui que ce soit d’autre», a-t-il dit.

Aussi, M. Couillard a pris la peine de remettre en doute la fiabilité du lobbyiste, auquel Lafortune lui-même ne prêtait pas beaucoup foi.

«Un témoignage par ouï-dire, de la part d’une personne dont la crédibilité est mise en cause par le témoin lui-même», a dit le chef libéral en préambule.

Son collègue, l’ancien chef parlementaire maintenant devenu whip Jean-Marc Fournier, est aussi venu défiler devant les médias, pour défendre son intégrité, toujours à propos des révélations de Louis-Pierre Lafortune.

Ce dernier a participé à une activité de financement en 2008 au profit de M. Fournier, qui était alors ministre du Revenu. Lafortune avait des ennuis avec le fisc et il a obtenu peu après un rendez-vous avec le ministre, mais finalement l’entretien n’a pas eu lieu.

«Il était normal qu’il puisse y avoir, soit des rencontres, soit du courrier, et que le tout soit acheminé, a indiqué M. Fournier en conférence de presse. Il n’y avait pas là de traitement de faveur, il y avait un traitement normal de la part d’un cabinet.»

Lafortune ne faisait l’objet d’aucune poursuite en 2008, a précisé M. Fournier, en ajoutant qu’il ne pouvait pas savoir qu’il serait accusé un an plus tard, en 2009. Il a été accusé de gangstérisme et de complot pour recyclage de produits de la criminalité à la suite de l’opération Diligence.

Enfin, échaudé par toutes ces allégations concernant les libéraux, Philippe Couillard a tenu à contre-attaquer le Parti québécois (PQ). Il est revenu à la charge avec les déclarations de l’ancien président de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) Michel Arsenault.

M. Arsenault souhaitait convaincre le PQ de ne pas demander une commission d’enquête sur l’industrie de la construction, en invoquant un «deal» avec Claude Blanchet, le mari de la chef péquiste Pauline Marois. Le Fonds de solidarité de la FTQ était partenaire d’affaires de M. Blanchet dans l’entreprise Capital BLF. Mais M. Arsenault a soutenu mercredi que ce n’était qu’un scénario qu’il n’a de toute façon jamais concrétisé.

Le PQ a finalement mis six mois de plus que l’ADQ avant de réclamer une commission d’enquête, en 2009. Mais selon Philippe Couillard, «il y a des conversations qui sont très précises, sur l’existence d’un investissement, la date, les coïncidences de temps, et cela ajoute à ma demande que la première ministre s’exprime».

Jusqu’à maintenant, Pauline Marois est restée laconique sur le sujet, en niant l’existence d’un «deal».

Les péquistes réagissent

Sans surprise, les péquistes s’en sont donnés à coeur joie contre Philippe Couillard, Jean Charest et le Parti libéral du Québec.

«Après qu’il ait voté 11 fois contre la tenue d’une commission d’enquête qui aujourd’hui le met en cause, je ne pense pas que l’intégrité était la valeur cardinale de M. Charest», a lancé le ministre des Relations internationales, Jean-François Lisée, au sortir de la réunion du conseil des ministres mercredi.

Le président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, a pour sa part reproché au chef libéral d’avoir voulu cacher des informations compromettantes aux Québécois.

«C’est le même bon vieux Parti libéral, a-t-il dit. Ce qui est le plus étonnant, c’est la volonté du Parti libéral d’empêcher la divulgation de certains noms et de certains faits. M. Couillard devra nous expliquer pourquoi il a autorisé le PLQ à prendre une requête pour empêcher la divulgation des noms.»

Quant à Pierre Duchesne, ministre de l’Enseignement supérieur, il a soutenu que rien n’avait changé au PLQ sous la gouverne de Philippe Couillard.

«De toute évidence, il a les pieds et les mains liés dans une culture du Parti libéral qui pendant dix ans a carburé surtout à aller chercher de l’argent et à permettre à la collusion et à la corruption de s’installer», a-t-il allégué.

De son côté, la députée caquiste Sylvie Roy a pointé du doigt non seulement l’ancien premier ministre libéral mais aussi la chef péquiste Pauline Marois, dont le nom a été soulevé à la commission il y a quelques jours.

«C’est un triste jour pour la politique et surtout pour les deux vieux partis, le Parti libéral et le Parti québécois. On a une commission d’enquête sur la corruption dans le domaine de la construction et on entend les noms de l’ancien premier ministre et de l’actuelle première ministre. Si j’avais fait un scénario comme ça, je l’aurais envoyé à des réalisateurs, et ils m’auraient dit que c’était de la science-fiction», a-t-elle illustré.

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Suicide d’une ex militaire le ministère a exigé le remboursement de prestations

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TORONTO – Le mari d’une ancienne militaire qui s’est suicidée le jour de Noël a reçu une lettre du ministère des Anciens Combattants exigeant qu’une partie du chèque de prestations d’invalidité qu’elle touchait juste avant sa mort soit remboursée.

La lettre, datée du 9 janvier, a été envoyée quelques jours seulement après les funérailles de la caporale à la retraite Leona MacEachern. Le ministère offrait d’abord ses condoléances, mais soulignait ensuite que les indemnités de la défunte ne pouvaient être versées que de son vivant.

Une somme de 581,67 $ couvrant la période après sa mort constitue donc un montant versé en trop, indique-t-on dans le document, précisant que la famille serait bientôt contactée par le service du recouvrement.

Son mari, Tom MacEarchern, a raconté à CTV News que cette lettre lui avait fait l’effet d’une gifle.

Le cabinet du ministre des Anciens Combattants a expliqué au réseau télévisé que Julian Fantino avait depuis demandé à ce que l’argent ne soit pas recouvré.

La caporale Leona MacEachern, qui souffrait du syndrome de stress post-traumatique, est morte dans la région de Calgary à la fin de 2013 après avoir dévié la trajectoire de son véhicule pour percuter un camion qui arrivait en sens inverse.

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Blog de brudo - nouveau blog

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Carte interactive les médaillés de la corruption à Sotchi

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Photo : David Goldman / AP / PC

Photo : David Goldman / AP / PC

«Les athlètes ne sont pas seuls en compétition à Sotchi», peut-on lire sur la carte interactive de la corruption réalisée par le militant Alexeï Navalny, un opposant au régime de Vladimir Poutine.

Celui qui est surnommé le «Julian Assange de la Russie» y décerne des médailles aux «champions de la course à la corruption». Sur la plus haute marche du podium : fonctionnaires et hommes d’affaires qui ont brillé dans l’une des disciplines rappelant celles des Jeux d’hiver, dont «abus de confiance classique», «déclarations en freestyle» ou «multi-sports écologique».

Sur la carte, un système de géolocalisation permet aux internautes de parcourir les allégations de magouilles, de conflits d’intérêts ou de dépassements de coûts entourant les préparatifs des Jeux de Sotchi, qui se tiendront du 7 au 23 février. Les informations colligées proviennent de ses propres enquêtes ainsi que de divers médias. On revient par exemple sur le cas d’un parc d’attractions construit par le frère du président du Comité olympique russe, sur la destruction d’une forêt pour bâtir un chemin de fer temporaire et sur la construction d’un hôtel dirigé par le milliardaire Vladimir Potanin mais financé à 85% par l’État.

Rosa-khutor-Alpine-Center

Selon Navalny, à la tête de la Fondation anti-corruption, les citoyens russes auraient payé de leur poche 45,8 milliards $ pour les préparatifs des JO. C’est sept fois plus que le montant estimé par Vladimir Poutine (6,5 milliards $), ce qui en font les Jeux d’hiver les plus coûteux de l’histoire. À titre de comparaison, Vancouver, en 2010, avait un budget de 1,88 milliard $, et Turin, en 2006, de 5,2 milliards $.

Sotchi-Corruption

Le président russe Vladimir Poutine a rejeté les allégations de corruption à Sotchi, justifiant la hausse des prix par de simples erreurs d’investisseurs ayant sous-estimé les coûts.

«Si quelqu’un possède ces informations, s’il vous plaît, qu’il nous les montre, a-t-il affirmé en entrevue télévisée. Mais jusqu’à maintenant, on n’a vu rien d’autre que de la spéculation», a rapporté l’Associated Press.

Or, il semble difficile – voire impossible – de prouver tout acte de corruption, puisque les Jeux ne sont pas couverts par la loi russe sur les soumissions et l’approvisionnement. Ainsi, les autorités ne sont pas imputables pour les dépenses.

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Un Torontois est accusé d’avoir abandonné une fillette dans un stationnement

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MARKHAM, Ont. – Un Torontois de 39 ans a été accusé d’avoir abandonné un enfant dans un véhicule, après la découverte par la police d’une fillette de deux ans laissée seule dans une voiture par grand froid.

La Police régionale de York a affirmé avoir reçu un appel vers 19 h, mardi, d’un citoyen inquiet qui avait remarqué un jeune enfant seul dans un véhicule verrouillé sans chauffage dans un stationnement. Les services d’urgence sont arrivés sur les lieux et ont sorti l’enfant du véhicule.

La police a indiqué que l’enfant n’avait pas été blessée, mais les agents ont arrêté et accusé le Torontois dont l’identité n’a pas été dévoilée. Il doit se présenter en cour le 26 février à Newmarket.

L’agente Laura Nicolle n’a pas confirmé pas la nature des liens entre l’homme et l’enfant, et ne divulguera pas d’autres détails étant donné que l’affaire se retrouvera devant les tribunaux.

La police a rappelé que quiconque voit un enfant ou un animal abandonné dans un véhicule par temps rudes est appelé à composer le 9-1-1. Ceux qui font preuve d’une telle négligence risquent d’être accusés en vertu de la Loi sur les services à l’enfance et à la famille, qui requiert des soins et une supervision adéquate pour les enfants de moins de 10 ans.

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Même avec la charte le tchador sera autorisé à l’université admet Drainville

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QUÉBEC – Les étudiantes pourront porter le tchador dans les universités québécoises même si la charte des valeurs de laïcité est adoptée.

Le ministre responsable de la charte, Bernard Drainville, l’a reconnu mercredi alors qu’il pourfendait l’apparent laisser-faire du Parti libéral du Québec (PLQ) en matière de vêtements religieux.

En vertu du projet de loi 60 instituant la charte des valeurs, les employés de l’État ne pourront plus afficher de symboles religieux au travail. Pour les étudiants, la règle permettra le port de tout vêtement ou signe à connotation religieuse pour autant que le visage soit découvert.

En conséquence, les étudiantes musulmanes vêtues d’un voile noir de la tête au pied (sauf l’ovale du visage) seront autorisées à fréquenter les établissements d’enseignement supérieur, tout comme ceux portant la kippa juive ou le turban sikh.

«La règle que l’on s’est imposée, c’est pour les agents de l’État. Ceux et celles qui donnent un service public, qui travaillent dans une institution publique, ne peuvent pas porter de signes religieux, y compris le tchador. Pour ce qui est des étudiants, c’est le visage à découvert qui s’applique», a précisé M. Drainville en point de presse avant la séance hebdomadaire du conseil des ministres.

Le niqab et la burqa seront donc proscrits parce qu’ils recouvrent le visage en tout ou en partie, mais pas le tchador.

Bref, une professeure musulmane d’université ne pourra enseigner qu’à condition d’enlever son hidjab, mais les étudiantes de même confession pourront suivre ses cours sous le couvert du tchador, un vêtement que plusieurs considèrent nettement plus obscurantiste et oppressif que le hidjab.

Néanmoins, le ministre Drainville a continué mercredi d’attaquer le chef libéral Philippe Couillard sur son refus d’adopter des mesures législatives pour restreindre le port de signes religieux chez ceux qui offrent ou qui reçoivent des services publics.

«Est-ce que M. Couillard est prêt à interdire le tchador, la burqa et le niqab? Pour le moment, il n’interdit rien, il ne veut même pas voter de loi là-dessus», a-t-il dit.

En faveur de la neutralité absolue de l’État en regard des religions, le ministre Drainville n’est cependant pas prêt à inclure dans le projet de loi 60 une disposition prévoyant le retrait du crucifix du Salon bleu de l’Assemblée nationale.

Le Christ en croix a beau être un symbole chrétien ostentatoire à souhait, il n’appartient pas au gouvernement de le retirer de l’enceinte des débats, a soutenu le ministre.

«Le crucifix n’appartient pas au gouvernement, il appartient à la Chambre, à tous les députés, à tous les partis présents en Chambre. Une fois que la charte aura été votée, on va s’asseoir au Bureau de l’Assemblée nationale (BAN) avec les autres partis et on va discuter de la question du crucifix», a-t-il dit.

Quant au chef libéral _ qui s’est engagé à maintenir le crucifix au-dessus du siège du président de l’Assemblée _ il «se cache» derrière la croix pour faire oublier la faiblesse de ses orientations sur la laïcité, a argué M. Drainville.

«Il se cache derrière le crucifix parce que sa position sur la charte est indéfendable. M. Couillard refuse d’interdire le tchador, il refuse d’interdire la burqa, il refuse d’interdire le niqab», a-t-il fait valoir.

Aux yeux du ministre des Institutions démocratiques, la position de M. Couillard sur les signes religieux est encore moins contraignante que ce que prévoyait le défunt projet de loi 94, laissé sur les tablettes sous le gouvernement de Jean Charest.

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Les excuses du ministre Julian Fantino sont rejetées par les vétérans

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OTTAWA – Alors que les appels à sa démission se multiplient, le ministre des Anciens combattants Julian Fantino n’a eu d’autre choix que de présenter ses excuses et se dire prêt à tendre la main aux vétérans froissés.

Mais cela n’a pas satisfait pour autant les anciens soldats qui en ont gros sur le coeur et refusent ses excuses.

«Les excuses ne veulent absolument rien dire. Le gouvernement, il va falloir qu’il change son attitude», a rétorqué Daniel Drapeau, un ancien militaire de Valcartier.

La veille, le ministre a fait patienter longtemps un groupe de vétérans venus des quatre coins du pays pour lui demander de maintenir ouverts des centres de services régionaux pour les anciens combattants. Devant la fin de non-recevoir du ministre, le ton de la rencontre a vite monté et M. Fantino a quitté précipitamment, laissant les anciens soldats dépités, très émotifs. Au moins un d’entre eux était en larmes.

Les vétérans ont alors demandé la démission de M. Fantino et ont appelé la population à voter contre les conservateurs aux prochaines élections, s’ils ne revenaient pas sur leur décision de fermer ces centres de service.

Devant la colère des ex-soldats et les appels à sa démission relayés par les partis d’opposition, M. Fantino s’est excusé mercredi dans un bref communiqué de presse.

«Hier, en raison de la prolongation d’une réunion du Cabinet, j’ai rencontré avec beaucoup de retard un groupe de vétérans qui étaient venus à Ottawa pour discuter de leurs préoccupations. Je tiens à leur présenter mes sincères excuses pour la manière dont cette situation a été traitée», a écrit M. Fantino.

Ces excuses n’ont pas ébranlé les anciens militaires qu’il avait fait patienter la veille.

«Ce que le ministre a fait hier était scandaleux. La seule chose que nous voulons est un engagement de garder ouvert les huit bureaux et de rouvrir celui de Prince George. Les vétérans ont mérité ce respect», ont écrit quelques vétérans présents la veille sur la colline parlementaire dans un communiqué conjoint.

Néo-démocrates et libéraux ont demandé le congédiement pur et simple du ministre. Le chef néo-démocrate Thomas Mulcair a rappelé que huit suicides dans les Forces canadiennes avaient été dénombrés en seulement deux mois et que le moment était bien mal choisi pour procéder à de telles coupes de service.

«M. Fantino démontre incompréhension, manque de coeur, manque de respect. Il méprise les gens qui viennent le voir pour avoir de l’aide, et il doit immédiatement être démis de ses fonctions. Si Stephen Harper croit un millième de ce qu’il doit croire à propos du courage de nos anciens combattants, il doit démettre Fantino de ses fonctions immédiatement et s’excuser auprès de nos anciens combattants», a-t-il noté.

Le chef libéral Justin Trudeau a lui aussi formellement demandé le départ de M. Fantino au premier ministre durant la période de questions. «Ceux qui ont servi leur pays et se sont mis en danger pour nous méritent notre respect, et ils méritent notre politesse», a-t-il insisté.

M. Harper a répliqué que son parti avait en réalité augmenté les services aux vétérans.

Manipulés

Au moment où le tollé ne s’apaisait pas à l’égard de M. Fantino, le conservateur Laurie Hawn a jeté de l’huile sur le feu en soutenant que les vétérans qui réclament la tête du ministre des Anciens combattants Julian Fantino étaient «manipulés» par les syndicats.

M. Hawn, le député qui avait remplacé la veille M. Fantino lors de la rencontre — avant que le ministre se présente finalement devant le groupe d’ex-soldats pour quelques minutes — a défendu sans réserve le ministre.

«Ayons une conversation rationnelle et calme, sans que les syndicats manipulent les choses pour leurs propres raisons», a tranché M. Hawn.

Le député conservateur albertain accuse l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC) de manipuler les vétérans, des personnes «vulnérables», selon lui. À ses yeux, le public prendra le côté des vétérans plutôt que celui du gouvernement, peu importe comment ce dernier agit.

«Peu importe ce qu’on dit, le public — franchement à cause de vous (les médias), et les autres, et l’AFPC — vont croire sur parole les vétérans, peu importe ce qu’on dit», s’est-il plaint.

Les vétérans ont répliqué que leur campagne pour le maintien des bureaux avait été mise sur pied de leur propre initiative.

L’AFPC, le syndicats représentant les employés de ces centres de service, a toutefois été aux premières lignes dès le début pour s’opposer à la fermeture des bureaux de Kelowna en Colombie-Britannique, Saskatoon en Saskatchewan, Brandon au Manitoba, Thunder Bay en Ontario, Windsor en Ontario, Sydney en Nouvelle Écosse, Charlottetown à l’Île-du-Prince-Édouard et Corner Brook à Terre-Neuve. Un neuvième bureau, celui de Prince George en Colombie-Britannique, a déjà mis la clé sous la porte.

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Égypte 20 journalistes dont un Canado-Égyptien sont accusés de terrorisme

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TORONTO – Les proches d’un journaliste canado-égyptien emprisonné depuis un mois au Caire, en Égypte, ont réclamé l’aide d’Ottawa, mercredi, après avoir appris que Mohammed Fahmy était maintenant accusé de liens avec une organisation terroriste.

M. Fahmy, chef de bureau d’Al-Jazira au Caire, figure parmi les 20 journalistes qui ont été accusés de plusieurs infractions, mercredi, dans ce qui pourrait être le tout premier procès intenté en Égypte contre des reporters relativement à des accusations de terrorisme.

Il est accusé de s’être servi d’équipement illégal, d’avoir diffusé des nouvelles erronées mettant en danger la sécurité nationale, et d’être un membre des Frères musulmans, un groupe dépeint par le gouvernement égyptien d’organisation terroriste, a expliqué sa famille.

«C’est vraiment devenu une situation désespérée, a lancé son frère, Sherif Fahmy. «Nous sommes de fiers citoyens canadiens. Nous sommes devenus Canadiens parce que nous croyons que le Canada est le pays le plus respectable et il défend toujours ses citoyens. Nous avons besoin du gouvernement canadien pour sauver mon frère», a-t-il affirmé.

M. Fahmy et deux de ses collègues, l’Australien Peter Greste et l’Égyptien Baher Mohamed, ont été arrêtés le 29 décembre dans une chambre d’hôtel où ils avaient installé leurs quartiers après que les autorités égyptiennes eurent fouillé les locaux d’Al-Jazira.

Ces arrestations font suite à la violente répression des autorités contre les Frères musulmans, alors que le gouvernement égyptien a accusé Al-Jazira de complaisance envers le président islamiste déchu, Mohammed Morsi, et sa formation politique. L’ancien président a été chassé du pouvoir en juillet dernier lors d’un coup d’État orchestré par l’armée.

La direction du réseau, qui ne compte plus aucun journaliste sur le terrain en Égypte, se défend contre ces accusations et exige la libération de ses reporters, dont l’arrestation a déclenché un tollé au sein des groupes de défense des droits de la personne et des organisations journalistiques.

La Maison-Blanche a elle aussi dénoncé ces arrestations. La porte-parole du département d’État, Jen Psaki, a déclaré mercredi que Washington demeurait «profondément troublé par le manque de liberté d’expression et de liberté de presse» en Égypte. Les États-Unis ont déjà suspendu une partie du milliard de dollars versés en aide financière au Caire.

Mercredi, le procureur en chef de l’Égypte a déféré à la justice 20 journalistes du réseau télévisé Al-Jazira, parmi lesquels figurent quatre étrangers, dont M. Fahmy.

Ils sont accusés d’avoir «trafiqué des photos» pour créer «des images irréelles donnant l’impression au monde extérieur qu’une guerre civile menaçait de détruire l’État», et diffusé des images pour aider «le groupe terroriste à parvenir à ses fins».

Selon les proches de M. Fahmy, les éléments de preuves qu’eux et le réseau Al-Jazira ont déposé pour réfuter ces allégations ne semblent pas avoir été pris en compte.

«Mon frère est tout le contraire de ces idéologies et n’a rien avoir avec de tels groupes», a affirmé Sherif Fahmy.

Les parents du journaliste, qui ont quitté Montréal pour le Caire il y a deux semaines, ont informé les autorités canadiennes des plus récents développements dans le dossier mais ont dit être conscients que les agents consulaires ne pourraient pas en faire plus.

La famille Fahmy s’est établie au Canada en 1991. Mohammed Fahmy a vécu à Montréal et Vancouver pendant plusieurs années avant de partir à l’étranger pour CNN et le New York Times, entre autres.

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Complot terroriste présumé l’accusé montréalais fulmine contre le mariage gai

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TORONTO – Le Montréalais accusé d’avoir planifié un attentat terroriste contre un train de passagers a fait d’une comparution à Toronto qui devait être rapide et sans histoire, mercredi, une charge contre la fouille à nu et le mariage gai.

Chiheb Esseghaier, l’un des deux Canadiens accusés relativement au présumé complot visant un train de Via Rail, a apostrophé le juge John McMahon, de la Cour supérieure, pour l’avoir interrompu.

Esseghaier et son coaccusé, le Torontois Raed Jaser, tous deux dans la trentaine, étaient en cour, mercredi, pour une comparution — qui se voulait brève — visant à fixer une nouvelle date pour la suite des procédures.

Cette date a éventuellement été fixée au 21 février, devant un autre juge — mais pas avant que le Montréalais, qui n’a pas d’avocat, se plaigne bruyamment d’avoir été fouillé à nu mercredi, et y aille de plusieurs commentaires contre le mariage gai.

Esseghaier s’est plaint d’avoir été contraint de montrer ses parties génitales aux agents de sécurité au palais de justice avant sa comparution, déplorant qu’une division du système judiciaire — le tribunal — n’a pas confiance en l’autre — la prison —, ce qui démontre selon lui la faiblesse du système.

«Où est-ce que je me serais procuré une arme? Où est-ce que je me serais procuré de la drogue? J’ai été dans ma cellule durant les neuf derniers mois», a-t-il lancé.

Le juge a patiemment expliqué que de tels cas s’étaient avérés, mais l’accusé n’a pas tardé à confronter le magistrat.

Chiheb Esseghaier a souvent profité de ses comparutions pour contester le Code criminel, en affirmant qu’il refuse d’y être soumis puisqu’il a été rédigé par des humains, et non par Dieu, et qu’il est par conséquent imparfait.

Mercredi, il se trouvait pour la première fois devant le juge McMahon. Le juge a laissé Esseghaier jeter son fiel pendant quelques minutes avant de lui suggérer à plusieurs reprises qu’il serait dans son meilleur intérêt de recourir aux services d’un avocat.

«Vous m’avez interrompu et je veux être en mesure de terminer», a simplement dit le Montréalais. «Le Code criminel, comme je l’ai dit, est rédigé par des humains (et par le fait même) nous tournons le dos aux lois divines pour suivre les lois des humains», a-t-il poursuivi.

Chiheb Esseghaier a gesticulé à l’endroit des agents de sécurité, des avocats et de l’assistance, et s’est lancé dans un discours contre le mariage gai. Il a semblé dire que puisque le Code criminel n’interdit pas le mariage gai, il va à l’encontre des lois de Dieu et est, à ses yeux, non valide.

M. McMahon a tenté d’intervenir, et lorsque l’accusé l’a de nouveau apostrophé, il lui a dit que ses opinions sur le Code criminel n’étaient pas pertinentes pour les procédures en cours.

Raed Jaser, Torontois qui est représenté par l’avocat John Norris, et qui s’était vu refuser une libération sous caution en novembre, n’a rien dit durant l’audience de mercredi. Le résidant permanent de descendance palestinienne fait face à quatre accusations, notamment d’avoir comploté afin de commettre le meurtre de personnes inconnues au profit d’un groupe terroriste.

Chiheb Esseghaier, natif de la Tunisie, qui poursuivait au Québec des études de doctorat sur les nanocapteurs, fait face à cinq chefs d’accusation, notamment d’avoir sciemment participé à une activité d’un groupe terroriste ou y avoir contribué.

Les deux hommes avaient été arrêtés en avril dans leur ville respective.

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Ontario un 3e cas de virus porcin a été confirmé sur une ferme

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Un troisième cas de diarrhée épidémique porcine (DEP) a été confirmé sur une ferme de l’Ontario, ont indiqué mercredi les autorités de la province.

Les tests effectués sur les animaux malades de cette ferme ont confirmé la présence du virus de la DEP, a expliqué une porte-parole du ministère ontarien de l’Agriculture.

Susan Murray a ajouté que la nouvelle était certes «malheureuse mais prévisible» compte tenu des liens existant entre cette exploitation porcine et une autre déjà infectée par la DEP.

Le premier cas de DEP avait été signalé au pays la semaine dernière dans le sud-ouest de l’Ontario. Selon des responsables, des centaines de porcelets infectés par le virus y sont morts.

Le virus a déjà fait des ravages dans les élevages porcins aux États-Unis, et les producteurs canadiens ont exprimé leurs craintes quant à un scénario catastrophe semblable pour le Canada. Au Québec, où l’industrie du porc est très importante, les producteurs sont sur un pied d’alerte suite à la découverte, il y a une semaine, du virus — mais mort — sur un quai de débarquement à l’abattoir Olymel de Saint-Esprit, dans Lanaudière.

La première ministre de l’Ontario, Kathleen Wynne, qui est aussi ministre de l’Agriculture, doit discuter jeudi avec ses homologues fédéral et provinciaux d’une éventuelle stratégie nationale pour limiter les ravages du virus.

L’association des éleveurs de porcs de l’Ontario a prévenu que le virus pourrait entraîner en un an seulement des pertes de dizaines de millions de dollars à l’industrie canadienne s’il se propageait aux autres provinces.

Les autorités rappellent toutefois que le virus ne présente aucun danger pour l’humain ni pour la salubrité alimentaire.

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Géopolitique des Jeux olympiques les enjeux de Sotchi

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Photo : Richard Heathcote / Getty Images

Photo : Richard Heathcote / Getty Images

À l’heure où s’ouvrent les Jeux olympiques d’hiver de Sotchi — que Vladimir Poutine décrit comme «le plus grand événement de l’histoire post-soviétique» —, le rôle géopolitique des grands événements sportifs se trouve réaffirmé, dans un monde où les enjeux ne sont peut-être plus aussi idéologiques qu’au temps de la guerre froide… mais où chaque occasion de bien paraître sur la scène internationale prend une importance accrue.

Dans ce «grand jeu» olympique, et alors que les pays spéculent déjà sur leur nombre de médailles comme on tablerait sur des trophées de chasse, il y a lieu de se demander ce qui reste de l’idéal prôné par le baron Pierre de Coubertin et de la véritable universalité de cette grande fête du sport censée rapprocher les nations.

Le «miracle sur glace» : les JO de Lake Placid en pleine guerre froide

Le 22 février 1980, à Lake Placid, dans l’État de New York, le tournoi de hockey olympique entre dans sa phase décisive.

Le vainqueur du match entre les États-Unis et l’Union soviétique aura de fortes chances de gagner l’or et, même à domicile, les Américains n’ont sur papier aucune chance face à la surpuissante équipe soviétique.

Mais les hommes de Herb Brooks — bien qu’étrillés 13 jours plus tôt par ces mêmes Soviétiques, avec un score de 10-3 au Madison Square Garden de New York — ont passé des mois à se préparer pour ce moment. Et la situation politique mondiale est explosive : l’ambassade américaine de Téhéran a été envahie le 4 novembre 1979, et les Soviétiques sont entrés en Afghanistan ce même mois. Les Américains se préparent alors à boycotter les Jeux d’été de Moscou en guise de représailles, après avoir craint que les pays du Bloc de l’Est en fassent de même à Lake Placid. Par ailleurs, quelques mois plus tard — en novembre 1980, plus précisément —, les États-Unis éliront celui qui, avec Margaret Thatcher et Jean-Paul II, symbolisera la lutte contre «L’Empire du Mal» : un ex-acteur californien du nom de Ronald Reagan.

Le contexte mondial est donc à la guerre froide. Dave Silk, l’un des membres de cette équipe, dira plus tard de ce match :

«Pour nous, c’était (juste) un match de hockey. Pour le reste du monde, c’était un enjeu politique» (To us, it was a hockey game ; to the rest of the world it was a political statement).

Symbole ultime de l’enjeu, Silk se souvient, parmi tous les télégrammes épinglés par le coach Brooks sur le mur des vestiaires, de celui d’une femme du Texas leur demandant d’«aller chercher et tuer tous ces bâtards de cocos» (Go out and kill those Commie Bastards).

Surmotivés, les joueurs américains réussiront ce qui est depuis lors appelé «le miracle sur glace», que le magazine Sports Illustrated a qualifié en 1999 de «plus grand événement sportif du XXe siècle». En 2004, les films Walt Disney en feront un film, Miracle, dans lequel Kurt Russell joue le rôle d’Herb Brooks.

La défaite soviétique a donc consacré la réapparition des États-Unis dans le match géopolitique : leur victoire aux Jeux olympiques constitue la révélation publique du retour des États-Unis sur la scène internationale — un retour amorcé, dans les faits, sous Carter. Dans ses mémoires qui viennent d’être publiées, l’ancien ministre à la Défense de Barack Obama, Robert Gate, souligne d’ailleurs l’importance du virage amorcé par la Maison-Blanche à compter du printemps 1980.

Ainsi, au-delà du sport, c’est la signification politique de cette rencontre qui a marqué les esprits. Une victoire sportive en pleine guerre froide (face à l’ennemi déclaré), inattendue, dans l’un des sports où ce dernier est considéré comme la référence : tous les ingrédients étaient réunis pour en faire un moment unique. Et surtout, il s’agissait des Jeux olympiques, vitrine universelle du sport.

Un rôle géopolitique traditionnel

Parmi les grands événements sportifs, les Jeux olympiques occupent un rôle qui s’avère de plus en plus important lorsqu’on le compare à celui d’autres grand-messes sportives, car il dépasse souvent le cadre du sport, dans un monde où les enjeux ne sont plus idéologiques comme au temps de la guerre froide — mais où chaque occasion de bien paraître sur la scène internationale compte.

À titre comparatif, les Jeux olympiques permettent une forme de «partage» de la gloire, ce qui n’est pas le cas d’une Coupe du monde de soccer au prestige universel, mais qui ne consacre qu’une équipe — et donc un seul pays. Le classement final n’est pas le seul enjeu, et plusieurs champions olympiques peuvent ainsi être honorés en plus de voir leur gloire rejaillir sur leurs pays respectifs.

Conséquemment, réussir ses Jeux — tant au plan de l’organisation que de la participation (et donc des victoires) — a un rôle géopolitique déterminant, que les pays voient désormais comme la consécration d’une autre forme de puissance. À cet égard, la Chine ne s’est pas trompée en théorisant, en 2008, les JO en terme de puissance souple — ce fameux «soft power» cher à Joseph Nye.

Mais il serait faux de penser que cette dimension politique est le seul fait des Jeux de l’ère moderne et que les Olympiques, dans leur version originale, en étaient dénués. Au contraire, ces derniers offraient aux cités grecques en compétition l’occasion de tirer parti de la gloire de leurs champions, même si les épreuves étaient individuelles et qu’il n’y avait pas d’équipes représentant les cités.

Durant les 1 000 ans qu’ont duré ces Jeux, c’est d’ailleurs Sparte (et son système si particulier) qui s’est taillée la part du lion en termes de nombre de victoires olympiques. Autre preuve de la dimension politique des Jeux : la trêve olympique de mise durant leur période — établie durant la Grèce antique par traité afin de permettre aux concurrents, aux artistes et à leurs familles de se rendre sur place, ainsi que les pèlerins — était le plus souvent respectée… sauf par Sparte, ironiquement. Et pour les athlètes antiques, seule la victoire comptait…

La propagande des JO

En effet, en dépit des principes de l’olympisme affichés par le Comité international olympique (CIO), on a souvent été très loin de l’esprit olympique «qui exige la compréhension mutuelle, l’esprit d’amitié, la solidarité et le fair-play».

Bien au contraire, les Jeux de l’ère moderne ont vite été récupérés par la propagande. À ce titre, les régimes totalitaires, comme l’Allemagne hitlérienne et l’URSS, représentent des exemples patents de la manière dont un gouvernement pouvait rechercher la victoire olympique et l’utiliser pour promouvoir son système politique.

Toutefois, cette tentation de la récupération n’a pas été l’apanage des seules dictatures de ce monde. Même pour des démocraties, les succès sur la scène olympique ont été (et sont encore) une manière de réaffirmer leur place mondiale.

Pour de jeunes nations ou des nations en devenir, un titre — voire une médaille — olympique, c’est une affirmation politique et identitaire sur la scène internationale. Par exemple, en 2012, durant les Jeux de Londres, les sportifs écossais ont participé à 14 des 28 médailles britanniques de Londres, dont 7 des 11 médailles d’or — un fait qui n’est pas passé inaperçu du côté des indépendantistes écossais.

De même, l’importance politique des Jeux olympiques modernes s’est aussi fait sentir dans la manière dont ils ont été instrumentalisés à travers différents boycotts ou menaces de boycotts.

Lors des Jeux de Moscou et de Los Angeles, justement, il s’agissait de fissurer cette vitrine mondiale — enjeu et orgueil du pays hôte — et de faire passer des messages politiques en amoindrissant l’impact de l’événement par l’absence d’un nombre aussi grand que possible des participants.

Le cas de Montréal était particulier, puisque le boycott (de la part de nombreux pays africains) ne visait pas directement le Canada, mais la Nouvelle-Zélande, dont l’équipe de rugby avait participé à une tournée en Afrique du Sud, alors mise au ban du CIO pour cause d’apartheid.

C’est la raison pour laquelle les JO deviennent un enjeu politique dès leur attribution — avant même que l’on ne parle de leur organisation stricto sensu — par le CIO.

Le règne de Juan Antonio Samaranch a collectionné une succession de décisions contestables, comme ce fut le cas à Barcelone, en 1992 (fief de Samaranch lui-même), et à Atlanta, en 1996, ville de la multinationale Coca-Cola.

Ces décisions discutables ont culminé avec le scandale de l’attribution des Jeux d’hiver de 2002 à Salt Lake City, aux États-Unis, à la suite d’une campagne de corruption et de pots de vins sans précédent dans l’histoire olympique. Parmi les villes qui furent lésées par ces manœuvres : Québec… et Sotchi, déjà.

Même si un grand ménage s’en est suivi (du moins, officiellement) du côté des pratiques du CIO, les désignations de Pékin, en 2008, et de Londres, en 2012, furent liées à des tractations et à un marchandage politiques au plus haut niveau des États concernés, une voie que Vladimir Poutine ne s’est pas gêné d’emprunter en 2007, date à laquelle les Jeux de 2014 furent attribués à Sotchi.

Poutine olympique

Vladimir Poutine peut donc se réjouir : quels qu’aient été les critères d’attribution, la Russie bénéficiera, pour un temps, d’une capacité de résonance qu’offrent tout particulièrement les JO — obligeant le reste du monde à détourner les yeux de certains éléments, comme les politiques homophobes du régime en place. Le temps, au moins, de la trêve olympique, tout en effaçant le souvenir mitigé qu’ont laissé les Jeux de Moscou en 1980…

Si la Russie consacre ainsi son retour sur la scène internationale, il reste qu’en terme de rayonnement, les Jeux d’hiver ont moins de répercussions que ceux d’été.

Plus récents — les premiers Jeux d’hiver sont apparus au début du XXe siècle, en 1924 —, ils ne concernent réellement que les pays qui ont des conditions climatiques adéquates, ce qui explique le faible nombre d’entre eux à les avoir organisés et à y avoir pris part (12 pays, dont le Canada, bien entendu).

Ces Jeux ne se sont, au demeurant, jamais tenus dans l’hémisphère Sud, et il a fallu attendre 1992 pour voir une athlète originaire de ce coin du monde gagner une médaille — tandis qu’on a fait un film mythique inspiré de l’aventure jamaïcaine en bobsleigh aux Jeux d’hiver de 1988, à Calgary.

Nécessitant souvent des équipements particuliers (et parfois coûteux), les Jeux d’hiver s’avèrent donc moins universels, malgré une croissance constante du nombre d’athlètes et de pays participants. On note d’ailleurs une progression fulgurante de l’Asie en ce qui a trait au nombre de médailles remportées, à travers les succès des Coréens, des Japonais et des Chinois.

Le cas Sotchi

Premiers Jeux organisés en Russie depuis Moscou, en 1980, Sotchi 2014 suscite bien des attentes au Kremlin.

Le choix d’une station balnéaire de la mer Noire, au climat peu hivernal, a soulevé bien des questions, et les coûts pharaoniques de l’organisation n’ont rien fait pour apaiser les observateurs extérieurs. Des voix se sont aussi élevées pour appeler au boycott de ces Jeux à la lumière des positions affichées par la Russie contre l’homosexualité.

Ironiquement, la réponse de Poutine à ces menaces a été de préciser que les événements sportifs internationaux avaient pour but de dépolitiser les questions internationales et de bâtir des ponts entre les pays. Étonnante déclaration de la part de quelqu’un qui a fait de ces Jeux un enjeu national majeur.

Quant à la question de la sécurité — omniprésente dans la ville et ses alentours —, Vladimir Poutine ne semble pas la craindre, du point de vue politique du moins. En effet, si aucun incident n’a lieu, cela renforcera sa position et ses choix sécuritaires, et si quoi que ce soit devait survenir, le leader du Kremlin instrumentaliserait l’événement pour accroître la sécuritisation du régime.

Alors que la flamme olympique, qui a accompli une odyssée sans précédent pour parvenir sur les bords de la mer Noire, est sur le point de s’allumer, les yeux d’une grande partie du monde se tournent donc vers la Russie. Il est clair que pour Vladimir Poutine, mais aussi pour la Russie post-soviétique, il s’agit d’un enjeu géopolitique majeur : il dispose là d’une occasion unique de transformer l’essai (son appartenance au groupe des BRICs, de même que son rôle dans la géopolitique moyen-orientale et celle est-européenne) pour réaffirmer sa position sur la scène internationale.

Yann Roche

Associé à l’Observatoire de géopolitique de la Chaire @RDandurand

Professeur, Département de géographie, @UQAM

 

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Blog de chrisdjo34 - Lac Atitlan

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Les contribuables montréalais encaissent une hausse de taxes de 2 8 pour cent

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MONTRÉAL – L’administration Coderre n’a tenu parole qu’à moitié quant aux hausses de taxes imposées aux propriétaires fonciers de Montréal.

Le maire Denis Coderre, qui avait promis de ne pas augmenter les taxes de plus de 2 pour cent, a présenté mercredi son premier budget qui prévoit une hausse de taxes moyenne de 1,9 pour cent.

Cependant, il ne s’agit là que de la hausse imposée par la ville-centre; lorsqu’on y ajoute les augmentations prévues par les arrondissements, l’augmentation moyenne est plutôt de 2,8 pour cent, ce qui représente un peu moins de 100 $ de plus annuellement.

Denis Coderre a cherché à prendre ses distances par rapport aux ajouts des arrondissements.

«Ce sont les arrondissements qui prennent eux-mêmes leurs décisions. Nous, on s’en est tenu à 1,9 pour cent, donc on a rempli notre promesse», a déclaré M. Coderre.

Le maire a aussi pointé du doigt le nouveau rôle d’évaluation municipale confectionné en 2013 et le fait que les arrondissements n’étaient pas tous soumis aux mêmes contraintes, d’où leurs décisions variables.

«Comme je suis respectueux des juridictions dans chaque arrondissement par rapport à leur propre champ de taxation, ils ont pris leurs décisions», a souligné le maire tout en invitant la population et la presse à poser les questions qui s’imposent aux maires d’arrondissement.

Selon les arrondissements, les augmentations varient de 1,1 pour cent à 5,3 pour cent.

En présentant son budget d’un peu moins de 4,9 milliards $, le maire de Montréal a dit avoir trouvé le juste équilibre entre les besoins et les restrictions budgétaires.

«Si ce premier budget marque la volonté de renouveau et de relance de notre métropole, il tient aussi compte de nos contraintes financières et d’une marge de manoeuvre économique restreinte en raison, d’un côté, de notre engagement à ne pas augmenter les taxes au-delà de 2 pour cent et, de l’autre, des énormes besoins de notre ville», a soutenu le maire Coderre, qualifiant l’exercice de «budget responsable et pragmatique».

Des efforts en vue de se serrer la ceinture ont permis d’en arriver à une augmentation des dépenses de 1,3 pour cent, soit bien en-deçà de la moyenne de 4,6 pour cent des quatre années précédentes.

Cet effort comprend une réduction de la masse salariale de 5 pour cent, qui se traduira par l’élimination à terme de 250 postes.

Le président du comité exécutif, Pierre Desrochers, a toutefois précisé qu’il n’était pas question d’effectuer des mises à pied.

«Ça devra se faire en respect des conventions collectives, en respect de toutes les règles requises et probablement par attrition», a-t-il précisé.

La plupart des services verront leur budget diminuer en 2014 par rapport à 2013 à l’exception de la sécurité publique et des loisirs et de la culture. Les contributions à la Société de transport de Montréal et à l’Agence métropolitaine de transport sont également à la hausse.

Par ailleurs, la création du porte d’Inspecteur général implique une nouvelle dépense de 5 millions $.

Parmi les faits saillants du budget 2014, on note au chapitre des infrastructures l’allocation de 373 millions $ pour la gestion de l’eau et de 130 millions $ pour la voirie municipale.

Le budget prévoit également des investissements de 280 millions $ liés au 375e anniversaire de fondation de Montréal entre 2014 et 2017.

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Bas-Saint-Laurent accident sur l’A-20 un homme de 60 ans est mort

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MONT-JOLI, Qc – Un homme est décédé et deux autres personnes ont été blessées à la suite d’une collision impliquant deux véhicules, mercredi matin, dans le Bas-Saint-Laurent.

Le conducteur de 60 ans, originaire de Rimouski, a perdu la maîtrise de son véhicule et a percuté une autre voiture qui voyageait en sens inverse et dans laquelle se trouvaient trois occupants.

L’accident s’est produit sur l’autoroute 20, à Mont-Joli, près du kilomètre 635.

Les véhicules sont entrés en collision de façon latérale et le tronçon de l’autoroute a été fermé le temps de reconstituer la scène de l’accident.

Selon la Sûreté du Québec, la vitesse n’est pas en cause dans cet accident.

Note to readers: la SQ corrige l’âge de la victime

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La dépendance envers la caféine commence à inquiéter les chercheurs

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MONTRÉAL – La dépendance envers la caféine est un problème de plus en plus important dont on soupçonne à peine l’ampleur, prévient une chercheure américaine.

Une étude récemment réalisée par la psychologue Laura Juliano, de l’American University de Washington, démontre que de nombreux amateurs de caféine présentent des symptômes de sevrage s’ils doivent s’en passer et que d’autres sont incapables de réduire leur consommation même si certaines conditions médicales — comme la grossesse, un problème cardiaque ou un trouble de saignement — l’exigent.

Ces symptômes sont dorénavant regroupés sous le nom de «Caffeine Use Disorder» (ou trouble lié à l’usage de la caféine) au sein de la bible des professionnels de la santé mentale, la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

Même si la caféine est la substance la plus utilisée du monde, et même si on la retrouve dans une multitude de produits allant du café au chocolat en passant par tous ces produits qui portent la mention «énergie», Mme Juliano déplore que les professionnels de la santé soient aussi hésitants à reconnaître l’existence de la dépendance à la caféine et à admettre que certains patients ont besoin d’aide.

Si plusieurs amateurs de caféine en consomment sans problème, a-t-elle dit, la substance entraîne des effets négatifs chez d’autres, créant une dépendance physique et interférant avec la vie quotidienne. Plus de 50 pour cent des consommateurs réguliers de caféine disent éprouver des problèmes à réduire ou à cesser leur consommation.

Mme Juliano estime que les adultes en santé ne devraient pas consommer plus de 400 mg de caféine par jour (l’équivalent de deux ou trois petites tasses), contre seulement 200 mg par jour pour les femmes enceintes. Ceux qui souffrent de problèmes de santé comme l’insomnie, l’anxiété, l’hypertension artérielle ou l’incontinence urinaire, et/ou de troubles cardiaques, devraient aussi freiner leur consommation. Elle admet toutefois qu’il peut être compliqué de quantifier sa consommation quotidienne de caféine, puisque la teneur en caféine d’un produit peut être difficile à obtenir.

Elle indique enfin que son étude démontre que ceux qui peinent à réduire leur consommation de caféine souhaiteraient profiter d’une aide similaire à celle offerte aux fumeurs qui veulent renoncer au tabac.

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Centres d’hébergement privés pour aînés Hébert assouplit les règles la nuit

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QUÉBEC – Aucune formation professionnelle ne sera bientôt exigée au personnel présent la nuit dans les petits centres d’hébergement privés pour personnes âgées autonomes.

En fait, la personne chargée d’assurer la sécurité des résidants durant la nuit n’aura même plus à être membre du personnel. Il pourra s’agir d’un résidant de l’établissement, voire d’un bénévole. Aucun diplôme particulier ne sera exigé.

C’est ce qu’a confirmé le ministre de la Santé, Réjean Hébert, mercredi, en point de presse, tout en se défendant de vouloir ainsi revoir à la baisse les règles de sécurité imposées aux centres d’hébergement privés pour personnes âgées autonomes comptant moins de 50 chambres.

La personne présente la nuit devra cependant savoir quoi faire en cas d’incendie et pouvoir effectuer les manoeuvres de réanimation, en cas de besoin.

Le ministre Hébert a déposé en décembre un projet de règlement visant à éliminer toute exigence professionnelle pour la surveillance de nuit dans cette catégorie d’établissements, projet qui fait présentement l’objet d’une consultation.

Il a expliqué qu’il s’était rangé aux demandes formulées par des coopératives d’habitation, des organismes à but non lucratif et des municipalités, particulièrement en régions et en milieu rural, qui souhaitaient un tel accommodement.

Cette demande a été jugée «raisonnable», a affirmé le ministre, convaincu que la situation actuelle comportait un «effet pervers» sur le plan financier pour les personnes vivant en centre d’hébergement.

«Le règlement tel qu’il était les obligeait à engager une personne la nuit, ce qui faisait en sorte de hausser de façon importante le coût du loyer et mettait en péril, même, la certification» accordée à l’établissement, a-t-il fait valoir.

Le ministre Hébert a fait par ailleurs son mea culpa, pour dire qu’il n’était pas question d’étendre ce changement à l’ensemble des centres d’hébergement privés pour aînés, dont ceux abritant des personnes semi-autonomes. Il a expliqué qu’un paragraphe qui devait figurer dans le projet de règlement avait mystérieusement sauté, ce qui laissait place à cette interprétation. Le paragraphe en question rappelait les exigences imposées au personnel en termes de formation et de diplomation.

Ce n’était pas son intention de modifier la réglementation pour ce type d’établissements, a-t-il assuré, et la formulation sera modifiée.

«C’est mon erreur. Je n’ai pas vu les conséquences de ce libellé-là», a-t-il admis.

«J’aurais dû voir ça, je ne l’ai pas vu», a poursuivi le ministre, penaud, en disant qu’il n’était pas question d’alléger les mesures de sécurité destinées aux centres d’hébergement privés de plus de 50 chambres. Les préposés aux bénéficiaires devront donc continuer à acquérir la formation et les diplômes requis.

L’opposition libérale n’a pas apprécié les explications du ministre. Avant d’entrer à la séance du caucus libéral mercredi matin à Saint-Félicien, la députée Marguerite Blais a été catégorique: quand on dépose un décret au conseil des ministres, on est censé savoir ce qu’on dépose.

Mme Blais s’est élevée contre ces allégements en posant une question: comment les gens perçoivent aujourd’hui l’idée qu’un résidant puisse surveiller les autres résidants la nuit?

De son côté, la porte-parole de la Coalition avenir Québec (CAQ), Sylvie Roy, a fait valoir que dans le milieu tous s’entendaient pour dire que les préposés devraient acquérir une meilleure formation, contrairement à la tangente prise par le gouvernement.

Le porte-parole de Québec solidaire, le député Amir Khadir, a demandé lui aussi au ministre Hébert de rehausser au lieu d’abaisser les normes de sécurité et les exigences de formation imposées aux préposés aux bénéficiaires, incluant les personnes chargées des gardes de nuit. La question de la sécurité des personnes aînées n’est pas négociable et est une responsabilité collective, a-t-il dit.

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Le ministre François Gendron est transporté en ambulance à la suite d’un malaise

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QUÉBEC – Le vice-premier ministre et ministre de l’Agriculture, François Gendron, passera la nuit à l’hôpital après avoir été victime d’un malaise mercredi en matinée.

Il subira une batterie de tests au cours de la journée de jeudi.

«Il n’y a rien d’inquiétant», a assuré son attaché de presse, Maxime Couture, à La Presse Canadienne.

M. Gendron a éprouvé un malaise pendant la séance hebdomadaire du conseil des ministres à Québec. Il a été conduit en ambulance dans un centre hospitalier à la demande de son collègue ministre de la Santé et médecin, Réjean Hébert. Il était conscient et en position assise sur la civière lorsque les ambulanciers l’ont transporté vers le véhicule d’urgence.

Selon le ministre, M. Gendron souffrait d’essoufflement et de douleur au thorax. Comme il s’agit d’un deuxième incident de même nature pour le député d’Abitibi-Ouest, le docteur Hébert a jugé préférable d’appeler une ambulance par mesure préventive.

En point de presse, le ministre de la Santé a voulu se faire rassurant. M. Gendron ne présentait pas, du moins à prime abord, les symptômes d’une crise cardiaque.

«Je ne crois pas que ce soit une crise cardiaque mais je ne veux pas prendre de chance, il faut éliminer une hypothèse comme celle-là. Vous me demandez mon opinion, je ne pense pas que ce soit ça, mais il ne faut pas prendre de chance», a affirmé le ministre.

M. Gendron a subi récemment une chirurgie buccale mais M. Hébert ne pense pas que cette intervention soit à l’origine du malaise ressenti mercredi.

Âgé de 69 ans, le numéro deux du gouvernement Marois est le plus ancien député de l’Assemblée nationale. Il a été élu sans interruption depuis 1976.

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Voyage en Savoie

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lac du bourget en savoie

La Savoie est un département situé dans la région Rhône-Alpes. Son territoire est composé d’une grande partie de montagnes, dont plusieurs massifs, comment celui des Bauges, de la Chartreuse, de la Vanoise ou encore du Beaufortain. Un petit voyage en Savoie vous permettra de découvrir son patrimoine historique, culturel et naturel important à travers de magnifiques balades dans la nature. C’est également une occasion de découvrir ses spécialités gastronomiques, notamment les fromages et les vins de Savoie.

Histoire du département de Savoie

Les traces les plus anciennes en Savoie remontent à la préhistoire, avec des traces d’outils humains et d’ossements d’animaux dans des grottes. Au Néolithique, c’est à dire entre 5000 et 2500 avant JC, les premiers villages lacustres virent le jour. Au delà des traces dans les abris et grottes, des empreintes ont été retrouvées dans les alpages au dessus de 2000 mètres d’altitude !

La Savoie fut contrôlée par les Romains dans un objectif stratégique, notamment en ce qui concerne le contrôle des cols pour passer entre la Gaule et la péninsule. Puis, vers 434, le territoire fut envahi par les Brugondes. Ce n’est qu’au Xème siècle que la Maison de Savoie put se faire une place et contrôler petit à petit la Savoie, à force d’alliances et de mariages politiques.

En 1416, la Savoie devint un duché de l’Empiré romain germanique et les souverains savoyards connaissent un moment de gloire en Europe grâce aux nombreuses alliances qu’ils avaient tissées. Par la suite, la Savoie fut occupée plusieurs fois par la France, mais aussi l’Espagne.

En 1792, les français révolutionnaires décrètent que la Savoie et six autres provinces allaient former un département appelé Mont-Blanc. Ensuite, même si le statut de la Savoie change, il reste sous la direction de la Maison de Savoie.

La Savoie se retrouve rattachée à la France en 1860 avec le traité de Turin après une demande par vote auprès de la population.

Le département fut très touché lors de la première guerre mondiale en termes de pertes bien que la guerre n’atteigne pas complètement le territoire. Lors de la seconde guerre mondiale, la Savoie sera occupé par l’Italie, puis par les Allemands. La résistance s’organise et le plateau des Glières deviendra un maquis, qui est à présent un lieu de souvenir et symbole de la résistance. Lors du retrait des troupes allemandes, de nombreux villages et infrastructures sont endommagés.

Aujourd’hui, le département fait face à l’arrivée d’un grand nombre de touristes attirés par la montagne. Afin de préserver le territoire, sa faune et sa flore, des mesures sont prises pour le respect de l’environnement et la sensibilisation du public sur cette question.

Sites incontournables de Savoie

Le château des Ducs de Savoie

Le château des Ducs de Savoie fut la résidence principale pendant des années, de la maison de Savoie. Il connu de nombreux incendies au cours du temps, si bien que de nombreuses parties ont été restaurées. Vous pourrez ainsi contempler des éléments datant de toutes les époques. Une visite dans ce château est également l’occasion pour vous d’aller admirer un des plus grands carillons au monde, dans la Sainte-Chapelle du château, qui possède plus de 70 cloches !

La Maison Penchée

La Maison Penchée séduira petits et grands par son étonnante inclinaison. Ancien bâtiment servant à la protection et à la surveillance d’un tunnel ferroviaire, il fut propulsé dans les airs suite à une violente explosion lors de la seconde guerre mondiale. L’édifice n’a pas été détruit, mais s’est retrouvé planté dans la terre de façon originale. Vous pouvez visiter gratuitement cette Maison Penchée, qui est devenue une attraction très connue en Europe. Attention au mal de mer !

Le Musée de l’Ours des Cavernes

C’est à Entremont-le-Vieux que vous aurez l’occasion de partir à la rencontre d’un animal préhistorique, dans le Musée de l’Ours des Cavernes. Vous serez inviter à faire un saut temporel pour vous retrouver dans un espace dont tout est fait pour reproduire l’habitat de l’ours des cavernes. Vous pourrez vous glisser dans la peau des scientifiques le temps de la visite,, et ainsi découvrir quelles ont été les démarches de la découverte et en apprendre plus sur cet ours grâce à des tablettes de manipulation. Un film 3D vous immergera encore plus dans cet univers sombre et étonnant.

Le Parc national de la Vanoise

N’hésitez pas à faire une promenade dans le Parc national de la Vanoise. C’est un lieu idéal pour la randonnée avec ses 500km de sentiers balisés qui vous emmèneront à la découverte de la faune et de la flore de la Vanoise. Il y aurait plus de 1200 espèces végétales différentes et 125 espèces d’oiseaux ! Vous aurez peut-être l’occasion d’admirer quelques bouquetins ou chamois. Différents types de randonnées sont proposées afin de satisfaire tous les visiteurs. C’est également un lieu idéal si vous êtes intéressés par la pratique de l’alpinisme, du ski de printemps ou encore des raquettes.

Villes touristiques de Savoie

Chambéry

Chambéry est la préfecture du département et la capitale historique de la Savoie depuis le 13ème siècle. Une balade dans la veille ville vous amènera à découvrir des vestiges du passé prestigieux de la ville, comme les anciens hôtels particuliers de la noblesse savoyarde. Des lieux de détente s’offriront à vous avec de nombreux espaces verts de la ville, dont certains sont agrémentés de belles statues pour le plaisir des yeux …

Aix-les-Bains

La ville thermale d’Aix-les-Bains vous accueille sur les bords du lac du Bourget, qui est le lac naturel le plus grand de France, pour participer à de nombreux sports nautiques. Que vous soyez promeneurs ou sportifs, vous adorerez le Mont Revard et le panorama qu’il offre sur toute la chaîne du Mont Blanc. Différents monuments de style roman ou gothique vous feront revivre le passé à travers une promenade historique.

Albertville

Albertville connue pour avoir été la ville organisatrice des jeux olympiques d’hiver de 1992, présente un patrimoine culturel et historique intéressant. Vous pourrez admirez des bâtiments récents, comme l’hôtel de ville, mais aussi visiter une partie de la ville qui est en réalité une ancienne cité médiévale du nom de Conflans. Cette dernière est magnifiquement conservée et peut être contemplée depuis la place de l’Europe qui représente le centre culturel d’Albertville. Les amoureux de la nature pourront explorer les alentours, qui sont de magnifiques espaces de promenade, propice à la détente et à la découverte de superbes paysages.


N’hésitez plus, que vous soyez amateurs de sports d’hiver, de randonnées ou simple promeneur, la Savoie vous offrira ses magnifiques paysages et son patrimoine riche et diversifié.

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Hébergements conseillés lors de votre visite

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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