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Sydney - Melbourne Mais ou est passée la canicule

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Sydney - Melbourne : Mais ou est passée la canicule ???
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Sydney - Melbourne Mais ou est passée la canicule Et cest quoi cette Bertha

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Bienvenue en pays d' Oz ou Aussie ou Australie !!! Patrie du surf, des campervans, des koalas et des kangourous !
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Cyberattaques le ministre Blaney dispose d’un message préparé à l’avance

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OTTAWA – Des fonctionnaires suggèrent au ministre de la Sécurité publique Steven Blaney de ne pas donner de détails précis au public dans le cas d’une cyberattaque contre le Canada.

Cependant, pour s’assurer que M. Blaney puisse malgré tout donner quelques informations à la presse et au public, ses employés ont conçu un script pour un incident du genre.

Des documents récemment divulgués proposent au ministre de déclarer que le Canada et d’autres pays sont sous la menace croissante de cyberattaques, un phénomène mondial.

Et s’il ne fournira pas de détails sur l’attaque, il assurera la population que le gouvernement possède des plans pour prévenir, minimiser et combattre les impacts des cybermenaces.

Le bureau du premier ministre Stephen Harper a été vivement critiqué au cours des dernières années pour avoir géré à l’extrême les agissements des ministres et des fonctionnaires travaillant pour ces derniers.

Cependant, les informations sur les cyberattaques — dont La Presse Canadienne a obtenu copie en vertu de la Loi sur l’accès à l’information — démontrent que les fonctionnaires ne regardent pas par-dessus les épaules ministérielles. Les déclarations préparées à l’avance ne demandent à M. Blaney qu’à remplir les cases blanches en indiquant le type d’incident et la ville où celui-ci s’est produit.

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Stephen Harper annule sa visite au lieu saint de la Coupole du rocher à Jérusalem

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JÉRUSALEM – Invoquant des questions de sécurité, le premier ministre Stephen Harper a annulé une visite prévue mardi à la Coupole du rocher, un lieu saint musulman par ailleurs situé sur une poudrière politique.

La Coupole et la mosquée al-Aqsa sont situées sur une place connue dans la religion juive comme le Mont du temple, et tout le site constitue un sanctuaire pour les musulmans.

Cette Coupole resplendissante domine l’horizon de la vieille ville de Jérusalem et surplombe le mur des Lamentations, une ruine du Second Temple détruit par les Romains en l’an 70 avant Jésus-Christ. Le Mur est l’un des plus importants sites saints du judaïsme.

Le Mont du temple est un lieu de confrontations depuis des décennies. En septembre 2000, Ariel Sharon avait visité l’endroit en compagnie d’un puissant dispositif de sécurité. Il affirmait s’y trouver en mission de paix, mais sa démarche a déclenché une émeute meurtrière et entraîné l’éclatement de la deuxième intifada, lors de laquelle des milliers de Palestiniens ont trouvé la mort.

Selon le porte-parole du premier ministre Harper, Jason MacDonald, les démarches de planification et l’aspect logistique d’une telle visite «peuvent s’avérer complexes, et nous n’avons malheureusement pas pu organiser le tout pour répondre aux exigences en matière de sécurité».

En fait, dit le porte-parole, les services de sécurité israéliens n’ont pas voulu garantir qu’ils n’entreraient pas dans la mosquée.

L’endroit a été le lieu de plusieurs manifestations violentes, de heurts, de jets de pierres et de fusillades, malgré son importance religieuse pour les juifs, les chrétiens et les musulmans.

La Coupole et la mosquée font l’objet de l’attention d’extrémistes en tous genres. Des groupes juifs radicaux réclament que les structures soient rasées pour y ériger un nouveau temple. Ce point de vue est partagé par certains chrétiens fondamentalistes, qui croient que cela hâtera le retour du Messie.

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5 défis pour Bombardier

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Bombardier vient d’annoncer le licenciement de 1 700 employés. Ça va mal. Mais l’avionneur en a vu d’autres.

Il y a 10 ans, alors que la CSeries n’était qu’à l’étape de projet, Bombardier avait éliminé 30 000 postes et fermé des usines en Europe.

Le nouveau programme, lancé en 2008 après plusieurs années d’hésitations, se présentait comme la planche de salut de l’entreprise québécoise.

Ce projet de 3,4 milliards sera-t-il, au contraire, celui qui la fera couler ?

C’est ce qu’on peut se demander à la lumière des mauvaises nouvelles des derniers jours : délai de livraison des nouveaux appareils, baisse du carnet de commande, décote de l’agence de notation Fitch, licenciements… Pierre Beaudoin, le président et chef de la direction, a de grands défis à relever. En voici cinq.

1) L’état de santé de l’économie

Quand vos clients vont mal, il y a de fortes chances que vous aussi. Bombardier avait misé sur une reprise dans le marché du jet d’affaires pour l’aider à financer le développement de la CSeries. Or, depuis la crise de 2008, ce marché n’a jamais véritablement décollé. En 2013, Bombardier a vu ses ventes d’avions commerciaux et de jets d’affaires fondre de 19 %.

2) Manque de liquidités

Mettre au point un nouvel appareil est long et coûte extrêmement cher. Les avionneurs dépensent de grosses sommes qu’ils ne vont récupérer que plusieurs années plus tard. Ils doivent avoir assez d’argent dans leurs coffres pour «faire le pont». En reportant la livraison, les coûts de Bombardier continueront d’augmenter, sans compter les pénalités qu’elle devra payer à ses clients.

3) Le financement

Où Bombardier ira-t-elle chercher l’argent s’il en manque ? Et à quel coût ? L’agence de notation américaine Fitch a indiqué qu’elle dévaluait la cote de crédit de Bombardier, la faisant passer de «BB» à «BB-». Les investisseurs sont inquiets et la plupart des analystes ne recommandent plus l’achat de l’action, qui a chuté de 10 % en deux jours dès l’annonce du report de la CSeries.

4) Assurer la fidélité des clients

Les clients seront-ils encore là quand Bombardier sera enfin prête à livrer ses appareils ? La question se pose. Des clients pourraient en profiter pour annuler leur commande, et ceux qui hésitaient avant d’en passer une seront peut-être encore plus hésitants. Ils pourraient choisir d’aller vers un concurrent comme Boeing ou Airbus, qui offrent des appareils similaires.

5) Retrouver le personnel qualifié qu’elle doit laisser partir

Pour une entreprise, il est toujours risqué de mettre des employés à pied, surtout lorsqu’il s’agit d’emplois spécialisés et stratégiques, comme en aérospatiale. Ceux-ci peuvent être recrutés par les concurrents. La direction de Bombardier s’est d’ailleurs empressée d’annoncer que les travailleurs mis à pied auraient priorité pour occuper d’autres postes vacants dans l’entreprise, le temps que le ciel se dégage…

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Chronique de la mort annoncée du français paw-paw au Missouri

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Photo © Kbh3rd / CC BY-SA 3.0

Photo © Kbh3rd / CC BY-SA 3.0

« Bienvenue à la Vieille Mine ».

C’est un panneau en français qui accueille les visiteurs à Old Mines, petit coin du Missouri où certains des premiers colons français en Amérique du Nord sont venus s’installer il y a plusieurs siècles, pour ne jamais repartir. Leur langue, toutefois, s’éteint peu à peu, explique Al Jazeera America dans un excellent reportage. Le français du Missouri (ou paw-paw) n’est plus parlé que par une poignée de personnes, peut-être quelques douzaines, dans les collines des monts Ozark.

Selon Natalie Villmer, dont la famille y est installée depuis les années 1700, les dernières personnes à avoir connaissance de ce langage sont forcément des « gens qui vivent près ou à Old Mines », et qui sont âgés de « plus de 75 ou 80 ans ».

Les parents et le grand-père de Natalie Villmer parlaient ce dialecte, qui n’a pas été transmis à la descendance à cause des stigmates associés aux francophones dans cette région. Son père a grandi à une époque où les enfants parlant français ont commencé à fréquenter des écoles anglaises, sans pour autant connaître la langue. Parler le français était alors devenu synonyme d’ignorance et de manque d’éducation.

« Ça a marqué son esprit d’enfant. Il n’avait pas vraiment envie de nous apprendre le français », explique Natalie Villmer. « Je pense que nos parents voulaient que l’on s’intègre. »

Comme beaucoup d’autres personnes de sa génération, elle ne connaît du français que quelques phrases et chansons.

La Guignolée, par Natalie Villmer 

Selon Scott Gossett, qui étudie la littérature française à l’Université du Missouri, l’histoire des Villmer est typique. Quand de petites communautés comme Old Mines se sont industrialisées, il n’y avait plus vraiment de nécessité à parler français, dit-il. « Ils ont seulement pensé que ce serait plus facile de leur apprendre l’anglais, afin de leur donner les meilleures chances de succès. Pour survivre, en fait. »

À son apogée, le français parlé à Old Mines pouvait aussi être entendu dans le sud de l’Indiana et de l’Illinois, ainsi que dans plusieurs villes du Missouri, dont St. Louis.

Pour Dennis Stroughmatt, musicien originaire de l’Illinois qui a appris la langue par intérêt, ce dialecte établit un pont entre le français du Québec et celui de Louisiane, « à la fois linguistiquement et musicalement ».

« Le monde francophone est en train de perdre son lien avec les années 1600. Essentiellement, la langue qui est parlée à Old Mines est un français normand-breton. C’est comme écouter le Moyen Âge. C’est cela qui va être perdu », explique-t-il avec tristesse.

« Ce n’est que récemment, peut-être durant les 50 dernières années, que nous avons commencé à voir la langue comme un atout plutôt qu’un handicap », affirme Gossett.

Trop peu, trop tard pour sauver des dialectes comme le français du Missouri. « On est toujours icitte », dit pourtant une devise officieuse locale, en français dans le texte. Ironie, vous avez dit ?

« Nous allons perdre cette langue, conclut Villmer. C’est une tragédie, mais je suppose que c’est le progrès. »

(Ci-dessous, Dennis Stroughmatt parle en français paw-paw (et en anglais) et joue des chansons traditionnelles à la bibliothèque du Congrès américain.)

 

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Retraites un projet de loi en février dit Maltais

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QUÉBEC – Le gouvernement a convenu avec les municipalités et les syndicats de déposer en février un projet de loi pour la restructuration des régimes de retraite.

La ministre du Travail et de l’Emploi, Agnès Maltais, a déclaré mardi qu’elle a accepté de devancer le dépôt de son projet de loi, prévu au départ en mai prochain.

Mme Maltais a affirmé qu’au cours des trois prochaines semaines, un comité de travail examinera plusieurs aspects qui pourraient se retrouver dans le texte législatif, dont la possibilité de partager entre employeur et employés les déficits passés.

«D’abord, tout le monde s’entend, il y a un consensus qu’il faut prioriser la négociation, la négociation fait foi de tout, a-t-elle dit aux journalistes. Deuxièmement, le gouvernement s’engage à déposer une législation rapidement, on parle de février.»

En décembre dernier, la ministre avait esquissé un plan d’action qui devait permettre aux municipalités de conclure des ententes pour pérenniser les régimes de retraite à prestations déterminées. Sa proposition visait notamment à partager également entre employés et municipalités les coûts des services futurs des régimes de retraite.

Mme Maltais avait évoqué le dépôt d’un premier de deux projets de loi en mai prochain, ainsi que des forums avec les représentants des secteurs municipal, privé et universitaire.

Après une rencontre réunissant des maires et des chefs syndicaux, Mme Maltais a expliqué mardi que cette nouvelle échéance répondait à une demande.

«Les partenaires nous ont dit qu’ils étaient capables de régler ça plus rapidement, parce que ça fait des années qu’ils en discutent, a-t-elle dit. Alors on a dit: si vous êtes capables de répondre aux questions dont on a besoin rapidement, tant mieux. Si on peut solutionner un problème plus rapidement, mon Dieu, tant mieux.»

Mme Maltais a affirmé que le comité chargé de baliser le parcours d’ici au dépôt du projet de loi pourra étudier la pertinence que les négociations portent aussi sur les déficits accumulés par les régimes de retraite municipaux.

«J’avais dit que si c’était nécessaire, et c’est bien important, si la négociation aboutit au fait que pour arriver à pérenniser un régime de retraite il faut ouvrir sur le passé, nous allions en donner la possibilité aux gens, a-t-elle dit. Là-dessus, on a bien clarifié les choses.»

En se rendant à la rencontre, le maire de Montréal, Denis Coderre, et celui de Québec, Régis Labeaume, avaient réclamé que le gouvernement presse le pas dans ce dossier afin qu’un projet de loi soit déposé dès la rentrée parlementaire du 11 février.

M. Labeaume, qui réclamait le pouvoir de décréter les conditions pour rééquilibrer les régimes de retraite, s’est montré satisfait que le gouvernement clarifie la possibilité de discuter du partage des déficits accumulés entre les municipalités et les employés.

«Vous allez me permettre d’être humble, c’est une situation où il faut se dire qu’on a tous réussi quelque chose», a-t-il dit.

Alors que Mme Maltais a répété qu’elle souhaite toujours doter la Commission des relations de travail du pouvoir de trancher les litiges qui surviendraient entre les parties concernant les régimes de retraite, M. Labeaume a affirmé que cette question sera débattue lorsque le projet de loi sera étudié en commission parlementaire.

«C’est une discussion qui restera à avoir», a-t-il dit.

Le député de la Coalition avenir Québec Christian Dubé, favorable à doter les municipalité du pouvoir d’imposer un règlement à leurs employés dans ce dossier, a affirmé que les déficits accumulés devraient être partagés à part égale par les deux parties.

«Ce n’est pas au contribuable de faire les frais des négociations passées, surtout avec les différences dans les taux qu’on a observées, a-t-il dit. Ce qu’on a dit nous, c’est que le 50-50 doit s’appliquer tant aux services passés que les services courants.»

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Le PLQ revendique la liberté totale de porter des signes religieux

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QUÉBEC – Pas question d’interdire à qui que ce soit de porter des signes religieux, clame le Parti libéral du Québec dans sa nouvelle politique en matière de neutralité religieuse de l’État, rendue publique mardi par le chef du parti, Philippe Couillard.

Le PLQ persiste à affirmer qu’il faut faire une distinction très nette entre la neutralité religieuse de l’État et celle des individus. Car le fait pour un employé de l’État de porter un signe religieux exprimant sa croyance ne remet pas du tout en cause la laïcité de l’État, selon le parti.

L’absence d’interdit vaudrait aussi, avec un gouvernement libéral, pour les employés de l’État ayant un pouvoir coercitif: policiers et gardiens de prison. Ceux qui portent un uniforme devraient demander un accommodement pour porter un signe religieux. L’autorité compétente devrait alors trancher, et juger si la demande est raisonnable ou non, à partir des critères de sécurité, identification et communication.

En principe, donc, rien n’empêcherait un policier sikh de porter un turban ou une gardienne de prison de confession musulmane de se coiffer d’un hidjab.

Mais tout accommodement devrait respecter la charte québécoise des droits et libertés et se conformer au principe d’égalité entre les hommes et les femmes. On exigerait aussi du demandeur qu’il fasse la démonstration qu’il cherche à s’intégrer à la société québécoise.

Le cas des juges, qui ont eux aussi un pouvoir coercitif, n’est pas abordé dans la documentation fournie mardi par les libéraux.

«Nous proposons non pas d’interdire, mais d’encadrer l’exercice des droits», a résumé M. Couillard, en conférence de presse.

«Il faut respecter l’autonomie des organisations», a-t-il ajouté, rejetant d’emblée l’argument selon lequel la neutralité promise serait à géométrie variable, au gré des interprétations et des perceptions des personnes en autorité.

L’accouchement de la position du PLQ fut laborieux, sur fond de spéculations et de volte-face. De plus, il survient des mois après la publication de la charte de la laïcité du gouvernement et une semaine après le début de la consultation sur le projet de loi encadrant cette charte, sans compter qu’il a entraîné le départ lundi d’une des députées du caucus libéral, Fatima Houda-Pepin.

L’annonce de la position du parti fait suite au dépôt du rapport du comité Ouimet, ce groupe de travail chargé de définir la nouvelle politique du PLQ sur la laïcité de l’État, incluant le port de signes religieux, et la lutte à l’intégrisme. M. Couillard n’a cependant pas rendu public le rapport Ouimet, complété quelques jours plus tôt. La position du PLQ sur cette question controversée tient donc en une page de communiqué de presse, accompagnée de quelques points saillants.

Reprenant à son compte l’essentiel du projet de loi 94 de l’ex-gouvernement Charest, jamais adopté, le PLQ ne met qu’une seule limite au principe de liberté en matière de signes religieux: que le visage soit découvert, quand on donne ou reçoit un service de l’État.

Quelques exceptions: la burqa et le niqab, symboles vestimentaires de l’oppression des femmes en certains pays, seraient totalement bannis des bureaux gouvernementaux.

Quant au tchador, le parti révise encore une fois sa position en interdisant de le porter si on est une employée de l’État, même si ce long voile noir laisse le visage découvert.

La burqa, le niqab et le tchador «paraissent incompatibles avec l’exercice des services publics», a tranché M. Couillard.

Les libéraux se prononcent aussi pour le maintien en place du crucifix trônant derrière le trône du président de l’Assemblée nationale.

La lutte à l’intégrisme est réglée en un paragraphe et sans préciser quels seraient les moyens privilégiés: un gouvernement libéral s’engagerait par exemple à décourager les discours haineux, les mariages forcés, la polygamie et la violence basée sur l’honneur. On verra aussi à renforcer la loi de protection de la jeunesse et à améliorer la formation des intervenants.

Le ministre responsable des Institutions démocratiques, Bernard Drainville, qui pilote le dossier de la charte de la laïcité, a réagi à l’annonce en jugeant que la position du PLQ demeurait «confuse, alambiquée, compliquée et pas compréhensible».

«On est dans l’arbitraire, on est dans le cas par cas», selon lui.

Il estime que les libéraux «font la preuve par l’absurde, encore une fois, que quand arrive le temps de défendre et d’affirmer nos valeurs, ils sont comme pas capables, c’est trop leur demander».

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Blog de Adoubs Trip - Parce qu’en Inde il y a de loriginalité

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L’hôtel qui se trouve sur le toit du monde

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LEAPrus 3912

Dormir dans un hôtel à 3.912 mètres d’altitude, ça vous tente ? L’hôtel LEAPrus 3912 a ouvert ses portes en début d’année. Cet établissement qui dispose de près de 50 chambres, d’un salon et d’une vue inouïe se trouve à 130 km de l’aéroport le plus proche.

Situé sur le glacier sud du mont Elbrouz, dans la république russe de Kabardino-Balkarie, le LEAPrus 3912 est conçu pour être écologique.

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Quizz voyage spécial ski

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Pour ce 63e quizz, nous avons décidé de faire un Quizz voyage spécial ski.

Parviendrez-vous à faire un sans-faute ? Bonne chance !

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We stroll you scroll - Chiang Mai day3

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Chiang Mai day#3 ______________________
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Où partir pour les vacances de février 2014

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Guadeloupe

Pour beaucoup, février rime avec vacances à la neige, glisse sur les pistes et bronzage partiel... Le Guide Evasion vous propose de prendre intégralement le soleil dans les jardins de Lisbonne, au sommet des monts de Tenerife ou dans une atmosphère carnavalesque en Guadeloupe.
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Pourquoi l’assurance voyage des cartes bancaires ne suffit pas

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Vous le savez sans doute, votre carte bancaire vous couvre à l’étranger pendant 90 jours. Une bonne chose, non ? Mais avez-vous regardé en détail les clauses de votre assurance ? Vous[...]

La suite de l'article sur mon blog ! (cliquer sur le titre en bleu )
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Laos- les photos sont dans lalbum Laos - le site deconne

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Salut a tous, Dabord un grand merci pour vos  messages des deux premiers posts, ca nous a fait bien plaisir de vous lire.De notr
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Laos

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Salut a tous,Dabord un grand merci pour vos  messages des deux premiers posts, ca nous a fait bien plaisir de vous lire.De notre cote
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Insolite depuis 27 ans il vit seul sur une île

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David Glasheen

Depuis 27 ans, David Glasheen s’est isolé de la civilisation. A la suite d’un naufrage, dont il fut le seul survivant, cet ancien homme d’affaires australien a volontairement fait le choix de vivre seul sur une île déserte, au large des côtes australiennes.

Aujourd’hui âgé de 69 ans, il vit désormais de la pêche, de la collecte de fruits et de l’entretien d’un potager. David Glasheen n’est pas totalement détaché du monde car il dispose d’un accès internet alimenté grâce à l’énergie solaire. Dans une interview accordée au Daily Mail, David reconnaît « le poids de la solitude » et espère « un jour rencontrer une sirène ». Depuis quelques mois, l’Australien est menacé d’expulsion car il n’a pas respecté les termes du bail de 43 ans qui le lie à l’état australien (le développement d’un petit port de pêche et d’infrastructures touristiques pour que l’île devienne une station balnéaire). Pour l’instant David n’a pas encore de date pour quitter son paradis et souhaite « y rester ».

[Imprim-écran du Daily Mail]

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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