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Blogs voyage

Obama encourage à visiter le Pays de Galles

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Il n’y en a que pour l’Écosse ces jours-ci. Pourtant, côté tourisme, le Pays de Galles est un petit pays magnifique à découvrir.

C’était lors d’une rencontre avec le Prince Charles en marge du sommet de l’OTAN, qui s’est tenue la semaine dernière aux Pays de Galles. Pour le président américain, c’est un pays « d’une beauté extraordinaire, avec des gens merveilleux et d’une grande hospitalité ». Un joli coup de projecteur de la part d’un VRP de luxe.

Évoquant les vieilles cités minières alternant avec les paysages bucoliques, « Lonely Planet » a une formule intéressante pour décrire cet endroit : « la région est un mélange de beauté et de laideur ». En tout cas, tout le monde s’accorde à trouver le Pays de Galle extrêmement attachant. Si cette « autre » destination du Royaume-Uni vous tente, recherchez un vol pour Cardiff.

Photo : Denis Egan / Flickr cc.
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Les salaires des pilotes d’avion chez Air France

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La grève en cours chez Air France divise : c’est un mouvement corporatiste pour les uns, un mouvement social justifié pour les autres. Quels sont leurs salaires ? Voici de quoi mettre un terme aux fantasmes.

Avec la réorganisation des activités d’Air France au profit de sa filiale low cost Transavia, les pilotes craignent une dégradation des conditions de travail et des salaires. Un spécialiste du secteur aérien confirme sur lemonde.fr que « un commandant de bord d’une low cost est payé comme un copilote d’Air France. » 

Le journal rapporte que un copilote en début de carrière chez Air France, sur un Airbus A320 moyen-courrier, touche environ 3 500 euros bruts par mois et environ 6 000 euros après six années d’expérience. Mais les différences sont très importantes en fonction de l’ancienneté… et de la filiale du groupe. Un commandant de bord en fin de carrière sur un A380 d’Air France reçoit 200 000 euros bruts par an, son collègue chez HOP devra se contenter de 1 500 euros par mois.

Illustration : capture d’écran de Leonardo Di Caprio dans le film « Attrapes-moi si tu peux »
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Top 6 des lieux pour se détendre ce week-end

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vacances repos

Ce week-end, vous recherchez des endroits éloignés des grandes villes. Vous souhaitez vous détendre ? Alors on vous propose de découvrir 6 destinations en France.

Hôtel Pavillon, Cours-La-Ville (Rhône)

Cours-La-Ville est l’une des communes les plus fleuries du département du Rhône. La ville a connu des décennies de prospérité grâce à l’industrie textile. D’ailleurs, de belles demeures bourgeoises nous ramènent à ces belles années. Ainsi, on peut découvrir l’ancien château Ville mais aussi le fabuleux parc de la résidence « Le Florentin ». Cours-La-Ville est aussi une ville idéale pour des promenades en famille. Vous pouvez vous y rendre lors d’un week-end reposant.

Situé dans une forêt de pins, l’hôtel Pavillon est le lieu parfait pour un séjour à Cours-La-Ville. Vous pourrez profiter du spa, faire un barbecue et vous détendre dans un espace de relaxation sur place. A noter que la cuisine est préparée avec des produits locaux de saison.

Hôtel Pavillon

Route Pavillon
69 470 COURS-LA-VILLE
04.74.89.83.55

Hôtel la Vieille Auberge, Saint-Privat d’Allier (Haute-Loire)

Saint-Privat d’Allier est encore aujourd’hui une étape privilégiée pour les marcheurs du chemin de St Jacques de Compostelle. Culminant à 875 mètres d’altitude, la commune domine le site exceptionnel des gorges de l’Allier. Vous serez séduits par le calme de Saint-Privat d’Allier. Vous pourrez aussi commencer votre parcours sur les chemins de St Jacques de Compostelle.

L’hôtel la Vieille Auberge est un coin idéal pour découvrir Saint-Privat d’Allier. L’établissement possède un point de vue unique vers l’éperon rocheux. C’est aussi un coin propice à la tranquillité.

Hôtel la Vieille Auberge

Le Bourg
43 580 SAINT-PRIVAT-D’ALLIER
04.71.57.20.56

Hôtel Saint Georges, Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie)

L’escalade en pleine nature. La promenade tranquille. La randonnée. Saint-Jean-de-Maurienne est une destination parfaite pour les sportifs comme pour la famille entière. Située au cœur de la plus grande vallée transversale des Alpes, la commune fait aussi partie des plus beaux détours de France.

Situé en plein cœur de la ville de Saint-Jean-de-Maurienne, l’hôtel Saint Georges est un coin idéal pour découvrir la ville. L’établissement se trouve à proximité des commerces, des restaurants et des musées.

Hôtel Saint Georges

334 rue République
73 300 SAINT-JEAN-DE-MAURIENNE
04.79.64.01.06

L’Hôtellerie Kouros, Cuers (Var)

Cuers est l’une des communes qui permet de se trouver proche de la mer, tout en étant près de la nature. Lors d’un séjour dans cette ville varoise, vous pourrez découvrir ce village provençal typique, à la fois attaché à son passé et tourné vers l’avenir.

Élégance et raffinement sont les maîtres mots de l’Hôtellerie Kouros. Une salle élégante, une jolie terrasse, des chambres très soignées. Voici ce que l’on trouve dans cet établissement.

Hôtellerie Kouros

Plan de Saint-Martin – Les Défends-
83 390 CUERS
04.94.66.69.25

Hôtel Les Rosiers, La Rochelle (Charente-Maritime)

Ville au patrimoine architectural exceptionnel, La Rochelle sait mettre en avant ses atouts : monuments, musées, parcs, plages … Cette cité millénaire possède l’un des plus anciens musées de France, le musée d’histoire naturel de La Rochelle mais aussi l’un des plus grands aquariums européens, l’Aquarium de La Rochelle.

L’hôtel Les Rosiers est idéalement situé pour un séjour à La Rochelle. L’accueil y est toujours charmant et les prix sont très attractifs.

Hôtel Les Rosiers

56 boulevard André Sautel
17 000 La Rochelle
05.46.67.42.27

La Villa hôtel, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)

Les corridas, la pelote basque, le rugby, l’aviron … Bayonne est connu en France pour ses festivités. Mais cette commune est aussi marquée par son urbanisme médiéval. Lors d’une visite à Bayonne, il faut absolument goûter à la spécialité locale, le jambon de Bayonne.

La Villa hôtel est parfait pour un séjour au calme, à Bayonne. Les chambres sont spacieuses et très agréables. Notons que le jardin est aussi très joli.

La Villa Hôtel

12 chemin Jacquette
64 100 BAYONNE
05.59.03.01.20

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« Let The Memories Begin  ou comment Tiphaine a travaillé chez Disney

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Je me rappellerai toujours de ce premier jour à Disney, de cette énorme pancarte annonçant « Let the memories begin », et de ces centaines d’étudiants qui ne se connaissent pas mais regardent tous ce même écriteau avec des étoiles plein les yeux…

Disney World

Mais revenons au point de départ de cette aventure hors-du-commun. J’ai 19 ans et un stage de trois mois à réaliser l’été pour passer en deuxième année d’école de commerce. Je découvre une offre: « Internship in Walt Disney World – Orlando, Florida ». Je remplis le questionnaire sans trop de conviction et passe à autre chose. Deux jours plus tard, on m’appelle pour un entretien Skype. Deux semaines plus tard, je parle anglais avec un recruteur ayant au doigt une chevalière Mickey. Puis, tout s’enchaîne : une lettre me proposant de partir le 17 juin pour Orlando. Un visa. Un billet d’avion. Une valise. Douze heures de vol. « Welcome to Florida, welcome to Walt Disney World ! »

L’entière propriété Disney est aussi grande que Paris intra-muros.

Rien que ça. Elle comprend six parcs, ainsi que quatre gigantesques résidences accueillant les travailleurs saisonniers dont j’ai fait partie. Et tenez-vous bien, Disney n’embauche pas moins de 7000 étudiants étrangers chaque été, tous logés sur place, à des postes divers et variés. Ceux qui allaient devenir mes amis ont été : vendeur de pop-corn itinérant, confectionneur de hot-dogs à la chaîne, amarreur de bateaux dans les hôtels de luxe, surveillant de piscines, porteur de valises… Personnellement, je me suis retrouvée parachutée à « World of Disney », LE plus vaste magasin de souvenirs Disney de la planète. J’ai joué avec des enfants du monde entier, vendu un nombre incalculable de babioles à des parents épuisés, déposé de la « poudre magique » – celle de la fée de Cendrillon, évidemment ! - sur le front de nombreuses mini-princesses, dit environ 9000 fois « have a magical day » à des clients venus des quatre coins du monde et ayant pour but de ramener dans leur valise un peu d’illusion et beaucoup de ces fameuses « memories »…

Gâteau Disney World

J’ai découvert un monde.

Le monde de la consommation poussée à son paroxysme, la première industrie planétaire à s’être spécialisée dans la frustration d’enfants, mais aussi dans le rêve. Et le plus intéressant a été, comme toujours, le contact avec les personnes qui m’entouraient et les différences culturelles observées. Les codes ne sont pas les mêmes dans une entreprise américaine, le management est différent, et c’est d’autant plus vrai dans le monde étrange de Walt Disney World. J’ai été très marquée par la « semaine de coaching » obligatoire à l’arrivée sur place… qui consistait presque exclusivement à répéter « I can make a difference », « we are here to create magic » et à vénérer Walt, notre père à tous, fondateur de notre entreprise chérie, inventeur de la plus belle machine à rêves qui soit.

Travail à Disney World

J’ai aussi logé sous le même toit que des Américains et des Anglais durant trois mois et côtoyé des saisonniers de tous azimuts… Et, évidemment, j’ai voyagé à travers la Floride, qui recèle de superbes plages et quelques lieux mythiques. Je ne vous cache pas que Miami n’a guère d’intérêt sinon sa vie nocturne… En revanche, j’ai découvert le parc des Everglades et, surtout, j’ai emprunté la célèbre et magnifique route des Keys :  il faut à tout prix que vous abordiez cette route au lever du soleil… 110 miles de pure beauté qui vous mèneront sur l’île de Key West, petit coin de paradis floridien inoubliable.

Travail chez Disney World

Travaillez à l’étranger et vivre avec des locaux, reste pour moi le meilleur moyen d’appréhender un pays et sa culture. A Walt Disney World, vous progresserez aussi en anglais à une allure fulgurante ! Et quoi qu’on en dise, une chose est sûre : Walt était un grand homme et vous vivrez, comme on les appelle là-bas, des dizaines de « magical moments »…

Un peu de pratique si vous êtes intéressé

Vous devrez réunir deux conditions pour travailler chez Mickey en Floride: être étudiant et parler anglais. Notez qu’il est aussi possible de travailler six mois en tant que « représentant culturel » : vous travaillerez au pavillon français du parc Epcot – parc reproduisant un mini-monde avec des pavillons pour chaque pays – et aurez des horaires moins chargés !

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Blog de milou - UNE EQUIPE QUI ROULE

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Blog de milou - UNE EQUIPE QUI ROULE........
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Le ministre Moore s’attend à un examen rapide de l’offre d’achat sur Tim Hortons

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WASHINGTON – De passage à Washington, le ministre fédéral de l’Industrie, James Moore, a dit s’attendre mercredi à ce que son examen de la prise de contrôle de la chaîne de cafés canadienne Tim Hortons (TSX:THI) par Burger King pour 11 milliards $ US soit complétée d’ici quelques semaines.

M. Moore a dit avoir reçu les documents il y a quelques jours, et s’attendre à ce que le processus soit rapide.

À Washington, mercredi, le ministre a affirmé que l’entente clé dans le secteur de la restauration rapide ne lui semblait pas particulièrement complexe.

Il a dit ne pas vouloir anticiper la conclusion de l’examen, mais durant l’événement à Washington, il a aussi invité d’autres sociétés étrangères à investir au nord de la frontière, disant que le Canada était «prêt à faire des affaires».

M. Moore a profité de sa présence aux États-Unis pour faire valoir l’impôt moindre sur les entreprises, qu’il a cité comme une raison parmi d’autres pour les sociétés comme Burger King, Microsoft, Target et Google d’investir au Canada.

Il a tenu ces propos lors d’un discours et d’une mêlée de presse aux bureaux de Google à Washington, durant un événement organisé par le Conseil des affaires canado-américaines.

La Loi sur Investissement Canada accorde au ministre 45 jours pour réviser une prise de contrôle majeure d’une entreprise canadienne, bien que des prolongations soient possibles.

Le géant américain de la restauration rapide a annoncé le mois dernier avoir conclu une entente pour acquérir la chaîne canadienne dans une transaction de 11 milliards $ US.

À la Bourse de Toronto, l’action de Tim Hortons a gagné jeudi huit cents, ou moins d’un pour cent, à 88,70 $.

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Horseshoe bend et Lac Powell

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Les nuages sont partis ailleurs et c’est très bien ! Nous allons pouvoir aller voir Horseshoe Bend (le fameux Fer à Cheval du Colorado). Le site est très facilement accessible mais le bord du canyon n’est absolument p
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Singapour la fin de notre voyage mais quelle fin

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Singapour, Nous y sommes et nous y voilà. Singapour la dernière destination de notre
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De la Costa tropicale à la Costa de Almeria

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De la Costa tropicale à la Costa de Almeria
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Un maire albertain inquiet après un sixième déraillement de train dans sa région

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SLAVE LAKE, Alta. – Le maire de Slave Lake, dans le nord de l’Alberta, se dit inquiet à la suite du sixième déraillement de train à survenir près de sa ville depuis le mois de mai.

Tyler Warman demande à Ottawa d’évaluer l’état du chemin de fer et de mener une enquête sur les causes de ces nombreux déraillements. Il voudrait aussi rencontrer la ministre des Transports, Lisa Raitt, et le ministre de la Sécurité publique, Steven Blaney, pour trouver une solution au problème.

Quatre locomotives et 21 wagons du Canadien national (CN) — dont deux transportant de l’acide sulfurique et du chlorure de sulfuryle, des matières dangereuses — ont déraillé mardi après-midi à quelques kilomètres à l’est de la ville. Les wagons ne se sont pas renversés, ce qui a évité les fuites, et aucune évacuation n’a dû être ordonnée.

Le maire Warman a toutefois indiqué que sa communauté était très inquiète des événements. Le maire a d’ailleurs discuté plusieurs fois avec des représentants du CN, qui semblent faire tout ce qu’il peuvent pour assurer la sécurité des voies, selon lui. Mais après six incidents, il semble qu’il faille faire plus encore.

La députée néo-démocrate fédérale d’Edmonton-Strathcona, Linda Duncan, croit que l’industrie ferroviaire est encore trop peu réglementée par le gouvernement, même si Ottawa a fixé de nouvelles normes concernant le transport de produits dangereux depuis la tragédie de Lac-Mégantic en juillet 2013. Dans un communiqué, elle presse le gouvernement d’intervenir à Slave Lake pour éviter que d’autres catastrophes ne surviennent.

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Un député conservateur fédéral est repêché par Jim Prentice en Alberta

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EDMONTON – Un député conservateur albertain quitte son siège aux Communes pour aller travailler auprès du nouveau premier ministre de l’Alberta, Jim Prentice, ancien ministre de Stephen Harper.

Rob Merrifield, député de Yellowhead depuis 2000, a été nommé mercredi délégué général de l’Alberta à Washington.

À Ottawa, il avait été nommé ministre d’État aux Transports en 2008. Il a aussi présidé l’Association des parlementaires du Canada et des États-Unis. Il était jusqu’à mercredi président du comité permanent du commerce international et membre du Bureau de régie interne des Communes. On lui avait aussi confié le mandat d’oeuvrer de concert avec le Congrès américain, en collaboration avec l’ambassade canadienne à Washington, dans des dossiers bilatéraux.

Le premier ministre Prentice a aussi nommé mercredi l’ancien député conservateur Jay Hill délégué général pour l’ouest et le nord du Canada.

Il a par ailleurs annoncé que le contrat du délégué général en Asie, Gary Mar, ne sera pas renouvelé à son expiration en 2015. M. Mar, qui avait affronté Alison Redford dans la course à la direction du Parti conservateur, avait ensuite été nommé à ce poste par l’ancienne première ministre. Sa nomination avait soulevé la controverse lorsqu’on a appris qu’il avait touché 500 000 $ en émoluments pour une année en poste à Hong Kong.

Jim Prentice est devenu lundi le 16e premier ministre de l’Alberta — et le troisième en six mois. L’ancienne première ministre Alison Redford, soupçonnée d’avoir facturé des dépenses somptuaires aux contribuables, avait quitté son poste plus tôt cette année; elle avait été remplacée de façon intérimaire en attendant une course à la direction du parti.

Le premier ministre Harper a salué mercredi son député démissionnaire Merrifield pour «ses nombreuses années de dévouement au service de ses électeurs de Yellowhead au Parlement du Canada, et pour ses immenses contributions à notre gouvernement».

«Depuis son élection à la Chambre des communes, Rob a été une voix forte et un ardent défenseur de l’Alberta, ainsi qu’un précieux membre de notre caucus.»

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Harper une politique étrangère à géométrie variable

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PolitiqueEn matière d’affaires étrangères, le premier ministre Stephen Harper aime projeter l’image d’un leader fort aux idées claires et aux principes solides. Les dernières crises à secouer la planète testent toutefois sa cohérence.

Prenons l’Ukraine. On ne peut pas dire que M. Harper n’ait pas été constant sur ce front. Son appui au gouvernement ukrainien et ses dénonciations du président russe Vladimir Poutine ne se sont jamais démentis.

Mais lors du dernier sommet de l’OTAN, il s’est limité à offrir son accord de principe à une force d’intervention rapide dans les pays limitrophes qui craignent les visées expansionnistes de la Russie. Au même moment, par contre, il acceptait la demande du président américain Barack Obama de joindre une coalition pour combattre l’État islamique (ÉI).

Toujours en ce qui a trait à l’Ukraine, le ministre des Affaires étrangères, John Baird, a annoncé lundi de nouvelles sanctions contre des entités et personnalités russes. Ce n’était pas un hasard, le président ukrainien Petro Porochenko étant attendu au Parlement le lendemain pour s’adresser aux deux Chambres réunies.

Mais encore une fois, deux noms étaient absents de la liste des personnes visées : Sergei Chemezov et Igor Sechin. Ces deux proches de Vladimir Poutine figurent depuis la fin avril sur la liste des personnes ciblées par les États-Unis, une liste pourtant plus courte que celle du Canada. (Vous trouverez ici la liste de différents pays.)

Là encore, ce n’est pas un hasard. M. Chemezov est le pdg de Rostec, un conglomérat militaro-industriel avec qui Bombardier a des liens d’affaires. Quant à M. Sechin, il est à la tête du géant pétrolier Rosneft (qui a des intérêts dans les sables bitumineux).

Comme l’expliquait Reuters en mai dernier, Bombardier a signé en 2013 une entente préliminaire pour la vente de 100 avions en Russie, un contrat qui pourrait valoir 3,4 milliards de dollars. L’entreprise canadienne a accepté, en contrepartie, d’assembler des avions dans ce pays et pour ce faire, elle a conclu un partenariat avec Rostec. Bombardier a aussi un autre partenariat en Russie dans le domaine du rail.

Rosneft, pour sa part, détient 30 % d’un gisement pétrolier d’Exxon Mobil en Alberta.

Territoire

Un élément sur lequel M. Harper ne cède pas un pouce est la souveraineté de l’Ukraine. Encore mardi, alors qu’il présentait le président ukrainien aux parlementaires canadiens, il a répété qu’il n’est pas question — «jamais» — de reconnaître l’«occupation illégale» de quelque portion que ce soit de l’Ukraine, y compris la Crimée, par la Russie.

Occupation illégale ? Cela ne fait pas de doute. Le problème est ailleurs. Ne devrait-on pas contester l’occupation illégale d’un territoire, peu importe le lieu ? Un exemple : selon le droit international, l’occupation de la Cisjordanie et de Gaza par Israël est illégale. M. Harper ne le relève jamais.

Et tant qu’à parler du Moyen-Orient, parlons de l’Irak. Le premier ministre a annoncé, en marge du sommet de l’OTAN, il y a deux semaines, la participation de soldats d’élite canadiens à la lutte contre l’État islamique. Ils agiront comme conseillers des forces irakiennes et kurdes et ne participeront pas aux combats, assure-t-on.

Il a fallu que le chef néo-démocrate Thomas Mulcair revienne à la charge deux jours de suite pour que M. Harper dise enfin combien de soldats seraient déployés. Ils sont 69. Mais alors que le gouvernement présente cette mission comme essentielle pour contrer le terrorisme, ni le premier ministre, ni le ministre des Affaires étrangères (qui revenait pourtant du sommet de Paris), ni le ministre de la Défense n’ont cru bon se présenter en Chambre pour le débat d’urgence. Un seul chef était présent, soit M. Mulcair.

Les seuls ministres à s’y être montrés sont le ministre de la Citoyenneté et l’Immigration, de même que celui de l’Emploi et du Développement social.

Et comme le relève Paul Adams, dans une chronique bien sentie publiée par iPolitics, il est tout à fait approprié que le premier ministre dénonce la barbarie de l’ÉI, mais il est particulier de le voir prêt à combattre l’ÉI aux côtés de l’Arabie saoudite, un pays qui décapite à l’occasion ses propres citoyens.

Le mois dernier, écrit-il, ce pays a exécuté plus de 20 personnes, dont huit par décapitation, pour des crimes allants de la sorcellerie (!) à l’apostasie en passant par l’adultère et la possession de drogues.

«Le même régime auprès de qui, plus tôt cette année, le gouvernement Harper a fait la promotion d’une vente de véhicules militaires d’une valeur de 10 milliards de dollars», ajoute Adams.

Vitrine

Au cours des prochaines semaines et des prochains mois, M. Harper sera très actif sur la scène internationale, une tribune à laquelle ses adversaires n’ont pas accès. Voilà qui est bien utile pour se démarquer et étoffer son image de premier ministre d’ici les prochaines élections.

Il sera donc aux Nations Unies la semaine prochaine pour s’adresser à l’Assemblée générale, la dernière fois étant en 2010. Il participera à une rencontre sur la santé maternelle et infantile, une priorité pour M. Harper. Il boudera par contre le Sommet sur les changements climatiques, se contentant d’assister à un souper spécial.

On peut s’attendre à ce que son discours visera avant tout les Canadiens qu’il veut séduire. En fait, les considérations électorales seront au cœur de tous les calculs d’ici octobre 2015, et pas seulement pour Stephen Harper. (Soupir.)

* * *

À propos de Manon Cornellier

Manon Cornellier est chroniqueuse politique au Devoir, où elle travaille depuis 1996. Journaliste parlementaire à Ottawa depuis 1985, elle a d’abord été pigiste pour, entre autres, La Presse, TVA, TFO et Québec Science, avant de joindre La Presse Canadienne en 1990. On peut la suivre sur Twitter : @mcornellier.

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Braquage d’un cycliste filmé en direct

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Art_de_vivreVoici exactement ce qu’il ne faut jamais faire, lorsque quelqu’un vous braque un pistolet sous le nez, en voyage: tergiverser, tenter de gagner du temps, paniquer ou, pire encore, prendre ses jambes à son cou. Toutes des choses que l’auteur de l’étonnante vidéo qui apparaît ci-bas a pourtant faites, et qui auraient pu lui être fatales: dans de telles circonstances, on balance tout ce qu’on a au voleur, point à la ligne.

C’est alors qu’il prenait part à un tour guidé à vélo d’un quartier chaud de Buenos Aires qu’Alexander Hennessey s’est fait subitement attaquer par un motocycliste, qui lui demandait de lui donner son sac à dos (ce qu’il n’a jamais compris sur le coup). Puisqu’il était en train de filmer sa virée grâce à une caméra fixée à son casque, toute la scène a été croquée sur le vif.

Non seulement le touriste étourdi s’en est-il tiré sans une égratignure, mais encore a-t-il pu montrer ses images à la police… qui a subséquemment réussi à mettre la main au collet du voleur. Mais il ne gagnera pas la palme de la présence d’esprit: quand pareille situation se présente, on offre illico presto sac à dos, appareil-photo et portefeuille. Car aux yeux d’un voleur désespéré, la vie d’un touriste ne vaut rien.

Hennessey estime que c’est un « problème de communication » qui lui a permis de s’en tirer, le voleur ne sachant pas parler anglais, et lui-même ne comprenant pas ce que ce dernier voulait – on le voit abandonner son vélo, puisqu’il croyait que c’était peut-être l’objet du braquage.

Disons plutôt que c’est une sacrée chance que le braqueur n’ait pas été plus déterminé; on souhaite à Hennessey de s’en rappeler la prochaine fois – s’il y en a une – lui qui a entrepris un périple de 195 pays en 60 mois…

Pour visionner la vidéo d’Hennessey, cliquez ci-dessous.

Pour d’autres vidéos de voleurs pris en flagrant délit par une caméra GoPro, cliquez ici.

* * *

À propos de Gary Lawrence

Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 80 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.

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Quatre enfants atteints de l’entérovirus D68 admis dans un hôpital d’Ottawa

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OTTAWA – Le Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario a confirmé mercredi l’admission de quatre enfants ayant contracté l’entérovirus D68, précisant toutefois qu’ils étaient maintenant guéris et qu’ils avaient quitté l’établissement.

L’hôpital a précisé que les patients n’avaient pas eu à être traités aux soins intensifs.

L’entérovirus D68 cause des symptômes semblables à ceux d’un rhume ordinaire, mais les enfants souffrant de troubles respiratoires comme l’asthme peuvent être atteints de symptômes plus graves, notamment des difficultés respiratoires.

Il n’existe aucun médicament spécifique pour combattre le virus.

Le virus a touché au moins 130 enfants de 12 États américains depuis la mi-août et a récemment infecté des enfants au Canada. Des cas ont été enregistrés en Colombie-Britannique, en Alberta et en Ontario.

L’hôpital ontarien s’attend à voir d’autres enfants atteints du virus dans les prochaines semaines.

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Le chef du NPD refuse d’appuyer le déploiement canadien en Irak

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OTTAWA – L’opposition officielle refuse d’endosser la décision du premier ministre Stephen Harper d’envoyer des membres des forces spéciales dans le nord de l’Irak.

Le chef du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, a affirmé mercredi que cette position s’imposait, puisque le gouvernement refuse de fournir certains renseignements clés sur ce déploiement et qu’il ne veut pas laisser les parlementaires se prononcer à ce sujet dans le cadre d’un vote.

M. Harper a confirmé que 69 membres des forces spéciales canadiennes avaient été dépêchés en Irak pour participer à une campagne de lutte contre le terrorisme contre une faction dissidente du réseau Al-Qaïda connue sous le nom d’État islamique (ÉI).

Il a réitéré que leur intervention, qui doit faire l’objet d’une révision dans une période de 30 jours, n’était pas une mission de combat et que les Canadiens étaient sur place uniquement pour conseiller et assister les forces irakiennes ainsi que les combattants kurdes qui tentent de freiner les avancées de l’ÉI.

Le dévoilement de ces informations n’a pas satisfait M. Mulcair.

Il a affirmé qu’il ne pouvait accorder son appui à la mission alors que le gouvernement refuse d’indiquer la date à laquelle elle a commencé, ce qui rend impossible de savoir à quel moment la période de 30 jours sera écoulée.

Il a estimé qu’un «flou artistique» entourait cette opération.

Thomas Mulcair a dressé un parallèle avec la situation en Afghanistan, en mentionnant qu’il y avait d’abord eu un petit contingent de forces spéciales sur place mais qu’au bout du compte, de nombreux soldats avaient participé à un interminable conflit dans ce pays, ce qui a conduit à la mort de plus de 160 Canadiens.

Après avoir cité cet exemple, le chef néo-démocrate a lancé qu’il craignait que les soldats canadiens ne soient de nouveau sur le point de s’aventurer sur «une pente glissante».

Il a affirmé qu’il s’agissait «d’un cas classique» où la situation est susceptible de dégénérer.

De son côté, le chef du Parti libéral du Canada (PLC), Justin Trudeau, a dit être en accord avec le déploiement, même s’il a ouvertement reconnu qu’il risquait de durer plus longtemps que 30 jours compte tenu «de l’ampleur de la dévastation et de la crise humanitaire dans le nord de l’Irak».

Il a souligné qu’il soutenait la mission actuelle, tout en servant une mise en garde au gouvernement.

M. Trudeau a expliqué qu’il était primordial, à ses yeux, que les parlementaires puissent la superviser et en discuter.

Il a qualifié la situation dans le nord de l’Irak de «catastrophe», en ajoutant que les Canadiens avaient la «responsabilité de protéger» les innombrables civils qui ont dû quitter leur foyer pour échapper à la menace terroriste.

Il a dit que les «Canadiens veulent que leur gouvernement continue d’être une force en faveur de la paix dans le monde», en précisant que ce rôle concorde avec «nos valeurs».

Justin Trudeau a spécifié qu’à son avis, il est «parfaitement acceptable» d’entraîner l’armée locale et de lui offrir du soutien sans participer aux hostilités.

Il a souligné que le Canada disposait d’une «expertise en la matière» et qu’il devrait «être capable de la partager».

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Les électeurs de la circonscription de Lévis appelés aux urnes le 20 octobre

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QUÉBEC – Les électeurs de la circonscription provinciale de Lévis sont appelés aux urnes le 20 octobre.

La tenue d’une élection partielle a été rendue nécessaire dans cette circonscription à la suite de la démission du député Christian Dubé.

Le député caquiste a annoncé le 15 août qu’il démissionnait de ses fonctions à l’Assemblée nationale pour un poste à la haute direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).

En vertu de la Loi électorale, le décret qui ordonne la tenue d’une élection partielle doit être pris au plus tard six mois à partir de la vacance.

Le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, a annoncé mercredi que le conseil des ministres avait adopté le décret autorisant la tenue de l’élection complémentaire dans la circonscription de Lévis.

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Leitao évoque la possibilité de récupérer le champ fiscal d’Ottawa

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QUÉBEC – Le ministre des Finances Carlos Leitao a évoqué mercredi plusieurs scénarios grâce auxquels Québec pourrait récupérer des revenus fiscaux qu’Ottawa abandonnerait, notamment à travers une hausse de la taxe de vente du Québec (TVQ) qui réduirait l’impôt des entreprises.

M. Leitao a discuté de cette hypothèse lorsqu’il a été questionné sur les gestes que le gouvernement québécois pourrait poser dans l’éventualité où Ottawa baisserait sa perception d’impôts ou encore sa taxe sur les produits et services (TPS), actuellement à cinq pour cent.

«Si le gouvernement fédéral décidait de baisser la TPS, ce dont je doute à 99 pour cent, elle est déjà à cinq pour cent, je ne la vois pas aller à moins que ça, a-t-il dit dans un échange avec la presse parlementaire. Mais si jamais cela arrivait, le Québec aurait pu augmenter sa TVQ de un pour cent et s’arrêter là. Moi je ne m’arrêterais pas là, j’irais chercher ces revenus additionnels pour les mettre ailleurs, surtout aux entreprises, pour soulager leur fardeau fiscal.»

La taxe de vente du Québec (TVQ) est actuellement à 9,975 pour cent, après avoir été majorée de deux pour cent par les libéraux , en 2011 et 2012, après que le gouvernement fédéral a diminué la TPS d’autant, en 2006 et 2007.

Si une telle situation se représentait à nouveau, M. Leitao voudrait toutefois affecter ces revenus supplémentaires à un allégement du fardeau fiscal des petites et moyennes entreprises (PME).

«Ce serait quelque chose de récupérable, pas de la façon dont ç’a été fait la dernière fois, a-t-il dit. Je pense qu’il y a d’autres façons dont on pourrait le faire, pour essayer de dégager une certaine marge pour soulager le fardeau fiscal des entreprises. Je profiterais de ces revenus additionnels, c’est-à-dire les récupérer oui, mais je les mettrais ailleurs, pour diminuer le fardeau fiscal total des PME.»

Interrogé par les journalistes à propos du déséquilibre fiscal qui fait en sorte qu’Ottawa dispose de plus de revenus que les provinces, M. Leitao a affirmé qu’il s’attend à ce que le gouvernement fédéral diminue ses recettes d’une manière ou d’une autre.

«C’est clair que quelque chose va changer, ne serait-ce qu’une réduction des revenus fédéraux, a-t-il dit. Si rien d’autre ne change, on peut tous lire entre les lignes que le fédéral va réduire ses impôts.»

À l’occasion de la rentrée parlementaire à Ottawa lundi, le premier ministre Stephen Harper a affirmé que le gouvernement fédéral pourra réduire le fardeau fiscal des contribuables dès le retour de l’équilibre budgétaire.

­M. Leitao a envisagé divers scénarios, mercredi, dont une éventuelle baisse de la TPS, ainsi que le fractionnement du revenu, une hypothèse moins avantageuse pour augmenter les revenus du Québec.

«Aujourd’hui, je ne sais pas quel type de réduction d’impôt le fédéral va avoir lieu, a-t-il dit. S’ils s’en vont dans la direction du fractionnement du revenu, ce dont ils ont parlé avant, si c’était ça, il n’y a pas grand chose à récupérer de notre côté, au contraire, ça nous forcerait nous à dépenser plus.»

Quant à une baisse de l’impôt des particuliers, cette avenue serait également moins propice à occuper le champ fiscal libéré par Ottawa, en raison des attentes de la classe moyenne, qui souhaite conserver une marge de manoeuvre.

«Une baisse d’impôts classique, on verra ça aussi, mais la classe moyenne, on l’a déjà dit aussi, souhaite un peu d’oxygène, a-t-il dit. Si le fédéral le fait, ce serait beaucoup plus complexe que le provincial l’annule.»

En sortant du conseil des ministres, M. Leitao a voulu clarifier ses propos, tout en maintenant l’hypothèse d’une récupération éventuelle du champ fiscal d’Ottawa.

«Il n’est pas question pour nous d’augmenter le fardeau fiscal des Québécois de quelque façon que ce soit, a-t-il dit, sans prendre de questions des journalistes. En réponse à une question hypothétique, si le gouvernement fédéral libère certains champs de taxation on verra à ce moment ce qu’on fait. On ne peut pas présumer de quel champ sera libéré ou pas. Si un champ fiscal est libéré on pourrait hypothétiquement l’occuper.»

Le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, a jugé qu’il était prématuré de conjecturer sur des hypothèses fiscales.

«On explore toutes sortes de choses et je ne commenterai pas les explorations fiscales, a-t-il dit. On a une commission sur la fiscalité et on est au stade d’aucune décision.»

Le ministre des Affaires intergouvernementales canadiennes, Jean-Marc Fournier, a affirmé que les scénarios de réduction du fardeau fiscal à Ottawa sont encore prématurés.

«Courir après des peut-être, si jamais arrive, honnêtement, je pense qu’on ne fait pas de la bonne information, a-t-il dit aux journalistes. La question est fort hypothétique et moi je ne répondrai pas à ça.»

M. Fournier a toutefois reconnu que son collègue des Finances pouvait soulever des hypothèses sur le sujet.

«Il peut s’avancer, continuez de parler avec lui si vous voulez mais si vous parlez avec moi, il n’y a aucune décision gouvernementale là-dessus, ni ici, ni à Ottawa, a-t-il dit. On va prendre les choses une à la fois.»

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Le cerveau des aînés actifs est en meilleur état que celui des aînés sédentaires

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MONTRÉAL – Le cerveau des aînés actifs contient davantage de matière blanche que celui des aînés plus sédentaires, affirment des chercheurs américains.

Les fibres de substance blanche relient les différentes régions du cerveau entre elles mais se dégradent avec l’âge.

Des chercheurs de l’Université de l’Illinois ont recruté 88 participants âgés de 60 à 78 ans, à qui ils ont demandé de porter un accéléromètre pendant une semaine afin de mesurer avec précision leur niveau d’activité.

Le cerveau des sujets a aussi été soumis à deux examens, de manière à mesurer la densité de la substance blanche.

Les chercheurs ont découvert moins de lésions de la substance blanche dans le cerveau des aînés qui pratiquaient régulièrement un exercice modéré ou vigoureux. Ceux qui s’adonnaient le plus fréquemment à un exercice léger témoignaient d’une plus grande intégrité dans une région du cerveau associée à la mémoire et au langage.

En revanche, les aînés plus sédentaires avaient une moins bonne intégrité de leur substance blanche dans une région du cerveau, l’hippocampe, qui est cruciale pour la mémoire et l’apprentissage.

Les chercheurs expliquent que ces résultats démontrent que 30 minutes d’activité physique par jour ne suffisent pas à combattre la dégradation du cerveau, si le reste de la journée est passé assis devant la télévision.

Les conclusions de cette étude sont publiées par le journal scientifique PLOS One.

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La CAQ exige l’abolition d’un avantage fiscal consenti aux officiers de la SQ

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QUÉBEC – La Coalition avenir Québec (CAQ) exige l’abolition d’un important avantage fiscal consenti aux officiers de la Sûreté du Québec.

Contrairement aux règles qui s’appliquent à l’ensemble des contribuables, le véhicule de fonction fourni par la SQ à quelque 400 officiers n’est pas considéré comme un revenu et est exempté d’impôt.

Les policiers profitent de cette «règle d’exception particulière» depuis 2003 mais pour la CAQ, il s’agit d’un avantage qui n’a «aucun bon sens», de surcroît en période d’austérité budgétaire.

La ministre de la Sécurité publique, Lise Thériault, avait prévenu l’été dernier que la Sûreté du Québec n’échapperait pas à l’effort de redressement budgétaire et elle doit faire preuve de cohérence, a soutenu le député François Bonnardel, mercredi.

«Le premier ministre (Philippe Couillard) demande des efforts à tous les contribuables du Québec, tout le monde doit donner l’exemple: Est-ce que la ministre va mettre fin, comme elle l’avait promis, à cet avantage que les 400 officiers de la Sûreté du Québec ont», a-t-il lancé lors de la période de questions à l’Assemblée nationale.

Le ministre des Finances, Carlos Leitao, s’est chargé de la réplique et a refusé d’indiquer ses intentions. Il a renvoyé la question pour examen à la commission de révision de la fiscalité. Si la mesure est justifiée elle sera maintenue, sinon elle sera abolie, a-t-il fait savoir.

«Il s’agit d’une exception particulière, et donc, ce que nous allons faire, nous allons soumettre cette exception particulière à la commission de révision de la fiscalité pour déterminer de la pertinence. Cependant, comme on l’a répété plusieurs fois depuis le début de cette session et même avant, nous sommes engagés dans un effort de redressement des finances publiques, chaque petit montant est important, et, celui-là, c’est un de ceux qu’on va examiner profondément», a-t-il expliqué.

En vertu de la Loi sur l’impôt, une voiture fournie par un employeur constitue un avantage imposable si elle est utilisée à des fins personnelles. La valeur de l’avantage doit être incluse dans le calcul du revenu de l’employé.

La règle d’exception, prévue depuis 2003, profite aux membres d’un corps de police ou d’un service de sécurité incendie, à condition que l’utilisation du véhicule à des fins personnelles soit décrite dans une directive de l’employeur et que le véhicule soit équipé de façon à permettre une intervention rapide.

Plus tard en point de presse, la ministre Thériault a elle aussi évité de se commettre sur la possibilité de mettre fin à l’exception. Elle a plutôt répété le mantra du gouvernement.

«Tout est sur la table présentement, je pense qu’il faut revoir les façons de faire. La Sûreté du Québec, c’est quand même plus de 950 millions $, ils ont un effort à faire eux aussi», a-t-elle dit.

Le ministère des Finances n’était pas en mesure mercredi après-midi de chiffrer la valeur de l’exemption fiscale.

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Les Canadiens s’intéressent beaucoup au référendum écossais selon un chercheur

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REGINA – Les Canadiens manifestent beaucoup d’intérêt quant à l’issue du référendum sur l’indépendance en Écosse, selon le directeur du Département des études internationales de l’Université de Regina.

Tom McIntosh a affirmé à la station de radio CKRM que cette curiosité s’explique par l’expérience des référendums au Québec. Les Canadiens comprennent ce que vivent les Écossais puisqu’ils l’ont vécu deux fois, en 1980 et 1995, affirme-t-il.

M. McIntosh n’a pas voulu faire de prédiction, puisque les sondages affichent encore des résultats trop serrés.

Le chercheur dit avoir remarqué que les jeunes Écossais semblaient plus favorables à l’indépendance que leurs aînés.

Le clan du Non martèle que l’indépendance pourrait entraîner une tempête économique. Leurs opposants les accusent de mener une campagne de peur, affirmant que la séparation amènerait, au contraire, la prospérité.

Les Écossais seront appelés aux urnes jeudi pour se prononcer sur l’avenir de leur région.

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N-B la nouvelle carte électorale sème la confusion chez certains électeurs

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FREDERICTON – Les chefs de partis au Nouveau-Brunswick soutiennent que la nouvelle carte électorale sème la confusion, plusieurs citoyens se demandant encore où ils iront voter lundi — et certains candidats n’étant toujours pas sûrs de sonner aux bonnes portes…

Le chef du Nouveau Parti démocratique, Dominic Cardy, a ainsi indiqué que dans certaines circonscriptions aux contours redécoupés, les associations locales ne s’y retrouvaient pas toujours, surtout dans les comtés très vastes. Par exemple, dans Gagetown-Petitcodiac, le député pourrait avoir son bureau tout près de Fredericton mais à une heure et demie de route de certains de ses électeurs, raconte M. Cardy.

Une commission mandatée par l’Assemblée législative a déposé la nouvelle carte électorale en avril 2013. La révision faisait passer le nombre de comtés de 55 à 49, et revoyait par le fait même les contours des circonscriptions pour rééquilibrer le nombre d’électeurs dans chacune. La commission doit revoir cette carte électorale tous les 10 ans.

Le chef du Parti vert, David Coon, affirme qu’il a croisé des électeurs encore confus dans Fredericton-Sud, particulièrement aux pourtours de la circonscription, près des nouvelles limites — qui sont parfois fixées au milieu d’une artère principale.

Ainsi, à certains carrefours traversés par une limite de circonscription, l’automobiliste arrêté à un feu rouge peut apercevoir dans son champ de vision des affiches électorales de deux comtés limitrophes.

Certains électeurs ont aussi reçu dans leur boîte aux lettres des dépliants de trois candidats du même parti. Ce dont les formations politiques pourraient bien se passer, admet le chef libéral, Brian Gallant.

Le chef du Parti progressiste-conservateur, David Alward, est conscient que certains citoyens peuvent être confus, et il leur suggère de consulter le site internet d’Élections Nouveau-Brunswick pour bien s’y retrouver. Le premier ministre sortant estime toutefois que la réduction du nombre de circonscriptions s’imposait. «Il y avait trop de députés (…) Il fallait faire un geste responsable», a-t-il indiqué.

Le directeur général des élections du Nouveau-Brunswick, Michael Quinn, a rappelé qu’il faut laisser le temps au temps, et qu’après un premier scrutin, la plupart des électeurs auront adopté les révisions. Il rappelle aussi que les citoyens ont reçu par la poste un carton de l’électeur, qui précise clairement la circonscription, les candidats en lice et l’endroit où aller voter.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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