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Côte-Nord la FTQ-Construction attaque la CCQ sur le placement des ouvriers

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MONTRÉAL – La Commission de la construction du Québec (CCQ) fait erreur en prétendant que la situation de l’industrie sur la Côte-Nord est meilleure qu’ailleurs au Québec, a déploré lundi la FTQ-Construction.

Le syndicat estime que le portrait brossé par la présidente de la CCQ, Diane Lemieux, la semaine dernière, devant la Commission Charbonneau, ne tient pas compte de la réalité des dernières années.

Selon le directeur général de la FTQ-Construction, Yves Ouellet, et le représentant syndical Bernard «Rambo» Gauthier, le système de placement d’ouvriers a fait chuter de façon significative le nombre d’heures travaillées sur la Côte-Nord par des ouvriers de la région.

En point de presse à Montréal, ils ont présenté des données qui avancent entre autres que sur le nombre d’heures totales travaillées sur la Côte-Nord, la part des ouvriers locaux est passée de 72 pour cent à 46 pour cent entre 2009 et 2013.

Pour MM. Ouellet et Gauthier, cette situation place des centaines de travailleurs nord-côtiers au bord du «gouffre financier».

Devant la Commission Charbonneau, Mme Lemieux avait notamment affirmé que les ouvriers de la Côte-Nord qui travaillent sur la Côte-Nord ont enregistré 1000 heures par année à la CCQ comparativement à 600 pour les ouvriers provenant d’autres régions ayant travaillé dans la région.

M. Gauthier a accusé les entrepreneurs de profiter du placement d’ouvriers pour embaucher des travailleurs de l’extérieur qui bénéficient de conditions de travail moins avantageuses par rapport à celles des ouvriers de la Côte-Nord garanties par des conventions collectives.

La FTQ-Construction demande une modification du système de placement d’ouvriers, pour assurer, par exemple, la présence de 70 pour cent d’ouvriers de la Côte-Nord sur chaque chantier de la région.

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Sans-fil un autre joueur serait bénéfique dit le Bureau de la concurrence

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GATINEAU, Qc – La présence d’un nouveau fournisseur national de services sans fil ferait baisser les prix pour les consommateurs, mais le législateur doit faire plus que de se contenter d’imposer un plafond aux tarifs d’itinérance pour en arriver là, a déclaré le Bureau de la concurrence du Canada lors des audiences du CRTC.

Le Bureau demande que le secteur du sans-fil soit plus réglementé, alors que l’organisme régulateur des télécommunications, le CRTC, vient de se lancer dans un nouvel exercice visant à assurer que les consommateurs et les entreprises bénéficient tous deux d’un marché sain.

Le CRTC a ainsi entrepris lundi des audiences publiques sur ce qui est considéré comme la colonne vertébrale des services sans fil aux consommateurs — le marché des services sans fil mobiles de gros au Canada.

Le Bureau a dit à l’organisme régulateur qu’il devait agir pour empêcher les trois grands fournisseurs du sans-fil d’étouffer les nouveaux joueurs.

«Un fournisseur national additionnel augmenterait le choix, étendrait la pénétration du mobile sans fil au Canada (…) et réduirait les prix moyens au détail d’environ deux pour cent», a déclaré, lors des audiences, l’économiste principal Patrick Hughes.

Le CRTC analyse si plus de réglementation est requise pour réduire ou plafonner les tarifs de gros que les fournisseurs de sans-fil facturent aux autres compagnies de téléphonie mobile pour permettre à leurs clients d’utiliser un autre réseau que le leur lorsqu’ils se déplacent à l’étranger.

Et bien que les audiences ne se penchent pas sur les frais d’itinérance que les consommateurs paient, Patrick Hughes a déclaré aux audiences que le marché du gros et celui au détail seraient intimement liés.

Au moins un groupe de réflexion remettait en question une intervention possible du CRTC et demandait s’il devrait faire quoi que ce soit qui pourrait affecter le marché de gros.

L’Institut économique de Montréal a déclaré que même si certains Canadiens ont l’impression qu’ils paient parmi les taux d’itinérance de cellulaire les plus élevés au monde, les consommateurs de plusieurs autres pays paient encore plus.

«Les prix au Canada sont moins élevés qu’aux États-Unis, au Japon et en Australie», a souligné l’Institut dans un communiqué.

Malgré cela, le Bureau de la concurrence a dit au CRTC que certains éléments démontraient que les marges de profit des grands fournisseurs de sans-fil sont plus élevées qu’elles ne devraient l’être.

Le gouvernement Harper a essayé à répétition — jusqu’à maintenant sans succès — d’attirer un quatrième joueur pour mettre en place un autre réseau sans fil au Canada pour faire concurrence à ceux de Bell (TSX:BCE), Rogers (TSX:RCI.B) et Telus (TSX:T).

Le gouvernement faisait valoir qu’une plus grande concurrence ferait baisse les prix pour les consommateurs.

Québecor (TSX:QBR.B) a suggéré que les taux d’itinérance de gros qu’il paie pour se greffer aux tours de transmission cellulaire pourraient l’empêcher de développer son service mobile.

D’autres fournisseurs plus modestes ont également déclaré que les taux d’itinérance étaient un facteur majeur qui affecte leur capacité de faire concurrence.

Mais Rogers Communications, BCE et Telus soutiennent qu’une réglementation additionnelle entraverait leur capacité à investir dans des améliorations à leur propre réseau sans fil.

Ottawa a déjà adopté des mesures législatives pour plafonner les taux que les fournisseurs peuvent facturer sur une base de gros au maximum de ce qu’ils chargent à leurs clients au niveau du détail, en attendant le résultat des audiences de cette semaine.

Il est attendu que Cogeco Cable (TSX:CCA), qui espère offrir des services sans fil sans construire son propre réseau de tours, demande au CRTC d’adopter de nouvelles règles pour permettre la création de ce qui est connu sous l’appellation de «réseau virtuel mobile», ce qui donnerait aux petits fournisseurs accès au spectre et aux tours de transmission des gros joueurs.

Sans réglementation, les gros joueurs vont continuer à se débarrasser des petits et à les acculer à la faillite, a déclaré Nathalie Dorval, la vice-président des affaires réglementaires de Cogeco.

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Michèle Audette Ottawa punirait les femmes autochtones pour leur militantisme

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OTTAWA – La présidente de l’Association des femmes autochtones du Canada soupçonne le gouvernement fédéral de vouloir couper une partie des vivres de son organisme pour punir son militantisme.

Michèle Audette dit attendre depuis presque un an du financement pour un projet de prévention et de promotion pour les femmes autochtones disparues et assassinées.

Une première version de ce projet a dû être abandonnée lorsque le ministère de la Condition féminine a exigé que cesse le travail de recherche. Le projet visait à mettre sur pied une banque de données des femmes disparues et assassinées.

L’association a alors proposé au ministère une nouvelle version du projet, axée sur la prévention. Elle demandait un budget annuel de 500 000 $. Elle attend la réponse du ministère depuis presque 11 mois.

Mme Audette croit que le gouvernement Harper la fait attendre parce que son association réclame, sur toutes les tribunes, une enquête publique sur les femmes disparues. Le gouvernement conservateur refuse de tenir une pareille enquête.

«Il y a un sentiment de (..): ‘vous dérangez (…) donc on va serrer l’entonnoir. On ne dit pas aux gens qu’on vous a coupés parce qu’on ne vous a jamais coupés, mais on vous tient à la gorge», a illustré Mme Audette au cours d’un point de presse à Ottawa, lundi.

Elle s’est présentée à ce point de presse en compagnie des dirigeants d’Amnistie internationale pour souligner les dix ans d’un rapport, publié par le groupe, sur la violence contre les femmes autochtones.

«Dix ans plus tard on est encore devant vous et peu a changé», s’est désolée Béatrice Vaugrante, directrice générale de la section francophone d’Amnistie internationale.

Mmes Vaugrante et Audette ont réitéré leur appel pour une enquête publique.

«Il reste une personne à convaincre: M. Stephen Harper», a dit Mme Audette, rappelant que leaders autochtones et premiers ministres des provinces réclament eux aussi cette enquête.

Entre 1980 et 2012, 1017 femmes autochtones ont été assassinée et plus de 100 ont été portées disparues.

Mme Audette cherchera bientôt à influencer plus directement les élus. Elle veut se porter candidate pour le Parti libéral du Canada aux prochaines élections fédérales, élections qui devraient se tenir en octobre 2015.

Elle démissionnera donc de son poste à l’Association des femmes autochtones en décembre. D’ici là, elle espère encore rencontrer la ministre responsable de la Condition féminine, Kellie Leitch, au sujet de son projet de prévention.

Dans le dernier budget fédéral, le gouvernement fédéral a réservé 25 millions $ sur cinq ans pour que cesse la violence contre les femmes autochtones. La ministre Leitch a annoncé récemment comment cet argent serait dépensé. Une enveloppe de 5 millions $ y est réservée pour la dénonciation et la prévention de la violence contre les femmes autochtones.

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Vol gratuit à des leaders de l’UE le gouvernement écorché par l’opposition

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OTTAWA – Les partis d’opposition jugent douteux, voire «lamentable», la décision du gouvernement Harper de défrayer les coûts du voyage de retour de la délégation de l’Union européenne (UE), vendredi dernier.

Le leader parlementaire du Nouveau Parti démocratique (NPD), Peter Julian, s’est dit loin d’être convaincu qu’il était justifié d’utiliser les fonds publics pour éponger cette facture, laquelle a été évaluée à plus de 300 000 $ par le réseau CBC.

L’ajout d’une réception à Toronto au programme du sommet Canada-UE a fait en sorte qu’il devenait impossible pour les dirigeants européens Herman Van Rompuy et Jose Manuel Barroso d’emprunter un vol commercial d’arriver à temps à une rencontre à Bruxelles, a plaidé le gouvernement.

On a donc mis à leur disposition l’appareil qu’emprunte le premier ministre Stephen Harper lors de ses voyages à l’étranger.

«L’Airbus a été mis à la disposition de nos invités de l’Union européenne par courtoisie, de manière à ce qu’on ne coupe court à aucun élément du sommet de vendredi», a expliqué le Cabinet du premier ministre.

Cette explication est loin d’avoir satisfait les deux principaux partis d’opposition à Ottawa.

«Trois cent mille dollars pour éviter que le sommet soit écourté? Ça va être difficile à défendre auprès de la population canadienne, à mon avis», a suggéré M. Julian en point de presse lundi matin.

Son collègue Charlie Angus, porte-parole néo-démocrate en matière d’Éthique, a ajouté que le Parti conservateur devait des explications aux Canadiens, qui devront s’acquitter d’un montant «exorbitant» pour cette «opération de relations publiques» au profit du premier ministre.

Le député libéral Stéphane Dion a abondé dans le même sens, qualifiant de «lamentable» le fait que la facture de ce vol de retour soit refilée aux contribuables «simplement pour que le premier ministre se vante» d’avoir conclu un traité de libre-échange avec l’UE.

Surtout qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, a insisté M. Dion, rappelant que le ministre allemand de l’Économie, Sigmar Gabriel, a déclaré la semaine passée qu’il était «totalement clair» que Berlin rejetterait les dispositions sur la protection juridique des entreprises.

«Il ne l’a pas (l’accord), c’est même pas vrai! Est-ce qu’il peut attendre d’avoir une vraie entente? À ce moment-là, s’il veut dépenser un peu d’argent pour fêter l’événement, on le fêtera avec lui», s’est exclamé le député de Saint-Laurent—Cartierville.

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Les stérilets et les implants hormonaux sont conseillés aux adolescentes

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CHICAGO – Les adolescentes actives sexuellement devraient utiliser des dispositifs intra-utérins ou les implants hormonaux pour prévenir les grossesses, selon un groupe de pédiatres américains.

L’Académie américaine de pédiatrie estime que ces méthodes de contraception sont plus sécuritaires, efficaces et faciles à utiliser. Elle recommande encore l’utilisation du condom pour éviter la transmission d’infections transmissibles sexuellement.

Le condom est encore le plus populaire chez les adolescents, bien qu’il demeure peu efficace pour prévenir les grossesses.

En revanche, l’efficacité des implants hormonaux et des dispositifs intra-utérins, ou stérilets, se rapproche de 100 pour cent. Leurs taux d’échec sont moins grands que les pilules, les timbres et les injections contraceptives.

Les dispositifs intra-utérins et les implants homonaux peuvent coûter des centaines de dollars, notamment parce qu’un médecin doit les installer, mais ils demeurent moins dispendieux que les condoms à long terme, estime Mary Ott, une médecin spécialisée en soins pour les adolescents.

Les stérilets sont efficaces de trois à dix ans, alors que les implants homonaux peuvent durer trois ans.

Le Collège américain des obstéticiens et gynécologues avait fait cette même recommandation en 2012.

Le sérilet, un petit dispositif en cuivre contenant des hormones, est installé dans l’utérus. L’implant hormonal, de la grosseur d’une allumette, est quant à lui placé dans l’avant-bras de la femme.

Note to readers: Corrige coquille dans le titre

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Infrastructures plan complet pour détecter les situations non concurrentielles

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MONTRÉAL – La Société québécoise des infrastructures prévoit avoir mis en oeuvre tout un train de mesures d’ici le 31 décembre prochain pour mieux détecter les situations non concurrentielles dans le processus d’octroi des contrats publics.

Son vice-président aux affaires juridiques et corporatives, Me Alain Parenteau, a précisé à la Commission Charbonneau, lundi, qu’environ 60 pour cent des mesures prévues au plan d’action de la SQI étaient déjà en vigueur, mais qu’il faudra attendre à la toute fin de l’année pour que toutes le soient pleinement.

Le plan a été entériné en mai dernier par le conseil d’administration de la SQI, à la suite d’un rapport de SECOR-KPMG traitant entre autres des avenants et extras dans les contrats publics. Ce rapport avait identifié certaines vulnérabilités.

Entre autres mesures, la Société québécoise des infrastructures mettra sur pied une équipe d’estimateurs qui interviendra lorsque les autorités sont confrontées à un prix «anormalement bas» lors d’un appel d’offres.

Elle veut également ajouter des pénalités, par exemple dans ses contrats de services, lorsqu’une firme qui a obtenu un mandat d’un organisme public substitue après coup son expert-clé par un autre moins qualifié. «Substitution d’une personne-clé par une autre, (ce sera) donc des mesures de pénalité. Ou des erreurs ou des omissions, des retards dans l’échéancier. C’est souvent par des mécanismes de pénalité (qu’on va agir). On va être plus systématisé à ce niveau-là; on va être plus serré à ce niveau-là», a promis Me Parenteau.

Il a aussi noté la mise en place d’un «nouveau critère» qui remplacera le rapport de rendement insatisfaisant d’une firme ou entreprise: l’avis de redressement. Cet avis sera envoyé en cours de réalisation d’un projet, non à la fin de celui-ci.

Par cet avis, la firme sera invitée à corriger une lacune. Et cela pourrait abaisser sa note dans un système de pointage. «Si on est obligé de répéter à chaque fois qu’on l’a (cette firme) dans des contrats, on va les colliger ces avis de redressement-là. Et ça va devenir, non pas ‘on va l’éliminer’, mais ça va être comme un intrant négatif dans une évaluation à venir. Et ça va être dit dans les documents d’appel d’offres», en toute transparence, a expliqué Me Parenteau.

De même, deux codes d’éthique seront en force, l’un touchant déjà les dirigeants et administrateurs, l’autre, pas encore adopté, qui touchera les employés. Si celui qui touchera les employés n’est pas encore en vigueur, c’est que la SQI veut d’abord obtenir l’aval des syndicats, a expliqué Me Parenteau.

Les PPP

La SQI a aussi exposé à la commission ses façons de faire pour les PPP (partenariats public-privé) et les projets dits clés-en-main ou CC pour conception et construction. Elle compte notamment sur la présence d’un vérificateur de processus et d’un arbitre de conflits d’intérêts, en plus d’une panoplie de sous-comités sous la compétence du comité d’évaluation et du comité directeur.

Après que le témoin eut qualifié de «gros gain» ce poste de vérificateur de processus, le commissaire Renaud Lachance lui a rappelé qu’il existait bien un vérificateur de processus dans le dossier du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) et que celui-ci n’avait rien vu de ce qui se serait tramé dans ce contrat.

Le témoin a dû admettre que «c’est un très bon moyen, mais qu’il est perfectible».

La commission d’enquête a cherché à savoir si la SQI avait tiré des leçons de ce dossier.

«La difficulté, c’est qu’il y a des éléments comportementaux sur lesquels je n’ai pas de prise. Oui, je peux détecter en fonction de gestes qui sont en lien avec le processus. Il y a des discussions: est-ce que c’était étanche ou est-ce qu’il y a quelqu’un qui a obtenu de l’information qu’il n’aurait pas dû obtenir? Là, on peut arguer. Mais quelqu’un qui décide, un soir, d’appeler l’autre et de dire ‘on va s’arranger entre nous autres et je vais te refiler quelque chose’, ce bout-là, je ne pourrai jamais vraiment intervenir sur ça, à moins d’être dans la même chambre qu’eux autres _ ce que je n’ai pas l’intention d’être», a commenté Me Parenteau.

Le témoin a dû admettre que les autorités n’ont «pas tout fait le tour du jardin» dans ce dossier pour vérifier s’il y avait des choses qui pouvaient encore être améliorées, corrigées.

La Société québécoise des infrastructures est née en novembre 2013 de la fusion d’Infrastructure Québec et de la Société immobilière du Québec.

La commission d’enquête entendra mardi des témoins du ministère des Transports du Québec.

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Blog de Das - 5ème semaine 2209 – 2809

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Blog de Das - 5ème semaine (22.09 – 28.09)
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J’ai testé la marche nordique en Finlande

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Connaissez-vous ce sport originaire de Finlande ? Peut-être avez-vous une certaine image de la marche nordique qui ne correspond pas à la réalité. J’en avais une image fausse pour ma part. Après l’avoir testé,[...]

La suite de l'article sur mon blog ! (cliquer sur le titre en bleu )
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Risques et sécurité dans les principales destinations touristiques

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Risques sanitaires, terroristes, naturels… Avant de partir en voyage, il faut bien se renseigner sur les risques liés à votre destination. Voici la marche à suivre et les régions à éviter pour limiter les dangers lors d’un voyage à l’étranger. 

Cet article a pour but d’informer au mieux possible les voyageurs sur les conditions de sécurité dans des destinations où des événements liés à la géopolitique peuvent engendrer des risques. Il sera mis à jour régulièrement en fonction de l’actualité et des recommandations du ministère français des Affaires étrangères (MAE). Il n’est pas question ici d’entretenir un climat de peur, mais simplement de vous aider à préparer au mieux vos prochaines vacances. Il n’est pas question non plus de se substituer au MAE ! 

Les « Conseils aux voyageurs » du ministère des Affaires étrangères

De nombreuses sociétés privées opèrent dans le domaine des risques/pays et distillent des conseils et informations, à destination surtout des entreprises privées. C’est notamment le cas de GEOS et de Control Risks qui publient chaque année classements et cartes des risques dans le monde. Mais pour les expatriés et les touristes français, il y a un site de référence à consulter systématiquement avant un voyage vers l’inconnu : le site du ministère des Affaires étrangères (le MAE). C’est lui qui sera en charge de votre prise en charge si une mauvaise aventure vous arrivait à l’étranger. Il est donc le mieux placé pour vous informer.

  • 1 – Rendez-vous sur la rubrique « Conseils aux Voyageurs » du MAE. La rubrique « Dernières minutes » vous alerte sur les événements récents qui pourraient avoir un impact sur votre sécurité.
  • 2 – Cliquez sur « Conseils par pays » pour trouver votre destination.
  • 3 – Cliquez sur l’onglet « Sécurité » sur la page dédiée à votre destination.

Il est également très important de s’inscrire au fil d’Ariane du MAE. Ce service vous permet de déclarer au ministère des Affaires étrangères dans quel pays vous vous trouvez et comment vous contacter en cas de crise et de situation d’urgence (épidémie, éruption volcanique, coup d’État…).

Il existe différents niveau de risques : certaines zones sont à proscrire absolument (les zones rouges et orange foncé), quand d’autres nécessitent simplement une « vigilance normale » ou une « vigilance renforcée ».

mae-risques

Les grandes destinations touristiques à risques

Ce qui suit n’est pas un état des lieux exhaustif des risques encourus dans le vaste monde, mais un point sur certaines des principales destinations touristiques des Français. Le contenu sera étoffé et mis à jour au gré de l’actualité et des recommandations du Quai d’Orsay.

Depuis l’intervention armée de la France aux cotés d’une petite coalition internationale contre Daech (État Islamique), les menaces d’enlèvements et d’attentats contre ses ressortissants sont plus élevés, affirme le ministère des Affaires étrangères, qui a donc relevé le 22 septembre le niveau de vigilance dans une quarantaine de pays, dont certains sont des destinations très fréquentées par les Français.

Le risque terroriste au Maghreb

Au Maroc

Le MAE préconise de maintenir une « vigilance normale » sur tout le territoire marocain (à l’exception du Sahara occidental, déconseillé). Le dernier attentat remonte à avril 2011, à Marrakech.

En Tunisie

Si le niveau de sécurité du pays permet toujours de voyager sereinement en Tunisie, il est tout de même recommandé d’être vigilant. Certaines régions sont également à éviter : le grand sud tunisien, à proximité des frontières algérienne et libyenne, ainsi que la frontière algérienne du centre-ouest. Les grandes villes et principaux centres touristiques restent sûrs.

En Algérie

Le risque terroriste a considérablement diminué en Algérie depuis les années 90, la « décennie noire ». Mais le sud et l’est du pays restent dangereux pour les touristes. Il faut donc éviter le Sahara, les régions frontalières de la Libye et de la Tunisie, le massif des Aurès et la Kabylie.

La situation au Moyen-Orient

En Égypte

Il est « formellement déconseillé » de se rendre dans la péninsule du Sinaï à l’exception de la station balnéaire de Charm el Cheikh. Il faut par contre se cantonner à la ville et éviter les déplacements routiers. Pour ce qui est des croisières sur le Nil et le lac Nasser, les voyageurs doivent s’assurer auprès de l’opérateur qu’une équipe de sécurité est présente à bord. Au Caire et à Alexandrie, il faut s’en tenir aux quartiers touristiques. Voilà pour les principales destinations touristiques, mais ce n’est pas exhaustif, encore une fois, rendez-vous sur le site du MAE ! 

En Israël et dans les territoires Palestiniens

Il convient d’éviter les zones frontalières avec la bande de Gaza, le Liban, la Syrie et l’Égypte. A Jérusalem-Est, la Vieille Ville et les Lieux Saints (l’Esplanade des Mosquées et le Mont du Temple) sont une zone de « tensions régulières entre Israéliens et Palestiniens » précise le MAE. En Cisjordanie, Bethléem, Jéricho, Ramallah connaissent peu de criminalité et accueillent volontiers touristes et pèlerins. Naplouse, Jénine et Hébron sont en revanche des lieux de tensions entre Palestiniens et colons israéliens.

En Jordanie

Malgré la grande instabilité politique régionale qui n’épargne pas le Royaume Hachémite, il est possible d’aller visiter la superbe ville d’Amman et le cité de Pétra. Si vous partez sur les traces de Lawrence d’Arabie, sachez qu’il est formellement déconseillé de se déplacer dans le nord du pays aux abords de la frontière avec la Syrie. En ville, mieux vaut éviter les rassemblements.

L’épidémie du virus Ebola en Afrique de l’Ouest

Il est déconseillé de se rendre dans les pays foyers de l’épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola : la Guinée Conakry, la Sierra Leone, le Libéria et le Nigéria. En revanche, aucun cas n’est déclaré à ce jour au Sénégal et il n’existe aucune restriction pour les ressortissants français se rendant par exemple dans les stations balnéaires sénégalaises au bord de l’Atlantique, comme Saly.

Bons voyages ! 

Image principale : Martyn Wright / Flickr cc.
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Blog de mayakasih - On prend le rythme de la vie balinaise Détente

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Blog de mayakasih - On prend le rythme de la vie balinaise... Détente....
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Top 8 des chiffres que vous ignorez sûrement sur le tourisme

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voyage

Vous souhaitez visiter la Corée du Nord, mais vous ne savez pas combien ça coûte. Quel est le montant nécessaire pour gravir l’Everest ? On vous propose de découvrir le top 8 des chiffres que vous ignorez sûrement sur le tourisme.

25 millions de touristes en 1950

tourisme

D’après l’OMT (Organisation mondiale du tourisme), le nombre d’arrivées de touristes internationaux s’élevait à 25 millions en 1950. En 1965, il a atteint les 112,8 millions de voyageurs. C’est en 2012 que le nombre d’arrivées de touristes internationaux a dépassé pour la première fois le cap du milliard (1,035 milliard). L’année dernière, les touristes à voyager à l’étranger ont été encore plus nombreux en 2013 (près de 1,1 milliard). Et selon l’OMT, on devrait atteindre les 1,8 milliard en 2030.

700 euros les 4 jours en Corée du Nord

corée du nord

La Corée du Nord est l’un des pays les plus fermés au monde. Peu de touristes arrivent à le visiter. Mais le tourisme se développe tout de même petit à petit. L’accès au pays se fait par la Chine ou la Russie. Ce sont quelques agences de voyages reconnues par le gouvernement qui sont autorisées à organiser des séjours dans le pays. Il faut compter environ 700 euros.

La Chine : 1er en terme de dépenses touristiques à l’étranger

touristes

Depuis 2012, les Chinois sont les touristes qui dépensent le plus à l’étranger (+ de 100 milliards de dollars par an). Suivent l’Allemagne et les Etats-Unis, presque à égalité à plus de 80 milliards, et le Royaume-Uni à plus de 50 milliards. Les Français dépensent quant à eux presque 40 milliards à lors des voyages à l’étranger.

Paris, l’une des villes les plus chères pour les touristes

paris

Paris est la deuxième ville la plus chère au monde pour les touristes, derrière Londres (Angleterre). Pour établir ce classement annuel, Ipsos Mori a calculé le prix moyen d’un repas pour deux, deux cocktails, deux trajets en taxi de 3 km chacun, et d’une chambre pour deux dans un hôtel 4 étoiles. Dans la capitale française, cette soirée coûte 383 euros contre 390 euros pour la capitale anglaise. Hanoï, la capitale du Viêt Nam, (115 euros) et Djakarta, la capitale de l’Indonésie (119 euros) sont les villes les moins chères.

50.000 euros pour gravir l’Everest

everest

Atteindre le sommet de l’Everest coûte en moyenne 50.000 euros par personne. Ce sommet du monde est devenu au fil des décennies une attraction touristique très rentable pour les agences. Rappelons que des milliers d’alpinistes ont tenté l’expérience et des centaines en sont morts.

280 euros pour visiter Tchernobyl

tchernobyl

Depuis 2010, les touristes peuvent visiter Tchernobyl. Il y aurait environ 18.000 voyageurs chaque année pour découvrir le site de la centrale qui a provoqué la plus grave catastrophe nucléaire civile au monde, en 1986. Coût de la visite : 280 euros.

80 euros pour découvrir le township de Soweto à vélo

soweto

Et si vous visitiez le township de Soweto (Afrique du Sud) à vélo ? C’est le voyage assez spécial que propose une auberge de jeunesse du secteur. Accompagnés d’un guide, les touristes peuvent choisir entre un parcours de 2h, de 4h ou d’une journée entière.

7 touristes de l’espace

espace

En tout, 7 touristes ont déboursé entre 15 et 30 millions d’euros, chacun, pour se rendre dans l’espace. C’est un homme d’affaires californien, Dennis Tito qui a été le premier touriste de l’espace.

[Photo 1, photo 2, photo 3, photo 4 photo 5, photo 6, photo 7, photo 8, photo 9, Source]

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Vueling propose plus de vols entre Brest et Barcelone pour Noël

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La compagnie espagnole Vueling ajoutera des vols entre Brest et Barcelone pour les fêtes de fin d’année.

Il y aura quatre vols directs pour Barcelone le 26 et le 29 décembre, ainsi que les 2 et 4 janvier, précise le site cotequimper.fr. Pour un total de 1 800 sièges contre 1 080 l’année précédente.

Grâce aux nombreuses correspondances possibles à l’aéroport Barcelone-El Prat, les Brestois et les Finistériens pourront accéder avec Vueling à toute une gamme de destinations. Notamment au Maroc : Nador, Fès, Tanger et Marrakech.

Photo : Ajutament Barcelona / Flickr cc.
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Transavia se retire de l’aéroport Lille-Lesquin

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Transavia supprimera ses vols low cost au départ de Lille à la fin du mois d’octobre.

« La réorganisation de la compagnie aérienne Transavia fait une victime collatérale, l’aéroport de Lille-Lesquin », analyse le quotidien régional « La voix du Nord ». En conséquences, les quatre destinations de la compagnie ne seront plus desservies depuis Lille. Fini les vols pour Venise, Djerba, Oujda et Agadir.

Que les Lillois se rassurent, il reste encore des compagnies à bas coût à Lille-Lesquin : easyJet, Ryanair, Volotea et Vueling. Il est possible que les liaisons abandonnées par Transavia soient reprises par l’une ou plusieurs d’entre elles.

Photo : Andy Mitchell / Flickr cc.
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Une Rome ultra-contemporaine

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Ara Pacis
©shutterstock

Ville-musée, conservatrice, provinciale… Décidée à tordre le cou aux clichés qui lui collent à la peau, la Ville éternelle s’offre, après des années d’immobilisme, les grands noms de l’architecture internationale pour écrire une nouvelle page de son histoire urbaine. Balade alternative dans une Rome qui ne se contente plus d’être figée dans ses ruines et qui ose les formes radicales !
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Excursion aux Batu Caves

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Dernier jour en Malaisie, on se dirige vers les Batu Caves. On reprend le train super propre et climatisé. Les Batu Caves se trouvent au terminus de la ligne, on ne peut pas se tromper ! Dès la sortie du métro, une fois passé tous les stands de bouffe, on arrive aux pieds des grottes. Ça peut[...]
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Excursion aux Batu Caves

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Blog de guilfouine - J18 - Vancouver - Jour 3

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Blog de guilfouine - J+18 - Vancouver - Jour 3
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Blog de milou - ENCORE UN CHOUETTE ANNIV

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Blog de milou - ENCORE UN CHOUETTE ANNIV!!!!
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Lundi 29 arrivée

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Nous sommes bien arrivés. Temps couvert mais pas de pluie ! Quelques petits bobos déjà, Candice s'est un peu tordu la cheville, et Théo Farschon a fait une petite chute à VTT , rien de grave heureu
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Blog de mayakasih - ballade en scooter dans les environs dUbud

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Développement durable

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Le Costa Rica préserve tellement sa nature qu’il en préserve aussi ses nids de poule. Solution efficace pour l’économie du pays car nous constatons plusieurs bénéfices. Tout d’abord cela réduit naturellement la vitesse en ville, donc moins d’accidents moins de consommation de carburant, moins de pollution, cela relance la vente d’amortisseurs, réparation en tout genre, jantes, pneus etc.

Photo La NacionPuis au bout de deux ans, normalement votre voiture est bonne pour la casse, mais là encore, cela intéresse bon nombre de personnes à restaurer la voiture et donc crée des emplois, enrichie le parc d’occasion et parallèlement augmente la vente de véhicules neufs. Cette politique est aussi valable pour les piétons car beaucoup de trottoirs ne valent pas mieux. Mais là encore on peut en tirer plein de bénéfices. En premier lieu, se promener à San José permet de faire naturellement de la gymnastique, pas chassés, petits sauts, grands écarts, donc lutte contre les maladies cardio-vasculaires. Dans un deuxième temps, cela relance la vente de chaussures, c’est certainement la raison pour laquelle il y a de nombreux magasins de chaussures dans la capitale. Une petite pensée pour ces femmes en talons haut pour qui c’est un challenge de tous les jours. J’ai toujours aimé ce concept de développement durable surtout quand il est appliqué dans la bonne humeur et dans le consentement mutuel. Pura Vida

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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