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Le Canada emboîte le pas au Black Friday un événement des États-Unis

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TORONTO – Plusieurs grands détaillants du Canada ont décidé cette année de souligner eux aussi le Black Friday, même s’il s’agit d’un événement de commerce au détail qui est essentiellement américain.

Depuis plusieurs années, les détaillants des États-Unis offrent des rabais importants lors du vendredi qui suit l’Action de Grâces américaine. Cette tradition appelée le Black Friday a fréquemment provoqué des cohues aux portes des magasins.

Or, voilà que cette année, plusieurs grandes chaînes offriront des rabais exceptionnels aux clients du Canada.

Par exemple, Cadillac Fairview, l’un des principaux gestionnaires de centres commerciaux du Canada, annonce que vendredi, 21 de ses centres ouvriront à 7h00 dans plusieurs provinces et à 8h00 au Québec. Ce sera le cas pour quatre grands centres commerciaux de la région de Montréal.

À Toronto, les chercheurs d’aubaines pourront entrer au Centre Eaton dès 6h00.

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Polémique un faux bidonville pour touristes

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shanty town

« Des millions de personnes vivent dans des bidonvilles à travers l’Afrique du Sud. Maintenant vous pouvez vivre cette expérience en séjournant dans une cabane au sein de l’environnement sécuritaire d’une réserve de chasse privée ». C’est l’aventure touristique que propose, en Afrique du Sud, l’hôtel de luxe Emoya Hotel & Spa.

Révélé par une l’émission satirique américaine The Colbert Report, au début du mois, le concept choque. « Cette aventure humaine » comme Emoya Hotel & Spa l’appelle, coûte 62 euros la nuit sans petit déjeuner. Malgré la polémique qui enfle, Emoya Hotel & Spa persiste à vendre cette expérience sur son site Internet.

[Photo de Shanty Town sur le site de Emoya Hotel & Spa]

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Polémique un faux bidonville pour touristes

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shanty town

« Des millions de personnes vivent dans des bidonvilles à travers l’Afrique du Sud. Maintenant vous pouvez vivre cette expérience en séjournant dans une cabane au sein de l’environnement sécuritaire d’une réserve de chasse privée ». C’est l’aventure touristique que propose, en Afrique du Sud, l’hôtel de luxe Emoya Hotel & Spa.

Révélé par une l’émission satirique américaine The Colbert Report, au début du mois, le concept choque. « Cette aventure humaine » comme Emoya Hotel & Spa l’appelle, coûte 62 euros la nuit sans petit déjeuner. Malgré la polémique qui enfle, Emoya Hotel & Spa persiste à vendre cette expérience sur son site Internet.

[Photo de Shanty Town sur le site de Emoya Hotel & Spa]

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Nos idées sorties week-end du 29 30 novembre et 1er décembre

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Toulouse Game show

Comme chaque jeudi, on vous propose une liste de manifestations qui se déroulent ce week-end.

Braderie Solidaire du Sport, Paris

La 5e édition de la Braderie du Sport 2013 a lieu ce week-end à Paris. Pendant deux jours, vous pourrez acheter des vêtements de sport, tout en étant solidaires. Les bénéfices des ventes reviennent à l’association 1 Maillot pour la Vie qui s’occupe des enfants malades. C’est donc une occasion pour allier bonne action et bonnes affaires.

Infos pratiques : Samedi, 14h-20h et dimanche, 10h-18h La Cartonnerie (Paris 11e), 2 €, https://www.facebook.com/braderie.solidaire

Où dormir ?

Hôtel de l’Europe
Cet hôtel se trouve à Paris, dans le quartier de Arc de Triomphe – Palais des Congrès – avec une réception ouverte 24 h/24

Hôtel Armstrong
L’Hôtel Armstrong se situe dans une rue calme de Paris, près du quartier Bastille, entouré de nombreux magasins, cafés et marchés.

Toulouse Game show

Conférences, quizz, projections, espace culturel … Les amateurs de manga, jeux vidéos, science-fiction et autres cultures asiatiques se donnent rendez-vous au Toulouse Game show. Parmi les invités : l’auteur et scénariste du fameux MPD Psycho, Eiji Ôtsuka, le dessinateur Reno ou encore le développeur de nombreux jeux vidéo, Yoshihisa Kishimoto.

Infos pratiques : Samedi, 10h-22h30 et dimanche 10h-19h , à partir de 13 €, Parc des Expositions, http://www.toulouse-game-show.fr

Où dormir ?

Hôtel Victor Hugo
L’hôtel Victor Hugo** vous accueille dans une ambiance chaleureuse et contemporaine afin de vous offrir un agréable séjour.

Flamingo Hôtel Restaurant
On vous accueille comme chez de bons amis, dans un mélange de respect et de convivialité. Vous serez conquis par la chaleur des lieux.

Festival de la BD d’Ajaccio

Des rencontres avec les dessinateurs, des ateliers, des conférences ainsi qu’un jeu de piste. La 11e édition du Festival de la BD d’Ajaccio se déroule ce week-end dans la ville Corse. Comme chaque année des prix seront remis pour les auteurs de BD.

Infos pratiques : Vendredi à Dimanche, 10h-18h, gratuit, http://festivalbdajaccio.com/

Où dormir ?

Hôtel Albion
Dans le quartier résidentiel du centre-ville, à quelques minutes des plages, l’hôtel Albion met à votre disposition 56 chambres climatisées ainsi que son parking.

Hôtel Impérial
L’hôtel Impérial est situé dans le golfe d’Ajaccio, dans le quartier calme et prisé du bord de mer à 2 pas du cœur de la ville et de sa citadelle.

Festival Cité Métisse, Cholet

Ce week-end, dites non à la discrimination. L’association Cité Métisse vous propose le Festival de la Solidarité et de la Tolérance. Vous pourrez découvrir Nach, la petite soeur de « M » ou encore le trio BRED’IRIE. A noter que pour assurer les entre-scènes, les jongleurs de la troupe de l’association Pastaballe vous mettront à contribution.

Infos pratiques : Samedi, 16 €, http://www.citemetisse.com/

Où dormir ?

Les Roulottes de la Bosselerie
Venez découvrir au milieu du vignoble nantais, en pleine nature, à 20 km au sud de Nantes Les Roulottes de la Bosselerie à Montbert.

Hôtel La Closerie
Après une journée riche en affaires, en découvertes, vous pourrez dormir sous de bonnes étoiles à l’hôtel La Closerie.

Festival du Boeuf Charolais, Charolles

On finit nos idées sorties du week-end par le Festival du Boeuf Charolais. Le samedi sera consacré à l’exposition de bovins charolais ainsi qu »à un repas pot-au-feu charolais. Le lendemain, des animations viendront égayer votre journée.

Infos pratiques : Du vendredi au dimanche, http://www.bourgogne-du-sud.com

Où dormir ?

Hôtel le Prieuré du Coeur de Jésus
L’ensemble, aux lignes sobres, a été conçu afin de bien s’intégrer au cœur historique de Paray le Monial.

Le Relais Dompierrois
Idéalement situé au centre de Dompierre, Le Relais Dompierrois vous accueille dans un cadre calme, chaleureux et convivial.

[Photo]

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Acheter un van en Nouvelle-Zélande

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La Nouvelle-Zélande regorge de paysages à couper le souffle, de petites villes pleine de charme, de sentiers de randonnées dans les montagnes et de plages isolées qui n'attendent que vous. Oui... Mais pour y accéder il faut un véhicule ! Si vous rester dans le pays plus d'un mois et demi, il[...]
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Canaries nos programmes sur mesure

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el-hierro

Vous séjournez aux Canaries pour la première fois ? Vous cherchez des sites où randonner, prendre le soleil et voir des monuments incontournables ? Ces deux programmes vous donneront un bel aperçu des lieux à découvrir et des activités à privilégier pour la durée d'une semaine.
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Santé Canada approuve l’oxycodone générique malgré les mises en garde des É-U

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OTTAWA – Santé Canada a approuvé récemment une forme générique de l’oxycodone au moment où les autorités américaines pressaient leurs homologues canadiens d’interdire un tel type de puissant antidouleur, en faisant notamment valoir le fort risque de développer une dépendance.

Le feu vert à Ranbaxy, le plus important groupe pharmaceutique en Inde, a été donné peu après que Gil Kerlikowske, directeur du bureau des politiques sur les médicaments à la Maison-Blanche — l’Office of Drug Control Policy —, eut rappelé à la ministre de la Santé, Rona Ambrose, les dangers associés aux formes génériques de l’opioïde.

Les États-Unis ont interdit l’oxycodone générique en raison de la facilité pour les adeptes de renifler ou s’injecter la substance. Les États-Unis affirment être aux prises avec une épidémie d’abus d’antidouleur qui causerait la mort de dizaines de milliers de personnes chaque année.

Les États-Unis ont exhorté le Canada à interdire l’oxycodone générique, citant des études montrant que les types créant le plus de dépendance migraient au sud de la frontière.

Les deux pays font des progrès dans la lutte à la dépendance à l’oxycodone, a écrit M. Kerlikowske à Mme Ambrose le 8 novembre, mais «davantage peut être fait pour prévenir le mauvais usage et le détournement des produits génériques de l’oxycodone, qui demeurent disponibles sur les marchés canadiens dans une forme écrasable».

Il a été impossible de savoir, auprès du bureau de M. Kerlikowske ou d’un porte-parole de la ministre, si Mme Ambrose a répondu à la lettre.

Mais un porte-parole de M. Kerlikowske a affirmé que les États-Unis et le Canada avaient compté sur une relation «productive» sur cet enjeu, et a dit espérer qu’il en soit ainsi avec la nouvelle ministre, Mme Ambrose.

Mme Ambrose a été nommée ministre de la Santé en juillet dernier. Concernant l’oxycodone, sa prédécesseure, Leona Aglukkaq, avait appelé les provinces à corriger le tir si nécessaire.

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Accident à Québec un piéton sexagénaire perd la vie heurté par un véhicule

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QUÉBEC – Un sexagénaire a perdu la vie, mercredi, en début de soirée à Québec, après avoir été heurté violemment par un véhicule.

L’accident est survenu vers 18 h 20, sur l’avenue Larue, située dans le secteur de Beauport.

L’homme dans la soixantaine a été frappé de plein fouet, alors qu’il traversait cette artère de la Vieille-Capitale. La victime a été transportée dans un centre hospitalier, où les médecins n’ont pu que constater son décès.

Les conditions routières rendues difficiles en raison de la météo pourraient expliquer l’accident, selon Catherine Viel, agente aux communications, du Service de police de la Ville de Québec. «On pense que le conducteur n’aurait jamais vu le piéton», a-t-elle indiqué en soirée.

Le secteur où l’accident est survenu a été fermé à toute circulation pendant une partie de la soirée pour permettre aux enquêteurs de la police de déterminer avec plus de précision les circonstances du drame.

La vitesse et l’alcool ne seraient pas en cause, selon les premières constations des policiers.

L’identité de la victime n’a pas été révélée.

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Blog de ontheroadagain - MIAMI

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Crise étudiante 18 mois de probation pour un jeune pirate informatique

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MONTRÉAL – Le jeune Montréalais qui a participé aux attaques informatiques de sites du gouvernement du Québec lors de la crise étudiante, au printemps 2012, a reçu mercredi une sentence de 18 mois de probation.

Le pirate informatique n’avait que 12 ans lorsqu’il a participé à la campagne «Opération Québec» qui avait été orchestrée par le groupe Anonymous, au printemps 2012.

Plusieurs sites avaient été visés. Dans certains cas, un message d’erreur apparaissait, dans d’autres les pages d’accueil étaient modifiées. Le jeune homme — dont l’identité ne peut être dévoilée — avait également réussi à saisir des données et à les échanger.

L’avocat de l’accusé a fait valoir en cour que ces attaques n’étaient pas motivées par des considérations politiques et que son client n’était pas assez âgé pour comprendre l’étendue des dommages qu’il a causés.

Le jeune pirate — qui avait plaidé coupable en octobre — a expliqué à la juge Michèle Lefebvre que sa principale motivation était d’obtenir des jeux vidéos en échange des données qu’il parvenait à obtenir.

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Une perquisition est menée dans les locaux de Stationnement de Montréal

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MONTRÉAL – Une perquisition était en cours, mercredi, dans les locaux de Stationnement de Montréal, la société qui gère les stationnements municipaux tarifés dans la métropole.

Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a confirmé que des enquêteurs menaient une perquisition dans un édifice paramunicipal situé sur la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal.

En janvier dernier, deux cols bleus avaient été arrêtés en lien avec des irrégularités constatées à Stationnement de Montréal.

La société avait alors mandaté un spécialiste en juricomptabilité pour mener une enquête à l’interne.

Le 15 novembre, Stationnement de Montréal annonçait avoir remis le rapport au SPVM et ajoutait que deux nouvelles arrestations avaient alors eu lieu.

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Michel Faubert un regard mordant sur le monde du trad et un nouveau disque

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Avec son très court livre Trad, petit lexique bête et méchant à l’usage des néophytes, le conteur, chanteur et membre des Charbonnier de l’enfer Michel Faubert risque de se faire quelques ennemis dans le milieu de la musique traditionnelle. Son lexique est effectivement «bête et méchant», mais il est aussi extrêmement drôle et mordant.

faubert-trad

 

***

def-1

D’où vient ce livre?

Ça fait un bout de temps que je l’ai en tête.

Il y a 20 ans, je sortais mon premier album, Maudite mémoire. C’était un album de complaintes, parce que je voulais prendre une distance par rapport à ce qui se fait dans le milieu, qui est plus axé autour du rythme, des chansons à répondre et des reels.

Quand j’ai créé les Charbonniers de l’enfer, c’était aussi pour faire les choses autrement. Une fois la surprise de l’a capella passée, par contre, je me suis retrouvé dans un spectacle vraiment trad, avec des jokes et des chansons à répondre. J’étais retourné sur un échiquier duquel j’avais essayé de prendre mes distances.

Trad est arrivé à la fin de l’enregistrement du disque Nouvelles Fréquentations [où les Charbonniers reprennent Plume Latraverse, Noir Désir et Neil Young plutôt que des chants traditionnels]. J’ai eu besoin de m’exprimer sur là où j’étais rendu et comment je voyais les choses.

Quelle définition est venue en premier?

«Complainte» : chanson folklorique du temps des Fêtes, mais vue du côté de la dinde. C’est mon habitude, de d’abord rire de moi, de ce que je fais.

Je me suis rendu compte vers la fin du processus qu’il y avait quelque chose de maladroitement éditorial, au fond, dans mon livre.

Et quel est cet éditorial?

On parle beaucoup de l’importance de moderniser le folklore. Je ne peux pas être contre, mais encore faut-il avoir des bases et être extrêmement curieux de ces bases-là. J’ai l’impression qu’on est plus vite à vouloir faire évoluer les affaires qu’à les apprendre.

Un Indien qui veut se mettre au sitar, il n’apprendra pas ça avec un disque de Ravi Shankar. Il va rencontrer un maître et prendre du temps. Quand un Québécois veut apprendre la musique indienne, c’est ce qu’il fait : il va en Inde et il suit le processus. Quand on arrive à la musique d’ici, on dirait qu’on n’a plus ce souci-là. Pas assez souvent, en tout cas.

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J’ai l’impression de plus en plus qu’au Québec, on apprend à faire notre musique traditionnelle comme on apprendrait de la musique tsigane ou du jazz. On aborde la tradition d’ici exactement comme on aborderait une tradition de Bulgarie : en ne rencontrant plus personne, à distance.

C’est un peu comme si le Trad était devenu une recette et qu’il y avait une série de trucs, d’ingrédients (la parlure dans le conte, la chanson à répondre, la podorythmie) qu’il suffit de mélanger pour créer du trad.

Tout à fait. Il y a une coupure raide avec les manières de jouer, de chanter et de conter d’avant. On continue à avoir le même discours identitaire par rapport à la mémoire, aux «vieux» et aux traditions, alors qu’on vit complètement sur une autre planète.

Si on avait pu raccorder les fils entre les deux époques, ça aurait pu faire des créations magnifiques. Au lieu de ça, on est pris dans un «faire comme si» qui tient lieu de réalité et de vérité.

Permettez-moi de citer la définition pour «critique de musique traditionnelle» : «article de journal élogieux, rédigé par un moteur de recherche en 1992 / son ingénieux système d’autocollants numériques lui permet d’être facilement appliqué à n’importe quelle production trad sans nul besoin de se déplacer pour aller voir un spectacle ou écouter quelque album que ce soit.» Je dois vous dire que j’ai trouvé ça douloureusement exact.

Je n’ai jamais lu une critique négative d’un disque de trad. Non seulement c’est toujours positif, mais ça dit la même chose pour tous les disques. Comme si le critique ne les avait pas écoutés.

J’ai souvent l’impression que les critiques font comme si le trad existait dans un monde à part, alors qu’on devrait traiter un disque trad d’abord comme un disque de musique, qu’on doit comparer aux autres disques qui sortent.

Ce que tu dis sur les journalistes, c’est aussi vrai pour les musiciens trad eux-mêmes. Quand ils disent que leurs chansons devraient jouer à longueur d’année, ça implique que ces chansons doivent être écoutées en ayant en tête les mêmes critères qu’on applique à ce qu’on écoute le reste de l’année.

def-pouleSi on est au mois de mai et que j’entends «La poule à Colin» entre Richard Desjardins et Thomas Hellman, c’est sûr que je vais soudainement être interpellé par le texte. Je vais mesurer «La poule à Colin» à l’aulne de Desjardins et de Hellman, parce qu’on l’a placée là. Avec son histoire un peu niaiseuse, c’est bien certain que «La poule» ne fera pas le poids.

Chez les Anglo-saxons, c’est très différent. Bob Dylan, par exemple : au début de sa carrière, il chantait des ballades anglo-irlandaises traditionnelles. Son premier réflexe, ça a été de changer les paroles. Ici, c’est le contraire : on va faire «La poule à Colin» en folk, en reggae, en ska, mais personne ne pense à en changer l’histoire et les paroles.

C’est dommage, parce que la chanson à répondre, c’est d’une telle force. Imagine si on arrivait avec des textes coups de poing, des choses revendicatrices, de la colère. Avec le public qui répond, ouf! Imagine la force qu’on aurait.

C’est pourquoi je considère que la plupart des productions trad d’aujourd’hui sont parfaites pour le temps des fêtes : on ferme la switch, on voit notre famille, tout le monde a une petite nostalgie d’un mononcle qui jouait de l’accordéon. C’est normal qu’à une autre période de l’année on ait d’autres exigences par rapport à ce qu’on écoute.

C’est le genre de message qui doit déplaire dans le milieu.

Je ne veux pas couper l’élan des gens qui tiennent ça à bout de bras et tentent de valoriser le trad, mais il y a une nécessité de briser une belle unanimité. Tout le monde se fait de beaux sourires, mais où personne ne se parle vraiment dans le trad. Il n’y a pas beaucoup de débats… sauf quand tu te retrouves en petit groupe. Quand je parlais de mon livre, on me proposait des définitions qui étaient parfois d’une méchanceté, mon ami!

La santé d’un milieu peut venir de sa capacité de rire de lui-même. Ça fait partie de l’exercice.

Quelque chose à ajouter à propos de votre livre?

Heu… Mille pardons. * rire *

C’est un livre idéal pour les toilettes chimiques d’un festival folk.

—–

Trad – Petit lexique bête et méchant à l’usage des néophytes
Michel Faubert
Planète rebelle
Montréal, 2013, 56 pages

***

Michel Faubert vient également de faire paraître le très beau disque Mémoire maudite. Ne le confondez pas avec Maudite Mémoire, son tout premier disque, duquel il reprend au passage quelques titres, dans de nouveaux arrangements.

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Comme 80% des disques de musique traditionnelle, celui-ci sort dans le bout de novembre ou décembre. (Cette statistique est tirée de ma manche gauche, prière de ne pas me citer dans une maîtrise universitaire.) Album de complaintes, la spécialité de Faubert, il s’agit bien plus d’un disque d’hiver, dont l’ambiance se prête bien au froid dehors et au chaud dedans, que d’un «disque des fêtes».

Bref, si vous voulez quelque chose à faire jouer pendant votre souper de Noël, pour l’ambiance, allez voir ailleurs.

«La fille du boulanger» :

  Écouter la chanson

Mémoire maudite / Michel Faubert / La Tribu

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Wellington une capitale à taille humaine

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Bonjour à tous ! C’est la deuxième fois que nous mettons les pieds dans la capitale, nous y passerons donc au total 6 jours. Le moins que l’on puisse dire c&rsqu
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Nous sommes arrivés chez les Incas

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 Le train qui nous emmène à Agua Calientes, village au pied du Machu Picchu                              &n
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Sud Lipez / Salar Uyuni J4

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Dernier jour mais qu'elle journée ! Debout à 4h30, on se prépare. 5h00 pétante départ pour le Salar d'Uyuni. Situé à 3650 mètres d'altitude, il s'agit d'un immense désert de sel. D'apr&eg
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La mer des caraïbes

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Bocas Del Toro : Comme dit précédemment nous avons fait 11 heures de bus très difficiles pour atteindre Almira
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Voyage en cargo du Havre vers le Brésil

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Voici le récit de mon voyage sur le porte container Platon de la Compagnie CMA-CGM, qui effectue une rotation régulière entre l'Europe et le Brésil.

P1320808

Cette traversée de l'Atlantique m'a permis de prendre la mesure de son immensité, avec cette notion de lenteur propre au voyage maritime, une expérience obligeant à la patience et à l'humilité.

Comme il n'y a ni téléphone, ni télévision, ni internet, voyager en cargo permet de revenir à l'essentiel. Une vie à bord rythmée par les heures de repas qui sont un moment d'échange et de convivialité avec les quelques passagers ainsi qu'avec l'équipage.

 Il se passe toujours quelque chose sur un cargo :  observer la mer qui change selon les caprices de la météo, et, avec les indispensables jumelles, scruter les navires qui croisent notre route, les oiseaux de mer, les dauphins qui jouent parfois dans les vagues, les poissons volants...

L'océan est un spectacle permanent pour qui sait être contemplatif et patient.
C'est le moment idéal pour lire, écouter de la musique, jouer au ping-pong mais aussi se faire les muscles dans la petite salle de gymnastique.

J'avais pris l'habitude de me rendre de temps en temps sur le pont supérieur, un petit signe des marins derrière la vitre m'autorisait à entrer dans le poste de pilotage, pour discuter de notre route, regarder les cartes marines. J'ai beaucoup appris de la vie de ces hommes courageux éloignés pendant des mois de leurs familles.

De retour sur terre, je ne peux m'empêcher de ressentir une grande nostalgie pour ces moments merveilleux passés à bord, grâce à l'accueil et la cordialité du capitane Stefan Savu et son équipage.


Récit de mon voyage en cargo du Havre à Bélem (Brésil)

 

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Mais le voyage avait commencé bien longtemps avant le départ, sur une île de la Seine.

Le Club Cargo de la Librairie Ulysse à Paris :

 

A Paris, au coeur de l'île St Louis, au Club Cargo de la Librairie Ulysse. Créée par Catherine Domain au début des années 1970, la librairie Ulysse est spécialisée dans le voyage. S'y réunissent chaque premier mercredi du mois, à partir de 18h30, les voyageurs en partance, ceux qui rêvent, et ceux qui ont déjà bourlingué.

Le Club Cargo c'est l'occasion de partager, ses expériences, coups de coeur, bons tuyaux, autour d'une petite collation. Une table est dressée sur le trottoir pour accueillir tout le monde, car la librairie est trop petite. Le rendez-vous est annulé en cas de mauvais temps (le Club n'a pas lieu en Janvier). Librairie Ulysse, 26 rue Saint Louis en L'île, 75004 Paris

Bibliographie :

Avant le départ, je conseille un livre formidable, unique en son genre, avec de nombreuses informations pratiques, répondant à la majorité des questions que l'on se pose très légitimement, de nombreux conseils, des itinéraires, des contacts et des témoignages. Un livre devenu ma bible !

Le Guide des Voyages en Cargo, de Hugo Verlomme et Marc-Antoine Bombail43387.jpg

 Un autre livre très intéressant et illustré de très belles photos,
l'Ame des Cargos de Thomas Journot : l'âme des cargos, l'histoire d'un voyage, une histoire de voyageurs.


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Le coup Rogers–LNH et ses répercussions sur la CBC et Radio-Canada

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L’entente Rogers–Québecor–LNH se veut une riposte des concurrents de Bell à sa transaction avec Astral.

Bell a acheté Astral et sa programmation pour 3,4 milliards ; Rogers et Québecor volent le hockey à Bell pour 5,2 milliards et mettent la main sur la plus belle propriété sportive au pays. C’est donc un match nul entre les géants des télécommunications.

La CBC et Radio-Canada sont les grands perdants de ce nouveau paysage audiovisuel. Sans chaînes de sports ni de canaux de diffusions mobiles, une chaîne généraliste canadienne ne peut rivaliser pour les droits sportifs avec les firmes intégrées.

Les généralistes indépendantes sont hors-jeu et pour de bon, car les coûts d’acquisition de droits sont devenus inaccessibles pour elles. Cela est d’autant plus vrai pour la télévision publique, qui dépend de l’État pour une majeure partie de son financement.

Radio-Canada a perdu les droits pour le hockey il y a presque une dizaine d’années. C’est une grande chance quand on y pense, car elle a pu assurer le défi de sa pertinence sans le «produit» hockey. CBC devra réaliser le même exploit, mais avec 10 ans de retard et dans un marché encore plus difficile.

Les journaux torontois affirment que la moitié des revenus publicitaires de la CBC dépend du hockey. Cette manne n’existe plus à compter d’octobre prochain.

Faut-il s’inquiéter pour autant de l’avenir du diffuseur public ? Je pense qu’il ne faut pas exagérer les répercussions de ce revers, même s’il illustre la situation précaire de CBC–Radio-Canada.

Côté positif, rien ne dit que la société d’État dégageait un profit de la diffusion du hockey, une fois les droits et les coûts de production payés. La perte des droits et des revenus ne devraient pas être si dramatiques.

C’est que le sport télévisé n’est pas une activité toujours rentable. Les réseaux américains font peu ou pas de profits avec les parties de la NFL, tellement les droits coûtent cher.

À bien des égards, il s’agit d’un produit d’appel, un «loss leader». Par exemple, le réseau NBC doit débourser plus d’un milliard de dollars chaque année pour diffuser un match de football le dimanche soir pendant 18 semaines, en plus de deux parties éliminatoires. Cela fait 50 millions de dollars par partie !

Par contre, les auditoires sont tels — et le prestige si grand — que cette franchise constitue une formidable vitrine pour l’ensemble de la programmation du réseau.

En maintenant la partie de hockey du samedi soir sur ces ondes, CBC fait un jeu à somme nulle. Elle ne paie rien pour les droits et ne perçoit aucun revenu publicitaire. Elle ne fait que mettre le produit de Rogers en ondes.

En revanche, CBC devrait maintenir un auditoire appréciable et le hockey, demeurer un bon outil promotionnel pour la chaîne publique.

La CBC ne perd pas tout, mais elle en sort quand même affaiblie.

Je crains que cela ne s’inscrive dans une tendance inexorable pour les télédiffuseurs publics. Ils n’ont plus les moyens de concurrencer les grands joueurs privés intégrés et multiplateformes, alors que les États cherchent à diminuer leurs dépenses pour toutes sortes de bonnes raisons. La BBC et France Télévision vivent les mêmes traumatismes et les mêmes angoisses.

Rogers et Québecor ont eu leur match revanche contre Bell, mais la télévision publique a ramassé la «taloche».

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Le reste du document d’enquête concernant Rob Ford sera bientôt dévoilé

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TORONTO – De nouvelles informations provenant de l’enquête policière sur le maire de Toronto, Rob Ford, pourront être dévoilées le 6 décembre puisqu’elles sont d’un grand intérêt pour le public, a tranché un juge, mercredi.

La publication d’une partie du document d’enquête a révélé plus tôt ce mois-ci que d’anciens employés ont soutenu que le maire Ford a déjà travaillé alors qu’il était intoxiqué, qu’il a déjà conduit en état d’ébriété, et qu’il a été vu en compagnie de présumées prostituées.

Ce document — qui contient des allégations qui n’ont pas été prouvées en cour — a été déposé au procès d’un ami du maire Ford, Alexander Lisi, dans une affaire de drogue.

L’enquête policière avait été ouverte à la suite d’allégations voulant qu’il existerait une vidéo montrant le maire Ford en train de fumer ce qui semble être du crack.

Après des mois de déni, Rob Ford a finalement admis avoir été filmé alors qu’il consommait de la drogue. Le maire maintient toutefois qu’il ne fréquente pas de prostituées, et qu’il ne souffre pas de dépendance à l’alcool ou aux drogues.

Le juge Ian Nordheimer, de la Cour supérieure de l’Ontario, a permis mercredi aux médias d’avoir accès aux portions du document qui n’ont pas encore été dévoilées, à l’exception de quelques passages traitant de techniques d’enquête ou d’informations confidentielles.

La date du dévoilement a été fixée au 6 décembre, pour permettre à la Couronne d’en appeler du jugement, si elle le souhaite.

Dans sa décision, le juge Nordheimer soutient qu’en termes de procédure légale, il est difficile d’imaginer une affaire qui revêt une plus grande importance pour l’intérêt public que celle-là.

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Extrait] La machine à broyer les rêves Anthony Duclair et la théorie des 10 000 heures

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Photo: Ghyslain Bergeron/Presse canadienne

Photo : Ghyslain Bergeron / Presse Canadienne

Le hockey est-il devenu un sport réservé aux riches ? Quels sacrifices les jeunes hockeyeurs doivent-ils consentir pour espérer, un jour, percer dans les grandes ligues ? Pour répondre à ces questions, le journaliste Jonathan Trudel a suivi pendant six mois le parcours d’un des hockeyeurs québécois les plus prometteurs, Anthony Duclair, des couloirs du vieux Colisée, où joue son équipe junior (les Remparts de Québec), à ceux du Prudential Center, au New Jersey, où il a été recruté par les Rangers de New York au dernier repêchage de la LNH. Un extrait de son reportage est disponible ci-dessous. Pour lire la version intégrale, procurez-vous le plus récent numéro de L’actualité, disponible en kiosque.

* * *

 À sept ans, Anthony Duclair a compté neuf buts dans un match, un exploit gravé dans sa mémoire.

« Je me suis dit : wow, c’est tellement facile… C’est à ce moment que je me suis rendu compte que je pouvais faire carrière au hockey, se souvient Anthony. J’allais au Centre Bell avec mon père voir une partie du Canadien et je me disais : un jour, je vais jouer devant ces partisans. J’avais sept ans, huit ans, et je rêvais à ça. »

Pendant qu’Anthony rêvait, son père établissait, minutieusement, un plan d’attaque.

Un plan qui se résume en trois mots : s’entraîner, s’entraîner, s’entraîner.

« Si un violoniste veut jouer pour l’Orchestre symphonique, il devra s’exercer pendant des heures et des heures. C’est la même chose avec le hockey, dit Wendell Duclair. Selon moi, il faut consacrer au minimum de 5 à 10 heures par semaine à son sport pour se développer. »

Wendell Duclair a vu de près le fonctionnement du système sportif américain, ayant passé une partie de son adolescence aux États-Unis pour suivre son père, prédicateur évangélique. À son école secondaire, dans les années 1980, les élèves qui jouaient au basketball se levaient aux aurores, plusieurs fois par semaine, pour s’entraîner, en plus des matchs.

« Le programme de football était encore plus strict : ils s’entraînaient quatre fois par semaine, le matin et l’après-midi. La grande majorité de ceux qui sont allés loin jouaient sous la pluie, sous la neige, qu’il fasse soleil ou pas, raconte Wendell Duclair. Dans le système québécois, Anthony avait seulement deux heures d’entraînement par semaine, et je ne comprenais pas pourquoi. À son école, la mentalité, c’était : l’été, il faut se relaxer, faire autre chose. Ça ne me rentrait pas dans la tête. Prendre un break ? Pourquoi ? »

Pour Wendell Duclair, l’approche québécoise entrait en collision frontale avec une règle d’or : celle des 10 000 heures.

Selon cette règle, toute personne qui consacre suffisamment d’heures à l’étude et à la pratique d’un métier, d’une profession ou d’un passe-temps deviendra un expert dans ce domaine — qu’il s’agisse de la flûte traversière, des échecs, du tennis ou du dessin d’architecture. Tous les enfants ne deviendront pas de petits Mozart ou Gretzky, mais 10 000 heures (soit 20 heures par semaine, 50 semaines par année, pendant 10 ans) de labeur devraient leur permettre d’atteindre l’excellence.

L’idée a d’abord été avancée par le psychologue Anders Ericsson, il y a 20 ans. Aujourd’hui chercheur à l’Université de Floride, Ericsson a notamment étudié les cas de violonistes de l’Académie berlinoise de musique. Tous avaient commencé l’étude du violon vers l’âge de cinq ans. Quinze ans plus tard, seuls certains d’entre eux avaient atteint le statut de virtuose. Leur point commun ? À l’âge de 20 ans, ils avaient tous cumulé au moins 10 000 heures d’entraînement chacun, contre 8 000 dans le cas des élèves jugés « bons » et à peine plus de 4 000 dans celui des moins performants.

D’abord diffusés dans le milieu scolaire, ces résultats ont acquis une notoriété mondiale depuis la parution, en 2008, du best-seller Outliers : The Story of Success, écrit par Malcolm Gladwell, réputé journaliste au magazine The New Yorker. Citant abondamment les travaux d’Ericsson, Gladwell explique que la plupart des grands de ce monde, qu’ils soient sportifs, musiciens ou financiers, ont atteint le fameux cap des 10 000 heures tôt dans leur vie, ce qui leur a conféré un avantage sur les autres. La règle s’appliquerait même, selon lui, à Bill Gates — qui a passé une partie de son adolescence devant un des rares ordinateurs de la planète à l’époque — et aux Beatles — qui ont joué des nuits entières dans d’obscures boîtes de Hambourg, en Allemagne, au début des années 1960.

Bref, selon Gladwell, tout le monde aurait le potentiel de devenir une star dans son domaine. Le succès n’a rien de surnaturel et n’est pas réservé aux gens pourvus de dons innés ou de gènes exceptionnels.

Séduit par cette idée, un Américain a même quitté son emploi, au printemps 2010, pour se consacrer entièrement à la pratique du golf, espérant devenir un professionnel au bout de 10 000 heures d’entraînement. Au moment de mettre sous presse, il lui restait encore 5 511 heures d’efforts à fournir…

Certains chercheurs critiquent cette fameuse « règle d’or ». Dans son tout récent livre, The Sports Gene (août 2013), David Epstein, ancien journaliste au magazine Sports Illustrated, explique que tous les athlètes n’ont pas la même courbe d’apprentissage. S’appuyant notamment sur des études réalisées à l’Université Laval, à Québec, l’auteur montre que certains mettent 3 000 heures à atteindre l’excellence, d’autres plus de 20 000. La différence : certains ont des aptitudes génétiques permettant à leur corps de mieux s’adapter à l’entraînement et ainsi de se hisser au niveau de l’élite de leur sport.

L’entraînement seul, dit-il, ne suffit pas pour atteindre l’excellence.

Le talent seul non plus…

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Trouvez le texte complet («La machine à broyer les rêves : Une enquête de 16 pages dans les coulisses du hockey») dans le numéro de L’actualité présentement en kiosque.

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L’art de la communication non verbale dans le métro

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Illustration © Libération

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Dans une vidéo publiée par Libération, les sociologues Martin Aranguren et Stéphane Tonnelat expliquent leur travail sur les interactions entre usagers du métro aux heures de pointe. S’ils se sont concentrés sur les Français et le transport parisien, le résultat de leur recherche met en lumière des comportements que l’on peut observer au Québec comme ailleurs.

Puisque les contacts entre inconnus sont inévitables dans les moments de forte affluence, les sociologues ont filmé plus de «700 épisodes de montée et de descente des wagons» entre 8h00 et 10h00, puis entre 17h30 et 20h00, afin d’observer les réactions des Parisiens.

«Les gens ne s’habituent pas au contact physique dans le métro de Paris, même s’ils savent qu’il est inévitable», dit Martin Aranguren.

Durant cette période, il peut y avoir de deux à six personnes et demie par mètre carré (1 m2 = 10,76 pi2). Malgré tout, les chercheurs n’ont été témoins que de très peu de situations d’énervement.

«Comment se fait-il que les passagers n’acceptent pas le contact, même lorsque c’est bondé, sans pour autant s’énerver ?», s’est demandé Stéphane Tonnelat.

La réponse est simple : un système de communication non verbal s’est mis en place. À base de clignements de paupières, de haussements de sourcils et d’expressions d’embarras voire de mépris, il permet aux usagers de «réparer» le préjudice d’une bousculade, par exemple.

«La conclusion principale de ce travail est que les émotions des voyageurs rendent possible le fonctionnement du métro», explique Martin Aranguren.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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