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Mon guide des temples et jardins de Kyoto

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kyoto

Kyoto compte autant de temples et de jardins que Tokyo de gratte-ciels : une infinité ! À tel point que lors de ma visite dans cette ville charmante j'ai eu du mal à faire mon choix. Voici quelques pistes pour ne rien manquer.
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Le plan Marceau pourquoi il ne réussira pas

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Photo: Jacques Boissinot/Presse canadienne

Photo: Jacques Boissinot/Presse canadienne

Le ministre des Finances et de l’Économie abdique:  le déficit sera de 2,5 milliards de dollars pour l’exercice 2013-2014 et de 1,750 millions l’année prochaine. Le retour à l’équilibre budgétaire se fera seulement en 2015-2016, et ce, grâce à quelques entourloupettes.

Pourquoi ce déficit?

Essentiellement parce que la croissance économique n’a pas été aussi soutenue que prévu et que les recettes budgétaires sont conséquemment en deçà des prévisions. Un peu plus et le ministre nous rendait responsable de ses malheurs parce que nous ne paierons pas assez d’impôts (écart négatif de 885 millions) cette année et que les entreprises ne feront pas mieux (741 millions de moins).

Les mesures du gouvernement fédéral pour resserrer le financement hypothécaire ont aussi embêté le ministre qui les rend responsables du repli de la construction domiciliaire. Par contre, le ministre n’a pas insisté sur la hausse des paiements de péréquation.

Nicolas Marceau dit aussi que la faible inflation lui a joué des tours.  C’est quand même étrange que le ministre des Finances et de l’Économie se plaigne en quelque sorte de la faible croissance des prix à la consommation et de la hausse du taux d’épargne, deux phénomènes qui se traduiront par un manque à gagner  de 576 millions de dollars  pour la TVQ.

Voilà donc le drame: les revenus autonomes du gouvernement n’augmenteront que de 3,3% cette année, alors qu’on s’attendait à une hausse de 5 %. Cet écart expliquerait à lui seul, ou à peu près, le déficit budgétaire de l’exercice en cours.

Le mythe du déficit zéro

Depuis 2008-2009, le Québec accumule des déficits et il en sera ainsi au moins jusqu’en 2015-2016. Nous aurons au moins sept années consécutives de déficit, malgré une loi sur l’équilibre budgétaire qui les interdit.

Selon cette loi, le gouvernement devrait imputer au budget de l’an prochain une partie de son déficit de cette année. Cela rendrait évidemment plus difficile l’atteinte de sa nouvelle cible budgétaire. Nicolas Marceau a donc jugé que cette loi n’avait pas été conçue pour une période de faible croissance économique comme c’est le cas actuellement et qu’il fallait l’amender. Conséquemment, le gouvernement ne commencera pas à rembourser les déficits de cette année et de l’an prochain avant 2016-2017. Voilà un amendement législatif qui ne passera pas comme une lettre à la poste à l’Assemblée nationale.

Depuis le retour aux déficits budgétaires, la dette brute du Québec est passée de 149 milliards à 198,6 milliards de dollars. L’endettement du Québec correspond à 54,4% de son PIB, un sommet au Canada.

Les deux paris de Nicolas Marceau

Le gouvernement compte sur la croissance économique et le contrôle des finances publiques pour résorber le déficit. J’y vois deux problèmes: la croissance économique et le contrôle des finances publiques!

Nous ne sommes plus à l’époque où les gouvernements pouvaient compter sur une forte croissance économique pour remplir leurs coffres quasi automatiquement. Ce temps est révolu et les prévisions de croissance pour les années à venir sont modestes.

Pour tenter de dynamiser l’économie, le gouvernement consacrera 2 milliards de dépenses supplémentaires au cours des trois prochaines années. Le tout devrait créer 43 000 emplois supplémentaires, soit environ  14 000 par année. C’est beaucoup d’argent compte tenu des finances publiques du Québec et je reste sceptique sur l’utilité de telles mesures. La situation économique du Québec dépendra d’abord de la conjoncture mondiale et nord-américaine et de la compétitivité de notre économie, pas du nombre de programmes concoctés en haut lieu et des subventions accordées.

On peut aussi s’inquiéter des retombées négatives des politiques minières et énergétiques du gouvernement.

Par ailleurs,  Nicolas Marceau vante le contrôle serré des dépenses publiques, l’autre pilier du plan gouvernemental. Les dépenses consolidées du gouvernement ont crû de 2,5% en 2012-2013, mais de 3,3% cette année. Je ne vois pas où est l’amélioration, encore moins l’exploit.

Le retour aux déficits structurels?

Le gouvernement se veut le champion de la gestion serrée des dépenses et il fonde son scénario de retour à l’équilibre budgétaire sur une croissance des dépenses limitée à 2,1% en 2014 et en 2015. Je veux le voir pour le croire.

Ce scénario repose aussi sur une croissance des dépenses en santé et en éducation de 1,1% en 2014 et de 1,4% en 2015. Est-ce raisonnable compte tenu de l’inflation, des besoins croissants, des conventions collectives, du vieillissement de la population et d’une hausse des droits de scolarité universitaires limitée à l’inflation?

Comment éviter les déficits et alléger le poids de la dette alors que la croissance économique tend à être plus faible et la population plus âgée?

Nicolas Marceau nous propose un plan où la seule croissance économique et un contrôle des dépenses nous mèneront tranquillement au déficit zéro. Cela ne marche pas aujourd’hui et je me demande pourquoi ce plan pourrait fonctionner demain compte tenu de l’ampleur des missions gouvernementales et de la taille du secteur public.

Le ministre des Finances et de l’Économie ne veut pas augmenter les taxes et impôts pour ne pas accabler les Québécois et plomber davantage l’économie. Il reconnaît même que l’augmentation de la TVQ par le précédent gouvernement n’a pas produit les résultats escomptés. Voilà une bonne nouvelle, mais le ministre élude néanmoins les choix déchirants qu’il faudra bien faire un jour.

Peut-on faire l’économie d’une grande remise à niveau des services et programmes gouvernementaux pour maintenir l’accessibilité et la qualité de ceux qui nous sont essentiels et trouver d’autres façons de faire pour ceux qui le sont moins?

 

 

 

 

 

 

 

 

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Procès pour six meurtres en Colombie-Britannique un accusé plaide coupable

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VANCOUVER – L’un des hommes accusés de meurtre dans le cadre d’une guerre de gangs dans un gratte-ciel de la région de Vancouver qui a fait six morts, dont deux passants innocents, a plaidé coupable jeudi.

Michael Le, qui était initialement accusé de meurtre prémédité et de complot, a plaidé coupable à une accusation de complot pour meurtre pour son rôle dans les meurtres d’octobre 2007 dans un immeuble de Surrey, en Colombie-Britannique. Il connaîtra sa peine le 13 décembre.

Le procès a été interrompu cette semaine, mais l’intention de Michael Le de plaider coupable était protégée par une ordonnance de non-publication jusqu’à ce qu’il enregistre formellement son plaidoyer.

L’homme était jugé depuis le mois de septembre en compagnie de Matthew Johnston et de Cory Haevischer, qui font chacun face à une accusation de complot et à six accusations de meurtre prémédité.

Un autre accusé a déjà plaidé coupable, tandis que le présumé chef du gang, Jamie Bacon, devrait être jugé l’an prochain.

Quatre des victimes avaient des liens avec le monde de la drogue et des gangs, tandis que deux autres — le réparateur de cheminées Ed Schellenberg, 55 ans, et le locataire Chris Mohan, 22 ans — étaient des passants innocents qui se sont retrouvés pris dans ce que la Couronne a présenté comme ce qui devait être le meurtre d’un chef de gang rival.

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Le processus d’approbation des médicaments de Santé Canada remis en question

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OTTAWA – La récente décision de Santé Canada d’approuver une nouvelle forme générique du populaire antidouleur oxycodone, qui crée une forte dépendance, soulève des questions quant au processus d’approbation du ministère fédéral.

L’approbation des substances médicales s’appuie sur des essais cliniques menés par les sociétés pharmaceutiques elles-mêmes, sans surveillance indépendante. Ces fabricants ne font souvent que comparer leurs produits à des placebos, et non pas à des médicaments de rechange, affirme un expert.

De son côté, Santé Canada dit évaluer «rigoureusement» la sécurité et l’efficacité de tous les médicaments avant de les approuver, en se concentrant sur les besoins et la sécurité des patients.

Pour le docteur David Juurlink, pharmacien clinicien et chercheur en sécurité des médicaments au Sunnybrook Health Sciences Centre de Toronto, les critères de Santé Canada pour approuver des médicaments sont «opaques», puisqu’ils ne font pas l’objet d’analyses externes.

Le peu d’éléments connus sur la façon dont les médicaments sont approuvés pourrait inquiéter les Canadiens qui dépendent de ceux-ci, et même les médecins qui les prescrivent, a-t-il affirmé jeudi.

Le docteur Juurlink soutient que tout ce qu’on sait des médicaments approuvés est un portrait «le plus rose possible», et que cette façon de faire ne peut être passée sous silence, particulièrement en ce qui concerne les opiacés.

Bien entendu, les sociétés pharmaceutiques ne testent pas leurs opiacés avec des patients risquant de développer des dépendances, souligne le docteur Juurlink, ce qui fausse les résultats en termes de risques pour la sécurité.

Et lorsque la comparaison est effectuée avec un placebo, tout patient en proie à des douleurs fera état d’une amélioration après la prise d’opiacés, ajoute-t-il.

«Aucune entreprise pharmaceutique n’a jamais comparé ses opiacés avec des médicaments anti-inflammatoires pendant un an ou deux pour voir avec lequel le patient se sent le mieux dans un scénario réaliste, et cela s’explique tout d’abord parce que le gouvernement ne l’exige pas, mais aussi parce qu’elles savent qu’elles trouveront des aspects négatifs pour leurs produits.»

Les conservateurs fédéraux sont dans l’eau chaude en raison de l’approbation récente, par Santé Canada, de deux versions génériques de l’oxycodone fabriquées par Ranbaxy, une société pharmaceutique indienne.

Ces deux produits ont été autorisés malgré que la ministre de la Santé Rona Ambrose ait laissé entendre, plus tôt cet automne, que le gouvernement conservateur évaluait des demandes des États-Unis pour leur emboîter le pas et interdire l’oxycodone.

Des études ont révélé que les formes génériques d’oxycodone vendues au Canada passent facilement au sud de la frontière, où des dizaines de milliers de personnes meurent chaque année de surdose de médicaments antidouleur vendus sur ordonnance. Le directeur de la Maison-Blanche pour la politique de contrôle des médicaments a écrit à Mme Ambrose, plus tôt cette année, à propos des dangers représentés par les opiacés, et pour pousser le Canada à agir.

Le gouvernement Harper s’est quant à lui défendu jeudi aux Communes.

«Nous avons mis en place des mesures de contrôle strictes au sein du programme de médicaments de Santé Canada, y compris en imposant des limites maximales mensuelles et quotidiennes, en surveillant l’usage de certains médicaments, et l’envoi de messages en temps réel aux pharmaciens dans les points de vente», a dit Eve Adams, secrétaire parlementaire de Mme Ambrose.

L’ex-chef libéral Bob Rae fait partie de ceux qui estiment que l’approbation des deux médicaments de Ranbaxy sera particulièrement dévastatrice pour les Premières Nations. De 70 à 80 pour cent des autochtones des réserves ontariennes sont aux prises avec une forme de dépendance envers les antidouleurs sous ordonnance.

Selon le chef Stan Beardy, cependant, une interdiction fédérale serait sans effet pour les autochtones, puisque les personnes dépendantes vivant dans les réserves obtiennent leurs médicaments en les commandant en ligne dans d’autres pays.

Ce qui est véritablement nécessaire de la part des gouvernements fédéral et provinciaux, estime-t-il, ce sont des efforts communautaires pour s’attaquer aux problèmes à la base des dépendances envers les médicaments dans les communautés autochtones, des problèmes uniques aux Premières Nations, affirme-t-il.

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Les suicides de soldats de retour d’Afghanistan soulèvent des questions

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OTTAWA – Au-delà des messages de condoléances, le gouvernement Harper et les Forces canadiennes semblaient incapables, jeudi, d’expliquer les suicides survenus au cours des dernières semaines parmi des vétérans de la guerre en Afghanistan.

Le cas le plus récent, survenu il y a quelques jours, concerne un sous-officier de la base de Petawawa, au nord-ouest d’Ottawa. La police militaire a ouvert une enquête et n’a révélé aucun détail. Le nom du soldat n’est pas connu.

Une enquête du ministère de la Défense est également en cours au sujet de deux autres décès de militaires dans l’ouest du pays, a indiqué le ministre de la Défense, Rob Nicholson, devant la Chambre des communes jeudi.

«Nos pensées et nos prières vont aux familles, aux amis et aux collègues de ces personnes disparues, et je souhaite à tous les proches de ces personnes la paix en ce temps difficiles», a déclaré M. Nicholson d’un air grave.

Plus tôt dans la journée, le ministre avait qualifié ces décès de «très troublants», tout en soulignant que depuis 2011, le gouvernement conservateur a consacré des millions de dollars supplémentaires pour le traitement et le soutien psychologique des soldats de retour d’Afghanistan.

Le commandant des Forces canadiennes s’est lui aussi dit perturbé par les récents décès de militaires.

«Je suis ébranlé par la perte de trois de nos soldats», a dit le lieutenant-général Marquis Hainse.

«Les Forces canadiennes se soucient profondément de chaque soldat. Cela va sans dire que nous prenons chaque décès au sérieux et en ce sens, nous étudierons toutes les facettes de ces situations afin d’en tirer des leçons et réduire le risque d’autres événements similaires, tout en fournissant le meilleur appui aux familles de militaires quand un décès survient.»

Les données rendues publiques l’été dernier par le ministère de la Défense nationale indiquent que 22 soldats à temps plein se sont enlevé la vie en 2011. Les données pour 2012 n’ont pas été rendues publiques.

Certains ont mis en doute ces chiffres parce qu’ils ne portent que sur les membres réguliers des Forces canadiennes et excluent les réservistes, dont le statut à temps partiel signifie qu’ils sont sous la juridiction d’entités civiles dans leur province de résidence.

La Gendarmerie royale du Canada enquête sur la mort, mardi, d’un soldat dans une résidence située près de la base des Forces canadiennes à Shilo, au Manitoba.

Les autorités n’ont pas publié son nom, mais des amis l’ont identifié comme étant le caporal-chef William Elliott.

En Alberta, les autorités enquêtent sur la mort, lundi à l’hôpital, d’un réserviste qui a été retrouvé en situation de détresse dans un centre correctionnel de Lethbridge. L’homme, identifié par ses amis comme étant Travis Halmrast, était détenu en lien avec des allégations de violence conjugale.

L’armée mènera une enquête pour chaque décès, une procédure de routine qui examine les circonstances et les questions institutionnelles qui pourraient avoir mené à un incident particulier.

Mais cela ne suffit pas pour le porte-parole du Nouveau Parti démocratique en matière de défense, Jack Harris, qui accuse le gouvernement d’abandonner ses soldats revenus d’Afghanistan. Quelque 50 enquêtes militaires sur des suicides commis depuis 2008 restent incomplètes, souligne-t-il.

«Nous avons des soldats qui ont défendu le Canada lorsque nous leur avons demandé de le faire. Nous devrions les défendre à notre tour et je ne pense pas que nous le fassions», a déclaré M. Harris.

Les commissions d’enquête sur les suicides se déroulent souvent derrière des portes closes et les proches n’ont pas automatiquement accès aux conclusions de l’enquête, souligne un expert en droit militaire.

Au Royaume-Uni, tout décès de soldat, que ce soit au pays ou à l’étranger, fait l’objet d’une enquête du coroner, indique le colonel à la retraite Michel Drapeau.

Il s’agit d’un meilleur système qui permet aux proches en deuil de connaître toutes les preuves recueillies et de participer à l’enquête, souligne M. Drapeau.

«La question n’est pas de blâmer l’armée», affirme-t-il. «La question est de nous assurer que nous tirons les leçons de chacune de ces tragédies et que nous prévenions la prochaine.»

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Charles Lapointe quitte la présidence du Conseil des arts de Montréal

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MONTRÉAL – Le président du Conseil des arts de Montréal, Charles Lapointe, a démissionné de son poste, a indiqué l’organisation jeudi dans un communiqué.

M. Lapointe est l’ancien PDG de Tourisme Montréal mis en cause dans le plus récent rapport du vérificateur général du Québec pour ses généreuses conditions de travail et ses nombreuses dépenses injustifiées ou discutables.

Il était président du conseil d’administration du Conseil des arts de Montréal à titre bénévole depuis janvier 2013.

La démission de Charles Lapointe avait été réclamée plus tôt jeudi par le maire de Montréal, Denis Coderre.

L’organisation souligne que la démission de Charles Lapointe «s’inscrit dans la foulée du dépôt du rapport du vérificateur général», mais que ce rapport ne porte aucunement sur les activités du Conseil des arts de Montréal.

L’Assemblée nationale a décidé jeudi de convoquer des dirigeants de Tourisme Montréal, dont l’ex-PDG Charles Lapointe, pour obtenir des explications sur la gestion de cet organisme.

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Blog de cocogallylis - 1er matin apres la tempete de neige

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Le point symbole de l’agressivité en langage texto

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texto

Qu’y a-t-il de plus banal qu’un point ? Pour conclure une phrase, admettons qu’il est quand même utile !

Pourtant, en langage texto, il revêt une toute autre signification : il est un signe d’agressivité visant à mettre fin à une conversation, selon Ben Crair, de New Republic. Exemple :

«Salut. Ça va ?
- Oui.»

Visiblement, dans ce cas précis, l’interrogé ne semble pas avoir envie d’engager une conversation, de développer son idée, voire de retourner la question.

«C’est définitif, c’est la fin de la discussion ou du moins la fin de ma contribution à celle-ci», explique Mark Liberman, un professeur de linguistique à l’Université de Pennsylvanie.

À l’ère de la messagerie instantanée et des textos illimités, le point aurait été remplacé par le saut de ligne. Ainsi, au lieu d’écrire un message avec de la ponctuation, tel que «Désolé pour hier soir. On ira une prochaine fois.», ce sont deux messages distincts qui seront envoyés.

Désolé pour hier soir
On ira une prochaine fois

L’avènement de Twitter, avec sa contrainte imposée d’écrire un message en moins de 140 caractères, aurait contribué à rendre la ponctuation superflue, ajoute Crair.

Selon une étude réalisée en 2007 par le Département du langage et des études étrangères de l’American University, la ponctuation n’était utilisée afin de terminer une phrase que dans 39% des messages échangés par un panel d’étudiants.

Car le point n’est pas le seul signe de ponctuation avec un sens caché, selon l’auteur. « Presque tout le monde a un jour éprouvé de la difficulté à comprendre si un message reçu était sarcastique ou non. Alors, les gens ont commencé à utiliser les points d’exclamation comme des signes de sincérité. Exemple :

«Dis-tu cela de manière sarcastique ?
- Non !!!!»

Une réponse qui ne laisse pas de place à l’interprétation, alors qu’un «Non» sans ponctuation pourrait laisser un doute subsister.

Le point d’interrogation, toujours selon Ben Crair, servirait à tempérer des déclarations qui pourraient paraître arrogantes autrement. Exemple :

« Je crois qu’il m’aime bien ? »

Enfin, les points de suspension montreraient qu’il y a davantage à comprendre. Alors qu’un «Non.» met clairement un terme à une discussion, «Non…» est une invitation à continuer la conversation.

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Astronomie la comète ISON est vraisemblablement disparue disent les chercheurs

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STOCKHOLM – Autrefois appelée la comète du siècle, ISON semble n’avoir pas fait long feu face au Soleil.

Des images captées par une sonde de la NASA montrent que la comète s’approchait du Soleil pour le contourner, jeudi, mais on ne voyait que des traces de poussière spatiale à l’autre extrémité, selon les scientifiques.

«Il semble que la comète ISON n’a probablement pas survécu à son voyage», a déclaré le chercheur Karl Battams, de la marine américaine, lors d’une vidéoconférence sur Google+.

Phil Plait, l’astronome qui alimente le blogue Bad Astronomy, s’est dit d’accord avec cette affirmation. «Je ne crois pas que la comète s’en soit sortie», a-t-il indiqué.

Malgré tout, estime-t-il, la désintégration de la comète vieille de 4,5 milliards d’années ne serait pas nécessairement une mauvaise chose, puisque les astronomes pourraient être en mesure d’étudier les débris et en apprendre davantage sur ces visiteurs spatiaux.

«Il s’agit d’une capsule temporelle pour retourner au moment de la naissance du système solaire», affirme-t-il.

La comète était longue d’environ un kilomètre, et elle s’est rapprochée jusqu’à environ 1,6 million de kilomètres du Soleil, ce qui, en termes spatiaux, est pratiquement l’équivalent d’un effleurement.

Selon le physicien de la NASA Alex Young, il faudra quelques heures pour confirmer la mort d’ISON, mais il a admis que ses chances de survie étaient plutôt faibles.

La comète, explique-t-il, aurait dû apparaître dans les images de la sonde Solar Dynamics Observatory vers midi, heure de l’Est, mais quatre heures plus tard, il n’y avait toujours «aucun signe de rien».

«Peut-être qu’elle se désintégrait au cours des derniers jours», a dit M. Young à l’Associated Press. «Le noyau pourrait avoir disparu depuis environ une journée.»

Des images fournies par un autre engin spatial ont montré une traînée lumineuse continuant au-delà du Soleil, mais M. Young a dit qu’il s’agissait sans doute d’une traînée de poussière poursuivant la trajectoire de la comète.

«La comète elle-même est définitivement disparue, mais il semble qu’il y ait une traînée de débris», a-t-il expliqué.

La comète ISON a tout d’abord été détectée par un télescope russe en septembre 2012.

Certains astronomes amateurs avaient rapidement spéculé sur le fait que la comète pourrait devenir la comète du siècle en raison de sa brillance, bien que les attentes aient été réduites alors que l’astre se rapprochait du Soleil.

Faite de glace et de poussière agglomérées, la comète était essentiellement une boule de neige sale provenant du nuage d’Oört, une zone contenant des comètes et des débris en bordure du système solaire.

Il y a deux ans, une plus petite comète, Lovejoy, a frôlé le Soleil et a survécu, mais s’est désintégrée quelques jours plus tard.

«Voilà pourquoi nous croyions que, peut-être, celle-ci aurait pu s’en sortir, puisqu’elle était 10 fois plus grande», a dit M. Young.

Le temps pourrait être long avant qu’une autre comète de la même taille ne se rapproche de notre étoile, poursuit l’astronome.

«Elles sont très rares. Nous pourrions donc ne pas en voir d’autres de notre vivant.»

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La GRC invitée à laisser l’un de ses policiers fumer de la marijuana médicale

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FREDERICTON – Le cas d’un policier de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) au Nouveau-Brunswick qui se serait fait interdire de fumer du cannabis lorsqu’il porte l’uniforme souligne la nécessité, pour les employeurs, de mieux comprendre la marijuana médicale, a déclaré jeudi un défenseur de la consommation de cette substance à des fins médicales.

Adam Greenblatt, président de l’Association canadienne des dispensaires de cannabis médical (ACDCM), affirme que la GRC devrait permettre au caporal Ron Francis de fumer du «pot» au travail, tant que ses facultés ne s’en trouvent pas altérées.

M. Francis n’était pas disponible pour commenter jeudi, mais selon la CBC, le policier a déclaré qu’il n’existait pas de politique claire, au sein de la GRC, l’empêchant de fumer sa marijuana médicale prescrite par un médecin lorsqu’il se trouve en public, ou lorsqu’il porte son uniforme.

Selon le diffuseur public, M. Francis, qui est chargé de tâches administratives à la GRC, a reçu une ordonnance pour trois grammes de marijuana par jour ce mois-ci afin de traiter un syndrome de stress post-traumatique. Le policier affirme qu’il n’en fume pas autant et il ne croit pas que la drogue nuise à ses capacités en tant qu’agent de police.

Pour le commissaire adjoint Gilles Moreau, le caporal ne devrait pas prendre ce médicament lorsqu’il porte son uniforme, et la GRC examine ses politiques internes en la matière.

Selon une déclaration transmise par M. Moreau, «tout agent sous l’influence de drogues altérant l’état d’esprit n’a pas le droit d’accomplir ses tâches opérationnelles, y compris porter une arme à feu ou conduire un véhicule de police, puisque cela pourrait représenter un risque pour lui-même, un collègue ou le public».

Dans un courriel envoyé par la suite, la sergente Julie Gagnon a précisé que les policiers fédéraux ayant reçu une prescription de marijuana médicale ne devraient pas porter l’uniforme d’apparat ou l’uniforme habituel lorsqu’ils «prennent» leur médicament.

M. Greenblatt souligne que le policier pourrait consommer sa marijuana de façon plus discrète, notamment en l’intégrant à des biscuits ou en utilisant un vaporisateur.

Le défenseur du cannabis médical dit par ailleurs comprendre le problème de relations publiques que cela représente pour la GRC, qui a la responsabilité de faire respecter les lois contre les drogues.

Il félicite d’ailleurs le caporal pour avoir placé ce dossier sous les projecteurs des médias. M. Greenblatt soutient que l’utilisation de marijuana médicale est de plus en plus fréquente, mais que cela demeure encore nouveau pour les employeurs.

«Plus nous en parlons, plus nous sommes en mesure d’en discuter de façon intelligente, plus les perceptions évolueront et plus nous pourrons aider de façon raisonnable les gens utilisant le cannabis à des fins médicales», estime-t-il.

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Bienvenue au pays du comment ça va bien le Sénégal

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SENEGALNous sommes le 27 octobre 2013. Nous voici au Sénégal. Le barrage de DIAMA coûte 4000 FCFA, l'assurance 2 mois avec extension 40 000 FCFA.Une effervescence de couleurs, de sourires, d'agitation
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2ème jour de travail

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Un petit coucou de notre île ! Chacun s'est habitué et a trouvé ses repères. Les coordinateurs et les guides sont pleinement à ntore écoute pour nous permettre de profiter et d'échanger avec les fami
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Surfers life in Kuta

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Surfer's life in Kuta
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Sur le chemin du retour

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 Holà Amigos,    Notre voyage de Cusco à Lima a été bien plus long que prévu. Nous pensions le faire en avion car nous avions un peu de
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Direction le Chili Enfin on va essayer

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Pour la deuxième fois consécutive, réveil à 4h30 du matin ! Mais c'est le jeu, le voyage ce n'est pas de tout repos ! On grimpe dans le 4x4 pour poursuivre la route vers le Chili. On s'arrête en route pour déj
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Cyberintimidation le projet de loi préoccupe la commissaire à la vie privée

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OTTAWA – La commissaire à la protection de la vie privée du Canada est préoccupée par certains aspects du projet de loi du gouvernement Harper sur la cyberintimidation, notamment sur les nouveaux pouvoirs d’enquête et le nombre élevé de fonctionnaires qui pourront les utiliser.

Elle prévient que la vie privée des citoyens est un droit fondamental et que les lois doivent la respecter.

Jennifer Stoddart dit que le gouvernement ne l’a pas consultée avant de rédiger son projet de loi C-13. Elle ne l’a pas vu non plus avant son dépôt la semaine dernière, même si le ministre de la Justice Peter MacKay dit avoir «fait une vaste et inclusive consultation».

Le projet législatif du fédéral rend notamment illégale la communication d’images intimes d’une personne sans son consentement.

Transmettant jeudi ses observations préliminaires sur le projet C-13 par communiqué, la commissaire se réjouit d’abord qu’il n’ait pas repris les dispositions «troublantes» de l’ancien projet de loi C-30 (sur les cyberprédateurs), comme l’accès sans mandat par la police aux renseignements personnels sur l’identité d’une personne liés aux ordinateurs et aux téléphones cellulaires.

Mais Mme Stoddart se questionne toutefois sur la portée du projet C-13, notamment en ce qui a trait aux nouveaux pouvoirs d’enquête, ainsi que les seuils de preuve requis pour convaincre un juge de les autoriser.

Le nombre potentiellement élevé de fonctionnaires publics qui seraient en mesure de faire usage de ces «nouveaux pouvoirs considérables» est aussi une source d’inquiétude pour Mme Stoddart.

La commissaire à la vie privée se dit consciente du fait que les responsables de l’application de la loi doivent avoir accès à des outils à jour pour lutter contre la cybercriminalité à une époque où les technologies évoluent rapidement, mais que cela doit être fait dans le respect du droit fondamental à la vie privée des Canadiens.

Le commissariat poursuit son étude et promet de faire part de ses recommandations au Parlement.

Le projet C-13 — appelé Loi sur la protection des Canadiens contre la cybercriminalité — prévoit de nouveaux pouvoirs afin de faciliter les enquêtes, le tout sous surveillance des tribunaux. Les juges pourront ordonner la saisie de l’ordinateur, du téléphone cellulaire ou de tout autre appareil mobile utilisé pour commettre l’infraction.

D’autres dispositions visent à ordonner le retrait de ces images d’Internet et à permettre à la victime d’être dédommagée si elle a encouru des dépenses pour le faire.

Mais le projet de loi du fédéral, même si son nom laisse croire qu’il s’attaque à l’intimidation en ligne, vise dans les faits beaucoup plus.

Il modifie non seulement le Code criminel mais d’autres lois comme celle sur la concurrence. Il attrape plusieurs autres dossiers au passage, comme les données financières des banques, la Loi sur le financement des activités terroristes, le télémarketing et le vol de services de télécommunication.

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Ottawa vend un manoir diplomatique à Londres pour la rondelette somme de 530 M

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OTTAWA – Des questions de sécurité ont influencé la vente du manoir londonien historique qui abrite une partie du haut-commissariat du Canada au Royaume-Uni, un bâtiment vendu pour 530 millions $, a indiqué jeudi le haut-commissaire canadien Gordon Campbell.

M. Campbell souligne toutefois que le gouvernement canadien a réussi à vendre l’édifice, la Macdonald House, sise au 1, Grosvenor Square, au plus offrant, soit le promoteur indien Lodha, installé à Mumbai.

Ce dernier prendra possession de l’imposant bâtiment situé dans le chic quartier de Mayfair en décembre 2014. L’entente a été annoncée jeudi, après que le gouvernement Harper eut indiqué son intention de vendre la propriété plus tôt cette année.

Le Canada prévoit en fait consolider ses activités diplomatiques dans une autre propriété historique, la Canada House, qui donne sur Trafalgar Square, là aussi en plein centre de Londres.

M. Campbell n’a pas voulu dire qui d’autre était intéressé par la Macdonald House, mais il a laissé entendre que l’on s’inquiétait, dans les officines fédérales, de la présence à proximité de l’ambassade d’un autre pays: les États-Unis.

Londres est devenue une terre de prédilection pour des oligarques russes aux poches bien garnies désirant faire l’acquisition de propriétés immobilières, acquérant même le surnom péjoratif de «Londongrad». Les relations entre Washington et Moscou se sont envenimées au cours de la dernière année en raison de la décision de la Russie d’accorder l’asile à Edward Snowden, l’ex-consultant de l’agence américaine de sécurité nationale (NSA), que les États-Unis veulent traduire en justice.

«Nous avons eu plus de 106 visites de la propriété en tant que telle par des investisseurs provenant de partout à travers le monde», a dit M. Campbell à La Presse Canadienne.

«Nous avons dû prendre un grand nombre de décisions, y compris le meilleur prix, le plus faible risque, et la possibilité des risques en matière de sécurité.»

Finalement, poursuit le haut-commissaire, la propriété a été vendue au plus offrant.

Toujours selon M. Campbell, la consolidation de la mission diplomatique canadienne à la Canada House marquera le retour à la «maison traditionnelle du Canada au Royaume-Uni».

Une fois les coûts défrayés pour la rénovation de ce bâtiment, de 150 à 200 millions $ seront rendus au trésor public.

En mars 2012, le ministère des Affaires étrangères avait indiqué son intention de vendre des résidences diplomatiques dans le cadre d’un effort de réduction de ses coûts de 170 millions $.

Des analystes ont toutefois soutenu que ce plan nuirait aux efforts diplomatiques canadiens, alors que le gouvernement tente de multiplier les canaux d’échanges économiques.

L’entente survient au lendemain de l’annonce, en grande pompe, que la nouvelle directive canadienne en matière de politique étrangère serait axée sur les retombées économiques dans les marchés émergents comme la Chine, l’Inde et le Brésil.

Selon Fen Hampson, directeur du programme de sécurité mondiale du Centre for International Governance Innovation à Waterloo, en Ontario, peu importe comment la vente des installations londoniennes est présentée, cela représente une diminution de la présence diplomatique du Canada dans la capitale britannique.

Parmi les autres propriétés canadiennes qui pourraient être vendues à l’étranger, on retrouve l’appartement new-yorkais de l’ambassadeur canadien aux Nations unies, ainsi que des immeubles de luxe aux Pays-Bas, en Corée du Sud et en Italie.

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Il y a 50 ans avait lieu la pire tragédie aérienne de l’histoire du Québec

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MONTRÉAL – Il y a 50 ans, le 29 novembre 1963, a eu lieu la pire tragédie aérienne de l’histoire du Québec et l’une des pires au Canada lorsqu’un avion DC-8 transportant 118 personnes s’est écrasé près de Sainte-Thérèse-de-Blainville, dans les Laurentides.

L’écrasement de l’appareil des Lignes aériennes Trans-Canada a eu lieu en début de soirée, quelques minutes à peine après son départ de Dorval en direction de Toronto. Aucun des 111 passagers et sept membres d’équipage n’a survécu, et la cause exacte de l’écrasement n’a jamais pu être déterminée.

Un document publié sur le site de Bibliothèque et Archives Canada raconte qu’«au dire de plusieurs témoins, l’avion a pris feu pendant qu’il était encore dans les airs, puis a explosé et s’est écrasé. Les témoins ont dit aussi que l’impact avait provoqué l’éclatement des fenêtres des maisons et la chute d’objets à l’intérieur des maisons.»

Un cratère d’environ 45 mètres de long par 22,5 mètres de large a été formé par l’écrasement.

«C’est tombé dans un terrain qui était assez marécageux, a raconté l’historien et responsable en loisir de la Ville de Blainville, Martin Rodgers. On était une soirée de novembre, il faisait froid, il pleuvait, ça s’est transformé en neige un petit peu plus tard, et malheureusement, les 118 personnes qui étaient à bord de l’appareil sont mortes.»

Les terrains rendus boueux et marécageux par les pluies abondantes des jours précédents ont compliqué la vie des enquêteurs, qui ont dû attendre que la machinerie lourde réussisse à ouvrir un chemin liant les routes principales au site de l’écrasement.

Des fouilles ont alors été organisées pour retrouver les dépouilles, mais aussi les pièces de l’appareil qui permettraient peut-être de déterminer une cause de l’écrasement. Mais le rapport de la Commission royale d’enquête sur l’écrasement, présenté par le ministère des Transports en juin 1965, a conclu que l’avion était trop désintégré pour permettre de savoir ce qui a réellement causé l’accident. Selon M. Rodgers, aucun corps entier n’a été retrouvé dans les décombres; seules des parties de corps ont été ramassées.

«Le soir même de l’incident, ils ont dû s’organiser avec les moyens du bord, a expliqué M. Rodgers. Dans ce qui était la paroisse de Sainte-Thérèse-de-Blainville, on avait un policier, M. Aubertin, qui a maintenu la sécurité tant bien que mal, mais il a eu tôt fait d’avoir affaire avec des pilleurs de cadavres et on raconte qu’il a même dû tirer quelques coups de feu en l’air pour dissuader certaines personnes de partir avec des montres ou avec des porte-feuilles.»

Sur le site de sa ville, le maire de Blainville, Richard Perreault, souligne que «de nombreux anciens de (la) communauté ont encore des souvenirs saisissants de cet accident», ajoutant que la tragédie «a marqué la vie de certaines personnes de (la) communauté».

Martin Rodgers abonde dans le même sens et souligne que tous les résidants de la région qui étaient sur les lieux à l’époque ont des souvenirs de l’événement, peu importe leur âge.

«C’est quelque chose qui fait partie de l’histoire nationale, de l’histoire provinciale et même à la limite de l’histoire mondiale parce que c’est une des premières grandes catastrophes (aériennes) non seulement du Canada, mais du monde entier aussi. Mais pour nous d’abord et avant tout, ça fait partie de notre histoire très locale», a-t-il avancé.

«D’une façon ou d’une autre, tout le monde a pas mal été touché par cet événement-là et encore aujourd’hui, quand on parle aux citoyens, les souvenirs sont assez vifs chez beaucoup de gens.»

Vendredi et samedi, la Ville de Blainville soulignera le 50e anniversaire de la tragédie. Près de 250 membres des familles des victimes seront alors attendus à Blainville et à Sainte-Thérèse, où se tiendra une cérémonie privée.

Le samedi 30 novembre, la commémoration deviendra publique. Les visiteurs pourront entre autres visiter une exposition consacrée à la catastrophe au musée Joseph-Filion et aller voir une plaque commémorative installée sur les lieux de l’accident.

Seules deux autres tragédies aériennes ont été plus meurtrières que celle de Sainte-Thérèse-de-Blainville au Canada. Le 12 décembre 1985, les 256 personnes à bord du vol 1285 d’Arrow Air ont perdu la vie dans un écrasement près de Gander, à Terre-Neuve. Puis, le 2 septembre 1998, un appareil de la Swiss Air s’écrasait au large de la Nouvelle-Écosse, causant la mort des 229 personnes à bord.

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Ontario un plan conservateur anti-syndicats suscite l’opprobre des autres partis

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TORONTO – Les libéraux et les néo-démocrates de l’Ontario sont montés aux barricades, jeudi, contre une proposition des progressistes-conservateurs qui veulent faire de la province un endroit respectant le «droit au travail», un principe cher à la droite économique.

Selon les deux partis, cette idée coûterait des emplois plutôt que d’en créer.

Les progressistes conservateurs, qui forment l’opposition officielle à Queen’s Park, veulent modifier les lois du travail pour éliminer la «formule Rand», qui prévoit que tous les employés d’un milieu syndiqué sont tenus de payer des cotisations — et même s’ils ne font pas partie du syndicat.

Selon le porte-parole conservateur en matière de travail, Monte McNaughton, l’Ontario est l’«un des seuls endroits au monde où les gens doivent joindre un syndicat pour occuper un emploi». Selon lui, la méthode du «droit au travail» permettrait de créer des milliers de postes en Ontario.

Pour le ministre libéral du Travail, Yasir Naqvi, la proposition conservatrice est plutôt une «tueuse d’emplois», et a cité le président américain Barack Obama, selon qui cette méthode est un «droit de travailler pour moins cher».

Même son de cloche au Nouveau Parti démocratique (NPD) provincial, alors que la chef, Andrea Horwath, accuse les conservateurs de vouloir «écraser les syndicats en Ontario».

«La volonté de faire baisser les salaires et de se débarrasser du mouvement syndical n’est pas la voie de la prospérité.»

Quant à l’Ontario Federation of Labour, l’opposition à l’ordre du jour «anti-travailleur» du chef conservateur Tim Hudak est devenue le thème du congrès annuel du syndicat, cette semaine à Toronto.

Toujours selon le NPD, la proposition progressiste-conservatrice augmenterait la pression sur la classe moyenne déjà menacée dans la province.

Le député McNaugthon a pour sa part martelé que les conservateurs étaient unis sur cette question, mais la proposition du «droit au travail» n’a été approuvée que par 53 pour cent des délégués du parti lors d’un congrès en septembre.

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Les policiers seront visibles sur les routes durant la période des Fêtes

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LAVAL, Qc – Les policiers seront visibles sur les routes du 1er décembre au 2 janvier. Pas moins de 1300 contrôles routiers seront mis en place pour assurer que le réseau demeure sécuritaire.

L’alcool et les drogues seront dans la mire des patrouilleurs dans le but d’éviter des accidents de la route liés aux facultés affaiblies.

Selon les données de la Société de l’assurance automobile du Québec, de 2007 à 2011, l’alcool a été responsable d’en moyenne 36 pour cent des décès sur les routes chaque année. Ces accidents ont aussi fait 18 pour cent de tous les blessés graves et environ 5 pour cent des blessés légers.

Par cette opération, nommée VACCIN, les corps policiers souhaitent réduire le nombre de victimes de la route et promouvoir la conduite responsable durant le temps des Fêtes.

Plusieurs solutions de rechange existent pour éviter de prendre le volant avec les facultés affaiblies. Les services de raccompagnement, le recours à un conducteur désigné, le taxi, le transport en commun ou l’hospitalité d’un proche sont des options recommandées.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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