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Signes religieux plus de 75 pour cent des médecins ne voient pas de problème

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MONTRÉAL – Plus du trois quart des médecins omnipraticiens estime qu’il n’existe pas de problématique liée au port de signes religieux ostentatoires dans leur milieu de travail, révèle un sondage dont les grandes lignes ont été obtenues par La Presse Canadienne.

«En ce moment, les médecins ne sentent pas qu’il y a de problème sur le terrain en général. C’est ce qui revient souvent dans leurs commentaires», a résumé Jean-Pierre Dion, directeur des communications de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ).

Il s’agit là de l’une des conclusions de l’enquête menée par la fédération, qui a tâté le pouls de ses membres entre le 12 et le 18 novembre par le biais d’un sondage internet.

Le coup de sonde tend également à démontrer qu’une très forte majorité d’omnipraticiens — environ 75 pour cent, selon M. Dion — juge que le port de signes religieux ostentatoires n’affecte pas «négativement la qualité de la pratique médicale au Québec».

Mais pour environ 50 à 60 pour cent des membres, il n’en demeure pas moins que le gouvernement devrait aller de l’avant avec un projet de charte sur la laïcité, a souligné M. Dion en entrevue téléphonique.

«Cela démontre que les médecins sont aussi des citoyens comme les autres, qu’ils ne sont pas désincarnés», a-t-il analysé.

Le projet de loi 60 interdirait le port de signes ostentatoires religieux au sein de la fonction publique.

Le ministre responsable des Institutions démocratiques, Bernard Drainville, a affirmé il y a quelques semaines que les médecins, à titre d’«employés de l’État», seraient soumis aux mêmes règles: pas de kippa, pas de voile ou de turban.

Or, techniquement, les médecins sont des travailleurs autonomes.

La FMOQ a consacré l’une des questions de son sondage à cet aspect.

«C’était une majorité qui était en désaccord (avec l’idée d’assimiler, aux fins d’application de la charte, les omnipraticiens à ce statut). Disons une bonne majorité, autour des deux tiers», a indiqué Jean-Pierre Dion.

Aux yeux du porte-parole libéral en matière de laïcité, Marc Tanguay, ces résultats préliminaires démontrent que la question du port des signes religieux ostentatoires constitue «un faux débat».

«Je crois qu’il s’agit là d’une étude additionnelle qui vient démontrer l’absence d’études qui viendraient justifier la position du Parti québécois», a-t-il lancé à l’autre bout du fil.

Le son de cloche des omnipraticiens permet de constater que le Parti québécois est «complètement déconnecté de la réalité» en voulant imposer la charte aux professionnels de la santé, a-t-on fait valoir du côté de la Coalition avenir Québec (CAQ).

«Les restrictions de port de signes religieux devraient s’appliquer uniquement aux fonctionnaires en poste d’autorité, comme les juges, les gardiens de prison et les enseignants. Jamais (la CAQ) ne voudrait mettre ça dans le réseau de la santé», a indiqué Guillaume Simard-Leduc, attaché de presse de l’aile parlementaire caquiste.

Les résultats détaillés du sondage seront inclus dans un mémoire que déposera la FMOQ d’ici le 20 décembre, en prévision d’un passage en commission parlementaire sur le projet de loi sur la charte.

Le président de la FMOQ, le docteur Louis Godin, n’était pas disponible pour commenter les conclusions de l’enquête, mercredi.

Mais s’il est invité à témoigner à l’Assemblée nationale, il y sera: «Il voulait avoir le pouls de ses membres avant de se prononcer», a exposé Jean-Pierre Dion.

Environ le quart des membres de la fédération, soit quelque 2000 médecins, ont pris le temps de donner leur avis sur le projet de charte.

Le ministre responsable du dossier de la charte, Bernard Drainville, a préféré ne pas commenter les résultats préliminaires du coup de sonde.

L’attaché de presse de M. Drainville, Manuel Dionne, a souligné que le ministre invitait la FMOQ à déposer un mémoire afin de participer aux auditions publiques de la commission parlementaire, lesquelles se mettront en branle le 14 janvier.

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Le DG du CHUM a injustement reçu un salaire plus élevé note le vérificateur

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QUÉBEC – Le directeur général du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), Christian Paire, a perçu un salaire non conforme dépassant de 70 000 $ le seuil fixé par le Conseil du trésor au cours des trois dernières années, indique un rapport du vérificateur général déposé mercredi.

M. Paire a ainsi bénéficié, de 2010 à 2013, de primes au rendement auxquelles il n’avait pas droit, a observé le vérificateur Michel Samson dans son plus récent rapport.

M. Samson constate aussi que M. Paire a reçu, de décembre 2009 à novembre 2010, une somme annuelle de 80 000 $ de l’Université de Montréal, à laquelle il n’avait pas droit.

Selon le vérificateur, le conseil d’administration a été mal informé par son président concernant les primes au rendement, mais a contrevenu aux règles du Conseil du trésor en autorisant la rémunération de l’Université de Montréal.

«Je pense que ce sont les personnes qui doivent être conscientes qu’elles ont un rôle important à jouer dans la gouvernance de l’organisation qu’elles représentent en étant membres d’un conseil d’administration», a-t-il dit en conférence de presse.

De 2010 à 2013, en excluant sa rémunération de l’université, M. Paire a touché un salaire oscillant entre 352 736 $ et 357 445 $, note le document du vérificateur.

Le ministre de la Santé, Réjean Hébert, a déclaré que M. Paire devra rembourser les sommes perçues en trop. Le ministre laisse au conseil d’administration du CHUM, qu’il devait rencontrer mercredi, le soin de décider si M. Paire peut demeurer à la tête de l’hôpital.

«Je n’ai pas à recommander, c’est le conseil d’administration qui doit faire ça et, voyant la décision du conseil d’administration, je prendrai, moi, ma responsabilité», a-t-il dit en point de presse, en évoquant la possibilité de mettre une administration provisoire en place.

Par ailleurs, selon le rapport, depuis janvier 2010, des lacunes ont été observées dans le processus d’embauche des cadres supérieurs et hors-cadres du CHUM, dont plus de la moitié des postes n’ont pas fait l’objet d’un affichage interne ni d’un concours.

De mauvaises décisions ont été prises concernant la rémunération des cadres, note M. Samson, qui constate le non-respect de la classe salariale attribuée par le ministère, l’accession automatique au sommet de l’échelle salariale et le paiement de sommes non conformes, pour un total de 750 000 $ versés en trop de janvier 2010 à mars 2013.

Plusieurs frais de repas ont aussi été remboursés à des dirigeants sans qu’ils aient soumis les justificatifs nécessaires, pour des sommes significativement supérieures au maximum autorisé normalement.

M. Samson constate aussi que 65 pour cent des contrats professionnels ont été offerts de gré à gré par le CHUM à des fournisseurs, alors qu’ils auraient dû faire l’objet d’un appel d’offres.

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Missions de paix mission impossible De l’efficacité et de la légitimité des stratégies de paix

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casque-bleu

Les opérations de paix sont-elles efficaces?

Selon plusieurs analystes et centres de recherche, la violence organisée et les conflits armés régressent. Le Human Security Report Project identifie, entre autres causes expliquant cette tendance, l’augmentation des missions de paix comme un facteur important à la mise en œuvre de stratégies de prévention et de résolution des conflits.

Certes, les opérations de paix ont sauvé des vies et participé à la résolution de plusieurs conflits. La seule présence de Casques bleus influence le déroulement du conflit et les processus de paix en tenant responsables les acteurs de la violence, en témoignant de la bonne ou mauvaise volonté des acteurs, en protégeant les personnes vulnérables et en sécurisant l’accès pour les humanitaires.

Mais cette influence n’est pas toujours positive, comme en témoignent les répercussions socioéconomiques des troupes onusiennes dans les régions où elles sont déployées, de même que les cas de corruption et d’abus sexuels.

À savoir si elles sont efficaces, la réponse dépendra des critères de succès de l’évaluateur. Selon une conception minimaliste, il semble effectivement qu’elles aient contribué à la régression des conflits et de la violence armée en s’interposant entre les belligérants.

Toutefois, si les opérations de paix doivent favoriser les conditions à long terme d’une société en paix, juste et équitable, le bilan n’est pas aussi positif.

Les opérations de paix sont-elles en crise ?

D’autres analystes sont plus sceptiques et suggèrent que le déclin des conflits est dû à la méthode selon laquelle ils sont codifiés et la manière dont les données sont interprétées, ainsi que de la manière classique dont les guerres civiles sont conceptualisées.

Les opérations de paix ayant tendance à «geler» plutôt que résoudre les conflits, les situations de «ni guerre, ni paix» peuvent fausser les données. Ainsi, les missions de paix sont sérieusement remises en question, au point tel que certains détracteurs parlent formellement de crise.

C’est que le modèle classique de «maintien de la paix» a laissé sa place à une conception plus ambitieuse de «consolidation de la paix», qui conçoit et prévoit la transformation des sociétés où sont déployées les missions. Cette transformation implique une présence internationale à long terme et vise la promotion d’une paix durable par l’entremise de l’établissement des normes et des institutions de la démocratie procédurale, de même que par  l’économie de marché.

Bien que l’imposition de ces normes puisse paraître raisonnable — sinon désirable — pour certains acteurs internationaux (surtout occidentaux), elle est souvent vécue et interprétée comme une ingérence néocoloniale par les acteurs locaux.

La question de la crise, donc, se pose directement sur les sites où il est possible d’observer les activités locales de résistance, d’opposition et de négociation face aux missions de paix internationales.

***

S’il est possible d’identifier une « crise » des missions de paix, elle se situe surtout dans les débats autour de l’imposition du modèle libéral et du projet d’ingénierie sociale que les opérations de paix importent.

Mais l’échec, dans bien des cas, quand vient le temps de construire et/ou de consolider les normes et institutions libérales promises, pose le problème suivant : identifier la nature précise de la crise. S’agit-il d’une crise de légitimité, d’un questionnement sur l’efficacité et la capacité des missions à consolider la paix, ou d’un problème provenant des formes multilatérales de coopération internationale ? Que signifient les signes de résistance et d’opposition aux opérations et aux missions de paix ?

Dans un contexte où il n’existe pas de consensus sur la marche à suivre (Syrie), où il est difficile de recruter un nombre suffisant de soldats pour une intervention (Mali, République centrafricaine) et où la présence internationale s’éternise (Bosnie, République démocratique du Congo), il est important de réfléchir à l’avenir des opérations de paix.

Pour en savoir plus

L’Observatoire sur les missions de paix et opérations humanitaires de la Chaire Raoul-Dandurand organise un colloque international, les 28 et 29 novembre prochains, afin de discuter et de débattre de l’efficacité et de la légitimité des opérations de paix.

 

Bruno Charbonneau

Directeur de l’Observatoire sur les Missions de paix et opérations humanitaires

Chaire @RDandurand @UQAM

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L’idée de confier le nouveau pont Champlain à Québec est reçue froidement

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MONTRÉAL – L’idée de céder à Québec la responsabilité de construire un nouveau pont pour remplacer le pont Champlain a été accueillie plutôt froidement.

La première ministre Pauline Marois a confié, mardi à l’Assemblée nationale, avoir discuté de cette possibilité avec son vis-à-vis fédéral, Stephen Harper, afin d’accélérer la construction.

Mercredi, le ministre fédéral de l’Infrastructure, Denis Lebel, a soigneusement évité de s’aventurer sur ce terrain.

«Les discussions qui se passent entre les premiers ministres se passeront entre premiers ministres. Je peux vous dire qu’on est au travail; j’ai déjà dit que l’échéancier serait revu, donc ce n’est pas une surprise aujourd’hui que tout le monde nous demande de le revoir», a déclaré en vitesse M. Lebel lors d’un très bref point de presse aux Communes.

Dans un courriel transmis à La Presse Canadienne plus tard en journée, le ministre Lebel a précisé que «le pont Champlain relève du gouvernement fédéral et nous nous sommes engagés à continuer à collaborer avec tous les paliers de gouvernement pour la construction du nouveau pont».

«Nous sommes ouverts à écouter les propositions de Québec concernant le transfert de l’ensemble des ponts fédéraux dans la grande région de Montréal une fois que le nouveau pont sera construit», a-t-il ajouté.

Le maire de Montréal, Denis Coderre, a tourné la chose en dérision.

«J’ai senti un surplus d’enthousiasme du côté de Québec. Je pense que ce qui serait plus à-propos — et ce qui va probablement arriver — c’est de bâtir le pont et, par la suite, de le transférer (à Québec). Québec va payer avec quoi? Il faut être réaliste.»

Ce qui importe davantage, selon M. Coderre, c’est d’accélérer la cadence, d’autant plus qu’on ne cesse d’injecter des centaines de millions de dollars dans la réfection de l’actuel pont qui devra de toute façon être démoli.

«Ce qui m’importe, c’est une réalité économique, c’est une réalité de sécurité pour nous assurer effectivement qu’on puisse agir plus rapidement. Ce ne sont pas des fonctionnaires qui vont décider. J’ai déjà entendu des fonctionnaires faire des plans de huit et dix ans», a indiqué M. Coderre, notant que ce genre d’ouvrage avait pu être érigé beaucoup plus rapidement dans des pays aux prises avec les mêmes conditions climatiques que le Québec.

«On est capable de bâtir des ponts en trois ou quatre ans dans d’autres endroits, je ne vois pas pourquoi on ne serait pas capable d’avoir en même temps un concours de design rapide avec une infrastructure rapide pour qu’on puisse commencer les choses», a-t-il soutenu.

Le ministre Lebel a promis de déposer un plan d’affaires avant la fin de l’année et Denis Coderre mise sur cette promesse pour que les choses se mettent en branle.

«On n’a plus de temps à perdre», a affirmé le maire. «On me dit que, dans le plan d’affaires, il y aura quelque chose comme 13 scénarios. Dans ces scénarios, le nouveau pont est-il possible dans trois ans? Dans quatre ans? Dans cinq ans? Et qu’est-ce qu’on fait en attendant, les plans de contingence, les plans de mitigation?»

«Si on n’est pas capable (d’aller plus rapidement), qu’on nous le dise, qu’on nous explique pourquoi», a exigé M. Coderre qui, comme tous les intervenants du côté québécois, estime que la date de livraison initiale de 2021 ne peut plus tenir.

Par ailleurs, Denis Coderre a indiqué qu’il ne se laisserait pas distraire par des questions périphériques.

«Après ça, il y aura la question du pont à péage ou sans péage. La question du vocabulaire va être importante: que l’on ne vienne pas me dire que c’est un nouveau pont. On remplace un pont parce qu’on n’a pas le choix. Si le pont tombe, Ottawa ne paiera pas parce qu’on ne veut pas de péage? Non, il faut être réaliste», a indiqué M. Coderre, ajoutant que ces questions, comme celle du transport en commun sur le pont, pourront toujours faire l’objet de discussions mais que la priorité, maintenant, était d’aller plus rapidement vers la construction.

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Saint-Jean-sur-Richelieu la femme barricadée est maîtrisée par les policiers

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MONTRÉAL – La femme qui s’était barricadée avec une arme dans un immeuble de Saint-Jean-sur-Richelieu, a été «maîtrisée» par les forces policières, mercredi en début de soirée.

La femme de 27 ans tenait les policiers en haleine depuis le début de l’après-midi. Après son interpellation, elle a été conduite dans un centre hospitalier, où son état de santé sera évalué.

La femme, une militaire, aurait consommé des médicaments et souffrirait de dépression, selon ce qu’indiquait Martin Anctil, porte-parole du service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu, en début de soirée.

Le groupe d’intervention tactique de la Sûreté du Québec a participé à cette opération policière, qui a aussi mobilisé des agents du service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu.

En journée, les policiers de cette ville de la Montérégie ont mis en place un vaste périmètre de sécurité, en plus d’évacuer une vingtaine de résidences par mesure préventive.

Si la femme menaçait d’utiliser son arme pour s’enlever la vie, en aucun cas, elle n’a pointé cette arme vers les policiers, a rapporté M. Anctil. Aucun coup de feu n’a non plus été tiré, ajoute-t-il.

La femme n’était pas connue des policiers.

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Des restaurateurs au Manitoba disent être victimes de discrimination

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MORRIS, Man. – Pour la deuxième fois en quelques mois, un propriétaire de restaurant dans la petite communauté manitobaine de Morris a dit être victime de discrimination.

Thea Morris, une Jamaïcaine qui possède le Thea’s Diner, a affirmé mercredi avoir reçu un courriel faisant référence au Ku Klux Klan (KKK), un groupe américain suprématiste blanc. L’auteur du message se demandait si les résidants de Morris chassaient toujours les gens de couleur pour les contraindre à quitter la ville, a-t-elle expliqué.

Mme Morris a également relaté qu’un client lui avait avoué que son restaurant était boudé par les résidants de la ville parce qu’elle est noire.

Et c’est sans compter les gestes d’intimidation qui se font de plus en plus nombreux, a-t-elle mentionné.

Selon Mme Morris, certains clients ont adopté des comportements étranges depuis qu’elle a reçu le message faisant référence au KKK.

Des gens dans la cinquantaine, bien habillés et se présentant en groupe de deux ou trois commandent des boissons au restaurant, a-t-elle raconté, mais dès qu’ils reçoivent leurs commandes, ils se lèvent et quittent le restaurant subitement.

Mme Morris a ouvert son restaurant au mois de juin, dans le même local qui abritait auparavant Pots N Hands, qui était la propriété d’un couple gai.

Dave Claringbould et son conjoint ont mis la clé sous la porte au mois d’avril. Le couple a soutenu avoir été la cible d’insultes homophobes. M. Claringbould a notamment raconté qu’un client lui avait déjà demandé si la nourriture qu’il servait était infectée d’une maladie.

Tout comme ses prédécesseurs, Mme Morris, qui habite Winnipeg, songe à plier bagages. Elle soutient avoir prévenu le propriétaire de l’immeuble qu’elle fermera son restaurant à la fin du mois de décembre.

Environ 1800 personnes habitent la municipalité de Morris, située à environ 50 kilomètres au sud de Winnipeg.

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Assurance-emploi Ottawa doit déléguer la gestion à Québec dit Duceppe

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QUÉBEC – La gestion du programme fédéral d’assurance-emploi devrait être déléguée au Québec, selon la commission coprésidée par Gilles Duceppe et Rita Dionne-Marsolais, qui a examiné pendant plusieurs mois cette question, à la demande de la première ministre Pauline Marois.

Pour éviter un éternel débat constitutionnel, les coprésidents ont cependant renoncé à revendiquer un rapatriement comme tel de cette compétence, se contentant plutôt de proposer une délégation de pouvoirs par entente administrative, sur le modèle de ce qui a été conclu dans les dossiers de l’immigration et de la formation de la main-d’oeuvre. Ils demandent donc au gouvernement Marois d’entreprendre des négociations en ce sens avec Ottawa.

En campagne électorale, à l’été 2012, Mme Marois avait dénoncé la réforme Harper et s’était engagée à militer pour le rapatriement au Québec de cette compétence fédérale si elle devenait première ministre.

La commission va dans le même sens, mais se montre plus modeste dans ses attentes. «On ne parle pas d’une entente d’ordre constitutionnel, mais bien (d’une entente) administrative, pour les raisons que l’on connaît. Une fois le régime maintenu, on parle de délégation de la gestion», a résumé M. Duceppe, en rendant public son rapport, mercredi.

Mais Québec, qui, on s’en doute, a accueilli le rapport favorablement, ne semble pas pressé d’en découdre avec Ottawa pour négocier un transfert de pouvoirs. Le gouvernement a préféré réagir au rapport en disant que le gouvernement fédéral devait d’abord, de toute urgence, refaire ses devoirs et appliquer les correctifs proposés par la commission.

La revendication de pouvoirs accrus s’en est trouvée réduite au rang des solutions «à moyen terme». «À très court terme, il appartient au gouvernement fédéral de corriger le tir», a estimé le ministre des Affaires intergouvernementales, Alexandre Cloutier, en point de presse.

La réforme fédérale de l’assurance-emploi constitue «la mise en péril du travail saisonnier», a renchéri la ministre de l’Emploi, Agnès Maltais, en jugeant qu’Ottawa s’attaquait aux travailleurs saisonniers, en leur imposant des restrictions, plutôt qu’au chômage.

La commission recommande de plus que le gouvernement fédéral recommence à participer financièrement au programme d’assurance-emploi, actuellement financé uniquement par les employeurs et les travailleurs.

Elle demande aussi à Ottawa de créer une caisse autonome, graduellement alimentée par un fonds de réserve de 15 milliards $, dont les fonds devraient être exclus du périmètre comptable du gouvernement fédéral. On cherche ainsi à éviter qu’Ottawa soit tenté de piger dans la caisse, comme ce fut le cas dans le passé: de 1994 à 2008, le gouvernement fédéral a détourné à d’autres fins 57 millions $ des cotisations à l’assurance-emploi.

Une mainmise de Québec sur la portion québécoise du programme — une cagnotte de près de 5 milliards $ — permettrait, selon la commission, de mieux adapter le programme aux spécificités de l’économie et de la main-d’oeuvre québécoises.

Ottawa ne perdrait pas au change, selon la coprésidente de la commission. En transférant à Québec le volet québécois du programme, le fédéral pourrait «baisser ses coûts et améliorer l’efficacité du service pour ce secteur de l’économie», a fait valoir Mme Dionne-Marsolais.

En avril, l’ex-chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, et l’ex-ministre péquiste Rita Dionne-Marsolais avaient reçu du gouvernement le mandat d’analyser l’impact au Québec de la réforme controversée du programme d’assurance-emploi, décrétée l’an dernier par le gouvernement de Stephen Harper.

La commission, qui a reçu 170 mémoires et avis d’experts pour mener à bien ses travaux, a formulé 30 recommandations dans son rapport d’une centaine de pages, qui démolit la réforme fédérale point par point.

Notamment, ils proposent d’abolir un des axes de cette réforme, qui créait trois catégories de prestataires (prestataire occasionnel, prestataire fréquent et travailleur de longue date) ayant des obligations différentes de recherche d’emploi.

Les auteurs du rapport critiquent aussi le sort réservé aux travailleurs saisonniers, un phénomène qui est loin d’être marginal. En 2012, Montréal comptait 37 700 prestataires considérés comme des travailleurs saisonniers.

Le ministre de l’Emploi et du Développement social, Jason Kenney, a fait parvenir une déclaration en soirée, dans laquelle il soutient qu’il est «difficile de débattre avec des gens qui ignorent sciemment les faits, utilisent de la désinformation (…) pour monter une grande campagne de la peur».

«Il est clair que la Commission nationale d’examen sur l’assurance-emploi, qui fait le tour de la province depuis maintenant un bon moment (…), n’a été qu’un exercice politique depuis le début — une Commission dont le seul intérêt a été de faire peur aux Québécois, sans les informer des faits entourant les changements du gouvernement fédéral au régime d’assurance-emploi», a écrit M. Kenney.

Plus tôt, à Ottawa, le ministre avait réagi au rapport en rappelant que le Québec reçoit près d’un milliard de dollars de plus en prestations que ce qu’il verse en cotisations au programme. Il avait dit ne pas avoir encore lu le rapport.

Les orientations du rapport ont été saluées par les principales centrales syndicales: la CSD, la CSN, la CSQ et la FTQ.

La porte-parole du Parti libéral du Québec en matière d’emploi et d’économie sociale, Kathleen Weil, a déploré par communiqué que la Commission «n’ait finalement servi qu’à établir des constats qui étaient l’évidence même avant le début de ses travaux».

Elle a aussi parlé d’un dossier «politisé» par le gouvernement Marois. Selon Mme Weil, le gouvernement péquiste aurait plutôt dû «créer des alliances avec les autres provinces canadiennes pour faire valoir les intérêts et les demandes du Québec», et «rencontrer tous les chefs des partis fédéraux dans le but d’établir un dialogue productif».

Mme Weil a avancé qu’un «rapatriement administratif» de l’assurance-emploi coûterait cher aux contribuables québécois, faisant elle aussi valoir que la caisse fédérale verse au Québec un milliard de dollars de plus aux chômeurs qu’elle ne perçoit en cotisations de la part du Québec.

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Un jeune joueur blessé au hockey mineur intente une poursuite au civil

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MONTRÉAL – Hockey Québec et Hockey Canada sont visées par une poursuite au civil intentée par un joueur grièvement blessé à la tête à la suite d’un coup de bâton pendant un match disputé dans une ligue de niveau Pee Wee CC.

Le jeune hockeyeur, Alexis Turcotte, et sa mère, Annie Turcotte, poursuivent également les associations locales de hockey mineur concernées (L’Association de hockey mineur des Basques, qui fait partie de la Ligue de hockey Bas-Saint-Laurent) ainsi que le présumé agresseur dans cette histoire.

Selon la requête déposée lundi en Cour supérieure, au palais de justice de Montréal, les plaignants réclament 370 000 $ en dommages et intérêts, ce qui comprend une somme de 50 000 $ en dommages exemplaires.

«À ma connaissance, c’est la première du genre, a indiqué Jean-Pierre Ménard, l’avocat qui pilote la requête, en entrevue. Jusqu’ici, il y a eu des poursuites qui ont visé des personnes qui avaient agressé» des joueurs sur la glace, mais elles ne ciblaient pas les associations concernées, a-t-il précisé.

«Nous avons décidé d’ajouter les associations, parce que dans le hockey mineur, la violence est un vrai fléau.»

Les événements seraient survenus le 27 novembre 2010 vers la fin d’un match disputé à l’aréna d’Amqui, alors que l’équipe de la présumée victime, alors âgée de 11 ans, était largement en avance.

Lors d’un arrêt de jeu, Alexis Turcotte aurait reçu un premier coup de bâton par derrière (double échec) avant de chuter sur la glace. Après s’être relevé, le jeune joueur en aurait reçu un autre, cette fois-ci au visage.

Le garçon se serait alors écroulé sur la glace pour y demeurer étendu pendant plusieurs minutes, avant d’être évacué par civière puis transporté à l’hôpital d’Amqui par ambulance.

Selon Me Ménard, le garçon n’a conservé aucun souvenir de l’événement. Il a obtenu son congé de l’hôpital au lendemain de l’accident, mais a notamment été obligé de porter un corset pendant trois mois, en plus de ne pratiquer aucun sport.

L’avocat affirme que le hockeyeur, maintenant âgé de 14 ans, a souffert d’importantes douleurs en plus de subir un traumatisme crânien, et qu’il a conservé «d’importantes séquelles permanentes», comme des troubles de concentration, qui affectent sa qualité de vie.

Me Ménard affirme que le joueur fautif n’a reçu qu’une pénalité de deux minutes pour son geste et qu’aucune action n’a été prise contre qui que ce soit, même si un rapport de l’incident a été transmis à Hockey Canada.

«Les associations ont adopté des règlements qui sont très corrects, sans toutefois les appliquer, déplore l’avocat. Notre cas en est un exemple magnifique. C’est comme une permission qui encourage à recommencer.»

La présumée victime, qui a été tenue à l’écart du jeu pendant un long moment après les événements, n’a pas reçu le soutien nécessaire des intervenants concernés, déplore l’avocat qui pilote la requête.

«Personne ne s’est préoccupé (d’Alexis) dans les jours, les semaines et les mois après ce qui lui est arrivé, observe Me Ménard. Il n’y a eu aucune forme d’aide ou de soutien. Les jeunes peuvent se blesser, on ne s’en occupe pas.»

L’avocat espère que cette cause sera éventuellement utilisée en matière de jurisprudence. «Les organisations qui doivent encadrer le hockey ne le font pas, affirme-t-il. Elles n’appliquent pas leurs propres règles. Peut-être que les tribunaux vont les forcer à le faire.»

Un porte-parole de Hockey Canada, André Brin, s’est limité à dire, par courriel, que l’organisation n’avait «pas de commentaires à faire sur des poursuites judiciaires qui sont déposées».

De son côté, Hockey Québec n’avait pas répondu aux questions de La Presse Canadienne en fin d’après-midi.

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Scandale à base de bière à Lévis

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Photo © Radio-Canada

Photo © Radio-Canada

Le 31 octobre, une photo est publiée sur la page Facebook de la microbrasserie Le Corsaire de Lévis. Dessus, un serveur tire les cheveux d’une poupée Barbie ayant remplacé la poignée du robinet à bière. Un message accompagne la photo : «Une Tite Pute svp!».

Une publication destinée à promouvoir une bière saisonnière baptisée «La Tite-Pute» et décrite comme «une blonde facile, légère et fruitée». Très vite, c’est le tollé. La photo circule sur le Web et les propriétaires de l’établissement reçoivent une flopée de critiques.

Mercredi matin, la microbrasserie a retiré la photo controversée et a publié un message d’excuses. «Le Corsaire est sincèrement désolé de la publication de la photo parue le 31 octobre dernier et nous sommes conscients que c’était de mauvais goût. Soyez assuré que nous ne cautionnons aucunement ce geste et que cela ne se reproduira plus.»

Interrogée par Radio-Canada, l’une des propriétaires, Julie Gagnon, raconte que le nom «Tite-Pute» est né d’une «bonne ou mauvaise blague, dépendamment de l’humour des gens», et ouvre la voie à une modification.

bie_perruche_big«Changer les noms des bières, pourquoi pas ? Si les gens s’enfargent là-dessus, que ça les choque vraiment, et qu’ils ne prennent pas ça comme nous au deuxième degré… Mais je pense que dans le milieu des microbrasseries, il y a quand même plusieurs noms qui sont assez trash

La microbrasserie, qui s’est excusée de l’incident, n’en est pas à son coup d’essai, ayant déjà commercialisé «La vicieuse» ou encore «La perruche», qui présente sur son étiquette une femme nue sur un trapèze.

En France, deux Bas-Normands ont récemment lancé la «Kékette», dont le slogan est «Vous prendrez bien un petit coup de Kékette ?».

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Visiter Hawaii aux États-Unis

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Hawaii est la destination idéale pour vivre des expériences inoubliables. Pour mieux s’orienter dans cet archipel, on peut se servir de ce petit guide.

L'ile d'Hawaii

Le Parc National des Volcans d’Hawaii

Il est tout à fait possible d’observer un volcan de près à Hawaii. Ainsi, pour commencer la visite, prenez la peine de visiter le parc national des volcans d’Hawaii de 133 546 hectares qui se situe au Big Island. Survolant un long de 2414 km, il est à la fois la plus grande et la plus jeune île de l’archipel. Sa configuration est l’œuvre de la sculpture des tremblements de terre, des pluies diluviennes et des fracas de vagues.

Cette visite vous permettra de découvrir la toundra arctique, les forêts tropicales humides verdoyantes, les 11 zones climatiques de la planète et les déserts de lave noire.

Vous pourrez également sillonner ses fameuses plages de sable noir, blanc et quelques fois vert. Cette île est formée par 5 volcans différents, dont Mauna Kea est le plus grand avec 4205 m d’altitude.

Volcans d'Hawaii
Le Parc National des Volcans d’Hawaii

La Plage de Waikiki

On peut profiter d’un bon moment de détente sur la plage de Waikiki, réputée pour être la plus peuplée vu qu’elle est le prolongement d’Honolulu. De plus, vous y trouverez de nombreux boutiques, restaurants et night-clubs. En regardant autour, vous apercevrez un décor au style mauresque avec les tourelles et la façade rose du royal Hawaiian Hotel. En continuant vers le sud-est, vous pourrez découvrir le petit cône du Diamond head. Il s’agit d’un volcan de 228 m de diamètre issu d’une violente explosion de vapeur.

Plage de Waikiki
La plage de Waikiki à HonoluluCreative Commons Jim Harper

Hanaumu Bay

Hawaii est aussi reconnue pour sa baie aux eaux turquoises, le Hanaumu Bay, qui se situe au sud-est de l’île de Ohahu. Cette attraction incontournable est divisée en arc de cercle situé dans les flancs aplatis par un volcan. Comme elle est formée de faunes aquatiques et de récifs coralliens, c’est l’endroit idéal pour faire de la plongée. Certains visiteurs en profitent même pour nourrir les poissons.

Hanauma Bay
Hanaumu Bay

Tortues d"Hawai
Une Tortue d’Hawaii

Le Nuuanu Pali Lookout

Pour admirer une superbe vue de l’archipel d’Hawaii, vous pourrez monter le Nuuanu Pali Lookout de 360 m. Étant un endroit important de l’histoire, il se situe dans la chaîne du Koolau. En effet, c’était le lieu où Kamehameha le Grand réunissait ses guerriers en 1795. Dans les environs, vous trouverez le navire américain Arizona Memorial ancré à Pearl Harbor. Pour y accéder, il faut s’orienter vers le nord-ouest d’Honolulu. Environ 1,5 million de visiteurs s’y retrouvent pour rendre hommage aux 2335 militaires qui avaient connus la mort suite à l’attaque des Japonais en 1941.

Le Nuuanu Pali Lookout
Le Nuuanu Pali LookoutCreative Commons Lukas

Kauai, l’île jardin

Pour sillonner une végétation luxuriante, vous pouvez vous rendre à Kauai qui a la réputation d’être une île jardin. Du nord au sud, elle s’étend sur 40 km et sur 53 km d’est en ouest. L’intérieur de l’île est le meilleur endroit pour faire de la randonnée. En allant sur les côtés sud, vous découvrirez des plages ensoleillées, parfaites pour la détente.

Kauai
L’ile de Kauai

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Blog de ontheroadagain - LES ENVAHISSEURS SONT BIEN LA

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Blog de news - La meilleure saison pour un week-end à Nice

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Pourquoi l’expatriation 10 raisons de tenter une expérience qui vous transformera

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Vous le savez, sur ce blog de voyage, l’expatriation est un thème qui revient souvent. C’est pour moi une expérience à faire et qui complète celle du voyage. Pour s’expatrier ?[...]

La suite de l'article sur mon blog ! (cliquer sur le titre en bleu )
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Vidéo Faire le tour du monde grâce à des clichés d’Instagram

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instagram

« Je voulais créer une structure au chaos d’Instagram . Le résultat de ce court-métrage montre les possibilités infinies de médias sociaux ». Thomas Jullien a réalisé un clip vidéo à partir de 852 images d’utilisateurs du réseau de partage de photos Instagram.

La vidéo d’une durée d’1 mn 46 nous emmène dans les plus belles villes de la planète. On reconnaît l’Arc de Triomphe de Paris, les métros londoniens et new-yorkais ou encore la ville de Berlin.

[Capture écran]

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3 applications de guide touristique

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application

La plupart des applications de guide touristique se ressemblent. Nous en avons choisi 3 qui arrivent à se différencier des autres.

MTrip

Paris, Rome, Barcelone, Tokyo, New-York … MTrip propose de créer un programme touristique et culturel sur mesure dans 28 destinations. L’utilisateur crée son parcours en fonction de ses envies. L’application va alors calculer l’itinéraire idéal avec le temps de marche entre les sites ainsi qu’une description de chaque monument. Le guide ne requiert aucune connexion internet. A chaque fois qu’il détecte un réseau wi-fi, l’application se met à jour automatiquement.

MTrip sur l’App StoreMTrip sur Google Play

World Explorer

De Marseille à Paris, en passant par New-York, Londres ou encore Rome, plus de 800 000 lieux sont recensés dans l’application World Explorer. Vous pourrez ainsi connaître les lieux à visiter à proximité. Les textes sont extraits de Wikipédia.

World Explorer sur l’App StoreWorld Explorer sur Google Play

Trotter Hood

Trotter Hood est un audio guide qui vous présente les points d’intérêts autour de vous. L’application vocalise les monuments qui se trouvent près de vous. Trotter Hodd arrive à fonctionner avec une faible connexion.

Trotter Hood sur l’App Store

[photo]

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Carte d’identité des Canaries

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Savez-vous où se situent les Canaries ? Connaissez-vous la capitale de l'archipel ou encore la langue officielle ? Révisez votre géographie des Îles Canaries avec notre petit topo.
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Canaries fiche pratique et cartes

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Préparez votre prochain voyage aux Canaries avec notre fiche pratique et nos cartes.
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Blog de cocogallylis - 1ere tempete de neige

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Sur lîle

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Sur l'île
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Cusco la porte dentrée vers le Machu Picchu

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D'Arequipa, nous nous dirigeons vers Cuzco. Un dizaine d'heures de bus.  Nous en sommes à 95 heures de bus, depuis le début du voyage.  Dans un premier temps, Cusco nous d&eacut
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Sud Lipez / Salar Uyuni J3

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Encore et toujours un réveil de très bonne humeur pour entamer ce 3ème jour d'excursion. Ce matin nous avons pu voir un volcan à 7 couleurs et de nombreuses lagunes, chacune très différentes avec des couleurs
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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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