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Tourisme professionnel

Sylvia Pinel à Saint Lary Soulan pour favoriser laide aux vacances des plus défavorisés

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Communiqué de presse
"Alors que plus de trois millions de jeunes sont exclus du départ en vacances, Sylvia PINEL, ministre de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme, s'est rendue à Saint-Lary-Soulan ce jour pour rencontrer les jeunes apprentis bénéficiaires de la mission qu’elle a confiée en novembre à Claudie BUISSON, contrôleur général, pour favoriser le départ des personnes qui ont le plus de difficulté à accéder aux vacances.
La Ministre a félicité les régions qui ont accepté d’être pilotes de l'expérimentation gouvernementale, Midi-Pyrénées et Rhône-Alpes ainsi que l'Agence nationale pour les chèques vacances (ANCV), l'Union nationale des centres sportifs de plein air (UCPA) et l'Ecole de ski française (ESF) qui se sont pleinement mobilisées au côté du Gouvernement pour faire partir au ski 250 jeunes pendant ces vacances d'hiver.
Comme elle s'y était engagée dès sa prise de fonction, la Ministre a confirmé qu'une deuxième phase d'expérimentation aura lieu cet été avec pour priorité les familles monoparentales.
La Ministre a ensuite visité le Guichet Initiative Pluriactivité Emploi (G.I.P.E) et le Groupement d'employeurs des vallées d'Aure et du Louron (GEVAL). Elle a salué l'efficacité et la complémentarité du travail de ces structures pour accompagner les salariés saisonniers dans leurs démarches de recherche d'emploi et de logement. A cette occasion, la Ministre a confirmé la volonté du Gouvernement de faciliter le développement des groupements d'employeurs qui permettent aux salariés de stabiliser leur emploi sur l'année en leur proposant un parcours professionnel au sein des entreprises adhérentes.
La Ministre a également annoncé le lancement dans les prochains jours d'une mission pour pourvoir aux 50 000 emplois non pourvus dans le tourisme, en lien étroit avec Michel SAPIN, Ministre du travail, et dont un volet important sera consacré à la question des emplois saisonniers.
Enfin, à l'invitation du Président du Conseil Général des Hautes-Pyrénées, Michel PELIEU, la Ministre s'est rendue à Peyragudes qui accueillait pour la première fois depuis plus de 30 ans le championnat de France de ski alpin."
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Bookingcom n’est pas votre ami

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Booking n'est pas votre ami : d'ailleurs Booking.com n'a jamais eu cette prétention. Booking.com se positionne comme un partenaire des hôteliers. Cependant, la notion de partenariat fait appel à des valeurs communes, à des efforts communs, à une relation bilatérale et dans un esprit gagnant/gagnant. Les dernières évolutions que Booking.com à imposées font que l'on s'éloigne de cette notion de partenariat.
La profession s'émeut de plus en plus de l'évolution des relations entre les distributeurs et les producteurs, ou plutôt de l'absence de relation et de la dépendance commerciale qui en résulte. De nombreux professionnels alertent le secteur depuis des années, mais ce n'est que très récemment que les organisations professionnelles s'en mêlent et que cela commencent à buzzer sur internet.

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Accorhotels lance « Dream Away un nouveau jeu Facebook avec des séjours de rêve à la clé

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Accorhotels organise un grand vote sur sa page Facebook et met en jeu des séjours dans des hôtels de rêve. Le principe est simple : les internautes peuvent voter pour leur hôtel favori sur la page Facebook d’Accorhotels et tenter de gagner des nuits dans l’hôtel de leur choix. Chaque hôtel est mis en avant sur la page Facebook et les utilisateurs peuvent consulter les 3 hôtels préférés du moment.
Le vote est ouvert du 25 mars au 15 avril 2013, puis les gagnants des séjours seront tirés au sort parmi les fans et les participants au jeu. Les plus chanceux pourront donc voir leur rêve se réaliser et séjourner dans leur hôtel Accor préféré. Le plus difficile reste peut-être de choisir parmi les pays représentés : L’Indonésie, le Brésil ou encore l’île Maurice font partie des destinations mises en jeu.
Accor, premier opérateur hôtelier mondial, leader en Europe est présent dans 92 pays avec près de 3 500 hôtels et 440 000 chambres. Fort d’un large portefeuille de marques, avec Sofitel, Pullman, MGallery, Novotel, Suite Novotel, Mercure, Adagio, ibis, ibis Styles, ibis budget et hotelF1, Accor propose une offre étendue, allant du luxe à l’économique. Avec plus de 160 000 collaborateurs sous enseignes Accor à travers le monde, le Groupe met au service de ses clients et partenaires son savoir-faire et son expertise acquis depuis 45 ans.



 
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Eurostar le trafic 2012 porté par le loisir

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La compagnie ferroviaire transmanche enregistre un trafic voyageur en hausse de 2% et un chiffre d’affaires en recul de 0,5%.
Eurostar a publié un chiffre d’affaires en recul de 0,5% en 2012 à 799 millions de livres sterling (936 millions d'euros) malgré une hausse de 2% du trafic voyageur sur un an. La compagnie ferroviaire transmanche note "un impact sensible du taux de change". A taux de change égal, les ventes auraient augmenté de 5% sur un an.
Dans le détail, le nombre de voyageurs d'affaires est resté plutôt stable alors que le loisir a progressé de 3% par rapport à 2011. Le nombre de voyageurs internationaux, en provenance de pays en dehors de l'Europe, a augmenté de 8%.

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The European hotel industry posted mixed results in year-over-year metrics when reported in US dollars euros and British pounds for February 2013

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Highlights from key market performers for February 2013 include (year-over-year comparisons, all currency in euros) :
- Bratislava, Slovakia, rose 23.6 percent in occupancy to 45.1 percent, reporting the largest increase in that metric, followed by Tallinn, Estonia, with an 11.2-percent increase to 45.6 percent.
- Tel Aviv, Israel, reported the largest occupancy decrease, falling 14.7 percent to 59.1 percent.
- Istanbul, Turkey, ended the month with the only double-digit ADR increase, rising 14.8 percent to EUR127.34.
- Warsaw, Poland, fell 12.6 percent in ADR to EUR65.41, posting the largest decrease in that metric.
- Three markets achieved RevPAR increases of more than 15 percent: Bratislava (+23.6 percent to EUR29.22); Tallinn (+17.1 percent to EUR29.07); and Istanbul (+15.4 percent to EUR80.94).
- Geneva fell 18.1 percent in RevPAR to EUR120.05, reporting the largest decrease in that metric.

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Hotels in the Asia/Pacific region experienced mixed results in the three key performance metrics in February 2013 when reported in US dollars

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In February, the Asia/Pacific region’s occupancy ended the month with an 8.1-percent decrease to 62.5 percent, its average daily rate increased 3.5 percent to US$135.50 and its revenue per available room was down 4.8 percent to US$84.76.
Highlights from key market performers for February in local currency (year-over-year comparisons) :
- Bangkok, Thailand, rose 10.7 percent to 83.5 percent, reporting the largest occupancy increase.
- Beijing, China (-29.4 percent to 45.3 percent), and Shanghai, China (-29.0 percent to 43.3 percent), posted the largest occupancy decreases for the month.
Four markets experienced double-digit ADR increases: Jakarta, Indonesia (+20.6 percent to IDF1,083,227.38); Bali, Indonesia (+16.9 percent to IDF1,302,882.66); Phuket, Thailand (+13.6 percent to THB5,276.98); and Tokyo, Japan (+10.3 percent to JPY15,016.74).
- Ho Chi Minh City, Vietnam, fell 13.9 percent in ADR to VND2,520,607.40, reporting the largest decrease in that metric. Beijing followed with an 11.4-percent decrease in ADR to CNY527.62.
- Four markets achieved RevPAR increases of more than 15 percent: Phuket (+21.0 percent to THB4,756.75); Bali (+19.5 percent to UDR832,071.37); Osaka, Japan (+18.3 percent to JPY8,365.03); and Bangkok (+17.1 percent to THB2,733.03).
Beijing (-37.4 percent to CNY238.85) and Shanghai (-34.6 percent to CNY251.15) reported the largest RevPAR decreases.

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Verdun Drancy Omaha Beach la France veut doper son tourisme de mémoire

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"A l'aube du centenaire de la Grande guerre de 1914-18 et des 70 ans du débarquement allié en Normandie, les sites du tourisme de mémoire se mobilisent pour conquérir de nouveaux publics, alors qu'ils attirent des millions de visiteurs par an essentiellement dans le nord du pays.

Au Salon mondial du tourisme, jusqu'à dimanche à Paris, un espace entier est consacré pour la première fois au sujet qui concerne des centaines de sites, de la Ligne Maginot aux plages d'Omaha Beach et Juno Beach en Normandie, en passant par les cimetières, forts, camps et autres musées militaires.

Des professionnels font de la pédagogie sur une bonne vingtaine de stands.

Comme Isabelle Pilarowski, sur celui d'Arras. "Pour les Français, la Première guerre c'est Verdun. Moi, je suis là pour parler de la bataille d'Arras en 1917 et de la carrière Wellington: 20 km de tunnels creusés sous la ville par les Néo-Zélandais du Commonwealth qui appuyaient les Britanniques", dit-elle à l'AFP.

A 20 mètres sous terre, la carrière attire 45.000 visiteurs par an. "La bataille d'Arras a mobilisé des soldats anglais, écossais, irlandais... Elle a fait 270.000 victimes en six semaines", Allemands compris, indique-t-elle, ravie que "beaucoup de visiteurs" du salon envisagent le déplacement vers le Pas-de-Calais.

En 2010, le tourisme de mémoire a attiré 6,2 millions de visiteurs dans les 185 sites payants du pays, le plus visité étant le Musée de l'Armée aux Invalides à Paris (1,4 million en 2012). Mais le public est plus large: les 80% de sites gratuits ne comptabilisent pas les visites...

S'il n'était au départ qu'un pèlerinage des anciens combattants de la Première guerre mondiale, le tourisme de mémoire est aujourd'hui un enjeu économique.

Son impact excède de loin les maigres 45 millions d'euros de recettes générées par la billetterie et les boutiques des sites payants.

Dans le Calvados, les visiteurs des plages du débarquement, des cimetières américain de Colleville-sur-Mer et allemand de la Cambe ou encore du Mémorial de Caen ont, de juin à septembre 2011, suscité 224 millions d'euros de retombées économiques, selon une étude récente publiée par Atout France.

La clientèle étrangère, qui représente 45% des visiteurs -- Britanniques et Allemands sont les plus nombreux, suivis des Belges, des Néerlandais et des Américains -- dispose en général d'un fort pouvoir d'achat, souligne l'étude.

L'objectif des ministères du Tourisme et de la Défense est de dynamiser la filière, en améliorant notamment l'accueil et l'accessibilité, et en élargissant l'offre. Dans le nord, des circuits touristiques combinent plusieurs destinations mémorielles.

Au cabinet de la ministre du Tourisme Sylvia Pinel, on souligne l'importance du "coup de projecteur qui sera donné avec les commémorations de la Grande guerre et du débarquement allié l'an prochain".

Rien qu'à Arras et dans sa région, 25.000 lits sont déjà réservés pour l'an prochain par des Canadiens, indique Guy Valembois, président de l'Association du tourisme de mémoire de la Grande guerre.

Les sites de mémoire nécessitent toutefois "une approche différente du tourisme traditionnel. Certains lieux sont très durs", souligne Renaud Ferrand, au ministère de la Défense. Or, outre les particuliers, beaucoup de classes scolaires les visitent".

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Irlande nombre de visiteurs en croissance

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Il semblerait que l’Irlande soit toujours une destination de choix pour les entreprises ainsi que pour les vacanciers.
En effet, l’île d’Emeraude a accueilli plus de 6,5 millions de visiteurs en 2012. Une augmentation de 3,8% du nombre de vacanciers, soit une valeur de 2,83 M EUR ainsi qu’une augmentation de 7,7% du nombre de déplacements professionnels, soit une valeur de 1,18 M EUR, sont également à noter.
Par ailleurs, les dépenses par visiteur ont augmenté de 4,5% soit 3,68 Mds EUR. Le ministre du tourisme Leo Varadkar a, par ailleurs, indiqué qu’il était confiant pour 2013.

 

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Ratios financiers les TO doivent absolument faire mieux en 2013

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"La sixième étude sur les ratios financiers du tour-operating pointe les efforts faits par les TO.

D'après la 6eme édition de l’étude sur les ratios financiers du tour-operating français, la situation est grave mais les efforts engagés depuis un an commencent à porter leurs fruits tandis que les ventes directes continuent de croître.

"Résilience". C’est avec un certain optimisme que KPMG, qui a réalisé pour la sixième année consécutive pour le compte du CETO l’étude sur les ratios d’exploitation et les ratios bilanciels des tour-opérateurs, qualifie l’exercice 2012.

Les résultats des 20 TO qui ont participé à l’enquête se sont encore dégradés puisque la marge brute (différence entre le chiffre d’affaires et les coûts de production) continue de baisser à 17,7% contre 18,4% un plus tôt. lire la suite

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Kuoni France un plan social limité à une trentaine de postes

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Selon la CFDT, les difficultés du voyagiste étaient notamment liées aux frais de siège facturés par la maison mère.
La reprise du capital de Kuoni France par ses dirigeants annoncée le 21 mars devrait permettre à l'entreprise d'équilibrer ses comptes dès 2014, sans enregistrer de pertes en 2013 grâce à une recapitalisation, selon le business plan présenté par la direction. Emmanuel Foiry, président de Kuoni France, en détaille ce matin à la presse les modalités.
Pour Pascal Pedrak, élu CFDT Kuoni, "Les frais de siège nous ont plombés". La maison mère aurait en effet facturé 3,5 millions d'euros à sa filiale française pour différents services (informatique, achats, marketing...), alors que ses pertes se limitaient à environ 1,3 million d'euros en 2011.

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The Americas region recorded positive results in the three key performance metrics when reported in US dollars during February 2013

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In February, the Americas region reported a 1.9-percent increase in occupancy to 58.8 percent, a 3.9-percent gain in average daily rate to US$110.94 and a 5.8-percent jump in revenue per available room to US$65.28.
- Among the key markets in the region, Boston, Massachusetts (+5.8 percent to 60.0 percent), and New York, New York (+5.8 percent to 76.3 percent), reported the largest occupancy increases for the month. Panama City, Panama, reported the only double-digit occupancy decrease, falling 16.3 percent to 54.7 percent.
Miami, Florida, rose 9.6 percent in ADR to US$220.95, achieving the largest increase in that metric. Santiago, Chile, followed with an 8.8-percent increase to US$168.95. Panama City posted the largest ADR decrease, falling 8.4 percent to US$119.62, followed by Buenos Aires, Argentina (-6.2 percent to US$142.89).
- Two markets experienced double-digit RevPAR increases: Miami (+13.2 percent to US$190.66) and New York (+10.0 percent to US$149.43). Panama City (-23.3 percent to US$65.48) and Buenos Aires (-11.2 percent to US$84.26) reported the only double-digit RevPAR decreases for the month.

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Léconomie verte en trente questions

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"Alors que le chômage ne cesse de progresser, la tentation est grande de considérer que l'environnement peut attendre. Comme si les impératifs de court terme - relancer l'économie et l'emploi - s'opposaient aux enjeux de long terme - lutter contre le changement climatique, réduire notre dépendance énergétique.

Bien au contraire, la triple crise économique, sociale et écologique nous invite à questionner les finalités de l'économie. Que doit-on produire ? En mobilisant quelles ressources ? Avec quels résultats ? Comment aller vers un nouveau plein emploi ? Et comment produire de quoi nourrir, loger, vêtir, déplacer, éclairer les neuf milliards d'hommes et de femmes que comptera demain notre petite planète tout en respectant ses limites ? Bref, penser un modèle social qui soit juste, soutenable et désirable.

C'est à ces questions que répond ce hors-série poche. Il dresse un état des lieux détaillé de la crise écologique. Il donne des clés pour rendre notre économie plus durable. Il s'interroge sur les instruments à mobiliser pour réussir la transition.

En partenariat avec l'Institut Veblen.

Vous avez dit "économie verte" ?  (article en accès libre)
Philippe Frémeaux, éditorialiste à Alternatives Economiques, président de l'Institut Veblen pour les réformes économiques
Le terme d'économie verte est aujourd'hui utilisé à toutes les sauces. Il sert tout d'abord à désigner les activités qui diminuent ou réparent les atteintes à l'environnement. Dans cette acception, l'économie verte se réduit à ce compartiment de l'économie dont l'expansion est portée par les politiques environnementales actuelles. Lire la suite

Pourquoi il faut changer de cap

Et si Malthus finissait par avoir raison...
La croissance spectaculaire de l'économie mondiale depuis deux siècles s'est faite à crédit, en consommant massivement les ressources épuisables de la planète. Il est temps de changer de modèle.

Bienvenue dans l'anthropocène  (article en accès libre)
Les gains d'efficacité énergétique ne suffisent pas à réduire les impacts négatifs de l'homme sur l'environnement. L'activité économique doit s'adapter aux limites de la biosphère. Sans tomber dans l'austérité. Lire la suite

Une prise de conscience trop lente
La prise de conscience de la nécessité d'un développement durable s'est accélérée depuis 1972, mais les Etats sont en retard sur les citoyens.

Pourquoi les gouvernements ne font pas le nécessaire
La nécessité d'engager la conversion écologique de notre modèle économique est aujourd'hui largement reconnue. Mais pour que les intentions se concrétisent, il faudra lever de nombreux obstacles.

Comment l'économie s'est émancipée de la nature
L'environnement a été longtemps réduit par les économistes à un instrument au profit des plus aisés, à un magasin ou encore à une contrainte à dominer. Jusqu'à disparaître avec l'avènement de la théorie néoclassique.

Une nouvelle mesure du progrès
Le produit intérieur brut n'est pas à même de rendre compte des effets de l'activité économique sur l'environnement et sa croissance n'est plus synonyme de bien-être. D'où le besoin de nouveaux indicateurs.
Les sept plaies de la crise écologique

Le changement climatique s'accélère
Les signes du réchauffement se multiplient et la responsabilité humaine ne fait plus guère de doute. De quoi inciter les Etats à faire plus d'efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

La crise du productivisme agricole
Les rendements stagnent depuis les années 1990, alors que la production devra augmenter afin de nourrir une population mondiale en croissance. Une raison de plus pour changer de modèle, car l'agriculture intensive "moderne" est à bout de souffle.

La pénurie d'eau s'aggrave
L'accès à l'eau douce est déjà menacé dans de nombreuses régions du monde, par la pollution, les prélèvements excessifs et le changement climatique. Et le problème risque de s'accroître dans les années à venir.

Les ressources halieutiques s'épuisent
La pêche intensive et l'aquaculture exercent une pression croissante sur les écosystèmes marins. Et le réchauffement climatique n'arrange pas les perspectives.

La déforestation progresse toujours
Malgré les progrès réalisés dans certains pays, les zones forestières continuent de se réduire à l'échelle de la planète, mettant en péril la biodiversité et réduisant les capacités de stockage naturel du CO2.

La biodiversité compromise
L'extinction des espèces prend aujourd'hui une ampleur sans précédent. C'est le résultat palpable de l'étalement de l'habitat, de l'agriculture productiviste et de l'exploitation excessive des ressources.

Des produits toxiques de plus en plus disséminés
Une fois dans la nature, certains produits toxiques peuvent y rester pendant des siècles, voire des millénaires. Et ils reviennent souvent à l'homme par la chaîne alimentaire.
Les clés d'une société durable

Du champ à l'assiette  (article en accès libre)
Rendre le nécessaire désirable. S'il est un domaine où cet impératif fait sens, c'est bien celui de l'alimentation. Et c'est possible ! Nous pouvons manger bien, manger sain et manger tous et de manière durable. Mais les conditions sont loin d'être aujourd'hui réunies. Lire la suite

Energie : la révolution des renouvelables
Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, il faudra changer radicalement de système énergétique, en consommant moins et en produisant autrement.

Comment rendre les transports soutenables
Pour préserver le droit à la mobilité, les technologies "vertes" jouent un rôle clé, mais ne suffiront pas : il faut aussi réduire la place de la voiture individuelle au profit des transports en commun et des modes alternatifs.

Le transport aérien n'aime pas le vert
La consommation de kérosène des avions est en constante diminution, mais les gains d'efficacité énergétique sont annulés par la croissance du secteur. Il va falloir se résoudre à moins utiliser l'avion.

La ville autrement
La grande majorité de l'humanité vivra demain en ville. Logement, transports, déchets, les enjeux écologiques sont nombreux. Mais la ville soutenable devra aussi répondre aux aspirations de ses habitants.

Vers un nouveau plein-emploi
La transition écologique va créer des emplois, mais aussi en détruire. Elle sera synonyme de progrès si nous parvenons à donner une autre place au travail dans nos vies.

Produire mieux pour détruire moins
Nos modes de production et de consommation actuels dilapident les ressources naturelles de la planète. Economie de fonctionnalité, économie circulaire, chimie verte, des alternatives existent.

Consommer moins sans renoncer au plaisir
Matraquage publicitaire et dictature des marques, il faut sortir de l'hyperconsommation. Tout en acceptant l'idée que l'acte de consommer est partie intégrante de la vie en société.

"La consommation est une façon de remplir le vide"
Entretien avec Philippe Moati, professeur à l'université Paris-Diderot
La critique de la consommation est désormais surplombée par la problématique écologique : ne pas changer de modèle, c'est aller dans le mur.

La difficile promotion des comportements écologiques : le cas américain
Entretien avec Cathy Hartman et Edwin Stafford, professeurs à l'université d'Utah, codirecteurs du Centre de diffusion des énergies renouvelables et des technologies propres
Pourquoi les hommes sont-ils devenus une cible majeure des campagnes "vertes" aux Etats-Unis ?
Réconcilier l'écologie et l'économie

Comment l'économie est venue à l'écologie
Les économistes de tous bords ont longtemps fait comme si l'environnement n'existait pas. Les choses ont commencé à changer à partir des années 1970. L'économie standard peine cependant toujours à intégrer les limites physiques de la biosphère.

De nouvelles finalités pour l'économie
Quels objectifs poursuivre une fois la quête perpétuelle de la croissance mise au placard ? Du bien-être, des objectifs écologiques et sociaux et beaucoup de démocratie.

Les instruments économiques de la transition
Normes, taxes, marchés, les outils nécessaires pour orienter le comportement des agents économiques existent. Mais ils ne dispensent pas de définir vers où aller.

Gérer les biens communs de manière coopérative
Coopération, gestion décentralisée, droits d'usage collectifs, des solutions existent pour gérer les biens communs autrement que par la privatisation et le marché.

Le rôle des citoyens
Pour réussir, la transition écologique devra emporter l'adhésion des citoyens. Ce qui présuppose à la fois plus de place aux modèles économiques alternatifs et une démocratie réellement participative.

La mondialisation à l'épreuve de la transition écologique
Dumping écologique et social, coût environnemental des transports, recherche d'efficacité contre-productive, il faut rompre avec les formes actuelles de la mondialisation, sans pour autant renoncer à vivre dans une société ouverte.

Démographie : les vrais enjeux
Plus que le nombre d'humains, c'est le mode de vie des plus riches qui fait problème. Pour autant, si nous voulons assurer la satisfaction des besoins de tous en 2050, il importe que la transition démographique se poursuive.

La planification écologique : une ardente obligation
L'ampleur des mutations requises par la transition écologique suppose de mettre en oeuvre une nouvelle planification afin d'assurer la cohérence des différentes politiques à mener. Et de dégager un consensus sur les nouvelles finalités assignées à l'économie.
En guise de conclusion

Le pire n'est pas sûr !
Nous avons au moins quatre raisons d'espérer...
 
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The Middle East/Africa region reported positive performance results in February 2013 when reported in US dollars

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The region reported a 6.4-percent increase in occupancy to 66.4 percent, a 2.9-percent increase in average daily rate to US$176.55 and a 9.5-percent increase in revenue per available room to US$117.24.
Highlights among the region’s key markets for February 2013 include (year-over-year comparisons, all currency in U.S. dollars):
Three markets experienced double-digit occupancy increases: Abu Dhabi, United Arab Emirates (+18.3 percent to 76.4 percent); Muscat, Oman (+16.2 percent to 83.0 percent); and Cape Town, South Africa (+13.1 percent to 83.6 percent).
Amman, Jordan, fell 31.9 percent in occupancy to 53.6 percent, posting the largest decrease in that metric.
Jeddah, Saudi Arabia, increased 10.3 percent in ADR to US$227.49, reporting the only double-digit increase in that metric.
Beirut, Lebanon, reported the largest ADR decrease, falling 19.8 percent to US$156.07.
Four markets achieved double-digit RevPAR increases: Abu Dhabi (+24.2 percent to US$143.41); Muscat (+15.8 percent to US$205.47); Jeddah (+10.5 percent to US$179.95); and Dubai, United Arab Emirates (+10.4 percent to US$238.36).
Amman (-25.8 percent to US$83.83) and Beirut (-25.6 percent to US$83.27) reported the largest RevPAR decreases for the month.

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L’aggravation des coûts de distribution une cruelle réalité

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A l’occasion du Global Lodging Forum, Hospitality-ON a interrogé, via la plate-forme OlaKala, plus de 300 hôteliers représentatifs de la diversité de l’industrie hôtelière française sur l’apport, mais aussi le coût constaté, via l’utilisation du canal de vente des agences en ligne. Le bilan est révélateur d’une forte dégradation des conditions en l’espace de cinq ans.
A travers l’analyse sur une courte période des relations commerciales entre les hôteliers et les agences en ligne, il est clair que le plateau de la balance ne penche plus en faveur des premiers.
A travers le témoignage majoritaire des hôteliers interrogés, le processus est malheureusement d’une implacable logique : les ventes en provenance des agences en ligne apportent, dans un premier temps, un surcroît réel de chiffre d’affaires, à un coût maîtrisé ; puis le coût augmente alors que la progression du nouveau chiffre d’affaires généré s’essouffle, pour finalement constater qu’une partie du chiffre d’affaires ancien (sans commission) a été détourné par le canal des agences en ligne et que le montant des commissions a fortement progressé pour tout le chiffre généré. Double peine.

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Un article du JDN explique la stratégie de Google dans le tourisme avec Hotel finder et Flight search européen

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Extrait du Journal du Net
"Google réalise un strike en e-tourisme

 

"Le secteur du e-tourisme est le plus actif sur Internet. Mais les conditions de succès du secteur ont considérablement changé. Le contexte économique difficile, le report des voyageurs de tourisme en termes de fréquence et l’instabilité politique de certaines destinations sont des contraintes toujours plus lourdes.

Pourtant le canal Internet a permis le développement de modèles de distribution, forcé un nouveau ‘partage’ de la valeur créée côté agences, TO et même institutionnels. Avec une réalité webmarketing,  pour capter un nouveau client, rien ne vaut Google.
Le moteur de recherche permet effectivement de mettre en relation une demande et des offres à travers le référencement naturel (SEO) ou payant (SEA). Les dernières modifications d’algorithmes de Google Panda & Penguin ont d’ailleurs lourdement pénalisés de nombreux acteurs e-tourisme.

Google poursuit une stratégie dans le tourisme

Et cela participe à la stratégie sectorielle de Google dans l’industrie du tourisme avec les nombreuses acquisitions : 2010 & ITA Software (technologie), 2011 & Zagat (guide gastronomique) et 2012 & HomeAway (location de maisons de vacances) ou Frommer’s (guide de voyage). Bref Google innove bien sur mais réalise surtout de belles opérations de croissance externe grâce aux revenus de la régie publicitaire Google Adwords.
Déjà en 2005, je travaillais comme consultant pour un grand du secteur qui fournissait au moteur la technologie ‘carte, plan et itinéraire’ devenu depuis Google Maps. Puis le moteur a développé des services toujours plus performants autour de la recherche locale puis celui de la mobilité avec Android avec brio : Google really knows how to make money.

Dans un marché de concurrence pure et parfaite

Avec les mêmes règles par chacun, l’adage s’adapter ou disparaitre peut s’appliquer et permettre aux forces du marché de réguler les différents compétiteurs. Mais ce n’est pas le cas ici.
Et une nouvelle fois, Google lance en France en moins d’un mois les deux nouvelles bombes Google Hotel Finder et Google Flight qui sont objectivement d’excellents services.

Google Hotel Finder

C’est un comparateur de prix avec de nombreux critères pertinents pour trouver un hôtel. Il se nourrit pour cela des informations communiquées par les OTA  (Online Travel Agency, également appelé par le passé en ADS pour Alternative Distribution System). Le modèle économique est une facturation au clic au % sur le prix de chambre (moins de 1 %) et non sur la réservation dont le taux de commission négocié entre un hotel et les OTA (généralement plus de 15 %).

Google propose ce service puissant et rapide dans les premiers liens, juste au dessus des résultats naturels. Au final, le partage de la valeur ajoutée sur la vente va se faire un profit de Google + celui de l’hôtel et au détriment des OTA ou autres autres comparateurs spécialisés/moteurs verticaux. Ces derniers déjà très touchés par Google Panda et Penguin risquent de perdre des parts de marché considérables comme dans d’autres secteurs avec Kelkoo (ex-Yahoo!) ou Ciao (ex-Microsoft).

Google Flight Search en Europe

C’est un comparateur de prix de billets d’avion avec de nombreux critères pertinents : temps de vols, prix, escales, compagnie... A l’origine, il s’est constitué sur les données et la technologie d’ITA e, 2010. Il est à présent disponible aux vols en départ de France, Royaume-Uni , Pays-Bas, Italie, Espagne et ce en plusieurs langues. Mais assez étrangement, certaines compagnies ne sont pas ou ne veulent pas apparaître dans le comparateur de vols tant au niveau low cost (Ryanair, Easyjet) ou plus classique comme la Lufthansa.
Une nouvelle position délicate pour le moteur, une situation déjà critiquée aux USA.

Que dire de cette nouvelle situation de fait dans un marché déjà tendu : réalité de la concurrence, nouvelle répartition de la valeur ajoutée, modèles économiques condamnant de grands acteurs, quid des bénéfices pour les clients ?

Google demain

A l’heure où je termine cette chronique, les réactions commencent à apparaître sur les médias de la part des professionnels assez tardivement compte tenu du lancement lundi du dernier service de comparatifs de vols de Google.
Quoi qu’il en soit, la stratégie de Google vise à continuer d’innover et de développer des services  pour un Web plus rapide au profit de ces utilisateurs.
Et pour cela, financer les développements des outils par les annonceurs qui doivent investir malgré eux dans sa régie publicitaire de vente de liens sur un modèle au clic. 

A suivre..""
 

 
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Mobilisation autour du TGV du futur

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"Dans le cadre de la Semaine de l’industrie et à l’occasion de sa première étape à Belfort pour l’inauguration du Train de l’Industrie et de l’Innovation, le Ministre du Redressement productif a lancé au cœur de l’usine Alstom la mobilisation autour du TGV du futur annoncé au comité de filière ferroviaire le 11 janvier 2013.

Ce TGV de nouvelle génération, dont la première rame circulera à l’automne 2017, permettra de transporter davantage de passagers (jusqu’à 800), plus fiable, avec une moindre consommation et des coûts de maintenance réduits. Alliant qualité, performance, fiabilité et économies d’énergie, le TGV du futur permettra des prix réduits d’utilisation pour les opérateurs ferroviaires et leurs clients et pourra circuler sur l’ensemble du réseau européen. Il devrait aussi être le « vaisseau amiral » à l’export de « Fer de France », association regroupant l’ensemble de la filière française, et incarnera l’excellence de notre industrie".

 
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Le tourisme de mémoire fait recette

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"Le goût des Français pour l'histoire coïncide avec les besoins de l'armée
Engagez-vous, rengagez-vous, vous verrez du pays. Le vieux slogan de l'armée vaut aujourd'hui dans l'autre sens.
En encourageant les touristes qui veulent voir du pays à visiter les lieux de souvenir qu'il entretient, le ministère de la Défense répond à deux préoccupations. « Le tourisme de mémoire s'adresse au grand public et, comme tel, est un outil fort du lien armée-nation », explique Renaud Ferrand à la Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA) du ministère de la Défense.
Ce lien se nourrit aussi « de la présence des unités dans les régions et des relations du ministère avec l'Education nationale », ajoute-t-il. La seconde préoccupation est de ne pas passer à côté d'opportunités pour reconvertir des sites."
 
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Au Salon mondial du tourisme Sylvia PINEL réaffirme la détermination du Gouvernement d’agir pour renforcer la compétitivité de la France et salue l’engagement des professionnels du secteur pour innover et ainsi conquérir de nouveaux marchés

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Au Salon mondial du tourisme, Sylvia PINEL réaffirme la détermination du Gouvernement d’agir pour renforcer la compétitivité de la France et salue l’engagement des professionnels du secteur pour innover et ainsi conquérir de nouveaux marchés.
Sylvia PINEL, ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, a inauguré aujourd’hui le Salon mondial du tourisme. A l’heure où le tourisme mondial est en pleine croissance, la Ministre a réaffirmé la détermination du Gouvernement d’agir pour renforcer la compétitivité de la France et lui permettre de gagner de nouvelles parts de marché.
Sylvia PINEL a ainsi indiqué que la fréquentation touristique pour l’année 2012 s’est maintenue à un très bon niveau avec une augmentation de l’arrivée des clientèles étrangères par rapport à 2011. D’après les chiffres provisoires, le tourisme a ainsi généré au moins 77 milliards d’euros contre 68,7 milliards d’euros en 2010 et 75,4 milliards d’euros en 2011.
La Ministre est allée à la rencontre des acteurs qui par leur savoir-faire et leur expertise contribuent à définir les nouvelles tendances du secteur. Soulignant le rôle croissant d’internet dans la réservation et l’organisation des voyages, elle a salué l’effort très important de modernisation accompli par l’ensemble des professionnels pour répondre aux grandes évolutions de ce secteur clé de notre économie.
Parmi ces évolutions, figurent également de nouvelles attentes des touristes. Ainsi, les sites de mémoire connaissent un succès grandissant et représentent d’ores et déjà une part non négligeable dans l'économie touristique française. La Ministre a tenu à visiter le Pavillon consacré à ce secteur, en présence de Kader ARIF, ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants. Les deux ministres ont souligné que le tourisme de mémoire, en plein développement, constitue un fort levier d’attractivité et de vitalité économique complémentaire à l’offre touristique traditionnelle pour de nombreux territoires.
C’est pourquoi la Ministre souhaite travailler avec les territoires concernés par le tourisme de mémoire afin de leur permettre de se fédérer autour d’un projet commun pour renforcer leur attractivité touristique et bénéficier de l’expertise d’Atout France.
La Ministre a enfin salué l’initiative de la ville Paris, présentée au Salon mondial du tourisme par Jean Bernard BROS, adjoint au Maire de Paris en charge du Tourisme et des nouveaux médias locaux, du premier incubateur « Welcom City Lab » entièrement dédié aux entreprises innovantes du tourisme.
Ce lieu, unique en France, réunira un ensemble de services aux startups et aux entrepreneurs innovants sur près de 1000 m2 (domiciliation, accès à des financements privilégiés, espaces de conférence, espace ouvert de co-working en libre accès, etc.)
La Ministre a encouragé toutes les collectivités à s’engager dans de telles démarches de modernisation.

 
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Forte chute de lactivité des tour-opérateurs cet hiver

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Voyages à forfait : les premiers résultats de la saison Hiver 2012-13 pour l’Association de Tour-Opérateurs (CETO)
Lors de la période du 1er novembre 2012 au 28 février 2013, les tour-opérateurs membres du CETO (Association de Tour-Opérateurs) ont enregistré une baisse de leur activité avec un volume d’affaires de l’activité voyages à forfait s’élevant à 938 M€, en retrait de -10,7% par rapport à la même période de l’exercice précédent.
Ce résultat s’inscrit dans un contexte de baisse de l’activité et d’augmentation de la recette unitaire moyenne.
Ainsi pour les voyages à forfait, les tour-opérateurs membres du CETO ont fait voyager 763 255 clients, ce qui correspond à une baisse de l’activité (-14,5%) par rapport à la même période de l’exercice précédent (à périmètre comparable).
La recette unitaire moyenne quant à elle s’est fortement redressée au cours de la période (+4,4%) pour s’établir à 1 229€ (contre 1 176€ pour la même période de l’exercice précédent).
Le volume d’affaires de l’activité des voyages à forfait se répartit sur les grandes zones suivantes :
- La France a réalisé un volume d’affaires de 95 M€ en baisse de -17,7% : le nombre de clients est en recul (181 442, soit -16,8%) et la recette unitaire moyenne à 523 € diminue de -1,1%.
- Les destinations moyen courrier ont réalisé un volume d’affaires de 204 M€ en baisse de -5,6 : le nombre de clients est en recul (270 969 clients, soit -9,4%) et la recette unitaire à 753 € augmente de +4,2%
- Les destinations long courrier ont réalisé un volume d’affaires de 639 M€ en forte baisse (-11,1%) : le nombre de clients est en recul (310 844 clients, soit -17,2%) et la recette unitaire à 2 055€ est en forte hausse à +7,3 %.
En ce qui concerne le bilan de la saison Hiver 2012-13 (à fin avril 2013), il est prématuré d’émettre un pronostic à ce jour et cela à cause de l’effet calendrier qui reporte une partie importante du trafic de la saison sur le mois de mars 2013.
Cependant il est d’ores et déjà établi que la saison d’hiver 2012-13 se terminera sur un trafic négatif sur les destinations long courrier. Il reste des incertitudes pour les destinations moyen courrier dans un contexte général où les réservations pour les vacances de Pâques sur les destinations phare comme l’Egypte et la Tunisie n’ont pas repris.

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Compte-rendu du colloque « Tourisme de Luxe et développement durable – quels business models

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L’Institut Européen de Formation au Tourisme (IEFT) de Paris vient d’organiser, le mardi 12 mars, sa conférence annuelle, proposée à ses étudiants et entreprises du secteur du tourisme.
L’objectif est de créer un nouvel espace d'échanges, en présence de professionnels reconnus, d’enrichir le programme pédagogique et de confronter les étudiants aux réalités du marché.
Un colloque pour répondre aux enjeux actuels du tourisme
Le colloque s’inscrit dans un contexte de mondialisation et d’expansion du tourisme international vers de nouvelles préoccupations. Les réflexions se sont orientées autour de l'expansion des activités touristiques de luxe et de leur avenir.
Le colloque a fait une large place aux interventions d’experts avec la présence de :
• Pascal Magniez, Directeur France-Benelux Department of Tourism and Commerce
Marketing - Government of Dubaï). Son intervention est allé bien au-delà des clichés du
luxe extrême que véhicule le positionnement de Dubai pour montrer que la finalité d’un
tel phénomène rejoint ,à long terme, parfaitement les objectifs du développement
durable dans le sens ou la culture locale, l’art de vivre et l’authenticité bédouine de cette
destination sont mises à l’honneur à travers les innovations qu’entreprend Dubai pour
faire de son tourisme la source de croissance économique durable de demain.
• César Saint Ouen, Président du tour opérator Croisière Jaune qui a développé le concept du luxe au pluriel qui n’a de signification que celle que lui donne le client. Il a en outre souligné la vraie nature du développement durable et mis l’accent sur ceux à qui cela doit profiter à savoir les populations locales et les territoires visités.
• Véronique Faillard, Présidente de la CITR (Coalition Internationale pour un Tourisme Responsable) qui a posé le cadre de référence relatif à l’éthique dans le tourisme et l’impérieuse nécessite d’intégrer le développement durable dans toute activité, en tout territoire et partout dans le monde.
• Catherine Mareuil, Responsable commerciale Marché de la Motivation & Récompense
(EDENRED), spécialiste des incentives de luxe a pour sa part présentée le bien être de luxe et l’impact qu’il génère sur l’image, la notoriété et donc le positionnement de la marque qui le diffuse. Sa conclusion a porté sur la création de valeur à travers le sens à
la fois culturel et sociologique que le bien être introduit dans les prestations touristiques pour en faire des offres de luxe durables et contributives au développement local.
Après la présentation des trois univers de référence, à savoir celui du Tourisme, celui du Luxe et celui du Développement Durable, Samy Guesmi et Amir Louizi, enseignants chercheurs à l’Idrac-IEFT Paris, ont abordé une réflexion menée en collaboration avec Abdou Bounafaa, enseignant chercheur à l’IEFT. Réflexion qui vise à ouvrir le débat sur le rôle qui peut être celui du business model dans l’intégration par le tourisme et le luxe des principes de développement durable
 
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Amex compte supprimer 250 postes en France

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"D’après le projet de plan social présenté "la France risque de perdre 250 emplois, soit près de 18% de son effectif", selon la CFTC.
Selon le plan social présenté par American Express Voyage d’Affaires, "la France risque de perdre 250 emplois, soit près de 18% de son effectif", explique la CFTC sur son blog. Un nombre que nous a confirmé la direction française de l'entreprise spécialisée dans le voyage d'affaires. Le PDG du groupe, Kenneth Chenault, avait annoncé le 11 Janvier que 5400 postes seraient supprimés dans le monde, soit 8,5% des effectifs.
Dans le détail, 170 postes seraient supprimés au sein du service-clients. Quatre sites seraient fermés sur les 12 existants : Nantes, Strasbourg, Vélizy et Aix-en-Provence."

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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