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Ça va patron

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Jason Tryfon, président de Vital Insights, a brisé les tabous en avouant, à la une d’un magazine d’affaires, avoir fait une dépression due à l’épuisement. – Photo : Chris Woods

« Où êtes-vous, monsieur Trudel ? On vous attend… »

C’était un matin du printemps 2011. Un tout petit courriel pour lui rappeler que 150 personnes l’attendaient pour écouter sa conférence sur le développement durable. Il avait oublié.

Puis vinrent les difficultés de concentration, les troubles du sommeil, la grande fatigue. Il s’est imposé deux mois d’arrêt de travail. « Le cerveau est comme un disque dur et vous avez dépassé sa capacité ! Vous avez besoin de repos », lui avait dit son médecin.

Les mois précédents avaient été chargés : 60 heures par semaine à faire croître son entreprise, à donner des conférences, des formations, à assister à des comités, à siéger à des jurys, à fonder une association, à achever l’écriture d’un deuxième livre…

Il ne voyait pas qu’il travaillait trop. Moi, oui. Car cet entrepreneur qui a connu l’épuisement professionnel est mon conjoint.

On sait déjà que le phénomène est un fléau parmi les cadres et les employés salariés. Selon l’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes, les problèmes de santé psychologique comptent actuellement pour 40 % des prestations d’invalidité, contre 18 % en 1990.

Au Canada, la dépression en milieu de travail engendre des coûts annuels de 4,5 milliards de dollars. L’Organisation mondiale de la santé prévoit que la dépression majeure deviendra, en 2020, la deuxième cause d’invalidité, après les maladies cardiovasculaires.

Si la pression et la quantité de travail sont souvent des facteurs de risque, on peut imaginer ce qui guette les entrepreneurs ! Les études sont pourtant peu nombreuses sur le sujet.

En France, une chaire de recherche sur la santé des dirigeants de PME a été créée en 2012 à l’Université de Montpellier pour remédier à la situation. Sa première enquête, effectuée auprès de 400 chefs d’entreprise français, révèle que 94 % d’entre eux souffrent d’insomnie ! Le fondateur de la chaire, Olivier Torrès, travaille à mettre sur pied un observatoire du genre au Québec. « Les médias ont raison d’alerter la population sur la souffrance des salariés au travail, dit-il, mais ils devraient aussi nous alerter sur celle des patrons. »

Encore faut-il que ces derniers acceptent d’en parler. Ce fut le cas récemment de Jason Tryfon, président de Vital Insights, qui a fait la une du magazine Profit. L’article ne parlait pas de la croissance importante de cette entreprise de logiciels (232 % en cinq ans), mais de la dépression de son fondateur, qui a ramé jour et nuit en 2007 pour la refinancer dans un moment critique.

La plupart des entrepreneurs éprouvent de grandes satisfactions dans la voie qu’ils ont choisie. Leur énergie hors du commun leur permet d’abattre une quantité de travail plus grande que la majorité des gens. Dans le cadre des Leaders de la croissance de L’actualité, j’ai rencontré une douzaine de ces superathlètes. Ils travaillent en moyenne l’équivalent de huit heures par jour sept jours sur sept, mais ils essaient de mieux concilier travail et vie personnelle.

« Ce n’est pas tout le monde qui veut une grande entreprise. Je travaille fort, mais je veux dormir la nuit et passer du temps avec ma fille », m’a dit Caroline Néron, dont l’entreprise arrive en tête du palmarès.

Mon conjoint ? Lui aussi dort bien. Depuis cet épisode, il s’est concentré sur son entreprise et a diminué le « parascolaire », sauf le sport ! Il y a moins de cinq à sept de réseautage et plus de séances de « lutte » sur le canapé avec notre fils de cinq ans. La croissance de son entreprise en souffre-t-elle ? Elle est peut-être moins rapide, mais c’est un choix, qui semble refléter celui d’un nombre grandissant d’entrepreneurs.

L’autre bonne nouvelle ? Quand le patron se préoccupe davantage de l’équilibre entre boulot et vie personnelle, on peut penser que ce sera plus facile pour les employés d’arriver à le faire aussi.

* * *

« Il existe plus de données sur la santé des baleines bleues que sur celle des entrepreneurs », dit Olivier Torrès, fondateur de la chaire de recherche sur la santé des dirigeants de PME de l’Université de Montpellier.

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Le sac à main pour homme le dernier tabou

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Photo : Exclusive Visual / iStockphoto / Ugur Atila

Ma blonde m’a acheté un sac à main. Pour hommes. Un beau sac à bandoulière, en cuir souple, dans lequel je mets portefeuille, clés, documents et gadgets. Il n’y a pas si longtemps, j’aurais fait semblant d’apprécier ce cadeau et l’aurais laissé traîner au fond d’un placard. Mais mes goûts ont évolué. Aujourd’hui, je porte fièrement cet accessoire longtemps associé aux femmes. Et je ne suis pas le seul.

« Au Québec, le marché du sac pour hommes a explosé depuis trois ans », affirme Monique Abitbol, directrice des ventes internationales de m0851, une entreprise québécoise qui conçoit et fabrique des sacs depuis 25 ans. Les hommes représentent désormais 45 % de sa clientèle, et la directrice ne serait pas surprise si leur nombre dépassait celui des femmes d’ici quelques années, comme cela s’est produit au Japon.

Ce nouvel engouement, l’industrie le doit aux appareils technos, croit Sébastien Burns, propriétaire de la Boutique Archive, à Montréal. « Les gars ont de plus en plus d’accessoires — ordinateur portable, tablette, téléphone intelligent — et ils ont besoin de quelque chose pour transporter tout ça. Un peu comme les filles pour leur maquillage, leur gloss et, euh, d’autres trucs », dit-il, visiblement mal à l’aise de jouer sur ce stéréotype.

Non seulement l’offre d’étuis consacrés aux tablettes et autres écrans tactiles a explosé, mais presque tous les sacs pour hommes comprennent désormais des compartiments pour les gadgets. Ce besoin réglé, choisir le bon modèle devient alors une question de goût.

Le sac messager, par exemple, offre un bon compromis entre style et utilité. Non pas les modèles robustes avec des rubans autoagrippants — laissez ça aux coursiers et autres inconditionnels du vélo —, mais ceux, plus élégants, en cuir ou en tissu, qui se portent en bandoulière. « C’est un sac qui convient à la vie de tous les jours », dit Jeff Golf, copropriétaire de l’entreprise de stylisme personnel Ludique. « On peut l’utiliser au travail pour transporter des documents ou la fin de semaine pour traîner son portefeuille, ses clés et son téléphone. »

Les assidus du club de gym peuvent remplacer leur sac de toile mou et difforme par un sac de sport plus robuste. Si vous évitez ceux d’apparence trop sportive, vous ne serez pas gêné de l’apporter au travail, même en veston-cravate. Il fera aussi un parfait baise-en-ville (vous savez, ce petit sac qui contient le nécessaire pour une nuit) pour les courts séjours à l’extérieur… ou les rencontres prometteuses.

Les plus conservateurs qui refusent de dire adieu au sac à dos, très confortable il est vrai, trouveront de nombreux modèles plus urbains. C’est aussi un bon choix pour les personnes qui traînent leur maison sur leur dos (comprendre : ceux qui emportent plein de trucs) : répartir le poids sur deux bretelles au lieu d’une seule leur évitera bien des maux de dos…

Mais peu importe le type de sac choisi, prenez garde à la manière dont vous le portez. Si vous le tenez au creux de votre aisselle, votre virilité en prendra un coup. Même si c’est un sac à main. Pour hommes.

* * *

Quelques fabricants québécois :

• Fullum & Holt

• C comme Ça

• Rudsak

• Matt & Nat

• Rimanchik

• m0851

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Québec parmi les 10 meilleures villes touristiques au monde

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Dans le cadre du classement annuel des 25 meilleures villes du monde (d’un point de vue touristique, s’entend) telles qu’établi par les lecteurs du magazine Condé Nast Traveler, la ville de Québec se classe bonne dixième, cette année.

Choisie devant Victoria (17e) et Vancouver (13e), la vieille Capitale domine ainsi le classement des villes canadiennes de ce palmarès. Les lecteurs disent avoir apprécié « le charme du Vieux-Continent », les « superbes attraits historiques » et « l’épatant magasinage » de ce « petit bijou pittoresque et romantique où on mange bien et où on trouve de splendides exemples d’artisanat ».

Les neuf villes qui ont été préférées à Québec par les lecteurs de Condé Nast Traveler sont, en ordre décroissant: Sienne, Rome, Vienne, San Sebastian (Pays basque espagnol), Charleston (Caroline du Sud), Salzbourg, Budapest, Florence et San Miguel de Allende (Mexique).

Évidemment, ce classement vaut ce qu’il vaut (parmi les 25 villes choisies figurent notamment Beyrouth…) et représente essentiellement le point de vue de touristes états-uniens, mais le point de vue de 80 000 personnes quand même, ce qui n’est pas rien, statistiquement parlant.

Pour me suivre sur Twitter, cliquez ici; sur Facebook, plutôt là.

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Résumé de mon voyage aux Etats Unis

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Trois semaines est une période très courte et insuffisante pour découvrir quoi que ce soit aux USA. Vu le nombre des états et surtout les coûts assez chers pour le voyageur à petit budget que je suis, je n’ai pu visiter que New York, Washington DC et la Virginie.(...)Read the rest of Résumé de mon voyage aux

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Un voyage de rêve c’est quoi pour vous

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Avez-vous en tête un voyage idéal, un voyage de rêve qui serait pour vous le voyage de votre vie ?

Mais quelle est pour vous la définition d’un voyage de rêve ? Voici vos réponses et ma vision personnelle de la chose.

 

En réfléchissant à ce que pourrait être le voyage de sa vie, tout un chacun va penser au voyage de rêve qu’il aimerait faire. Un voyage de rêve a bien des chances de rester Le voyage pour beaucoup.

 voyage de reve Un voyage de rêve: cest quoi pour vous ?

Qu’est ce qu’un voyage de rêve ?

Chacun d’entre nous a ses rêves de voyage. Ceux-ci viennent de nos projections intérieures, de notre imagination, de notre sensibilité et souvent de nos désirs d’enfants restés en nous.

La notion de voyage de rêve est bien sûr subjective et propre à chacun. Pour certains, un voyage de rêve est attaché à une certaine idée de luxe et de raffinement : hôtel de charme avec vue sur une plage paradisiaque, massages raffinés, voiture avec guide privé, vous voyez le topo.

C’est même l’image du voyage de rêve qui est la plus répandue. Faites un test là : tapez sur Google Images « voyage de rêve ». 90% des photos qui ressortent alors sont des plages paradisiaques, des lagons aux eaux turquoise, des hôtels de rêve.

Le site d’un magazine de voyage axé voyage de rêve et luxe titre étrangement « le magazine des voyageurs éclairés ». Mince, est-ce à dire qu’une part importante des voyageurs (dont moi)  tâtonne dans l’obscurité ?

Le pouvoir des lieux et des sites

Je crois que nos rêves de voyage sont avant tout attachés à des lieux, non ? Ou à des sites en particulier.

Beaucoup rêvent par exemple de voir le Taj Mahal, les temples d’Angkor, les Pyramides ou Venise. Les sites d’exception concentrent les pensées car ils ont l’avantage d’être clairement identifiés et localisés. Et puis, ils ont été repris en photo de nombreuses fois. Les belles images s’impriment dans notre esprit.

 

Les rencontres, la sève de tout voyage réussie

Pour d’autres, un voyage de rêve, c’est avant tout l’authenticité des rencontres et du voyage, loin d’un carcan qui peut faire office de barrage.

Pour cela, un voyage de rêve se résumera à des rencontres improbables et incroyables, un séjour chez une famille de paysans laotiens au détour d’un trek, des rencontres inopinées sur la route, des imprévus bienvenus, des lieux magiques auxquels on ne s’attendait pas, des sourires échangés dans un bus local bondé, des rencontres étonnantes en auto stop.

Pour ces derniers, un voyage ne rêve n’est pas lié au budget prévu pour le voyage, c’est même parfois le contraire.

Sur la page Facebook du blog, des lecteurs (merci à eux) ont apporté leur contribution, en voici quelques uns :

 

 

Pour Doubbiss Lion Tramp, un voyage de rêve, c’est :

«  un voyage qui te fait grandir…

Un voyage de rêve, c’est un voyage qui t’apprend l’autre…

Un voyage de rêve se vit intensément, s’apprend et se partage… »

 

Pour Mélanie, c’est un voyage à l’intérieur de soi.

Pour Véronique, c’est un voyage où l’on se découvre citoyen du monde…à sa place parmi d’autres.

 A lire: êtes-vous un citoyen du monde ?

 

Ou encore « un voyage de rêve, c’est des surprises, et des moments où tu n’as plus simplement rien à dire parce que tout ce que tu vis parle pour toi ! « 

 

Je terminerais par la version d’Océane :

« A mes yeux, un voyage de rêve est celui qui est si beau qu’il nous en fait perdre nos mots….Un tel voyage remplit l’esprit d’image, d’odeurs, de bruit, de visages et de couleurs. »

Que dire de plus ?

Voilà des définitions que je partage entièrement ! Quelle est la vôtre ?

 voyage reve Un voyage de rêve: cest quoi pour vous ?

 

Liberté, exaltation, puissance

Ces sensations, parfois grisantes, peuvent être la liberté que procure un voyage au long cours en indépendant. Cela peut être le sentiment, l’espace d’un moment, de faire corps avec cette planète, de faire partie d’un tout, vous voyez ce que je veux dire ?

Avez-vous déjà entendu parler du sentiment océanique ? C’est une notion de psychologie et de spiritualité inventée par Romain Rolland. Le sentiment océanique, c’est le sentiment d’être en connexion totale avec l’univers. Certains grands voyageurs disent l’avoir ressenti.

Pour ma part, je ne sais si je l’ai vraiment ressenti, mais oui, parfois, je m’en suis approché lors de certains voyages. Du moins, c’est l’impression que j’ai eue. C’est un sentiment exaltant et puissant, j’y reviendrais dans un avenir proche.

Ces émotions, ses impressions liées au voyage sont plus difficile à cerner. Si vous posez la question autour de vous, la plupart des réponses que vous aurez seront une liste de sites ou d’activités : dormir sous les étoiles dans le désert, visiter tel site etc.

Très bien. Mais combien de personnes vont vous faire des réponses du style « des rencontres inoubliables », « un sentiment de grande liberté », « une joie intérieur », «  le sentiment d’avoir appris sur moi » etc….Peu, j’ai l’impression, non ?

Remarquez, je me trompe peut-être.

Les voyages de ma vie

Pour ma part, j’ai déjà accompli quelques rêves de voyage que j’avais en tête. Ce furent des voyages de rêve pour moi.

Trois voyages me viennent à l’esprit là tout de suite :

  • Un voyage en Birmanie, véritablement un voyage de rêve, je vous en parlais dans cet article.
  • Un voyage au Cambodge, des temples d’Angkor aux provinces perdues de l’Est du pays.
  • Un voyage en moto de trois mois à travers l’Afrique de l’Ouest. Sourires, rencontres, paysages marquants, liberté….

Si je regarde ces voyages, ils ne m’ont pas coûté cher, loin de là vu que je voyageais en mode budget. Ce que je retiens avant tout de ces voyages de rêve, ce sont, au-delà de quelques sites bien sûr, la richesse des rencontres, des moments forts, une impression de liberté etc.

Il me reste quelques rêves de voyage, j’en parlais dans cet article : ma bucket list voyage.

Bref, un voyage de rêve ne peut se réduire à une liste de sites paradisiaques. Et un voyage de rêve ne signifie pas forcément qu’il sera le voyage de votre vie. C’est peut-être juste le début d’une longue série !

 voyage vie Un voyage de rêve: cest quoi pour vous ?

 

Le voyage qui change votre vie

Le voyage apporte beaucoup de choses.

Je ne sais pas si l’on peut dire qu’il existe pour chacun un « voyage de sa vie ». Je pense plutôt qu’il peut y en avoir plusieurs et que chaque voyage peut nous apporter des choses et nous changer.

Cela me fait penser un peu à l’expression « c’est la femme de ma vie ». Elle sous-entend qu’il n’y a qu’une possibilité. Je ne pense pas que cela soit le cas, enfin, là on s’écarte du sujet…. :-).

Et puis, si l’on revient au voyage, « voyage de votre vie » sonne un peu « limitatif ». Là, pour le coup, on ne devrait pas se limiter à un voyage de sa vie :-).

Non, le monde est si riche et vaste qu’il est largement possible de mettre « voyage de sa vie » au pluriel. Et cela, c’est possible.

Certes, il y a parfois un voyage « initiatique » qui marque pour toujours. Ce voyage peut nous faire voir la vie d’une autre manière.

J’ai eu mon ou plutôt mes voyages initiatiques, finalement, ce furent les « voyage de ma vie ». Et la suite m’attend !

Une chose est sûre, certains voyages changent une vie…

10 000 euros pour réaliser le voyage de votre vie

C’est une somme, une grosse somme. C’est l’initiative sympathique que propose Nouvelles Frontières.

Pour participer, il suffit de raconter le récit de votre voyage idéal et de le déposer afin de valider votre inscription.

Regardez ici les détails du concours

Vous pourrez raconter le voyage de votre vie avec du texte, des photos, des dessins, des montages, bref, vous avez une totale liberté pour vous exprimer.

 voyage de votre vie Un voyage de rêve: cest quoi pour vous ?

Ensuite, un jury composé de 3 journalistes et de 3 membres de l’agence choisiront l’histoire qui les a fait le plus rêver.

Le gagnant se verra offert un voyage personnalisé à hauteur de 10 000 euros.

Les autres participants repartiront avec des coffrets cadeaux et des abonnements magazines.

Le concours se termine le 2 novembre, aussi n’attendez pas, couchez par écrit le voyage de votre vie.

 

Après tout, au-delà de ce concours, c’est un exercice intéressant à faire non ?

Allez, racontez-moi le voyage de vos rêves, celui qui pourrait être le voyage de votre vie !

 
article Un voyage de rêve: cest quoi pour vous ?

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Insolite il montre ses fesses pour le tourisme

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tribunal

Le site La Montagne raconte cette semaine un fait divers insolite. Un quinquagénaire est poursuivi pour exhibition sexuelle. Des touristes qui naviguaient l’ont vu nu en train de montrer ses fesses en agitant des grelots, dans sa propriété en bordure du canal, à Diou, près de Moulins (Allier).

Dans le journal, son avocat explique : « il dit qu’il contribue à l’essor du tourisme local, à la notoriété du secteur, par son activité de nudisme… Pour lui, ce n’est pas de l’exhibition sexuelle, ce sont les autres qui sont des voyeurs ». Le jugement du tribunal sera rendu le 20 novembre.

[photo]

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Un long week-end à Lyon

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Quand on part en voyage, on pense rarement au retour. Du moins pas tout de suite. D’abord on prend des avions, des bateaux, on fait du stop, on marche, on court, on sympathise avec des rasta, on passe une soirée mémorable avec des sans-abris, on manque de se prendre une balle en pleine tête, on effleure le bout du monde, on plonge avec les requins…Bref on vit tout un tas d’aventures folles, et puis, petit à petit, on se fait à l’évidence : tout cela ne dure qu’un temps. Même ceux qui ont essayé de voyager toute leur vie sont finalement rentré à la maison.

Pour ma part - et sans aborder le délicat sujet du retour déjà très bien raconté chez Adeline - cela m’a pris quelques années avant de réaliser que j’avais envie de faire un bon bout de chemin là ou je suis né, à Lyon. Les dernières années passées ont été un véritable test. Tiraillé entre des voyages ponctuels en Europe dans le cadre du feu projet World Party Tour et quelques mois passés à Londres

(more…)

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Martinique nos programmes sur mesure

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carbet

En deux semaines, il est possible de visiter une grande partie de l'île. Au programme : plage variées et paradisiaques, balades rafraîchissantes dans les jardins botaniques, dégustation de rhum à l'habitation Clément, croisière relaxante sur la côte sud-caraïbe... Dans cette sélection, on vous livre également des idées d'activités avec les enfants.
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Les amitiés toxiques de Tomassi

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Mafia. Tony Tomassi. Décontamination des sols. Ingérence politique. La commission Charbonneau a trouvé les ingrédients d’une recette toxique.

L’enquête a fait du surplace toute la semaine, jusqu’à ce que le cofondateur de Carboneutre, une firme de décontamination des sols infiltrée par la mafia, déballe son sac. Benoit Ringuette a jeté la honte sur l’ex ministre de la Famille, Tony Tomassi.

Selon le témoin Ringuette, le député libéral était assez proche de l’entrepreneur Domenico Arcuri pour le tutoyer et l’aider à obtenir, pour Carboneutre, un certificat de décontamination des sols avec métaux lourds.

En août et septembre 2009, M. Tomassi a fait du lobbying pour Carboneutre, en organisant la tenue de deux rencontres avec François Crête, le chef de cabinet de la ministre de l’Environnement, Line Beauchamp, et des fonctionnaires du ministère. Le but? Forcer le ministère à délivrer plus rapidement à Carboneutre un certificat de décontamination temporaire pour le traitement des sols avec métaux lourds. La firme infiltrée par la mafia obtiendra l’autorisation convoitée en mai 2010, alors que ses concurrents en seront privés. Tout un avantage concurrentiel.

L’amitié de Tony Tomassi avec Domenico Arcuri, ce n’est pas rien. Arcuri est lié à la mafia. Il a fait partie du cartel des entrepreneurs à Montréal. Lors de l’opération Colisée, il a été filmé à 45 reprises au café Cosenza, le quartier général du clan Rizzuto. En novembre 2010, à la suite de l’assassinat du parrain Nicolo Rizzuto, M. Arcuri et un deuxième actionnaire indésirable de Carboneutre, le caïd Raynald Desjardins, seront impliqués activement dans la réorganisation de la mafia.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que Tony Tomassi choisit mal ses amis. Bien sûr, il pourra plaider l’ignorance. Après tout, c’est le propre de la mafia de ne pas annoncer ses couleurs lorsqu’elle s’apprête à infiltrer la politique, l’économie légale… ou les deux.

La où le bat blesse, c’est quand le chef de cabinet de la ministre Beauchamp vient expliquer comment il a fermé les portes du ministère de l’Environnement aux «gens louches» de Carboneutre.

François Crête ne connaissait pas le profil de Domenico Arcuri. L’avocat d’une firme concurrente de Carboneutre, Michel Yergeau (il est aujourd’hui juge) l’a mis en garde. Et?

Et c’est presque tout. Sans poser de questions, sans faire de vérifications, M. Crête a dit à Tony Tomassi de ne plus ramener les hommes de Carboneutre à son ministère. M. Tomassi avait l’air «sonné», comme un petit garçon pris «en train de faire un mauvais coup».

M. Crête n’a surtout pas cherché à en savoir plus. Il n’a pas prévenu la direction du Parti libéral. Qui était derrière Carboneutre? Que savait Tony Tomassi de Domenico Arcuri? Quelle était l’étendue de leurs relations?

Autant de questions qu’il ne fallait surtout pas soulever, de peur de trouver des réponses.

C’est finalement pour avoir utilisé une carte de crédit payée par la firme de sécurité BCIA que Tony Tomassi sera chassé de la grande famille libérale. D’abord dépossédé de son ministère, en mai 2010, il quittera la vie politique en mai 2012.

Gracieuseté de l’indolence libérale, il a pu s’accrocher à son siège de député pendant près de trois ans de trop.

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Trek Canyon de Colca Jour 2

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7h du matin debout pour notre deuxieme jour dans le canyon de Colca. On a super bien dormi, mais en se levant du lit... Aie ! Ça tire ! Ah les joies des courbatures ! On se rejoind tous pour le dejeuner et on constate qu'il y a des couver
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JB en Malaisie

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Johor Bahru, plus communément appelé JB, ne présente pas un grand intérêt touristique. Nous nous sommes baladés jusqu'à un temple indien réputé pour son int&eacu
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Vallée de Kathmandu The end

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Etant donné que Tristan a choisi notre seul jour de "beau" temps à Bangkok pour tomber malade (rien de grave) je prends le relai pour la fin de nos aventures népalaises ... Le lendemai,nous décid
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Les mines de Potosi

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Hola amigos ! Estamos a Potosi !!! Eh oui notre espagnole s’améliore surtout la compréhension, même
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Kauai île jardin

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Au moins, il n'y a pas publicité mensongère ou tromperie sur la marchandise. C'est magnifique ! je crois que j'ai rencontré un paradis. Forcément, je n'ai pas repér&e
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Malaisie suite et fin

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Salut à tous !
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Les aiguilles et l’opium splendide bande-annonce

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Au Théâtre du Nouveau Monde, à Montréal, du 6 au 31 mai. Supplémentaires annoncées les 3, 4 et 5 juin. Comment, vous êtes encore là ? Si j’étais vous, je n’attendrais pas trop pour réserver ma place. Texte, mise en scène et conception des éclairages : Robert Lepage. Avec Marc Labrèche.

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TEST] iDBUS est-ce que ça vaut le coup

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Il y a deux semaines, j'ai reçu un message me proposant de tester, en toute indépendance, une ligne d'autobus iDBUS. Alors, je suis allé voir Bruxelles (39 € l'aller) !
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Terrasser le monstre du déficit commercial – 3 L’action

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Dans les deux premiers billets de cette série, j’ai souligné la nécessité de prendre conscience et de bien diagnostiquer le défi économique majeur que pose le déficit commercial du Québec.

Le défi est énorme et peut paraître décourageant si on l’envisage en essayant d’imaginer une recette magique, qui réglerait le problème rapidement. Pour abattre cette montagne, il faut se donner des objectifs précis et du temps. Cette montagne, nous pouvons en venir à bout en la grignotant de toutes parts, année après année.

10 façons de grignoter le déficit commercial

Comme on l’a vu dans le billet précédent, les exportations stagnent depuis quelques années, tandis que les importations augmentent rapidement. On ne pourra pas terrasser le déficit commercial en laissant aller les choses comme le gouvernement libéral l’a fait dans les dernières années. Il faut de l’action sur plusieurs fronts.

1. Aider nos entreprises à augmenter leur productivité

On ne peut rien contre la force du dollar canadien, qui a rendu nos produits plus coûteux. Mais nos entreprises peuvent utiliser cette force de la devise pour augmenter leur productivité en achetant du matériel de production et des technologies de l’information moins coûteux. C’est paradoxal, puisque ce matériel est souvent importé. On importe sur le moment, mais c’est pour mieux exporter dans l’avenir. La politique du gouvernement offre des incitatifs fiscaux très intéressant aux entreprises qui veulent prendre cette direction, comme l’a fait Van Houtte, par exemple. Dans sa politique économique, le gouvernement prévoit 200 millions de dollars sur quatre ans.

2. Former une main-d’oeuvre spécialisée

La pénurie de travailleurs spécialisés constitue un des problèmes importants qui freinent la capacité de nos entreprises à prendre de l’expansion sur les marchés internationaux. C’est le cas de cette entreprise de Rimouski, dont les exportations sur trois continents sont freinées par sa difficulté à recruter des soudeurs et des machinistes.

Le gouvernement du Québec (libéral comme péquiste) a mis beaucoup d’efforts dans les dernières années pour répondre à ce défi. La Commission des partenaires du marché du travail, par exemple, réunit les patrons d’entreprise, les syndicats, le monde de l’enseignement, des organismes communautaires et gouvernementaux. L’effort est soutenu, régionalisé et sectoriel, précieux. Le gouvernement investira plus d’un milliard de dollars dans la formation de la main-d’oeuvre au cours des quatre prochaines années. Comme le montrent ces témoignages, la formation peut souvent être la clé permettant à une entreprise de prendre de l’expansion.

3. Miser sur la recherche et l’innovation

Si nos entreprises n’ont plus l’avantage d’un dollar à 65 cents, il leur faut d’autres avantages concurrentiels. Rien de tel que l’innovation pour percer les marchés mondiaux. Apple, ça vous dit quelque chose? En matière d’investissements en recherche et développement, le Québec fait bonne figure au Canada, mais demeure dans le milieu du peloton parmi les pays de l’OCDE. Constamment en hausse jusqu’au milieu des années 2000, le niveau d’investissement en R & D recule depuis, à 2,4% du PIB en 2010 et 1,53% dans les entreprises.

Sous le régime libéral, les investissements ont atteint leur plus bas niveau en 10 ans. Il fallait agir, aussi dans sa politique économique, le gouvernement Marois a décidé de donner un coup en injectant près de 500 millions de plus en quatre ans à partir de la nouvelle politique nationale de la recherche et de l’innovation. L’objectif: atteindre la cible de 3% du PIB investi en R & D. Une place importante est prévue pour aider les PME. Pour une entreprise, l’innovation peut devenir synonyme de percée sur les marchés internationaux, même sur des terrains contaminés

4. Soutenir l’exportation 

En plus de multiplier les missions économiques à l’étranger, le gouvernement a décidé d’injecter 82 millions de dollars supplémentaires pour donner les moyens à Export Québec d’aider les entreprises québécoises à exporter leurs produits à travers le monde. Les États-Unis demeurent notre principal marché extérieur, mais la croissance est ailleurs, en Afrique, en Asie, en Europe et en Amérique latine. Le poids des exportations sur le PIB est actuellement de 46% du PIB. L’objectif du gouvernement: atteindre 55%. La conclusion de l’entente de libre-échange Canada-Europe constituerait un pas dans la bonne direction.

5. Attirer les investissements étrangers

En plus de soutenir les entreprises québécoises, comme Bombardier, à investir chez nous, il est crucial de parvenir à attirer des investissements internationaux stratégiques. C’est ce que le gouvernement est parvenu à faire avec l’entreprise suédoise Ericsson, qui a décidé d’investir 1,3 milliard de dollars à Vaudreuil pour construire un centre mondial de technologies de l’information, y compris des activités de recherche. En plus des retombées liées à la construction et les emplois d’ingénieurs et de techniciens, cette installation de la multinationale va bénéficier aux PME qui graviteront autour et qui pourront ainsi développer des produits et services qu’elles pourront ensuite exporter. Pour attirer ce type d’investissements, le gouvernement propose des tarifs d’électricité préférentiels, un congé d’impôt de dix ans, des crédits d’impôt pour la recherche, ainsi que les programmes d’Investissement Québec.

6. Relancer le secteur manufacturier avec une politique industrielle

Le bras du gouvernement pour soutenir les entreprises, c’est Investissement Québec. Le gouvernement Marois a voulu lui donner plus de force, plus de cohérence et rendre ses services plus accessibles aux entreprises québécoises en créant la Banque de développement économique du Québec. L’opposition libérale et caquiste s’y est opposée, simplement pour éviter que le PQ marque des points économiques. C’est dommage, mais cela n’empêche évidemment pas le gouvernement d’aller de l’avant avec une série de mesures qui vise à stimuler l’entreprenariat et à développer des fleurons québécois et surtout, à relancer le secteur manufacturier, responsable de la majeure partie de nos exportations. Pour ce faire, la ministre Zakaïb a lancé sa politique industrielle, le 10 octobre dernier.

7. Faire la souveraineté…alimentaire!

Le secteur bioalimentaire québécois nous offre une belle occasion d’augmenter nos exportations tout en réduisant nos importations, avec la politique de souveraineté alimentaire lancée le printemps dernier. En 2011, ce secteur affiche des exportations de 12,5 milliards et des importations de 11,8 milliards. Un des objectifs de cette politique consiste à augmenter la part des aliments produits au Québec dans le total de nos achats. Il faut savoir que si chacun d’entre nous remplaçait $100 d’aliments étrangers pour le même montant de produits du Québec, nous pourrions à nous seuls réduire le déficit commercial de plusieurs centaines de millions! Pour réduire nos importations alimentaires, c’est à nous – consommateurs – de jouer. Quant aux exportations, le gouvernement a pris une série de mesures pour favoriser la valeur ajoutée de nos produits d’exportation en misant sur la qualité, sur la sécurité alimentaire et la traçabilité.

8. Poursuivre le développement nordique 

Le Nord du Québec regorge de ressources minérales. Les cours mondiaux des métaux ont chuté ces dernières années, ce qui n’est pas inhabituel pour ce secteur cyclique. Reste que la demande à long terme pour les ressources minérales demeure très forte. L’urbanisation à pas forcés des pays émergents est une tendance lourde qui n’est pas près de s’estomper. On prévoit par exemple qu’en 2025, la Chine comptera 143 villes de plus de un million d’habitants! Ça va en prendre du cuivre et du fer…

Après avoir modifié le régime de redevances et créé le Secrétariat au développement nordique, le gouvernement poursuit ses investissements (réfection de la route de la Baie-James; lien ferroviaire sur la Côte-Nord; aéroport des Monts Otish) pour ouvrir ce territoire à l’exploitation des ressources. En prenant de l’expansion à mesure que les prix des métaux augmente, le secteur minier québécois augmentera aussi ses exportations, ce qui nous permettra de grignoter un peu plus le déficit commercial.

9. Mettre en valeur une ressource renouvelable: la forêt

Le secteur forestier a traversé une grave crise depuis le milieu des années 2000 et il ne s’en est pas encore complètement remis. Malgré cela, les produits du bois nous permettaient d’engranger un surplus commercial de plus de 5 milliards en 2011. Le gouvernement libéral a mis en place une stratégie de développement qui vise la diversification, l’innovation et l’adaptation du secteur dans les cinq prochaines années. Le gouvernement Marois a rajouté un autre instrument avec la Charte du bois pour promouvoir l’utilisation de ce noble matériau dans la construction des édifices. Elle vise également à favoriser la recherche et la mise au point de nouveaux procédés. Bref, à exporter plus de valeur ajoutée que les 2 X 4 et la pâte à papier.

10. Créer une image de marque fondée sur la créativité et l’économie verte

Ce dernier élément est intangible, mais peut devenir un puissant argument de vente pour les produits québécois à l’étranger. Prenons l’exemple de Las Vegas où le Cirque du Soleil a su se démarquer grâce à sa créativité. Cette image de marque du Cirque a ouvert la porte à de nombreux artistes. Des entreprises comme Moment Factory y contribuent également, tout comme la force des créateurs de jeux vidéo de chez nous. Ce sont nos artistes qui sont en première ligne, évidemment. On ne peut quantifier l’importance économique d’un Robert Lepage, qui contribue à forger cette image de marque du Québec dans les grandes capitales de la planète. Et que dire de nos cinéastes, qui cumulent les nominations aux Oscars, année après année. Le ministre Lisée en parle ici.

Prenons l’exemple de l’Allemagne. Quand une entreprise germanique propose un produit, nous avons un préjugé, nous croyons d’avance que ce sera du solide, du durable, même si c’est plus cher. Volkswagen ne s’y est pas trompée, elle qui a pour slogan «Das Auto». Cette entreprise mise clairement sur son identité allemande, synonyme de solidité. Le Québec gagnera beaucoup à se forger une identité sur la scène internationale, une identité synonyme d’innovation et de créativité. C’est dans cette direction que s’est tourné Tourisme Québec avec la campagne Québec original.

Un autre créneau porteur pour le Québec, c’est celui de l’économie verte. C’est celui qui est privilégié par la politique économique du gouvernement. Il y a de bonnes raisons pour cela, d’excellentes raisons, même. J’y reviendrai.

Le gros morceau: l’indépendance énergétique

En agissant sur ces 10 fronts avec constance, le Québec arrivera peu à peu à réduire le déficit commercial. À cela, nous pouvons et nous devons entamer un vaste chantier économique pour libérer notre économie du pétrole. Vaste et beau programme…

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L’adrénaline d’un voyage au Costa Rica

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Passer ses vacances au Costa Rica comporte des risques… Vous devrez peut-être traverser un canyon sur une petite corde ou un pont de liane, affronter une rivière pleine de crocodiles de plus de 6m de long, traverser une baie debout sur une planche en bois armé d’une pagaïe, descendre une rivière déchainée sur une maigre [...]
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Le mirage de la Charte

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Le débat sur la Charte des valeurs ne dérougit pas. Les chroniques, vox pop et lettres ouvertes continuent de s’accumuler. Sans compter les sondages et les sorties publiques presque quotidiennes, qui n’amènent plus de nouveaux arguments mais qui creusent davantage le clivage entre les ouverts et les fermés, les inclusifs et les intolérants, les progressistes et les conservateurs.

On aurait souhaité qu’il en soit autrement. Après deux mois de déchirements, on aurait souhaité que le PQ entende raison, qu’il conserve les éléments consensuels de sa Charte et qu’il abandonne ses aspects choquants — en particulier l’interdiction des signes religieux dans la fonction publique. On aurait peut-être évité les débordements démagogiques, les agressions et le pourrissement du débat qu’on observe depuis des semaines. (Dire qu’il y en avait au PQ pour reprocher à Jean Charest d’avoir «déchiré le tissu social» et d’avoir délibérément «fait monter la tension» dans le but de déclencher des élections.)

Le PQ minoritaire a choisi le wedge politics en opposant le «Nous» aux «Autres». Et il semble que ça marche. Les appuis à la Charte se solidifient: 46% des Québécois appuient désormais le gouvernement, soit le même pourcentage que celui des Américains qui croyaient au créationnisme en 2012.

Mais tout comme le créationnisme n’est pas valable parce que 46% des Américains y croient, la Charte n’est pas une bonne idée simplement parce que 4,6 Québécois sur 10 l’approuvent. Après des semaines de débat, cinq failles majeures apparaissent dans le projet actuel et l’argumentaire du gouvernement:

1) La Charte n’a rien à voir avec la laïcité de l’État

Contrairement à la prétention de certains militants pour qui le «combat de la laïcité» constitue une croisade sans fin, la laïcisation de l’État québécois est complétée depuis longtemps. La laïcité de l’État signifie simplement que les lois et les actions d’un État ne sont pas dictées par des motifs religieux; elle n’implique pas qu’on fasse disparaître la religion de l’espace public, ou qu’on s’immisce dans les choix ou les croyances privées des individus.

Or il n’y a plus de religion d’État au Québec depuis des décennies: nos lois ne sont pas religieuses, pas plus que les décisions administratives du gouvernement ou les jugements des tribunaux. Le dernier vestige de notre passé théocratique est le crucifix de l’Assemblée nationale — celui-là même que le PQ a choisi de maintenir en place.

L’État québécois subventionne certaines écoles religieuses. Il pourrait très bien choisir de ne pas le faire. Mais le simple fait de soutenir ces écoles, sans discrimination entre les religions, ne remet pas en cause la laïcité de l’État. Le gouvernement du Québec n’est pas à la solde de la communauté juive, musulmane ou chrétienne simplement parce qu’il subventionne certaines écoles juives, musulmanes ou chrétiennes. Le gouvernement subventionne aussi des écoles à vocation sportive, artistique, internationale ou scientifique, sans parler d’une multitude d’organismes et d’individus plus ou moins politisés et/ou militants. Il pourrait aussi choisir de n’en soutenir aucun. Mais le gouvernement n’est pas davantage pollué ou asservi par les organismes et les individus qu’il soutient que par les écoles qu’il subventionne.

La même logique vaut pour les employés de la fonction publique. Un fonctionnaire qui porte la kippa ou le turban n’a pas pour effet de transformer le gouvernement québécois en organisation juive ou sikhe. La laïcité de l’État n’implique pas la laïcité des individus, comme l’a d’ailleurs rappelé la Commission des droits de la personne dans un avis dévastateur publié ce matin. Dans une société libérale, ceux-ci conservent leur liberté de conscience et de religion, et l’exercice ou l’expression de cette liberté ne menace en rien la laïcité de l’État. La laïcité de l’État signifie que l’État n’épouse aucune religion; elle ne signifie pas qu’il leur fasse la guerre.

2) La Charte fait reculer la neutralité de l’État

L’État doit être neutre, tout le monde est d’accord sur ce point. Et cette neutralité concerne tant les religions que l’absence de religion.

En vertu du principe de laïcité, l’État ne peut épouser aucune religion. Mais il ne peut pas non plus s’opposer à elles, ou autrement prendre parti pour ou contre une ou plusieurs croyances, sans perdre sa neutralité. Un État neutre ne peut discriminer entre les individus selon la religion qu’ils pratiquent, ou encore selon la manière qu’ils ont de vivre ou d’exprimer cette allégeance (sous réserve des limitations d’ordre ou de sécurité publique).

En somme, un État neutre ne fait pas de théologie. Le gouvernement n’a pas à se prononcer sur la pertinence des encycliques papales, sur l’interprétation rabbinique de la Torah, sur la valeurs respective des branches shiite, sunnite ou soufie de l’islam, sur la virginité de la mère de Jésus Christ, sur la longueur acceptable des cheveux sikhs, sur la couleur des kippas juives, sur la conception de la réincarnation hindoue, sur le refus technologique des Amish, sur les chapeaux et les perruques des juifs hassidiques, sur l’importance et la signification du voile ou de la barbe pour les musulmans, ou sur le sexe des anges. Ces questions relèvent des choix individuels et des croyances de la sphère privée, et l’État doit demeurer totalement neutre face à celles-ci.

Privément, les individus sont évidemment libres de critiquer ce qu’ils veulent. Les tenants de diverses religions peuvent considérer les dogmes des autres comme autant d’hérésies. Les athées peuvent assimiler les religions à des superstitions ridicules, et les croyants peuvent se désoler de la pauvreté spirituelle des athées.

Mais l’État n’a pas davantage affaire à s’ingérer dans ces débats que dans la chambre à coucher des gens. Il ne peut pas agir comme prolongement des préjugés des uns ou des autres, et endosser une position favorable ou critique face aux choix particuliers d’un groupe. Tous les citoyens — athées, agnostiques ou croyants, peu importe leur religion — doivent être égaux face à un État neutre.

Or en interdisant le port de signes religieux chez les employés de l’État, le gouvernement abdique sa neutralité. Il prend parti contre les tenants de religions qui imposent ou suggèrent certaines pratiques vestimentaires. Loin de considérer toutes les pratiques religieuses et tous les individus comme égaux, l’État choisit ainsi d’en exclure certains, introduisant une discrimination là où il ne devrait pas y en avoir.

3) La Charte exclut des citoyens de la fonction publique pour des raisons identitaires sans lien avec leur compétence

Certains défenseurs de la Charte prétendent que l’interdiction des signes religieux dans la fonction publique n’empêcherait personne de travailler puisqu’il suffirait de retirer ses signes religieux pour conserver son emploi.

L’argument est simpliste et fallacieux, et particulièrement quand les théologiens d’estrade ajoutent que «de toute façon le port du voile n’est pas une vraie obligation selon le Coran». (Là n’est pas la question: les individus sont libres de choisir eux-mêmes comment ils vivent leur foi et, outre les limites d’ordre ou de sécurité publique, l’État n’a pas à se prononcer sur la nature des prescriptions de diverses religions et les choix individuels des croyants.)

Dans les faits, la Charte impose un choix aux citoyens qu’elle vise: ils devront choisir entre leur pratique religieuse ou leur emploi. C’est l’équivalent moderne du Serment du Test qui, à une autre époque, cherchait à exclure les catholiques de la fonction publique britannique en leur donnant le choix entre leur emploi et leur identité religieuse.

Les ténors nationalistes qui défendent la Charte considèrent-ils que le Serment du Test n’était pas injuste et discriminatoire? Considèrent-ils qu’il n’a pas eu pour effet d’exclure une certaine catégorie de gens de la fonction publique, sur la base de motifs identitaires sans lien avec la compétence?

4) Le débat actuel n’a rien à voir avec les accommodements raisonnables

Un État laïc et tolérant de la diversité culturelle devrait normalement pouvoir accommoder — dans les limites du raisonnable — certaines demandes de groupes particuliers. (S’opposer à ce principe, c’est essentiellement plaider pour un État où le one size fits all s’applique de manière rigide et où un moule identitaire unique est imposé à tous.)

Les organismes publics proposent régulièrement des tarifs ou des accommodements spécifiques pour les personnes âgées ou les enfants, et ils prévoient régulièrement des accès ou des services pour les personnes handicapées, sourdes ou aveugles. Je ne vois pas pourquoi — dans les limites du raisonnable — ils ne seraient pas aussi ouverts à certains accommodements religieux quand ceux-ci n’imposent pas de fardeau particulier ou d’injustice quelconque au reste de la communauté.

Il va de soi que certaines demandes d’accommodements seront raisonnables et que d’autres ne le seront pas. Et il serait sans doute utile de répertorier et de publier les principes applicables à ces demandes. C’est d’ailleurs pour cette raison que la Charte propose d’énoncer les critères applicables aux demandes d’accommodements religieux pour les organismes de l’État.

Pratiquement tout le monde est d’accord. Même les Libéraux, qui avaient essentiellement proposé la même chose dans leur défunt projet de loi 94. La controverse actuelle ne concerne pas l’encadrement des accommodements raisonnables mais le port de signes religieux dans la fonction publique. Dans le débat actuel, les accommodements raisonnables font office de distraction.

5) Il n’y a pas de lien rationnel entre la Charte et la lutte à l’islamisme radical

Il suffit de consulter les commentaires de blogues et d’écouter les lignes ouvertes pour constater que l’appui à la Charte vient en grande partie de gens qui semblent croire qu’elle constitue une réponse intelligente et efficace à la menace de l’islamisme. Plusieurs chroniqueurs et militants pro-Charte alimentent régulièrement ce sentiment en invoquant des lapidations en Afrique, des attentats au Moyen-Orient et autres actes de barbarie — comme s’il y avait un lien logique entre l’adoption de la Charte et la prévention de ces horreurs.

Or c’est de la pure foutaise. En réalité, la Charte des valeurs ne fait strictement rien pour protéger le Québec d’une prétendue menace islamiste.

En quoi l’interdiction des voiles dans la fonction publique freinera-t-elle le recrutement, par des groupes radicaux, d’adolescents musulmans aliénés? En quoi l’interdiction du voile chez les éducatrice en CPE réduira-t-elle les risques d’attentats terroristes au Québec? Quel est le lien rationnel entre le voile d’une fonctionnaire de la SAAQ et une hypothétique lapidation, à Hérouxville ou ailleurs? Aucun.

Depuis l’an 2000, les villes de New York, Londres et Madrid ont été victimes d’attentats terroristes majeurs, tous issus d’un islamisme radical. La menace existe, et peu de gens le savent mieux que les Newyorkais, les Londoniens et les Madrilènes. Or aucune de ces villes, ou des États correspondants, n’a jugé utile de réagir à ces attaques par une interdiction des signes religieux dans sa fonction publique. Cette possibilité n’a sans doute jamais été considérée.

La réalité — loin des stratégies politiques de bas étage — c’est qu’une réponse intelligente à la menace de l’islamisme passe par une meilleure intégration socioéconomique des jeunes, une ouverture et une collaboration plus grandes entre la communauté musulmane et les administrations publiques, et la surveillance ciblée et efficace des suspects par la police et les services de renseignements.

L’idée qu’on puisse faire échec à une quelconque montée de l’islamisme au Québec par l’interdiction du voile dans les hôpitaux, les ministères et les garderies est — pour rester poli — totalement sans fondement.

*****

L’intégration de la diversité culturelle et religieuse au sein de sociétés traditionnellement homogènes constitue un défi politique réel, et les questionnements qui l’accompagnent n’ont rien de risible. Mais toutes les réponses ne sont pas également crédibles ou respectables pour autant.

Le Québec est une petite société, linguistiquement distincte et relativement pauvre par rapport à ses voisins. Il est normal que l’inquiétude existentielle y soit plus prononcée qu’ailleurs, et que des propositions de réglementation identitaire y recueillent beaucoup d’appuis.

Mais dans bien des cas — incluant celui de la Charte — ces idées sont des mirages, issus d’une pensée magique où l’insécurité historique des Québécois pourrait disparaître grâce à une loi. Comme si l’Assemblée nationale pouvait interdire la peur du noir ou les peines d’amour.

On nous vend la Charte en parlant de laïcité, mais il n’en est rien. On nous vend la Charte en parlant de neutralité, mais il n’en est rien. On alimente la frayeur de l’islamisme, mais la Charte n’y peut rien.

La Charte discrimine et exclut. Elle déconsidère le Québec. Et elle représente un nouveau mirage pour une population qui ne sait plus à quel saint se vouer pour préserver son identité traditionnelle, et qui n’a rien trouvé de mieux que d’interdire celle des autres.

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l autre coté de l hotel 5 zétoiles

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Ceci nest pas trop distancé de l hotel 5 zétoiles ou 6 si on veut les croissants au lit....vola le décor caché derriere l arbre enfin que le touriste ne voit pas la misére si proche pour le champagne et LES petits gateaux cest pas ici que lon sert .ici cest la biére locale ou le rhum ET GATEAUX AUX...


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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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