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L’ambassadeur Doer croit que Prentice aidera Keystone à se réaliser aux USA

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CALGARY – L’ambassadeur du Canada à Washington s’attend à ce que l’arrivée de Jim Prentice à la tête du gouvernement de l’Alberta donne davantage de crédibilité aux États-Unis au projet pétrolier Keystone XL.

Ce projet prévoit le transport par oléoduc de pétrole issu des sables bitumineux de l’Alberta vers des raffineries de la région du golfe du Mexique, dans le sud des États-Unis. Il est dénoncé par les environnementalistes et par plusieurs communautés aux États-Unis.

L’ambassadeur Gary Doer rappelle qu’à l’époque où Jim Prentice était ministre fédéral de l’Environnement, en 2010, il a rédigé avec son homologue américain de nouvelles règles plus strictes sur les émissions polluantes des véhicules légers.

Après avoir quitté la politique cette année-là, Jim Prentice a été embauché par la compagnie pétrolière canadienne Enbridge afin de convaincre des chefs de Premières Nations d’appuyer le projet d’oléoduc Northern Gateway qui prévoit qu’un autre oléoduc transporte du pétrole de l’Alberta vers un port du nord de la Colombie-Britannique pour fins d’exportation.

En fin de semaine dernière, les progressistes-conservateurs de l’Alberta ont fait de Jim Prentice leur nouveau chef. Il devient donc le premier ministre désigné de la province.

Gary Doer demeure incapable de prédire quel sort le gouvernement des États-Unis réservera au projet Keystone XL. Il ignore aussi si Washington rendra une décision avant la fin du mandat actuel du président Barack Obama.

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Retards annulations  les compagnies aériennes veulent régler les conflits en direct

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Avec le lancement du site internet SAV Flight, le Syndicat des compagnies aériennes autonomes espère aider les passagers à résoudre leurs conflits avec les transporteurs…et éviter les actions en justice à répétition.

SAV Flight, qui devrait être en ligne d’ici la fin de l’année, doit aider les voyageurs qui ont subi une annulation de vol, un retard ou un bagage perdu, à entrer en contact avec le service client des compagnies aériennes pour régler le litige. Si les deux parties ne s’entendent pas, il reste alors la solution du médiateur. Enfin, en dernier recours, le passager peut, s’il le souhaite, faire appel à la justice.

C’est pour éviter que cette ultime solution ne se répète trop souvent et que le voyageur paie des frais de justice sans garantie de résultat, que la SCARA va créer SAV Flight, qui s’ajoute donc à la Médiation Tourisme et Voyage déjà existante. A noter cependant que le groupe Air France ne fait pas partie du Syndicat des compagnies aériennes autonomes et ne sera donc pas concerné par cette initiative menée par les compagnies françaises et celles des territoires ultra marins.

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Blog de guilfouine - H-1

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Blog de guilfouine - H-1
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Pourquoi vous devriez partir en Jordanie

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Sur les traces des civilisations nomades, nous allons aujourd’hui faire un saut en Jordanie, petit pays enclavé entre la mer Rouge et la mer Morte. A la simple écoute de ces 3 syllabes, JOR-DA-NIE, certaines personnes perdent leur sang froid… Mais qu’en est-il vraiment ?

La Jordanie, bordée par la Syrie, l’Irak, l’Arabie Saoudite et Israël est telle une pétale de rose dans un champs de mine. Bien souvent confondue avec la Cisjordanie, région du Proche-Orient constituant un enjeu du conflit israélo-palestinien, figurez-vous que la Jordanie est le seul pays de la zone (avec l’Egypte) à avoir signé un traité de paix avec l’Etat israélien. Les voyageurs s’étant déjà rendus dans ce pays, vous parleront même d’hospitalité, de courtoisie, et amabilité des Jordaniens 

thé jordanie

Bien-sûr, cela ne doit pas vous empêcher de prendre les précautions universelles habituelles (ne pas afficher d’objets de valeur de façon ostentatoire, garder un œil attentif sur ses affaires personnelles etc.). En ce qui concerne le risque terroriste dont la Jordanie a été victime en 2005 et 2006, il convient de rappeler qu’aucun pays au monde ne peut être considéré comme étant à l’abri d’une telle menace (y compris la douce France !). 

Voici un extrait du communiqué du Dr Abed Alrazzaq Arabiyat, Managing Director, de l’office de Tourisme de Jordanie, Visit Jordan.

We would like to reiterate that Jordan is unaffected by current regional instability and continues to be a unique and safe destination.

Pour vous mettre en appétit avant votre prochain voyage, retour sur les 5 Merveilles de la Jordanie.

La visite de Petra

Majestueux, magnifique, merveilleux… Aucun adjectif n’est assez fort pour décrire l’incommensurable cité nabatéenne qui mérite à elle seule le voyage ! C’est dans un décor de falaises de grés roses déchiquetées que les nabatéens ont érigé, entre le 4ème siècle avant JC et le 2ème siècle de notre ère, une cité caravanière parmi les plus impressionnantes de l’antiquité. Pour plus encore plus de rêves et d’aventures, suivez les traces d’Eric La Bonnardière, fondateur d’Evaneos.com sur les traces de Pétra. Pour prolonger l’expérience, rendez-vous sur le blog un sac sur le dos.

Petra

Se plonger dans la magie orientale

Un voyage en Jordanie est telle une parenthèse hors du temps.  Les parfums de narguilés, les cérémonies de thés, les balades à dos de dromadaires dignes de Lawrence d’Arabie, les hommes coiffés de keffiehs… Cette atmosphère, toute orientale, conjuguée avec le meilleur de l’hospitalité jordanienne donne à ce petit pays un petit goût de « Reviens-y »! Vous atteindrez sans doute le point d’orgue de cet accueil en parcourant les territoires du Wadi Rum et des Bédouins qui vouent une dimension sacrée à l’hospitalité qui prend ici des airs de onzième commandement… 

 

Orient jordanie

Flotter sur la Mer Morte

Vous ne trouverez pas de multiples poissons multicolores comme dans les eaux de la mer Rouge mais vous pourrez vous y flotter comme un bateau sur l’eau. Le principe consiste non pas à plonger la tête la première (ça pique !) mais à s’allonger à l’horizontale et se laisser flotter grâce au principe de la poussée d’Archimède, ô miracle : sans aucun effort ! Libre à vous ensuite de toiser le ciel, de lire tranquillement votre journal ou de vous offrir une parenthèse au Spa. Car les eaux de la mer Morte sont reconnues depuis la plus haute antiquité pour leurs vertus thérapeutiques. Une certaine Cléopâtre avait, dit-on, testé et approuvé le concept bien avant vous !

 

Mer morte

Visiter Jerash

 Jerash et son ensemble archéologique est certainement l’un des plus éblouissants d’Orient. Des vestiges de ruines antiques datant de 6500 ans, des théâtres aux murs de scènes corinthiens, des avenues pavées de colonnades, des fontaines monumentales, des arcs de triomphes massifs bordés par des forêts de pins et des vergers d’oliviers environnants apporteront une note bucolique au calme olympien des lieux. Vous l’aurez compris, les amoureux de puzzles historiques ne sauront plus où donner de la tête en Jordanie !

Jerash

S’échapper dans le désert du Wadi Rum 

Vous perdre dans des dunes sa sable, admirer des champignons géants, des arches naturelles enjambant des gorges, des canyons chatoyants, des sols craquelés, des monolithes, verticaux… Est-ce ici enfin qu’un tête-à-tête avec les étoiles et la lune jouant les croissants islamiques marquera à jamais votre esprit ? On vous le souhaite ; le Wadi Rum est un endroit délicieux ! 

désert

 

La Jordanie, un coin de paradis en plein Moyen Orient. Alors, maintenant, n’attendez plus, votre rêve de voyage en Jordanie n’attend plus que vous pour devenir réalité ! 

Si vous aussi, vous êtes déjà allé en Jordanie, faites-nous partager votre expérience ;)

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Road trip ensoleillé de Porto à Lisbonne 4/5

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L'Université d'Évora

Laure est partie cet été au Portugal faire un road trip de Lisbonne à Porto. En 5 étapes, elle nous raconte ce voyage haut en couleurs et généreux en saveurs.
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Je vous offre une GoPro…pour une photo

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Une simple photo. Faites parler votre inspiration, postez et gagnez une GoPro ! Comment faire ? C’est très simple, je vous dis tout ici. Ce concours est organisé par le site momondo.[...]

La suite de l'article sur mon blog ! (cliquer sur le titre en bleu )
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Collision frontale sur la route 138 à Portneuf un homme de 87 ans perd la vie

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PORTNEUF, Qc – Un homme est mort et une dame souffre de graves blessures après un violent face-à-face sur la route 138, à Portneuf, dans la région de Québec, mercredi.

La collision frontale est survenue en début de soirée lorsque le conducteur d’un des véhicules impliqués a dévié de sa voie.

L’impact avec un véhicule qui circulait en sens inverse n’a pu être évité. Le décès du conducteur du véhicule fautif, un homme de 87 ans, a été constaté dans un centre hospitalier de la région, a confirmé en soirée Christine Coulombe, porte-parole de la Sûreté du Québec.

La dame qui se trouvait dans l’autre véhicule a subi de graves blessures, mais sa vie n’était pas en danger, selon la police.

Un troisième véhicule a pris le fossé lors de l’événement, mais sa conductrice n’a pas été blessée.

En fin de soirée, la route 138 était toujours fermée à la circulation, afin de permettre aux enquêteurs de déterminer avec plus de précision les circonstances de l’accident.

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Quand le maire Jean-Marc Robitaille nous mène en bateau

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PolitiqueJean-Marc Robitaille, maire de Terrebonne. Et menteur. Détaillons.

7 novembre 2013. À peine réélu pour un cinquième mandat (avec 62 % des voix), M. Robitaille cesse enfin de se cacher des journalistes pour confirmer un séjour de rien du tout sur le Touch, le chalet flottant de Tony Accurso. Il ne s’agissait «pas de vacances planifiées et payées» par l’entrepreneur, insiste-t-il. M. Robitaille prenait ses vacances dans le même paradis tropical que les entrepreneurs Tony Accurso et Normand Trudel (deux amis aujourd’hui accusés de fraude à Mascouche). C’est un pur hasard s’il les a croisés, dit-il.

8 septembre 2014. La Ville de Terrebonne publie un communiqué cryptique à la suite du témoignage à la commission Charbonneau de Tony Accurso, qui a déclaré sous serment avoir payé toutes les dépenses de M. Robitaille, lors de deux voyages sur le Touch. La Ville déplore les allégations qui portent «faussement et injustement préjudice» au maire, en ce qui a trait aux démarches de Tony Accurso pour obtenir un dézonage des terrains de l’ancienne pépinière de Montréal, à Terrebonne. «Une analyse rigoureuse basée sur des faits réels, leur chronologie et sur des fondements juridiques viendra guider la Ville dans ses commentaires futurs relativement à ces mêmes allégations. Pour cette raison, et ce, tant que l’analyse juridique ne sera pas complétée, ni la Ville ni le maire n’émettront d’autres commentaires à ce sujet», affirme le communiqué.

10 septembre 2014. Le maire Robitaille coupe court aux savantes analyses juridiques et il présente ses plus plates excuses dans une déclaration écrite. «À la suite du témoignage de M. Accurso à la Commission Charbonneau, je confirme que j’ai effectivement séjourné gratuitement sur son bateau à deux reprises, et ce, à l’invitation de Normand Trudel», fait savoir M. Robitaille. «Cela dit, je reconnais aujourd’hui que lorsque cette question m’a été adressée publiquement en novembre 2013, je n’ai pas su faire face à la situation tel que l’exige ma fonction de maire. Je n’ai pas dit la vérité, car j’étais gêné et déstabilisé. Bref, je me sentais dépassé par les événements. J’ai alors manqué de jugement et croyez-moi, je le regrette amèrement et sincèrement», écrit-il.

Et c’est ainsi que le maire Robitaille s’est fabriqué un beau costume de menteur qui lui va si bien. Le maire est en poste jusqu’en novembre 2017, et il bénéficie d’une confortable majorité au conseil. Il ne lui arrivera rien.

Le mensonge n’est pas un motif de destitution, autrement il y aurait beaucoup de politiciens au chômage au Québec. Au mieux, les Terrebonniens le prendront en pitié ; au pire, ils le tourneront au ridicule.

M. Robitaille a sapé les fondements de sa propre autorité morale. Sa crédibilité ? Elle a basculé par-dessus bord, quelque part en haute mer sur le Touch. Est-il sincère lorsqu’il affirme maintenant que la Ville de Terrebonne n’a consenti aucun avantage à Tony Accurso ?

Dans le dossier de la pépinière, il peut au moins s’accrocher à une bouée de sauvetage : les terrains n’ont jamais fait l’objet d’un changement de zonage ; ils restent protégés à des fins de conservation. Ouf ! Mais que diable faisait-il en voyage avec Tony Accurso ? Et pourquoi a-t-il voulu cacher au public sa relation avec lui ?

M. Robitaille peut dire ce qu’il veut, accuser la commission Charbonneau d’avoir pris des raccourcis, blâmer la Ville de Montréal pour avoir vendu les terrains dans son dos, sans appel d’offres. Il reste que le mal est fait. Appelons ça le mal du menteur.

* * *

À propos de Brian Myles

Brian Myles est journaliste au quotidien Le Devoir, où il traite des affaires policières, municipales et judiciaires. Il est présentement affecté à la couverture de la commission Charbonneau. Blogueur à L’actualité depuis 2012, il est également chargé de cours à l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). On peut le suivre sur Twitter : @brianmyles.

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59 postes disparaissent à l’usine montréalaise de sucre Lantic

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MONTRÉAL – La société Rogers Sugar, propriétaire de l’usine de sucre Lantic, annonce la suppression de 59 emplois à Montréal, pointant du doigt la concurrence étrangère.

L’entreprise décide de supprimer 15 pour cent de sa main d’oeuvre, alors que l’usine montréalaise compte actuellement environ 360 employés.

L’industrie sucrière canadienne évolue dans un marché ouvert, contrairement à la plupart des pays, a expliqué le président et chef de la direction de Lantic, Ed Makin, en marge de l’annonce. Ce contexte bien particulier de l’industrie du sucre au Canada signifie que les deux principaux joueurs au pays, Lantic et Redpath, font face à une concurrence féroce des acteurs étrangers.

Ed Makin fait savoir que «pour rester concurrentiel» dans un environnement aussi «défiant», l’entreprise doit améliorer son efficacité, ce qui provoque ces pertes d’emplois.

La réduction de personnel se fera à travers des mises à pied, des départs volontaires et des retraites anticipées, a confirmé à La Presse Canadienne, la vice-présidente aux finances, Manon Lacroix. Il s’agit d’une «décision difficile», a-t-elle soutenu, mais le contexte actuel l’oblige à «réduire ses coûts et à améliorer ses procédés».

Le marché canadien du sucre est protégé grâce à des barrières tarifaires des concurrents américains et européens, mais pas d’ailleurs sur la planète.

«Nous avions lutté pour que ces barrières restent en place, car nous craignions qu’il y ait du dumping de sucre subventionné contre lequel on ne pourrait concurrencer», a expliqué Mme Lacroix.

Des entreprises de plusieurs autres pays, notamment l’Amérique du sud, s’intéressent aux clients canadiens, ce qui constitue un frein aux ventes des deux joueurs du Canada.

L’entente de principe sur l’accord de libre-échange avec l’Union européenne pourrait constituer une avenue de croissance pour Lantic. «L’opportunité porterait sur les produits contenant du sucre. Mais cela se limiterait à un quota de 30 000 tonnes pour l’industrie canadienne du sucre, ce qui n’est pas non plus énorme pour l’ensemble de l’Europe», a nuancé Mme Lacroix.

La société Rogers Sugar a annoncé que suite à cette annonce, elle devrait encourir des charges administratives additionnelles d’environ 2 millions $ en honoraires de consultants spécialisés en amélioration des processus et en indemnités de départ.

Une source syndicale a indiqué, sous le couvert de l’anonymat, que le syndicat local et la Fédération du commerce CNS «prenaient acte des intentions de l’employeur et prendront le temps de faire l’analyse nécessaire à la lumière de ce qui a été annoncé avant de faire tout autre commentaire».

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Le maire de Toronto Rob Ford souffre d’une tumeur

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TORONTO – Le maire de Toronto, Rob Ford, a été hospitalisé mercredi pour une tumeur après avoir ressenti une douleur abdominale «insoutenable».

Le chef de la direction de l’hôpital Humber de Toronto, le docteur Rueben Devlin, a affirmé qu’un examen d’imagerie avait amené les médecins à un «diagnostic préliminaire de tumeur», sans pouvoir dire si elle était cancéreuse ou non.

M. Devlin a indiqué que le maire souffrait de douleurs abdominales depuis plus de trois mois, et qu’elles s’étaient aggravées au cours des 24 dernières heures.

«Il avait une douleur abdominale au quadrant inférieur gauche. Il en souffre depuis plus de trois mois, mais aujourd’hui (mercredi), elle est devenue insoutenable pour lui», a expliqué M. Devlin lors d’une conférence de presse organisée à la hâte, mercredi soir.

«Les examens et les investigations ont révélé qu’il avait une tumeur. Le maire a été hospitalisé à Humber pour permettre de plus amples examens afin d’obtenir un diagnostic définitif», a-t-il ajouté.

Rob Ford restera à l’hôpital au cours des prochains jours afin que d’autres examens soient menés pour obtenir plus de détails sur la nature de la tumeur.

«L’investigation se poursuit, et nous devons déterminer exactement quel type de tumeur il s’agit avant de décider quel traitement est requis», a dit M. Devlin.

Le frère de Rob Ford, Doug Ford, faisant le point en début de soirée, mercredi, a affirmé que le maire était «dans un bon état d’esprit» et remerciait les gens «pour tous les bons voeux».

«J’ai déjeûné avec lui aujourd’hui (mercredi) à Perkins, et il se plaignait de douleurs à l’estomac. Il est allé voir le médecin, et puis le médecin l’a envoyé à Humber, et voilà où nous sommes», a-t-il simplement relaté.

Les adversaires de Rob Ford ont fait fi de leur rivalité et ont exprimé leur sympathie au maire sortant.

«Nous sommes des êtres humains. Rob Ford est un mari, un père, un fils et un frère. J’espère le voir revenir en bonné santé le plus tôt possible», a déclaré John Tory, par voie de communiqué.

Oliva Chow a dit transmettre «ses pensées et ses prières» au maire.

Rob Ford doit briguer un nouveau mandat à la mairie de Toronto à l’occasion des élections du 27 octobre.

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Marijuana la police d’Ottawa fait une importante saisie tout près du Parlement

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OTTAWA – C’est bien beau de débattre sur la légalisation de la marijuana, mais il ne faudrait pas trop s’emballer…

La police d’Ottawa a saisi une culture de marijuana à quelques pâtés de maison de la colline parlementaire.

Une unité anti-drogue a effectué une descente dans l’immeuble mercredi après-midi, pour y saisir l’équivalent de 43 000 $ en plants de marijuana et de 3500 $ en feuilles.

La pépinière illégale se trouvait dans un immeuble résidentiel discret tout près du centre-ville.

Un homme de 52 ans fera face à des accusations de production et de possession de drogue.

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Le gouvernement remet une épinglette aux vétérans de la Deuxième Guerre mondiale

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OTTAWA – Le gouvernement Harper a décidé de commémorer la seule déclaration de guerre officielle du Canada en remettant une épinglette à tirage limitée aux vétérans survivants de la Deuxième Guerre mondiale.

Les premières remises de ces épinglettes commémoratives se sont déroulées à la citadelle de Québec, à Halifax, à Ottawa, à Edmonton et à Vancouver.

Cette annonce coïncide avec le 75e anniversaire de la déclaration de guerre du Canada, alors gouverné par les libéraux de MacKenzie King, à l’Allemagne nazie, le 10 septembre 1939, une semaine après la Grande-Bretagne et la France. C’était la première fois que le Canada se retrouvait de son propre chef impliqué dans un conflit armé.

Plus d’un million de Canadiens ont porté l’uniforme ou servi dans la marine marchande au cours de la Deuxième Guerre mondiale. Plus de 47 000 d’entre eux ont été tués.

Selon le ministère des Anciens combattants, il y aurait environ 80 000 vétérans du deuxième conflit mondial toujours en vie aujourd’hui, mais leur nombre diminue rapidement.

Les vétérans peuvent se procurer l’épinglette et un certificat de reconnaissance en remplissant un formulaire à partir du site Internet du ministère ou par téléphone.

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Corruption à SNC-Lavalin la GRC dépose d’autres accusations

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OTTAWA – La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a déposé mercredi des accusations d’entrave à la justice contre un ancien vice-président directeur de SNC-Lavalin et un avocat dans le cadre d’une enquête visant d’ex-employés de la firme impliqués dans la corruption d’agents publics étrangers.

Selon la division nationale de la GRC, Sami Abdellah Bebawi a volontairement tenté d’entraver la justice en tentant d’obtenir une déclaration de l’ex-vice-président de SNC-Lavalin, Riadh Ben Aïssa, contre une somme d’argent, entre le 10 avril 2012 et le 8 janvier 2014 à Montréal.

Sami Abdellah Bebawi aurait agi avec un complice: des accusations d’entrave à la justice ont également été portées contre un autre individu, l’avocat Constantine Andreas Kyres.

En plus d’être accusé d’entrave à la justice, Me Constantine Andreas Kyres est sous le coup d’une accusation d’extorsion.

Il aurait «induit ou tenté d’induire Riadh Ben Aissa, par menaces, accusations ou violence, à accomplir ou faire accomplir quelque chose, à savoir faire une déclaration», entre le 1er octobre 2013 et le 8 janvier 2014, à Montréal, d’après la police fédérale.

Riadh Ben Aïssa a reconnu en août sa culpabilité pour des accusations portées contre lui relativement à des affaires faites par la société d’ingénierie montréalaise en Libye.

Selon Radio-Canada, Ben Aïssa aurait mis sur pied des sociétés-écrans dans des paradis fiscaux, dont les comptes bancaires se trouvaient en Suisse. Officiellement, ces entreprises devaient être des agents commerciaux pour aider SNC-Lavalin à obtenir des contrats en Libye.

Toujours d’après la société d’État, les enquêteurs suisses avaient des preuves indiquant que ces sociétés avaient servi à verser des dizaines de millions de dollars en pots-de-vin au fils du dictateur libyen, Saadi Kadhafi. La preuve aurait indiqué que Ben Aïssa avait gardé pour lui une quarantaine de millions de dollars.

Un mandat d’arrestation a été délivré contre M. Bebawi, qui fait déjà l’objet d’un mandat pancanadien pour d’autres accusations antérieures.

M. Kyres comparaîtra en cour le 18 septembre 2014.

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Robert Bourassa et Gabriel Nadeau-Dubois même combat

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Photo: Chuck Stoody/La Presse Canadienne

Photo: Chuck Stoody/La Presse Canadienne

PolitiqueL’État devrait non seulement assurer la gratuité scolaire à l’université, il devrait carrément verser un salaire aux étudiants. «C’est la mesure radicale peut-être mais nécessaire qui assurera à chacun le droit d’entrée à l’Université», écrivait un certain étudiant en droit du nom de… Robert Bourassa, en 1954.

Publiée dans le journal de la Société des débats de l’Université de Montréal, la lettre de Bourassa, l’un des plus illustres prédécesseurs de Philippe Couillard, rappelle que l’idée de la gratuité scolaire a déjà été en vogue au Québec. Le projet figurait même au programme du Parti libéral, sous Jean Lesage, lors des élections de 1960 !

Dans le contexte budgétaire actuel, il serait pour le moins étonnant que le Parti libéral ressuscite cette idée. Deux ans après le «printemps érable», l’idée refait néanmoins surface ces jours-ci avec la publication de Libres d’apprendre, un recueil de textes en faveur de la gratuité scolaire auquel ont notamment contribué Lise Payette, Normand Baillargeon et Noam Choamsky. Un groupe de chercheurs du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST) vient aussi de publier un texte sur cette question, commenté ici par l’économiste Pierre Fortin.

Pour ajouter au débat, voici donc le texte intégral du plaidoyer de Robert Bourassa, en 1954. (Pour mémoire : devenu premier ministre du Québec, en 1970, Bourassa biffait du programme de son parti l’idée de la gratuité scolaire.)

L’étudiant a-t-il droit à un salaire?

Poser une telle question dans les conditions présentes n’est pas sans faire montre d’une certaine ironie. En effet, loin de recevoir ce salaire, l’étudiant d’aujourd’hui doit pourvoir à des dépenses scolaires qui subissent des hausses continuelles et qui excèdent souvent sa capacité de payer. On peut y voir peut-être une raison de plus pour justifier le mérite d’une allocation de l’État. L’étudiant dans le besoin, plus que tout autre membre de sa société, nécessite une attention particulière. Par ses études, il façonne les éléments de toute sa vie professionnelle et humaine. Qu’il puisse se préparer à la vie avec le maximum d’intensité, il ne sera, plus tard, que plus utile aux siens et à la société. Un manque de finance ne se tolère pas dans le cas de l’étudiant. Si trop souvent il n’a le temps que de travailler et d’expédier ses études, il deviendra ce parfait technicien, vide de culture, ou même, ce technicien médiocre qui profitera de la société au lieu d’y jouer son rôle prépondérant.

Au seuil de la vie, diplôme en main, après plusieurs années exténuantes de travail intellectuel et physique, le jeune professionnel a épuisé sa réserve de courage. Il est devenu l’arriviste averti qui prendra le chemin le plus court pour atteindre le succès, peu soucieux de sa droiture. Ce sont là de faits que l’on peut observer tous les jours.

Un seul correctif s’ajuste à cette pénible situation: l’allocation régulière à l’étudiant, apte à lui permettre une économie de santé et à lui ouvrir l’accès à son plein développement intellectuel. Et le salaire n’aurait pas que cet effet. Il offrirait à tous les jeunes talents habilités à faire des études spécialisées, la possibilité de les accomplir. Une nation qui aspire à la durée doit permettre à toutes ses forces vives de s’épanouir. Elle doit permettre à chacun d’aller là où il peut donner son meilleur rendement. Le salaire étudiant est la mesure radicale peut-être mais nécessaire qui assurera à chacun le droit d’entrée à l’Université. 

On objectera le surpeuplement. C’est chose facile que de l’éviter en élevant les exigences. Et ce serait pour le mieux. L’essentiel est que le talent se substitue à l’argent comme critère d’accès aux études universitaires.

Ce serait donc ouvre utile et juste que l’État que de nous accorder ce salaire. Nous représentons la continuité de la nation; et si nous ne sommes pas utilisables, immédiatement, nous formons présentement la part la plus riche de l’avenir. En nous aidant, l’État agit en en fonction du progrès de la société qu’il dirige. Il apparait alors que ce soit son devoir de nous aider. 

Robert Bourassa, étudiant en droit

photo 2[3]

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La Cour fédérale tranche contre un résidant d’Ottawa menacé d’expulsion

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OTTAWA – Un résidant d’Ottawa, qui conteste son expulsion du pays, affirme qu’il poursuivra son combat judiciaire pour obtenir la citoyenneté canadienne.

La Cour fédérale a rejeté la poursuite intentée par Deepan Budlakoti contre le gouvernement fédéral. L’homme de 24 ans soutient que le gouvernement n’a pas respecté son droit de demeurer au Canada, d’y entrer ou d’en sortir, tel que garanti par la Charte des droits et des libertés. Il affirme aussi que le gouvernement viole la Charte qui garantit aux citoyens du pays le «droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne».

Le juge Michael Phelan a affirmé que M. Budlakoti n’était pas nécessairement devenu un citoyen canadien parce que les autorités lui avaient remis un passeport.

Cette affaire remonte à il y a quatre ans. Deepan Budlakoti a alors appris des autorités fédérales qu’il n’était pas citoyen canadien, même s’il est né au Canada et a reçu un certificat de naissance et un passeport. Selon le gouvernement, les parents de M. Budlakoti étaient à l’emploi d’un diplomate étranger, le haut-commissaire de l’Inde, au moment de sa naissance.

Les autorités ont ordonné son expulsion, il y a trois ans, après qu’il eut été reconnu coupable d’accusations liées à la drogue et aux armes à feu. Depuis, il a échoué à faire renverser cette décision par la voie judiciaire.

En décembre 2012, il a complété sa sentence et a été remis à la garde de l’Agence des services frontaliers du Canada.

Le juge Phelan n’a pas été convaincu par les arguments de M. Budlakoti affirmant que ses parents avaient quitté le haut-commissariat de l’Inde en juin 1989, quelques mois avant sa naissance.

M. Budlakoti a qualifié le jugement de «choquant» et de «déplorable». Il a annoncé son intention d’interjeter appel, ajoutant qu’il refuse d’être exilé de son pays natal et de devenir un paria. Selon lui, ce jugement fait de lui un apatride. L’Inde aurait dit qu’il n’est pas un citoyen indien et qu’il n’a pas droit à cette citoyenneté, mais le juge Phelan trouve que les preuves à ce sujet sont vagues. Le juge estime aussi que cette décision ne relève pas de la cour.

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Sequoia Park

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La journée commence par un lever de soleil qui nous promet la chaleur... Le petit déjeuner nous appelle et nous profitons de la terrasse ensoleillée : saucisses, omelette, gaufres chaudes, un vrai régal ! Nous mettons le c
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Un livre de l’ancien directeur de cabinet de Rob Ford lancé à six jours du vote

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TORONTO – Un haut conseiller congédié par Rob Ford en plein scandale, l’an dernier, publiera un livre quelques jours avant les élections municipales à Toronto.

Jusqu’à maintenant, Mark Towhey était demeuré plutôt discret sur son expérience comme directeur de cabinet du maire de Toronto et sur les événements qui ont mené à son congédiement abrupt, invoquant que ce genre d’emploi politique exigeait de la discrétion.

Mais, selon son éditeur, M. Towhey offrira un récit vu «de l’interne» du travail aux côtés de M. Ford en pleine controverse.

Skyhorse Publishing affirme que l’auteur raconte comment c’était de travailler avec le maire et de gérer un homme qui s’enflamme, rage et devient belliqueux, tant en réunion que dans des événements privés.

Les événements qui ont sali la réputation du maire de Toronto, qui briguera à nouveau la mairie en octobre, sont bien connus. Filmé soi-disant en train de fumer du crack, il a aussi admis en faire la consommation alors qu’il était trop saoul, et a usé d’un langage inapproprié en direct à la télévision et dans des vidéos. Dépouillé de la plupart de ses pouvoirs par le conseil municipal, il s’est isolé en cure de désintoxication durant un mois le printemps dernier.

Mark Towhey a commencé à travailler à ses côtés en 2010, durant les élections. Il a de l’expérience en gestion de crise et a rapidement fait partie de sa garde rapprochée.

En mai 2013, M. Towhey a rencontré M. Ford en privé.

«Jusqu’ici, le public ne connaît que deux mots de cette conversation: M. Towhey a dit à M. Ford de chercher de l’aide (« get help »)», dit le matériel publicitaire de Skyhorse Publishing. «Il sait aussi ce qui est arrivé ensuite, M. Towhey a été congédié.»

Néanmoins, le livre n’est pas celui d’un homme qui cherche à se venger, selon l’éditeur.

M. Towhey a refusé de commenter davantage la sortie de son livre, et il n’a pas été possible de joindre la maison d’édition dans l’immédiat. M. Ford n’avait pour sa part aucun commentaire à formuler.

Le livre devrait sortir le 21 octobre, à six jours des élections municipales. Skyhorse affirme que ce sera un incontournable pour tous les électeurs torontois.

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Industrie minière des réformes annoncées par le gouvernement ontarien

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SUDBURY, Ont. – Le gouvernement ontarien va créer une banque de données portant sur l’état de santé des mineurs afin d’identifier les maladies et les substances cancérigènes auxquelles ils sont exposés.

La mise en place d’un tel outil était l’une des recommandations tirées d’un rapport intérimaire sur les procédures de sécurité, qui a été préparé à la suite de la mort de trois travailleurs dans des mines du secteur de Sudbury en l’espace de seulement un an.

Le document en question a été rédigé par une équipe de révision chapeautée par le bureau du directeur général de la prévention, une organisation responsable des risques de santé et des enjeux liés à la sécurité en milieu de travail, incluant les blessures et les maladies.

Par ailleurs, le gouvernement libéral ontarien a indiqué qu’il donnerait suite à une autre suggestion apparaissant dans le rapport, celle d’inciter les mineurs à porter des vêtements très voyants.

Il mettra également en place de nouvelles normes de formation axées plus étroitement sur les risques propres aux mines, et l’Université Laurentienne réalisera une étude pour identifier des moyens pour venir à bout de la perte de sensation aux pieds chez les mineurs, un problème lié à l’utilisation constante de machinerie produisant des vibrations.

Quelque 27 000 personnes travaillent dans le secteur minier en Ontario. De plus, environ 50 000 autres employés évoluent dans l’industrie de la transformation.

Le rapport final du groupe sur la sécurité dans les mines sera dévoilé l’an prochain.

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Les applications mobiles inquiètent le commissaire à la vie privée du Canada

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OTTAWA – Les tentatives des applications mobiles pour téléphones intelligents de mettre la main sur une foule de renseignements privés inquiètent le commissariat à la vie privée du Canada qui met en garde les utilisateurs.

Facebook, Angry Birds, Google Maps, la liste est longue. Le nombre d’applications mobiles explose et celles-ci cherchent à obtenir de plus en plus de données personnelles des utilisateurs. Et cela, sans forcément les informer des raisons pour lesquelles ces informations sont exigées, a fait valoir le commissariat dans un communiqué diffusé mercredi.

Et souvent sans qu’il n’y ait de lien apparent entre l’usage de l’application et l’information personnelle demandée.

Ce sont d’ailleurs certaines des conclusions des participants au deuxième ratissage annuel pour la protection de la vie privée du Global Privacy Enforcement Network (GPEN).

On y rapporte par exemple qu’une application de lampe de poche exige la liste de tous les contacts de l’utilisateur.

D’autres applications demandent un accès aux messages textes, au journal des appels et même au microphone du téléphone.

«Heureusement, on a relevé peu d’exemples d’applications qui recueillaient plus de renseignements que ceux qui semblent être nécessaires pour exercer leurs fonctions», explique Daniel Therrien, commissaire à la protection de la vie privée du Canada.

«Mais nous avons recensé de nombreuses applications qui demandaient l’autorisation d’accéder à des renseignements potentiellement sensibles comme l’emplacement de l’utilisateur ou d’accéder à la caméra de l’appareil, sans nécessairement expliquer pourquoi. Ces demandes ont suscité un vrai malaise chez bon nombre de nos ratisseurs», ajoute-t-il.

Le commissaire Therrien est d’avis que les entreprises d’applications mobiles doivent indiquer clairement quels renseignements seront exigés et comment ils seront utilisés. C’était le cas de moins du tiers des applications sur le marché, examinées lors du ratissage.

Mais environ le quart (26 pour cent) des applications mobiles analysées par le Commissariat n’affichaient aucune politique de confidentialité ou suscitaient de vives préoccupations chez les ratisseurs quant aux modes de collecte ou d’utilisation des renseignements.

Et les déclarations sur la vie privée de quelque 43 pour cent des applications étaient écrites en caractères si petits qu’elles n’étaient pas conçues pour être lues sur un petit écran, relève l’analyse.

Pourtant, avoir une politique claire de confidentialité ne semble pas avoir d’impact négatif pour les affaires, relève le Commissariat à la vie privée.

«Parmi les applications les mieux classées figuraient des applications très prisées dans le cybermarché, ce qui montre que la collecte des renseignements n’entraîne pas de répercussions négatives sur les téléchargements lorsque la politique est expliquée de façon adéquate aux clients», peut-on lire dans le rapport.

Le commissaire a donc rédigé une liste de 10 conseils pour les fournisseurs d’applications mobiles. Il leur recommande notamment d’être précis dans les avis et d’expliquer quelles données seront recueillies et dans quel but.

Au total, dans le cadre de l’exercice, 1211 applications ont été évaluées, dont 151 par le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada.

Vingt-six organismes chargés de l’application des lois en matière de protection de la vie privée dans le monde entier ont participé au ratissage, qui a eu lieu du 12 au 18 mai 2014.

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Ghislain Picard veut succéder à Shawn Atleo à la tête des Premières Nations

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OTTAWA – Après quelques mois de réflexion, Ghislain Picard a annoncé mercredi qu’il se portait candidat au poste de chef de l’Assemblée des Premières Nations (APN).

M. Picard a occupé les postes de porte-parole, puis de chef intérimaire de l’APN depuis la démission-surprise de l’ancien chef Shawn Atleo, en mai dernier.

«Les candidatures en provenance de l’est du Canada sont plus rares à l’APN, mais je pense que j’ai de bons appuis dans l’ensemble du pays», a-t-il affirmé en entrevue avec La Presse Canadienne.

Ghislain Picard, un Innu de la communauté de Pessamit, près de Baie-Comeau, est chef régional de l’APN pour le Québec et le Labrador depuis 1992.

Il pense avoir acquis l’expérience nécessaire pour relever le défi à l’échelle nationale.

Sans se lancer dans une description détaillée de la plateforme qu’il compte mettre de l’avant pour se faire élire, il a d’ores et déjà précisé que les enjeux sociaux et environnementaux seraient au coeur de ses préoccupations à titre de chef.

«Il y a des communautés où les avis d’ébullition de l’eau sont pratiquement permanents. On a plusieurs dizaines de Walkerton à travers le pays», a-t-il déploré, faisant référence à la ville ontarienne où a éclaté un scandale d’eau contaminée à la bactérie l’E. coli dans les années 2000.

Il faudra aussi travailler à rétablir les canaux de communication avec le gouvernement fédéral, qui ont été mis à mal au cours des dernières années, a insisté M. Picard à l’autre bout du fil.

Le leader autochtone a suggéré que les troupes de Stephen Harper et les siennes n’avaient «de toute évidence» pas la même vision des choses.

«Le gouvernement conservateur a eu huit ans pour faire ses preuves. Si on demandait aux chefs autochtones, je pense qu’ils diraient qu’ils veulent un changement (de gouvernement) aux prochaines élections fédérales», a-t-il laissé tomber.

Shawn Atleo avait annoncé son départ alors que le débat sur le la réforme de l’éducation proposée par le gouvernement Harper faisait rage.

Ghislain Picard avait alors suggéré que M. Atleo était sans doute allé trop loin dans son appui pour la réforme, le projet de loi C-33, et qu’il n’avait ainsi pas eu le choix de partir.

L’élection du nouveau chef aura lieu lors d’une Assemblée spéciale des chefs à Winnipeg, au Manitoba, du 9 au 11 décembre 2014.

Le scrutin se tiendra le 10 décembre.

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L’Institut Nord-Sud forcé de fermer ses portes faute de financement

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OTTAWA – Après une quarantaine d’années d’activités, l’Institut Nord-Sud (INS) a été contraint de mettre la clé sous la porte, faute de financement.

Le conseil d’administration du centre de recherche indépendant a communiqué sa décision mercredi, précisant que l’INS n’était pas parvenu à diversifier et à élargir les sources de financement nécessaires à la poursuite de ses activités de façon durable.

L’organisation fondée en 1976 se spécialisait dans la production d’études sur les politiques en matière de développement international, vues d’une perspective canadienne.

Parmi ses bailleurs de fonds figuraient notamment la Fondation Bill et Melinda Gates, le Conference Board du Canada et l’UNICEF.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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