Informations aux voyageurs

tourisme - vacances - voyage - séjour - vol - avion - hôtel

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Blogs voyage

27ème Semaine - Inde

Envoyer Imprimer PDF
Vallées du Zanskar.  Les nouvel
Lire la suite...
 

Les membres du Barreau du N-B votent contre une école de droit chrétienne

Envoyer Imprimer PDF

FREDERICTON – Les membres du Barreau du Nouveau-Brunswick s’opposent à l’accréditation d’une école de droit controversée, la Trinity Western University, une institution chrétienne qui requiert de tous les étudiants et employés la signature d’une convention interdisant les mariages entre personnes de même sexe.

Les membres ont adopté une résolution demandant au conseil de direction de ne pas accréditer l’école, qui tente de s’établir en Colombie-Britannique, son lieu d’origine, et dans plusieurs autres provinces.

Lors d’une rencontre extraordinaire, samedi, à Fredericton, les membres ont voté à 137 contre 30 en faveur de la résolution.

La décision en juin du conseil de direction de reconnaître les futurs diplômés de la Trinity Western University avait créé un tollé chez les membres du Barreau du Nouveau-Brunswick.

La présidente du Barreau du Nouveau-Brunswick, Hélène Beaulieu, a affirmé que le résultat du vote serait soumis à la prochaine rencontre du conseil, le 26 septembre, pour discuter des implications de la résolution.

Elle a indiqué que si la résolution était adoptée, les étudiants de l’institution ne seraient pas admissibles à une accréditation au Barreau.

Jusqu’à maintenant, les barreaux en Alberta et en Saskatchewan ont approuvé l’accréditation de l’école — bien que la décision soit suspendue en Saskatchewan, comme elle l’est également au Manitoba.

Les barreaux en Ontario et en Nouvelle-Écosse ont voté contre l’accréditation, ce qui a amené l’institution à contester ces décisions devant les tribunaux dans les deux provinces.

L’accréditation de l’école en tant qu’établissement d’enseignement par le gouvernement de la Colombie-Britannique fait aussi l’objet d’une poursuite par un groupe d’avocats de la province.

Cet article Les membres du Barreau du N.-B. votent contre une école de droit chrétienne est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

L’astronaute Jeremy Hansen espère se rendre dans l’espace d’ici 2020

Envoyer Imprimer PDF

MONTRÉAL – Expéditions géologiques dans le Haut-Arctique, passages de plusieurs jours dans des cavernes… et désormais séjour d’une semaine dans un environnement sous-marin: l’astronaute canadien Jeremy Hansen espère que ces exploits lui permettront de mettre le cap sur l’espace d’ici 2020.

Hansen, né à London, en Ontario, précise qu’aucun calendrier précis n’a été avancé, mais il estime qu’il aura l’occasion de goûter aux joies de l’apesanteur avant la fin de la décennie.

En entrevue vendredi avec La Presse Canadienne, l’astronaute dit croire qu’il s’envolera d’ici les six prochaines années. De son côté, la NASA indique qu’aucun Canadien ne prendra la direction de la Station spatiale internationale (ISS) à court terme, puisque tous les vols sont déjà complets d’ici la fin de 2016. Une autre opportunité pourrait toutefois se présenter en 2019-2020.

Hansen, aussi pilote de CF-18, a noté que pour la première fois dans l’histoire, des compagnies commerciales comme SpaceX, aux États-Unis, construisent des fusées qui emporteront des humains dans l’espace. Selon lui, cela fera baisser le prix des voyages spatiaux. «Tout va changer», croit-il, avant d’ajouter que l’avenir sera radieux pour les Canadiens dans l’espace. Il entend d’ailleurs en faire partie.

L’astronaute âgé de 38 ans a présenté ce point de vue en direct d’Aquarius, un laboratoire sous-marin situé à environ six kilomètres au large de Key Largo, en Floride. Il fait partie de la mission NEEMO 19, qui se déroule 19 mètres sous la surface dans des conditions ressemblant étroitement celles d’un environnement spatial. L’acronyme NEEMO signifie d’ailleurs NASA Extreme Environment Mission Operations, ou Opérations de mission en environnement extrême de la NASA.

Hansen, qui doit revenir sur la terre ferme dimanche, a effectué des simulations de sortie dans l’espace, en plus de tester des outils et des techniques pouvant être employés pour s’adapter à différentes intensités de gravité qui seront vécues sur des astéroïdes, sur Mars ou encore sur les lunes de la planète rouge.

«Ce que je vois, c’est que tout le monde se concentre sur le développement des infrastructures nous permettant d’atteindre de multiples destinations», dit-il.

En 2010, le président américain Barack Obama avait mis la NASA au défi d’envoyer des astronautes en direction d’un astéroïde. Mais la réaction au Congrès en faveur d’une telle mission fut peu enthousiaste. «L’astéroïde est un sujet débattu de façon régulière. La NASA parle souvent [d'y envoyer des humains], mais à l’Agence spatiale canadienne, nous ne nous sommes pas (encore) engagés en ce sens, mais cela ne veut pas dire que nous ne le ferons pas», indique Hansen.

Le but ultime, poursuit-il, est Mars.

L’habitat sous-marin de l’astronaute ressemble, de par sa taille, aux modules de l’ISS, et ses collègues et lui-même ont dû surmonter certains défis semblables à ceux vécus dans l’espace — y compris des délais dans leurs communications avec la surface. «Lorsque nous irons sur Mars ou sur un astéroïde, par exemple, nous aurons un retard important dans les communications, alors, pour notre mission ici, nous simulons un retard de cinq minutes dans les transmissions, et ce dans les deux sens.»

Parmi les coéquipiers de Hansen, on trouve l’astronaute de la NASA Randy Bresnik, Andreas Mogensen de l’Agence spatiale européenne (ESA), ainsi que le chef de la formation extra-véhiculaire de l’ESA Hervé Stevenin.

Un autre astronaute canadien, David Saint-Jacques, a participé à une mission NEEMO en 2011, tout comme les astronautes à la retraite Chris Hadfield, Dave Williams et Bob Thirsk, tous au cours de missions précédentes.

Cet article L’astronaute Jeremy Hansen espère se rendre dans l’espace d’ici 2020 est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Thomas Mulcair veut augmenter le salaire minimum des employés fédéraux

Envoyer Imprimer PDF

VANCOUVER – Les néo-démocrates promettent de réinstaurer le salaire minimum pour les employés fédéraux s’ils forment le prochain gouvernement.

Le chef du Nouveau Parti démocratique Thomas Mulcair a ainsi annoncé samedi à Vancouver qu’il porterait à 15 $ le salaire horaire minimal pour les gens travaillant dans les secteurs sous juridiction fédérale.

Selon M. Mulcair, les libéraux et les conservateurs n’ont rien fait pour relever le taux plancher alors qu’ils étaient au pouvoir. Il estime que bien que les gens touchés par cette mesure ne représentent qu’une petite portion de la main-d’oeuvre du pays, augmenter leur salaire minimum fera pression pour que les provinces fassent de même.

Le chef néo-démocrate prononcera également un discours devant des délégués d’Unifor, le plus important syndicat du secteur privé, qui se réunit dans la métropole britanno-colombienne cette fin de semaine.

L’annonce de samedi à Vancouver est la première de ce qui devrait être une série de dévoilements de points centraux de la plateforme électorale néo-démocrate, cet automne.

Le NPD devrait révéler leur intention de créer un programme national de garderies, en plus d’annoncer des investissements dans les infrastructures.

Cet article Thomas Mulcair veut augmenter le salaire minimum des employés fédéraux est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Le cri de Vertières

Envoyer Imprimer PDF

livre7

En novembre 1803 eut lieu la bataille de Vertières, qui ouvrit la voie à l’indépendance haïtienne et scella, dans une violence inouïe, une des pires défaites de l’armée napoléonienne.

Pour les Haïtiens, la bataille et ses acteurs sont devenus des références scolaires incontournables. En France, le souvenir même de Vertières semble avoir été consciencieusement relégué aux oubliettes de l’histoire. Jean-Pierre Le Glaunec, professeur d’histoire à l’Université de Sherbrooke, s’emploie à lever le voile sur les efforts de propagande et d’occultation, qui ne sont, d’après lui, que conséquences d’une « règle de l’oubli » adoptée par la France dans la gestion de ce souvenir encombrant.

Pour expliquer cet oubli volontaire, Le Glaunec présente deux hypothèses. Selon la première, l’effacement de l’événement de l’historiographie viserait à masquer les velléités génocidaires françaises, dont il subsiste dans les archives militaires des traces probantes, évoquant un « nettoyage » de la population noire de l’île d’Hispaniola.

Selon la seconde hypothèse, le simple rappel à la mémoire de cette rencontre de l’armée française avec la mort serait insoutenable, et pour cause : sur les 20 000 soldats français dirigés par le général Leclerc, beau-frère de Napoléon, peu survécurent aux maladies, aux privations et aux combats. Après la perte de la Nouvelle-France, la chute de la colonie de Saint-Domingue venait s’ajouter aux déconfitures coloniales françaises.

Au-delà du décompte des morts (astronomique) et de la description des cruautés perpétrées, Le Glaunec propose une manière féconde d’interroger l’histoire coloniale. Instrumentalisé à souhait par les Haïtiens de toutes les époques, le cri de Vertières (« Grenadiers, à l’assaut ! ») demande à être réinterprété. « C’est le cri d’une réconciliation à venir, un appel à la réunion de “deux hémisphères”, aujourd’hui séparés par des silences et des murmures qui forment la trame de ce livre. »

(L’armée indigène : La défaite de Napoléon en Haïti, par Jean-Pierre Le Glaunec, Lux Éditeur, 288 p., 24,95 $)

*      *      *

livre4

De la théorie des humeurs à la RAMQ

Vaste ouvrage que Histoire de la médecine au Québec, qui se donne pour mission d’expliquer l’évolution des soins de santé au Québec depuis la colonie. Le lecteur apprend, par exemple, que les Sœurs de la Providence reconnaissaient le cannabis comme « narcotique puissant » au XIXe siècle, sans que l’on sache cependant si la plante était cultivée dans les jardins du couvent. Les auteurs couvrent ainsi trois siècles de pratique médicale, de l’hygiénisme à la médecine préventive en passant par le virage important marqué par l’assurance maladie en 1970. Écrit pour un public non spécialisé, cet ouvrage saura fasciner, ne serait-ce que par la description de pratiques médicales disparues, comme l’usage du mercure contre la syphilis.

(Histoire de la médecine au Québec, par Denis Goulet et Robert Gagnon, Septentrion, 458 p., 54,95 $)

livre5

Le trèfle et le lys

Les liens qui unissent les Irlandais et les Québécois sont nombreux. Saviez-vous, par exemple, que les Irlandais de Montréal ont joué un rôle crucial dans la mobilisation ouvrière au XIXe siècle ? Cet aspect de l’immigration irlandaise au Québec et d’autres sujets ayant trait à la culture, à l’histoire et à l’identité sont explorés dans cet ouvrage collectif dirigé, entre autres, par Linda Cardinal, professeure à l’Université d’Ottawa. Certains auteurs décrivent avec beaucoup d’à-propos les références à l’Irlande dans le cinéma, la littérature et la musique du Québec, comme Marc Chevrier, de l’UQAM, qui signe un article fort éclairant sur la place qu’occupe l’Irlande dans l’œuvre de Victor-Lévy Beaulieu.

(Le Québec et l’Irlande, ouvrage collectif, Septentrion, 298 p., 29,95 $)

Cet article Le cri de Vertières est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Hydro s’affaire à récupérer le diesel après une fuite aux Îles-de-la-Madeleine

Envoyer Imprimer PDF

ÎLES-DE-LA-MADELEINE, Qc – Une trentaine de travailleurs d’Hydro-Québec et d’Urgence-Environnement ont coordonné leurs efforts, samedi, pour confiner et récupérer du diesel qui s’est retrouvé surtout à la marina de Cap-aux-Meules, aux Îles-de-la-Madeleine.

Il s’agirait d’une fuite dans l’oléoduc faisant le lien entre le port et la centrale thermique à moteur diesel de la société d’état. Mais on ignorait samedi l’origine exacte de cette fuite.

Des équipements de rétention ont notamment été aménagés à la marina mais le diesel a aussi imbibé des parcelles de terrain. L’accès au havre de Cap-aux-Meules est interdit pour l’instant.

Hydro-Québec est aussi intervenue pour vider l’oléoduc de son contenu et racler la canalisation.

Une enquête sera instituée pour connaître l’endroit et l’origine de cette fuite mais le diesel doit d’abord être récupéré.

La porte-parole d’Hydro-Québec, Nathalie Vachon, a indiqué samedi que la société d’État passera à l’étape de l’identification de la fuite lorsque ses équipes auront terminé le travail visant à confiner et récupérer le déversement des hydrocarbures. Le travail des équipes sur place était ralenti par les marées et d’autres facteurs, a-t-elle souligné.

«Les équipes sont à l’oeuvre jour et nuit pour faire la récupération», a ajouté Mme Vachon.

Il est aussi trop tôt pour évaluer l’ensemble des coûts de l’opération en cours.

En entrevue à La Presse Canadienne, le maire des Îles-de-la-Madeleine, Jonathan Lapierre, a dit avoir bien peu de détails sur le déversement.

«En fait, on a aucune précision de la part d’Hydro-Québec, il n’y a aucun chiffre de confirmé sur le nombre de litres qui ont pu s’échapper, possiblement du pipeline. Ce qu’on a comme confirmation, c’est que c’est du diesel. (…) Il y a une quantité quand même importante qui s’est échappée du pipeline et de cette quantité-là, il y en a une petite quantité qui s’est déversée à la mer. Le reste s’est déversé en milieu terrestre», a relaté M. Lapierre.

Il a également révélé dans quelles circonstances la fuite a été constatée, jeudi soir.

«Ce sont des utilisateurs du port qui s’en sont rendus compte et qui ont cru, au départ, à un déversement accidentel provenant d’un bateau de pêche. (…) Le diesel qui s’était échappé a été retiré de l’eau, pour se rendre compte que finalement, ce n’était pas un déversement accidentel du bateau puisque ça revenait continuellement», a expliqué le maire de la municipalité.

Qualifiant la situation de «très préoccupante», M. Lapierre a assuré que la municipalité collaborait avec Hydro-Québec et surveillait la situation de près.

Cet article Hydro s’affaire à récupérer le diesel après une fuite aux Îles-de-la-Madeleine est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Des manifestants demandent au fédéral un sursis pour Mirabel

Envoyer Imprimer PDF

MONTRÉAL – Une trentaine de personnes ont manifesté samedi après-midi devant le siège social d’Aéroports de Montréal (ADM) afin d’inviter la direction de l’organisme et surtout le gouvernement fédéral à surseoir pour trois mois au projet de démolition de l’aérogare de Mirabel.

Les manifestants, regroupés au sein du groupe d’intérêt SAM, pour Sauvons l’aérogare de Mirabel, ont remis une «déclaration citoyenne» à ADM, représenté par le responsable de la Sûreté aéroportuaire. Le tout s’est déroulé à l’hôtel Marriott, de l’aéroport Montréal-Trudeau.

Le message sera déposé à l’assemblée du conseil d’administration d’ADM, mardi. Mais les membres du c.a. devraient aussi divulguer le nom de l’entrepreneur retenu pour la démolition de l’aérogare. L’appel d’offres en lien avec le démantèlement de l’établissement avait été lancé le 1er mai.

Maintenant, le fondateur de SAM, Robert Charron, interpelle directement le gouvernement fédéral, et plus particulièrement le sénateur conservateur Claude Carignan, qui connaît bien le secteur de Mirabel, ayant été maire de la municipalité voisine, Saint-Eustache, pendant près de dix ans, et deux ministres dont Denis Lebel, responsable entre autres des infrastructures.

Faisant valoir que la démolition est une option «à éviter», M. Charron implore le gouvernement fédéral à «trouver une nouvelle vocation» aux installations, rappelant notamment le projet d’un centre de foires. M. Charron a toutefois mentionné qu’il n’avait pas de préférence à ce sujet.

L’objectif principal du groupe est de «sauver le bâtiment principal», a précisé M. Charron qui était quand même satisfait de la manifestation et qui estime à 50 pour cent les chances de pouvoir faire reculer Ottawa dans ce dossier.

Mercredi dernier, ADM a opposé une fin de non-recevoir aux promoteurs d’un centre de foires qui demandaient que le processus de démolition de l’aérogare désaffecté de Mirabel soit retardé de trois mois.

Cet article Des manifestants demandent au fédéral un sursis pour Mirabel est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

La souveraineté écossaisse divise les intellectuels… canadiens

Envoyer Imprimer PDF

VANCOUVER – De l’Université Simon-Fraser, en Colombie-Britannique, jusqu’à l’Île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, trois mots sont sur toutes les lèvres depuis quelques semaines: «souveraineté du Québec», trois mots qui font de l’ombre aux débats entourant le référendum sur l’indépendance de l’Écosse.

Alors que la date historique du référendum écossais approche à grand pas, les Canado-Écossais ne sont pas seulement divisés sur l’avenir de leur région d’origine. Ils le sont aussi sur les parallèles que plusieurs tracent entre les référendums tenus au Québec en 1980 et en 1995, et celui qui se déroulera en Écosse le 18 septembre prochain.

«Nous sommes Canadiens, alors nous le considérons à partir de nos propres enjeux et préoccupations, ce qui est normal (…) Mais je crois que nous devons porter attention aux différences», estime Leith Davis, professeure de langue anglaise à l’Université Simon Fraser et directrice du Centre des études écossaises.

Cet intérêt accru pour la question écossaise est naturel, étant donné les liens profonds entre les deux nations.

Après «l’expulsion des Gaëls» au XVIIIe et au XIXe siècle, plusieurs Écossais sont venus s’établir à l’Île du Cap-Breton. Par la suite, plusieurs d’entre eux sont devenus maires et gouverneurs et d’autres ont occupé des postes importants dans l’armée. D’ailleurs, John A. McDonald, le premier à occuper le poste de premier ministre du Canada, était né à Glasgow.

Ashley MacIsaac, violoniste celtique originaire de la Nouvelle-Écosse, qui compte plusieurs ancêtres écossais, s’élève contre les référendums. Le Canada en a tenu quelques-uns et ils tendent à rouvrir des blessures plutôt que de les guérir, selon lui.

«Je suis en faveur du Royaume-Uni», a-t-il affirmé.

À Toronto, Rory «Gus» Sinclair, le premier vice-président de la Société St. Andrews de la ville voterait Non s’il le pouvait.

«Je crois que le Québec est en meilleure position dans le Canada, et que le Canada est en meilleure position avec le Québec en son sein. Ce serait donc hypocrite de ma part de dire “Faisons l’indépendance en Écosse, mais pas ici”», a-t-il souligné.

La culture écossaise survivra, peu importe le résultat du référendum, croit M. Sinclair.

Peter McAuslan, membre de la communauté écossaise de Montréal, ancien président de la Société St. Andrews et porte-parole pour les Jeux Écossais de Montréal, n’a pas voulu révéler pour quel camp il voterait.

«Je trouvais ça vraiment insultant lorsque des gens de l’extérieur du Canada donnaient leur opinion sur des enjeux de politique intérieure, alors c’est aux Écossais de choisir (…) Je ne suis pas Écossais. Je suis Canadien et j’ai beaucoup de respect pour le processus auquel ils font face», a-t-il indiqué.

Selon lui, le gouvernement québécois a beaucoup plus de pouvoirs que le gouvernement écossais. Il estime aussi que les enjeux diffèrent entre les indépendantistes québécois et écossais. Au Québec, la langue est la pierre angulaire du mouvement, alors qu’en Écosse, c’est beaucoup plus l’économie qui motive les troupes, a-t-il relaté.

Harry McGrath, qui a passé la moitié de sa vie en Écosse et l’autre au Canada, est l’une des rares personnes qui peut comparer les deux nations en connaissance de cause. Celui qui a été coordonnateur du Centre d’études écossaises à l’Université Simon Fraser considère que la réinvention du Canada par le premier ministre Pierre Eliott Trudeau se compare davantage à la situation en Écosse.

Durant les années 1970, le Canada est devenu multiculturel, s’est démilitarisé, et ses politiciens se sont concentré sur la santé et le bien-être des citoyens, des changements qui ressemblent beaucoup à ce qui se passe en Écosse, a-t-il relevé.

«Je vais voter Oui, et la raison pour laquelle je vais voter Oui, je suppose, est plutôt inhabituelle parce que je suis tellement amoureux du Canada, et ce que je vois ici est le genre de réinvention qui est survenue au Canada à compter des années 1970.»

Cet article La souveraineté écossaisse divise les intellectuels… canadiens est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Historiens et écrivains continuent d’être fascinés par la Grande Guerre

Envoyer Imprimer PDF

TORONTO – La Première Guerre mondiale a commencé il y a 100 ans mais il existe encore des faits erronés au sujet de ce conflit, déplore l’historien Gwynne Dyer.

«Plusieurs des choses auxquelles croient un grand nombre de gens sont fausses: les généraux étaient tous des idiots ou encore le conflit n’a été qu’une longue guerre de position, a-t-il dit lors d’un entretien téléphonique. C’est important, car nous combattions pour défendre nos libertés».

L’ancien marin a analysé les mythes entourant le rôle du Canada dans la Grande Guerre — et dans les autres conflits auxquels le pays a participé — dans son nouveau livre: «Canada in the Great Power Game 1914-2014», publié chez Random House Canada.

«La Première Guerre mondiale me sert d’appât pour étudier 100 ans d’histoire militaire canadienne et de politique étrangère. C’est un peu cynique mais c’est légitime car nos réflexes se sont formés à cette époque.»

Dyer n’est pas le seul auteur qui tente de profiter du centenaire de la Grande Guerre.

Dans «Vers la grande guerre : Comment l’Europe a renoncé à la paix», l’historienne Margaret MacMillan étudie les facteurs et les décisions qui ont mené l’Europe à mettre un terme à une longue période de paix et de prospérité pour se jeter dans un conflit catastrophique.

Le romancier Michael Winter donne son point de vue sur le Régiment royal de Terre-Neuve et la bataille de la Somme, dans «Into the Blizzard».

Le journaliste John Nadler raconte, dans «Valour Road», l’histoire vraie de trois soldats canadiens, Leo Clarke, Robert Shankland et Frederick Hall, tous trois décorés de la Croix Victoria pour actes de bravoure au cours du conflit. Ces trois hommes habitaient la même rue dans les faubourgs de Winnipeg.

«Je ne connais aucun exploit de ce genre dans tout l’ancien empire britannique, affirme l’auteur. C’est fascinant car ce n’est pas une longue rue. Ce ne sont que quelques pâtés de maisons. Lui, il vit ici, l’autre là et le dernier de l’autre côté de la rue.»

Nadler a dit avoir voulu écrit ce livre après qu’il eut terminé de rédiger «A Perfect Hell», un bouquin sur les commandos canadiens de la Deuxième Guerre mondiale, il y a plusieurs années. Au cours de ses recherches, il s’est lié de près avec des descendants de ces héros.

«Plus mes recherches avançaient, plus je réalisais ces hommes, aussi extraordinaires soient-ils, ne l’étaient pas plus que plusieurs autres qui n’ont pas été décorés. Cette rue était aussi typique que plusieurs autres rues du pays.»

Du côté des auteurs francophones, Lux publie «Québec sous la Loi des mesures de guerre» de Jean Provencher. L’historien y narre l’opposition des Québécois francophones à la conscription et les cinq jours d’émeute qui ont coûté la vie à quatre personnes dans la Vieille Capitale au printemps 1918.

«Cette guerre sera examinée et analysée au cours des prochaines décennies, des prochains siècles. Les historiens continueront de changer d’avis. Les idées continueront d’évoluer, note Nadler. De notre point de vue, (cette guerre) est une calamité, une catastrophe. Elle n’aurait jamais dû se déclencher mais elle s’est déroulée. Elle a tout changé, elle a tout ruiné. Mais il y aura d’autres interprétations, d’autres perspectives.»

Nadler rappelle que le pays comptait alors moins de huit millions d’habitants. Au total, 620 000 Canadiens se sont enrôlés. Le bilan a été lourd: 61 000 morts et 172 000 blessés.

«Ce fut une calamité qui a touché tout le pays. Très, très peu de communautés n’ont pas été touchées par ce conflit.»

La Grande Guerre a changé le Canada, poursuit Nadler.

«Elle a amené le Canada à prendre de l’assurance sur la scène internationale. Il a davantage fait entendre sa voix dans l’empire britannique.»

Cet article Historiens et écrivains continuent d’être fascinés par la Grande Guerre est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

A l’initiative du PLQ le deuxième Forum des idées pour le Québec est en cours

Envoyer Imprimer PDF

MONTRÉAL – A l’initiative du Parti libéral du Québec, le deuxième Forum des idées pour le Québec se déroule ce week-end à Saint-Lambert, sur la rive sud de Montréal.

Plusieurs élus libéraux, mais aussi d’autres partis, des conférenciers et des panélistes en provenance de la France, des États-Unis et du Canada échangent sur divers sujets, sous le thème «Vivre l’innovation». Quelque 400 personnes sont sur place.

Le directeur du Forum, Jean-François Garneau, explique que l’exercice est non partisan, et qu’il veut rassembler tous les courants d’idées.

Il assure que l’événement ne vise aucunement à préparer la rentrée parlementaire du Parti libéral, mardi, à Québec.

Le premier ministre Philippe Couillard a prononcé l’allocution d’ouverture vendredi soir, et il livrera le discours de clôture dimanche.

Cet article A l’initiative du PLQ, le deuxième Forum des idées pour le Québec est en cours est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Vive le Colorado du Nord libre l’Écosse et le PQ ont des semblables aux É-U

Envoyer Imprimer PDF

FORT COLLINS, États-Unis – Il existe un mouvement séparatiste qui vient tout juste de subir une déception électorale, qui révise sa stratégie à long terme et qui espère entre-temps une victoire du Oui au référendum écossais.

En fait, il en existe plus d’un.

Le Parti québécois a en effet de la compagnie au pays des cowboys. Un groupe qui souhaite se séparer du Colorado repense sa stratégie après avoir obtenu des résultats bons mais insuffisants lors d’un référendum, l’automne dernier.

Comme le PQ, le groupe se demande maintenant s’il doit suspendre pour un moment ses ambitions séparatistes en attendant d’obtenir les conditions idéales pour réaliser son objectif premier: former un nouvel État baptisé Colorado du Nord.

Et tout comme le PQ, le groupe a un parti pris pour le référendum qui aura lieu la semaine prochaine en Écosse.

Le chef de l’initiative 51st State du Colorado admet n’avoir pas suivi la campagne écossaise de très près, mais il espère tout de même que le référendum du 18 septembre marquera la victoire d’un idéal qui lui tient à coeur: la création d’entités politiques plus petites et plus unies.

«Ça me tient à coeur. J’aimerais que ce soit un succès, mais je veux que ce soit un succès pour les bonnes raisons», a expliqué Jeffrey Hare, cofondateur du mouvement.

«Un gouvernement plus petit, ou un plus petit groupe dont les membres partagent les mêmes valeurs, peut réussir aussi bien, ou peut-être même mieux, qu’une plus grosse entité comme le Royaume-Uni ou, dans notre cas, l’État du Colorado.»

À première vue, le mouvement de M. Hare n’a rien à voir avec ceux du Québec ou de l’Écosse. Il n’est pas poussé par une rancune historique envers les Anglais. Il s’appuie plutôt sur un conservatisme prônant un gouvernement de petite taille qui s’éloigne du côté social-démocrate associé aux autres quêtes d’indépendance.

Lorsqu’on lui explique que les plus grandes réalisations du parti souverainiste québécois incluent les services de garde financés par l’État et la réglementation de l’affichage commercial, il rétorque que ça semble être complètement à l’opposé de sa philosophie politique.

Pour M. Hare, le devoir premier d’un État devrait être de protéger les droits de propriété des individus et non de dicter la façon dont ils les utilisent. Il cite par ailleurs fréquemment la Déclaration de l’indépendance américaine pour affirmer que lorsque des gouvernements deviennent tyranniques, ils doivent être renversés et remplacés.

Ce consultant en sécurité informatique a grandi dans la campagne de l’Illinois avant d’étudier à Phoenix, où il a habité pendant 23 ans. Il en a alors eu assez de la ville et s’est installé, avec son épouse et leurs trois enfants, dans une petite ville du Colorado près de la frontière du Wyoming.

La politique de cet État de plus en plus urbain lui a cependant rapidement causé des frustrations. La goutte qui a fait déborder le vase est tombée en 2013, lorsque l’administration démocrate du Colorado a imposé des seuils d’énergie renouvelable pour les fournisseurs d’électricité, de nouvelles réglementations en lien avec le pétrole et le gaz naturel, un contrôle des références obligatoire pour l’achat d’armes à feu et des limites quant à la taille des chargeurs de fusil.

Selon lui, ces politiques ont été imposées par la population libérale et urbaine vivant autour de Denver et Boulder, au détriment des agriculteurs et de ses voisins, en campagne. «Nous nous sommes simplement demandés comment nous pouvions bloquer les attaques contre le Colorado rural. Au final, les gens veulent que leurs valeurs soient respectées», a-t-il dit.

Il a élaboré un plan et s’est rapidement mis au travail pour le mettre en oeuvre. En quelques mois, il est parti de la création d’une page Facebook à la tenue d’événements publics et à des rencontres avec différents commissaires à travers l’État. Il a finalement réussi à faire ajouter son initiative 51st State sur le bulletin de vote de 11 référendums de comtés l’automne dernier.

M. Hare croit que l’échec de sa campagne peut être attribué à la peur. Il y a eu des avertissements d’inondations pendant la campagne, ce qui a poussé plusieurs résidants à se demander si un petit État pourrait faire face à une catastrophe.

Malgré tout, cinq des 11 comtés ont voté pour la séparation. Le groupe de M. Hare a reçu plus de 43 pour cent d’appui dans chaque comté et jusqu’à 62 pour cent dans l’un d’entre eux. Malgré tout, ce n’était pas suffisant pour aller de l’avant. Son nouvel État aurait eu un territoire décousu et une population trop faible. Pour rendre les choses encore plus compliquées, la partition de l’État nécessiterait l’appui du corps législatif du Colorado et du Congrès américain.

La dernière partition d’un État, lors de la création de la Virginie occidentale en 1863, a été le résultat d’une guerre civile ayant fait 600 000 morts et enflammé des villes du Sud. Des mouvements semblables dans le nord du Maine, le nord de la Floride, l’ouest du Maryland et en Californie n’ont pas généré beaucoup d’appuis, tout comme les mouvements indépendantistes pour la création d’États-nations au Texas et au Vermont.

M. Hare affirme cependant avoir appris une leçon de son échec de l’automne dernier. Il croit en effet qu’il aurait dû retarder le vote pour prendre le temps de récolter suffisamment d’appuis. Il étudie maintenant ses options et se demande s’il devrait poser à nouveau la question en 2016.

«Nous n’avons pas décidé quelle sera la prochaine étape», a-t-il admis lors d’un dîner dans un casse-croûte à une heure de Denver.

«La création d’un État est certainement dans les plans à long terme, mais nous devons nous réorganiser et prendre notre élan.»

Une autre option serait de proposer un changement dans la carte électorale afin de dessiner les districts en fonction du territoire plutôt que de la population. Ou peut-être M. Hare voudra-t-il tenter de renforcer la constitution de l’État pour rejeter les initiatives fédérales.

Après une courte discussion sur l’histoire canadienne en matière de tensions entre le fédéral et les provinces, entre l’Ouest et l’Est et entre les anglophones et les francophones, le leader du mouvement séparatiste du Colorado réexamine ses opinions sur son pays voisin.

«Il semble qu’ils veulent la même chose au Canada, déclare-t-il. Ils veulent un contrôle local — un contrôle régional — sans que le fédéral ne leur dise comment mener leur vie.»

Cet article Vive le Colorado du Nord libre: l’Écosse et le PQ ont des semblables aux É.-U. est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Noyade près de Mont-Tremblant le corps d’une jeune femme retrouvé

Envoyer Imprimer PDF

MONTRÉAL – Le corps d’une jeune femme portée disparue a été repêché du lac Caribou samedi après-midi, près de Mont-Tremblant, dans les Laurentides.

Elle a été retrouvée par les plongeurs de la Sûreté du Québec (SQ) vers 15 h 00, quelques heures après le début des recherches.

La jeune femme, âgée de 18 ans, ainsi qu’une copine du même âge se trouvaient dans un canot vers minuit lorsque pour une raison inconnue leur embarcation a chaviré.

Elles ont crié à l’aide et un copain est venu à leur secours en kayak. Il a réussi à retrouver l’une d’elles pour la ramener sur la berge. Il est retourné sur le lac, mais n’a jamais pu repérer l’autre jeune femme qui a été retrouvée sans vie par les plongeurs de la SQ. Son identitié ne sera dévoilée que lorsqu’il y aura eu identification formelle par un membre de la famille.

Les pompiers de Mont-Tremblant avaient été appelés sur les lieux, dans la nuit de vendredi à samedi, mais les recherches avaient été vaines. Elles avaient repris à la lumière du jour samedi en compagnie de plongeurs de la SQ.

On ignorait dans l’immédiat si l’alcool a pu jouer un rôle dans cette tragédie.

L’enquête de la Sûreté du Québec se poursuit.

Cet article Noyade près de Mont-Tremblant: le corps d’une jeune femme retrouvé est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Des Québécois se rendent en Catalogne et en Écosse où se tiendra un référendum

Envoyer Imprimer PDF

BARCELONE, Espagne – Après un séjour à Barcelone, une délégation d’une dizaine de Québécois est sur le point de se rendre en Écosse pour assister au référendum sur l’indépendance qui sera tenu le 18 septembre.

Maxime Laporte, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et du réseau Cap sur l’indépendance, fait partie de la délégation.

A Barcelone, M. Laporte a participé cette semaine à l’immense manifestation des Catalans qui souhaitent la tenue d’un référendum pour se séparer de l’Espagne.

Il dit avoir été impressionné par l’ardeur des Catalans à promouvoir leur éventuelle indépendance. La délégation québécoise a profité de l’occasion pour brandir un grand drapeau fleurdelisé symbolisantr son appui au peuple catalan.

Maxime Laporte estime que tout peuple distinct doit être «libre de décider par et pour lui-même de son avenir». Il dit avoir vécu un grand moment d’émotion qui n’était pas sans rappeler «les grandes manifestations québécoises pour la langue, les référendums et la grève étudiante de 2012».

Selon lui, personne ne saurait rester indifférent face à un peuple qui se tient debout. Il ajoute que «c’est inspirant pour le Québec».

Avant de se rendre en Écosse, la délégation québécoise se dirigera vers Berlin, en Allemagne. Maxime Laporte participera à une importante conférence en compagnie de représentants kurdes, écossais et catalans au sujet des implications constitutionnelles et stratégiques de la tenue d’un référendum d’indépendance.

Cet article Des Québécois se rendent en Catalogne, et en Écosse où se tiendra un référendum est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Legoland Floride en 13 photos

Envoyer Imprimer PDF

Art_de_vivrePour compléter mon article sur Legoland Floride, publié dans Le Devoir, voici une galerie de photos sur ce parc d’attractions, le plus vaste du genre au monde, et qui est situé à environ une heure d’Orlando.

Crédit: Gary Lawrence

New York en blocs – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Le Capitole de Washington – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Une scène de Star Wars… – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

… puis une autre – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

L’Égypte façon Lego – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

L’expression «bloc moteur» n’a jamais été utilisée à aussi bon escient – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Bataille de pistolets à eau… – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

… dans The World of Chima – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Le parc aquatique attenant – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Les jardins historiques de Cypress Gardens, vraiment splendides – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Petit aménagement zen, Cypress Gardens – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Figuier banyan géant, Cypress Gardens – Photo : Gary Lawrence

 

* * * * *

Dans un proche registre, Greenpeace mène présentement une campagne pour dénoncer le partenariat d’affaires existant entre l’empire Lego et la pétrolière Shell, laquelle risque de reprendre ses forages dans l’Arctique. Une vidéo brillamment réalisée et visionnée 6 millions de fois à ce jour a été réalisée à cette fin. Voyez plutôt.

 

À propos de Gary Lawrence

Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 90 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.

Cet article Legoland Floride en 13 photos est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Un Train une Ferme et un fleuve charlevoisiens en images

Envoyer Imprimer PDF

Art_de_vivrePour illustrer deux de mes articles publiés dans Le Devoir — le premier sur le Train du Massif de Charlevoix, le second sur l’hôtel La Ferme, à Baie-Saint-Paul —, voici une série de photos croquées sur place, à la mi-août, avec une vidéo en prime.

Crédit: Gary Lawrence

Le Train arrive en gare à La Malbaie – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Des citations d’auteurs québécois — dont le poète et cinéaste Pierre Perrault, ici — ornent les voitures du Train – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Les voitures Pullman, aux plafonds de 11 pieds, sont vastes et aérées – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

De judicieux éclairages d’ambiance illuminent les voitures – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Un des petits-déjeuners servis à bord du Train : quiche aux épinards et au cheddar, terrine de pain perdu au caramiel et méli-mélo de tomates au saucisson – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Une des entrées froides du repas 4 services : étagé de crevettes nordiques  à l’aneth, pomme de terre bleue, haricot vert et olive avec vinaigrette des Vergers Pedneault – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Le parcours du Train passe par cap Tourmente – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Vue du Train, peu après Baie-Saint-Paul – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

La vue depuis le quai de Pointe-au-Pic (La Malbaie), en face de la gare du Train – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Des baigneurs sympathiques, le long de la voie ferrée – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

La dolce vita, sur la plage de Saint-Irénée – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Le Train, stationné à la gare de la Ferme, avec une partie du spa du Verger et des jardins de l’hôtel, à l’avant-plan – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

L’hôtel la Ferme, seul établissement hôtelier des Amériques à être doté de sa propre gare ferroviaire – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Le comptoir d’enregistrement de l’hôtel la Ferme – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Les chambres Dortoir – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Une chambre Familiale – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Invitation à rentrer au Bercail, le resto-bar-lounge de la Ferme – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

«Vous ne savez pas quel vin prendre pour la suite ? Je vous laisse quelques échantillons pour méditer». Restaurant Les Labours, la Ferme – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Pierrot, le serveur le plus enjoué et le plus passionné du restaurant Les Labours – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Raviolis au Deo Gratias et coriandre, servis autour de l’îlot central du restaurant Les Labours – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Les Labours, de jour – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

Le Clos, l’un des cinq pavillons de l’hôtel La Ferme – Photo : Gary Lawrence

 

Crédit: Gary Lawrence

«En voiture !» – Photo : Gary Lawrence

Enfin, pour un avant-goût de l’ambiance qui prévaut à bord du Train, et du décor qu’il traverse, voici une des vidéos corporatives du Groupe Le Massif.

 

À propos de Gary Lawrence

Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 90 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.

Cet article Un Train, une Ferme et un fleuve charlevoisiens en images est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Paul Davis est élu chef au troisième tour à Terre-Neuve-et-Labrador

Envoyer Imprimer PDF

SAINT-JEAN, T.-N.-L. – Les progressistes-conservateurs à Terre-Neuve-et-Labrador ont brisé une impasse, samedi soir, en désignant un ancien policier pour devenir le prochain premier ministre de la province après une course à la direction ayant nécessité trois tours de scrutin.

L’ex-ministre Paul Davis a remporté la course et deviendra le 12e premier ministre de la province.

Il a obtenu 351 voix, devançant de peu un autre ex-ministre conservateur John Ottenheimer, qui a récolté 326 voix.

La course au leadership du Parti progressiste-conservateur à Terre-Neuve-et-Labrador a nécessité un troisième tour inattendu, samedi, aucun des candidats au deuxième tour n’ayant été en mesure d’obtenir une majorité claire.

Au deuxième tour, M. Davis avait été crédité de 340 voix, contre 339 pour M. Ottenheimer. Les deux camps avaient alors tenté de retrouver des délégués qui avaient déjà quitté le congrès, afin qu’ils reviennent pour voter pour le troisième tour.

Le troisième candidat Steve Kent, âgé de 36 ans, avait été écarté après le premier tour. Il a aussitôt appuyé M. Davis, âgé de 53 ans, son collègue au cabinet jusqu’à ce qu’ils se retirent tous deux plus tôt cette année pour tenter leur chance à la direction du parti.

«Personne n’aurait pu prédire les circonstances de ce qui s’est passé ici ce soir», a dit M. Davis après son discours de victoire.

«Nous en sommes là, et nous avons traversé un processus qui a été juste pour tout le monde. (…) Je suis plutôt content du résultat, bien sûr», a-t-il ajouté.

M. Ottenheimer, 61 ans, avait quitté la politique en 2007 en raison de problèmes de santé, et avait servi par la suite comme président de Hydro Terre-Neuve-et-Labrador.

Huit mois après la démission de la première ministre Kathy Dunderdale, la province de Terre-Neuve-et-Labrador trouve ainsi son successeur. Tom Marshall a agi comme premier ministre par intérim depuis le départ de Mme Dunderdale.

Quelque 850 délégués du Parti progressiste-conservateur étaient réunis à Saint-Jean pour élire leur nouveau chef.

M. Davis devra convoquer des élections au plus tard 12 mois après son entrée en fonctions.

Il n’a pas encore déterminé à quel moment il prêtera serment comme nouveau premier ministre, et n’a pas exclu de tenir des élections le printemps prochain.

Les progressistes-conservateurs ont conservé des majorités depuis 2003, et représentaient une force inébranlable sous le premier ministre Danny Williams.

Mme Dunderdale a mené le parti à sa réélection en 2011 après le retrait de la vie politique de M. Williams, mais elle a dû quitter en janvier dernier au coeur de questions sur son leadership et à la suite de pannes de courant à la grandeur de la province.

Le parti a essuyé des revers dans quatre élections complémentaires consécutives — dont trois circonscriptions qui étaient détenus par des ministres progressistes-conservateurs.

M. Davis, qui était un policier provincial avant de faire le saut en politique en 2010, a promis de rajeunir le parti en le rapprochant de ses racines et des électeurs.

Bien que les progressistes-conservateurs soient en recul dans les sondages, M. Davis affirme que le parti a encore un taux de satisfaction solide quant à la direction qu’il fait prendre à la province.

«Si les gens croient que le lien est brisé avec leur gouvernement, alors nous avons un problème qu’il faut régler», a dit le nouveau chef du parti.

Cet article Paul Davis est élu chef au troisième tour à Terre-Neuve-et-Labrador est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Le NPD se mobilise pour Radio-Canada en demandant de signer une pétition

Envoyer Imprimer PDF

MONTRÉAL – Le Nouveau Parti démocratique (NPD) tient samedi une journée de mobilisation pour exprimer son soutien à Radio-Canada.

Dans la grande région de Montréal, les députés néodémocrates de la Rive-Sud, dont le porte-parole de l’opposition officielle en matière de Patrimoine, Pierre Nantel, feront du porte-à-porte pour inciter les citoyens à signer une pétition.

Le NPD dénonce les dernières compressions de 130 millions $ imposées au diffuseur public par le gouvernement conservateur. Selon les néodémocrates, ces coupes mettent sérieusement en péril sa capacité à remplir son mandat partout au pays.

Ils estiment qu’au contraire, il serait temps que le gouvernement accompagne Radio-Canada dans ses défis et dans le virage technologique nécessaire pour assurer son avenir.

Le NPD souhaite un financement stable, pluriannuel et prévisible qui protégerait la société d’État des fluctuations du marché publicitaire et consacrerait sa liberté éditoriale vis-à-vis du gouvernement.

Ce dossier sera soulevé par les néodémocrates lors de la reprise des travaux parlementaires à Ottawa, lundi.

Cet article Le NPD se mobilise pour Radio-Canada, en demandant de signer une pétition est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

La Croix-Rouge canadienne souligne la Journée mondiale des premiers secours

Envoyer Imprimer PDF

MONTRÉAL – La Croix-Rouge canadienne souligne en ce 13 septembre la Journée mondiale des premiers secours.

L’organisme saisit l’occasion pour insister sur l’importance de tenir à jour ses techniques de secourisme afin de savoir comment réagir en cas d’urgence potentiellement mortelle.

Bien que plus des deux tiers des Canadiens estiment pouvoir reconnaître les signes d’une urgence médicale grave, telle qu’une obstruction ou une crise cardiaque, seulement la moitié d’entre eux jugent avoir les compétences nécessaires pour porter secours à la victime.

Selon les résultats d’un sondage mené par la Croix-Rouge canadienne, près de 40 pour cent des Canadiens affirment avoir dû administrer les premiers soins lors d’une situation d’urgence. Cependant, seulement 18 pour cent de la population a suivi une formation en secourisme au cours des trois dernières années.

À la lumière de cet écart et à l’occasion de la Journée mondiale des premiers secours, la Croix-Rouge encourage la population à suivre une telle formation. Elle rappelle également aux personnes ayant déjà suivi un cours de secourisme, qu’il est important de renouveler leur certificat après un délai de trois ans.

Cet article La Croix-Rouge canadienne souligne la Journée mondiale des premiers secours est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Flop 5 on tombe de haut

Envoyer Imprimer PDF

gare évry

Le samedi, on revient sur le pire de l’actualité touristique dans un flop 5.

5 – Elle accouche en gare et le bébé meurt

Une jeune femme a accouché en gare d’Evry-Courcouronnes (Essonne) ce mercredi. Malheureusement, le bébé est décédé quelques heures après cet accouchement. L’agent en gare, Virginie Godel a raconté l’histoire à plusieurs médias. « Après l’arrivée des pompiers, le bébé est sorti en 40 secondes. On a suspecté qu’il y avait des complications ». La cause du décès n’a pas été révélée.

4 – L’aéroport lui offre une valise avec des explosifs

Une valise destinée à l’entraînement des chiens renifleurs a été offerte à une touriste à l’aéroport de Sydney (Australie). En effet son bagage était endommagé. Et c’est mardi, en rentrant chez elle qu’elle a découvert les explosifs et 230 grammes de plastic. La police australienne s’est excusée pour ce désagrément. Une enquête interne a été ouverte.

3 – Quand la guerre devient une attraction touristique

Dans un article, Slate revient sur le tourisme de guerre. Comme le rapporte le site internet, une image postée sur Twitter le 9 juillet dernier a créé une polémique. « On y voit un groupe d’Israéliens sur une colline de la ville de Sderot confortablement installés pour regarder la bande de Gaza se faire bombarder ». Après toutes les sortes de tourisme, maintenant celui de la guerre arrive …

2 – L’hôtelier droguait ses clients pour abuser d’eux

La police néo-zélandaise cherche des clients qui auraient séjourné au « Main Street Lodge » à Kaitaia, dans la pointe nord de l’île, depuis le début de l’année 2012. Comme le rapporte le New Zealand Herald, le propriétaire des lieux est suspecté d’avoir agressé de nombreux clients. Si vous avez des informations : operations@police.govt.nz.

1 – Somnambule, il campe au bord d’une falaise

L’histoire aurait pu virer au drame. Mais finalement, elle se termine bien. Un Américain originaire de l’Ohio a planté sa tente en haut d’une falaise de 18 mètres, jeudi dernier. Au cours de la nuit, ses amis se rendent compte qu’il a disparu. Ils le retrouvent 18 mètres plus bas. Miraculeusement, l’homme ne souffre que d’une fracture à la jambe et d’une blessure à la tête.

[photo]

Lire la suite...
 

Blog de guilfouine - J2 - Manning Provincial Park

Envoyer Imprimer PDF
Blog de guilfouine - J+2 - Manning Provincial Park
Lire la suite...
 

Death Valley episode 2 - Las Vegas

Envoyer Imprimer PDF
Nous nous autorisons une pseudo “grasse matinée” en nous levant vers 8h, puis nous voilà partis pour la découverte des autres points d’intérêt de la vallée. A 10h, la chaleur est déj&a
Lire la suite...
 


Page 55 sur 771

Partager cette info tourisme / vacances / voyage


BESOIN D'UN CREDIT EN LIGNE RAPIDE POUR FINANCER VOS VACANCES ?


Merci de consulter les sources

Les articles de l'espace "Informations aux voyageurs" sont des articles fournis par les flux RSS de site consacrés au tourisme et au voyage. Ces articles ne sont donc pas le résultat de travail de l'équipe de vacances-voyage-sejour.com mais bien le résultat d'un mashup de contenu, également appellé curation.

Notre travail se limite à vous faire découvrir le travail de qualité effectué par des sites web de référence; nous ne rédigeons de ce fait aucun contenu. Ce site web baptisé "Informations aux voyageurs" est donc un site composé d'un moteur de recherche alimenté par des flux RSS. Nous ne sommes donc pas éditeur mais hébergeur et n'exerçons de ce fait aucun contrôle sur les informations référencées dont nous respectons le droit d'auteur en indiquant la source fournie dans les flux RSS.

Afin de découvrir la totalité des articles proposés, merci de cliquer sur le lien de source mentionné en bas de chaque article afin de découvrir l'excellent travail de ces différents rédacteurs; de nombreux autres contenus de qualités vous attendent sur leur site web.

CRM agence de communication - CRM agence de voyage - CRM agence immobilière - CRM assurance - CRM Analytique - CRM Cabinet de recrutement - CRM cabinet médical - Logiciel de gestion de contrats - Logiciel agenda partagé - CRM Gmail

Statistiques

Membres : 2
Contenu : 35673
Affiche le nombre de clics des articles : 35245592

Les infos touristiques les plus lues

Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


Les dernières infos vacances / voyages

Chercher des infos voyage/vacances