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Tourisme professionnel

Les tribulations des Chinois en France

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Les rachats de châteaux dans le bordelais, très médiatisés, ne sont que l’arbre qui cache la forêt : depuis quelques années, les investissements chinois en France sont à la hausse, et visent de nombreux secteurs industriels ou de services. Deux grands projets de parcs d’entreprises pourraient encore doper cette implantation.
Aux yeux des Chinois, l’intérêt de la France ne se résume pas à ses châteaux dans le bordelais, à ses sacs à main de luxe et à ses Airbus. Le point commun entre le producteur de sauce tomate Les conserves de Provence, basé dans le Vaucluse, la manufacture de tapis de Cogolin, le fabricant lyonnais de tunneliers NFM Technologies et la griffe Sonia Rykiel ? Ils sont tous frappés du drapeau rouge étoilé. Les entreprises de Chine continentale implantées en France emploient plus de 9.000 personnes, plus 2.000 autres pour les fonds venus de Hong Kong, selon l’Agence française pour les investissements internationaux (AFII). Le mouvement n’est certainement pas fini.

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Intercontinental Hotel Group résultats premier trimestre 2013

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Global Q1 RevPAR growth of 3.1%, driven by 2.0% average daily rate growth.

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System size up 1.9% year on year to 674k rooms as at 31 March.

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14k rooms signed in Q1, taking the pipeline to 176k rooms at the quarter end.

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Loyalty scheme renamed as IHG Rewards Club, which will offer enhanced benefits including free internet for all members, an industry first.

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Richard Solomons, Chief Executive of InterContinental Hotels Group PLC, said:

InterContinental London Park Lane disposal completed for $469m gross cash proceeds, with management contract secured for up to 60 years.

“We have had an encouraging start to our 10

The disposal of InterContinental London Park Lane, which completed on 1 May, highlights the value of our asset portfolio and the attractiveness of InterContinental as one of the world’s leading luxury hotel brands. It is also another step in our long standing commitment to reduce the capital intensity of IHG.

Our high quality pipeline, broad geographic spread and fee based model give us confidence for the year ahead, despite the ongoing challenging economic conditions in several of our markets."

th anniversary year, with solid trading performance in the first quarter driven predominantly by growth in rate. Our preferred brands and global scale helped deliver good pipeline growth in the quarter, with over 100 hotels signed, led by our Americas and Greater China regions.

RevPAR performance

Group

Q1 global RevPAR growth of 3.1%, with rate up 2.0% and occupancy up 0.6%pts. The shift in timing of Easter from April into March adversely impacted RevPAR in the quarter. The corresponding boost can be seen in April when RevPAR was up 6.2% for the Group as a whole compared to just 0.6% in March.

Americas

RevPAR in the Americas region increased 4.1% (with 4.6% in the US). This reflects the adverse impact from the timing of Easter and our distribution bias to the upper midscale segment. Trading was strongest in our luxury/upscale brands, led by Hotel Indigo up 11.3% and InterContinental up 8.6%.

The favourable supply and demand dynamic continues to support good RevPAR growth in the region.

Europe

Q1 European RevPAR was down 2.2%, in part due to the impact of the Easter shift. In addition to this, increased supply in London during 2012 drove UK RevPAR down 2.4%, and tough prior year comparatives due to the biennial trade fair calendar resulted in RevPAR down 1.9% in Germany. Good RevPAR growth of 2.7% in France was driven by strength in Paris, partly offset by some weakness in the provinces.

Asia, Middle East & Africa

This region experienced strong growth in the quarter, with RevPAR up 5.5%, driven by occupancy up 3.1%pts. Southeast Asia and Japan remained strong with high single digit RevPAR growth, whilst in Australasia RevPAR growth of just 1.4% reflected more challenging economic conditions. The trading environment in the Middle East, although remaining mixed, delivered 5.4% RevPAR growth driven predominantly by Saudi Arabia and the UAE.

Greater China

Q1 RevPAR growth of 1.8% was an improvement on the prior quarter. The region has continued to be affected by the ongoing political leadership change, including tightening on government spending; the China-Japan territorial island dispute and the broader economic slowdown. Despite these short term headwinds, the demand drivers in China remain highly compelling, and our market leading position means we are well placed for future growth.

April RevPAR

Group RevPAR growth of 6.2% in April, with Americas up 7.9% (including US up 8.1%) and Europe up 3.3%, both showing some positive impact from the shift in timing of Easter, and AMEA up 7.1%. A Greater China RevPAR decline of (2.1)% reflects a continuation of the factors experienced in Q1 plus the localised effects from bird flu concerns and the Sichuan earthquake.

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Novotel innove avec le Concierge Virtuel

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Un restaurant à proximité de l’hôtel ? L’horaire du prochain vol ? L’exposition à ne pas manquer ? Novotel déploie un service de conciergerie digitale, disponible sur un écran tactile présent dans les lobbys et décliné en applications mobiles. 

En 2008, Novotel lance le Novotel Web Corner on a Mac. Un an plus tard, la marque déploie la borne XBOX 360 avant de surprendre, en 2011, avec la Kinect Experience. Autant de succès salués par la clientèle qui dès juin 2013 va pouvoir bénéficier d’un nouveau service inédit particulièrement innovant : le Concierge Virtuel. 

 

Concrètement, il s’agit d’un écran tactile placé au centre des espaces généraux sur lequel les clients pourront naviguer et découvrir des informations liées à la marque, à l’hôtel et à son environnement proche tels que des recommandations de restaurants, de musées, ainsi que des informations pratiques comme par exemple la météo et les horaires des vols. D’autres services innovants sont également disponibles tel que l’envoi de cartes postales virtuelles.

Avec ce nouveau produit technologique, simple et intuitif, Novotel reste fidèle à ses valeurs de marque innovante au service d’une expérience client toujours renouvelée. Ce Concierge Virtuel, déjà déployé au Novotel London West, a été plébiscité par la clientèle et est très attendu par l’ensemble du réseau.

Mais ce n’est pas tout. Une application, téléchargeable sur les produits Android et Apple, sera disponible gratuitement dès le mois de septembre prochain : elle permettra aux clients de bénéficier, en toute mobilité, des informations proposées par le service de conciergerie virtuelle.

De quoi être certain de faire le meilleur choix, à chaque moment de son séjour.

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2 milliards deuros cest ce que coûtent les jours fériés

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Selon une étude de l'Insee les jours fériés pèseraient pour 2 milliards d'euros sur l'économie française. Un chiffre à relativiser selon le ministre du Travail Michel Sapin.
Combien coûtent les jours fériés à l'économie du pays?
La question paraît de circonstance en ce mercredi 8 mai, commémorant le 68e anniversaire de la victoire de 1945. Or, selon les prévisions de l'Insee, les jours fériés auront un impact négatif sur la croissance annuelle du PIB à hauteur de 0,1 point entre 2012 et 2013. Cela devrait donc coûter près de 2 milliards d'euros à l'économie nationale.

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Hillary Clinton et Laura Bush à la Convention GBTA

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A Clinton and a Bush to speak at GBTA convention

It's a first lady double-header at the the Global Business Travel Association Convention in San Diego in August.
GBTA last week announced that former First Lady Laura Bush would be a luncheon speaker. Then it topped that yesterday by announcing that Hillary Clinton will be the keynote.
It's also a travel-industry double-header summer for Hillary Rodham Clinton, who will be keynote speaker at both the GBTA and the American Society of Travel Agents conventions.
Mrs. Clinton is the former U.S. Secretary of State and senator from New York, and a continually-mentioned possible presidential candidate, though just today her husband asked the press to stop referring to her in that way.
GBTA executive director Michael W. McCormick noted that Clinton was the most traveled Secretary of State, visiting more than 112 countries "and in doing so, demonstrating the key role that travel plays in diplomacy, government, and business."

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Les sites d’achats groupés favorisent le tourisme domestique

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Les Canadiens achètent spontanément des produits touristiques sur les sites d’achats groupés et cela engendre des déplacements et des dépenses qui n’auraient pas nécessairement eu lieu autrement.

Plus de 20% des Canadiens ont utilisé un coupon de réduction pour un produit relié au voyage sur un site d’achats groupés au cours de 2012. Le phénomène demeure récent, mais sa popularité ne ralentit pas et le Conference Board du Canada s’est penché sur la question dans la publication Travel Exclusive de novembre-décembre 2012.

Environ les deux tiers des consommateurs canadiens connaissent un ou plusieurs sites d’achats groupés, selon Ipsos Canadian Inter@ctive Reid Report. Il existe 140 sites d’achats groupés desservant le marché canadien et la vente de produits reliés au tourisme constitue un volet très important (hébergement, forfaits vacances, restauration). Une étude australienne avance même que le marché du voyage représente environ le tiers des achats.

Le site Groupon.com est le plus populaire auprès des Canadiens, selon le Travel Intentions Survey du Conference Board (novembre-décembre 2012) Parmi les répondants ayant utilisé ce service, 59% avaient choisi ce site au cours des 12 derniers mois pour un produit relié aux voyages. Les autres sites vedettes sont Dealfind.com (18%), WagJag.com (18%) et LivingSocial.com (13%). Cependant, 30% des répondants ont utilisé un des multiples autres sites. Les escomptes varient entre 40 et 90% (lire aussi : L’ampleur du phénomène des sites d’achats groupés et son incidence sur le tourisme).

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10 tendances des voyages en famille

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"Le marché des voyages en famille n’est plus une niche. Aux États-Unis seulement, il représente quelque 100 millions de voyages par année. Les activités pour enfants sont importantes, mais elles ne suffisent pas; chacun veut y trouver son compte.

Il s’agit d’un marché très influent, particulièrement dans le cas des groupes multigénérationnels formés de grands-parents baby-boomers, de tantes de type PANK (lire aussi: Dévouées, sociables et influentes: faites connaissance avec les PANKs) ou encore d’ados et de jeunes adultes de la génération Y ou Z, tous expérimentés et exigeants en matière de voyages. Voici une compilation des tendances qui animent ce marché florissant.

1. Des bambins qui portent le voyage dans leur ADN

Les voyageurs avec poussette sont nombreux. Les congés parentaux généreux et le désir de vivre des expériences de découverte avec ses enfants favorisent les voyages avec des bébés. La tradition du voyage s’inculque très jeune, c’est pourquoi les enfants d’âge préscolaire sont la clé, si l’on veut créer des générations de voyageurs familiaux. Si les parents instaurent cette habitude chez leurs tout-petits, ces derniers afficheront moins de résistance à suivre la famille en vacances, lorsqu’ils seront ados. Ils attendront même avec hâte ces moments devenus tradition. Ces jeunes reproduiront probablement cette habitude avec leurs propres enfants; les entreprises touristiques ont donc tout intérêt à faciliter et à favoriser les séjours des familles avec bambins.

2. Des ados engagés

Les parents choisissent des activités qui plairont à leurs ados en les impliquant dans le processus de planification. Habiles à naviguer sur le Web et à consulter les médias sociaux, ces derniers s’approprient ainsi le projet de vacances familiales. Cette façon de procéder favorise la création de souvenirs plaisants et mémorables pour tous. Mentionnons que selon un sondage publié dans le rapport Teen Travel Trends 2012 du Family Travel Forum, le patrimoine et la culture sont cités par 31% des voyageurs adolescents comme la première motivation pour leurs voyages. De plus, environ 11% des adolescents qui voyagent veulent donner une dimension humanitaire à leur séjour.

3. Des vacances actives et saines

Les parents veulent voir leurs enfants sortir de la maison, s’activer. En réaction aux problèmes d’obésité et de sédentarité, et pour inciter chaque membre de la famille à mettre les écrans en veille, de plus en plus de parents prônent les activités physiques, le plein air et l’aventure.

Des menus de type «de la ferme à la table» et des collations à teneur réduite en gras sont demandés par les parents. Un sondage réalisé pour le compte de la National Restaurant Association auprès de 1 800 chefs indique qu’à l’avenir, ces derniers mettront davantage l’accent sur des offres culinaires nutritives. Les enfants sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à préférer les sushis aux croquettes de poulet.

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De nouveaux concepts dynamisent les agences de voyages

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"Certaines agences de voyages sont aujourd’hui de véritables espaces de vie et de rassemblement, où l’expérience client est au centre des préoccupations.

Les agences de voyages ne veulent plus seulement vendre, mais faire vivre une expérience. Repensées, elles se métamorphosent en espaces culturels, en lieux de bien-être, et intègrent les dernières innovations technologiques. Elles ont donc de beaux jours devant elles, à condition d’affirmer leur présence en ligne et de savoir innover.

Tout ne se joue pas en ligne…

Les points de vente demeurent des lieux de haute importance, y compris pour les entreprises dont le modèle d’affaires est développé sur le Web, qui les considèrent comme un canal complémentaire leur permettant d’améliorer le service à la clientèle. De plus, un nouveau phénomène amplifie cette tendance: le «ROPO» (Research Online, Purchase Offline), qui consiste à rechercher un produit en ligne et à l’acheter en boutique.

Le voyage commence à l’agence!

Attirer le client à l’agence, voilà le défi quotidien des entreprises, petites et grandes. Elles réorganisent l’aménagement intérieur et la décoration pour créer un espace de bien-être. Elles diffusent de la musique et du parfum d’ambiance, disposent des objets, des plantes et des meubles de pays exotiques afin de susciter un sentiment d’évasion. Elles veulent ainsi devenir la première étape du voyage.

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En mars la Semaine Sainte dynamise l’hôtellerie espagnole

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Alors que l’hôtellerie européenne fait grise mine, les professionnels espagnols tirent leur épingle du jeu au cours du mois de mars grâce au calendrier favorable des évènements religieux. Cette année, la Semaine Sainte, très célébrée dans le pays, a eu lieu au mois de mars et non en avril comme ce fut le cas en 2012, permettant à l’évolution des résultats hôteliers de passer la barre du zéro.suite


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LAfrique australe veut miser sur le tourisme

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"Dans le sillage de l'Afrique du Sud en plein boom touristique, les pays de la région veulent aussi attirer les visiteurs, mais leur union pour se vendre est freinée par une concurrence avivée par la crise économique.

Pour nombre d'étrangers, l'Afrique australe, c'est surtout la région du Cap (son patrimoine historique, ses paysages et ses vignobles) et le parc national Kruger en Afrique du Sud d'un côté, les chutes Victoria partagées entre le Zimbabwe et la Zambie de l'autre. On peut ajouter l'expérience du désert en Namibie, un tourisme d'affaires à Johannesburg, et les plages à Durban ou au Mozambique.

"La région a beaucoup à offrir", assure Kwakye Donkor, le responsable marketing de l'Organisation régionale du tourisme d'Afrique australe (Retosa), un organisme intergouvernemental basé à Johannesburg.

"Chaque pays est unique en soi. Chaque pays a quelque chose de très spécial à offrir. Quand les gens viennent dans la région, ils devraient essayer de voir au moins deux ou trois pays!"

La Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), qui comprend aussi des pays comme la République démocratique du Congo, la Tanzanie, Maurice et les Seychelles, représente, selon Retosa, 2% du marché mondial du tourisme, soit environ 20 millions de visiteurs par an. Dont plus de 9 millions vont en Afrique du Sud.

L'idée est de mettre en oeuvre une stratégie commune pour inciter les touristes à prolonger leur séjour dans un pays voisin. Mais cela n'empêche pas la concurrence, notamment en matière de safaris, comme le raconte le guide privé Michael Lorentz.

Des obstacles à lever

"Pour ce qui est du domaine traditionnel des animaux sauvages, qui est la raison principale pour laquelle les gens vont en Afrique australe, le Botswana est devenu très cher et assez galvaudé. Il est à la baisse, au profit de la Zambie et du Zimbabwe. Le Zimbabwe est à nouveau populaire (...): la qualité des safaris et le rapport qualité-prix y sont excellents", affirme-t-il, ajoutant que l'Afrique du Sud se défend également en la matière.

Reste que le Botswana, qui a misé sur un tourisme haut de gamme, demeure incontournable pour de nombreux amoureux des animaux qui ne se lasseront jamais du fabuleux delta de l'Okavango.

Zambie et Zimbabwe - ce dernier revenant de loin, après la grave crise des années 2000 - ont la cote, et comptent sur la prochaine assemblée générale de l'Organisation mondiale du tourisme, en août, aux chutes Victoria, pour assurer leur promotion. Car, à côté de la locomotive sud-africaine qui n'a jamais accueilli autant de touristes, certains pays tirent la langue.

La Namibie, destination assez chère qui a été affectée par la crise en Europe, se tourne maintenant vers ses voisins et ses propres habitants, à qui sont proposés des tarifs spéciaux. Le pays mise aussi sur le tourisme d'aventure, et il accueillera en octobre un salon mondial sur le sujet.

Au Mozambique, les bons chiffres (+11% en 2011) sont dus à la ruée des hommes d'affaires sur le charbon et le gaz. Alors que les 3.000 km de côtes paradisiaques du pays sont délaissés.

"Le Mozambique est une destination chère", hébergements et transports sont particulièrement coûteux, reconnaît Natalie Terenzer-Silva, qui dirige l'agence Dana Tours à Maputo.

En outre, le Mozambique ne délivre plus de visas à l'arrivée depuis quelques mois, afin, dit-on, de décourager les Portugais venus chercher du travail. Une démarche contraire aux objectifs affichés de la SADC, qui veut officiellement faciliter la libre circulation des touristes d'un pays membre à l'autre.

Mais s'il faut en croire les autorités de Luanda, c'est en Angola qu'il faut attendre un vrai boom touristique ces prochaines années. Actuellement, les contraintes administratives liées à l'obtention d'un visa et le coût de la vie constituent de sérieux obstacles.

Mais le gouvernement projette d'accueillir 4,6 millions de touristes d'ici à 2020 - soit quasiment dix fois plus que les 480.000 visiteurs de 2011, qui venaient surtout parler pétrole.

Maintenant que s'estompe le souvenir de la guerre civile, achevée en 2002, l'Angola rappelle qu'il a aussi des plages, des déserts, de spectaculaires chutes d'eau, des parcs naturels... très largement préservés, et donc "authentiques".

Il compte investir une partie de sa manne pétrolière dans le développement d'infrastructures hôtelières et la formation du personnel".
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L’industrie des spas fait peau neuve

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"Face à une demande multigénérationnelle, l’industrie des spas s’adapte: hôtels «santé», massages «pleine conscience», contact avec la nature, retour aux techniques anciennes; les expériences sont variées.

Quelques grandes tendances pour 2013
Le tourisme de bien-être et de santé a été l’un des sujets de discussion au congrès ITB-Berlin 2013, qui a eu lieu du 6 au 8 mars 2013. Susie Ellis, présidente de SpaFinder Wellness, y a présenté les grandes tendances de l’industrie des spas. En voici quelques-unes :

1. Hôtels «santé»

De nos jours, 40% des touristes accordent une grande importance à la santé lorsqu’ils voyagent. Selon un sondage de Hilton Hotels & Resorts mené en 2012 auprès de 6000 répondants à travers les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Australie et la Chine, près de la moitié des sondés affirment que la présence d’un spa constitue un facteur important dans le choix d’un hôtel. Les hôteliers doivent en tenir compte et sortir leur salle de gym ou leur spa du sous-sol où ils les ont traditionnellement confinés. Plusieurs l’ont compris et cette tendance aux hôtels plus «sains» combine spa, remise en forme, saine alimentation et sommeil de qualité.

Des chaînes hôtelières bien établies, comme Westin, définissent (ou redéfinissent) leur image autour du bien-être: lits et spas «Heavenly», plats santé SuperFoodsRx et séances d’entraînement avec concierge de course.

D’autres créent de nouvelles marques. En 2014, le groupe Intercontinental se prépare à dévoiler à New York son label «tout-bien-être», EVEN, et à ouvrir 100 propriétés supplémentaires dans les cinq années subséquentes. La marque promeut une vie en santé: saine alimentation, exercice et repos.

2. Massages axés sur la «pleine conscience» du corps et de l’esprit

Pour contrer le stress, la prochaine décennie fera appel à la «pleine conscience», soit l’attention particulière au moment présent. Les spas mettront l’accent sur le bien-être physique, émotionnel et psychologique de leurs clients à l’aide de programmes de méditation et de massages utilisant des techniques de respiration et de visualisation. One Wellness and Spa, de Canmore en Alberta, figure parmi les premiers spas à offrir des massages «pleine conscience» dans son programme Pathways to Engagement.

3. Concepts basés sur un plus grand contact avec la terre

La connexion du corps à la terre, notamment par le biais de la marche pieds nus, réduit les maladies et la douleur tout en favorisant le sommeil; voilà les conclusions des experts. Les spas se tournent vers des façons créatives et émouvantes de ré-immerger leurs clients dans l’environnement naturel:

■spas dans les arbres (Hidden Pound, Kennebunkport);
■spas «va-nu-pieds»;
■massages sur la plage;
■spas éphémères érigés dans des tentes en pleine nature (Moat Spa, Wales).

Finis les chants d’oiseaux préenregistrés, bienvenue dans la vraie nature.


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Information des voyageurs Le SNAV entendu par les parlementaires

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La loi n°2013-343 du 24 avril 2013 vient d’être promulguée et vise à renforcer l’information des voyageurs lors de la commercialisation de titres de transport sur les compagnies figurant sur la liste noire de l’Union Européenne.

Le SNAV qui avait été auditionné par le rapporteur de la Loi, M. Vincent Capo-Canellas, en janvier dernier, au nom de la Commission du développement durable, avait souhaité attirer l’attention du législateur sur des dispositions prévues dans le texte qui ne permettaient pas aux professionnels de répondre à ses exigences.

Georges Colson se félicite « de voir que le texte qui est promulgué tient compte des observations du SNAV. »

Le SNAV avait notamment soumis trois remarques au rapporteur Capo-Canellas :

- En effet, la proposition de loi prévoyait une interdiction de commercialiser les compagnies de la liste noire alors qu’il n’y a pas d’autres alternatives pour nombre de destinations (surtout pour le voyage d’affaires). Le texte adopté et promulgué prévoit donc un renforcement de l’information mais pas une interdiction.

- La proposition de loi mettait à la charge du professionnel une obligation de proposer des prestations de substitution ce qui, dans la pratique, se révèle impossible. Le texte adopté invite le client à rechercher lui-même des solutions de remplacement.

- Enfin, la proposition de loi prévoyait des sanctions pénales en cas de défaut d’information. Le texte adopté revient à la sanction administrative, ce qui est le cas en général dans le droit du consommateur.

Georges COLSON rappelle que « dans le cadre de l’obligation d’information qui leur incombe, les professionnels sont déjà soumis à une obligation d’information écrite précontractuelle et contractuelle très lourde et qu’ils informent déjà l’ensemble de leurs clients sur l’identité du transporteur aérien commercialisé ».

La date d’application de cette loi est soumise à la parution d’un décret d’application, au plus tard dans les 12 mois à venir.
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EasyJet lance la carte dembarquement sur mobile depuis six aéroports européens

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"Les clients de la compagnie aérienne au départ des aéroports de Nice, Londres Stansted, Londres Southend, Manchester, Edimbourg et Amsterdam peuvent dorénavant s'enregistrer et télécharger leur carte d'embarquement via l'application mobile easyJet.

Une fois téléchargée, la carte d'embarquement reste accessible même sans connexion internet. L'outil permet aussi de synchroniser son espace client sur ordinateur avec celui de son smartphone, pour ne pas avoir besoin de s'enregistrer deux fois.

La carte d'embarquement peut être téléchargée entre 30 jours et deux heures avant le départ du vol.

Pour l'instant seuls les smartphones Android et iPhone peuvent accéder à cette fonctionnalité. L'essai sera étendu d'ici la fin de l'année pour intégrer Windows 7/8 et BlackBerry.

Après ces six aéroports européens, la compagnie à bas coût compte lancer l'outil pour smartphone depuis toutes les autres plateformes de son réseau.

L'application easyJet peut être téléchargée gratuitement en sept langues : anglais, français, allemand, espagnol, italien, néerlandais et portugais".
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La valorisation touristique des grands équipements sportifs

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"La France manque de grands équipements sportifs modernes et multifonctionnels et de nombreux projets peinent à voir le jour faute de modèle économique satisfaisant. Cependant, l’intégration d’une dimension touristique paraît être une piste pertinente pour valoriser ces équipements et leur destination.

Les grandes enceintes sportives sont à la fois des sites architecturaux remarquables et des lieux de mémoire ou d’imaginaire collectif dotés d’une aura mystique qui participe souvent à l’attractivité de certaines destinations : Camp Nou à Barcelone, Twickenham à Londres, Allianz-Arena de Munich, Stade de France ou Roland Garros à Paris, les exemples sont nombreux.

En France, plusieurs équipements sont actuellement en cours de modernisation (Stade Vélodrome à Marseille), déjà sortis de terre (Grand Stade de Lille) ou à un stade avancé de projet (Grand Stade de la Fédération Française de Rugby dans l’Essonne), soit dans le but d’augmenter les recettes de billetterie, soit pour s’adapter aux nouvelles normes des fédérations sportives internationales et des organisateurs de spectacles.

Il apparaît évident que ces installations ont vocation à devenir des lieux de vie et d’attraction des touristes urbains. Face aux coûts d’investissement qu’elles représentent, leur modèle économique nécessite une réflexion qui dépasse le strict cadre de la mission sportive ou de spectacle qui leur est confiée et implique souvent des montages complexes pour garantir une faisabilité financière et économique.

Dans ce contexte, Atout France en partenariat avec la Caisse des Dépôts, propose un nouvel ouvrage sur « La valorisation touristique des grands équipements sportifs ».
L’ambition de ce guide est de montrer dans quelle mesure, dans quelles conditions et dans quelles limites, ces grands équipements sportifs peuvent ou doivent faire l’objet d’une mise en tourisme et être conçus dès l’origine dans une perspective loisirs/divertissement plus globale.

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5 idées reçues sur les réseaux sociaux

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"Pierre Matuchet, DG de l'agence social media Milky, décrypte les préjugés qui ont la vie dure dans l’imaginaire français. L’ancien directeur général de Voyages-sncf.com Technologies donne des éclairages sur l'usage de Facebook et consort dans le secteur du voyage.

1) Facebook ne fait pas vendre. C’est vrai et faux tout à la fois. Positionner un moteur de réservations sur une page entreprise est inutile, selon Pierre Matuchet, directeur général de l’agence spécialiste des réseaux sociaux Milky : "Le carrefour d'audience d'une marque reste son site web. Le social commerce ne fonctionne pas". En revanche, une page Facebook bien animée peut drainer un trafic qualifié vers un site marchand. Il est ainsi possible de cibler des communautés au travers de pages thématiques ou d’informations ciblées. D’ailleurs, une récente étude de GMI abonde en ce sens : seuls 9% des Français inscrits sur les réseaux sociaux achètent à partir de tels sites, mais un quart des membres les utilisent pour trouver de l’inspiration.

2) Avoir des fans ne sert à rien. C’est une remarque vieille comme le réseau social de Mark Zuckerberg ! Naturellement, la course aux fans n’est pas une fin en soi. Il vaut mieux avoir 8000 fans très impliqués, comme ceux de la chaîne Relais du Silence (et son 8% de taux d’engagement) que 50 000 indifférents à ses posts. De grands noms du secteur parviennent à concilier volume et interactions. L'agence en ligne Voyages-sncf.com bénéficie d’un taux d’engagement de 5%. La compagnie aérienne Air France, de 3%, avec 1,4 million de fans. "C’est la rançon d’une belle marque, qui effectue un community management de qualité", poursuit Pierre Matuchet. Mais il existe aussi des contre-exemples : le Club Med n’atteint pas 1%.

3) Les concours sur Facebook créent des fans éphémères. Tout dépend de leur contenu et de leur message. "Si une chaîne d’hôtels monte un jeu avec un iPad à gagner, reposant sur des questions sans rapport avec ses produits et services, les fans recrutés seront pour beaucoup des opportunistes. Mais si elle met en jeu des nuits d’hôtels, à partir de questions liées à ses valeurs et son expérience client, le recrutement sera qualitatif ". Il faut savoir utiliser le storytelling. Un exemple ? Demander aux internautes de raconter leur Saint-Valentin idéale dans un lieu de séjour.

4) Mieux vaut investir en SEM sur Google. "Les marchands se demandent souvent s’il vaut mieux parier sur le référencement payant ou sur Facebook. C’est une vraie question. Facebook a fait de beaux efforts pour que le retour sur investissement soit meilleur", assure Pierre Matuchet. Selon lui, il est nécessaire d'investir 5000 euros au minimum par campagne afin d'obtenir des résultats en termes d'audience et de taux de transformation.

Soit, mais il faut aussi garder en mémoire un désintérêt avéré des jeunes à l’égard des réseaux sociaux. Une étude aux Etats-Unis montre que 42% des utilisateurs de Facebook âgés de 18-29 ans ont passé moins de temps sur le réseau social au cours de l'année dernière, de même que 34% des 30-49 ans.

5) Les réseaux sociaux changent tout le temps. Face à l’émergence de réseaux sociaux comme Pinterest ou Instagram, des entreprises sont déstabilisées, et pensent qu’il est urgent d’attendre. Pierre Matuchet aborde cette contrainte autrement. Les réseaux sociaux fonctionnent différemment les uns des autres. Il faut donc se fixer des objectifs pour chacun d’entre eux, comme l’illustre l’infographie ci-dessous. Les contenus délivrés seront donc différents, le copier-coller est à éviter…

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70 of travellers in Asia-Pacific check online reviews prior to choosing a hotel

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The findings of Amadeus' second Asia Pacific hotel distribution survey highlighted the fact that customers now visit travel agents armed with a greater amount of information, and are less likely to accept the travel agent's recommendations.

The Amadeus report stated that, in the face of increasingly stiff competition from consumer websites, travel agents have experienced a gradual drop in the degree of influence that they have on a traveller's final choice of hotel. Fewer than one in three (32%) customers will now accept the agent's suggestion without question, according to the study, compared with more than one in two (51%) in the 2010 study.

Amadeus noted that while travel agents' advice "remains relevant", customers now compare agent opinions with consumer websites and online reviews.

Travel agents reported that 70% of travellers now check online reviews prior to choosing a hotel, while 62% of customers now conduct price comparisons, up from 48% in 2010.

Amadeus noted however, that travel agents can influence travellers' choice of hotel by cross-selling a greater range of other products and service. The survey found that airport transfers and sightseeing tours represent the biggest cross-selling opportunities, while travel agents are also now offering to help travellers purchase concert tickets, make dinner reservations, and even metro passes. (HOTELMARKETING.COM, April 2013
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Emerging middle class will define China’s hospitality real-estate growth

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"Cornell faculty, international business leaders, Shanghai Vice Mayor Zhao Wen, and other Chinese government officials gathered at the Waldorf Astoria Shanghai on the Bund on April 20 to examine the state of China's hospitality and commercial real estate markets and discuss current trends, challenges, and opportunities. Half of the 275 attendees were Cornell alumni, and 14 faculty and staff attended from across the university. A total of 39 speakers participated on the program.

 

"The diversity of stakeholders who participated in the summit allowed us to look at China's development and urbanization from many different angles," said Michael D. Johnson, dean and E. M. Statler Professor at the School of Hotel Administration (SHA). "Our expert panelists discussed everything from the concerns of international versus domestic companies, to how consumer preferences are changing, to the ways technology improvements in transportation and building design will redefine the cities of the future."

Through the many topics covered during the Cornell International Summit: Hospitality, Real Estate, and the Built Environment, one clear theme emerged: the future lies in China's emerging middle class.

"In ten years' time, the middle class in China will be twice as large as the middle class in the U.S., and it will have twice the purchasing power," said Keith Barr '92, chief executive officer of IHG Greater China, during a panel on service.

This growth is pushing Chinese domestic hotel companies to build brands and is driving international companies to bring brands to China. The emerging middle class is also spurring a dramatic increase in the number of hotel rooms in the country.

"Currently, there are about 2.5 million hotel rooms in China. We will see this number expand beyond the 5 million or so in North America to about 7.5 million in a decade," said Leland C. Pillsbury, '69, co-chairman and CEO of Thayer Lodging Group. "The implications for real-estate development around that are enormous."

Many hotel executives on the program confirmed that China is the fastest growing region for their brands. They also explained how future progress will differ from past development; today, companies are planning significant growth in secondary and tertiary cities and are focusing on three- and four-star properties. Historically, international brands have been successful in China's luxury segment, while domestic companies have succeeded in the budget sector.

Teddy Zhang '97, president and CEO of HUBS1, moderated a panel on the future of the Chinese hotel marketplace and explained, "One of the very successful investments in the lodging industry is the budget sector. This is the first truly domestic hotel group in China that can grow and compete with international brands."

Now both international and domestic companies are moving to compete in this midscale segment and capitalize on the emergent middle class.

With this kind of growth comes tremendous business opportunity, and many panelists emphasized the need for smart, strategic development that would simultaneously benefit consumers, business owners and operators, and investors, as well as the cities themselves.

During the panel on urban interconnectedness, Kent Kleinman, the Gale and Ira Drukier Dean of the College of Architecture, Art, and Planning (AAP) noted that more than 50 percent of the world population already lives in cities. A sustainable future will mean fundamental changes in the ways cities and buildings are designed and how density is managed.

Michael Manville, assistant professor, Department of City and Regional Planning, explained how new technologies can fight traffic congestion, while Jenny Sabin, assistant professor, Department of Architecture, described her work applying biology and mathematics to the design of material structures.

The summit—which was co-presented by the SHA, AAP, and Center for Real Estate and Finance—was held in collaboration with the Cornell Asia-Pacific Leadership Conference and the Cornell Hotel Society Asia Pacific Regional Meeting. HUBS1, Jin Jiang Hotels, and the Waldorf Astoria Shanghai on the Bund were title sponsors of the event.

The next Cornell International Hospitality Summit will be held in São Paulo, Brazil in 2014.

 

Source
 visit www.hotelschool.cornell.edu.
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Aides d’État la Commission ordonne à la France de recouvrer certaines aides incompatibles reçues par la SNCM

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Aides d’État: la Commission ordonne à la France de recouvrer certaines aides incompatibles reçues par la SNCM

1. Quelle est l'approche de la Commission concernant les compensations de service public ?

Les services d'intérêt général sont indispensables à la cohésion sociale et constituent l'un des piliers du modèle européen. La Commission soutient la prestation de services publics de qualité, abordables et accessibles à tous.

La prestation d’un service public dans les conditions imposées par les autorités publiques peut entraîner des surcoûts pour le prestataire. Une compensation de service public est alors nécessaire. Tant que cette compensation se limite à couvrir les surcoûts entraînés par la mission de service public ainsi qu'un bénéfice raisonnable, elle est pleinement compatible avec les règles de l'UE.

Lorsqu'une telle compensation concerne un service d'intérêt économique général (SIEG) sur un marché ouvert à la concurrence, elle peut requérir un examen par la Commission au regard des règles relatives aux aides d'Etat. En effet, si cette compensation excédait les surcoûts (ainsi qu'un bénéfice raisonnable), il y aurait alors une "surcompensation" qui pourrait fausser la concurrence entre les prestataires actifs sur ce marché. L'entreprise recevant cette aide bénéficierait en effet d'un avantage économique non justifié par rapport à ses concurrents, aux frais du contribuable.

La Commission européenne, en charge du contrôle des d'aides d'Etat au sein du marché unique, peut donc être amenée à vérifier que les règles européennes ont bien été respectées, par exemple lorsqu'elle reçoit des plaintes émanant de concurrents. Certaines compensations doivent également être notifiées au préalable à la Commission européenne avant d'être accordées.

La Commission approuve ainsi régulièrement des compensations de service public dans différents secteurs. Par exemple, la Commission a récemment approuvé un dispositif d'équilibrage des risques entre les assureurs santé privés en Irlande (voir IP/13/132), les compensations accordées à la Banque Postale pour la fourniture du livret A (IP/13/37), ou encore les compensations versées à La Poste belge pour diverses missions de service public (IP/13/393). Dans le cas de la desserte maritime des ports corses depuis Marseille, la Commission approuve les compensations accordées depuis 2007 à la SNCM et à la CMN pour le service dit "de base" permettant d'assurer cette desserte tout au long de l'année pour les marchandises et les passagers en remédiant ainsi aux contraintes de l'insularité.

Pour des informations supplémentaires sur les règles en matière d'aides d'Etat applicables aux SIEG, voir MEMO/11/929.

2. Pourquoi la Commission se prononce-t-elle sur le périmètre du service public de desserte maritime de la Corse ?

Les États membres disposent de manière générale d'une large marge d'appréciation pour définir des SIEG. Ce principe est une expression du principe de subsidiarité, de nombreux services publics visant à répondre à des besoins locaux ou nationaux. Le concept de SIEG suppose néanmoins que les services concernés ne seraient pas fournis par le seul jeu du marché ou ne le seraient pas dans les mêmes conditions, ce qui justifie l'intervention publique.

En outre, dans le secteur du transport maritime, le législateur européen a choisi d'encadrer spécifiquement la compétence des États membres en la matière par le biais d'un règlement. Les articles 2 et 4 du règlement 3577/92 du Conseil (représentant les gouvernements de l'ensemble des Etats Membres) concernant l'application du principe de la libre circulation des services aux transports maritimes à l'intérieur des États membres (cabotage maritime) ont limité le pouvoir d'appréciation des autorités publiques dans la définition des services susceptibles d'être qualifiés de SIEG.

Ces règles spécifiques encadrent le champ du service public défini par les autorités nationales : il doit correspondre à un besoin réel de service public, démontré par l'insuffisance des services réguliers de transport dans des conditions normales de marché. L'objectif de cette disposition est d'éviter que les distorsions de concurrence liées à l'intervention publique n'aillent au-delà de ce qui est nécessaire pour répondre à un besoin qui n'est pas satisfait par le marché.

Dans le secteur du transport maritime, la Commission est donc tenue de prêter une attention particulière à la définition du périmètre du service public. Elle doit vérifier que celui-ci a été correctement défini avant d'évaluer l'existence éventuelle de surcompensations.

3. Le service complémentaire contribue à l'accessibilité de la Corse. Pourquoi la Commission le rejette-t-il ?

La nécessité de services de transport maritime importants assurant une bonne desserte de la Corse et visant à remédier aux contraintes liées à l'insularité est avérée. La seule question est d'apprécier si en plus d'un "service de base" assuré conjointement par la SNCM et la CMN et couvrant les dessertes fret et passagers tout au long de l'année, il est nécessaire de qualifier également de service public un "service complémentaire" assuré par la seule SNCM et destiné aux passagers en périodes de pointe.

A cet égard, l'enquête de la Commission a révélé que ces services de transport, fournis pendant la saison touristique, peuvent être offerts sans compensation particulière par des entreprises présentes sur le marché. En conséquence, la qualification de service public n'est pas nécessaire au regard du besoin réel de service public et l'octroi de compensations à la SNCM pour ces services n'est pas justifié.

Selon les estimations de la Commission, les compensations reçues par la SNCM au titre du service complémentaire pourraient s'élever à environ 220 millions d'euros pour la période 2007-2013.

4. Le Conseil d'Etat français a validé le service complémentaire au regard du droit européen. Pourquoi la Commission remet-elle en cause l'analyse du Conseil d'Etat?

La Commission a soigneusement analysé la décision du Conseil d'Etat du 13 juillet 2012 et l'ensemble des arguments échangés devant les juridictions nationales. Le Conseil d'Etat avait annulé l'arrêt de la Cour Administrative d'Appel de Marseille du 7 novembre 2011 qui avait lui-même annulé le jugement du tribunal administratif de Bastia du 24 janvier 2008 validant la Délégation de Service Public (DSP) 2007-2013.

Toutefois, la Commission a établi au cours de son enquête que le service complémentaire de la DSP n'était pas indispensable au service de base et que le regroupement des deux services au sein de la DSP ne permettait pas aux autorités publiques ou aux usagers de bénéficier de complémentarités techniques (obligations distinctes en termes d'horaires et de fréquence, navires et équipage distincts) ou économiques (absence de péréquation financière possible entre les deux services). Dans la mesure où le service complémentaire fourni pendant les périodes de pointe pouvait être pris en charge dans des conditions normales de marché, il ne pouvait dès lors être inclus dans le périmètre du service public.

D'autre part, le Conseil d'Etat, par sa décision du 13 juillet 2012, ne s'est pas prononcé sur la présence d'aides d'Etat dans l'ensemble de la DSP, mais uniquement sur une de ses clauses ("clause de sauvegarde"). L'analyse de la Commission porte au contraire sur la compatibilité de l'ensemble de la convention de DSP avec les règles en matière d'aides d'Etat.

6. Comment la Commission a-t-elle analysé le service de base ?

La Commission a tout d'abord constaté que le service de base répondait à un véritable besoin de service public non assuré par le marché, conformément au règlement (3577/92) du Conseil sur le cabotage maritime et à la pratique décisionnelle de la Commission en matière de SIEG.

La Commission a ensuite évalué le service de base à la lumière de l’encadrement de l'Union européenne applicable aux aides d'État sous forme de compensations de service public, adopté en 2011 au sein du paquet de mesures sur les SIEG, dit paquet «Almunia» (voir IP/11/1571).

La Commission a notamment conclu que les subventions reçues par la SNCM et la CMN au titre du service de base, lesquelles représentent environ 60% du montant total des subventions perçues, constituent une compensation nécessaire et proportionnée pour la fourniture de ce service.

7. Cette décision a-t-elle un lien avec la nouvelle DSP pour la période 2014 – 2023 ?

La décision de la Commission porte uniquement sur la période 2007-2013 et n'entraîne aucune conséquence directe sur la nouvelle DSP.

Les services de la Commission sont par ailleurs en contact avec les autorités françaises pour s'assurer que la future délégation de service public soit attribuée en conformité avec les règles en matière d'aides d'Etat.

8. Cette décision a-t-elle un lien avec l'examen par la Commission des mesures, antérieures, de restructuration de la SNCM ?

La Commission examine parallèlement un ensemble de mesures de soutien, d'un montant total d'environ 230 millions d'euros, liées à la restructuration et à la privatisation de la SNCM entre 2002 et 2006 (voir IP/06/1183).

Dans ce dossier, distinct de l'enquête de la Commission sur la DSP, le Tribunal de l'Union européenne (TUE) a, par un jugement du 11 septembre 2012, annulé dans sa plus grande partie une décision de la Commission de juillet 2008 approuvant ces mesures.

A la suite de cette annulation, la Commission doit donc adopter une nouvelle décision. Ce dossier est en cours de traitement par les services de la Commission.

La décision adoptée ce jour porte uniquement sur la DSP 2007-2013, et ne concerne pas les mesures de restructuration et de privatisation.
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How the US Travel Industry Is Adapting to a Growing Wave of Chinese Tourists

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"Tourists from China now spend more on international travel than tourists from any other country. The U.S. travel industry is slowly learning how to attract them.

According to a report released last week by the U.N. World Tourism Organization, Chinese travelers spent $102 billion on international tourism in 2012, 40% more than they spent in 2011. More than 80 million Chinese traveled internationally in 2011, outspending German tourists — the longtime leader in overseas travel spending — for the first time. Those numbers have steadily climbed since 2000, when 10 million Chinese traveled abroad.

(MORE: Google Fiber Heading to Austin as Cities Race to Boost Web Speeds)

This remarkable growth — largely due to relaxed government restrictions on foreign travel and the rise of a Chinese middle class with disposable income — has forced the U.S. travel industry, from hotels to restaurants to shopping centers, to adapt to this influx of Chinese tourists.

The hotel industry has perhaps been the most attentive. According to USA Today, Marriott has stationed 20 sales representatives in China and teaches employees in the U.S. to speak basic Mandarin phrases like hello and thank you. The Marriott Marquis in New York City has even replaced room numbers on the 44th floor with names because the number four is considered bad luck in many Asian cultures.

Hilton sends its reps to China regularly to meet with corporate travel planners and, according to the report, started a Chinese-guest program, staffed with native Chinese speakers. The company features Chinese meals and displays oranges and tangerines (often considered good luck) in 63 of its hotels.

Meanwhile, Starwood, which owns Sheraton, Westin and W hotels, has revised its amenities and services as well, according to USA Today: “In-room tea kettles, slippers, translated restaurant menus and welcome brochures, on-site translation services and comfort food such as congee (rice porridge) and noodles” can now be found at many of Starwood’s properties.

States around the country have also been experimenting with ways to draw more Chinese tourists. According to BBC News, the Massachusetts Office of Travel and Tourism holds a workshop advising businesses on how to cater to Chinese tourists, and California has started a program called China Ready, which includes a learning kit that helps the state’s businesses serve those travelers and understand their culture.

(MORE: Inside the Chinese Company America Can’t Trust)

So what are Chinese travelers looking for when they leave their homeland? Mainly, luxury goods. Many tourists leave China to shop, spending an average of $1,230 per trip, and some estimates show they spend about $3,200 per trip when visiting New York City. Items such as clothes and accessories (many of which were made in China) are often at the top of their list. Wolfgang Georg Arlt, director of the China Outbound Tourism Research Institute, told CNN: “Luxury goods are 20% to 30% cheaper in other global cities. If you plan to spend $10,000 on shopping and only spend $1,000 on airfare, it’s much cheaper for Chinese tourists to fly abroad to shop.”"



Read more: http://business.time.com/2013/04/09/how-the-u-s-travel-industry-is-adapting-to-a-growing-wave-of-chinese-tourists/#ixzz2SEYiAXlo
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Air France-KLM les résultats trimestriels restent mauvais malgré une légère amélioration

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"Au premier trimestre, le groupe a enregistré une perte d'exploitation de 530 millions d'euros mais a réussi à générer un cash flow libre positif de 38 millions alors qu'il était négatif de 449 millions au premier trimestre de l'année dernière.

Les résultats d'Air France-KLM ont été une nouvelle fois très mauvais au premier trimestre 2013 même s'ils affichent une légère amélioration. Le groupe a publié ce vendredi une perte d'exploitation de 530 millions d'euros contre 597 millions un an plus tôt. Autrement dit, il n'a perdu en moyenne sur les trois premiers mois de l'année que 5,9 millions d'euros par jour contre 6,7 millions au cours du premier trimestre 2012. La perte nette s'est en revanche creusée à 630 millions d'euros contre 368 millions l'an dernier sous l'effet des restructurations engagées depuis janvier 2012. Le tout pour un chiffre d'affaires en légère hausse de 1,3%, à 5,7 milliards d'euros. « Dans un environnement économique dégradé, le groupe a poursuivi sa politique de baisse des coûts et de réduction de la dette nette au cours de ce trimestre traditionnellement difficile » a commenté Air France-KLM. La dette nette a également été réduite pour s'établir à 5,9 milliards contre 5,97 milliards au 31 décembre 2012. L'objectif ambitieux du plan Transform 2015 est de la ramener à 4,5 milliards à fin 2014.

Le titre baisse en Bourse

Signe encourageant pour le groupe, il a réussi à générer un cash flow libre positif de 38 millions d'euros alors qu'il était négatif à hauteur de 449 millions un an plus tôt, dans un trimestre pourtant marqué par des mois d'hiver particulièrement rigoureux et un calendrier de vacances scolaires défavorable. Des résultats qui n'ont convaincu les investisseurs. A 10h24, Air France-KLM perdait 3,21% en Bourse, à 7,743 euros. Hier, son concurrent Lufthansa a publié une perte opérationnelle de 359 millions d'euros".

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Key Outound Tourism Markets in South-East Asia

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Asia and the Pacific is not only a major tourism destination region but also an increasingly important tourism outbound market. This study, a collaborative project between Tourism Australia (TA) and the World Tourism Organization (UNWTO), aims to provide an up-to-date perspective of the major tourism trends in five key South-East Asian outbound markets: Indonesia, Malaysia, Singapore, Thailand and Vietnam. The report includes a regional overview in terms of tourism and travel patterns, a detailed, country-specific analysis and a comparative evaluation of current and future potential tourism generating countries.suite

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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