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Inversion du pipeline la CMM Équiterre et l’UPA offrent un oui conditionnel

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MONTRÉAL – La Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) est prête à appuyer l’inversion du flux de l’oléoduc 9-B d’Enbridge, pour qu’il puisse transporter à partir de l’Ontario du pétrole brut des sables bitumineux jusqu’à Montréal, mais seulement si l’entreprise est forcée par Ottawa de respecter les conditions imposées par le rapport de la commission parlementaire qui a tenu des audiences à cet effet à Québec.

Le rapport de la Commission de l’agriculture, des pêcheries, de l’énergie et des ressources naturelles (CAPERN) présente 18 recommandations, dont la création d’un fonds de prévoyance de 1 milliard $ en cas de déversement et un resserrement des exigences en matière d’inspection et d’entretien.

Le président de la CMM et maire de Montréal, Denis Coderre, demande de plus à Ottawa de soumettre les oléoducs au règlement sur le transport des matières dangereuses.

M. Coderre estime qu’on ne peut en aucun cas donner un «chèque en blanc» à Enbridge.

«J’ai dit oui, mais, a fait valoir Denis Coderre. Si le mais n’est pas respecté, ça va être un non.»

Bien que la décision finale appartienne au niveau fédéral, le maire de Montréal a tout de même indiqué qu’il était prêt à s’interposer en utilisant les pouvoirs qui sont à sa disposition si ces conditions ne sont pas respectées.

«Nous pouvons réfléchir ensemble sur comment on doit gérer notre territoire, a-t-il dit. Ça adonne bien, la CMM, son rôle c’est l’aménagement. Alors, nous allons prendre nos responsabilités, nous envoyons des messages. Nous travaillons en amont aujourd’hui.»

Le maire de Montréal a tenu ces propos lors d’une conférence de presse, jeudi, où l’accompagnaient le président de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Marcel Groleau, et le directeur principal d’Équiterre, Stephen Guilbeault, qui se sont tous deux dits d’accord avec cette position.

M. Guilbeault a rappelé que le dossier d’Enbridge en matière de sécurité n’est guère reluisant et s’est dit d’avis qu’il était essentiel que les pouvoirs publics encadrent les activités de l’entreprise.

«Est-ce qu’on ferait confiance à Enbridge? Je crois qu’on ferait confiance à nos institutions. Le gouvernement du Québec, le gouvernement fédéral doivent voir à leurs responsabilités pour s’assurer qu’on ait en place les règlements, les lois nécessaires pour protéger la santé du public, pour protéger la qualité de notre environnement», a-t-il fait valoir, ajoutant que les conditions formulées par la CAPERN étaient des conditions minimales.

Il a par ailleurs qualifié d’inacceptable le refus — pour des raisons politiques — du gouvernement Marois d’aller défendre le rapport de la CAPERN devant l’Office national de l’énergie (ONE) à Ottawa et l’a pressé d’aller le faire, invoquant l’urgence de la situation puisque l’Office doit rendre une décision sur ce projet le 19 mars.

«Si Québec ne bouge pas très rapidement, le Parti québécois aura laissé tout le champ libre au gouvernement fédéral pour décider de ce qui va se passer dans ce dossier», a déploré M. Guilbeault.

Pour sa part, le président de l’UPA a dénoncé le manque de transparence d’Enbridge.

«Enbridge a fait plus de 600 tests pour vérifier la qualité du pipeline. C’était rassurant au départ, sauf qu’ils n’ont pas partagé les informations de ces tests», a indiqué M. Groleau.

Ce manque de transparence a été évoqué par tous les participants à la conférence de presse et mis encore plus en évidence par le maire de Terrebonne, Jean-Marc Robitaille, qui a dit n’avoir appris qu’en janvier dernier, par hasard, qu’un déversement de 4000 litres de pétrole avait eu lieu à la station de pompage de l’entreprise à Terrebonne en mai 2011, soit près de trois ans plus tôt.

«Je dois rappeler ici l’importance, pour les communautés, qui sont les premiers répondants en matière de sécurité civile, d’être informées de ce qui se passe. Ce n’est pas le temps, lorsque arrive un incident qui dégénère, de commencer à poser des questions aux gens pour savoir ce qui se passe lorsqu’on devrait être en train peut-être d’évacuer», a fait valoir le maire Robitaille.

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Au tour du PQ de présenter sa stratégie économique pour le fleuve Saint-Laurent

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QUÉBEC – Au tour du gouvernement du Parti québécois de présenter sa stratégie économique pour le fleuve Saint-Laurent. Le ministre délégué au Tourisme, Pascal Bérubé, a lancé jeudi une stratégie de mise en valeur fondée sur le tourisme.

Il s’agit d’une troisième annonce politique pour l’axe maritime névralgique québécois. François Legault, de la Coalition avenir Québec, avait publié son livre «Projet Saint-Laurent» à l’automne 2013, souhaitant hisser les voiles pour une vallée de l’innovation. Plus tôt ce mois-ci, le chef libéral Philippe Couillard avait dévoilé sa «Stratégie maritime» en 11 axes à Rimouski. Le projet libéral cible notamment le transport, l’industrie des pêches, le tourisme et les chantiers maritimes.

Le gouvernement péquistemire à son tour le fleuve Saint-Laurent en présentant un plan de développement pour l’industrie touristique qui s’étend de 2014 à 2020.

Le gouvernement a précisé que sa stratégie est assortie d’une enveloppe budgétaire de 77,3 millions $ qui sera versée par l’entremise de la politique économique Priorité emploi annoncée en octobre 2013.

Le ministre Bérubé a identifié le secteur des croisières comme l’un des produits prioritaires pour la filière touristique.

Outre les navires de croisière, le volet excursion et découverte du milieu marin sera aussi mis à l’avant-plan. L’attrait que représentent les mammifères marins du Saint-Laurent ainsi que les pôles et circuits touristiques, qui s’étendent sur plusieurs kilomètres, se retrouvent au coeur de cette stratégie.

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Commission Charbonneau coûts supplémentaires et salaires élevés des ouvriers

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MONTRÉAL – La Commission Charbonneau a mis fin à ses audiences sur le thème syndical, jeudi en fin de journée. Elle les reprendra le 10 mars avec un autre thème.

Il lui reste encore à aborder les volets des contrats du ministère des Transports, du financement des partis politiques et du crime organisé.

En cette dernière journée, Marcel Pouliot, un entrepreneur de Coaticook, a calculé que la seule exigence syndicale d’obtenir de la soupe chaude au chantier de La Romaine lui coûterait 52 500 $ pour un an en coûts supplémentaires.

L’entrepreneur des Cantons de l’Est en a fait la démonstration devant la Commission Charbonneau, jeudi, en présentant des projections sur un an, s’il devait payer ainsi un journalier pour aller chercher cette soupe, parcourir le kilométrage requis, distribuer la soupe dans les cinq roulottes du vaste chantier sur la Côte-Nord, puis ramasser les bols et revenir.

Et ces coûts ne valent que si c’est un journalier qu’il doit ainsi payer pour la tâche. Cela pourrait être plus coûteux encore, puisqu’il lui est arrivé de devoir personnellement s’occuper de la tâche, lui ou un gérant de projet, puisqu’il n’avait pas de journalier pour s’occuper du travail.

L’entrepreneur a aussi précisé qu’il est acceptable qu’il n’y ait pas de soupe pendant une journée ou deux, aux yeux des ouvriers, mais si la lacune est constatée pendant trois journées ou une semaine, il sera confronté à un arrêt de travail.

Cet exemple pourtant anodin de la soupe a été utilisé par le procureur Paul Crépeau, de la commission, pour illustrer à quel point des demandes qui n’existent pas ailleurs que sur la Côte-Nord peuvent engendrer des coûts supplémentaires pour les entrepreneurs qui y font affaire, voire engendrer des tensions avec les ouvriers lorsqu’ils ne se plient pas aux demandes.

«Il n’est pas question qu’Hydro-Québec vous rembourse ça je présume?», lui a demandé Me Crépeau.

«On n’en a pas discuté encore. Moi, je dis que quand moi je soumissionne, c’est hors de ma connaissance; il n’y a rien aux devis, rien dans mes exigences qui me dit que je dois fournir la soupe. Mais évidemment, pour acheter la paix sociale au chantier d’Hydro-Québec, il faut que je la fournisse, la soupe», a résumé le président de Constructions Couillard.

Plus tard dans la journée, on a toutefois appris qu’il y avait bel et bien une «clause de la soupe» dans la documentation reliée à l’appel d’offres. M. Pouliot ne l’avait pas vue.

Salaires

Après le coût de la soupe, le témoin s’est attardé au coût pour son entreprise des salaires des ouvriers, qui font de très longues semaines de 70 heures régulièrement.

Il a fait des projections sur un an pour en conclure qu’à plein temps _ à raison de sept journées de 10 heures _ avec les heures supplémentaires qu’il fait régulièrement, un arpenteur gagnera 139 678 $ en un an, et ce, sans compter ses frais de transport. De plus, dans un baraquement, le gîte et le couvert sont fournis.

Fait à noter, il s’agit d’une rémunération pour une année complète, et il n’est pas si fréquent, dans le secteur industriel ou dans le secteur de la voirie et du génie civil, qu’un ouvrier travaille à temps plein durant une pleine année.

M. Pouliot a précisé que son opérateur de pelle mécanique, lui, toucherait 137 308 $ dans les mêmes conditions et son journalier 116 160 $.

Encore aujourd’hui

Comme d’autres entrepreneurs avant lui, M. Pouliot a eu sa part d’ennuis avec ses ouvriers à son chantier de La Romaine. Et, cette fois, il s’agit d’un contrat contemporain, soit en 2013 et 2014.

Le 24 janvier dernier, il a congédié dans le délai prescrit des 15 premiers jours un travailleur qui ne faisait pas le travail correctement à son goût. Plus tard, un de ses employés réguliers a entendu dire par un autre: «avertis tes patrons, vous n’en avez pas fini; votre machinerie va commencer à briser».

Quelques jours plus tard, une foreuse a été endommagée. «Cette machine-là s’est brisée toute seule, à côté du chemin», a ironisé M. Pouliot.

Lui-même, président de l’entreprise, a été temporairement expulsé de son propre chantier par Hydro-Québec, après qu’il se soit adressé avec agressivité à un de ses employés, qu’il était allé voir dans sa chambre. Hydro-Québec lui a dit qu’elle ne pouvait tolérer la situation.

Et avant même que son chantier débute, on lui a rapporté que Bernard Rambo Gauthier avait annoncé à ses troupes que Construction Couillard, de Coaticook, «un p’tit nouveau, un nowhere» s’en venait, qu’il ne connaissait donc pas les façons de faire dans la région de la Côte-Nord et qu’il allait «pogner un noeud». M. Pouliot a déploré le fait qu’avant même qu’il arrive, on lui avait fait une drôle de réputation.

Il a d’ailleurs reçu «quelques téléphones anonymes disant qu’on n’était pas bienvenus».

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L’Aga Khan considère le Canada comme une leader international

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OTTAWA – Le leader spirituel héréditaire des 15 millions de musulmans ismaéliens du monde souhaite que le Canada se joigne à lui pour rendre le monde plus tolérant et pacifique.

Ovationné devant une Chambre des communes remplie de députés, de sénateurs et de représentants ismaéliens invités pour l’occasion, l’Aga Khan, âgé de 77 ans, a rendu hommage aux médaillés d’or de l’équipe olympique canadienne de hockey.

Il a ajouté en boutade qu’il aurait aimé, en tant que citoyen canadien honorifique, faire partie de l’équipe. Le dalaï lama et lui, a-t-il blagué, auraient assuré une défensive formidable.

Visiteur régulier du Canada, l’Aga Khan, imam héréditaire des chiites imamites ismailis, a obtenu la citoyenneté honorifique durant une visite au pays en 2010. Le Canada compte environ 100 000 musulmans ismaéliens.

Après un tête-à-tête avec le premier ministre Stephen Harper, jeudi matin, l’Aga Khan a affirmé devant les parlementaires que sa fondation contribuerait aux célébrations du 150e anniversaire du Canada, en 2017.

Le leader religieux, diplômé de l’université Harvard, a parlé avec élégance dans les deux langues officielles.

M. Harper a louangé l’Aga Khan — qu’il a présenté comme un travailleur humanitaire infatigable — pour ses partenariats avec l’Afrique, l’Asie et l’Afghanistan.

«Lorsque vous êtes au Canada, vous êtes à la maison», lui a dit M. Harper.

Le premier ministre a également souligné que son militantisme pour la tolérance et le pluralisme allait «au-delà des mots». Il l’a remercié pour son soutien à son programme pour la santé des mères et des enfants lancé en 2010.

«Les Canadiens sont plus forts lorsqu’ils reçoivent le soutien de ceux qui partagent nos valeurs», a déclaré M. Harper.

L’Aga Khan a succédé à son grand-père en 1957, devenant le 49e imam des musulmans ismaéliens, une branche minoritaire de l’islam chiite. Il supervise bon nombre de fondations qui oeuvrent à des projets de développement international.

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Le nombre de refuges pour femmes violentées continue d’augmenter au Canada

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OTTAWA – Le nombre de refuges pour femmes violentées continue d’augmenter au Canada. Les raisons invoquées sont nombreuses, mais la violence demeure la principale cause de fréquentation pour 74 pour cent des femmes admises.

L’Enquête sur les maisons d’hébergement, réalisée par Statistique Canada et publiée jeudi, démontre que les situations de violence sont rarement rapportées à la police. De l’aveu des responsables des refuges, une minorité des incidents de violence (32 pour cent) font l’objet d’un signalement.

Statistique Canada a choisi la date du 18 avril 2012 pour recenser les personnes en centre d’hébergement. Ce jour-là, 4566 femmes et 3570 enfants résidaient dans l’un des 601 refuges ouverts au pays. Pour le tiers de ces femmes, il s’agissait d’un retour. Le taux de réadmission le plus élevé est enregistré dans les refuges dits «d’urgence» où 49 pour des résidantes y avaient déjà séjourné.

Pour 68 pour cent des femmes violentées l’agresseur était leur partenaire actuel et 17 pour cent avaient été violentées par un ancien partenaire. Plus de la moitié des femmes en refuges, soit 53 pour cent, ont fui la violence avec un ou des enfants.

Précisons que la demande demeure élevée dans ces centres d’hébergement et que des femmes sont parfois refusées faute de place. Le 18 avril 2012, 379 femmes et 215 enfants n’ont pu être admis puisqu’il n’y avait d’espace disponible.

En 2008, on comptait 569 refuges au Canada. Il s’en est donc créé 32 en quatre ans.

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La fumée secondaire hausse le risque de problèmes de grossesse

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MONTRÉAL – La fumée secondaire est associée à une hausse importante des risques d’avortement spontané, d’accouchement d’un mort-né et de grossesse extra-utérine, prévient une importante étude d’observation publiée en ligne par Tobacco Control.

Le risque semble être cumulatif, ce qui signifie qu’il augmente en fonction de l’exposition à la fumée secondaire.

Si les dangers du tabagisme pendant la grossesse étaient bien connus, ceux de la fumée secondaire le sont moins. On ne sait pas non plus si l’exposition à la fumée secondaire est plus dangereuse à certains moments de la grossesse.

Les chercheurs ont utilisé un échantillon de quelque 80 000 femmes ménopausées, dont 5000 qui fumaient, 35 000 qui avaient déjà fumé au moins 100 cigarettes et un peu moins de 41 000 qui étaient non fumeuses. Toutes avaient été enceintes au moins une fois.

Les non fumeuses ont ensuite été divisées en fonction de leur exposition à la fumée secondaire à l’enfance, à l’âge adulte chez elles et à l’âge adulte au travail.

Près du tiers des participantes avaient subi au moins un avortement spontané. Un peu plus de 4 pour cent avaient accouché d’un mort-né et 2,5 pour cent avaient connu une grossesse extra-utérine.

Les femmes qui avaient fumé pendant leurs années de reproduction étaient 16 pour cent plus susceptibles d’avoir subi un avortement spontané, 44 pour cent plus à risque d’avoir accouché d’un mort-né et 43 pour cent plus en danger d’avoir connu une grossesse extra-utérine que les non fumeuses.

Une association similaire a été décelée chez les non fumeuses exposées à la fumée secondaire. Celles qui y ont été exposées pendant plus de 10 ans à l’enfance, plus de 20 ans chez elles ou plus de 10 ans au travail étaient 17 pour cent plus susceptibles d’avoir subi un avortement spontané, 55 pour cent plus à risque d’avoir accouché d’un mort-né et 61 pour cent plus en danger d’avoir connu une grossesse extra-utérine que les non fumeuses.

L’étude a notamment été réalisée par des chercheurs de l’Université de Buffalo.

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Un tarif social pour le transport en commun est réclamé à Montréal

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MONTRÉAL – Une coalition d’organismes communautaires de Montréal souhaite la mise en place d’un tarif social pour le transport en commun.

Des manifestants se sont donnés rendez-vous au parc Émilie-Gamelin, au centre-ville de Montréal, pour réclamer le «droit à la mobilité». Les participants, venus de milieux défavorisés et de groupes oeuvrant pour des personnes touchées par des problèmes de santé mentale, ont dénoncé la pression économique croissante qui s’exercent sur eux.

Avec les hausses des tarifs tant des loyers et des denrées que des médicaments ou de l’électricité, les impacts sur les dépenses des moins nantis sont grands. Et lorsque vient le moment de choisir où couper dans les dépenses, le transport arrive en tête des options. Le Mouvement collectif pour un transport public abordable estime que cette difficulté d’accès au transport se traduit par des personnes moins mobiles, certes, mais aussi captives de certains quartiers — ce que Jean-Yves Joannette nomme les «trappes d’immobilité».

Et plus le mois avance, plus les gens restent à la maison, n’ayant plus les moyens de se déplacer.

Le milieu communautaire est connu pour ses prises de position pour des logements abordables et pour ses réflexions sur la pauvreté qui continue de gagner du terrain au Québec. Et l’idée d’un tarif social du transport en commun n’est pas nouvelle, puisqu’elle s’applique déjà dans l’Ouest canadien.

À Calgary, une mesure similaire a été adoptée: chaque année, des citoyens moins fortunés peuvent obtenir un tarif réduit selon les données figurant à leurs déclarations de revenus. Les organismes de Montréal croient que ce même principe pourrait s’appliquer ici, et même à d’autres régions. Encore faut-il, souligne M. Joannette, qu’il y ait une ouverture pour en discuter.

«Particulièrement pour les personnes qui sont au ‘petit chèque’, celui qui vient d’être augmenté d’un faramineux 20 $ par mois, ces gens ne sortent plus parce que les dépenses en transport peuvent être coupées», déplore le porte-parole du Mouvement.

M. Joannette soutient que l’initiative de Calgary a permis que certaines personnes démunies puissent profiter de cet accès au transport pour retourner aux études ou trouver un emploi ailleurs que dans leur quartier, où les emplois à distance de marche ne sont pas toujours disponibles.

«Le discours voulant que les pauvres ne veulent pas travailler! Mais encore faudrait-il leur donner les moyens de se déplacer pour qu’ils puissent aller se chercher un emploi!», clame-t-il.

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Agression d’un chauffeur la Cour suprême se penchera sur la cause de St Cloud

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OTTAWA – La Cour suprême étudiera le traitement subi par un des accusés dans l’agression d’un chauffeur d’autobus à Montréal, au printemps dernier.

Après son arrestation, en avril 2013, Jeffrey St. Cloud s’était vu refuser une libération provisoire en attendant son procès.

Le jeune homme de 20 ans a été accusé de voies de fait graves. Deux juges de paix ont conclu que sa détention était nécessaire pour ne pas miner la confiance du public envers l’administration de la justice.

Mais la Cour supérieure du Québec a renversé cette décision, estimant que l’article du Code criminel invoqué par les juges de paix pour garder M. St. Cloud en prison devait être utilisé avec parcimonie. Le tribunal estimait que dans ce cas-là, les juges de paix avaient commis une erreur en l’appliquant au jeune homme.

C’est cette question de l’application de l’article 515(10)c) du Code criminel qui intéresse le plus haut tribunal du pays.

L’agression du chauffeur d’autobus s’était produite dans la nuit du 23 au 24 avril 2013, à l’intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Jean-Talon. Deux caméras de surveillance à bord de l’autobus ont capté les images où on voit trois hommes s’en prendre au chauffeur. Celui-ci a dû être hospitalisé. Un autre jeune homme de 20 ans et un mineur de 17 ans ont aussi été accusés dans cette affaire.

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Agression d’un chauffeur la Cour suprême se penchera sur la cause de St Cloud

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OTTAWA – La Cour suprême étudiera le traitement subi par un des accusés dans l’agression d’un chauffeur d’autobus à Montréal, au printemps dernier.

Après son arrestation, en avril 2013, Jeffrey St. Cloud s’était vu refuser une libération provisoire en attendant son procès.

Le jeune homme de 20 ans a été accusé de voies de fait graves. Deux juges de paix ont conclu que sa détention était nécessaire pour ne pas miner la confiance du public envers l’administration de la justice.

Mais la Cour supérieure du Québec a renversé cette décision, estimant que l’article du Code criminel invoqué par les juges de paix pour garder M. St. Cloud en prison devait être utilisé avec parcimonie. Le tribunal estimait que dans ce cas-là, les juges de paix avaient commis une erreur en l’appliquant au jeune homme.

C’est cette question de l’application de l’article 515(10)c) du Code criminel qui intéresse le plus haut tribunal du pays.

L’agression du chauffeur d’autobus s’était produite dans la nuit du 23 au 24 avril 2013, à l’intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Jean-Talon. Deux caméras de surveillance à bord de l’autobus ont capté les images où on voit trois hommes s’en prendre au chauffeur. Celui-ci a dû être hospitalisé. Un autre jeune homme de 20 ans et un mineur de 17 ans ont aussi été accusés dans cette affaire.

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L’envie de partir Marie-Mai et les anglos une infographie qui n’explique pas grand-chose

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sondage anglo (1)

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Les diplômés universitaires gagnent plus que les diplômés du secondaire

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MONTRÉAL – Ceux qui croient qu’il est payant à long terme d’étudier ont non seulement raison mais ils ont désormais les chiffres pour le prouver de façon on ne peut plus éclatante.

Une nouvelle étude réalisée par Statistique Canada, dont les résultats ont été dévoilés jeudi, démontre sans ambigüité l’avantage financier de poursuivre des études supérieures.

Chez les hommes, les détenteurs d’un baccalauréat ont gagné sur une période de 20 ans, 485 000 $ de plus en moyenne que les détenteurs d’un diplôme collégial et 732 000 $ de plus que les détenteurs d’un diplôme secondaire.

Le total des revenus de 1991 à 2010 des détenteurs d’un baccalauréat atteignaient en moyenne 1 707 000 $, comparativement à 1 222 000 $ chez les diplômés du collégial et 975 000 $ pour ceux du secondaire.

Chez les femmes, les écarts sont proportionnellement comparables. Une détentrice de baccalauréat a gagné, en moyenne, 973 000 $ entre 1991 et 2010, soit 448 000 $ de plus qu’une diplômée du secondaire (revenu total sur 20 ans de 525 000 $) et 269 000 $ de plus qu’une diplômée du collégial (revenu total sur 20 ans de 704 000 $).

Fait à noter, le revenu moyen sur 20 ans d’une femme détenant un baccalauréat (973 000 $) est légèrement inférieur à celui d’un homme détenant un diplôme secondaire (975 000 $). Statistique Canada ne précise pas dans quelle mesure cet écart considérable est attribuable à des raisons systémiques — c’est-à-dire là où les femmes obtiennent un salaire moins élevé pour le même travail — au fait qu’elles aient pris durant cette période des congés parentaux, qu’elles travaillent à temps partiel ou qu’elles occupent des emplois qui ne correspondent pas à leur formation.

L’agence fédérale a couplé et analysé les données fiscales longitudinales et des données du recensement de 1991, suivant des personnes qui avaient 35 ans en 1991 jusqu’en 2010, où elles en avaient 54.

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Charbonneau Rambo ne veut pas de demi-bataillon pour partir à la guerre

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MONTRÉAL – Bernard «Rambo» Gauthier a défendu devant la Commission Charbonneau, jeudi, sa volonté d’avoir le plus de membres possible sur la Côte-Nord par le fait qu’il voulait être équipé pour la guerre qu’il lui faut mener.

«Si tu vas à la guerre avec un demi-bataillon, tu ne la gagneras pas ta guerre. Si tu vas à la guerre avec un bataillon complet, tu la gagnes ta guerre ou, en tout cas, tu as beaucoup de chances de la gagner», a-t-il répondu, jeudi, au commissaire Renaud Lachance.

Le commissaire lui avait demandé si, au-delà du montant d’argent versé à la FTQ-Construction par les cotisations syndicales en plus qu’il a amenées provenant de la Côte-Nord, il y avait aussi une question de pouvoir derrière ce membership accru.

Il semble donc qu’il s’agisse d’une question de pouvoir plus que d’une question d’argent provenant des cotisations syndicales. De fait, la section locale de M. Gauthier sur la Côte-Nord n’a que 600 membres, alors que la FTQ-Construction en a 75 000. Le témoin a admis qu’il s’agissait d’une question de «rapport de forces».

Le représentant de la section locale des opérateurs de machinerie lourde sur la Côte-Nord a d’ailleurs noté que ça ne fait que deux ou trois ans que dans la région, le syndicat fait ses frais. Auparavant, il perdait de l’argent.

Par ailleurs, le témoin a aussi défendu le principe de la livraison de soupe chaude aux travailleurs de La Romaine, tel que l’avait révélé un précédent témoin devant la commission d’enquête.

Il a soutenu qu’une telle soupe est simplement réconfortante pour des ouvriers qui travaillent à l’extérieur et au froid et qui ne disposent que d’une demi-heure pour le lunch.

Il a d’ailleurs souligné que la coutume ne venait pas d’une exigence de la FTQ-Construction, mais plutôt de la CSN-Construction, à l’époque du chantier hydroélectrique de la Manic, où la livraison de soupe était généralisée.

«La soupe, c’est pas un bonus. C’est réconfortant une bonne soupe après deux ou trois mois dans le bois», a commenté M. Gauthier.

Contre-interrogé par l’avocat de la FTQ-Construction, Me Robert Laurin, M. Gauthier a par ailleurs indiqué qu’il était un Innu de Pessamit. C’est aussi pour cette raison qu’il s’est battu pour leur embauche sur les chantiers, a-t-il mentionné.

Par ailleurs, il a apprécié une suggestion du commissaire Renaud Lachance voulant qu’un donneur d’ordre doive indiquer dans son appel d’offres un pourcentage minimum d’employés de la région qu’un entrepreneur serait tenu d’employer.

«C’est pas fou comme idée», a opiné M. Gauthier, qui a terminé son témoignage.

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Nos idées sorties week-end du 28 février 1er et 2 mars

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salon agriculture

Que faire les 28 février, 1er et 2 mars ? Découvrez nos idées sorties du week-end.

Le Salon de l’agriculture, Paris

Jusqu’au 2 mars, le Salon de l’agriculture se déroule à Paris, Porte de Versailles. Plus de 1 300 exposants venant de 22 pays vont vous offrir une édition d’exception. Sur place, vous allez découvrir pas moins de 3 500 animaux. Cette 51e édition est placée sous le signe de l’accord de libre échange transatlantique.

Infos pratiques : Du 22 février au 2 mars 2014, de 9h00 à 19h00, 13 €, www.salon-agriculture.com/

Où dormir ?

Hôtel Baldi L’hôtel Baldi est un endroit où il fait bon vivre et où on se sent bien.

Hôtel PulitzerL’hôtel vous invite à la découverte d’un Paris authentique dans un cadre intime et chaleureux.

Festival international des jeux, Cannes

Le Palais des Festivals devient, pendant 3 jours, le temple du jeu vidéo. Vous retrouverez le meilleur du jeu vidéo ainsi que des présentations en avant-première de quelques nouveautés sur consoles et PC. Vous assisterez aussi au plus gros événement de jeux de combat organisé en Europe, l’IVGC.

Infos pratiques : Du 28 février au 2 mars 2014, gratuit, http://www.cannes-destination.fr/

Où dormir ?

Pierre et Vacances Cannes MandelieuLe Village se fond parfaitement à son domaine de 5 hectares parsemé d’essences méditerranéennes.

Ma roulotte de charmeElle est l’endroit idéal pour découvrir la mythique côte d’azur, à proximité des grands axes.

Les Hivernales, Avignon

Le Festival de Danse « Les Hivernales » commence ce week-end. Pour sa 36e édition, une attention particulière sera portée aux rendez-vous avec le public à travers des expositions, des vidéos, les Hiverôclites (scène ouverte aux nouveaux talents en entrée libre) et de nombreux stages …

Plus d’infos : du 1er au 8 mars 2014, www.hivernales-avignon.com/

Où dormir ?

Hôtel Restaurant Auberge de Noves Aux portes de la Cité des Papes, entre Noves et Châteaurenard ce manoir lumineux et paisible, possède un charme absolu.

Cube HôtelA mi-chemin entre Villeneuve lez Avignon et Avignon, le Cube Hôtel, hôtel** contemporain et moderne vous accueille pour un séjour d’exception.

Salon du Chocolat, Marseille

Ce week-end, à Marseille, ce sera Chaud cacao ! Chaud, chaud, chocolat. La 5e édition du salon du chocolat proposera des shows, des activités, des conférences autour du chocolat et bien sûr, des dégustations de chocolats.

Plus d’infos : du 28 au 2 mars, 10-19h, 10 €, www.fou-de-chocolat.com/

Où dormir ?

Hôtel Restaurant Le RhulLe Rhul, perché sur son rocher de la Corniche, est surtout réputé pour sa bouillabaisse.

Hôtel Première ClasseL’hébergement vous propose un hébergement confortable et moderne.

Le Festival Sancy Snow Jazz, Sancy

Le massif du Sancy va groover au rythme du jazz pendant 8 jours. Les concerts commenceront dans l’après-midi et s’achèveront tard dans la nuit. Au programme : Silvan Zingg, Lillian Boutte ou encore Oyster Brothersilvan.

Plus d’infos : du 1er au 8 mars 2014, www.sancy-snowjazz.com

Où dormir ?

Hôtel Régina & RestaurantL’Hôtel Régina***, se situe au coeur du Parc Naturel Régional des Volcans d’Auvergne et du Massif du Sancy. Découvrez le décor fabuleux des Monts Dore

Hôtel Le Parc Des FéesLe Parc des Fées vous accueille avec générosité et simplicité dans un cadre reposant.

[Photo]

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Par-ci par-là

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Toujours des z'images de notre sud sudesque... j'en ai encore plein et quand y en a plus y en a encore. Si z'en avez assez faut m'le dire, j'vous passerai des notices de montage de tondeuse à gazon ou de la fameuse bibliothèque Iképa, celle qui s'écroule quand on met des livres dedans. En attendant,...


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Une des chapelles

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L'une des riches chapelles de la cathédrale.


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Gagnez votre pass pour le Salon Mondial du tourisme

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Pour toute commande de DVD sur notre site, un pass 2 personnes offert !


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Tas dbeaux seins tu sais

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Retour dans le sud

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Pauvre petit

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En Andalousie les nuages sont tellements fainéants, que de temps en temps ils viennent s'assoir dans la montagne ,,,,,, Ce qui nous permet d'avoir un beau ciel bleeu ! Il était seul,


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Guggenheim - Bilbao

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Au fil du temps

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Chers amis et famille je n'ai aucune excuse pour avoir laissé à l'abandon mon blog.J'en prends l'entière responsabilité. Sûrement une petite feignantise de ma partqui vient envahir de temps à autre certains domaines hahahah Le temps passe a une vitesse fulgurente, je ne vous apprend rien. Depuis 3...


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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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