Voguez d’îles en îles dans les Cyclades est une expérience tout simplement magique ! Combiner les différentes îles des Cyclades lors d’un voyage est, disons, « autre chose » qu’un simple voyage en Grèce, vous découvrirez des décors resplendissants, et des ambiances et cadre très très différents à chacune de vos étapes, permettant de mêler à la fois […]

Cet article Voyage dans les Cyclades est apparu en premier sur La Gazette du Voyage, le magazine des bons plans voyages par Sensations du Monde.

Un parc d’attractions abandonné depuis 2002 est en vente sur eBay. Situé à Berlin (Allemagne), ce site est devenu une zone fantôme après que son propriétaire soit tombé pour trafic de drogue.

Construit en 1969, le « Fliegender Teppich », (« Tapis Volant » en français) est en vente pour la somme d’1,62 million d’euros. Les futurs acheteurs ne pourront utilisé le terrain qu’à des fins récréatives jusqu’en 2061.

Pendant que certains enfants profitent des vacances d’hiver, les quatre enfants du blog Percheontheroad continuent de découvrir le monde. Partie en août dernier, la famille va revenir en France au cours de l’été prochain avec plein de souvenirs en tête. Découvrez leur interview.

Quelles sont les principales difficultés de voyager en famille ?

Il y a beaucoup de plaisir à voyager en famille mais effectivement aussi quelques difficultés. La difficulté de satisfaire tout le monde : les centres d’intérêt d’un enfant et d’un adulte sont parfois très différents. L’enjeu est donc de trouver un équilibre pour que chacun y trouve son compte. Idem pour les rythmes de vie. Mais, les deux principales difficultés rencontrées dans notre voyage sont l’école et les repas. L’école, car nous nous retrouvons souvent dans des endroits pas vraiment propices à la concentration comme les chambres d’hôtels ou la salle de restaurant, avec en plus une classe multi niveaux avec nos quatre écoliers. Concernant les repas, les enfants saturent au bout d’un moment de toujours manger au restaurant et souvent les mêmes plats. Les enfants nous réclament régulièrement une simple assiette de carottes râpées avec des haricots verts et un steak haché !

Voyager avec des enfants est-ce avantageux par rapport à un tour du monde sans enfant ?

Oui, il y a plein d’avantages. Tout d’abord, cela nous permet de passer énormément de temps avec nos enfants mais concernant le voyage en lui-même, le rapport aux gens est complètement différent avec ou sans enfants. Le contact s’établit beaucoup plus facilement. C’est parfois contraignant pour les enfants. Le petit dernier passe son temps à se faire tirer la joue et se faire prendre dans les bras. Mais très souvent, les enfants sont chouchoutés et nous aussi par la même occasion !

Comment se passe la scolarité des enfants durant ce voyage ?

Les deux plus petits ne sont pas scolarisés et les deux grandes le sont à distance via le CNED (NDLR : cours par correspondance). Nous faisons donc l’école tous les matins et nous renvoyons régulièrement des évaluations par internet aux professeurs qui les suivent. Le plus dur reste de gérer les deux petits quand les deux grandes travaillent.

Pourquoi faire ce tour du monde ?

Pour profiter de nos enfants, pour passer du temps tous ensemble et découvrir d’autres paysages, d’autres façons de vivre, d’autres gens. Nous aimons répéter que nous ne sommes pas en vacances mais en voyage. Le voyage permet de prendre plus le temps de découvrir et surtout, ce qui nous tient à cœur, c’est d’avancer progressivement au rythme de la route en évitant au maximum les transports en avion. Nous avons donc décidé de partir avec notre propre véhicule. Cela permet d’avancer à notre rythme, de mieux appréhender les paysages, les frontières entre les pays et les régions. Nous aimons l’idée de faire le tour de la terre et c’était d’ailleurs l’idée de départ : un tour du monde avec une journée de gagnée à l’arrivée comme dans le roman de Jules Verne.

Comment financez-vous ce tour du monde ?

Nous avons débloqué toutes nos économies. Cela passe juste mais nous ne devrions pas avoir besoin de faire de crédit pour finir le voyage !

Combien ce long voyage devrait-il coûter ?

Nous tenons un budget journalier pour rester dans l’enveloppe allouée. Nous voyageons avec un budget moyen de 100€/jour pour nous 6. Dans certains pays, on arrive à descendre à 70€ mais en moyenne, on devrait sur l’ensemble du voyage respecter ce montant. Il inclut tout, y compris les extras : visites, fringues … Sauf les transports en avion et les cargos.

Où dormez-vous ?

Nous avons campé dans la partie européenne du voyage. Nous avions une grande tente dans le coffre et nous nous sommes déplacés de camping en camping de France jusqu’en Turquie. Depuis, nous enchaînons guesthouse et petits hôtels. Nous avons aussi loué à la semaine un appartement à Kuala Lumpur et un bungalow à Chiang Mai.

Quel pays avez-vous préféré pour le moment ?

Sans hésiter l’Iran mais aussi le Laos où nous sommes actuellement et qui nous plait énormément.

Quel pays vous a le plus déçu ?

Pas vraiment de déception dans les pays traversés. Nous sommes partis sans trop de préparations donc sans attentes particulières. En général, on commence à se renseigner sur ce qu’on va faire et où on va aller quand on est dans le pays en question : donc peu de motifs de déception. Seul notre séjour à Bali nous a laissé sur notre faim, en partie lié à la durée courte, au fait que nous n’avions pas notre véhicule et que nous venions d’Iran : nous avons complètement changé de type et de style de voyage sans s’y être préparé. Cela n’empêche pas que nous sommes contents d’y être allés et que nous aurions plaisir à y retourner.

Vous avez pris des congés sabbatiques ?

Oui. Une année sabbatique chacun. Nos postes respectifs devraient nous attendre le 1er août prochain à notre retour en France !

Aimeriez-vous vous expatrier à l’étranger ?

C’est une expérience que nous avons déjà vécu il y a une dizaine d’années. Très enrichissante même si parfois compliqué à gérer surtout avec des enfants mais c’est un défi qui ne nous déplairait pas !

Avez-vous déjà prévu votre retour en France ?

Nous sommes partis en ayant préparé notre retour au maximum pour avoir l’esprit tranquille pendant cette année de voyage. C’est notamment rassurant pour les enfants qui retrouveront au retour le même logement et la même école. Financièrement, nous avons calculé au plus juste et nous n’aurions pas pu partir en devant démissionner. Nos employeurs respectifs ayant été très compréhensifs, nous sommes partis dans des conditions optimales. Nous savons que le retour sera dur et le fait de retrouver nos repères et obligations professionnelles devraient nous aider à amortir le choc !

TORONTO – Le chef d’antenne de CBC Peter Mansbridge a dû défendre son intégrité journalistique après la publication d’une nouvelle à l’effet qu’il a prononcé un discours rémunéré devant un parterre de producteurs de pétrole.

Sur un blogue du site de la Société d’État, M. Mansbridge a précisé qu’il ne s’est pas prononcé en faveur ou contre le développement des sables bitumineux.

Le célèbre journaliste a ajouté qu’il prononce une vingtaine de discours par année, mais qu’il se garde toujours de dévoiler son opinion sur tout sujet touchant l’actualité.

Cette controverse survient après la publication d’une nouvelle dévoilant que M. Mansbridge a été payé pour prononcer une allocution devant l’Association canadienne des producteurs pétroliers en 2012.

Il s’agit de la deuxième personnalité de CBC à devoir répondre de ses actions après avoir supposément reçu de l’argent pour s’exprimer lors d’événements organisés par l’industrie pétrolière.

La Société d’État a déjà reconnu que Rex Murphy, de l’émission «Cross-Country Checkup», a prononcé des discours dans lequel il s’est exprimé en faveur des sables bitumineux.

Un porte-parole de l’ombudsman a déclaré à CBC Radio qu’aucun des deux journalistes n’aurait dû accepter de l’argent, et ce faisant, ils ont porté atteinte à la crédibilité de l’institution.

Cet article Sables bitumineux: Peter Mansbridge se défend après avoir prononcé un discours est apparu en premier sur L'actualité.

WINNIPEG – Un homme qui a décapité un passager dans un autobus voyageur au Manitoba, il y a six ans, pourra bientôt quitter un hôpital psychiatrique sans escorte.

Une décision de la Commission d’examen du code criminel rendue jeudi fait en sorte que Vince Li pourra bientôt se déplacer seul en public pour la première fois depuis qu’il a poignardé Tim McLean et mangé des parties de son corps.

Le comité a octroyé à Li toutes les nouvelles libertés que son équipe psychiatrique avait réclamées lors d’une audience tenue la semaine dernière. Le Dr Steven Kremer avait notamment fait valoir que Li, qui est schizophrène, n’a plus d’hallucinations et qu’il est un patient modèle et non violent.

Au lieu des sorties supervisées qui lui avaient déjà été consenties, Li pourra sortir seul du Centre de santé mentale de Selkirk pour se rendre dans la ville de Selkirk. Les visites, qui débuteront jeudi prochain, seront autorisées pour une période de 30 minutes. Elles s’étendront progressivement pour atteindre des journées complètes.

De plus, la supervision de Li lorsqu’il sortira dans d’autres communautés, telles que Winnipeg, Lockport et des plages avoisinantes, sera moins soutenue. Il devra toutefois se déplacer avec un groupe. Li pourra également s’installer dans une partie du centre psychiatrique qui est moins sécurisée.

Pour la mère de la victime, ces changements sont scandaleux.

«Nous ne sommes pas surpris. Nous sommes extrêmement déçus, embarrassés et honteux, a déclaré Carol DeDelley. Je ne crois pas que lorsqu’on enlève une vie, on peut avoir le droit de retrouver la liberté.»

Li, 46 ans, a été jugé non criminellement responsable pour la mort de McLean en juillet 2008.

Le ministre fédéral de la Sécurité publique Steven Blaney n’a pas caché son insatisfaction face à cette décision.

«La décision provinciale d’accorder à M. Li le droit de faire des promenades en ville sans être accompagné est une insulte envers Tim McLean, l’homme qu’il a décapité et sur lequel il s’est livré à des actes de cannibalisme», a déclaré le ministre Blaney.

«Les Canadiens s’attendent à ce que leur système de justice les garde à l’abri des individus à risque élevé», a-t-il ajouté.

Cet article L’homme qui a décapité un passager pourra sortir seul de l’hôpital psychiatrique est apparu en premier sur L'actualité.

OTTAWA – Le budget de l’agence canadienne de surveillance électronique va presque doubler cette année, alors qu’elle s’installera dans de nouveaux bureaux à Ottawa.

Des estimés déposés au Parlement jeudi montrent que le Centre de la sécurité des télécommunications Canada recevra 829 millions $ en 2014-2015, alors que son budget était d’environ 444 millions $ cette année.

Un bond qui est causé, en grande partie, par le paiement de 300 millions $ pour la livraison des nouveaux quartiers généraux de l’agence d’espionnage et par un contrat de 100 millions $ pour l’entretien du complexe qui a été construit par l’entremise d’un partenariat public-privé.

Ces nouvelles installations comprennent notamment une vaste pièce d’entreposage de données de la taille d’un terrain de football.

Un poste budgétaire légèrement au-dessus des 6 millions $ sera consacré à collecter de l’information et à protéger les systèmes informatiques du gouvernement fédéral.

Pendant ce temps, les deniers alloués à plusieurs organismes de surveillance du fédéral sont coupés. Le vérificateur général va perdre plus de 6 millions $ et le directeur général des élections, quelque 18 millions $.

Cet article Hausse importante du budget de l’agence de surveillance des télécommunications est apparu en premier sur L'actualité.

TORONTO – Le litige concernant la Subvention canadienne à l’emploi serait sur le point de se régler. Selon une source, les premiers ministres des provinces et territoires canadiens, à l’exception du Québec, seraient favorables à la dernière offre soumise par le gouvernement Harper.

Cette source, proche d’un gouvernement provincial, a mentionné que les gouvernements provinciaux et territoriaux — qui négocient d’une seule voix — se sont entendus sur les termes d’une entente au cours d’un appel conférence qui s’est tenu jeudi.

La rédaction de la réponse officielle ne serait pas encore complétée, mais la source soutient qu’il n’est pas question de rejeter la dernière offre d’Ottawa.

Pendant ce temps, Québec maintient sa position et continue de négocier seul. Le gouvernement Marois souhaite se retirer du programme fédéral de formation de la main-d’oeuvre avec une pleine compensation financière. Questionnée à ce sujet jeudi, une porte-parole du Parti québécois a lancé : «Nous voulons toujours l’argent».

La ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale Agnès Maltais a déjà indiqué que ce programme de formation de la main-d’oeuvre, annoncé dans le budget fédéral de 2013, «constitue un empiètement inacceptable dans les champs de compétences du Québec, et dédouble les mesures dont l’efficacité est reconnue et démontrée».

La semaine dernière, le ministre fédéral de l’Emploi, Jason Kenney, avait transmis ce qu’il avait qualifié d’offre finale aux provinces. Il s’était alors plié à deux exigences majeures de provinces.

Dans sa proposition écrite, le ministre Kenney avait consenti à ce que les provinces et territoires puissent utiliser toute somme fédérale — ou leur propre budget — pour financer leur part du programme conjoint fédéral-provincial-employeur et avait accepté qu’ils ne soient plus tenus de contribuer au programme à la même hauteur que le fédéral.

«En travaillant ensemble, les provinces et les territoires ont réussi avec succès à faire évoluer la position du gouvernement fédéral dans une direction positive», a dit la source.

«Soyons clairs, cette entente a été rendue possible parce que les provinces et territoires se sont unis», a ajouté la source.

Des craintes persistent toujours autour de possibles diminutions de fonds avec l’entrée en vigueur de cette entente. Mais il reviendra à chaque province et territoire de négocier avec Ottawa les dispositions précises de l’accord, a précisé la source.

Dans sa dernière offre, le ministre Kenney avait annoncé qu’il retardait le lancement du programme du 1er avril au 1er juillet à condition que les provinces et territoires acceptent l’offre soumise d’ici la fin du mois. Si aucune entente n’est conclue, le gouvernement canadien livrera seul le programme à compter du 1er avril, avait-il écrit.

Pour les provinces qui ne seront pas entendues avec Ottawa, l’argent sera versé directement à Service Canada. Les entreprises pourront alors s’en prévaloir sans aucun apport ni contrôle de Québec, a déjà prévenu le gouvernement conservateur.

Cet article Subvention canadienne à l’emploi: une entente serait sur le point d’être conclue est apparu en premier sur L'actualité.

MONTRÉAL – Un éminent avocat haïtien spécialisé en matière de droits de la personne exhorte le maire de Montréal Denis Coderre à présenter ses excuses pour avoir prétendument menti à propos de la destitution de l’ancien président Jean-Bertrand Aristide, il y a dix ans cette semaine.

Me Mario Joseph, qui a représenté M. Aristide, a fait cette demande jeudi lors d’une visite à Montréal.

M. Coderre était ministre fédéral responsable des pays francophones, dont Haïti, au moment de l’expulsion de M. Aristide du pouvoir. L’avocat prétend que M. Coderre a menti durant les jours précédant la destitution de l’ex-président, lorsqu’il a affirmé qu’Ottawa ne souhaitait pas le départ du chef élu démocratiquement.

L’avocat soutient que M. Coderre a menti à nouveau après le retrait de M. Aristide, en affirmant que le président n’avait pas été forcé de quitter contre son gré et qu’il avait démissionné de son propre chef.

Denis Coderre a répondu à ces allégations qu’il n’avait aucune raison de s’excuser et qu’il avait toujours été un ami d’Haïti. Il a ajouté qu’il croyait que Me Joseph tentait d’amener la politique interne d’Haïti au Canada.

M. Coderre prévoit un séjour de quelques jours en Haïti à la mi-mars, avec une délégation canadienne dédiée à la reconstruction de Port-au-Prince.

Mario Joseph a aussi soutenu que le Canada avait joué un rôle important dans le coup d’État des États-Unis qui a destitué Jean-Bertrand Aristide pour la seconde fois, en 2004. Il avait aussi été chassé du pouvoir en 1991.

M. Aristide demeure une figure politique très populaire en Haïti. Jeudi, quelque 2000 personnes ont marché dans les rues de Port-au-Prince pour souligner le 10e anniversaire de sa destitution.

Perçu comme un héros par les plus pauvres du pays, il a mené un mouvement pour chasser du pouvoir le dictateur Jean-Claude «Baby Doc» Duvalier.

Cet article Un avocat haïtien demande les excuses de Coderre pour avoir menti sur Aristide est apparu en premier sur L'actualité.