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La santé des jeunes se porte… plutôt bien

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Photo : Izabela Habur / Getty Images

Photo : Izabela Habur / Getty Images

L’Institut de la statistiques du Québec a déposé, lundi, un important rapport qui traite notamment de la santé des jeunes. Quand on dit «jeunes», on parle ici des 15-29 ans.

Bien d’autres points sont aussi couverts, cette section est riche d’enseignements. Il y a même des surprises, propres à nous rendre optimistes.

On leur demande avant tout comment eux-mêmes perçoivent leur santé. Et en général, ils en ont une perception positive. Même que 28 % la qualifient d’excellente.

Mais attention, en 2000 c’était plutôt 34 % (1). Petite tendance à la baisse, donc. Mais c’est déjà mieux que le 23 % de leurs aînés. Il est vrai qu’on se perçoit moins en santé quand on vieillit. Ce qui ne surprendra personne.

Côté activité physique, parmi les déterminants fondamentaux de la santé et du bien-être, on sera surpris : on observe une nette tendance à une baisse de la sédentarité depuis 2000, autant chez les jeunes de 15 à 29 ans que chez les plus vieux.

En fait, cette tendance se retrouve dans tous les groupes étudiés. Une excellente nouvelle ! Plus précisément, 66,9 % des 15-29 ans se considéraient actifs ou moyennement actifs en 2010, contre 57,5 % en 2000, alors que la sédentarité est passée de 24,1 % à 17,3 %.

Ce qui pourrait aider la question du poids, on s’en doute. Pourtant, à ce chapitre, c’est moins réjouissant, puisque 30 % des jeunes considèrent souffrir d’embonpoint, incluant 9 % d’obésité — une tendance à la hausse. Un problème qui touche surtout les hommes (37 %), alors qu’il affecte 22 % des femmes.

Il faudra éventuellement voir si nous suivons la tendance américaine, où le surpoids semble actuellement diminuer chez les plus jeunes. Les 15-29 ans se consoleront en constatant que le problème touche davantage de plus de 30 ans, où 55 % des gens seraient en surplus de poids.

Et le sexe ?

Côté sexualité, où en sommes-nous ? 75 % des jeunes affirment avoir été actifs durant les 12 derniers mois, allant de 55 % chez les 15-19 ans jusqu’à 92 % chez les 25-29 ans.

Et ça varie beaucoup selon la région d’origine : alors que 82 % des jeunes Gaspésiens (ce qui comprend les Îles-de-la-Madeleine) sont sexuellement actifs, le pourcentage tombe à 68 % à Laval. Comme quoi ça bouge en région, mais en banlieue, c’est plus tranquille.

Une statistique autrement inquiétante pour la santé publique concerne le port du condom : seuls 32 % des jeunes sexuellement actifs l’utilisent toujours, alors que 36 % ne l’ont jamais utilisé au cours des 12 derniers mois. Encore une fois, la sage Laval remporte la palme, avec 41 % d’utilisation. Mais 47 % des jeunes en Estrie ne l’utilisent jamais.

On le sait : depuis, notamment, que le VIH est perçu comme une maladie «contrôlable» — mais non guérissable, ne l’oublions pas —, les jeunes utilisent moins de condoms, ce qui a conduit a une remontée des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS), comme la syphilis et la gonorrhée. Cela est vraiment triste, d’autant plus que des formes résistantes de gonorrhée commencent à faire leur apparition. Si nous avions une seule chose à améliorer…

Le tabagisme à la baisse

Et le tabac ? Les jeunes fument de plus en plus, non ? Les résultats m’ont surpris : le taux de tabagisme, qui était de 28 % en 2000, est tombé à 18 % en 2010, certainement le résultat de toutes les campagnes d’information menées.

On imagine les répercussions majeures sur la santé publique, notamment en ce qui a trait aux maladies cardiovasculaires et aux cancers. Les hommes jeunes fument davantage (21 %) que les femmes (14 %).

Et pour ceux qui s’inquiètent des plus jeunes, on remarque la même régression majeure entre 2000 et 2010 : de 25,5 % à 13 %. Même s’il y a encore du chemin à faire, c’est tout de même une autre excellente nouvelle.

Côté santé mentale, on dirait que tout ne va pas si mal, malgré les difficultés de l’époque. Moins de 4 % des répondants jugent leur santé mentale passable ou carrément mauvaise, un pourcentage retrouvé à peu près dans tous les groupes et pour les deux sexes.

Ceci est peut-être en lien avec le constat que 94 % des jeunes de 15 à 29 ans jugent recevoir un soutien social de niveau élevé, une proportion plus élevée que pour les plus de 30 ans (86 %) et qui chute à 82 % chez les 65 ans et plus. Comme quoi plus on vieillit, plus on est seul, comme chacun sait.

Mortalité

Hélas ! nos jeunes meurent aussi parfois, davantage les hommes (66 décès pour 100 000 habitants par année) que les jeunes femmes (27 décès pour la même proportion).

Pourtant, il y a aussi une bonne nouvelle : de manière générale, ce taux de décès en bas âge est en nette diminution, puisqu’il était respectivement de 85,5 et de 32,3 pour 100 000 habitants en 2000.

Et alors que le suicide chez les jeunes hommes était la première cause de mortalité (avec 31,3 pour 100 000 habitants), ce taux a reculé à 19 en 2007-2009, passant derrière ce qui est actuellement — comme il y a plusieurs décennies — la première cause de décès, soit les accidents de véhicules à moteur. Pourtant, les décès par accident ont également régressé : de 23 à 19,8 par 100 000 habitants durant cette même période.

Encore une fois, c’est bon signe : la prévention fonctionne, autant pour les suicides que pour les accidents d’auto et le tabac.

En clair, un assez bon bilan de santé, qui montre des gains réalisés pour beaucoup d’indicateurs en santé. Reste qu’il faudra travailler davantage sur la question de l’excès de poids, des accidents d’automobile et du tabagisme. Les défis de la prochaine décennie !

* * *

(1) Les analyses statistiques comparatives ne sont pas encore complétées. On ne peut donc parler que de «tendances». Notons que les données plus récentes remontent parfois à 2 ou 3 ans.

*

***

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La Romaine Ouellet rectifie le tir après avoir laissé planer un doute

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QUÉBEC – La ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, a dû rectifier le tir, mercredi, après avoir laissé planer un doute sur le parachèvement d’un projet de centrales hydroélectriques sur une rivière de la Côte-Nord.

Mme Ouellet a tenu à clarifier ses propos en engageant le gouvernement péquiste à maintenir le chantier de 6,5 milliards $, qui prévoit la construction de quatre centrales sur la rivière Romaine d’ici 2020. Selon la ministre, le projet est trop avancé pour pouvoir être remis en question.

«Ça fait déjà plusieurs années que c’est commencé, il y a beaucoup d’argent qui a déjà été investi, a-t-elle dit lors d’une entrevue qu’elle a sollicitée. Il y a des phases qui sont déjà presque terminées, et ces phases s’imbriquent les unes dans les autres et même pour la phase quatre l’infrastructure de base est déjà en place.»

Ces précisions surviennent quelques jours après la publication d’un rapport, commandé par le gouvernement, qui recommande de suspendre les investissements dans les phases 3 et 4 du projet de La Romaine, lancé par les libéraux.

Lors d’un point de presse, mercredi, Mme Ouellet avait d’abord affirmé que le projet n’était «pour l’instant» pas remis en question. Interrogée à trois reprises sur la nécessité de parachever la construction des quatre centrales sur la Romaine, Mme Ouellet avait laissé planer un doute en reportant sa réponse définitive au printemps.

«On n’en est pas là, avait-elle dit. Il y aura une future politique énergétique, laissez-moi de l’espace pour la future politique énergétique. J’aurai l’occasion de présenter au printemps la future politique énergétique.»

Par la suite, Mme Ouellet a voulu dissiper tout doute qu’elle aurait pu susciter concernant le parachèvement du projet d’ici 2020.

«Oui, on est toujours sur cet échéancier, on est toujours avec ces phases puisque le projet est déjà commencé», a-t-elle dit.

Dans son rapport rendu public lundi par Mme Ouellet, la Commission sur les enjeux énergétiques constate que les surplus d’électricité accumulés par Hydro-Québec nécessitent la mise en veilleuse de projets.

Les deux commissaires, Roger Lanoue et Normand Mousseau, estiment que les investissements dans les phases 3 et 4 de La Romaine, et dans certains projets éoliens, devraient être suspendus.

Plus tôt cette semaine, la première ministre Pauline Marois avait affirmé que tout projet «engagé et autorisé» allait suivre le cours prévu.

Concernant l’énergie éolienne, Mme Ouellet a répété mercredi l’engagement de son gouvernement à soutenir ce secteur d’activité.

«Cette position qu’on a prise au printemps passé, très clairement, on la maintient», a-t-elle dit à la presse parlementaire.

Mme Ouellet avait cependant été moins catégorique à propos du parachèvement du projet d’Hydro-Québec sur la Côte-Nord.

«Vous aurez des réponses dans la future politique énergétique, avait-elle dit. Mais en ce moment, on n’est pas là, à remettre en question ces projets-là.»

Dans leur rapport, les commissaires Lanoue et Mousseau observent qu’en 2013, la demande pour l’électricité est moins forte au Québec qu’en 2007 alors que la capacité de production est plus élevée, ce qui engendre des surplus dont les coûts sont épongés par les consommateurs et les contribuables.

Selon le rapport, à partir de 2017, les pertes liées à ces surplus s’élèveront à 1,2 milliard $ par année, ce qui nécessite dès maintenant un coup de barre pour éviter qu’elles augmentent à 2 milliards $ en 2025.

Le document, qui doit inspirer la prochaine politique énergétique du gouvernement, recommande de suspendre des investissements «dans le complexe de La Romaine-3 et de La Romaine-4, et d’arrêter ou de suspendre les contrats d’approvisionnement en éolien, en cogénération et en petite hydraulique pour les infrastructures qui ne sont pas encore construites».

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Les libéraux prédisent une crise prochaine dans le réseau de la santé

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QUÉBEC – Les libéraux prédisent l’éclosion prochaine d’une crise dans le réseau de la santé.

Ce faisant, à l’approche du déclenchement des prochaines élections générales, les libéraux de Philippe Couillard appliquent la même stratégie qu’en 2003 avec Jean Charest: annoncer une crise du système de santé due aux compressions budgétaires du gouvernement péquiste, ce qui entraînera des mises à pied et l’allongement des listes d’attente.

En dénonçant les trop maigres sommes réservées à la santé dans le dernier budget Marceau, le critique libéral et ex-ministre de la Santé, Yves Bolduc, est allé mercredi jusqu’à employer le même slogan qu’affectionnait Jean Charest en 2003, et qu’il a répété sur toutes les tribunes pendant des mois: «Ça prend 10 minutes pour mettre un docteur à la retraite, ça prend 10 ans pour les former».

La formule avait fonctionné en 2003 et les libéraux avaient pris le pouvoir.

À l’époque, M. Charest dénonçait l’impact des mises à la retraite massives dans le réseau de la santé décrétées par le gouvernement Bouchard, en 1997-1998, dans le but d’atteindre le déficit zéro.

M. Bolduc a repris le même argumentaire, mercredi, en s’appuyant cette fois sur le dernier budget Marceau, même s’il a bien peu de chances d’être adopté dans le contexte préélectoral actuel.

Il a soutenu que le gouvernement avait tort de limiter à 3 pour cent l’augmentation prévue des sommes allouées à la santé au cours des prochaines années, en rappelant que le budget de ce ministère augmentait en général d’environ 5 pour cent par année, sans ajout d’aucun nouveau service.

Une croissance moindre se traduira donc nécessairement, selon lui, par des coupes qui feront mal aux patients, alors que les listes d’attente en chirurgie s’allongeront et qu’on devra diminuer le personnel soignant. Il évalue à 600 millions $ le manque à gagner l’an prochain, 1,2 milliard $ dans deux ans et 1,8 milliard $ dans trois ans.

M. Bolduc juge qu’on assiste à une répétition de la situation prévalant en 1997-1998: «C’est le même scénario qu’on est en train de rejouer», un scénario qui conduit tout droit à «une crise dans le réseau de la santé».

Le gouvernement a dit la semaine dernière qu’il chercherait à compenser le manque à gagner prévu en étalant sur une plus longue période les augmentations de salaires consenties aux médecins. Québec prévoit entreprendre des négociations avec eux.

Le ministre actuel de la Santé, Réjean Hébert, a réagi aux propos de M. Bolduc en disant qu’il n’avait aucune leçon à recevoir de lui.

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Blog de Madigara - LE MOT DE MARIANNE

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Femme disparue à Halifax les policiers croient à un homicide

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HALIFAX – La police de Halifax a indiqué mercredi que le corps de l’étudiante Loretta Saunders a été retrouvé et que son décès est désormais considéré comme un homicide.

Le corps de la femme de 26 ans a été retrouvé vers 16 h 30, mercredi, sur le terre-plein central de l’autoroute Transcanadienne à l’ouest de Salisbury, au Nouveau-Brunswick.

Des suspects ont été identifiés dans le cadre de l’enquête pour homicide, et des chefs d’accusation devraient être portés dans cette affaire, selon le service de police de Halifax.

L’étudiante âgée de 26 ans, qui fréquentait l’université Saint-Mary’s, a été vue pour la dernière fois la matin du 13 février dans le secteur de Cowie Hill Road, à Halifax. Sa voiture a été retrouvée la semaine dernière près de Windsor, en Ontario.

La Police provinciale de l’Ontario a arrêté Blake Leggette, âgé de 25 ans, et Victoria Henneberry, âgée de 28 ans, qui ont été emmenés à Halifax pour faire face à des accusations de vol de voiture, pour l’instant.

Leggette devait comparaître vendredi pour obtenir sa libération sous conditions, alors que Henneberry doit se présenter devant le tribunal à Halifax ce jeudi.

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Français à l’UdeM le nouveau bureau de valorisation pas créé en réaction

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MONTRÉAL – L’Université de Montréal (UdeM) se défend d’avoir créé son bureau de valorisation du français pour répliquer à la lettre ouverte dans laquelle un étudiant dénonçait ce qu’il qualifiait de «complaisance excessive» de l’institution face à la langue de Shakespeare.

La responsable de cette nouvelle entité, Monique Cormier, a soutenu que le projet était dans les cartons depuis l’été dernier et qu’il s’agissait d’un dossier important aux yeux du recteur Guy Breton, dont le mandat à la barre de l’établissement a été renouvelé lundi soir.

«C’est un dossier qui a été réfléchi, mais ce que ça montre, c’est qu’il y a une préoccupation à l’heure actuelle, je pense, dans les universités, sur les questions de langue», a fait valoir Mme Cormier, qui continuera à assumer en parallèle ses fonctions de directrice du département de linguistique et de traduction de l’UdeM.

Elle a reconnu qu’elle avait été «surprise» en prenant connaissance des informations contenues dans la missive signée par Vincent Blais-Fortin, qui a été publiée à la fin janvier dans le quotidien Le Devoir.

L’étudiant en droit, qui est vice-président de l’Association des jeunes péquistes de l’UdeM, y dénonçait l’attitude de certains professeurs qui contrevenaient à la politique linguistique de l’établissement en laissant à leurs étudiants le choix de rédiger leurs travaux en français ou en anglais.

«Ce n’est pas ma connaissance de ce qui se passe à l’Université de Montréal», a réagi Mme Cormier en entrevue téléphonique.

«Donc qu’il y ait quelques cas ponctuels, ça peut certainement arriver, mais ce n’est pas ce que je vis au quotidien avec les professeurs. Ça peut arriver, mais je ne pense pas que ce soit représentatif de l’université, pas du tout», a-t-elle poursuivi.

Monique Cormier a refusé de commenter les situations spécifiques évoquées par le jeune homme, mais elle a reconnu qu’une telle attitude contrevenait à l’esprit de la politique linguistique de l’UdeM.

Celle-ci présente le français comme la langue prédominante au sein de l’institution, mais prévoit qu’en vue de faciliter la transition vers l’utilisation du français par les étudiants dont la langue d’usage n’est pas le français, «des conditions particulières peuvent s’appliquer» en ce qui a trait à la rédaction des examens, travaux, mémoires et thèses.

Vincent Blais-Fortin estime que cette politique est satisfaisante dans la mesure où la caractère transitoire de ces accommodements est respecté.

«En première année (de baccalauréat), c’est normal qu’il y ait une transition qui s’applique, a-t-il fait valoir à l’autre bout du fil. Lorsqu’en troisième année, les étudiants peuvent continuer à écrire en anglais, là, je pense qu’on quitte l’idée de la transition.»

Sans vouloir parler de «dérive» vers l’anglais, il reproche aux professeurs de l’UdeM d’accorder trop facilement «le libre choix linguistique» à leurs étudiants pour la rédaction des travaux ou pour répondre aux questions d’examen ou encore d’accommoder des étudiants sans vérifier au préalable si un tel traitement est justifié.

Le bureau de valorisation du français, qui prendra forme au cours des prochains mois, ne sera pas un bureau de traitement des plaintes, a d’ores et déjà précisé celle qui le chapeaute.

Il s’agira davantage d’un «creuset unificateur» où toutes les actions et les expertises en matière de la langue française convergeront, a exposé Mme Cormier.

De son côté, Vincent Blais-Fortin espère deux choses: que l’annonce de la création de ce bureau ne constitue pas «un coup de marketing et de communication» et que les étudiants et les salariés de l’université seront invités à participer à l’avancement des travaux.

«Il faut non pas imposer, mais inciter et aider les professeurs à valoriser le français», a-t-il suggéré.

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Blog de Madigara - LE MOT DE RAPHAEL

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Les femmes ont-elles peur du risque

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Photo: Elena Eliachevitch/Flickr

Photo: Elena Eliachevitch/Flickr

C’est le temps des REER. Si vous êtes comme moi, à la dernière minute, et n’avez pas encore cotisé, sachez qu’il ne vous reste que quelques jours pour pouvoir profiter d’un crédit d’impôt pour 2013…

Voilà pour le message d’intérêt général.

Cette période est aussi l’occasion de refaire le point sur vos placements et sur votre profil d’investisseur. Êtes-vous dynamique, audacieux, prudent, modéré ? Vous savez, ces petits profils que les banques dressent pour évaluer notre tolérance au risque et mieux cibler les types de placement qui nous conviennent ?

Pour ma part, constatant le peu de rendement que me procure ce profil de prudente que je traîne depuis des années, j’ai décidé de faire le saut : désormais je serai audacieuse, du moins pour une partie de mes placements.

Selon un récent sondage réalisé par Desjardins Gestion de patrimoine, je fais ainsi partie d’un très faible pourcentage (7 %) d’épargnantes au Québec à avoir un profil d’investisseur dynamique ou audacieux. La majorité des femmes (61 %) auraient plutôt tendance à adopter un profil prudent ou modéré, contre 46 % des hommes. Ces derniers sont plus nombreux (19 %) à se qualifier dans la catégorie des dynamiques ou audacieux.

Selon Desjardins, cet excès de prudence des femmes pourrait empêcher celles-ci de profiter de leur retraite convenablement. Pire, compte tenu de leur espérance de vie supérieure aux hommes, elles pourraient épuiser toutes leurs économies avant la fin de leur vie !

Ce sondage vient corroborer celui que publie chaque année TD Waterhouse sur les femmes et le placement. En 2012, une Québécoise sur deux disait avoir une faible tolérance au risque.

Par ailleurs, les femmes seraient en même temps moins émotives quand elles investissent. Dans une proportion de 66 %, elles sont moins enclines à changer leur stratégie quand les marchés sont plus volatiles.

Mais n’est-ce pas là plutôt un manque d’intérêt des femmes par rapport à leurs finances personnelles ? Le même sondage de TD révèle que seulement 30 % des femmes s’occupent de la gestion des placements dans le couple.

Chose certaine, les femmes ne recueillent en ce moment qu’une fraction des bénéfices de leurs placements. Elles auraient avantage à s’y intéresser plus et à risquer un peu plus…

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Charte qui est pour et qui est contre

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C’est peu dire que le projet de loi 60 sur la Charte des valeurs québécoises déchaîne les passions. Toutes les semaines, de nouveaux organismes et personnalités prennent position et rejoignent les camps des «pro» ou des «anti». Voici donc un tableau non exhaustif pour y voir un peu plus clair.

Avant que la Charte ne devienne un vote de confiance envers le PQ, la majorité des Québécois semblaient donner leur appui à ce projet de loi. La colonne des opposants à la Charte, ci-dessous, a pourtant de quoi faire pâlir celle de ceux qui l’approuvent. Pourquoi ? Dans le cas de débats épidermiques comme celui sur la laïcité, les réactions d’opposition ont tendance à se multiplier plus rapidement que celles d’approbation. D’autres vous diront que la Charte oppose les élites intellectuelles à la majorité silencieuse. Dans tous les cas, la question devrait être tranchée dans les urnes.

Cliquez sur les organismes pour en apprendre davantage sur leur position. Dans certains cas, un mouvement dissident a pu prendre ses distances avec la position officielle d’un organisme.

charte-pourcharte-contre

Syndicat de la fonction publique du Québec

Centrale des syndicats du Québec

Conseil du statut de la femme

Fédération québécoise des municipalités

Commission scolaire de Montréal (malgré des réserves)

Mouvement laïque québécois

Association québécoise du personnel de direction des écoles

Juristes pour la laïcité et la neutralité religieuse de l’État

Génération nationale

Les Janette

Rassemblement pour la laïcité

Association pour une solidarité syndicale étudiante

Commission scolaire English-Montréal

Barreau du Québec

Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec

Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse

Fédération des médecins omnipraticiens du Québec

Fédération autonome de l’enseignement

Ligue des droits et libertés

Conseil du patronat

Indépendantistes pour une laïcité inclusive

Université Concordia

Fédération des femmes du Québec

Québec inclusif

Confédération des syndicats nationaux

Université de Sherbrooke

Université de Montréal

Université du Québec à Montréal

Université McGill

Association des garderies privées du Québec

Regroupement des CPE de l’île de Montréal

Coalition pour le Pluralisme et l’Inclusion de tous les Citoyens du Québec

Association des musulmans et des Arabes pour la laïcité au Québec

Congrès maghrébin

Québécois musulmans pour les droits et libertés

Association des parents catholiques du Québec

Assemblée des évêques catholiques du Québec

Fédération des chambres de commerce du Québec

Mairie de Montréal

Les 15 villes défusionnées de Montréal

Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux

Amnistie international

Idle No More

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Le Vatican plus grand consommateur de vin au monde

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Photo: Julie Jacobson/AFP/Getty Images

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Le Vatican s’enivre. Selon les plus récentes données, récoltées en 2012 par le Wine Institute, c’est au Saint-Siège que la consommation de vin par habitant est la plus importante au monde. Ses résidants boivent en moyenne 74 litres de vin par année, soit l’équivalent de 105 bouteilles.

C’est plus du double de la quantité de pinard bu à l’échelle de la France ou de l’Italie. Et près de cinq fois la consommation de vin au Canada, qui s’établit annuellement à près de 15 litres par tête de pipe. À noter, toutefois, que cette moyenne s’élève à 23 litres au Québec.

Comment expliquer que le vin coule autant à flot dans le plus petit État au monde ? La réponse n’aurait rien à voir avec le vin de messe, qui n’est généralement pas acheté dans le commerce, car il doit être fabriqué à partir de raisin pur.

La minuscule taille de la population ne serait pas étrangère à des données aussi gonflées. Comme l’observe The Independent, les statistiques «par habitant» biaisent sans doute les chiffres dans un pays comptant à peine 800 âmes, mais accueillant une pléthore de touristes chaque année. De quoi décanter.

Le même phénomène s’observe d’ailleurs dans d’autres petits pays; le Luxembourg possède une moyenne annuelle de 56 litres de vin par habitant et l’Andorre, 46 litres.

Autre facteur qui pourrait fausser les données : la petite population du Vatican, où il y a peu d’enfants, est très masculine, avec une moyenne d’âge assez élevée.

Le supermarché du Vatican, où les taxes sont très basses, est une autre piste de réponse, selon The Guardian: «Ceux qui sont en possession d’une passe Vatican benéficient de droits similaires à ceux qui ont passé la sécurité dans un aéroport. Le Saint-Siège serait-il un duty-free géant?», se demande le quotidien britannique.

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Les représentants du NPD et du PLC ont été écartés de la visite en Ukraine

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OTTAWA – Les néo-démocrates et les libéraux n’ont pas été invités à se joindre à la délégation qui accompagnera ce vendredi en Ukraine le ministre des Affaires étrangères, John Baird.

Quatre représentants de la communauté ukrainienne au Canada, deux députés conservateurs et un sénateur conservateur seront du voyage.

Aucun membre de l’opposition n’a cependant été invité à faire partie de la délégation de sept personnes figurant sur la liste publiée mercredi par le gouvernement.

Néo-démocrates et libéraux avaient demandé au gouvernement de faire le voyage, mais ils ont essuyé un refus.

Un débat non contraignant sur la crise politique qui secoue l’Ukraine est prévue mercredi soir au Parlement.

Le gouvernement, qui a déjà dépêché des observateurs en Ukraine dans le passé, devrait profiter de ce débat pour témoigner de son appui à la mise en place d’un régime démocratique dans ce pays.

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Arrestation d’un homme recherché depuis 2012 dans le cadre du projet Loquace

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TROIS-RIVIÈRES, Qc – Luc Brisebois, recherché depuis novembre 2012 par la Sûreté du Québec, a été arrêté par l’Escouade régionale mixte de la Mauricie dans la nuit de mardi à mercredi à Lac-Beauport, dans la région de Québec.

La trace de Brisebois était suivie depuis novembre 2012 à la suite de l’opération Loquace. Ce projet d’enquête avait mené à l’arrestation de plus d’une centaine d’individus impliqués dans un vaste réseau de trafic de stupéfiants.

L’homme de 44 ans a comparu au palais de justice de Trois-Rivières, mercredi, sous des accusations de trafic de stupéfiants et de complot.

La police a également effectué une perquisition dans sa résidence de Lac-Beauport où des stupéfiants ont été saisis. Ces nouveaux éléments pourraient mener au dépôt d’autres accusations.

Le réseau dont faisait partie Luc Brisebois était relié à différentes cellules du crime organisé, dont celle des Hells Angels.

Les autres personnes arrêtées dans le cadre du projet Loquace ont été accusées d’importation de stupéfiants, complot, gangstérisme, trafic de stupéfiants, complot pour en faire le trafic et trafic d’armes.

Dans le même dossier, les policiers recherchent toujours Jessy Kean, âgé de 38 ans et originaire de Trois-Rivières.

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Le nombre d’infirmières en exercice croît mais la pénurie demeure

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MONTRÉAL – Le nombre d’infirmières en exercice au Québec augmente de manière constante mais la pénurie demeure bien réelle.

Les données rendues publiques mercredi par l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) démontrent que le nombre d’infirmières a augmenté de 8,3 pour cent au cours des dix dernières années, passant de près de 62 800 à près de 68 000.

Cependant, le nombre de celles qui exercent dans le réseau public de la santé et des services sociaux s’est maintenu autour de 55 000 durant la même période, avec une légère augmentation, soit 56 000, durant les deux dernières années, alors que l’utilisation des services de santé était en hausse constante.

Conséquemment, le nombre d’heures supplémentaires effectuées par les infirmières, le baromètre de la pénurie en quelque sorte, a augmenté, passant de 3,9 pour cent du total des heures travaillées à 5,5 pour cent. Selon l’OIIQ, il faudrait entre 3000 et 4000 infirmières additionnelles pour combler la pénurie dans le réseau public.

L’Ordre se garde bien de blâmer qui que ce soit pour cette pénurie, mais certaines statistiques donnent des pistes d’explication.

Ainsi, on note que seulement la moitié des infirmières du réseau public occupent un emploi à temps plein, comparativement à 70 pour cent en Ontario, par exemple. Cette situation s’explique en partie par le refus de certains établissements d’augmenter le nombre de postes d’infirmières à temps plein et aussi par l’incapacité d’autres établissements, particulièrement en région, à combler des postes à temps plein affichés.

Par ailleurs, une proportion grandissante d’infirmières exercent ailleurs que dans le réseau public, soit dans le secteur privé ou en industrie. Cette proportion augmente à mesure que les infirmières prennent de l’expérience, une réalité qui se manifeste par le fait que plus de 95 pour cent des nouvelles diplômées sont recrutées par le réseau public alors que seulement 82 pour cent de celles qui sont entrées dans la profession il y a dix ans s’y trouvent encore.

En d’autres termes, il semble que la précarité pousse de nombreuses infirmières à délaisser le secteur public après un certain temps.

Les données de l’Ordre sont aussi porteuses d’espoir: les programmes d’études infirmières sont en effet bondés et refusent des candidates, de sorte que l’on prévoit un ajout de près de 3500 infirmières annuellement. Il s’agit d’une bonne nouvelle puisque ce nombre est de beaucoup supérieur aux départs prévus à la retraite, qui se chiffrent entre 2200 et 2400 par année.

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Malgré l’ouverture de militants péquistes PKP répète qu’il ne sera pas candidat

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QUÉBEC – Bien que des militants du Parti québécois de Saint-Jérôme aient déjà déroulé le tapis rouge pour sa candidature, l’homme d’affaires Pierre Karl Péladeau a continué à nier, mercredi, toute intention de faire un saut en politique à la prochaine élection.

Alors qu’il était de passage à Lévis pour prononcer un discours devant des gens d’affaires, M. Péladeau a répété qu’il ne se lancerait pas en politique à la prochaine campagne électorale, dont le déclenchement est imminent.

«Je ne me présenterai pas aux élections, a-t-il dit lors d’un point de presse qui a suivi son allocution. Je vous dis que je ne me présenterai pas et je ne pourrai pas faire de commentaires ad vitam aeternam.»

Le président de l’association de circonscription péquiste de Saint-Jérôme, Jean-René Roy, a déclaré cette semaine que les membres de son exécutif sont disposés à accueillir chaleureusement M. Péladeau.

Le départ de l’actuel député de la Coalition avenir Québec (CAQ) Jacques Duchesneau, confirmé la semaine dernière, a relancé les rumeurs d’une éventuelle candidature de M. Péladeau, dont les liens avec le PQ se sont resserrés depuis sa nomination à la tête du conseil d’administration d’Hydro-Québec.

Aucun candidat péquiste n’a encore été désigné par les militants de Saint-Jérôme, mais M. Roy a affirmé mardi qu’à la lumière des rumeurs circulant au sujet de M. Péladeau, il a déjà avisé les représentants nationaux du PQ qu’il serait le bienvenu dans la circonscription.

«On est dans le processus de négociation, on est ouverts à ça mais on ne m’a pas confirmé et on ne m’a pas dit: ça va être lui ou ce ne sera pas lui, a-t-il dit. Je n’ai pas eu de nom qui m’a été soumis officiellement, on est encore dans le processus d’attente à ce niveau.»

Selon le président péquiste de Saint-Jérôme, M. Péladeau, actionnaire de contrôle du conglomérat Québecor, est un homme d’affaires nationaliste respecté et compétent.

«On serait excités à l’idée de M. Péladeau, a-t-il dit. M. Péladeau est très respecté, très aimé au Parti québécois, et surtout sur notre exécutif. Mais jusqu’à présent on n’a aucune information qui nous permet de croire que ça va être lui.»

Mardi, M. Roy constatait déjà que M. Péladeau ne manifestait officiellement aucun intérêt, ce qui ne l’a pas empêché de lui dérouler le tapis rouge.

«Je pense que le PQ recevrait en général très bien M. Péladeau, mais pour le reste c’est la décision qui lui revient», a-t-il dit.

Aucun représentant des instances nationales du PQ n’a été en mesure de commenter la situation, mercredi.

Durant la dernière campagne électorale, la CAQ avait provoqué une onde de choc en annonçant la candidature de M. Duchesneau, reconnu pour ses révélations sur les problèmes de corruption, dans Saint-Jérôme, deux jours après le départ des caravanes des chefs de partis.

Confirmant que son exécutif de circonscription est ouvert aux propositions de candidatures qui viendraient des instances nationales du PQ, M. Roy n’a pas écarté la possibilité de créer pareil effet de surprise avec une personnalité d’envergure.

«Comme on sait que c’est un comté où il y aura, je pense, un très grand enthousiasme au niveau de la candidature, je ne crois pas qu’il serait nécessaire de l’annoncer immédiatement, a-t-il dit. Je pense qu’il va plus y avoir un effet de surprise dans le comté avec le lancement de la campagne.»

Le nom de l’ancienne présidente de la Fédération étudiante universitaire du Québec, Martine Desjardins, a aussi circulé à Saint-Jérôme, mais les membres de l’exécutif péquiste local ne se sont pas encore prononcés, a indiqué M. Roy.

«Je pense que la possibilité de M. Péladeau avait été évoquée plus que celle de Mme Desjardins, a-t-il dit. Celle-là, ce serait aussi à discuter avec l’exécutif.»

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Gaspillage d’argentles publicités de la Subvention pour l’emploi sont «primées

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OTTAWA – Le gouvernement fédéral a eu droit à un prix peu convoité pour avoir dépensé des millions de dollars afin de faire la promotion d’une subvention à l’emploi qui n’existe pas encore.

Emploi et Développement social Canada a été nommé mercredi récipiendaire du 16e prix Teddy, qui «récompense» le gaspillage d’argent public.

En mai dernier, Ottawa a financé des publicités vantant les mérites de la «Subvention canadienne pour l’emploi de 15 000 $ ou plus», une mesure contenue dans le budget de 2013 qui n’est pas encore en place et qui est, de plus, contestée par les provinces. Ces publicités ont coûté 2,5 millions $ aux contribuables canadiens.

Le trophée, en forme de cochon, est remis à chaque année par la Fédération canadienne des contribuables à des individus ou des agences gouvernementales ayant gaspillé les fonds publics de manière excessive.

L’ancien président et chef de la direction des Jeux panaméricains de Toronto, Ian Troop, a remporté le prix à l’échelle provinciale pour avoir empoché un salaire de plus de 550 000 $ alors que son mandat était de superviser l’organisation d’un événement qui a déjà dépassé de 1,1 milliard $ le budget prévu.

Toronto sera l’hôte de ce rendez-vous sportif en 2016. Les dépenses réclamées par M. Troop vont d’une facture de stationnement de 91 cents à une note de 8500 $ pour une somptueuse fête au Mexique.

À l’échelle municipale, le prix a été décerné à TransLink, de Vancouver, pour la construction d’un stationnement d’une valeur de 4,5 millions $ qui ne sert pratiquement à personne.

Pour sa part, le Sénat du Canada a eu droit à un prix hommage «pour l’ensemble de son oeuvre».

«Avec un ancien sénateur qui purge le reste de sa peine pour fraude, un autre ex-sénateur et un sénateur suspendu qui font face à des accusations criminelles, deux sénateurs suspendus qui font l’objet d’une enquête policière et des dizaines qui se traînent les pieds dans l’enquête sur les dépenses menée par le vérificateur général, les militants de la Fédération canadienne des contribuables aux quatre coins du pays n’ont pas eu à se creuser les méninges longtemps…», a expliqué le directeur national de la fédération, Gregory Thomas.

Parmi les finalistes des prix Teddy figurent le ministère de la Défense, qui a dépensé 14 000 $ afin de mener un sondage pour savoir comment les Canadiens perçoivent les pouvoirs des superhéros, et Hydro-Québec, «pour avoir payé à ne rien faire environ 1,92 million $» à des grutiers syndiqués pendant que des travailleurs de l’Allemagne faisaient avancer un chantier hydroélectrique.

En fait, il a été démontré depuis que ces travailleurs n’ont jamais été payés à rien faire, mais qu’ils étaient plutôt en surnombre: il est vrai qu’ils pouvaient être deux à se partager les tâches d’un seul, et qu’ils ne travaillaient pas chacun à 100 pour cent. Et dans un document déposé devant la commission Charbonneau, l’entreprise allemande Bauer évalue plutôt à 789 500 $ le coût de ces «grutiers payés en double».

Les prix Teddy ont été nommés en l’honneur de Ted Weatherill, un ancien haut fonctionnaire du gouvernement fédéral congédié en 1999 après avoir réclamé des dépenses exagérées — notamment un dîner pour deux à 700 $.

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Doyen de l’Assemblée nationale François Gendron veut obtenir un 11e mandat

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QUÉBEC – Le doyen de l’Assemblée nationale, François Gendron, qui aura 70 ans en novembre, juge que l’heure n’est pas encore venue d’accrocher ses patins.

Il sera donc candidat du Parti québécois dans Abitibi-Ouest pour la 11e fois, lors des prochaines élections générales, attendues ce printemps.

Quand M. Gendron a été élu député pour la première fois, en novembre 1976, certains membres du conseil des ministres actuel n’étaient même pas encore nés.

Il a été réélu sans interruption depuis, avec de fortes majorités.

S’il est réélu pour une 11e fois de suite, il battra le record établi par le libéral Gérard D. Lévesque. Et il s’engage à compléter un autre mandat de quatre ans.

Le vice-premier ministre et ministre de l’Agriculture a confirmé ses intentions mercredi, en point de presse, en marge de ce qui pourrait bien être une des dernières séances hebdomadaires du conseil des ministres du présent gouvernement.

Il a dit être en pleine forme, après avoir dû passer la semaine dernière toute une batterie de tests médicaux, à la suite d’un malaise au thorax éprouvé en pleine séance du conseil des ministres, le 29 janvier. Il avait quitté le parlement en ambulance.

Durant les jours suivants, il s’était montré ébranlé, indiquant qu’il avait amorcé une période de réflexion sur son avenir politique.

«Le bonhomme a du millage, mais il est en forme», a-t-il dit, dans son langage coloré. La semaine dernière, ses médecins l’ont rassuré en lui lançant: «Ça se peut pas qu’un vieux singe comme toi soit en forme comme ça».

À propos de son exceptionnelle longévité politique, il a dit qu’il n’était pas en politique pour battre des records. «J’ai encore la passion. J’ai encore le goût de servir», a dit M. Gendron.

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Les maires du Québec ne veulent rien savoir de Rob Ford ni être associés à lui

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OTTAWA – Le maire de Montréal, Denis Coderre, et le maire de Québec, Régis Labeaume, n’ont pas été tendres envers leur homologue de Toronto, Rob Ford: ils ne veulent rien savoir de lui, ni y être associés.

Pour Denis Coderre, la rencontre des maires des 22 plus grandes villes canadiennes, mercredi, devait être une réunion de travail pour s’occuper des dossiers d’infrastructure et du logement social.

«C’est un caucus, pas un cirque», a-t-il souligné.

La veille, le maire de Montréal avait dit craindre que la présence de Rob Ford à la réunion ne soit une distraction. Celui-ci a défrayé les manchettes partout dans le monde en raison de ses nombreux déboires avec l’alcool, la drogue, ses photos avec des membres de gangs de rue, sans parler de ses contradictions et de ses excuses à répétition.

Les chefs des grandes villes se sont réunis mercredi à l’hôtel de ville d’Ottawa.

Le maire de Toronto, dont c’était la première présence à cette réunion, a le droit d’être présent, a toutefois souligné M. Coderre. Mais il a aussitôt ajouté qu’il n’a pas de temps à perdre avec lui.

«On lui parle pas, on veut rien savoir de lui», a-t-il dit, irrité, précisant qu’il était là pour faire avancer des dossiers.

Régis Labeaume, pour bien montrer qu’il prenait ses distances par rapport au maire torontois, a précisé qu’il n’a même eu de contact visuel avec lui.

«Je ne veux pas être associé ni de près ni de loin à cet homme», a répété le maire.

«Comment je pourrais expliquer à mes gens de Québec et à mes enfants que je travaille, collabore avec un homme qui, pendant son mandat, fumait du crack», a ajouté le maire, précisant que Rob Ford n’était pas un «homme vertueux».

Il a toutefois dit de lui qu’il a été «correct» et «a fait son travail».

Quant au maire de Laval, Marc Demers, il a également dit ne pas vouloir être associé à M. Ford, soulignant que «Laval a assez souffert de certains comportements de certains maires».

Le principal intéressé ne croit pas avoir entravé le déroulement de la journée de travail.

«Je m’entends bien avec tous les maires. Je ne crois pas que j’étais une distraction», a déclaré Rob Ford, qui dit avoir pris position notamment sur le budget fédéral et le plan d’infrastructure.

«On est pas tous d’accord, mais je ne suis pas ici pour ridiculiser le gouvernement conservateur. Je crois qu’ils ont bien traité Toronto. Personne ne peut se plaindre de cela», a-t-il dit.

Les journalistes ont fait le pied de grue devant la salle de réunion des maires, en grande partie pour attraper le maire Ford, qui a répondu à leurs questions avant et après la réunion.

Les autres maires présents ont été plus indulgents. La populaire mairesse de la ville de Mississauga, adjacente à Toronto, Hazel McCallion, a indiqué que Rob Ford faisait son travail et n’a formulé aucune critique à son égard.

Quant au maire de Calgary, Naheed Nenshi, il a dit que la présence du maire torontois a été utile pour plusieurs dossiers et il a ajouté qu’il faisait confiance aux médias.

«La bonne nouvelle est que les médias réfléchis vont comprendre les enjeux importants et ne seront pas distraits par d’autres attractions. Et j’ai un espoir infini envers les médias», a-t-il dit.

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Rappel de luzerne Aquafuchsia qui pourrait être contaminée par Salmonella

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OTTAWA – Les Aliments Aquafuchsia inc., de Rigaud, procède au rappel de luzerne de marque Aquafuchsia, qui pourrait être contaminée par la bactérie Salmonella.

Le produit suivant, vendu au Québec, ne doit pas être consommé: Aquafuchsia Salade Plus – Luzerne avec un soupçon de radis, 125g, code 041, CUP 0 551176 1. Aucun cas de maladie associé à la consommation de ce produit n’a été signalé.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) recommande aux consommateurs de vérifier s’ils ont le produit visé par le rappel à la maison, et si c’est le cas, de le jeter ou le rapporter au magasin où il a été acheté.

Les aliments contaminés par la bactérie Salmonella ne présentent pas nécessairement d’altération visible ni d’odeur suspecte, mais peuvent quand même rendre malade. Les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes dont le système immunitaire est affaibli peuvent contracter des infections graves et parfois mortelles.

Chez les personnes en bonne santé, la salmonellose peut se manifester par des symptômes de courte durée comme la fièvre, des maux de tête, des vomissements, des nausées, des douleurs abdominales et de la diarrhée. La salmonellose peut entraîner des complications à long terme, notamment une forme grave d’arthrite.

Ce rappel découle de résultats d’analyses effectuées par l’ACIA. Son enquête pourrait entraîner le rappel d’autres produits à haut risque, qui serait alors signalé au public, indique l’agence.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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