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2014 juillet Ile dOléron Le Château dOléron

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L'estran à marée basse autour de la citadelle et l'ancien port avec ses cabanes ostréicoles restaurées et reconverties en ateliers d'expositions d'artisans d'art Diaporama Feu d'artifice du 14 juillet (bouquet)

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Des produits chimiques courants nuiraient à la reproduction

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MONTRÉAL – Des chercheurs de l’université américaine Virginia Tech ont découvert par hasard que deux produits chimiques d’usage courant semblent interférer avec la reproduction de leurs souris de laboratoire.

La docteure Terry Hrubec et ses collègues tentaient de comprendre pourquoi leurs souris semblaient soudainement moins fertiles, quand ils ont remarqué que certains employés se désinfectaient les mains avant de manipuler les animaux.

Les deux ingrédients actifs du désinfectant — le chlorure d’alkyldiméthylbenzylammonium (ADBAC) et le chlorure de didécyldiméthylammonium (DDAC) — appartiennent à une catégorie de produits chimiques fréquemment utilisés en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antistatiques, ainsi que pour leur capacité à réduire la surface de tension entre deux liquides ou entre un liquide et un solide.

On les retrouve dans des nettoyants commerciaux et domestiques, dans des désinfectants (pour les mains et autres), dans des cosmétiques, dans des assouplissants liquides et dans les feuilles assouplissantes qu’on place dans la sécheuse.

Mme Hrudec a constaté que les femelles exposées aux deux produits mettaient plus de temps à devenir enceintes et qu’elles accouchaient ensuite d’un moins grand nombre de petits. Quarante pour cent des femelles exposées à l’ADBAC ou au DDAC sont mortes pendant leur grossesse ou au moment de mettre bas.

Cette catégorie de produits chimiques est arrivée sur le marché dans les années 1950 et 1960, après avoir fait l’objet de tests de toxicité menés par leurs fabricants. Les résultats de ces tests n’ont jamais été rendus publics.

Mme Hrubec a admis que d’autres recherches seront nécessaires pour déterminer si ces produits sont aussi dangereux pour les humains qu’ils semblent l’être pour les souris. Une étude épidémiologique menée auprès de femmes fréquemment exposées à des désinfectants, comme les employées d’hôpitaux ou de restaurants, pourrait notamment déterminer si elles mettent plus de temps à concevoir.

L’étude est publiée dans le journal scientifique Reproductive Toxicology.

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La dépouille de l’abbé Raymond Gravel est exposée en la Cathédrale de Joliette

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MONTRÉAL – La dépouille de l’abbé Raymond Gravel sera exposée en chapelle ardente en la Cathédrale de Joliette, jeudi et vendredi.

Ses funérailles seront célébrées au même endroit vendredi à 14 heures.

L’inhumation se fera au cimetière de Joliette.

Raymond Gravel, un prêtre très engagé dans la vie publique et pastorale, est décédé lundi des suites d’un cancer à l’âge de 61 ans.

Connu pour ses positions progressistes sur les questions de l’homosexualité et de la place des femmes dans l’Église, Raymond Gravel avait confirmé en octobre 2013 qu’il était atteint d’un cancer du poumon.

Il avait brièvement délaissé la vie pastorale active de 2006 à 2008, alors qu’il siégeait comme député du Bloc québécois de la circonscription de Repentigny à la Chambre des communes.

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L’humour grinçant des aéroports de Bamako Dakar et Ouagadougou

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Des aéroports d’Afrique de l’Ouest misent sur un humour assez inattendu pour distiller des infos aux passagers sur leurs sites internet.

Ce n’est pas vraiment le bon moment pour aller en voyage dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, touchés par l’épidémie de fièvre Ebola*. En revanche, on peut toujours aller visiter le site internet de leurs aéroports, c’est un voyage en soi. Illustration.

Le site de l’aéroport de Ouagadougou explique ceci : 

« Un sévère contrôle de stupéfiants est effectué par les officiers de police de l’aéroport. La simple consommation de cannabis peut mener à des peines allant jusqu’à 6 mois de prison. Des fouilles anales sont réalisées de manière aléatoire sur des voyageurs de chaque vol et les rastafaris sont systématiquement explorés. » En voici un message de bienvenue original ! 

Vous avez noté l’aisance dans l’alternance d’infos tout à fait sérieuses et à prendre au pied de la lettre (6 mois de prison ! ) et de « vannes » (mais, concernant les Rastafaris, s’agit-il vraiment d’une blague ? ). Autre exemple : 

« Afin d’éviter d’interminables palabres aux guichets d’enregistrement, il est expressément demandé aux voyageurs de vérifier si leurs bagages ne dépassent pas la franchise autorisée. »

Plus intéressant encore, les considérations politiques cachées parmi les recommandations sanitaires (présenter un carnet de vaccination à jour contre la fièvre jaune, par exemple) : 

 « Trois ou quatre personnes sont touchées tous les 4 ou 5 ans, mais il est important de contribuer aux bénéfices du fabricant de vaccins Sanofi/Pasteur » .

La corruption est aussi égratignée au passage, cette fois sur le site de l’aéroport de Dakar : 

 « Un passager n’ayant aucun papier d’identité sénégalais (passeport ou carte d’identité) qu’il soit noir, parle une langue nationale ou soit cousin avec un bagagiste de l’aéroport est un passager étranger et à ce titre doit être muni d’un visa. » 

Car vérification faite, le blog du Monde.fr « Big Browser » a raison, l’aéroport de la capitale du Burkina Faso n’est pas le seul à avoir fait le choix de la dérision. Ceux de Dakar au Sénégal et Bamako au Mali réservent aussi quelques surprises… Car tous ont la même équipe de concepteurs. C’est aussi sans doute le cas du site officiel de délivrance des visas du Sénégal qui précise : « Une procédure spéciale de prise d’empreintes des 10 orteils est prévue pour les voyageurs handicapés n’ayant plus de doigts et notamment pour nos compatriotes lépreux bi-nationaux résidant à l’étranger mais n’ayant plus de papiers sénégalais ».

Cliquez ici pour comparer les prix de tous les vols pour Dakar avec liligo.com.

La transparence jusqu’au morbide

Sur le site internet de l’aéroport de Dakar : une page d’information recense les plus récents accidents aériens mortels survenus dans la région et précise pour chaque accident le nombre de morts sur le nombre total de passagers. Étrangement elle n’a plus été mise à jour depuis août 2012.

accidents compagnies

Pour ce qui est des retards, la palme revient au vol DL217 de Delta du 14 avril 2014 qui est arrivé avec 14 h 23 mn de retard ! 

retard compagnie

* Les 3 pays cités – le Burkina Faso, le Sénégal et le Mali – ne sont pas touchés par l’épidémie du virus Ebola.

Photo : Mali Buzz / Flickr cc.
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Le chanteur de Iron Maiden veut sa compagnie aérienne

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Bruce Dickinson, frontman du groupe légendaire Iron Maiden, s’adonne à sa passion, l’aviation.  

Il est à fond dans le métal, Dickinson. Que ce soit le heavy metal ou celui du fuselage des avions qu’il pilote. Il n’est pas novice en la matière puisqu’il a un permis de pilotage depuis les années 90 et qu’il compte 7 000 heures de vol, avec British World Airlines and Astraeus Airlines.

C’est lui-même qui pilote parfois les appareils qui transportent son groupe en tournée. Il projette aujourd’hui de lancer une compagnie aérienne avec une flotte d’au moins 10 appareils, basée à Cardiff au Pays de Galle. Bonne chance à lui.

Photo : Mike Lawrence / Flickr cc.
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Paris plages continue une semaine de plus

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L’opération est prolongée du 17 au 24 août au bassin de la Villette, dans le Nord de la capitale.

Les plus grands spécialistes de la météo ne sont guère optimistes pour la semaine à venir, mais peut-être se trompent-ils. Quoiqu’il en soit, outre se relaxer dans un transat, il sera possible de faire du kayak, de l’aviron, de la voile, et d’autres activités des deux côtés du bassin de la Villette.

L’intention est louable, mais cela ne vaut tout de même pas une journée sur une plage en Normandie. Nous avons recensé les plages les plus proches de Paris. Dieppe, Cabourg, Deauville, etc., retrouvez-les sur notre carte. N’oubliez pas que liligo.com peut vous aider à trouver un hôtel pas cher à Paris ou ailleurs.

Photo : jean-louis Zimmermann / Flickr cc.
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Mise à jour – la grève prévue à l’aéroport de Madrid est annulée

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Le trafic devrait subir de fortes turbulences vendredi 15 et dimanche 17 août à Madrid.

Mise à jour : le préavis de grève pour ce week-end à l’aéroport de Madrid Barajas a été levé.

Si vous avez un vol Madrid prévu ce week-end, prenez contact avec votre compagnie, car le principal syndicat du personnel de l’aéroport Madrid Barajas a déposé un préavis de grève pour vendredi et dimanche. Les vols Iberia seront particulièrement impactés.

Madrid n’est peut-être qu’une première étape avant le lancement d’un mouvement social plus vaste, a prévenu le syndicat. L’aéroport de Tenerife aux Canaries pourrait être touché à la fin du mois.

Photo : Dan Merino / Flickr cc.
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Une télévision allemande dévoile ce qu’elle dit être le texte de l’AECG

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TORONTO – Une télévision allemande a publié sur le site Internet de l’une de ses émissions un document prétendant être le texte complet, ou du moins une partie, de l’entente de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne, l’Accord économique et commercial global (AECG).

Le document de 521 pages, daté du 5 août, a été publié mercredi sur le site de l’émission «Tagesschau». Il semble confirmer les craintes des opposants à l’entente des deux côtés de l’Atlantique. L’entente, dont le Canada et l’Union européenne ont refusé de publier le texte, la semaine dernière, compterait 1500 pages.

Ce document porte principalement sur les articles entourant les mécanismes de règlement de dispute entre un investisseur et un État. Selon lui, afin d’enregistrer une plainte, une entreprise devra prouver que la mesure législative ou gouvernementale qu’elle conteste est «manifestement disproportionnée». Cela signifie donc qu’une entreprise peut contester une loi votée par des élus.

Le Canada aurait également cédé sur la question des protections des brevets de médicament. Il aurait aussi accepté de limiter les commerces privés de vin en Ontario et en Colombie-Britannique.

Un porte-parole du ministre du Commerce international, Ed Fast, a refusé de confirmer ou d’infirmer l’authenticité du document. Il a toutefois insisté pour dire que les négociateurs avaient tout fait pour rassurer les Canadiens sur les bienfaits bilatéraux de l’entente.

«Le Canada ne commente pas sur des fuites de documents de négociations», a écrit Rudy Husny, par courriel. Nous avons déjà publié des communiqués complets décrivant les éléments de l’entente et démontrant clairement les bénéfices significatifs qu’elle procurera à toutes les régions du Canada dès qu’elle sera en vigueur.»

Le gouvernement Harper avait annoncé au début du mois que les négociateurs s’étaient entendus sur le texte d’un accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne.

Le texte final a été rédigé après d’âpres discussions qui ont duré plusieurs mois. Les deux parties ne parvenaient pas à s’entendre sur une variété de sujets allant de la protection des investissements aux poursuites judiciaires en passant par les quotas de produits laitiers.

Le ministre du Commerce international, Ed Fast, a déclaré la semaine dernière qu’on planifiait la tenue d’un sommet canado-européen à Ottawa, le mois prochain. L’entente serait le principal item à l’ordre du jour.

Selon lui, l’entente «permettra de créer des emplois et des occasions économiques pour les travailleur canadiens dans toutes les régions du pays.»

Le Conseil des Canadiens, un organisme qui s’oppose à l’AECG, s’est dit heureux que le texte de l’entente ait été publié quelque part.

«Tout au long du processus, l’entente et ses répercussions dévastatrices ont été passées ont été cachées aux parlementaires et à la population. Elles ont été tenues à l’écart du processus démocratique», a déploré sa présidente, Maude Barlow, par voie de communiqué.

Des responsables canadiens ont indiqué qu’une période allant jusqu’à deux ans pourra être nécessaire pour traduire le texte, le polir en langage juridique et le faire ratifier. L’entente pourrait ne pas être en vigueur avant les prochaines élections fédérales, prévues en octobre 2015.

Pour le gouvernement Harper, une entente de libre-échange avec l’Union européenne est la pierre d’assise de son programme économique, permettant au Canada d’avoir un accès privilégié à une région dont le produit intérieur brut s’élève à 17 billions $.

Environ 98 pour cent des droits douaniers entre les deux entités commerciales seront éliminés dès l’entrée en vigueur de l’entente.

L’accord comporte aussi des chapitres sur les accréditations professionnelles, les services financiers et les télécommunications.

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Déversement en C-B un groupe autochtone veut l’expulsion de l’entreprise

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CHASE, C.-B. – Une communauté autochtone en Colombie-Britannique a délivré un avis d’éviction à l’entreprise propriétaire du bassin de décantation du mont Polley, lieu du déversement de millions de mètres cubes de résidus dans des cours d’eau.

La bande Neskonlith exhorte Imperial Metals à quitter le territoire, dans la région d’Okanagan Thompson, à environ 48 kilomètres à l’est de Kamloops.

Imperial Metals explore un secteur de 211 kilomètres carrés notamment pour du zinc dans un projet appelé Ruddock Creek, distinct de celui de la mine du mont Polley.

Le groupe a publié un communiqué disant qu’il n’autoriserait pas de développement minier contaminant l’eau ou détruisant l’habitat du saumon.

La communauté autochtone dit s’opposer à la mine Ruddock Creek étant donné que Imperial Metals n’a pas été en mesure de protéger le territoire des Premières Nations après la brèche constatée dans le bassin de décantation du mont Polley.

L’entreprise n’a pas réagi dans l’immédiat.

La bande Neskonlith n’a pas été affectée directement par la brèche au mont Polley, mais elle est l’une des 17 bandes constituant la Première Nation de Secwepemc, touchée par les effets du déversement.

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Blog de cocogallylis - je veux plus de travail

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Des experts décideront du sort du vaccin contre l’Ebola et non les politiciens

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TORONTO – Le gouvernement canadien affirme que les experts, et non les politiciens, détermineront comment seront utilisées les doses d’un vaccin expérimental contre l’Ebola offert à l’étranger par le Canada.

La ministre du Patrimoine canadien, Shelly Glover, a fait valoir mercredi que les politiciens n’avaient pas leur mot à dire sur la meilleure manière d’utiliser les 800 à 1000 doses promises par le Canada.

Le Canada a annoncé mardi qu’il ferait don de plusieurs centaines de doses d’un vaccin expérimental contre l’Ebola, après que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) eut jugé éthique d’utiliser des médicaments et vaccins expérimentaux pour lutter contre l’épidémie qui déferle actuellement sur l’Afrique de l’Ouest.

Les stocks disponibles du vaccin canadien avaient été produits pour des essais cliniques. Le vaccin, connu sous le nom de VSV-EBOV, a été développé par des scientifiques au laboratoire national de microbiologie à Winnipeg.

Jusqu’à ce jour, la seule personne à avoir reçu le vaccin est une chercheuse allemande qui s’était piquée un doigt avec une aiguille contenant le virus Ebola en 2009.

La femme a survécu, mais on ignore si le vaccin en est responsable. Il est possible qu’elle n’ait jamais été infectée.

Mme Glover, qui est aussi la ministre responsable du Manitoba, s’est fait demander, mercredi, en conférence de presse, comment le vaccin serait distribué et si le gouvernement avait une préférence.

«Il ne s’agit pas du tout d’une décision politique, a-t-elle argué. Il s’agit d’une maladie très grave, qui a fauché la vie de bon nombre de personnes, et nous faisons notre part en tant que pays pour offrir de l’aide à la communauté internationale.»

La Guinée — où l’éclosion d’Ebola aurait pris forme — envisage de demander l’accès au vaccin, selon le ministre des communications du pays.

L’OMS a fait état mercredi d’un plus récent bilan de 1975 personnes ayant été infectées, et de 1069 ayant perdu la vie.

Par ailleurs, la compagnie de la Colombie-Britannique Tekmira Pharmaceuticals a affirmé mercredi évaluer ses options pour l’usage de certains stocks de son propre traitement expérimental, le TMK-Ebola. L’entreprise a mené des essais cliniques.

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Blog de cocogallylis - retour bien merite

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Deux Ontariennes poursuivent Ottawa concernant une loi sur la fraude aux É-U

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TORONTO – Le Canada a violé les droits de près d’un million de Canadiens en acceptant de partager leurs informations financières avec les autorités aux États-Unis, allèguent deux Ontariennes dans une nouvelle poursuite.

Gwen Deegan de Toronto, et Ginny Hillis de Windsor, en Ontario, ont intenté une poursuite contre le Procureur général du Canada. Dans cette action en justice, elles accusent Ottawa d’avoir violé la Constitution en se pliant à une nouvelle vaste loi américaine sur la fraude fiscale, connue sous le nom de Foreign Account Tax Compliance Act.

Selon les termes de cette loi étant entrée en vigueur le mois dernier, les banques doivent partager tous les détails des comptes personnels et conjoints des citoyens américains et des gens nés aux États-Unis, même s’ils n’ont plus aucun lien avec le pays.

Les États-Unis soutiennent que plus de 77 000 institutions financières à travers le monde ont accepté de coopérer.

Au Canada, les institutions financières doivent fournir les détails pertinents des détenteurs de comptes, incluant les renseignements personnels et l’état des comptes, à l’Agence du revenu du Canada. L’Agence doit à son tour transmettre l’information aux autorités du revenu aux États-Unis.

Mmes Hillis et Deegan, toutes deux nées aux États-Unis mais ayant vécu au Canada depuis l’âge de cinq ans, soutiennent que le Canada les expose, elle et d’autres dans des situations similaires, à des pénalités injustes et des violations de leur vie privée en se pliant aux demandes du gouvernement américain.

«Je ne crois pas que mes droits en tant que citoyenne canadienne devraient être ainsi niés par mon gouvernement. (…) Nous sommes une nation souveraine, nous ne sommes pas le 51e État des États-Unis», a exprimé Mme Hillis en entrevue depuis Windsor.

Mme Hillis, une avocate à la retraite comptant la citoyenneté canadienne, a affirmé que ceux qui refusent la nouvelle réglementation pourraient être assimilés à des fraudeurs par le gouvernement américain.

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Deux chefs de sectes mormones accusés de polygamie en Colombie-Britannique

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CRANBROOK, C.-B. – Un procureur spécial a approuvé le dépôt d’accusations de polygamie contre les leaders de deux sectes mormones en Colombie-Britannique.

Le système de justice criminelle a annoncé que Winston Blackmore et James Oler étaient tous deux accusés de polygamie. M. Oler est aussi accusé d’avoir emmené illégalement un enfant hors du Canada.

Les deux hommes dirigent deux sectes distinctes dans une commune religieuse du sud-est de la Colombie-Britannique connue sous le nom de Bountiful, dont les résidants suivent une interprétation fondamentaliste de la religion mormone qui considère la polygamie comme un principe de la foi.

Deux autres personnes, Brandon James Blackmore et Emily Ruth Crossfield, sont aussi accusées d’avoir emmené illégalement un enfant hors du Canada.

En 2009, des accusations de polygamie portées contre MM. Blackmore et Oler avaient été rejetées en lien avec la façon dont la province avait choisi un procureur spécial au dossier, poussant le gouvernement à lancer un renvoi constitutionnel qui s’est conclu par le maintien de la loi contre la polygamie.

Peter Wilson a été nommé procureur spécial en janvier 2012 pour réévaluer la pertinence de porter des accusations. Il supervisera le dossier au nom de la Couronne.

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Un IMC plus élevé est associé à dix cancers très fréquents

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MONTRÉAL – Un indice de masse corporelle (IMC) plus élevé augmente le risque de souffrir de dix cancers très courants, conclut la plus importante étude jamais réalisée sur le lien entre l’IMC et le cancer.

Des chercheurs de la London School of Hygiene & Tropical Medicine et du Farr Institute of Health Informatics estiment que, seulement au Royaume-Uni, l’embonpoint et l’obésité sont responsables chaque année de 12 000 cas de plus de ces dix cancers.

Si l’IMC moyen de la population continue à augmenter, disent-ils, ce sont 3500 cas de cancer de plus qui apparaîtront annuellement.

Leur étude a porté sur plus de cinq millions de sujets pour mesurer l’impact de leur IMC sur leur risque de souffrir d’un des 22 cancers qui, ensemble, représentent 90 pour cent de tous les cas de cancer diagnostiqués chaque année au Royaume-Uni. Un peu moins de 170 000 personnes ont souffert du cancer pendant la période de suivi, et l’IMC a été associé à 17 des 22 types de cancer.

Un lien particulièrement important a été noté entre l’IMC et les cancers de l’utérus (hausse de 62 pour cent du risque), de la vésicule biliaire (31 pour cent), du rein (25 pour cent), du col (10 pour cent) et de la glande thyroïde (9 pour cent), ainsi qu’avec la leucémie (9 pour cent).

Un lien a aussi été décelé entre l’IMC et les cancers du foie (19 pour cent), du colon (10 pour cent), des ovaires (9 pour cent) et du sein (5 pour cent). Même chez les sujets dont l’IMC était considéré normal, une hausse s’accompagnait d’une augmentation du risque de souffrir de certains cancers.

En revanche, les sujets dont l’IMC était élevé étaient possiblement moins à risque de souffrir du cancer de la prostate ou du cancer du sein avant la ménopause.

Dans un commentaire qui accompagne les conclusions de cette étude, le docteur Peter Campbell de la Société américaine du cancer écrit que nous n’avons pas besoin «de nouvelles recherches (…) pour justifier, ou même demander, des changements de politiques pour lutter contre l’embonpoint et l’obésité».

Les conclusions de cette étude sont publiées dans les pages du prestigieux journal médical britannique The Lancet.

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Un tribunal approuve un règlement pour les employés de la Banque Scotia

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TORONTO – La Banque Scotia (TSX:BNS) a accepté de se pencher sur les réclamations de temps supplémentaire de milliers d’employés des ventes pour du travail effectué sur une période remontant à 13 ans, en vertu du règlement d’un recours collectif qui a reçu l’approbation des tribunaux.

Les avocats qui représentent les employés actuels ou anciens affirment que la période de réclamation dépend de la province ou du territoire où le travail a été effectué. La date limite pour soumettre une demande a été fixée au 15 octobre.

Cindy Fulawka, une représentante des services bancaires personnels à la Banque Scotia, a porté plainte contre son employeur en décembre 2007 dans le but de représenter les banquiers personnels ou d’affaires, les conseillers financiers et les gestionnaires de comptes de petites entreprises.

Après la négociation d’un règlement le mois dernier, la banque avait affirmé que le montant réclamé n’était pas «financièrement substantiel» pour l’institution. Les détails du règlement ont été gardés secrets jusqu’à ce que la cour donne son approbation, mardi.

L’un des avocats impliqués dans le dossier, Adam Dewar, a estimé que le montant total du règlement pourrait s’élever à 95 millions $. Il a également indiqué que la banque avait accepté de verser 10,45 millions $ aux cabinets d’avocats qui représentent les plaignants.

Les cabinets Roy O’Connor, Sack Goldblatt Mitchell et Sotos affirment que les employés actuels ou anciens concernés par le recours collectif devraient faire une réclamation peu importe si leurs heures supplémentaires ont été approuvées ou non par un supérieur à l’époque.

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L’Institut Fraser et les grosses méchantes taxes

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taxes-argent

Illustration : Getty Images

Mardi, l’Institut Fraser a publié une autre étude (pdf) qui, comme la plupart des études publiées par cet institut, tente d’effrayer les Canadiens au sujet des grosses méchantes taxes.
Blogue Economie

Les résultats de cette étude sont justes, mais les conclusions qu’en tirent ses auteurs sont erronées.

Voici leurs deux principaux constats :

  • De 1961 à 2013, les taxes sont devenues la source de «dépenses» la plus importante du ménage canadien moyen, dépassant désormais le logement, la nourriture et les vêtements combinés. D’après les auteurs du rapport, la part des taxes dans le budget de la famille typique canadienne est passée de 34 % à 42 %, tandis que la part des besoins de base est passée de 57 % à 36 %.
  • De 1961 à 2013, le montant que la famille canadienne moyenne paie en taxes a augmenté plus rapidement que le revenu moyen de cette même famille (1 832 % d’augmentation contre 1 448 % d’augmentation).

Pour les auteurs, ces deux résultats sont très inquiétants, signes d’un «État Léviathan» qui va, avec le temps, venir chercher tout l’argent des familles pour le jeter dans un grand trou noir.

J’ai plusieurs critiques à faire devant cette vision simpliste des choses. J’énoncerai ici les deux principales.

Premièrement, agréger toutes les taxes — incluant les impôts sur les revenus, les taxes de vente, les impôts fonciers et même les taxes sur le profit des entreprises — dans un point de «dépenses» des ménages n’est pas du tout logique.

Cela est parfaitement démontré par l’inclusion de la taxe sur les profits. En effet, les auteurs intègrent cette taxe car, selon eux, le coût de celle-ci est largement transféré aux ménages par les entreprises au moyen de prix plus élevés.

C’est certainement vrai, mais si l’on inclut une taxe comme une dépense lorsqu’elle augmente les prix des biens et services consommés par les ménages, il faudrait inclure comme revenus toutes les subventions, qui ne sont que des taxes négatives et qui font baisser les prix de ces biens et services.

Et quels sont donc ces biens et services qui nous reviennent moins cher grâce aux subventions du gouvernement ? Pour rire, dressons-en ici une liste, en ajoutant le prix qu’ils nous en coûtent :

  • La majorité de nos soins de santé : gratuits
  • L’école publique : gratuite
  • L’utilisation de nos routes : gratuite
  • Les transports en commun : subventionnés à environ 50 %
  • Une place en garderie : 7 $ par jour
  • Les services de recyclage et d’enlèvement des ordures : gratuits
  • L’éclairage de nos rues : gratuit
  • Les bibliothèque publiques : gratuites
  • La sécurité publique et la défense nationale : gratuites
  • Etc.

C’est ridicule, vous me direz peut-être… mais je ne fais que suivre la logique des auteurs jusqu’au bout.

Deuxièmement, il est parfaitement normal que les montants payés en taxes par les ménages croissent plus vite que le prix des besoins de base. Pourquoi ? Parce que la plus grande part de l’argent public sert à payer les salaires, tout simplement.

Dans un monde idéal, ces salaires croîtraient au même rythme que les salaires dans l’économie globale. Et s’ils augmentaient à la même vitesse que les prix des besoins de base, cela voudrait dire que le niveau de vie serait constant.

Ainsi, le fait que la part des «dépenses» des ménages destinée aux taxes augmente est signe que le niveau de vie des ménages croît lui aussi, ce qui est évidemment — et heureusement — ce qui se passe au Canada depuis 1961.

Nous en arrivons donc à la seule vraie question soulevée par cette étude. Est-il normal (ou souhaitable) que les «dépenses» en taxes augmentent plus vite que le revenu des ménages ?

Pour la période allant de 1961 à 2013, je dirais presque certainement oui, étant donné que nous avons grandement augmenté la quantité de services offerts à la population — et que ces services améliorent la qualité de vie dans notre société.

En voici quelques exemples :

- Beaucoup plus de personnes terminent leurs études secondaires et poursuivent des études post-secondaires.

- Nous vivons plus longtemps et recevons donc davantage de services de santé.

- Le régime des rentes du Québec a été créé et bonifié plusieurs fois pour supplémenter les revenus des retraités, ce qui a contribué à faire diminuer grandement la pauvreté chez les aînés.

- Les paiements de transferts aux familles défavorisées ont augmenté.

Maintenant, il est certain que cette croissance des taxes plus rapide que les revenus des ménages ne peut continuer pour toujours, puisque l’État finirait par contrôler tous les aspects de notre économie.

OCDE

Néanmoins, le Canada est très loin de ce point. Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), le pourcentage du PIB que représentent les revenus de taxation au Canada est passé de 25,2 % en 1965 à 30,4 % en 2011. Une augmentation, certes, mais une augmentation beaucoup plus lente que le reste des pays occidentaux.

En effet, en 2011, le Canada se trouvait au 11e rang sur 34 parmi les pays de l’OCDE. Quelques exemples de contrées où les taxes représentent une part moins grande du PIB : le Mexique, le Chili, la Turquie, la Slovaquie et les États-Unis.

Et les cinq pays champions de la taxation, sont-ils des enfers pour leurs citoyens ? Demandons-le aux résidants du Danemark, de la Suède, de la France, de la Belgique et de la Finlande ! Ce sont leurs pays qui dominent le palmarès, avec des pourcentages du PIB allant au gouvernement de l’ordre de 43,7 % et plus.

En conclusion, les revenus des différents paliers de gouvernement au Canada ont grandement augmenté dans les 50 dernières années d’un point de vue nominal, mais seulement légèrement en pourcentage du PIB.

Cette augmentation nous a permis d’accéder à une quantité accrue de services et de maintenir un niveau minimum d’équité entre les citoyens.

Pour ce qui est de l’avenir, j’ai grandement espoir que le Canada et le Québec tentent un peu plus de se diriger vers le modèle scandinave social-démocrate qui, malgré les méchantes taxes qu’il engendre, semble mener à de meilleures finalités pour ses citoyens que le modèle néolibéral américain.

* * *

Alexis Gagné est analyste stratégique à la Fondation Chagnon, qui vise à prévenir la pauvreté en misant sur la réussite éducative des enfants du Québec. Les opinions exprimées ici sont purement les siennes.

 

 

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Jour 5 Chichen Itza

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Bon j’ai eu du mal un peu à me réveiller pour une fois. Juste le jour où on a un guide qui nous attend à 8h00 du matin. On sera 10mn en retard mais on rejoindra Julian (notre guide) et on partira
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Le cours du sexe chute…

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En 2006, le prix d’une heure de sexe avec une prostituée se situait autour de 340 $US. Depuis, il n’a eu cesse de chuter pour s’établir à 260 $US en 2014. C’est ce que révèle le magazine britannique The Economist, qui a analysé 190 000 profils de travailleuses du sexe sur Internet, et ce, à travers 12 pays et 84 villes.

FouineurPourquoi donc ce déclin ?

Comme tant d’autres, les prostituées ont été victimes de la crise économique de 2008. Dans des villes comme Cleveland, en Ohio, où le taux de chômage a culminé à 12,5 % en 2010, les prix ont dégringolé. Ce phénomène s’est répercuté jusqu’à Londres, qui a pourtant été relativement épargnée par la crise.

La migration est un autre élément de réponse. Dans la capitale du Royaume-Uni, le flux entrant continu de migrants plutôt pauvres a eu pour conséquence de faire baisser les prix. En Norvège, où l’égalitarisme avait poussé toutes les prostituées à demander un prix similaire, l’afflux de travailleuses du sexe étrangères a brisé l’équilibre.

Le nombre croissant de personnes qui vendent leurs services en ligne, où il est plus facile de rester anonyme, n’a pas non plus aidé. Mais, en réduisant le nombre d’intermédiaires, Internet a permis aux prostituées de garder une plus grande proportion de l’argent gagné. La courbe de leurs revenus n’a donc pas chuté aussi fortement que la baisse des prix le suggère.

« Des changements sociaux plus généraux peuvent avoir contribué à réduire la demande, a également noté The Economist. Les relations adultères et occasionnelles se trouvent plus facilement que par le passé. Le sexe avant le mariage est devenu plus acceptable et le divorce est plus simple, ce qui signifie que de moins en moins de célibataires et mariés frustrés se tournent vers les prostituées. »

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Cour martiale la présumée victime de Gagnon était consentante selon la défense

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QUÉBEC – Le vin joyeux, l’ex-caporale Stéphanie Raymond a eu une relation sexuelle pleinement consentante avec l’adjudant André Gagnon, a allégué la défense, mercredi.

Le procureur de la défense, Philippe Luc Boutin, a fait flèche de tout bois pour démolir la crédibilité de la présumée victime de l’adjudant, qui est accusé d’agression sexuelle en cour martiale générale à Québec.

Pendant un contre-interrogatoire de plus de trois heures, le major Boutin s’est employé à relever toutes les contradictions dans les déclarations de la plaignante à la police militaire en janvier 2012, quelques semaines après l’agression alléguée survenue le 15 décembre 2011 au manège militaire de Lévis.

Selon lui, le récit de Mme Raymond est truffé d’incohérences, n’est «pas crédible», n’a souvent «pas de sens» et est teinté de «pure fabulation».

La défense a fait valoir que l’ex-soldate avait librement consenti à suivre l’accusé au manège militaire de Lévis après un dîner de Noël bien arrosé et qu’elle avait participé de son plein gré aux ébats sexuels qui ont suivi.

La preuve en est, selon la défense, que la jeune femme de 30 ans n’a pas offert la moindre résistance à l’endroit de Gagnon et a même pris l’initiative lorsqu’ils se sont retrouvés seuls dans une salle de réunion feutrée à l’étage de l’édifice, qui était désert au moment des faits allégués.

La veille, Mme Raymond avait relaté qu’elle s’était retrouvée seule avec Gagnon sur le chemin du retour d’un dîner de Noël au centre-ville de Lévis et qu’elle avait accepté de l’accompagner à la marche jusqu’au manège militaire pour appeler un taxi et assouvir un besoin naturel pressant.

Or, la défense a déposé en preuve des copies de cartes «google» démontrant que le chemin emprunté par la paire était jalonné d’établissements commerciaux qui auraient pu aisément permettre à la plaignante d’aller à la toilette, appeler un taxi et retourner chez elle. Au lieu de cela, elle a continué de suivre sans mot dire Gagnon jusqu’au manège.

D’après la version de la défense, Gagnon s’est senti fatigué une fois arrivé sur les lieux et est allé s’étendre à l’étage dans une salle de réunion. La femme de 30 ans aurait suivi l’accusé et se serait assise à califourchon à hauteur de ses organes génitaux.

«Vous saviez très bien pourquoi vous alliez en haut (à l’étage) et à tout le moins, vous l’avez assumé», a lancé le procureur de la défense, faisant allusion aux échanges sexuels à venir.

Assise sur l’adjudant, la plaignante se serait laissée caresser les seins, embrasser, et aurait même aidé l’accusé à la dévêtir.

Comme la plaignante a déjà admis que Gagnon n’avait pas fait preuve de violence à son égard, le procureur conclut qu’elle n’a offert aucune résistance pour la simple et bonne raison qu’elle consentait à avoir un rapport sexuel avec lui.

Le major Boutin a aussi relevé le fait que l’ex-réserviste n’avait cessé, depuis sa première déposition auprès de la police militaire en janvier 2012, d’amplifier son état d’ébrité lors des événements.

Mme Raymond a d’abord dit qu’elle avait consommé deux verres de vin pendant la fête précédent l’agression, puis quatre, puis une bouteille de vin et demi. La défense tente ainsi de démontrer que la victime présumée était suffisamment lucide au moment des faits pour se gouverner à sa convenance.

À la barre des témoins, la jeune femme s’en est tenue à son témoignage de la veille selon lequel l’accusé avait trahi sa confiance et profité des circonstances pour l’agresser sexuellement.

Si elle est montée avec Gagnon à l’étage du manège, c’est parce qu’il était son supérieur et qu’il lui en avait «donné l’ordre», a-t-elle insisté en contre interrogatoire.

Même si elle n’a pas résisté physiquement à Gagnon, elle précise qu’elle a bel et bien opposé une résistance «verbale» à ses avances. Elle lui a aussi signifié qu’elle n’était pas à l’aise avec la situation et qu’elle n’était pas intéressée à lui. Gagnon a trahi sa confiance.

«Je n’avais aucune raison de penser qu’il allait me sauter dessus», a-t-elle dit.

Le procès en était à son troisième jour mercredi. Le contre interrogatoire de la plaignante se poursuivra jeudi.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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