Choisir son sac à dos de trail

Ca y est. Vous avez muté, vos jambes peuvent courir des trails de plusieurs heures dans la montagne, tandis que vos poumons brassent volume d’air à rendre jaloux un ballon météo. Bravo. Mais vous le savez, qui dit trail dit autonomie. Et qui dit autonomie dit « emporter tout son barda sur son dos ». Deux constatations alors : pour gambader, il vaut mieux se priver du superflu, et bien avoir choisi son sac à dos de trail. Aujourd’hui, les sac à dos de trail pèsent entre 350 et 500 grammes. Des plumes de 5 à 20 litres, selon votre usage.

Définir sa pratique de trail

En gros il y a deux écoles dans le trail :

-           Il y a ceux qui courent de petits trails, qui sont des minimalistes absolus. Un sac de 5 litres, ou rien. D’accord, mais à part une poche à eau, une veste, une barre de céréale et un brin de pharmacie, vous n’emporterez rien de plus !

-          Il y a ceux qui courent de plus longues distances, voire des ultra-trails. Là, il faut opter pour un sac un peu plus gros. Attention toutefois, souvenez vous que le « trop » est l’ennemi du « bien » en trail. Vous serez forcément tenté de blinder un grand sac à dos, et quand haletant vous vous en rendrez compte, il sera trop tard…

Tout est donc affaire de compromis. Un sac à dos au volume un peu plus conséquent (10-12 litres, voire plus si vous faites vraiment de longs trails) vous assurera une bonne autonomie, tout en vous permettant d’emporter le matériel essentiel, tout simplement. Un sac à dos plus  petit (8 litres) vous accompagnera dans vos folles sorties d’entrainement à la demi-journée.

Essayer son sac à dos de trail

La base, c’est quand même d’essayer ce qu’on achète. Encore plus lorsque l’on parle de sac à dos de trail. Parce qu’un sac de trail a une forme bien particulière, censée s’adapter à toutes les morphologies. Oui mais voila, nous ne sommes pas tous bâtis pareil, le joueur de hockey sur glace de votre fac vous l’a assez rappelé. Du coup, entre un sac parfait pour le dos et une torture, tout est affaire de la personne qui le porte. Essayez, voire testez si possible avant d’acheter ! Une chose est sure, ne prenez pas un sac trop grand (long) par rapport à votre dos en vous disant « c’est bon, je serrerai les bretelles », ça ne marche pas comme ça.

Les points essentiels

Avec les sacs à dos de trail, tout est affaire de compromis et de ressenti. Il est toutefois possible de dresser la liste des qualités indispensables qu’il doit avoir :

-  La possibilité d’embarquer une poche à eau. Certains sacs ne l’offrent pas, on n’a toujours pas compris pourquoi. C’est quand même diablement pratique.

-  Des systèmes de serrage confortables et solides, qui ne frottent pas et n’entraînent pas de risques de blessure.

-  Des poches accessibles. C’est tellement pratique de pouvoir accéder au matériel indispensable en quelques secondes.

-   Notez également que la plupart des courses affichent une liste de matériel obligatoire pour participer. Pensez à vos objectifs avant d’acheter votre sac, ça serait dommage d’en racheter un parce que votre sifflet n’y entre pas…

Notre sélection

Maintenant on vous aide à choisir. Regardez notre sélection et notre comparatif de sacs à dos de trail.

Choisir ses pédales automatiques VTT

Cette fois-ci, c’est décidé. Le week-end prochain, vous partez avec quelques collègues de boulot dans les Alpes pour gravir les cols, rouler en Forêt et profiter de l’air pur. Habituellement, vous êtes plutôt du genre queue de peloton. Vous souhaitez sans doute améliorer votre performance pour éviter les sarcasmes insupportables de vos soi-disant potes de boulot. Mis à part échanger le contenu de votre gourde avec on ne sait quelle substance (c’est très à la mode en ce moment.), vous pouvez également améliorer le rendement de votre effort en optant pour des pédales automatiques. Oui, mais voilà, votre vendeur va vous parler d’angularité, de système de fixation, de seuil de déclenchement et on en passe. Kézako ?!

Allez, comme on vous aime beaucoup, on va s’occuper de la traduction.

Les pédales auto réglables Shimano

Idéales pour le débutant (et les confirmés également !) les pédales auto réglables permettent donc de régler le seuil de déclenchement, c’est-à-dire la facilité à décrocher la chaussure de la pédale. Si vous ne maitrisez pas le décrochage, c’est un réel atout de pouvoir décrocher facilement pour éviter tout risque de chute. Les Shimano ont un maintien relativement ferme par rapport aux autres marques et on peut ajouter des patins de marche sur les cales , ce qui se révèle très pratique pour ne pas les abimer.

Les pédales mixtes

Disponible encore une fois chez Shimano (dénomination SPD), ce système permet d’avoir une face de la pédale pour bloquer la chaussure mais d’avoir la deuxième face en pédale « conventionnelle ».
L’utilité est de pouvoir pédaler sans être accroché dans les zones accidentées et donc, de prévenir les risques de chute ou de déchaussages intempestifs.

Le concept ATAC de Time

Spécialité de la marque Time, le concept A.T.A.C. (Auto Tension Ajustement Concept) permet, grâce à un mécanisme indépendant de la tension du ressort, d’éviter les déchaussages intempestifs, tout en garantissant un déchaussage fluide. Il est possible de modifier l’angle nécessaire audéchaussage sur certains modèles. Le Q-Factor (Largeur entre les deux pieds) peut également être modifié en inversant les pédales. C’est pour toutes ces raisons que cette gamme est probablement la plus utilisée et appréciée actuellement. La version roc atac reste à un prix raisonnable, en revanche, si vous souhaitez le haut de gamme, la atac carbone est à un prix relativement élevé.

Les Crank

Plus faciles à nettoyer et à chausser lorsqu’il y a de la boue, elles sont adaptées aux conditions difficiles de l’outdoor. En revanche, la zone d’appui est plus réduite, c’est en général pour cela qu’on privilégiera les Time ou les Shimano.

Les Look

Pionnier de la pédale automatique, les look offrent généralement une surface d’appui assez confortable et sont très faciles à nettoyer. Il existe 3 types de liberté angulaire : 0° 4,5° et 9°. Le Q-Factor est ici aussi modifiable. Il est possible de monter des caches sur les cales des chaussures pour marcher avec sans les abimer, cependant, ces pédales ont la fâcheuse réputation de « couiner », ce qui est, il faut le reconnaître, plutôt désagréable.

Vous n’avez pas de VTT…

Vous nous trouvez bien gentils de parler de pédales de VTT mais de toute façon vous n’avez pas de VTT…
Et bien équipez-vous !!
Pour ne pas faire d’erreur, on vous dit tout sur notre article : Comment choisir un bon VTT.

Bien choisir ses skis de rando

Dis moi ce que tu rides, je te dirais qui tu es !

Comme nous vous l’expliquions dans un précédent article Comment choisir ses skis de randonnée , quatre grands critères sont à prendre en compte pour choisir son ski de randonnée. Ca vous fait une belle jambe, puisque vous n’êtes toujours pas foutu de savoir ni quel critère privilégier ni quel ski choisir? Encore une fois, vous pouvez nous remercier : ZeOutdoor a défini pour vous les principaux profils de randonneur à ski, et les critères qu’ils privilégient.

L’athlète (aka « le grand malade ») :

Vous, c’est la performance. Vous n’avez jamais mis une fesse sur un télésiège, et vous comptez bien finir votre vie (le plus tard possible) en grimpouillant sur les montagnes à la force de vos (puissantes) cuisses. Le prix ne vous fait pas peur, vous êtes un spécialiste des conversions impossibles et de la neige transformée. Dynastar a créé le modèle « Alti patrouille des glaciers». Bon, au niveau du nom, on a lu ça on a rigolé. Mais quand même: 900 grammes le ski, 65 mm au patin, il vous faudra faire assez attention dans vos folles descentes, mais comme vous skiez comme un dieu, ce n’est pas un problème… Au niveau des fixations, inutile de préciser que vous allez prendre les plus légères. Bref, un ski de compet’.

Le freerideur :

 Marre des hors pistes accessibles par les télésièges qui ressemblent à des tranchées une demi journée après les chutes de neige, vous avez décidé de vous mettre au ski de rando. C’est bien. Mais pour vous, tout ce qui compte, c’est la descente, le plaisir de tailler des grandes courbes dans la peuf. Réjouissez-vous, de nombreux modèles vous sont désormais dédiés (ben ouais, c’est la mode !). Longs, larges, mais toujours un peu plus lourds que les skis « classiques » de randonnée, ils sauront vous apporter tout le plaisir de la glisse. Ne comptez quand même pas avalez trop de dénivelé avec. Le Powd’air de chez Scott, par exemple, pourrait vous emmener au septième ciel. 100 mm au patin en version 183 cm, mine de rien. 3480 grammes la paire, forcément, mais il faut savoir ce que vous voulez.

L’occasionnel :

Vous aimeriez bien vous mettre au ski de rando, mais ne pas trop galérer en montée tout en pouvant descendre convenablement ? D’accord, mais dans la vie, on ne peut pas tout avoir. Heureusement, les fabricants de skis pensent à vous, et afin de délester votre gentil porte-monnaie, mettent tout en place pour que vous trouviez ski à votre pied. Sans tomber dans les extrêmes des deux catégories précédentes, il existe toute une gamme de skis plus ou moins lourds, plus ou moins longs, plus ou moins larges. A vous de bien étudier votre profil, ce que vous recherchez dans votre ski, et votre budget ! A notre avis, choisissez quand même un ski pas trop lourd. Il descendra assez bien, et vous évitera la syncope en pleine montée. Si vous avez un peu d’argent, un système léger de fixations ne sera pas du luxe non plus. Pour les petits budgets, le Völkl Mauja (399€) semble le compromis parfait. 79 mm au patin, une bonne accroche en montée, une bonne descente. Seul hic: son poids. Avec ses 2450 grammes la paire, ne comptez pas en faire autre chose qu’une pratique « loisir ».

Le poivrot :

Connait pas. Ici, on fait du sport.

Plus d’infos pour bien choisir :

Vous voulez en savoir plus pour choisir votre ski de rando? Largeur des patin, taille du ski et tout le toutim…
On vous dit tout sur notre article : Comment choisir son ski de rando

Idées d’itinéraires :

Vous avez choisi vos skis? Lisez : 5 itinéraires à ski de rando dans les Hautes-Alpes.

Bien choisir son sac à dos pour le ski de rando.

Le ski de randonnée est une discipline exigeante. Etre capable de marcher jusqu’en haut d’une montagne, puis de descendre, le tout sans s’épuiser ou s’égratigner la mâchoire sur un rocher, ce n’est pas toujours évident. Heureusement, la technologie fait des merveilles. ARVA-Pelle-Sonde pour la sécurité, thermos pour avoir du café chaud au sommet, casque pour préserver votre jolie bouille si elle rencontre un arbre, tout est à votre disposition pour faire de votre randonnée un moment parfait.

Seulement, un mauvais choix de sac à dos de ski de rando pour transporter votre barda, et patatra, votre rêve se transforme en cauchemar. Les sangles vous lacèrent, il est bien trop lourd, vous n’arrivez à attraper votre gourde et votre appareil photo est trempé à la première chute.

Pourtant, les sacs à dos spécifiques pour le ski de rando, ça existe. Polyvalents, ils pourront vous accompagner dans vos autres activités outdoor. Ils doivent tout de même respecter certains critères pour mériter votre amour (et vos euros) :

Le litrage :

Pas la peine de prendre un sac trop gros, vous partez le plus souvent pour une journée. 30 litres, c’est déjà pas mal pour transporter l’essentiel. Plus gros, vous serez tentés de prendre la table de pique-nique. Et ça, ce n’est pas une super idée.

Accrocher vos skis :

Des sangles pour  accrocher confortablement vos skis, voilà l’accessoire minimum pour un sac à dos typé ski de rando. On trouve soit une accroche ventrale des 2 skis réunis ou bien un ski de chaque cote du sac à dos. Certains sont compatibles snowboard. Avant de choisir, il faut bien regarder l’ouverture du sac et la facilite d’accès aux poches une fois les skis fixés sur celui-ci.

Sécurité : couleurs vives !

Ce n’est pas obligatoire, mais tant qu’à faire, autant pouvoir être bien repéré lorsqu’on se balade sur un terrain potentiellement dangereux. En plus, on ne risquera pas de vous confondre avec du gros gibier.

Sécurité : Accès à pelle et sonde.

On ne vous le répétera jamais assez ! : ne sortez jamais sans votre trio Arva/pelle/sonde. Vous pouvez lire notre article sur le matériel de sécurité avalanche pour en savoir plus.
Assurez-vous d’avoir un sac qui permet de transporter la pelle et la sonde et dont l’accès est facilité. On vous assure lorsque cela arrive il faut être réactif.

Sécurité : Système ABS.

Certains modèles peuvent accueillir des systèmes ABS pour se prémunir des avalanches.

Autres options :

De multiples autres options existent selon les modèles. Tout dépend de ce que vous voulez faire de votre sac. A notre connaissance, seul le parachute n’est pas encore intégré dans des sacs de ski de randonnée toujours plus polyvalents.

Quel sac à dos choisir alors !?

Pour vous faciliter la tache, ZeOutdoor à sélectionnée pour vous 5 sacs à dos pour le ski de rando. Il vous suffit de lire notre comparatif de sacs à dos pour ski de rando. Bonne lecture !

Cinq sac à dos de ski de randonnée

Le poids de votre sac à dos vous désespère? Vous pensez qu’on ne peut pas avoir la classe avec un machin pareil sur le dos? Que diable, lisez plutôt, on a sélectionné 5 modèles de sacs de ski de randonnée pour que votre sortie reste parfaite.

TAOS 28 PRO de SALEWA

1550 grammes de technologie. Primé aux ISPO Awards en janvier dernier, catégorie “Action”, le Taos 28 Pro de Salewa se la joue beau gosse. Technologie « Ride Fit » qui s’adapte aux mensurations de votre petit dos de randonneur, passage spécial pour un tube de poche à eau, sans oublier la possibilité d’accrocher vos skis ou votre planche de trois manières différentes, ainsi qu’une protection dorsale intégrée, voila les avantages de ce sac, clairement racé « freeride ». Sac à dos efficace pour le ski de rando! En plus, il est franchement classe en version « Cactus ».

28 litres, 166€.

X-OVER POWDER 15 de ARVA

Lui, c’est la sécurité. Normal, quand on parle de la marque ARVA. Modulable, il vous offre la possibilité d’embarquer deux poches différentes : une de 15 litres, l’autre de 8 litres, selon vos besoins, pour un poids de respectivement 900 grammes et 570 grammes. Son réel avantage : il est adapté à une base ABS freeride Powder, le fameux système d’airbags qui se gonflent lorsque vous avez la malchance d’être pris dans une avalanche. Il propose en outre toutes les caractéristiques d’un sac de ski de randonnée, possibilité d’accrocher ses skis ou sa planche dans le dos. Un compagnon rassurant.

De 8 à 15 litres, 99,90€. Système ABS freeride powder vendu séparément, 569€.

CAMPAC M3 LADY de CAMP

La classe au féminin. Non seulement il ne pèse que 1250 grammes, entrant parfaitement dans la catégorie « sac à dos léger pour ne pas se casser le dos en rando », mais en plus il affiche un prix plus que raisonnable. Porte skis, porte casque, porte corde, tout y est. Sa poche frontale est facile d’accès, pour stocker le matériel de sécurité. De quoi vous donner envie de porter du rose.

30 litres, 69,50€

BIGPOWDER 25 PRO de MILLET

Millet propose un grand choix de sacs pour la randonnée à skis. Le Bigpowder, 25 litres, trois compartiments, 1270 grammes, et des options dans tous les sens. Même le système de portage de skis s’annonce confortable, avec la possibilité de choisir entre un portage frontale pour la paire, ou latéral avec les skis séparés. Deux poches sur la ceinture du sac seront appréciées, tout comme un compartiment spécial pour le masque de ski, prévu pour ne pas l’abimer. Vivement la prochaine sortie !

25 litres, 119€.

FREYNET 40 de GRIVEL

D’accord, il est un tout petit peu plus cher que ses concurrents. C’est vrai, il pèse 1670 grammes, un peu plus que les autres. Effectivement, 40 litres pour une sortie journée, ça permet d’emmener belle maman, son pique-nique et son parasol. Mais bondieu, c’est Grivel ! Et qui dit Grivel dit grosse qualité. Des protections au niveau des portes skis pour ne pas abîmer le sac, il fallait y penser. Tout comme la technologie airmesh, qui promet un dos respirant. Si vous transpirez autant que nous en ski de rando, et que vous vous les gelez au sommet, pas besoin de vous faire un dessin pour vous faire comprendre que ça vaut de l’or…

40 litres, 150€.

Des difficultés à choisir ?:

On vous dit tout sur notre article :  Choisir son sac à dos pour le ski de rando.

Quels sont les meilleurs spots de Snowkite en France ?

Le snowkite est une pratique hivernale assez récente qui combine snowboard et cerf-volant, procurant ainsi des sensations de liberté extrêmes et un très beau spectacle visuel pour les curieux. Cependant, qui dit snowkite, dit conditions précises et particulières. L’altitude, la neige, le relief et la qualité du vent sont des critères importants, qui peuvent différer selon le niveau du pratiquant. Pour vous simplifier la tache, ZeOutdoor vous offre un récapitulatif des meilleurs spots de snowkite en France. Alors, ou va-t-on en vacances cet hiver ?

Le Col du petit saint Benard (Savoie)

Bénéficiant d’une altitude très élevée et d’un enneigement exceptionnel, le spot de snowkite du Petit Saint Bernard est très réputé dans la discipline. Les échanges de vent entre les vallées du coin proposent une aérologie très dynamique, à tel point que le col a accueilli la coupe du Monde de snowkite freestyle en 2006 et qu’une école à été créée afin d’encadrer la pratique pour les débutants, de renseigner les plus confirmés et d’assurer une pratique en toute sécurité pour tous. En bref, un spot que ZeOutdoor vous préconise fortement si vous êtes en famille ou que vous souhaitez vous essayer à la discipline.

Le plateau d’Emparis (Hautes-Alpes)

Le spot du plateau d’Emparis est l’un des meilleurs spots de snowkite en France, accessible depuis la station de Chazelet, au dessus de La Grave, Le cout de la montée en télésiège est de 5 euros. Le plateau d’Emparis (2000m) est un spot relativement vaste qui offre de nombreuses possibilités et un cadre exceptionnel avec vue imprenable sur le glacier Meije. Le vent du nord y est assez élevé sur les dômes et un peu plus irrégulier dans les vallons, ce qui rend la pratique tout de même technique.

Le Col du Lautaret (Hautes-Alpes)

À quelques kilomètres du spot de snowkite précédent, le col du Lautaret est également à 2000m d’altitude. Situé juste au bord de la route, le spot est très accessible, à condition bien sûr que le col soit ouvert à la circulation, ce qui n’est pas toujours le cas lors de fortes chutes de neige. Le vent nord/sud qui s’engouffre depuis les vallées souffle très fort et les conditions météorologiques y sont parfois très capricieuses. Assurément un spot de snowkite très réputé en France pour les personnes confirmées. À noter qu’il s’y déroule régulièrement le SnowKiteMaster, où se rencontrent les meilleurs Snowkiters pour s’affronter.

Autrans (Isère)

Accessible depuis Grenoble, le spot de snowkite d’Autrans est basé sur le même principe que celui du Col du petit Saint Bernard, avec une école de snowkite qui propose des cours collectifs et des cours pour les enfants. À 1000m d’altitude, le relief et le vent sont un peu moins prononcés que dans les spots précédents et vous pourrez profiter du magnifique panorama du Vercors dans cette plaine très vaste.

 Le Font D’urle (Drôme)

À 1700m d’altitude, près de Vassieux en Vercors le spot est accessible depuis les pistes de ski de la station. Il possède également une école qui propose l’activité du snowkite. Le spot reste cependant vallonné et parfois très pentu avec un vent du nord parfois très costaud. Conseillé aux plus confirmés si vous n’êtes pas accompagné par les moniteurs de l’école.

 Les Angles (Pyrénées)

Cette station en partie dédiée au Snowkite est très attractive puisqu’elle possède une plaine à 1500m d’altitude, un lac gelé, un aérodrome fermé accessible aux snowkiters ainsi qu’un plateau à 2500m d’altitude. Ce spot a acceulli, en 2010, l’étape finale des championnats du monde de snowkite. De quoi donner envie à ceux qui recherchent un spot très varié et complet.

Les Rousses (Jura)

Sans aucun doute le spot le plus réputé du Jura, avec un très grand lac gelé accessible depuis les pistes de la station du même nom à environ 1200m d’altitude. Ce spot, frontalier à la Suisse accueil le Jurakite, une compétition amicale qui se déroule le dernier week-end de janvier et qui réunis de très bons pilotes Suisses et Français. Un très beau spectacle technique visuel si vous ne souhaitez qu’admirer !

Chastreix-Sancy (Auvergne)

Depuis la station du même nom, le spot est situé dans les plaines brulées (entre 1500 et 1700m d’altitude), un très grand terrain avec une neige abondante et une bonne exposition nord-ouest, qui en fait un lieu très attractif pour les snowkiters de la région.

Comment bien choisir son Yooner ?

Cruel dilemme. Après lecture de notre article sur le Yooner, vous êtes sans doute emballés par la perpective de pouvoir vous asseoir confortablement sur votre luge Yooner, en déferlant sur les pistes à la manière d’un skieur. Mais voilà, vous ne savez toujours pas quelle luge Yooner est faite pour vous. Tant pis ? Pas vraiment puisque ZeOutdoor vous propose un comparatif des deux modèles existants afin de vous permettre d’acheter votre Yooner.

 Le Yooner TSL plastique

Relativement léger, le Yooner TSL plastique est assez flashy (coloris orange ou vert). Il est également un peu plus fragile à l’arrière du siège par rapport à la version bois et un peu plus haut. Le ski monté sous la luge Yooner est en inox, garantissant une solidité et une maniabilité optimale sur les pistes et l’amortisseur présent sous le siège améliore le confort lorsque le terrain est plus irrégulier. Le Yooner plastique est le compagnon parfait de ceux qui découvrent la discipline.
-Poids: 3,5kg
-Dimensions : 60x73x26cm
-Prix : 180 euros en moyenne

 Le Yooner tsl bois

Le Yooner TSL bois partage les même caractéristiques techniques que sa déclinaison plastique en ce qui concerne le ski et l’amortisseur. Un peu plus lourd et plus onéreux, (en moyenne de 10%), il ravira les amateurs de matériaux authentiques. Taillé dans de l’épicéa, le Yooner bois est le modèle le plus robuste et conviendra parfaitement à une utilisation intensive.
-Poids : 3,7kg
-Dimensions : 52x75x27
-Prix : 200 euros en moyenne

Mais ça sert à quoi un Yooner ?

Vous voulez gagner votre prochaine partie de Trivial Pursuit et gagner le camembert sport ou bien etre intelligent lors de votre prochaine sortie mondaine?
Soyez incollable sur le Yooner en lisant notre article : le Yooner, un glisse à la mode.

Descente en Ice Canyoning, une idée originale pour Noël à -30%!

Vous n’avez toujours pas d’idée de cadeau pour votre frangin à Noël. Vous manquez cruellement d’originalité et aimeriez qu’on vous guide pour offrir autre chose qu’une cravate à votre jeune premier ou un bijou fantaisie à votre chère moitié. Et en plus vous êtes fan d’outdoor !!…

Voici un cadeau original pour Noël : Offrez une descente en Ice-canyon !!!

Vous serez d’autant plus original que cette activité outdoor arrive tout juste en France et que même Claire Chazal en parle au JT .
Zeoutdoor vous fait profiter de son deal pour le lancement de l’activité à l’occasion des fêtes de Noël. Voir notre offre !

Le Ice canyon en détails

Imaginez-vous descendre en rappel un orgue de glace… Cette cascade d’eau gelée vous accompagne dans les gorges étroites d’un torrent dont la température est proche de zéro. En bas tout est blanc… La glace et les berges immaculées par la neige saupoudre rendent cet univers féerique. Vous plongez !

Plus la peine de pisser dans sa combinaison pour avoir chaud. Le ice canyon réservé autrefois aux givrées au sang froid s’adresse désormais à toute la famille (+16ans) grâce à l’évolution des combinaisons qui sont complètement étanches et permette de mettre sa première couche mérinos dessous.

Combinaison, chaussures et casque , vous voila équipés pour arpenter les torrents givrés des Pyrénées entre escalade sur glace, nage en eau froide et bataille de boules de neige.

Encadré par un guide canyoning le Ice Canyon s’adresse  à tous les niveaux.

Rendez-vous à Pau et vous partirez avec Expérience Canyon (www.experience-canyon.com). Le boss, Laurent Poublan, pionnier dans le développement de cette activité vous prendra en charge pour vous amener en vallée d’Ossau pour découvrir ces nouvelles sensations. Vous passerez une journee entière entre neige et glace dans votre combinaison étanche.

Notre offre -30% pour Noël :

A l’occasion du lancement de cette activité en France et pour vous permettre d’offrir un cadeau vraiment original à Noël en ces temps de crise économique Zeoutdoor vous fait profitez de son deal : cette journee à 98 euros au lieu de 140 euros (soit 30% d’économie).
En prime, on viendra tester avec vous !!

Pour recevoir votre bon cadeau ou avoir plus de renseignements : fred@zeoutdoor.com ou 06 87 70 46 93.

Voici l’occasion de prévoir un chouette WE en famille ou entre amis ou encore de prévoir votre prochaine destination pour les vacances de février !!!

Le canyoning  hivernal en vidéo :

5 sacs à dos de trail au banc d’essai

Avant de partir à l’aventure, il est recommandé de prendre cinq minutes pour bien choisir son sac à dos de trail. Ça tombe bien, on en a sélectionné cinq rien que pour vous.

Lafuma Ultra Trail 3 – Le minimaliste

3 litres de contenance, c’est peu, c’est certain. Malgré sa capacité de portage, ses fans notent la sensation de ne rien avoir sur le dos . Bien que ne faisant que 3 petits litres, ce sac à dos Lafuma Ultra Trail 3 peut embarquer une poche à eau. Il dispose également de deux porte-bidons sur les bretelles. Les poches arrière sont réputées à l’imperméabilité à toute épreuve, tandis que sa légèreté (336 grammes) vous séduira.

Points à retenir :

• Compartiment principal zippé
• Poche sécurité intérieure zippée
• Compartiment poche à eau
• Sifflet sur sangle poitrine
• 2 porte-bidons sur les bretelles.
• Capacité : 3L
• Poids : 0,336kg
• Prix: 65€

The North Face Enduro 13 – L’assoiffé

Non seulement son design pète franchement, mais en plus le The Northe Face Enduro 13 a décidé de vous abreuver. D’ailleurs, vendu avec les bidons il s’appelle l’« hydratation pack ». Et ce n’est pas un hasard. A la possibilité d’embarquer une poche à eau de 2 litres s’ajoute celle de transporter deux bidons de 0,5 litres. 3 litres d’eau au total, il y a de quoi faire. Mais le must de ce sac à  dos de trail, c’est que les mecs qui l’ont fait on réfléchi : un type qui embarque beaucoup d’eau, ça veut dire qu’il en perd beaucoup, donc qu’il transpire à mort. Résultat : une technologie super respirante et anti frottements pour le dos. Attention à un truc quand même : il s’appelle « 13 » mais son volume est de 8 litres. Ne nous demandez pas pourquoi.

Points à retenir :

• Le manchon d’hydratation accueille des réservoirs de 2 litres
• Recouvert en mousse E-VAP super respirante
• Deux grandes poches zippées sur la ceinture avec porte-clés
• Double boucle pour bâton de randonnée et multiples points d’attache extérieurs réfléchissants
• Poids : 383 grammes + 75 grammes par bouteille
• Capacité : 8 litres.
• Prix : 80€

Quechua Trail 10 L – Le raisonnable

Oui, il est un poil boudiné, quand on le regarde comme ça. Mais attendez avant de vous moquer. Il possède les caractéristiques essentielles des grands. Poche à eau, deux poches sur la ceinture, un sifflet et un porte-bâtons, ce sac à dos de trail vous apportera l’essentiel. Le vrai plus du Quecha Trail 10L : il ne coûte que 26,95€. A ce prix là, on va au moins l’essayer. A vous de vérifier que les fonctionnalités qu’il ne possède pas ne relèvent pas seulement du caprice du « traileux » pourri-gâté…

Points à retenir :

• Stable grâce à son portage enveloppant.
• Sangle de poitrine.
• Sac garanti 5 ans.
• Poches: 2 en ceinture, 1 grande dorsale.
• Porte-bâtons.
• Vendu avec 1 poche à eau
• Sifflet intégré
• Poids : 550 grammes
• Capacité : 10 litres
• Prix : 26,95€

Salomon Pro 10+3 – Le luxueux

Avec ses 130€ (quand même) au compteur, on s’attend à un produit tout simplement parfait. Sans aller jusque là, il faut reconnaître que ce sac à dos Salomon a fait ses preuves, et conquis nombre de trailers. Son point fort : l’ergonomie. Elle lui permet une bonne répartition du poids et une sensation de légèreté même avec 13 litres sur le dos. Après, à vous de voir si vous avez envie de lâcher autant d’argent pour ce magnifique Salomon Pro 10+3.

Points à retenir :

• 1 compartiment principal
• 2 poches poitrine
• 2 rangements latéraux
• 1 poche de sécurité
• Système de portage : Accroche-bâtons
• Housse isolante pour poche à eau
• Valve buccale avec système marche/arrêt
• Poche à eau souple 1,5 l
• Imprimé réfléchissant
• Sifflet
• Poids : 450 grammes
• Capacité : 13 litres
• Prix : 130€

Raidlight Endurance 14L – Le polyvalent

14 litres d’intelligence, chez Raidlight. Son astuce à lui : des élastiques de compression dans le dos. Comme ça, même si vous ne le remplissez pas, votre matériel ne se promènera pas dans votre dos et vous n’aurez pas l’impression de transporter les sept nains. Habile, ce n’est pas la seule qualité de ce sac  dos, qui intègre un porte-bidon ou encore des poches sur la ceinture et les bretelles. Vous ne serez jamais bien loin de votre matériel essentiel !

Points à retenir :

• Porte-bidons ceinture, livré avec 1 bidon 600ml
• Corps du sac avec 3 compartiments zippés
• Compartiment et sortie poche à eau
• 2 poches ceintures
• 2 poches bretelles
• Elastique de compression
• Ceinture pectorale avec sifflet secours.
• Poids : 610g
• Capacité : 14 litres.
• Prix : 69,90€

Quel est l’appareil photo outdoor adapté à vos besoins ?

Des difficultés à choisir votre appareil photo outdoor ? Votre appareil photo sport a déjà cédé sous les trombes d’eau et les nombreuses chutes que vous lui aviez imposé ? Et du coup, le nouveau, vous le voulez sans doute plus solide ? Ergonomique et léger ? Performant et à objectifs interchangeables ? Pas de panique, ZeOutdoor vous offre justement un comparatif des meilleurs appareils photo adaptés à l’outdoor

Réflex numérique, Bridge ou compact ?

Avant de vous lancer dans le comparatif des appareils photo outdoor, il faut distinguer deux types d’appareils photo numériques ; Les compacts et les brides (ergonomiques) et les réflex (à objectifs interchangeables) Parmi les bridges, on retrouve bon nombre d’appareils photos antichocs étanches, plutôt compacts et rigides. Les appareils photo sport de type réflex sont plus performants mais également un peu plus lourds  et onéreux car ils permettent de photographier des scènes sportives ou des scènes en basse lumière tout en gardant une netteté optimale que les compacts ne pourront pas garantir. Il convient toutefois d’adjoindre aux réflex des optiques (différentes pour le sport, pour le paysage …), qui alourdissent encore le cout.

Les meilleurs appareils photo outdoor compacts

Outre l’ergonomie et le prix, l’avantage d’un appareil compact est qu’il peut être complétement étanche à l’eau sans l’ajout d’un caisson adapté. De ce côté, Panasonic a frappé très fort. Pour 300 euros, le lumix FT3 est étanche jusqu’a 12 mètres et conçu pour conjurer toutes vos maladresses. Équipé d’une puce GPS pour géolocaliser vos photos dès la prise de vue, il semble également rapide et réactif pour un compact, avec une rafale de 2,5 images par seconde, ce qui en fait le meilleur appareil photo antichoc étanche et adapté aux petits budgets.

L’Olympus TG-820 est également un très bon choix en matière d’appareil photo compact outdoor, bien qu’un poil moins véloce que son concurrent. Derrière, le Nikon coolpix AW100, le Pentax Optio W90 et autres Sony peuvent être de bonnes alternatives, pour un prix un peu moins élevé. À noter que l’on peut tout de même ajouter un caisson étanche aux compacts pour les plongées jusqu’à 60 mètres, cependant, le manque de lumière deviendra rapidement un calvaire pour la qualité de l’image, déjà fortement réduite sur ce type d’appareils.

Les meilleurs appareils photo outdoor réflex

Du côté des reflex, pas d’appareil photo outdoor étanches sans caisson ( Comptez environ 1000 euros pour un caisson étanche), mais la bonne affaire du moment est sans doute le Pentax K-30. Si vous souhaitez sauter le pas et passer à quelque chose de plus performant, il est l’un de rare boitier du genre à être tropicalisé, c’est à dire résistant à la pluie et aux poussières. Pour 700 euros, il est accompagné d’une optique 18-55mm, à laquelle il faudra sans doute adjoindre un téléobjectif si vous faites de la photo sportive. Performant en basse lumière, il bénéficie d’une rafale de très loin supérieure aux compacts avec 5,5 images par secondes.

Pour les plus confirmés, c’est chez Canon qu’il faudra se tourner. L’EOS 7D est tout simplement le meilleur appareil photo adapté à l’outdoor. Avec une rafale de 8 images par seconde et un autofocus des plus performant, il est le compagnon idéal pour la photo sportive et les paysages notamment. S’il n’est pas gratifié de la mention « tropicalisé » comme le Pentax, le 7D est réputé pour être robuste et pour résister à de grands écarts de température. En revanche, la bestiole plafonne au prix de 1100 euros, auxquels il faudra bien sûr adjoindre des objectifs. Notons tout de même que des packs intéressants existent avec un 18-55mm ou un 18-135mm.
Si votre budget est réduit, mais que vous souhaitez tout de même passer sur un réflex, le Nikon D3100 et le canon 1100D sont des entrés de gammes performants, mais qui n’ont pas de résistances particulières en tant qu’appareils photo outdoor.

Le top 5 de la rédaction :

1)Panasonic lumix FT3
2)Pentax K-30
3)Canon EOS 7D
4)Olympus TG-820
5)Nikon coolpix AW100