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Le conseiller Ford demande au chef de police de se retirer temporairement

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TORONTO – Le frère du maire de Toronto lance un appel au retrait temporaire du chef de la police.

Le conseiller municipal Doug Ford demande également au comité de surveillance de la police de Toronto d’enquêter sur la récupération d’une vidéo dont les images montreraient le maire Rob Ford fumer du crack, selon des allégations, et la gestion de l’affaire par le chef de police, Bill Blair.

Le conseiller Doug Ford a déclaré aux médias, mardi matin, que M. Blair devrait quitter ses fonctions le temps qu’une enquête soit menée par le comité de surveillance de la police, composé de civils. Il a affirmé n’avoir jamais croisé auparavant un chef de police aussi biaisé, allant même jusqu’à dire que M. Blair a agi comme «juge et jury» dans cette affaire.

Doug Ford reproche notamment au chef Blair ses propos de la semaine dernière, alors qu’il révélait détenir une vidéo qui corrobore les informations véhiculées par des médias à l’effet qu’on y voit Rob Ford fumer une substance qui semble illicite. Il avait ensuite affirmé «être déçu en tant que citoyen».

Le frère du maire y voit des propos inappropriés pour un chef de police en fonction et en uniforme, d’autant plus qu’il s’agit d’allégations.

Le maire Rob Ford a nié avoir fumé du crack, et il demande maintenant au chef Blair de rendre publique la prétendue vidéo.

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Scandale au Sénat de nombreuses questions restent sans réponse au jour du vote

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OTTAWA – Alors que les sénateurs se préparent à voter pour suspendre sans salaire trois de leurs collègues, plusieurs questions sur l’avenir de ces ex-conservateurs demeurent sans réponse.

Lundi, le débat sur leur suspension s’est terminé à minuit, avec un plaidoyer émotif de Patrick Brazeau, clamant une nouvelle fois son innocence.

Les libéraux, qui disent ne pas approuver la façon dont M. Brazeau, Mike Duffy et Pamela Wallin ont utilisé les fonds publics, en ont toutefois contre la procédure de suspension — violant la présomption d’innocence, sans possibilité d’appel.

La sénatrice libérale Joan Fraser est allée jusqu’à affirmer que les sénateurs ignoraient en réalité les implications de leur vote. Impossible, par exemple, de savoir si les deux ans que les sénateurs seraient suspendus entreront dans le calcul de leur régime de retraite. Rien non plus sur comment M. Brazeau pourra rembourser les sommes perçues en trop s’il n’a plus de salaire. Jusqu’à présent, le remboursement était prélevé par le Sénat à même son chèque de paie.

Sur un autre front, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) tente elle aussi d’obtenir des réponses, spécifiquement en lien avec des allégations faites par M. Duffy. Les enquêteurs cherchent notamment à mettre la main sur des courriels qui prouveraient l’existence d’un script, fourni au sénateur par le bureau du premier ministre, selon lequel M. Duffy affirmerait à tort avoir contracté un prêt à la banque RBC pour rembourser les 90 000$ d’allocations de logement auxquelles il n’avait pas droit. C’est plutôt le chef de cabinet de Stephen Harper d’alors, Nigel Wright, qui aurait signé un chèque personnel à M. Duffy.

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Projet d’extraction/traitement de terres rares de 1 3 milliard pour Bécancour

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BÉCANCOUR, Qc – Un projet intégré d’extraction et de traitement de terres rares viendra s’installer à Bécancour.

Le vaste complexe de 1,3 milliard $ sera construit à partir de 2016 pour une ouverture en 2017.

Le nouveau maire de Bécancour, Jean-Guy Dubois, amorce son premier mandat avec force puisque la future usine hydrométallurgique de Minéraux rares Quest devrait employer plus de 500 personnes. De plus, au moins 300 personnes oeuvreront à temps plein à la phase de construction.

L’entreprise d’exploration canadienne a procédé à cette annonce mardi, après avoir analysé les résultats de l’étude de préfaisabilité approfondie pour son projet de la Zone-B de Lac Strange.

Les terres rares sont utilisées pour des usages comme la téléphonie cellulaire, les éoliennes, les moteurs électriques, les écrans plats et plusieurs autres usages technologiques.

Peter Cashin, président et chef de la direction de Quest, a confirmé qu’il soumettra son projet aux fins d’examen par le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement du Québec (BAPE).

Quest annonce aussi la mise sur pied du «Comité de suivi Quest-Bécancour», un organisme qui compte réunir les élus, divers représentants locaux dont l’Union des producteurs agricoles (UPA) et des membres des communautés autochtones. Quest entend permettre aux membres du Comité de visiter l’usine pilote, entièrement intégrée, en 2014.

Si l’ouverture est prévue en 2017, la livraison des premiers produits devrait se faire l’année suivante.

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Dupuis admet avoir caché la présence de Desjardins à Arsenault et au Fonds

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MONTRÉAL – L’ancien directeur général de la FTQ-Construction, Jocelyn Dupuis, a admis mardi qu’il a caché au Fonds de solidarité de la FTQ et à Michel Arsenault que le caïd Raynald Desjardins était derrière l’entreprise Carboneutre qui sollicitait l’aide financière du Fonds.

Et si Dupuis l’a caché, c’est parce qu’il savait que si le Fonds et le président de son conseil d’administration Michel Arsenault l’avaient su, le Fonds aurait décidé d’emblée de ne pas investir dans cette entreprise de décontamination des sols. M. Dupuis faisait pression depuis des mois sur le Fonds pour qu’il prête des millions de dollars à l’entreprise Carboneutre.

«Est-ce que le seul qu’on a laissé dans l’ignorance pour Carboneutre c’est M. Arsenault?» lui a demandé le procureur chef adjoint de la commission, Me Denis Gallant.

«Pour moi, Raynald Desjardins n’était pas le propriétaire» de Carboneutre, mais Domenico Arcuri, a répondu M. Dupuis.

Mais M. Dupuis a admis avoir tout de même caché la présence du caïd Desjardins au sein de l’entreprise. «C’est volontairement que je l’ai fait, que je n’ai pas transmis comme quoi Raynald Desjardins nous aidait (avec Carboneutre) parce que le Fonds, si j’avais dit que Raynald Desjardins était une personne qui nous aidait, le Fonds aurait été fermé à cette entreprise-là ou d’autres personnes.»

Quant à M. Arsenault, M. Dupuis affirme le lui avoir caché parce qu’il est moins ouvert que lui et qu’il n’aurait peut-être pas accepté de donner une occasion de réhabilitation à Raynald Desjardins.

Mais, de toute façon, le Fonds n’a finalement jamais investi dans Carboneutre.

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Mon espace de travail David Paquet

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David Paquet a remporté le Prix littéraire du Gouverneur général en 2010, catégorie «Théâtre», pour Porc-épic.

Mon espace de travail - David Paquet

Mon espace de travail – David Paquet

« Mon vrai bureau est impossible à photographier. C’est un monde où les fours sont magiques et les canards immortels. J’y rencontre des êtres de papier qui sont, généralement, seuls et attachants. Ce lieu est plutôt capricieux. Il me reçoit à ses heures, quand il le veut bien. Son horaire n’est pas fixe; nous avons cela en commun. »

« Parfois je m’y rends et personne ne s’y trouve. J’ai beau flâner, mais peine perdue : le bureau ne veut pas de moi. Parfois, c’est lui qui vient me déranger. Ça arrive surtout dans le bain ou aux abords du sommeil. Choisir de prendre des notes signifie devoir se lever. Chaque emploi a ses désavantages. »

« Mon bureau secondaire est partout. Certains l’appellent « vie de tous les jours » ou « quotidien ». Je préfère l’expression « incessant et magnifique panorama du grand défi de la cohabitation humaine ». Mais c’est plus long à dire. J’y rencontre des êtres de chair qui sont, généralement, seuls et attachants. »

« J’aime m’y déguiser en citoyen, en collègue, en consommateur et observer nos différences et nos similitudes. J’accorde une attention particulière à nos similitudes. Une façon, pour moi, de promettre au spectateur qu’il sera aussi sur la scène. Mon espoir : qu’à se regarder, on finisse par se voir. Et qu’à se voir, on gagne en compassion. »

« Mon bureau physique est un petit meuble dans une petite pièce, comme sur la photo. C’est l’endroit où l’imaginaire et le réel deviennent du théâtre. »

« J’y étais quand j’ai appris que Porc-épic avait remporté le Prix du Gouverneur général. Je me suis dit : aujourd’hui, il est grand mon petit bureau. Puis je me suis reposé, sachant que j’aurais le privilège d’y revenir encore et encore. »

David Paquet - Photo : Yanick Corriveau

David Paquet – Photo : Yanick Corriveau

* * *
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Les deux Corée toujours aussi loin d’un rapprochement

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 Photo : Philippe Lopez / AFP / Getty Images

Park Geun-Hye, présidente de la Corée du Sud – Photo : Philippe Lopez / AFP / Getty Images

Après 60 ans de crises et d’épisodes de forte tension, est-il encore possible de rétablir la confiance sur la péninsule coréenne et de bâtir une paix durable ?

Le 17 décembre 2012, Park Geun-Hye fut élue à la tête de la Corée du Sud après s’être engagée à améliorer les relations avec la Corée du Nord. Après cinq ans de haute tension sous la gouverne du conservateur Lee Myung-Bak, la première femme dirigeante en Asie du Nord-Est suscitait ainsi les espoirs d’une bonne partie de l’électorat sud-coréen. Obtiendra-t-elle les succès escomptés? Rien n’est moins sûr.

Park est arrivée au pouvoir en promettant de mettre en œuvre une doctrine de « trustpolitik », une sorte de voie mitoyenne empruntant aux progressistes l’ouverture au dialogue, tout en mettant fermement de l’avant la sécurité nationale, comme l’avait fait son prédécesseur.

L’occasion était donc belle pour le régime du jeune leader Kim Jong-Un de profiter de la transition politique à Séoul pour repartir sur de nouvelles bases avec une dirigeante plus disposée à faire affaire avec lui.

Toutefois, le lancement de fusée effectué par Pyongyang en décembre 2012 ainsi que son troisième essai nucléaire deux mois plus tard furent à l’origine d’une crise d’une ampleur rarement vue depuis la division de la péninsule, en 1948.

Depuis quelques mois, la tension a cependant baissé, et Séoul et Pyongyang ont repris le dialogue. Au mois d’août, les deux Corée ont signé un accord sur la réouverture du parc industriel de Kaesong, dernier vestige de la coopération intercoréenne, que Pyongyang avait fermé unilatéralement au plus fort de la crise.

Kim Jong-Un a également exprimé la volonté de reprendre les pourparlers à six (Corée du Nord, Corée du Sud, Chine, États-Unis, Japon et Russie) sur le nucléaire, qui sont suspendus depuis 2009.

Si, en surface, la péninsule coréenne s’est stabilisée, la méfiance demeure élevée de part et d’autre, comme en font foi les récentes déclarations critiques proférées des deux côtés du 38e parallèle. De plus, les ambitions nucléaires de la Corée du Nord représentent un obstacle majeur au succès de la « trustpolitik ».

Tout en se disant prêt à reprendre les négociations, le régime nord-coréen refuse jusqu’ici de poser des gestes concrets en faveur de la dénucléarisation, ce qui est la condition imposée par Washington pour une reprise du dialogue.

Comme Pyongyang semble avoir récemment redémarré l’un de ses réacteurs nucléaires, on peut comprendre l’administration Obama d’hésiter à reprendre les pourparlers. Sans négociation, le programme nucléaire avance donc sans obstacle, et la « trustpolitik » est à long terme vouée à l’échec.

La « trustpolitik » de la Park Geun-Hye semble pour l’instant continuer à jouir de l’appui de la population. Toutefois, sans avancée réelle, cela ne saurait durer.

En outre, avec une population de plus en plus tiède à l’idée de la réunification, il y a lieu de se demander si cela pourrait à l’avenir avantager les conservateurs, avec des conséquences négatives sur les relations intercoréennes. Le défi est plus qu’imposant pour la présidente sud-coréenne.

Benoit Hardy-Chartrand

Chercheur associé, Observatoire de géopolitique

Chaire @RDandurand @UQAM

Suivez-le @BenHardyC

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L’ibuprofène serait inutile contre le rhume et le mal de gorge

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MONTRÉAL – Tout juste à temps pour le début de la saison hivernale, une étude publiée dans le prestigieux British Medical Journal prévient que l’ibuprofène semble inutile dans la lutte contre le rhume et le mal de gorge.

Des chercheurs de l’université britannique de Southampton ont comparé l’efficacité de l’acétaminophène (Tylenol) à celle de l’ibuprofène (Advil, Motrin) et de l’ibuprofène prise conjointement avec de l’acétaminophène chez les patients souffrant d’une infection des voies respiratoires.

L’auteur de l’étude, le professeur Paul Little, a expliqué que la prise d’ibuprofène ou d’ibuprofène combinée à de l’acétaminophène n’a semblé avoir aucun impact, même si l’ibuprofène semble bénéfique aux enfants ou aux patients souffrant d’une infection au niveau de la poitrine.

Les patients à qui on avait prescrit de l’ibuprofène ou de l’ibuprofène combinée à de l’acétaminophène étaient plus susceptibles que les autres d’être de retour moins d’un mois plus tard, avec des symptômes aggravés ou de nouveaux symptômes. Entre 50 pour cent et 70 pour cent des patients qui avaient pris de l’ibuprofène ou de l’ibuprofène et de l’acétaminophène sont revenus.

Le professeur Little a admis être quelque peu surpris par ces résultats. Il a rappelé que l’ibuprofène est un anti-inflammatoire et que le produit interfère possiblement avec la réponse immunitaire, ce qui mène à un prolongement des symptômes ou à leur détérioration chez certains individus. Il a ensuite déclaré qu’il convient d’approcher des résultats aussi surprenants avec une certaine prudence.

L’étude randomisée a recruté 899 patients qui se sont présentés chez leur médecin de famille avec une infection des voies respiratoires. Il a ensuite été conseillé aux patients de prendre de l’acétaminophène, de l’ibuprofène ou les deux produits soit au besoin, soit quatre fois par jour.

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Élections municipales] Le faux drame du taux de participation

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Au lendemain des élections municipales, plusieurs se désolent du faible taux de participation électorale : 43 % à Montréal et 53 % à Québec, notamment. Certains voient dans ces chiffres le signe d’une démocratie malade, du décrochage des électeurs ou du cynisme ambiant. De tels taux de participation seraient ainsi le symptôme d’un profond mal social.

Peut-être. Certaines réformes démocratiques seraient certainement les bienvenues. Le cynisme est certainement élevé. Et plusieurs électeurs « décrochent » certainement de leur devoir démocratique idéal — s’informer, réfléchir, discuter, exercer leur droit de vote.

Il faut toutefois replacer ces chiffres dans leur contexte.

Lors de la dernière élection provinciale, tenue il y a exactement 14 mois, le taux de participation a été de 74,6 % à l’échelle du Québec. Les mêmes électeurs ont donc été beaucoup plus nombreux à se déplacer pour les élections provinciales de l’an dernier que pour les municipales de dimanche.

Notre démocratie a-t-elle été frappée d’un mal soudain au cours de la dernière année ? Le cynisme politique a-t-il augmenté considérablement en 14 mois ? Des milliers d’électeurs encore préoccupés de démocratie en septembre 2012 ont-il abdiqué entre cette date et l’élection de dimanche ? Probablement pas.

Certes, la commission Charbonneau a dégoûté beaucoup de citoyens au cours de la dernière année — surtout à Montréal —, mais si elle a eu des répercussions sur le taux de participation, elles ont probablement été positives. À 43 %, le taux de participation à l’élection montréalaise est 10 % supérieur à celui de 2009 (39 %), et 23 % supérieur à celui de 2005 (35 %). La tendance est bonne.

Par ailleurs, quand on se compare, on se console. Le taux de participation à l’élection municipale de 2010 à Toronto a été de 53 % — un bon score, peut-être attribuable à la grève des cols bleus de Toronto de 2009 —, mais les taux de participation étaient de 39 % en 2006 et de 38 % en 2003, très comparables à ceux de Montréal. Quant à la dernière élection à la mairie de New York, en 2009, le taux de participation a été de… 18,4 %.

Au niveau fédéral, le taux de participation électorale oscille autour de 60 % depuis l’an 2000, ce qui est supérieur à ce qu’on observe pour les élections fédérales américaines pour les mêmes années. Quant aux élections provinciales tenues au Québec depuis l’an 2000, le taux de participation moyen est de 68,5 % — soit 12 % plus élevé qu’au fédéral.

Tous ces chiffres se comparent avantageusement à ceux de la Suisse, qu’on présente souvent (et souvent avec raison) comme un modèle de démocratie. Le taux de participation aux élections provinciales québécoises est aussi plus élevé que celui des législatives en France (le taux de participation est plus fort pour les présidentielles).

Deux derniers chiffres. Lors du référendum de 1995 sur la souveraineté du Québec, le taux de participation a été astronomique : 93,5 % (encore plus élevé qu’en 1980). Quant aux élections scolaires de 2007, le taux de participation a été misérable : 7,9 %.

Que retenir de tout cela ? Plusieurs choses sans doute, mais probablement que les électeurs sont davantage motivés par les grandes et graves questions que par les petites et insignifiantes.

Le référendum de 1995 demandait aux électeurs de choisir si, oui ou non, ils voulaient changer de pays. L’enjeu était énorme, facile à comprendre, et connu de tous. Tout le monde est allé voter. Les élections scolaires de 2007 demandaient aux électeurs de choisir parmi plusieurs candidats inconnus, aux programmes obscurs, et à l’impact incertain. Personne n’est allé voter.

Autrement dit, plus les enjeux sont clairs, connus et significatifs, plus les gens votent. Plus les enjeux sont techniques, inconnus ou insignifiants, plus les gens s’abstiennent.

Vous voulez obtenir un taux de participation électorale de 100 % demain matin ? Tenez un référendum qui demande aux citoyens si, oui ou non, tous les Québécois de 18 à 60 ans devraient aller se battre et mourir au front en Afghanistan. Vous voulez un taux de participation de 0 % ? Organisez une élection à 23 candidats anonymes pour le poste de contrôleur comptable de la petite caisse des travailleurs temporaires de la Baie-James.

Que signifie un taux de participation de 43 % à Montréal, dans ce contexte ?

Que les Montréalais considèrent aujourd’hui les enjeux municipaux comme plus importants qu’en 2005 et 2009. Qu’ils demeurent davantage motivés et intéressés par la politique provinciale que municipale — ce qui n’est pas nécessairement choquant, considérant entre autres le manque d’autonomie de Montréal. Que le Montréalais moyen considère que l’impact et l’importance d’une élection municipale se trouvent quelque part entre ceux d’une élection scolaire et d’un référendum. Ou, peut-être, que 57 % des Montréalais pouvaient s’accommoder de n’importe quel des principaux candidats comme maire. On peut déplorer cette indifférence, mais ce n’est pas nécessairement un drame.

Comme tous les observateurs attentifs de la politique, j’aimerais voir des taux de participation de 100 % à chaque élection, ne serait-ce que pour le principe. J’appuie sans réserve toutes les mesures qui peuvent contribuer à accroître la participation électorale (il existe des études très savantes sur le sujet). Et je comprends qu’après tous les scandales découverts à Montréal ces dernières années, on aurait pu s’attendre à une plus forte participation.

Cela dit, en temps de paix et de prospérité relatives, sans enjeu catastrophique en vue, je ne m’étonne pas de voir ramollir les taux de participation électorale. Beaucoup d’observateurs (et au moins un candidat) ont déploré le peu de contenu présenté lors de la dernière campagne municipale, ce qui n’aide probablement pas à susciter l’enthousiasme populaire. Quand l’heure sera grave, les questions claires et les conséquences dramatiques, j’ai bon espoir que les électeurs retourneront en masse dans les isoloirs.

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Pour soigner votre gueule de bois électorale virtuelle

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À la suite des élections municipales, les déçus râlent sur mes réseaux sociaux. De même que plusieurs déprimés. Et des surpris. Et quelques fâchés, bien entendu. Il y a toujours des fâchés quelque part. Les contents sont rares.

Étonnant ? Pas du tout : nos réseaux faussent tout simplement notre représentation du réel. Nous en sommes quittes pour une gueule de bois virtuelle quand les faits, têtus, contredisent nos consensus numériques.

D’abord, je le confesse : je suis moi-même plutôt genre « addict » aux réseaux. J’ai même déjà écrit à ce propos. Que voulez-vous : devant mon ordi, que j’utilise juste pour du sérieux, genre tableaux, chiffres et lettres — mais jamais de jeux —, je ne peux résister à zieuter régulièrement Facebook et Twitter. Je suis comme ça. Plutôt contaminé. Mais en contrôle, hein.

Et même si je me crois très fort en mode multitâche, je sais bien que j’en deviens moins productif, comme toutes les études le montrent.

Mais bon, quand ça bouge, les réseaux sont formidables. Je trouve. Pour les élections par exemple : nos plates soirées électorales d’antan se transforment en déferlante informationnelle, en manne de contenu, en orgie numérisée ! Chapeau.

J’étais donc ce dimanche vissé à mon écran et fébrile sur mon clavier en regardant Patrice Roy s’inquiéter entre autres choses de la longueur très peu 2.0 des réponses de madame Simard. Les tableaux s’affichaient, les tweets fusaient, mon mur débordait.

Faut le dire, les réseaux bouillonnent alors : images, faits, révélations, lapsus, déceptions et sourires en rafale — un feu d’artifice.

Mais il fallait voir les commentaires étonnés sur mon mur, à la sortie des résultats électoraux : « Ben voyons ! Ça se peut pas ! Ah non, c’est pas vrai ! » On tombait des nues dans les communautés virtuelles, avec mal de bloc et nausées en prime.

Le problème, c’est que cette « réalité virtuelle » se construit sur un biais fondamental. Sur une « distorsion systématique d’un échantillon ou d’une évaluation statistique. » (Antidote).

L’échantillon statistique de nos « amis », « suiveux » et « suivis » est en effet lourdement biaisé. Pour une raison bien simple : il nous ressemble. C’est normal : nous choisissons et sommes choisis. On s’enfonce donc en plein sondage antiprobabiliste et plutôt complaisant. Si on peut dire.

Certes (j’aime le mot « certes »), nos relations sociales « réelles » nous ressemblent tout autant, mais dans le monde virtuel, vu le nombre et la vitesse des échanges, l’effet miroir est décuplé : nous baignons alors dans un flot d’opinions forgées d’affinités sélectives. O.K., il y a aussi des opinions contraires, mais ça reste minoritaire.

Notez aussi le blocage, qui permet de renforcer encore plus des communautés déjà homogènes. Je connais : certains m’ont bloqué pour cause d’idées, comme Joanne Marcotte, qui pousse pour le privé en santé, alors que moi c’est le contraire. Terminés, nos stimulants échanges sur Twitter. Impossible de répondre et d’argumenter a contrario.

Moi qui ne bloque jamais personne — sauf les fraudeurs, les dérangés qui gueulent et les neveux de ces riches rois qui me lèguent chaque mois 20 millions d’euros. Pourtant, j’adore les contradicteurs, seuls à même de tester la résilience de nos idées. Mais c’est parfait pour ceux qui aiment s’obstiner tout seuls et le semblant d’unanimité.

Tout ça conduit à des « bulles d’opinions » dont le niveau de cohérence nous éloigne dans une mesure identique de la réalité.

Pas toujours lisses, d’ailleurs, les bulles : échanges acrimonieux, « tweetfights » et antagonismes divers ébranlent tous les jours les réseaux. Quand le sujet est intense, elles menacent d’éclater : avec la charte, par exemple, tellement clivante qu’elle pousse aux prises de bec binaires et aux actions de blocages préventives. Mais ça reste assez rare. Et elles sont résistantes.

Non, le vrai problème du consensus virtuel, c’est qu’une élection, ça se produit surtout dans le réel. Dans le « tout le monde » extérieur, au moins de ceux qui votent — pas très nombreux, il faut dire.

On finit par se faire croire que la réalité ressemble à celle de nos réseaux, alors quand on voit les premiers résultats rentrer, c’est ardu.

D’autant plus que les utilisateurs des réseaux sociaux, tous genres confondus, diffèrent déjà passablement de ceux qui s’en méfient. Alors on double la distance : nos amis virtuels plein d’affinités sont choisis parmi les pas-de-vie qui perdent comme moi trop de temps devant leur écran. Double biais, redoublement de surprise.

En plus, c’est pas pour dire, mais le vrai réel est biaisé dans l’autre sens, ajoutant à l’écart du ressenti.

Parce qu’on ne se racontera pas d’histoires : l’opinion publique réelle ne « spinne » jamais sans raison. Les médias de masse jouent leur rôle et formatent efficacement les idées.

Ne serait-ce qu’en parlant ou non des candidats, ce qui est déjà signer un arrêt de mort (électoral) quand on décide d’en passer un ou deux sous le rouleau compresseur du silence. Ce qui fait que ce réel formaté finit par ne plus trop ressembler à l’opinion consensuelle qui s’affiche sur murs et fils. Le réveil est parfois brutal.

Au fait, travaillant aujourd’hui à la maison, je n’ai pu prendre le pouls du « vrai monde », celui de la communauté réelle, généralement plus discrète en commentaires politiques. En tout cas, on parle assez peu de politique dans les hôpitaux.

« Heu… Y a-t-il un remède, docteur ? »

Ah oui, j’oubliais. Un remède. Heu…

Une option, c’est peut-être d’aller faire un tour dans le monde réel, de temps en temps. En plus, c’est pas mauvais pour la santé mentale.

« Et si les gens ne veulent plus sortir ? »

Alors, ben… Il reste le vote virtuel. Voilà.

Il faut élire des maires, ou mieux, des avatars de maires, à coup de « J’aime » et de retweets. Pourquoi pas?

Et on pourra au moins les désinstaller si ça vire mal.

*

Pour me suivre sur Twitter. Pour me suivre sur Facebook.

Pour me lire dans Privé de soins sur du papier qui sent l’encre ou numérique.

 

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Les nouveaux billets de 5 et 10 en polymère entreront en circulation jeudi

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OTTAWA – Les nouveaux billets de banque de 5 $ et de 10 $, fabriqués en polymère, entreront en circulation simultanément ce jeudi au Canada. Leur apparence a été dévoilée en avril dernier.

Le billet de 5 $ montre le Canadarm2 et Dextre, deux innovations robotiques utilisées dans l’assemblage et l’entretien de la Station spatiale internationale, qui veulent symboliser la contribution du Canada au programme spatial.

Pour sa part, le nouveau billet de 10 $ est orné d’une image du train Le Canadien traversant les Rocheuses. Cette illustration évoque la prouesse d’ingénierie qu’a été l’unification des limites Est et Ouest du pays par le chemin de fer.

Les nouveaux billets seront pourvus des mêmes éléments de sécurité d’avant-garde que les coupures de 20 $, de 50 $ et de 100 $ en polymère déjà en circulation. Ils seront dotés d’une combinaison d’éléments transparents et d’images holographiques.

Cette série de billets est plus économique que les anciens billets de papier de coton puisque les coupures en polymère ont une durée de vie au moins deux fois et demie plus longue, selon la Banque du Canada.

Le coût de production de ces billets en polymère a contribué à une hausse de 23 pour cent des coûts d’exploitation de la Banque du Canada cette année, mais la banque centrale assure que l’investissement dans des billets plus durables rapportera à long terme.

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Le corps inanimé d’Alexandre-Louis Guibeau Gingras a été localisé à Brossard

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BROSSARD, Qc – Le corps du jeune Alexandre-Louis Guibeau Gingras, qui faisait l’objet de recherches depuis quelques jours à Brossard, a été localisé.

Le Service de police de l’agglomération de Longueuil a précisé qu’il avait été retrouvé vers 15 h 30, lundi, dans le fleuve par des plongeurs de la Sûreté du Québec, non loin du motel Champlain.

Des recherches quotidiennes avaient été entreprises la semaine dernière dans ce secteur dans l’espoir de le retracer.

Le jeune de 19 ans avait été vu pour la dernière fois dans la nuit du 26 au 27 octobre, quittant à pied le motel Champlain, situé sur le boulevard Marie-Victorin.

Le corps a été soumis à une autopsie pour que le coroner puisse déterminer la cause du décès.

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La société canadienne de gaz naturel Encana réduit ses effectifs de 20

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CALGARY – Le géant canadien du gaz naturel Encana annonce qu’il va réduire ses effectifs de 20 pour cent et fermer son bureau à Plano, au Texas.

La société de Calgary (TSX:ECA) a fait valoir qu’elle avait besoin de devenir plus efficace et de prendre une orientation stratégique différente.

L’entreprise n’a pas précisé combien d’employés seront touchés. Elle a toutefois annoncé son intention de regrouper les activités de ses bureaux à Calgary en Alberta et à Denver au Colorado.

Encana entend également créer une nouvelle société publique qui serait centrée sur le sud de l’Alberta et qui rétablirait le dividende des actionnaires.

Comme d’autres producteurs de gaz naturel, Encana a été récemment aux prises avec une faiblesse des prix.

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Laval arrestation d’un homme qui s’était jeté dans l’eau glacée d’une rivière

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LAVAL, – La police de Laval a procédé en fin de nuit, mardi, à l’arrestation d’un homme qui a tenté de la semer en se jetant dans l’eau glacée de la rivière des Prairies.

Il semble qu’il aura la vie sauve, malgré son séjour dans l’eau froide. Il sera soigné à l’hôpital.

L’affaire a débuté lorsque trois rôdeurs ont été aperçus par des résidants de l’île Paton, qui ont composé le 911.

À l’arrivée des policiers, les trois personnes ont pris la fuite. C’est là que l’une d’elles s’est jetée dans la rivière, du haut d’un pont.

Les deux autres n’ont pas encore été localisées. (Collaboration Cogeco Nouvelles)

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Insolite Ivres elles se déshabillent à l’aéroport

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Kelly Hadfield-Hyde et Ann Chadwick ont été arrêtées à l’aéroport de Manchester pour avoir ôté leurs vêtements, le 3 décembre dernier. Pour leur défense, les deux accusées affirment s’être « pliées aux demandes du contrôleur ». L’agent de sécurité a livré une autre version. « Je n’ai jamais demandé à personne d’enlever ses vêtements. Je leur ai demandé d’enlever leurs vestes et leurs ceintures ».

Les quinquagénaires, ivres au moment des faits, ont été condamnées, cette semaine, à payer des amendes de 1.000 euros et de 600 euros. Regardez la vidéo :

[Capture écran Youtube]

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Amélie une voyageuse organisée qui aime improviser

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Amélie Une

Amoureuse de voyage, Amélie, membre de la “liligo team” s’est prêtée au jeu de l’interview pour transmettre ses bons plans à nos lecteurs. Embarquement immédiat direction l’Inde, les Etats-unis et l’océan Indien !

Bonjour Amélie, peux tu te présenter rapidement ?

Je fais du marketing et de la communication et surtout j’adore les voyages. Je vois et parle de voyage toute la journée donc je suis encore plus inspirée depuis que je travaille chez liligo.com.

Tu es récemment partie à Zanzibar, une destination originale. Comment as-tu choisi celle-ci ?

C’est grâce à liligo.com ! Nous avons un outil qui s’appelle le moteur à idées et qui permet à l’utilisateur de définir un budget maximum mais aussi la durée du vol qu’il ne veut pas dépasser ainsi que la température espérée. Je m’en suis servie et c’est comme ça que j’ai eu l’idée de prendre un vol pour Zanzibar. J’avais un budget d’environ 600 euros et je voulais aller loin. Zanzibar était une destination parfaite, dans l’océan Indien, entre l’Afrique et l’Asie.

Que retiens-tu de ce voyage ?

C’était un voyage très facile. Je n’avais pas planifié grand chose mises à part les principales activités que je ne voulais pas manquer. Il est facile de trouver un hôtel disponible et de se déplacer pour traverser l’île. Les gens sont adorables et tout le monde se dit bonjour. J’avais un peu peur que ce ne soit que plage et soleil mais en fait il y a plein de choses à faire.

Le ramassage des algues à Zanzibar

Quelles activités recommandes-tu particulièrement ?

La plongée ! C’est un endroit parfait pour ça et les moniteurs étaient très sérieux. J’ai aussi pris un cour de cuisine très typique dans un village à côté de l’hôtel. Nous avons cuisiné chez une dame, de façon traditionnelle, au milieu de la famille avec les enfants qui jouaient avant d’aller se coucher. C’était délicieux et j’ai pu faire de superbes photos.

Tu as aussi beaucoup voyagé en Inde. Peux-tu nous en dire plus ?

Je suis d’abord partie pendant mes études pendant quatre mois à Calcutta. C’était l’occasion pour partir loin, dans un endroit dépaysant tout en étant encadrée puisque j’étais à l’université. J’en ai profité pour visiter le nord du pays et le Népal. J’ai tellement aimé que j’y suis retournée deux fois pour visiter le sud.

Quel est ton plus beau souvenir de voyage ?

J’ai été émerveillée comme une enfant de voir 30 dauphins sauter autour de moi à Zanzibar. Je ne sais pas si c’est le plus beau mais c’est le dernier que j’ai en tête. C’était une surprise car nous partions pour plonger et ce n’était pas une zone réputée pour la présence de dauphins.

Quelle voyageuse es-tu ?

Je suis une voyageuse mi-organisée, mi-improvisatrice. J’aime bien me renseigner sur le pays avant de partir et acheter un guide pour en savoir plus mais généralement je réserve simplement la première nuit d’hôtel et je vois sur place pour la suite.
Je voyage aussi très léger. Mes sacs sont généralement tout petits. Passeport, carte bleue, t-shirt, chaussures, shorts et c’est parti !

L'Inde et ses mille couleurs ont séduit Amélie

C’est quoi pour toi un voyage réussi ?

C’est un voyage avec quelqu’un avec qui je suis compatible. On peut d’ailleurs très bien s’entendre avec quelqu’un dans la vie de tous les jours et pas du tout en voyage. Il faut donc faire attention. C’est aussi un voyage où les activités possibles sont variées. J’aime également être autonome, avoir assez de liberté et pouvoir échanger avec la population locale.

Sais-tu d’où te vient ce goût pour les voyages ?

Je n’ai jamais vraiment voyagé à l’étranger avec mes parents. On partait toujours en vacances en France. Mon premier grand voyage date de l’année de mes 18 ans. Je suis partie avec ma meilleure amie pendant un mois aux Etats Unis pour visiter New York, Minneapolis et Saint Louis avec des énormes valises, sans guide papier, sans téléphone. Nous avions tout organisé nous même et je crois que je me suis rendue compte à ce moment là que j’aimais vraiment ça et que finalement, avec de la volonté et un peu d’organisation, ce n’était pas si compliqué. Et puis au travail, toute la journée, on voit des destinations de rêve…alors forcément ça donne envie d’aller voir de plus près !

Ta plus folle aventure en voyage ?

C’est peut être ce voyage aux Etats Unis. Je n’avais que 18 ans et nous étions deux filles à dormir en auberge de jeunesse. Aujourd’hui, avec le recul, je me dis que c’était quand même quelque chose d’extraordinaire.

Quelles sont les destinations où tu rêves d’aller ?

L’Inde…Je veux encore y retourner ! J’adore ce pays et il y a toujours tant de choses à découvrir. Je peux en plus maintenant profiter de petites astuces qui me facilitent la vie tout en sachant que ce nouveau voyage restera étonnant, compliqué, drôle, fatigant et tellement dépaysant…Chaque jour a son lot de surprises. Après deux jours, j’ai toujours cette impression d’y être depuis des semaines tellement les aventures sont nombreuses.
J’ai aussi envie de découvrir l’Ecosse. Le côté nature et sauvage m’attire énormément. J’ai aussi entendu beaucoup de bien de l’île de Skye.
Il y a aussi la Thaïlande mais avec un but bien précis. Je voudrais y aller pour passer mon PADI (diplôme de plongée). C’est d’ailleurs mon prochain projet.

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Quizz voyage spécial départements français

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Pour ce 53e quizz, nous avons décidé de faire un Quizz voyage spécial départements français. La majorité des départements français ont été créés en 1789.

Parviendrez vous à faire un sans-faute ? Bonne chance !

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Étude plus de 800 000 Canadiens font encore appel aux banques alimentaires

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OTTAWA – Le nombre de Canadiens faisant appel à des banques alimentaires a légèrement diminué, mais il se maintient à des sommets presque inégalés un peu moins de quatre ans après la fin de la récession économique.

L’étude annuelle de Banques alimentaires Canada, dont les résultats doivent être dévoilés mardi, révèle que plus de 833 000 personnes se sont tournées vers la distribution de nourriture durant un mois donné, plus tôt cette année, comparativement à 872 379 lors du mois de mars précédent. Plus du tiers de ces gens étaient des enfants.

«Derrière cette modeste diminution se trouve une source d’inquiétude aux énormes proportions : l’utilisation des banques alimentaires demeure plus élevée qu’elle ne l’était avant la récession», mentionne le rapport.

«À une période d’apparente reprise économique, beaucoup trop de Canadiens ont encore de la difficulté à mettre de la nourriture sur la table.»

Selon le rapport, les emplois à faible revenu en sont la cause, et il en abonde en raison des nombreuses pertes dans le secteur manufacturier à travers le pays au fil des trois dernières décennies.

Des obstacles à l’accessibilité à l’assurance-emploi et à l’aide sociale — et les piètres revenus issus de ces programmes une fois que les Canadiens en difficulté parviennent à y accéder — ne font qu’ajouter au fléau.

Le rapport annuel Bilan-Faim fournit l’un des indicateurs les plus fidèles en matière de pauvreté au pays. Les plus récentes données de Statistique Canada démontrent que 8,8 pour cent de la population vivait sous le seuil de faible revenu en 2011.

Qui a faim en 2013? Plus de la moitié des gens se tournant vers les banques alimentaires sont des familles avec des enfants, conclut le rapport.

Douze pour cent des ménages demandant de l’aide avaient un emploi, tandis que cinq pour cent étaient récemment sur le marché du travail.

Onze pour cent des gens utilisant les banques alimentaires s’identifient comme étant membres des Premières Nations, des Métis ou des Inuits, et également 11 pour cent des utilisateurs sont des immigrants nouvellement arrivés au Canada.

«Chacun de ces groupes demeurent confrontés à des niveaux de pauvreté inacceptables, et en conséquence, sont forcés de se tourner vers les banques alimentaires», a constaté l’étude.

Banques alimentaires Canada a demandé aux gouvernements d’investir dans des logements à prix abordables, d’améliorer le soutien du revenu et de «hausser les investissements sociaux dans le nord du Canada pour s’attaquer aux étonnants niveaux d’insécurité alimentaire dans les régions du nord».

«Nous perdons des milliards de dollars chaque année pour tenter de régler les conséquences sanitaires et sociales de la pauvreté une fois qu’elle cause des dommages, plutôt que de la prévenir au départ», observe l’étude.

Katharine Schmidt, directrice générale de l’organisation, reconnaît que les gouvernements fédéral et provinciaux font des efforts pour combattre la faim, mais les chiffres demeurent néanmoins beaucoup trop élevés.

«Nous avons beaucoup de travail à faire, a déclaré Mme Schmidt en entrevue. Un enfant qui se couche affamé est un enfant de trop. Et nous en comptons 300 000 au pays.»

Mme Schmidt ajoute que même si les milliers de banques alimentaires au Canada «font vraiment de leur mieux», elles ne représentent pas une solution à long terme car elles ne s’attaquent pas aux causes fondamentales de la faim.

«Nous croyons que le gouvernement s’en préoccupe, qu’il voit qu’il a un rôle à jouer, a également déclaré Mme Schmidt. Le défi est de réaliser un changement dans les politiques.»

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Le Fonds du Souvenir a plus d’argent mais l’accès y demeure restreint

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OTTAWA – Malgré des changements apportés le printemps dernier à un fonds fédéral visant à permettre à des anciens combattants appauvris de se faire enterrer dans la dignité, Anciens Combattants Canada devrait dépenser moins du tiers du montant qu’il lui a été alloué dans le dernier budget.

Un nouveau rapport produit par le bureau du Directeur du budget parlementaire estime que seulement 18,4 millions $ des 65 millions $ mis de côté pour le Fonds du Souvenir, qui est supervisé par Anciens Combattants Canada, seront utilisés.

Le gouvernement s’est retrouvé dans une position embarrassante l’an dernier après l’annonce à l’effet que le fonds avait rejeté 67 pour cent des demandes qui lui avaient été acheminées durant les cinq années précédentes.

Le dernier exercice budgétaire du gouvernement fédéral a accru les sommes d’argent disponibles pour les dépenses liées aux funérailles, mais n’a pas assoupli les critères d’admissibilité, qui n’ont pas été révisés depuis des décennies.

Les règlements excluent pratiquement de nombreux soldats des récentes années qui ont servi pendant la Guerre froide et en Afghanistan, et imposent un examen des ressources qui stipule que les revenus annuels d’un ancien combattant doivent être inférieurs à 12 010$.

Puisque le programme est conçu pour les anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre de Corée, qui sont de moins en moins nombreux, les dépenses seront beaucoup moins importantes que ce qui avait été prévu au budget.

Le bureau du Directeur parlementaire du budget prévoit que les changements apporteront un surplus de 3,6 millions $ au fonds cette année. Le budget plafonnera l’année suivante et devrait commencer à descendre ensuite.

Selon un porte-parole du ministre des Anciens combattants, John Fantino, 57 pour cent des demandeurs seront admissibles aux prestations maximales. «Notre gouvernement continuent de travailler avec les actionnaires du fonds afin de s’assurer que le programme répond aux besoins des anciens combattants et de leur famille», a indiqué Joshua Zanin.

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Le PQ ne présentera finalement pas de candidat contre Couillard dans Outremont

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MONTRÉAL – Philippe Couillard n’aura finalement pas d’adversaire péquiste s’il se présente à l’élection complémentaire qui devrait avoir lieu le 9 décembre dans la circonscription d’Outremont.

L’attachée de presse de la première ministre Pauline Marois, Marie Barrette, a confirmé lundi soir que le Parti québécois ne présentera de candidat dans Outremont.

Plus tôt dans la journée, la première ministre avait indiqué que le PQ pourrait se lancer dans la course puisque l’exécutif local avait amorcé les démarches visant à trouver un candidat. Or, à la suite de conversations entre les instances, l’exécutif local a accepté de ne pas présenter de candidat si le chef libéral choisissait de tenter sa chance dans ce comté montréalais, a affirmé Mme Barrette.

Le chef du Parti libéral du Québec (PLQ) n’a toutefois pas encore officiellement confirmé sa candidature, bien que plusieurs informations circulent à cet effet.

Dans l’entourage de M. Couillard, on se borne à dire que celui-ci confirmera ses intentions lorsque des élections complémentaires seront décrétées. Mme Marois a récemment indiqué qu’elle attendait la fin des campagnes électorales municipales avant de déclencher des élections complémentaires dans Outremont et Viau.

Tant la première ministre Pauline Marois que le chef caquiste François Legault avaient promis de laisser le champ libre à M. Couillard si celui se présentait dans Viau.

La circonscription d’Outremont a été laissée vacante à la suite de la démission de Raymond Bachand, qui a quitté la vie politique après sa défaite lors de la course à la direction du PLQ.

Dans Viau, le siège a été libéré par le député Emmanuel Dubourg qui a décidé de tenter sa chance au niveau fédéral sous la bannière libérale dans la circonscription de Bourassa, laissée libre par le départ de Denis Coderre, élu maire de Montréal dimanche.

Note to readers: bien lire que Marie Barrette est l’attachée de presse de Mme Marois. Dans la version précédente, on indiquait qu’elle était sa chef de cabinet

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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