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Aéroport Trudeau sept personnes blessées dans l’évacuation d’un avion

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MONTRÉAL – Un incendie dans un convoyeur à bagages, placé à proximité d’un Boeing 767, a provoqué tout un branle-bas de combat à l’aéroport Montréal-Trudeau, lundi en fin de journée. Certains passagers ont été blessés dans l’évacuation d’urgence de l’avion, ordonnée par le personnel de bord.

Le feu aurait pris naissance vers 17 heures dans le tapis roulant servant à décharger les valises de l’avion, qui comptait 250 passagers.

L’incendie dans le convoyeur, propriété de l’entreprise Servisair, a rapidement causé un important nuage de fumée, à proximité de l’appareil en provenance de Casablanca.

Face à la situation, les employés de l’entreprise Royal Air Maroc ont pris la décision d’évacuer les passagers.

Si certaines personnes ont pu évacuer l’aéronef par la sortie habituelle, d’autres ont été invités à sortir par les toboggans d’urgence, rapporte le porte-parole de l’aéroport Montréal-Trudeau, François-Nicolas Asselin.

«L’équipage a décidé d’évacuer de cette manière. C’était leur décision. Aurait-il pu le faire autrement? Ce sera à Royal Air Maroc d’expliquer la décision», a indiqué M. Asselin, lundi en soirée.

Pendant l’évacuation, des passagers ont subi des blessures mineures lors de leur glissade vers l’extérieur de l’appareil ou ont été incommodés par la fumée.

«Sept personnes ont été traités pour inhalation de fumée sur le tarmac. Cinq ont été transportées à l’hôpital après avoir été légèrement incommodées par la fumée. Certaines d’entre elles ont aussi subi des blessures mineures au bas du corps lors de l’évacuation», a indiqué Marc-André Gagnon, porte-parole d’Urgence-Santé.

Le Bureau de la sécurité des transports enquêtera sur les circonstances de l’événement et tentera de déterminer si les procédures d’évacuation recommandées en pareille circonstances ont été suivies à la lettre.

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Sénat Brazeau prévient ses collègues que la même chose pourrait leur arriver

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OTTAWA – Le sénateur Patrick Brazeau interpelle directement les députés et les sénateurs dans l’espoir de voir la balance pencher en sa faveur, prédisant que ses malheurs pourraient bien s’abattre aussi sur eux.

Dans une lettre qu’il a fait parvenir lundi aux élus et aux sénateurs, tous partis confondus, il prévient ses collègues que la menace de suspension qui pèse sur lui — tout comme sur Mike Duffy et Pamela Wallin — pourrait bien peser sur eux dans le futur. «Chers collègues, si cela peut m’arriver, cela peut vous arriver», écrit-il.

Clamant une nouvelle fois son innocence, il leur suggère même de prendre les grands moyens pour éviter de se retrouver dans une situation semblable à la sienne. «Je vous recommande de demander à un avocat d’examiner toutes vos demandes de remboursement avant même de les présenter», conclut-il.

Il retrace en 19 points le fil des événements qui ont mené à la motion qui pourrait le suspendre sans salaire dès mardi. Le sénateur s’en prend également à la Régie interne, qui selon lui «est au-dessus de la loi».

«Les règles peuvent changer à votre insu et vous pouvez être rejeté de votre caucus, suspendu sans paie et devenir le bouc émissaire des médias», écrit-il.

Fin du supplice

La discussion sur la suspension des trois sénateurs tombés en disgrâce tire à sa fin, puisque les conservateurs ont déposé lundi après-midi une motion pour imposer une limite de temps au débat. Comme les conservateurs sont majoritaires au Sénat, la limite de temps a été adoptée sans problème, malgré les objections de l’opposition libérale.

Lors des débats, un troisième sénateur conservateur a publiquement rejoint les rangs de ceux qui s’opposent au traitement réservé à leurs anciens collègues. John Wallace, nommé par Stephen Harper en 2008, en a particulièrement contre le débat écourté sur un enjeu qu’il considère si crucial.

«Nous ne pouvons absolument pas prendre de raccourci pour parvenir à un résultat juste et équitable pour ceux qui sont accusés», a-t-il noté.

Deux autres sénateurs du caucus conservateur, Hugh Segal et Don Plett, se sont prononcés contre les suspensions telles que présentées — sans salaire, mais avec assurance vie, médicale et dentaire, jusqu’à la fin de cette législature, soit environ deux ans. La conservatrice Nancy Ruth a voté contre la limite du temps de débat, et son collègue Don Meredith s’est abstenu.

Le vote final sur la motion de suspension devrait avoir lieu mardi. Il pourrait par ailleurs y avoir trois votes séparés pour la suspension de chacun des sénateurs fautifs. Le leader du gouvernement au Sénat, Claude Carignan, a indiqué qu’il s’attendait à ce que trois votes distincts aient lieu, même si une seule et unique motion est actuellement débattue.

Des conservateurs aimeraient voter de façon différente pour les trois sénateurs qui ont fait des dépenses inappropriées. Le président de la Chambre haute, Noël Kinsella, se prononcera sur la démarche avant le vote.

Le leader libéral au Sénat, James Cowan, s’est étonné de cette initiative, tout en se demandant si le vote pourrait être fractionné sans que tout le processus des débats recommence du départ.

Qui dit vrai?

À la Chambre des communes, les contradictions sur les différentes versions entourant le chèque de 90 000 $ que l’ex-chef de cabinet de Stephen Harper, Nigel Wright, aurait signé à M. Duffy, ont occupé une bonne part de la période de questions.

En fin de semaine, le responsable du financement du parti, le sénateur Irving Gerstein, a soutenu qu’il avait assuré que jamais le Parti conservateur du Canada ne payerait pour les dépenses contestées de M. Duffy.

Or, M. Wright a plutôt affirmé à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) que le parti était disposé à payer lorsque les remboursements réclamés à tort du sénateur étaient estimés à 32 000 $. L’offre serait tombée quand la facture a grimpé à 90 000 $ et c’est finalement M. Wright qui aurait fait un chèque personnel — du moins, selon la version officielle du premier ministre.

«Quelle version de l’histoire le premier ministre croit-il? (…) La version de Wright ou la version de Gerstein?», a demandé la néo-démocrate Megan Leslie.

Le secrétaire parlementaire du premier ministre, Paul Calandra, a rétorqué que ce qui était clair, c’était que le Parti conservateur n’avait pas payé les frais de M. Duffy.

Le parti a toutefois payé les frais de ses avocats, pour un montant s’élevant à plus de 13 000 $.

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Tollé au Canada concernant la vente d’articles de la Shoah sur eBay

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VANCOUVER – Des leaders de communautés juives canadiennes demandent aux détaillants sur le Web d’être plus vigilant quant aux articles reliés à la Shoah.

Une enquête du journal Mail on Sunday au Royaume-Uni a montré qu’un résidant de Vancouver et plusieurs autres détaillants sur eBay mettaient à l’encan des vêtements et autres éléments ayant supposément appartenu à des victimes de camps de concentration nazis.

Le journal a identifié dimanche Viktor Kempf, de Vancouver, à titre de vendeur d’une paire de pantalons qui aurait été portée par un détenu mort à Auschwitz.

M. Kempf n’a pas répondu aux courriels et appels logés par La Presse Canadienne.

Le vice-président de B’nai Brith Frank Dimant a pour sa part dit croire, lundi, qu’il revenait à des musées de présenter des articles ayant appartenu à des victimes de camps de concentration nazis.

Il a dit ne pas vouloir que de tels articles se retrouvent sur le Web, où ils peuvent être achetés par des néo-nazis.

Le Mail on Sunday avait cité M. Kempf disant comprendre pourquoi certaines personnes pourraient penser qu’il soit mal de vendre de tels éléments. Il ajoutait qu’il procédait ainsi afin de documenter une période horrible de l’Histoire et de recueillir l’argent nécessaire pour écrire des livres sur le sujet.

M. Dimant a salué l’intervention rapide du site eBay, mais a fait état d’une prolifération d’articles de l’Holocauste et du nazisme vendus sur d’autres sites, incluant des répliques de couteaux des Jeunesses hitlériennes et d’armes SS sur Amazon.com.

EBay a retiré 30 articles ayant supposément appartenus à des victimes de l’Holocauste et s’est excusé de ne pas avoir su les repérer avant qu’ils ne soient mis à l’encan. Le site a aussi fait un don de 40 000 $ à une organisation de bienfaisance en lien avec les victimes du nazisme.

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Blog de phobac - Chiclayo et Pimentel

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Des Canadiens figurent parmi quelque 1000 prédateurs sexuels piégés

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Une opération d’infiltration a permis d’identifier des dizaines de Canadiens et de milliers d’adultes à travers le monde prêts à payer pour voir des actes sexuels sur caméra web d’une prétendue fillette des Philippines âgée de dix ans, a indiqué lundi une organisation internationale de défense des droits des enfants.

Le groupe Terres des Hommes, établi près d’Amsterdam, a affirmé que 54 Canadiens figurent parmi les quelques 1000 adultes de 71 pays identifiés durant le projet de dix semaines.

L’un des enquêteurs, s’étant identifié seulement par le prénom Peter par craintes de représailles, a affirmé que le plus surprenant était la facilité avec laquelle ces gens ont été pris en délit. Il s’est inquiété de voir que ces gens croyaient être à l’abri des lois sur le Web.

Des renseignements détaillés d’identification — incluant noms, adresses, numéros de téléphone et courriels — sont désormais entre les mains d’Interpol et doivent être transmis aux autorités responsables de l’application de la loi dans les pays concernés, a mentionné Peter à La Presse Canadienne à partir d’Amsterdam.

Un porte-parole de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a indiqué «ne pas avoir d’information à fournir pour le moment» concernant cette opération.

L’opération impliquait une identité inventée d’une fillette de dix ans des Philippines, nommée «Sweetie», qui s’inscrivait dans plusieurs forums prisés des enfants et adolescents. Les prédateurs sexuels interpellaient immédiatement la fillette.

«Montre-moi tes jambes», écrit l’un d’entre eux. «Babyyyy, combien? $$$», écrit un autre.

Les quatre enquêteurs comptaient aussi sur une création animée en 3D de «Sweetie», bien qu’il n’ait généralement pas eu à en faire l’usage pour piéger les prédateurs.

Globalement, 20 172 adultes ont offert de payer entre 1$ et 100$ en utilisant des cartes de crédit prépayés non repérables pour voir une démonstration à caractère sexuel de «Sweetie» sur caméra web — bien qu’il leur ait été signifié à moins deux reprises qu’elle était âgée de seulement dix ans.

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La dé-FTQ-tisation du Fonds de solidarité

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La comparution en commission parlementaire des dirigeants du Fonds de solidarité de la FTQ est une très bonne chose. Il est temps de se pencher froidement sur la gouvernance de cette institution et de redonner confiance à ses quelque 600 000 cotisants et aux contribuables qui financent l’avantage fiscal offert aux déposants.

Le Fonds de solidarité ne doit pas être la seule affaire de la FTQ. Il ne doit même pas donner l’impression qu’il peut être le jouet de la centrale syndicale. Or, les conversations enregistrées entendues à la commission Charbonneau donnent exactement l’impression du contraire.

On y entend le président de la FTQ qui agit comme un acteur actif et impliqué jusqu’au bout des doigts dans la politique d’investissement du fonds, au mépris de toutes les règles de gouvernance. Un président de conseil doit veiller au bon fonctionnement de l’organisation et son rôle ne doit jamais se confondre à celui du président-directeur général qui prend les décisions au quotidien.

Le président du conseil d’une organisation qui gère les épargnes de centaines de milliers de Québécois grâce aux crédits d’impôts accordés par les gouvernements devrait aussi faire attention à qui il parle et de quoi il parle. Michel Arsenault ne sollicitera pas de nouveau mandat à la direction de la FTQ et c’est très bien ainsi.

Il ne faudrait pas que l’histoire se résume à celle d’un président imprudent qui s’est lui-même mis hors-jeu. Les tractations entre la FTQ, ses syndicats et certains entrepreneurs plus ou moins louches montrent des failles structurelles importantes qui dépassent la seule personnalité de Michel Arsenault.

La FTQ contrôle le conseil d’administration et y détient la grande majorité des sièges. Cela s’explique historiquement puisque le Fonds est une création de la centrale syndicale. Il est néanmoins temps d’accorder la majorité des sièges aux représentants des cotisants.

Le Fonds de solidarité a vieilli. Son actif atteint aujourd’hui 9,3 milliards de dollars, grâce aux crédits d’impôts gouvernementaux. La gouvernance actuelle n’est plus adéquate et légitime.

Je persiste cependant à dire que le Fonds reste, lui, adéquat et légitime.

Le Fonds de solidarité est devenu un acteur incontournable du financement des PME québécoises. Il a investi dans 2400 entreprises du Québec, et je connais plusieurs entreprises qui ont pu se développer grâce aux millions qu’elle y a investis.

Les temps sont cependant durs pour le Fonds de solidarité. Le gouvernement fédéral persiste dans son intention d’éliminer le crédit d’impôt offert aux cotisants du fonds et un gouvernement québécois sera peut-être tenté un jour de faire la même chose. Pour assurer sa survie, le Fonds de solidarité a besoin d’une nouvelle gouvernance et d’une solide performance financière. C’est ainsi qu’il fera la preuve qu’il n’est ni l’instrument de la FTQ ni dépendant de la seule complaisance des gouvernements.

Surtout, il n’a pas besoin de vieilles histoires mettant en scène des personnages à la réputation douteuse qui entachent sa réputation.

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Mise à jour économique le vérificateur général coincé dans un débat partisan

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QUÉBEC – Tout indique que la tradition sera maintenue: la mise à jour économique et financière, attendue sous peu, sera rendue publique sans avoir passé le test du vérificateur général.

L’opposition aura pourtant tout tenté pour mettre le vérificateur dans le coup. Ce dernier se retrouve pris dans une souricière, happé dans un débat partisan entre libéraux et caquistes, d’un côté, et péquistes de l’autre, sur le bien-fondé de joindre les résultats d’un examen fouillé du vérificateur général à la mise à jour économique que doit déposer le ministre des Finances d’ici un mois.

L’opposition libérale, appuyée par la Coalition avenir Québec, a bien tenté, lundi, en commission parlementaire, de faire dire au vérificateur général par intérim, Michel Samson, que le ministère des Finances faisait preuve «d’obstruction» à son égard en reportant à plus tard le dépôt de documents relatifs à la mise à jour.

Mais M. Samson, tenu à la neutralité politique, n’a pas bronché, refusant de blâmer qui que ce soit, pour simplement constater que la vérification prévue ne se déroulait pas au rythme souhaité.

«Je ne qualifierai pas: est-ce que j’ai la bonne ou la mauvaise collaboration (du ministère des Finances)», a dit M. Samson, en point de presse, après avoir été sur le gril pendant deux heures, en commission parlementaire.

«On aurait souhaité que les travaux se déroulent plus rapidement, plus promptement», a-t-il toutefois concédé, se disant soucieux de satisfaire son «seul et unique client, l’Assemblée nationale».

Traditionnellement, la mise à jour économique, publiée entre deux budgets pour faire le point sur les finances de l’État et les prévisions économiques, ne fait pas l’objet d’un examen du vérificateur général. Mais les libéraux et les caquistes ont joint leurs efforts, le 24 septembre, pour faire adopter par l’Assemblée nationale une motion enjoignant M. Samson à examiner les données apparaissant dans la mise à jour, et à indiquer le jour même de sa publication s’il les endossait.

M. Samson a jugé que la demande était fondée et que la loi l’autorisait à donner suite à cette requête, ce que contestent les fonctionnaires du ministère des Finances, de même que le gouvernement, soulevant l’ire des partis d’opposition qui ont convoqué le vérificateur général en commission parlementaire pour faire la lumière sur son mandat et ses prérogatives.

«Qui fait obstruction?», lui ont demandé lundi, à répétition, le porte-parole en finances des libéraux, Pierre Paradis, et son collègue porte-parole en économie, le député Sam Hamad.

«Quand on n’a rien à cacher, on collabore», a tranché M. Paradis en point de presse.

Plusieurs semaines après l’adoption de la motion, le vérificateur n’a toujours pas pu entreprendre ses travaux.

Pourtant, le 1er octobre, M. Samson avait signifié au ministère des Finances son souhait de se rendre à ses bureaux pour se mettre à la tâche. Mais dans une lettre datée du 17 octobre, le sous-ministre des Finances, Luc Monty, lui a répliqué que ce projet excédait sa «compétence».

Au coeur du débat: la Loi sur le vérificateur général. Québec estime qu’en vertu de cette loi, il revient au gouvernement et non à l’Assemblée nationale de confier des mandats au vérificateur, une interprétation de la loi que ne partage pas du tout M. Samson.

«Il n’a pas de mandat à recevoir de l’Assemblée nationale», a commenté en point de presse le député péquiste de Sanguinet, Alain Therrien, convaincu que M. Samson «ne respecte pas la loi».

La position du gouvernement: quand la mise à jour sera publique, le vérificateur aura alors tout le loisir de l’examiner.

Il y a donc fort à parier que son rapport sur la mise à jour ne sera déposé qu’en février, quand la Chambre va de nouveau siéger après l’ajournement des Fêtes.

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Semaine7

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Soirée Poutine (un classique a Montréal)`  Pour Halloween ici on croise de tout ... même
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15 minutes to take the train

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Petite anecdote de dernière minute...Nous sommes actuellement à Agra pour visiter le Taj Mahal. Pour le trajet Kochi - Agra, nous avons pris l'a
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Fête de Puno

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Malgré que l'on se soit faites réveillées pendant la nuit (à 3h du matin) par un groupe qui arrivaient à l'auberge dans notre même dortoir, nous avons passé une nuit très confortable à l'a
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Jocelyn Dupuis admet ses relations douteuses… pour les aider à se réintégrer

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MONTRÉAL – Devant la Commission Charbonneau lundi, l’ancien directeur général de la FTQ-Construction, Jocelyn Dupuis, a admis avoir comme amis des membres de groupes criminels, mais n’y a vu aucun mal, ajoutant qu’il voulait les aider à se réhabiliter.

Interrogé par le procureur chef adjoint de la commission, Me Denis Gallant, M. Dupuis a ainsi admis connaître le Hells Angel Jacques Israël Émond, de même que le caïd Raynald Desjardins. C’est d’ailleurs Ronnie Beaulieu, un ami de M. Dupuis et proche des Hells Angels, qui lui a présenté Jacques Israël Émond. Et plus tard, la commission a fait entendre des extraits d’écoute électronique entre M. Dupuis et un autre Hells Angel, Normand Casper Ouimet.

«Moi, si je peux aider quelqu’un pour réintégrer la société, peu importe ce qui a été fait, soyez-en sûr que je vais l’aider», a lancé M. Dupuis.

«C’est une coïncidence que vos amis sont soit dans les Hells Angels ou soit sont liés au clan Rizzuto?» lui a demandé Me Gallant.

«Si on peut les sortir de là, si on peut les aider pour qu’ils quittent ce milieu-là, ça va me faire plaisir de le faire. Et c’est ça que j’ai tout le temps fait», a dit M. Dupuis, ajoutant qu’il avait quelque 3000 numéros de téléphone dans son carnet.

«Est-ce que c’était la même chose avec M. (Raynald) Desjardins?» lui a demandé la juge France Charbonneau.

«Même affaire», a répondu Jocelyn Dupuis.

Il a précisé lui avoir donné un coup de main pour qu’il obtienne sa licence d’entrepreneur en construction. M. Dupuis a aussi fait des pressions pour que Raynald Desjardins obtienne du financement du Fonds de solidarité pour l’entreprise Carboneutre _ en vain puisque le Fonds n’y a jamais investi.

Quant à ses contacts avec Normand Casper Ouimet, il les a justifiés par le fait que l’homme avait été embauché par l’entreprise de maçonnerie LM Sauvé. Pourtant, M. Ouimet lui a parlé un soir à 21h32, selon un extrait d’écoute électronique entendu.

«Pour moi, quand un entrepreneur appelle, je suis disponible sept jours par semaine», a justifié Jocelyn Dupuis. Il a aussi rencontré M. Ouimet à une occasion, mais ne se rappelait plus de quoi il avait été question.

À un moment de son témoignage, M. Dupuis a reproché au gouvernement d’avoir divisé le monde syndical de la construction en y imposant le pluralisme syndical, donc les périodes de maraudage qui viennent avec.

«Donc si je résume ce que vous venez de nous dire, c’est la faute du gouvernement si le crime organisé est entré à la FTQ-Construction par votre porte?» lui a demandé Me Gallant.

«Le crime organisé n’est pas entré dans ma porte à la FTQ-Construction, puis le crime organisé ne faisait pas partie de la FTQ-Construction», a objecté M. Dupuis. Et le caïd Raynald Desjardins n’avait «aucunement» son mot à dire sur les affaires de la FTQ-Construction, a-t-il ajouté.

Dans ce contexte, il a de nouveau été question de la succession de Jocelyn Dupuis et Jean Lavallée à la tête de la FTQ-Construction lors de l’élection de novembre 2008.

Par le biais d’un extrait d’écoute électronique entre Jocelyn Dupuis et Eddy Brandone, secrétaire financier de la FTQ-Construction, on a appris que ce dernier était prêt à aller jusqu’à sortir un homme malade de l’hôpital pour qu’il aille voter en faveur de l’équipe favorable à Dupuis, lors du scrutin.

«Je vais vous dénoncer»

Par ailleurs, dans un autre extrait d’écoute électronique, Jocelyn Dupuis menace le président de la FTQ, Michel Arsenault, de dénoncer certaines choses lorsqu’il apprend que les projets dont il faisait la promotion ne passeront pas au Fonds de solidarité de la FTQ.

Dans cet extrait du 30 avril 2009, M. Arsenault, aussi président du conseil d’administration du Fonds de solidarité de la FTQ, informe M. Dupuis que ses dossiers ne passeront pas.

«C’est définitif, c’est pas vrai que je vais lâcher Ronnie Beaulieu là-dessus. Je vais vous dénoncer, je te le dis: je vais vous dénoncer. Je vais sortir publiquement comme quoi j’avais une entente avec vous autres», lui lance Jocelyn Dupuis, qui se dit prêt à donner une entrevue à ce sujet.

Invité par la commission à préciser ce qu’il voulait dénoncer au juste, M. Dupuis a laissé croire qu’il n’y avait rien de précis. «Quand t’es en beau… tu dis toutes sortes de choses», a-t-il répondu.

Très en colère contre M. Arsenault, Jocelyn Dupuis poursuit: «cette bâtisse-là, vous ne l’auriez jamais eue. Moi, j’appelle ça des hosties de crosseurs. Si vous faites ça, là… Ce dossier-là, je ne le lâcherai jamais. Faites attention à vous autres. Moi je n’ai plus rien à perdre; vous ne pouvez plus me salir. Si c’est ça ta décision, check ça mon homme, ça va sortir vite en tabarnak. Pis tu te défendras, tu te défendras pis pas juste là-dessus», lui lance-t-il.

M. Arsenault conclut la conversation en lui disant de lui donner 24 heures et qu’il allait le rappeler.

Accurso-Lavallée

Par ailleurs, M. Dupuis a admis qu’il n’appréciait pas la grande proximité entre le président de la FTQ-Construction, Jean Lavallée, et l’entrepreneur Tony Accurso, qui a obtenu du financement du Fonds de solidarité de la FTQ.

«Il y avait une omniprésence de Tony Accurso avec Jean Lavallée, ça c’est définitif», s’est-il exclamé.

Mais il a nié que ce soit surtout cette proximité Lavallée-Accurso qui l’ait dérangé, affirmant que lui se souciait peu du Fonds de solidarité ou de son bras immobilier SOLIM, mais que c’est le sort de la FTQ-Construction qui le préoccupait.

Dans un autre extrait d’écoute électronique entendu, il parle de Jean Lavallée qui «perce des boutons» et «détruit le Fonds».

Quand la juge France Charbonneau lui a demandé comment M. Lavallée pouvait détruire le Fonds, M. Dupuis a répondu: «avec les ouï-dire que le monde me mentionne qu’il privilégie trop Tony Accurso». MM. Lavallée et Accurso sont des amis assez proches, selon M. Dupuis.

M. Lavallée était non seulement président de la FTQ-Construction, mais aussi vice-président de la FTQ et il siégeait également au Fonds de solidarité et s’occupait de son bras immobilier, la SOLIM.

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Blog de milou - SUITE AGUAS BLANCAS

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Blog de milou - SUITE AGUAS BLANCAS
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L’histoire du clochard céleste de Musandam Oman

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Lorsque le ferry reliant Khasab à Mascate (capitale du pays) prend la mer, les sillons qu'il dessine sur la mer ont un air de ligne frontalière. A bâbord, les eaux de l'Iran, où l'on n'aperçoit aucun navire, aucun bâtiment - juste l'appel du large. A tribord, les eaux territoriales d'Oman, où, ce jour-là, passent et jettent l'ancre une centaine de pétroliers, supertankers, navires marchands, méthaniers, porte-conteneurs du monde ; où patrouillent les navires de la flotte US et les destroyers français qui s'assurent que rien ne pète, qui montrent leurs gros bras aux bassidjis, chargés de la sécurité intérieure et extérieure de l'ancienne Perse, pas plus impressionnés que ça.
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Le parc Manuel Antonio et ses fascinants habitants

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Le parc naturel Manuel Antonio, grand de près de 700 ha est le parc l’un des parcs les plus prisés des touristes. C’est d’ailleurs pour répondre à la demande et à l’affluence qu’il fut construit : suite à un regain d’intérêt des touristes venus des quatre coins du globe pour découvrir sa biodiversité, les autorités [...]
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Mini guide pour se connecter en voyage et bloguer

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Quand on blogue en voyage, forcément, la recherche d’une connexion internet est importante.  «Vous avez une connexion Wifi ici ? » est une question qui revient souvent dans la bouche du blogueur voyageur, ou de tout technomade.

Voici quelques façons de ne jamais perdre le fil…de la connexion !

P1020483 Mini guide pour se connecter en voyage et bloguer

Bloguer à l’hôtel

C’est le premier réflexe de beaucoup d’entre nous.

Si vous prenez une chambre privée, c’est plus facile. Sinon, vous devrez trouver une table de libre dans le patio de la guest-house au milieu des allées et venues.

Pour une chambre privée, avant de la prendre :

  • Assurez-vous que la chambre possède une table digne de ce nom.
  • Ainsi qu’une prise de courant accessible.
  • Testez la connexion wifi avant de prendre la chambre, cela vous évitera les mauvaises surprises.

Quand je loge dans un hôtel, je préfère toujours passer une partie de mon temps de blogging ailleurs, histoire de bouger un peu et de varier.

C’est la même chose quand je fais du couchsurfing ou quand je suis logé chez quelqu’un. D’ailleurs, tout le monde n’a pas le wifi  à la maison.

 

Se connecter dans un bar ou un restaurant

C’est l’option la plus facile. Beaucoup de bars offrent une connexion wifi un peu partout dans le monde. D’ailleurs, au passage, je trouve que la chose est plus rare en France que dans beaucoup de pays du Sud, non ? Qu’en pensez-vous ? A Paris, par exemple, je trouve que c’est assez galère pour trouver un bar ou café avec le wifi gratuit…

En Amérique du Sud, c’est assez facile par contre.

Trouver une adresse agréable et optimisée pour travailler est une autre paire de manches. Dans l’idéal, il faut :

  • Un bar peu bruyant, sinon prévoyez vos boules Quiès ou un casque pour écouter de la musique.
  • Des tables assez grandes et confortables pour y poser au moins un laptop et votre souris. Là aussi, ce n’est pas gagné d’avance.
  • Des tables situées près de prises électriques. Pas si courant que cela sans vouloir faire un jeu de mot. C’est important si votre batterie  ne tient pas longtemps.
  • Si vous devez aller aux toilettes et que vous êtes seul, prenez votre laptop avec vous. Ne laissez jamais votre matériel hors de portée de vue, même pour quelques minutes. Vous pouvez utiliser un câble anti-vol qui se fige dans votre laptop. Vous devez enrouler le câble autour d’un objet fixe. Autour d’une chaise, ce n’est pas très efficace…
  • Évitez de vous installer sur une terrasse ouverte si vous êtes dans une ville d’Amérique du Sud ou d’ailleurs. J’ai déjà vu des vols de laptop comme cela à l’arraché..

Il existe des chaînes de restauration où vous êtes sûr de trouver une connexion Wifi. Je pense notamment aux Starbucks et aux MacDo. Après, ce ne sont pas forcément les lieux les plus agréables pour bloguer en voyage

Il existe plusieurs applications pour trouver une connexion wifi dans le quartier où vous êtes. Pour les avoir essayées, je ne trouve pas ces applications forcément très efficaces. Vous pouvez essayer celle-ci:

- Wifi Manager et Wifi Finder.

Dans les transports

Oui, c’est possible ! En Amérique du Sud par exemple, certaines compagnies proposent le Wifi à bord. Idem pour IDBus en France.

Bon, alors, je vais tempérer votre enthousiasme, car dans la réalité, cela ne marche pas très bien, voire pas du tout. Pour l’instant…

Vous pouvez toujours travailler sans être connecté. Pour autant, je trouve que ce n’est pas très pratique de taper un texte dans un bus : cela bouge beaucoup et l’espace des sièges peut être très réduit.

Je parle ici des compagnies avec un certain standing. Dans un bus local au fond du Pérou, je vous déconseille de sortir votre laptop. Il ne vaut mieux pas exposer des objets chers pour tenter.

bloguer voyager Mini guide pour se connecter en voyage et bloguer

Il est aussi possible de trouver une connexion wifi dans certains terminaux de bus.

Idem à bord d’un avion, pas pratique du tout. Surtout si le passager de devant rabaisse soudainement son siège sans crier gare. Des idées noires peuvent surgir.

Bloguer à l’aéroport avant de prendre l’avion est plus productif. Encore faut-il que le wifi soit gratuit, ce qui n’est pas toujours le cas. Ainsi, à l’aéroport de Madrid Bajaras, je trouve cela abusé qu’il faille payer…Ok, vous avez juste 15 min de connexion gratuite…

Utilisez la 3G.

C’est le moyen le plus simple, vous pouvez alors vous connecter quand vous voulez et presque de partout.

Inconvénients : c’est plus lent et plus cher.

Enfin, plus lent, cela dépend des pays. Parfois, il arrive que la 3G soit plus rapide que le réseau local…

Deux options :

  • Vous avez un smartphone et vous achetez une puce 3G avec accès internet. Il suffit ensuite de partager votre connexion avec votre laptop.
  • Vous utilisez un routeur wifi. Il suffit alors d’acheter une puce 3G qui se glissera à l’intérieur. Il est possible de connecter à ce routeur jusqu’à cinq appareils. Très pratique pour le blogueur voyageur !

Un des meilleurs routeurs wifi du marché :

Travailler dans une bibliothèque

Les grandes bibliothèques publiques possèdent parfois une connexion wifi gratuite, pensez-y.

De plus, c’est l’occasion parfois de travailler dans un cadre prestigieux. Ainsi, la National Library à New York vaut le déplacement. Une salle est réservée aux travailleurs du net. Pour y  être resté quelques heures, je peux vous dire que c’est un lieu agréable, le top !

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Le coworking en voyage

Savez-vous ce qu’est le coworking ?

Les espaces de coworking sont des espaces en ville offrant des bureaux aux travailleurs indépendants. Ces espaces possèdent une bonne connexion wifi, un espace détente, une machine à café, des lieux parfois pour travailler en groupe ou donner une conférence, etc.

Vous y retrouverez des travailleurs indépendants lassés de travailler de chez eux. Beaucoup travaillent dans un domaine associé à Internet forcément. Cela dit, d’autres secteurs d’activité sont présents.

Les espaces de coworking se développent beaucoup ces derniers temps en France. Dans beaucoup de villes, vous pouvez en trouver. D’après une étude récente, la France se situe au 6ème rang européen pour ce genre d’espaces.

Et à l’étranger ?

C’est déjà plus rare, mais le mouvement se développe. Il faut dire que ces espaces sont parfaits pour le travailleur nomade comme moi. Ils favorisent les rencontres et la créativité notamment.

J’ai été étonné de trouver un espace de coworking à Bucaramanga en Colombie. Figurez-vous que j’y vais régulièrement quand je suis là. Il est récent et il a été créé par Catalina, une jeune femme ayant vécu en Europe. Elle a importé l’idée dans son pays et cet espace confortable vient juste d’être créé. Voir la page Facebook de Estacion Central.

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Oui, c’est moi, pas toujours facile de passer un coup de fil dans le silence !

C’est assez osé d’ouvrir ce genre de structure dans une ville comme Bucaramanga. La ville est grande (1 million d’habitants), mais ce n’est pas la plus en pointe à l’échelle du pays. Peu d’emplois dans le secteur des nouvelles technologies par exemple. Une association locale essaie de promouvoir les créateurs d’entreprises dans le digital. Ils ont ainsi créé la « Bucaramanga Valley », clin d’œil à la « Silicon Valley ».

Pour ma part, c’est vraiment un plus cet espace de coworking. Cela m’aide à rencontrer du monde et à être plus productif quand je suis en mode posé.

Vous pouvez prendre un abonnement au mois, ou y aller pour quelques jours, c’est très flexible. Des sociétés proposent la location de bureaux équipés dans le monde. Vous avez notamment Regus qui propose des solutions de coworking avec des bureaux équipés.

Il existe des sites pour trouver ce genre de lieux partout dans le monde. En voici un notamment : Sharedesk :

http://www.sharedesk.net/

L’expression « le monde est mon bureau » n’a jamais été aussi vraie ! Pour ceux qui veulent en savoir plus, à lire cet article dans Forbes (en anglais) : http://www.forbes.com/sites/karstenstrauss/2013/05/28/why-coworking-spaces-are-here-to-stay/

D’autres conseils et trucs à ajouter ? Avez-déjà essayé le coworking en France ou à l’étranger ?

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Le Havre transat Jacques Vabre reportée attendre au bistrot

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P1320720.JPGQui trop écoute la météo, perd ses forces au bistro !

Propos entendu ce matin par un skipper impatient d'affronter la mer déchainée.

Il faudra donc attendre que les vents soufflant jusqu'à 50 noeuds veuillent bien se calmer, avant d'attaquer la traversée de l'Atlantique direction Itajaí au Brésil.


"Un départ demain du Havre se serait fait dans des conditions musclées, et avec une incertitude au raz Blanchard, également au passage de Ouessant, et un début de golfe de Gascogne très difficile."
Transat Jacques Vabre

 

 

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Insolite les consignes de sécurité sont données en chanson et en dansant

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compagnie aérienne

La compagnie aérienne Virgin America a réalisé une vidéo de 5 minutes dans laquelle les consignes de sécurité sont données en chanson et en dansant. Cette initiative originale permet de « créer un message de sécurité non seulement précis mais aussi de retenir l’attention de tous les passagers, y compris celui de huit ans voyageant avec ses parents », explique le directeur de l’exploitation de Virgin America, Steve Forte.

La vidéo fait le buzz sur internet. En une semaine, elle a été regardée plus de 4 millions de fois.

[Capture écran Youtube]

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Ce matin rendez-vous à 9h40 sur Voyage

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Partez à la découverte de la face cachée des sept îles de l'archipel des Canaries devant notre film Canaries, de lave et de sable


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Pont petit patapont

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Y a kèk temps y avait un défi pont auquel je n'avais pas eu l'occasion de participer... pourtant j'ai ce qu'il faut ! Alors avec un chouia de retard, v'là un joli p'tit pont un peu vieillissant, qui se trouve sur la piste à une trentaine de km de Zazate en direction de Tazzenakht (vous voyez où...


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Le Bénin

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Alors le Bénin, nous y étions du 7 au 20 janvier 2013. Tout le monde, ou presque, m'a dit "ah bon?, c'est où et pourquoi?" Faut dire que c'est une destination un peu atypique mais qui a tout son sens pour moi. Ma meilleure amie H a des parents d'origine béninoise, et a souhaité renouer avec ses...


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Ben ouais on a craqué

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Hé ! On ne t'a pas laissé trop longtemps ? Tout à l'heure, on a décollé avec un temps tout triste... et puis là haut, comme d'hab, grand bleu. Alors autant te prévenir tout de suite : si tu prends Turkish Airlines, pas besoin de manger avant ! Bon, c'est bien tout ça, mais où ? A Istanbul, il fait...


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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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