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Caraïbes enfin

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     Départ de Medellin 25°C, dans le bus 16°C ! Aouch, la différence nous irrisse tous les poils du corps en moins de temps qu'
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Siem Reap et les temples dAngkor

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Une belle journée de visite des temples d'Angkor sous un soleil de plomb, 35°C au soleil et 90% d'humidité!Après une course en tuk-tuk dans les rues de Siem Reap, nous avons visité 3 temples bouddhistes avant
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Sud Lipez / Salar Uyuni J1

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Un moment que l'on attend avec impatience depuis que l'on a posé le pied sur le territoire Bolivien : l'excursion Sud Lipez et Salar d'Uyuni! Et bien ça y est, c'est aujourd'hui, on y est ! C'est partiiii ! Debout d
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Un coopérant du Canada dresse le bilan de son expérience aux Philippines

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MONTRÉAL – Certains coopérants du Canada, qui ont été dépêchés aux Philippines à la suite du récent passage du puissant typhon Haiyan,sont rentrés à la maison avec des souvenirs contradictoires en mémoire. C’est le cas du directeur général de L’Oeuvre Léger, Norman MacIsaac.

Il vient à peine de rentrer au bercail après avoir passé une dizaine de jours dans ce qu’il décrit sans ambages comme «la pire zone de dévastation» à laquelle il a été confronté en 25 ans de carrière.

Au moment où Haiyana secoué l’archipel, M. MacIsaac se trouvait en Inde.

En constatant à quel point, les dommages semblaient impressionnants, il a mis le cap sur l’Indonésie.

Il raconte qu’il s’est rapidement rendu à Tacloban.

Une fois sur place, une image s’est imposée dans son esprit: l’endroit semblait avoir été bombardé.

«On ne voyait presque rien qui n’avait pas été touché. On apercevait des corps le long de la route», relate-t-il visiblement ébranlé.

Avec ce décor apocalyptique en toile de fond,Norman MacIsaac s’est entretenu avec des représentants des autorités locales, de l’Organisation des Nations unies et de la Croix-Rouge.

Ces consultations lui ont permis de déterminer que les zones situées en périphérie de la ville étaient affreusement négligées.

Il s’est donc déplacé à une trentaine de kilomètres de cette agglomération qui est désormais tristement célèbre.

En arrivant à destination, le directeur général de L’Oeuvre Léger a dressé un autre malheureux constat.

«Pas mal toutes les sources d’eau étaient contaminées; donc, les enfants tombaient malades.»

De prime abord, le découragement l’a gagné mais il s’est ressaisi lorsqu’il a constaté que, pour certains sinistrés, la vie continuait.

«Au lendemain de cette catastrophe totale, des petits s’amusaient comme les enfants jouent tous les jours partout dans lemonde.»

Devant cette démonstration de «résilience»,M. MacIsaac a immédiatement eu la volonté de s’atteler à la tâche.

Il a donc mis sur pied des systèmes de purification avec ses collaborateurs et la distribution de l’eau potable à la population a pu, ensuite, commencer.

Quand le moral chutait au sein de sa petite équipe, le même leitmotiv ne tardait jamais à s’imposer.

Norman MacIsaac se souvient qu’invariablement, tout le monde se répétait «on a un  »job » à faire, il y a des gens qui ont besoin de nous, on ne lâche pas».

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Afghanistan le ministre Nicholson assure que le Canada a fait une différence

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HALIFAX – Alors qu’Ottawa se prépare à retirer ses troupes encore présentes en Afghanistan en mars 2014, le ministre de la Défense, Rob Nicholson, a affirmé dimanche que la présence du Canada au pays avait bel et bien fait une différence.

Le gouvernement fédéral continuera d’aider l’Afghanistan en injectant plus de 300 millions $ en aide pendant les trois années suivant la fin de la mission d’entraînement, a-t-il souligné.

Le Canada, a-t-il poursuivi, a été «très clair» auprès de ses alliés que les militaires canadiens, dont un certain nombre sont encore déployés dans ce pays toujours ravagé par la guerre, seraient rapatriés.

M. Nicholson a aussi soutenu qu’il y avait un certain nombre de pays qui observaient ce qui se passaient en Afghanistan et que le Canada pouvait être «très fier» de ses efforts.

Il a tenu ces propos lors d’un point de presse scellant une conférence internationale sur la sécurité à Halifax, en Nouvelle-Écosse, à laquelle a aussi participé le secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel.

Les États-Unis souhaitent de leur côté convaincre le président afghan Hamid Karzaï de signer une entente sur la sécurité d’ici la fin de l’année en cours afin de prolonger l’engagement des troupes américaines au-delà de 2014.

Or, le président Karzaï refuse de signer l’entente d’ici le scrutin d’avril prochain, ce qui laisse planer un doute sur la présence des forces américaines au pays.

Lors de la conférence, M. Hagel a déclaré qu’il voulait que l’accord soit signé puis ratifié par le parlement afghan avant de faire la recommandation au président Barack Obama de maintenir les troupes américaines et d’ainsi continuer à risquer les vies des soldats.

L’entente sur la sécurité déploierait environ 8000 militaires américains en Afghanistan jusqu’en 2024. Ils auraient un mandat de formation et de mentor auprès des forces de sécurité locales pour poursuivre le combat contre l’insurrection des talibans.

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Blog de TheodeBrouwer - Il faut commencer à lire par le bas

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Blog de TheodeBrouwer - Il faut commencer à lire par le bas !
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Accident entre deux véhicule sur la route 138 un enfant succombe

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MONTRÉAL – La Sûreté du Québec confirme qu’un garçon de six ans a perdu la vie dans l’accident impliquant deux véhicules qui a eu lieu peu avant 13 h 30 sur la route 138, à Saint-Joachim, au nord-est de Québec, dimanche.

Sept personnes, dont trois enfants, ont été impliquées dans la tragique collision.

Selon les informations rapportées par le sergent Claude Denis, porte-parole de la Sûreté du Québec, un véhicule qui circulait vers l’ouest a dévié de sa voie et percuté un véhicule qui venait en sens inverse.

Selon les premières hypothèses avancées pour expliquer le drame, le conducteur du premier véhicule, qui luttait toujours pour sa vie tard dimanche soir, se serait endormi ou aurait souffert d’un malaise.

Il transportait avec lui un autre adulte et deux enfants, dont celui qui est décédé. Le second véhicule transportait deux adultes et un enfant.

Les pinces de désincarcération ont dû être utilisées pour extirper tous les passagers des voitures. Tous ont été transportés à l’hôpital pour des blessures graves.

Les victimes de blessures rencontreront les enquêteurs dès que leur état de santé le permettra. M. Denis affirme que la chaussée était sèche et que la visibilité était bonne dans cette zone de vitesse limitée à 90 km/h.

On ignore l’identité et l’âge des blessés.

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Il y a 25 ans un tremblement de terre de 5 9 ébranlait le Québec

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MONTRÉAL – Des bibelots étaient tombés, des cheminées avaient craqué, mais tous avaient eu plus de peur que de mal lorsqu’un tremblement de terre de magnitude 5,9 sur l’échelle de Richter avait ébranlé le Québec, il y a 25 ans.

Le 25 novembre 1988, à 18 h 45, une puissante secousse avait pris naissance à 35 kilomètres au sud de Chicoutimi, l’actuelle Saguenay.

Selon Maurice Lamontagne, séismologue à Ressources naturelles Canada, des effets du tremblement de terre avaient été ressentis jusqu’à Washington et New York, aux États-Unis.

Des dommages totalisant 50 millions $ avaient été réclamés aux assureurs dans la seule région de Saguenay, rappelle M. Lamontagne.

Deux jours plus tôt, un autre tremblement de terre, un «précurseur», de magnitude 4,7 sur l’échelle de Richter avait été enregistré.

M. Lamontagne précise que depuis ce temps, la région est très calme, du moins sur le plan sismique.

Il ne s’agit toutefois pas du plus important tremblement de terre à avoir été enregistré en sol québécois, puisque des séismes de magnitude 6,2 avaient été répertoriés en 1925 dans Charlevoix et en 1935 au Témiscamingue.

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Une campagne québécoise de 12 jours pour dénoncer la violence faite aux femmes

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MONTRÉAL – Un seul et même fléau sera dénoncé pendant une douzaine de jours aux quatre coins du Québec par plusieurs organisations féministes: la violence contre les femmes.

Une campagne provinciale de sensibilisation sur ce sujet social va s’amorcer lundi. Elle connaîtra son point culminant, le 6 décembre, à l’occasion d’un rassemblement de commémoration de la tuerie de l’École Polytechnique de Montréal.

Selon la coordonnatrice des dossiers politiques au Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, Louise Riendeau, cette campagne n’est vraiment pas un luxe.

Elle raconte que parmi les décideurs et la population en général, «beaucoup de gens pensent qu’on a déjà fait beaucoup [pour freiner les conjoints abusifs] et que c’est en voie d’être réglé».

Or, Mme Riendeau rapporte que dans les établissements membres de son réseau, sur une base quotidienne, «on voit des femmes qui arrivent dont l’estime est totalement démolie, qui ont développé des problèmes de santé physique et qui sont appauvries par le contrôle économique exercé par leur conjoint».

Elle poursuit en disant que «le jour où elles essaient d’échapper à la violence, la marche est haute et elles se butent à beaucoup d’obstacles».

La présidente de Femmes autochtones du Québec, Viviane Michel,abonde dans le même sens que Louise Riendeau.

Mme Michel soutient qu’il lui arrive de rencontrer des victimes, qui peinent à améliorer leur sort,au sein même de sa petite communauté d’Uashat-Maliotenam sur la Côte-Nord.

D’après elle, des plaintes sont régulièrement déposées mais ça ne va souvent pas plus loin.

«Comme on est une femme, comme on est autochtone c’est comme si ça ne vaut pas la peine qu’on investisse du temps pour éclaircir notre cas vraiment alarmant», a-t-elle précisé dépitée.

Viviane Michel estime que ce climat de laisser-aller est dévastateur pour les victimes et qu’en plus, elles paient un lourd prix dès l’instant où elles décident de dénoncer leur bourreau.

«Elles font face non seulement à l’agresseur mais aussi au cercle d’amis, à toute la communauté donc c’est toute une pression sociale», a-t-elle expliqué en entrevue à La Presse Canadienne.

Mme Michel a enchaîné en précisant que les milieux de vie des autochtones sont parfois si petits qu’une femme violentée essayant de s’en sortir risque de «rencontrer son conjoint au coin de la rue».

Dans de pareilles conditions, elle peut être tentée de garder le silence.

Or, Louise Riendeau avance que «si on n’est pas capable de persister dans le système de justice, les contrevenants restent dans l’impunité et ça leur permet de continuer à dire qu’ils ont le droit de faire ça».

À son avis, pour corriger le tir, une série de mesures sont nécessaires: «ça prend un système de justice qui fonctionne, du soutien pour les victimes et surtout de la sensibilisation».

Mme Riendeau se promet, d’ailleurs, de profiter de la campagne, qui doit débuter lundi, pour «envoyer des messages à la population, aux femmes violentées et aux décideurs publics».

Ce n’est pas un hasard si cette initiative va prendre son envol le 25 novembre.

En 1999, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies avait déterminé que cette date correspondrait désormais à la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

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La fabuleuse histoire de l’île aux chats

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Bienvenue sur le blogue Le fouineur ! Ici, nous faisons une revue du Web dans ce qu’il a de plus instructif et divertissant à offrir : des nouvelles, des chroniques d’opinion, des vidéos, des photos, des tableaux… Vos commentaires et suggestions sont les bienvenus !

Le paradis des chats se trouve au Japon. Les paradis, en fait, puisque le pays possède deux îles où les chats sont rois. À Tashirojima, la population féline surpasse de beaucoup celle des humains; on y compte même 51 monuments en forme de chats, en plus d’une dizaine de sanctuaires qui leur sont dédiés.

Chat-GrumpyCat

Mais c’est à une île au large de Fukuoka que nous allons nous intéresser. Là-bas, les chats sauvages pullulent, nourris en grande partie par les pêcheurs. Depuis juin 2007, un certain Fubirai les photographie dans toutes les situations et toutes les postures, alimentant quotidiennement son blogue.

Avec un peu d’imagination, ces clichés forment une histoire. Allez chercher les enfants et laissez-moi vous la raconter.

****

Il était une fois une île peuplée uniquement de chats.

Chat-Rue

Là-bas, la vie n’était pas différente d’ailleurs. Au détour d’une marche, on pouvait rencontrer des enfants en train de jouer…

Chat-Enfants

…des danseurs de rue…

Chat-Danse de rue

…des amoureux…

Chat-Amoureux

…des aînés assis sur les bancs publics…

Chat-Sage

…et un heureux sauteur.

Chat-Felix

La vie était bien organisée. Les meilleurs pêcheurs partaient en mer…

Chat-Pêcheurs

…pour trouver de quoi nourrir toutes les bouches.

Chat-Faim

Mais un jour, cette belle harmonie vola en éclat quand un gang de rue commença à vouloir faire sa loi.

Chat-Gangs

Vol de nourriture…

Chat-Nourriture

…vol de scooter…

Chat-Scooter

Sur l’île, c’était la consternation.

Chat-Consternation

Beaucoup durent se résoudre à vivre caché.

Chat-Caché2

Ce que certains faisaient d’ailleurs avec talent.

Chat-caché

Heureusement, l’île pouvait compter sur Stevens pour faire régner l’ordre.

Chat-Héros

Stevens débarrassa l’île du gang et la vie redevint vite paisible sur l’île.

Chat-Paisible2

Très paisible.

Chat-Tranquille

Et le chat sauteur pu continuer à sauter en paix.

Chat-Felix2

FIN

Le fouineur retourne maintenant à sa programmation régulière.

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Chasse aux phoques l’OMC doit trancher sur l’interdiction de l’Union européenne

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SAINT-JEAN, – L’Organisation mondiale du commerce doit rendre une décision fort attendue lundi sur l’interdiction de l’Union européenne d’importer tous produits du phoque.

Selon les chasseurs des Maritimes et ceux des communautés inuites, un tel embargo constitue une discrimination injustifiée à l’endroit des produits du phoque du Canada.

L’interdiction profite toutefois du soutien de personnalités publiques bien connues telles Brigitte Bardot, Jude Law et Pamela Anderson, entre autres.

La décision de l’OMC devrait déterminer si le bien-être des animaux est bel et bien un enjeu moral pour le public et si cela justifie ou non des restrictions commerciales.

Le Canada et la Norvège contestent l’interdiction de l’Union européenne — imposée en 2010 —, sur l’importation et la vente de fourrure et de viande, entre autres produits du phoque.

Le différend oppose les chasseurs commerciaux, qui affirment qu’il s’agit d’une façon humaine et durable de faire des profits tout en contrôlant la population de phoques à ceux qui soutiennent qu’il s’agit d’une «boucherie» cruelle et non nécessaire.

L’embargo de l’UE ne vise toutefois pas les produits du phoque issus de la chasse inuite ou d’autres communautés autochtones, pas plus que celles qui sont effectuées dans l’unique but de contrôler les populations de phoques et protéger les bancs de poissons.

Mais au dire du président d’Unuit Tapiriit Kanatami, Terry Audla, l’approche européenne est «orwellienne» et s’oriente dans la mauvaise direction.

«Ils se basent sur la moralité publique et quand vous faites ça, vous vous exposez au risque que toutes les autres industries soient elles aussi bannies. Qui peut dire ce qui est plus cruel? L’agriculture industrielle? L’industrie du porc, du boeuf, de la volaille? Qui détermine les limites?», a lancé M. Audla, dont l’organisation représente 55 000 Inuits.

Selon des données d’un rapport intérimaire confidentiel de l’OMC ayant coulé en octobre, la décision du comité risque d’être partagée.

Le groupe Seals and Sealing Network, une organisation canadienne, affirme que les conclusions préliminaires de ce rapport indiquent que l’embargo de l’UE viole les règlements de l’OMC en discriminant injustement les produits du phoque du Canada et de la Norvège et ceux de l’Europe et d’autres pays.

Or, le rapport conclut également que l’interdiction pourrait être justifiée en vertu d’une exception visant à protéger la «moralité publique».

La porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Claude Rochon, a rappelé la position du Canada, soit que l’embargo de l’UE viole les obligations de l’OMC du bloc européen.

Quelque 900 000 phoques sont chassés chaque année à travers le monde, selon la Commission européenne. Outre le Canada, la Norvège, le Groenland et la Namibie pratiquent eux aussi la chasse commerciale du phoque.

La saison de la chasse qui avait démarré à Terre-Neuve au printemps dernier a mené à la capture d’environ 91 000 phoques, un nombre qui s’affiche en hausse par rapport aux 69 000 chassés l’an dernier mais bien en-deçà du quota fédéral, établi à 400 000 prises.

Parmi les pays interdisant l’importation de produits du phoque, on compte notamment les États-Unis, le Mexique, la Russie et Taïwan.

Les deux parties auront 60 jours pour faire appel de la décision du groupe spécial de l’OMC chargé d’examiner ce différend.

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Afghanistan les militaires canadiens avaient un moral fragile selon un sondage

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OTTAWA – Les soldats canadiens avaient le moral fragile lorsqu’ils ont été déployés pour former les forces afghanes au terme de la mission de combat dans la province de Kandahar, en Afghanistan, indique-t-on dans un sondage des Forces canadiennes.

Un tiers seulement des militaires ayant participé à l’étude se sont dits prêts à s’engager dans d’autres missions du même genre à l’avenir, un résultat jugé troublant par les commandants supérieurs de l’armée.

«Le moral des participants était de modéré à bas aux échelles des individus (59 pour cent) et des unités (72 pour cent)», indique-t-on dans le sondage.

La moitié des participants ont reconnu la valeur de la formation auprès des Afghans, mais seulement un «tiers d’entre eux (32 pour cent) sont optimistes» face à cette mission.

Et seulement 58 pour cent des soldats interrogés ont dit que leur travail, qui consiste essentiellement à former les entraîneurs de l’armée nationale afghane, était «significatif ou important» pendant les six à huit mois de leur déploiement. Là encore, la direction de l’armée a sourcillé à cette donnée.

«La chaîne de commandement devrait s’inquiéter face à un taux aussi bas d’appréciation et de satisfaction du travail, qui pourrait mener à une faible propension au redéploiement dans des missions semblables à l’avenir», prévient-on dans une note préparatoire datée du 11 juillet 2012.

Le sondage, mené auprès de 69 pour cent des 950 membres de la force opérationnelle, a été effectué en mars 2012. La Presse Canadienne en a obtenu copie en vertu de la Loi d’accès à l’information, de même qu’à des documents préparatoires pour le commandant de l’armée à l’époque, le lieutenant-général Peter Devlin.

La publication de ces documents coïncide avec la dernière phase du retrait des quelque 905 militaires canadiens toujours présents en Afghanistan, mettant ainsi un terme à une mission de combat de cinq ans. Le retrait ne sera pas complété avant le printemps prochain.

Mais au dire du lieutenant-général Stuart Beare, lorsqu’une personne se retrouve dans un contexte stressant, il est parfois difficile d’apprécier tout ce qui se passe. Il se dit toutefois confiant que les militaires comprendront l’importance de leur travail accompli une fois de retour à la maison.

«J’ai eu vent et j’ai moi-même vu des frictions normales qui surgissent dans le cadre d’un rôle d’entraîneur et de mentor, surtout avec les barrières de la langue et de la culture. Mais, au final, j’ai plutôt entendu une satisfaction généralisée», a-t-il soutenu.

Même si les militaires se trouvaient loin des zones de combat du sud du pays, 59 pour cent d’entre eux étaient soumis à un taux significatif de «détresse psychologique», une donnée qui correspond à ce que les soldats rapportaient pendant les opérations de combat.

Mais cette fois-ci, le «stress extrême» des entraîneurs s’explique plutôt par ce qu’ils perçoivent comme un «manque de soutien».

Contrairement aux cinq années passées dans la province de Kandahar, la mission de formation à Kaboul n’a reçu que peu d’attention médiatique. Plusieurs soldats ont dit avoir l’impression que même s’ils étaient toujours dans des zones à risque, le pays les avait oubliés.

Le gouvernement Harper a promis, notamment lors du dernier Discours du trône, qu’il honorerait les troupes canadiennes et leur implication en Afghanistan une fois que tous seront rentrés.

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Bombes à sous-munitions Ottawa a trahi ses alliés dit un ex-négociateur

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OTTAWA – L’ancien négociateur en chef du Canada pour la convention sur les armes à sous-munitions accuse le gouvernement Harper d’avoir trahi la confiance des autres pays signataires en insérant une clause controversée au projet de loi sur la ratification du traité.

Earl Turcotte y est allé de cette allégation dans une déclaration écrite soumise au Comité des Affaires étrangères des Communes, qui tient ces jours-ci des audiences sur le projet de loi C-6.

Le Canada fait l’objet d’une vive condamnation à l’échelle internationale — et même de la part du Comité international de la Croix-Rouge, habituellement neutre —, en raison de cette clause. En vertu de cette disposition, les Forces armées canadiennes seraient autorisées à être impliquées dans des opérations militaires usant de telles bombes au cours d’activités conjointes avec des États non-signataires du traité, dont les États-Unis.

Selon certains observateurs, cette clause limiterait la portée du traité, qui vise à interdire le recours à une arme particulièrement dommageable pour les populations civiles.

M. Turcotte a depuis claqué la porte de la fonction publique pour manifester son opposition à l’interprétation du gouvernement de la disposition contestée.

Il dit avoir rassuré les partenaires internationaux du Canada pendant les négociations en leur affirmant que le pays ne se servirait pas de l’article autorisant les opérations conjointes avec des États non-signataires comme d’un échappatoire pour recourir à des bombes à sous-munitions.

«En tant que président de la délégation, c’est moi qui ai fait toutes les annonces au nom du Canada pendant les séances plénières. Je sais ce que j’ai dit au nom de notre pays et ce, avec l’appui politique et de tous les niveaux à ce moment-là. Je sais aussi comment cela a été compris puis accepté par tous les 108 États qui prenaient part aux négociations», a-t-il écrit.

«Le projet de loi C-6 constitue une volte-face sur plusieurs engagements clés pris par le Canada pendant les négociations et en signant la convention en 2008. Il s’agit d’un affront aux autres États qui ont négocié de bonne foi.»

Selon M. Turcotte, le gouvernement interprète mal l’un des articles majeurs de la convention qu’il a aidé à négocier et rédiger. L’article 21 permet la collaboration militaire entre les pays signataires et ceux qui ne le sont pas.

Il visait surtout à permettre aux troupes canadiennes de prendre part à des opérations conjointes avec les États-Unis, mais pas «d’aider ou encourager» l’usage de bombes à sous-munitions.

De passage en comité parlementaire la semaine dernière, le ministre des Affaires étrangères John Baird a déclaré que la clause était nécessaire parce qu’elle préservait la relation militaire unique entre les États-Unis et le Canada.

Puis, ce fut au tour du général à la retraite et ancien commandant adjoint des forces américaines en Irak en 2004, Walt Natynczyk, de se porter à la défense de cette clause du projet de loi C-6.

«La convention elle-même, et plus précisément l’article 21, prévoit cela. Nous avons sans doute la collaboration la plus intégrée en matière de défense et de sécurité que deux pays peuvent avoir dans ce monde», a déclaré M. Baird, en entrevue.

«Aucun membre des Forces armées canadiennes ne jettera de bombes à sous-munitions sur quiconque, jamais», a affirmé M. Baird devant les journalistes lors d’une conférence de presse, dimanche.

M. Turcotte qualifie l’argument de M. Baird sur la préservation des relations militaires entre les États-Unis et le Canada d’«absurdité totale».

«S’il y avait eu la moindre indication pendant les négociations de la convention sur les armes à sous-munitions que de telles activités seraient permises en vertu de l’article 21, les autres États n’y auraient jamais consenti et je ne l’aurais jamais proposé», a-t-il soutenu.

Selon M. Turcotte, il y a eu un intense bras de fer entre le ministère des Affaires étrangères, où il travaillait, et celui de la Défense nationale quant à l’interprétation à donner à l’article 21. Une lutte que lui et son ministère ont finalement perdu.

M. Turcotte a préféré tirer sa révérence après près de trente ans de services dans la fonction publique fédérale.

Le comité parlementaire reprendra ses audiences à compter de mardi.

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Isabelle Péladeau meurt noyée dans un lac à la suite d’un accident de voiture

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SAINT-HIPPOLYTE, Qc – Isabelle Péladeau, fille de Pierre Péladeau et soeur de Pierre-Karl, a perdu la vie dans une tragédie routière, samedi soir, à Saint-Hippolyte, dans les Laurentides.

Le véhicule dans lequel elle se trouvait a plongé dans le lac de l’Achigan.

Isabelle Péladeau, âgée de 55 ans, laisse dans le deuil ses deux fils Félix et Alexis, son conjoint Roger Humbert, et le père de ses enfants Jean Langevin.

Le drame est survenu vers 17h30, quand le conducteur du véhicule n’a pu immobiliser la voiture dans une pente, en raison de la chaussée glacée, au moment il tentait d’accéder à une entrée privée située sur la 305e Avenue.

Une fois dans le lac, l’homme est parvenu à s’extirper du véhicule et a tenté de porter secours à sa passagère, mais en vain.

Des pompiers et des policiers, appelés sur place, ont réussi à libérer la victime et ont tenté des manoeuvres de réanimation, mais son décès a été constaté au centre hospitalier où elle avait été transportée.

Le conducteur a aussi été transporté, par mesure préventive, vers un centre hospitalier. Les enquêteurs de la SQ le rencontreront lorsque son état le permettra, afin d’établir avec précision les causes du fatal accident.

Isabelle Péladeau avait publié en 2005 un carnet d’adresses «De bouche à oreille» aux éditions Trécarré dans lequel elle dévoilait les endroits fétiches de 70 personnalités québécoises.

«C’était une femme très solide, très travaillante et elle était prête à aller loin. Nous avions une affection mutuelle l’une pour l’autre. Vous savez, parfois vous rencontrez des gens et vous reprenez la conversation comme si (vous vous étiez vus) la veille», a raconté l’animatrice Sophie Stanké, qui l’a croisé à quelques reprises.

Fille de l’éditeur Alain Stanké, Sophie Stanké était bien placée pour comprendre qu’un nom de famille aussi connu peut parfois s’avérer un fardeau.

«En plus c’était la fille, alors en tant que fille, il faut faire plus, et bon, c’est sûr qu’elle avait beaucoup d’admiration pour son papa mais elle trouvait ça dur d’être la fille de Pierre Péladeau. On s’en parlait toutes les deux, il fallait faire notre prénom. C’était quelqu’un d’à la fois solide et sensible», a-t-elle poursuivi.

«J’avais beaucoup d’admiration pour elle. C’est une mort tragique pour moi, pour toute la famille. Je n’y croyais pas, c’est tragique, je n’ai que ce mot-là», a ajouté Mme Stanké.

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Nouveau président à la FTQ cette semaine2 candidats à la succession d’Arsenault

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MONTRÉAL – La campagne à la présidence de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) s’intensifiera cette semaine, alors que s’amorce lundi, à Québec, le 30e congrès de la centrale syndicale.

Deux candidats se font une chaude lutte pour succéder au président sortant, Michel Arsenault. Il s’agit du secrétaire général actuel de la FTQ, Daniel Boyer, et de l’ancien secrétaire-trésorier national du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) Claude Généreux.

Tous deux se disent très confiants quant à leurs chances de l’emporter et misent sur le renouveau, la transparence et l’éthique pour séduire les membres, qui seront appelés aux urnes vendredi.

Claude Généreux se voit comme la seule véritable solution pour changer la culture et le ton à la FTQ. À la lumière des témoignages à la Commission Charbonneau, il avait demandé à Michel Arsenault de quitter son poste, l’accusant de ne pas avoir été assez transparent.

«J’ai dit tout haut ce que tout le monde pensait tout bas lorsque je me suis présenté, le 31 octobre. J’espère que le messager ne sera pas tué parce que parfois c’est le messager qui divise mais non, le message était là et il faut tourner la page à ça», a-t-il dit.

Selon lui, les travailleurs ont soif de transparence et d’intégrité. Il affirme que le temps est venu de redonner du pouvoir aux membres et de les défendre eux plutôt que la réputation de la FTQ.

Claude Généreux affirme qu’il est capable de «faire le ménage» à la FTQ et se dit optimiste quant à l’issue du scrutin.

«Je ne suis pas un figurant. Après trois semaines de campagne j’en ai rencontré des membres au Saguenay-Lac-St-Jean, en Estrie, dans l’Outaouais notamment», a-t-il soutenu.

Il dit ne pas tourner le dos à la vieille garde de la FTQ et affirme que l’unité des rangs est le seul moyen pour l’organisation de perdurer au sein de la société québécoise.

«Si je gagne je vais tendre la main, je ne ferai pas comme les politiciens. On a des opinions, c’est ardu mais chose certaine je serai le président de tous et toutes», a poursuivi M. Généreux.

Son adversaire Daniel Boyer ne semble toutefois pas l’entendre de la même oreille. Selon lui, son adversaire M. Généreux met «tout le monde dans le même bateau».

«Il ‘flusherait’ tout ça lui les vice-présidents, moi je suis prêt à travailler avec tout le monde incluant les gens du Syndicat canadien de la fonction publique», a-t-il lancé.

M. Boyer et son colistier au poste de secrétaire général, Serge Cadieux, misent eux aussi sur l’intégrité pour se faire élire. Déjà, au congrès de 2010, une motion proposait l’adoption d’un code d’éthique et c’est M. Boyer qui a supervisé sa mise en oeuvre, a-t-il rappelé.

«Serge Cadieux et moi, nous sommes irréprochables et inattaquables. Je n’ai pas de squelettes dans mon placard, j’ai eu des relations de travail ‘clean’ toute ma vie et je vais continuer à le faire», a soutenu M. Boyer.

«Je pense que le problème est réglé, c’est sûr que ce qui est plate c’est qu’on nous remâche ce qui s’est passé en 2007, 2008, moi je n’étais pas à la direction à l’époque. Je peux vous dire que ce qu’on entend à la télé, ce n’est pas la FTQ que je connais et ce n’est pas la FTQ d’aujourd’hui», a poursuivi M. Boyer.

Daniel Boyer ne s’offusque pas d’être identifié à Michel Arsenault. Au contraire, il voit cela de façon positive. Il estime que M. Arsenault a été un «grand président irréprochable», un «gars d’équipe». Mais il assure qu’il n’a pas été la marionnette de Michel Arsenault, n’étant pas un «lèche-bottes» de nature, précise-t-il.

«Je vous avoue que je réponds à l’appel de 9 des 10 vice-présidents qui appuient l’équipe Boyer-Cadieux. Si je n’avais pas cette majorité d’appuis, je resterais là où je suis parce que je suis bien», a-t-il déclaré, affirmant lui aussi vouloir être un rassembleur au sein de la FTQ.

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Lundi quatre partielles fédérales mesureront l’impact du scandale du Sénat

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OTTAWA – Quatre élections partielles fédérales, dont une au Québec, lundi, pourraient donner la première mesure réelle de l’impact du scandale des dépenses du Sénat sur l’électorat canadien, la popularité du chef libéral Justin Trudeau et la durabilité de la vague orange du NPD de 2011.

Et les chefs le savent. Alors que les partielles sont habituellement considérées comme des événements très locaux ayant peu d’impact sur des élections générales subséquentes, Stephen Harper, Justin Trudeau et Thomas Mulcair se sont activement impliqués dans les campagnes des circonscriptions de Brandon-Souris et Provencher, au Manitoba, de Toronto-Centre, en Ontario, et de Bourassa, à Montréal.

Dans Bourassa, l’ancien député libéral provincial de Viau, Emmanuel Dubourg, tente de succéder au député libéral démissionnaire Denis Coderre, maintenant maire de Montréal. Il fait notamment la lutte à l’avocate et ancienne membre du groupe Bran Van 3000, Stéphane Moraille, candidate du Nouveau Parti démocratique.

«Ces quatre élections partielles sont le premier acte des élections générales de 2015. Les résultats représenteront en partie quelle sera l’option de rechange aux conservateurs, et c’est pourquoi nous nous battons si fort», a expliqué la candidate libérale de Toronto-Centre, Chrystia Freeland.

Le comté de Toronto-Centre est vacant depuis la démission de l’ancien chef intérimaire libéral Bob Rae. Si l’«effet Justin» a pu ranimer le parti relégué au troisième rang en 2011, la perte de l’un de ces châteaux-forts libéraux le ferait redescendre des hauteurs où il flotte depuis l’élection de M. Trudeau à sa tête, le printemps dernier.

Pour les conservateurs, il n’y a que Provencher qui semble gagnée d’avance. L’ancien ministre de la Sécurité publique Vic Toews a été réélu en obtenant plus de 70 pour cent des suffrages en 2011.

Dans Brandon-Souris, également un fief conservateur, le parti libéral est un adversaire étonnamment menaçant, alors qu’il était quasi absent en 2011. Cette circonscription manitobaine avait été facilement emportée en 2011 par Merv Tweed, qui a décidé de quitter la Chambre des communes pour retourner dans le monde des affaires.

Au cours des 60 dernières années, la circonscription a été conservatrice pendant 56 ans. Sa perte ébranlerait sérieusement le Parti conservateur, déjà fragilisé par le scandale du Sénat. À un point tel que Stephen Harper a pris des moyens jamais vus, la semaine dernière, et a envoyé une lettre aux électeurs de Brandon, étalant les réussites de son parti et décochant ses flèches en direction de M. Trudeau.

«Ne laissez personne vous dire que cette élection partielle n’a pas d’importance — il y a beaucoup en jeu», a écrit M. Harper, accusant Justin Trudeau d’avoir l’intention d’augmenter les impôts et d’être tolérant envers le crime.

Quant au Nouveau Parti démocratique, il a consacré toute son énergie dans Bourassa et Toronto-Centre, dans l’espoir d’amenuiser la marge de victoire des libéraux et ainsi, prouver que l’arrivée de Thomas Mulcair, après la mort du populaire Jack Layton, a su conserver son élan.

La victoire d’une de ces circonscriptions au nez des libéraux serait un signe incontestable que la popularité de M. Trudeau n’a d’égale que l’expérience de M. Mulcair, qui se fait remarquer par ses interrogatoires en règle du premier ministre à la Chambre des communes.

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Le Canada est «sceptique sur l’entente nucléaire internationale avec l’Iran

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OTTAWA – Le gouvernement canadien s’est dit «profondément sceptique», dimanche, de l’entente nucléaire conclue samedi entre l’Iran et les États-Unis ainsi que cinq autres puissances mondiales, affirmant que les sanctions imposées par Ottawa demeureraient fermes jusqu’à ce qu’il voie des actions concrètes.

Le ministre des Affaires étrangères, John Baird, a semblé prendre davantage de distance avec cette entente en disant que le Canada surveillerait l’Iran de près dans les semaines et mois à venir.

«Nous avons nos propres politiques étrangères au Canada. Nous pensons que les actions passées prédisent le mieux les actions futures. Et l’Iran a défié le Conseil de sécurité des Nations Unies et l’Agence internationale de l’énergie atomique. Pour dire les choses simplement, l’Iran n’a pas gagné le droit au bénéfice du doute», a affirmé M. Baird aux journalistes, dimanche.

Cet accord intérimaire conclu à Genève oblige l’Iran à mettre un frein à ses activités nucléaires en échange d’une réduction limitée et graduelle de sanctions à son endroit.

Lors d’une déclaration officielle à la Maison-Blanche, samedi soir, le président Barack Obama a déclaré que cette entente représentait «un important premier pas» et «un nouveau chemin» vers un monde plus sécuritaire. Selon M. Obama, l’accord inclut des «contraintes substantielles» à l’endroit de l’Iran et lui bloque l’accès le plus probable vers la fabrication d’une bombe nucléaire.

Israël, quant à lui, croit que l’entente est une «erreur historique».

À Ottawa, M. Baird a adopté une approche plus mesurée.

«Nous sommes profondément sceptiques sur l’Iran et sa capacité à honorer ses obligations», a-t-il dit, ajoutant que le Canada, qui s’est montré un des plus fermes alliés d’Israël, particulièrement depuis l’arrivée au pouvoir des conservateurs, croit que «toutes les mesures diplomatiques» devraient être prises pour que l’Iran n’obtienne d’arme nucléaire.

«Une Iran nucléaire ne serait pas une menace que pour le Canada ou ses alliés, mais aussi pour l’intégrité de décennies d’efforts pour la non-prolifération nucléaire. Cela amènerait les États voisins à lancer leur propre programme nucléaire.»

Le ministre a ajouté que les sanctions canadiennes demeureraient bien en place.

«Des sanctions efficaces ont mené le régime à présenter un front plus modéré et à ouvrir la porte aux négociations, a-t-il affirmé. Le peuple iranien mérite la liberté et la prospérité dont il a été privé à cause des ambitions nucléaires du régime. D’ici là, les sanctions canadiennes resteront fermes et entières.»

Le Nouveau Parti démocratique a également réagi en publiant une déclaration dans laquelle Paul Dewar, porte-parole de l’opposition en matière d’affaires étrangères, considère l’entente intérimaire «comme un premier pas important en vue d’assurer la paix et la sécurité dans cette région du monde». Il appelle aussi les conservateurs à l’endosser.

«Il est maintenant essentiel que le gouvernement canadien travaille avec nos alliés, comme les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, et fasse sa part pour assurer que cet accord intérimaire puisse devenir la solution complète au programme nucléaire de l’Iran», affirme M. Dewar.

L’entente conclue samedi est considérée comme une première étape vers une entente finale qui éradiquerait tout développement d’armes nucléaires en Iran. Elle émane de négociations amorcées lors de la réunion annuelle des Nations unies en septembre dernier, incluant une conversation téléphonique d’une durée de 15 minutes entre le président américain Barack Obama et le nouveau président iranien, Hassan Rouhani.

Il s’agit d’un jalon marquant entre les deux pays, qui ont rompu leurs relations diplomatiques il y a 34 ans lorsque la révolution islamique qui s’installait alors en Iran a mené à une invasion de l’ambassade des États-Unis à Téhéran.

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Quelques avocats «gratuits dimanche à Québec conseils prodigués par téléphone

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QUÉBEC – Pour une deuxième année, le Jeune Barreau de Québec tient dimanche après-midi une clinique de consultation gratuite par téléphone.

L’objectif est de donner une plus grande accessibilité à la justice.

Ainsi, de midi à 17h, les citoyens de la grande région de Québec pourront contacter une dizaine de jeunes avocats bénévoles afin d’obtenir des réponses à leurs questions. Ces avocats oeuvrent dans de nombreux domaines du droit.

L’an dernier, ils ont pu prodiguer des conseils à plus d’une centaine de personnes, en 5 heures. Pour les joindre, il faut composer le 418-681-7007.

Le Jeune Barreau de Québec, qui représente 1400 membres, célèbrera en 2014 son 100e anniversaire.

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Le journaliste et animateur Pierre Craig devient président de la FPJQ

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QUÉBEC – L’animateur et journaliste de Radio-Canada, Pierre Craig, est le nouveau président de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ).

M. Craig, élu par acclamation au congrès de la FPJQ, samedi, à Québec, succède au journaliste du Devoir Brian Myles, qui occupait cette fonction depuis 4 ans.

Les lauréats du prestigieux prix Judith-Jasmin ont par ailleurs été dévoilés lors de ce congrès.

Notons que le «Grand Prix» Judith-Jasmin a été décerné au journaliste Alec Castonguay pour son portrait du ministre conservateur Jason Kenney, paru dans le magazine L’actualité. Il reçoit ce prix pour la qualité et la rigueur de sa recherche et de son propos.

Le jury était formé d’anciens présidents de la FPJQ.

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Sainte-Sophie le SPVM soumet trois accusations à l’endroit d’un homme

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SAINTE-SOPHIE, Qc – Un total de trois accusations devrait être porté, lundi au palais de justice de Saint-Jérôme, à l’endroit d’un individu atteint d’une balle par un policier de la Sûreté du Québec à Sainte-Sophie, dans les Laurentides.

Puisque l’événement implique des membres de la SQ, c’est le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) qui a été chargé de mener une enquête indépendante.

Selon le porte-parole du SPVM, Simon Delorme, l’homme de 33 ans, qui avait menacé les policiers avec une arme d’épaule, devrait faire face à des accusations de braquage d’une arme à feu, possession non-autorisé d’une arme à feu et possession d’une arme à feu dans un dessein dangereux.

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) devra cependant donner son aval pour que les accusations soient portées.

L’enquête du SPVM se poursuit, afin de déterminer avec précision ce qui a mené le policier à tirer un coup de feu vers l’individu.

Vers 23 h 15, samedi soir, des policiers de la Sûreté du Québec ont été appelés à se rendre dans une résidence de la rue Mongrain pour une affaire de violence conjugale.

L’individu les aurait alors accueillis avec une arme d’épaule. Un policier a aussitôt tiré sur l’individu, l’atteignant à un membre supérieur et au bas du dos. Sa vie n’est toutefois pas en danger.

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Vue dAuckland de jour et de nuit

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En revenant à Auckland on s'est payé le luxe d'une chambre en auberge... Douche chaude, lit qui sent plus ou moins bon, accès à une vraie cuisine et sommeil bercé par les portes qui claquent plutôt que les voitures qui passent à côté de nous... On ne sait par quelle magie ça a pu arriver mais[...]
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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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