Informations aux voyageurs

tourisme - vacances - voyage - séjour - vol - avion - hôtel

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Blogs voyage

Nous ne sommes pas plan plan

Envoyer Imprimer PDF
145 kilomètres. Nous avions calculé qu'à raison d'une moyenne de 15 km/heure, 90 km seraient parcourus avant 10 heure... 
Lire la suite...
 

J 1 - Mexique

Envoyer Imprimer PDF
Arriba el principio de la Aventura en México !!! 
Lire la suite...
 

Citations de la journée de mardi dans la campagne électorale

Envoyer Imprimer PDF

Voici quelques-unes des meilleures citations de la journée de mardi dans la campagne électorale au Québec:

«Ça ne changera pas nos paysages, ça c’est sûr. On pourra continuer à aller voir les Rocheuses du côté de l’Ouest du pays et aller à l’Île-du-Prince-Édouard et ils pourront continuer à venir chez-nous, il n’y aura pas de frontières et il n’y aura pas de péage.» – la chef péquiste Pauline Marois, à propos d’une éventuelle indépendance du Québec et de son impact sur l’industrie touristique

—–

«Ce n’est pas un problème (d’être médecin et ministre de la Santé), mais plutôt un gros avantage. La phase de briefing, quand on arrive au ministère, disons qu’elle est moins longue.» – le chef libéral Philippe Couillard, à propos de son équipe médicale qui comprend notamment le Dr Gaétan Barrette, pressenti pour être ministre de la Santé dans un éventuel gouvernement libéral

—–

«Je ne vais pas me mettre à genoux parce que j’ai peur de leur réaction. À un moment donné, là, il faut défendre l’intérêt commun.» – François Legault, chef de la Coalition avenir Québec, à propos de la réaction des syndicats à ses propositions pour encadrer les activités syndicales

Cet article Citations de la journée de mardi dans la campagne électorale est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

La possible expansion de la LNH ne sera pas influencée par la politique

Envoyer Imprimer PDF

BOCA RATON, États-Unis – La décision de Pierre Karl Péladeau de briguer l’élection sous les couleurs du Parti Québécois n’aura aucun impact sur une possible expansion dans la province, a indiqué la Ligue nationale de hockey mardi.

Le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly, a déclaré qu’il avait commencé à recevoir des appels dès dimanche soir au sujet de la décision de l’actionnaire de contrôle de Québecor de se présenter pour le parti souverainiste aux prochaines élections provinciales.

Pierre Karl Péladeau a été l’un des fers de lance dans les efforts pour ramener un club de la LNH à Québec. Son empire médiatique, Québecor, a d’ailleurs acquis les droits pour que le nouvel amphithéâtre de Québec, où l’équipe disputerait ses matchs locaux, porte son nom, en plus d’en obtenir les droits de gestion.

Après que le patron de Québecor eut annoncé ses intentions — nationalistes —, l’ex-premier ministre canadien Brian Mulroney, également à la direction du conglomérat, a pris la tête du mouvement de lobbying qui vise à ramener une nouvelle incarnation des Nordiques.

Daly a précisé que la ligue a suivi cette affaire de Boca Raton, où a lieu la réunion annuelle des directeurs généraux du circuit Bettman, et qu’à ce moment-ci, le paysage politique du Québec a très peu d’effet sur la LNH et ses plans.

«Ce que je dirais à ce moment-ci, c’est que ça n’a aucun rôle à jouer dans notre processus, a-t-il dit. Je ne veux pas suggérer que nous avons déjà un plan définitif d’expansion. Mais je ne verrais pas pas cela de façon positive ou négative.»

Le commissaire, Gary Bettman, et Daly ont souvent répété que la ligue n’a pas de projet d’expansion en chantier. Mais ça n’a pas empêcher les spéculations au sujet de Québec ou d’autres villes, comme Seattle, qui désire une équipe.

Questionné spécifiquement au sujet de la campagne de Péladeau, Daly a indiqué que la ligue ne lui avait pas porté une attention particulière.

«Mais je ne crois pas que cette annonce nous affecte, que ce soit de façon positive ou négative», a-t-il ajouté.

Brian Mulroney, vice-président du conseil d’administration de Québecor, a été impliqué dans le dossier du hockey dès le début. Selon le maire de Québec, Régis Labeaume, Bettman et lui éprouvent un respect mutuel.

Le maire Labeaume a aussi insisté sur le fait que l’implication politique de Pierre Karl Péladeau n’aurait pas d’effet sur un retour éventuel des Nordiques.

Les Nordiques ont commencé leur existence dans l’Association mondiale de hockey, en 1972, avant de passer à la Ligue nationale en 1979. L’équipe a déménagé à Denver, où elle est devenue l’Avalanche, en 1995.

Les coûts estimés de 400 millions $ du nouvel aréna sont partagés également entre la province et la ville de Québec, une entente appuyée par le Parti québécois avant l’élection de 2012.

Cet article La possible expansion de la LNH ne sera pas influencée par la politique est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

L’impact sur les médias du saut en politique de M Péladeau inquiète au pays

Envoyer Imprimer PDF

OTTAWA – Depuis l’annonce du saut en politique de Pierre Karl Péladeau, certains maires s’inquiètent de la propriété par un souverainiste du Québec de médias au Canada anglais.

Le maire de Portage la Prairie, au Manitoba, fait partie de ceux qui s’indignent du fait que le principal journal local de sa municipalité est détenu par un magnat des médias souverainiste. «C’est une sacrée honte que le gars a choisi d’être séparatiste», a lancé Earl Porter, dans un entretien téléphonique.

Beaucoup a été dit déjà sur le saut soudain de Pierre Karl Péladeau dans la campagne électorale au Québec sous la bannière du Parti québécois, et sur l’étendue de son groupe médiatique Québecor dans la province.

Mais ce qui est moins connu est que les gens qui résident à Fort McMurray ou Grande Prairie, en Alberta, Kenora, Sault Sainte Marie, London ou Niagara Falls, en Ontario, consultent un journal local détenu par Québecor — une entreprise dont M. Péladeau contrôle près de trois quarts des actions à droit de vote.

En fait, Québecor se targue d’être «le plus important éditeur de journaux au Canada», avec plus de 30 quotidiens payants — la plupart en Ontario — et près de 200 hebdos locaux, revues publicitaires et publications spécialisées.

«Les médias d’information influencent beaucoup de choses et beaucoup de décisions dans tous les aspects de la vie», a affirmé M. Porter, qui s’est plaint de la réduction de la publication à seulement deux fois semaine du journal Daily Graphic de Portage à la suite de la prise de contrôle par Sun Media, propriété de Québecor.

«D’avoir un séparatiste à la tête, dirigeant le flot de nouvelles au reste du Canada, est illogique. Ce n’est simplement pas juste», a-t-il ajouté.

Deborah Haswell, la mairesse de Owen Sound, en Ontario, où le quotidien Sun Times est une institution locale ayant été réduite à une peau de chagrin par une série de réductions des coûts décidée par les propriétaires — actuellement Sun Media — a dit avoir pris conscience avec étonnement de l’étendue des propriétés médiatiques de Québecor.

«C’est plutôt inquiétant de voir quiconque dans une position politique, dans une position d’autorité, être autant investi dans l’information du jour», a commenté en entrevue Mme Haswell.

Elle a fait valoir que les gens faisant le saut en politique active se doivent de prendre des décisions quant à leur vie personnelle et leurs entreprises, ajoutant qu’«avec un mandat comme séparatiste, la situation est angoissante pour le pays à l’égard de la position (de M. Péladeau) et de sa capacité à rejoindre les gens».

M. Péladeau a abandonné son implication au quotidien dans Québecor il y a un an, et a dit, dans la dernière semaine, qu’il laissait de côté toutes ses fonctions dans l’entreprise. Il a toutefois affirmé ne pas avoir l’intention de vendre ses actions dans la société initiée par son père.

Dwayne Winseck, professeur de journalisme à l’Université Carleton, a fait valoir que les consommateurs d’information n’ont d’autres choix que de «croire aveuglément que Pierre Karl Péladeau est un homme juste qui établira un mur de Chine entre ses politiques et ses médias».

«Et en fait, personne ne croit cela», a ajouté celui qui est aussi directeur du Canadian Media Concentration Research Project.

Il y a ceux qui prennent au mot les garanties de M. Péladeau et de Sun Media que l’implication politique du propriétaire ne teintera pas les positions éditoriales des journaux.

«Nous ne voyons tout simplement pas un lien entre ses propres vues politiques et l’impact sur le produit local de Sun Media dans cette ville», a dit David Goyette, adjoint exécutif au maire de Peterborough Daryl Bennett.

Mais Debbie Amaroso, mairesse de Sault Sainte Marie, croit pour sa part que les ambitions politiques de M. Péladeau soulèvent des inquiétudes quant à «l’influence que cela peut avoir sur l’information».

Cet article L’impact sur les médias du saut en politique de M. Péladeau inquiète au pays est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Un plan électoraliste pour Montréal

Envoyer Imprimer PDF

PolitiqueLe Parti québécois a dévoilé, mardi, un plan pour Montréal d’une désolante vacuité.

La stratégie électoraliste à souhait, qui tient en quatre pages, passe à côté de l’essentiel. Montréal n’aura pas plus de pouvoir et d’autonomie fiscale que Saint-Jérôme sous un gouvernement Marois.

En conférence de presse, le ministre de la Métropole, Jean-François Lisée, a indirectement révélé le but de l’opération. Les péquistes veulent plus que leurs six sièges actuels à Montréal.

Pour séduire l’électorat, le PQ propose quatre grands axes pour «mieux» faire tout à Montréal : mieux habiter, mieux circuler, mieux travailler, mieux vivre.

La plupart des mesures, comme le prolongement de la ligne bleue du métro, ont déjà été annoncées. D’autres mesures, comme le plan pour ramener les familles à Montréal, appartiennent au registre des promesses typiques des candidats à la mairie. Pas plus tard qu’en novembre dernier, le maire Denis Coderre et ses principaux adversaires ont fait un bout de chemin sur ce thème.

Le plan est une ode à la gloire du Parti québécois, qui se vante d’avoir sorti à lui seul Montréal de sa morosité au cours des 18 derniers mois. À lire le document, les problèmes de corruption, de retard dans les grands travaux et de collusion sont définitivement chose du passé.

Il faudra s’en souvenir, si jamais les problèmes réapparaissent un jour.

Les écoles fermées pour cause de moisissure, elles, sont toujours fermées, rappelait à juste titre Benoit Dutrizac au 98,5 fm. Rien n’a changé à ce chapitre, malgré l’arrivée du PQ. L’animateur n’achète pas «l’infopub» du ministre Lisée.

Le gouvernement provincial pourrait-il faire preuve de plus d’ambition et d’imagination pour Montréal, la métropole culturelle et économique du Québec ?

Il n’y a rien, mais absolument rien sur la fiscalité de l’agglomération dans cette plateforme. Montréal sera-t-elle éternellement dépendante de l’impôt foncier et du bon vouloir du gouvernement provincial, qui distribuera des offrandes électorales ici et là, une fois tous les quatre ans ?

Le programme du PQ est un peu plus encourageant pour Montréal que ne l’est le plan intitulé Réussir Montréal, Réussir à Montréal. Le programme propose en effet de confier à Montréal «un pouvoir habilitant plus large et mieux ciblé lui permettant d’assurer des sources de financement stables, récurrentes et indexées».

Il faudra bien que le PQ précise la portée de ces engagements avant la fin de la campagne, car la métropole mérite plus qu’une poignée de bonbons et des bons mots du rhéteur en chef du PQ.

Pour que la métropole puisse prendre le contrôle de ses destinées, il lui faut plus de pouvoirs et, surtout, un élargissement de son assiette fiscale.

Tant que l’État québécois n’abordera pas cette question de front, Montréal, le poumon du Québec, aura le même statut qu’une simple bourgade.

* * *

À propos de Brian Myles

Brian Myles est journaliste au quotidien Le Devoir, où il traite des affaires policières, municipales et judiciaires. Il est présentement affecté à la couverture de la commission Charbonneau. Blogueur à L’actualité depuis 2012, il est également chargé de cours à l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). On peut le suivre sur Twitter : @brianmyles.

Cet article Un plan électoraliste pour Montréal est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Blog de cocogallylis - la pneumonie

Envoyer Imprimer PDF
Blog de cocogallylis - la pneumonie
Lire la suite...
 

Fraude les aînés ne seraient pas plus à risque que les autres groupes d’âge

Envoyer Imprimer PDF

TORONTO – Contrairement à la croyance populaire, la fraude commerciale ne cible pas davantage les aînés, affirment des études: en fait, les personnes âgées pourraient bien en être moins victimes que les plus jeunes.

Le psychologue Michael Ross, de l’Université de Waterloo, soutient que des recherches menées par des neurologues et des psychologues ont longtemps porté à croire que les personnes plus âgées risquaient davantage d’être victimes de fraudes, en raison d’une mémoire moins sûre et d’une plus grande facilité à faire confiance aux autres.

Selon M. Ross, toutefois, ces études sont biaisées, puisqu’elles ne se penchent pas directement sur les cas de fraude mais plutôt sur les vulnérabilités potentielles.

Le Dr Ross, qui présentait ses conclusions mardi à Toronto lors d’une conférence sur la mémoire, croit que l’idée voulant que les vieux soient plus facilement bernés a été perpétuée par diverses agences, dont le FBI.

Pour lui, la police fédérale américaine suggère que les gens qui ont grandi durant les années 1940 et 1950 ont été élevés à «une époque plus honnête», qui les rend plus crédules et moins en mesure de refuser des propositions douteuses — comme une pilule «miracle» pour maigrir, ou la nécessité de refaire le toit de la maison.

Non seulement est-ce là une généralisation à outrance, mais c’est aussi de présumer que les gens ne changent pas au cours de leur existence, dit-il.

Plus de 13 200 Canadiens ont signalé à la police qu’ils avaient été victimes de fraudes en matière de marketing l’an dernier, entraînant des pertes totales de près de 58 millions $, mentionne le Centre antifraude du Canada. Ce total ne serait en fait qu’une fraction du véritable nombre de fraudes commises, puisque les crimes du genre sont très rarement signalés.

Parmi les sources utilisées dans l’étude de M. Ross, on retrouve neuf sondages, provenant majoritairement des États-Unis, qui interrogeaient les répondants représentant tous les groupes d’âge sur leurs expériences avec la fraude. Les coups de sonde ont révélé que les aînés étaient moins roulés dans la farine que les groupes d’âge plus jeunes, précise-t-il.

À partir des listes de plaintes annuelles compilées par un organisme américain spécialisé, M. Ross a découvert que les personnes âgées étaient moins susceptibles de contacter le FBI ou d’autres agences pour signaler des cas de fraudes.

Un examen des listes de victimes colligées par des procureurs révèle par ailleurs que divers types de fraudes s’attaquent à différents groupes d’âge.

«Je crois qu’il y a un stéréotype lié à l’âge portant à croire que les personnes âgées sont faibles et plus crédules», dit M. Ross. En fait, les études prouvent que les aînés, en général, sont plus prudents à propos de la façon dont ils dépensent leur argent, effectuent moins d’achats importants et sont généralement peu portés à prendre des risques, ce qui en fait une clientèle moins susceptible à la fraude.

Cet article Fraude: les aînés ne seraient pas plus à risque que les autres groupes d’âge est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Élections 2014 les promesses du PLQ et les soins de première ligne

Envoyer Imprimer PDF

Sante_et_scienceJe comptais démarrer mon suivi de la campagne électorale par une revue des quelques candidats santé, mais voilà que les programmes des partis commencent à débouler. D’abord, celui du PLQ, avec plusieurs propositions touchant surtout la première ligne de soins. Alors commençons par là.

L’accès aux médecins de famille et à la première ligne est une priorité bien identifiée par tout le monde, autant par la population que par les experts. C’est d’ailleurs ce que montrait encore le sondage qu’a rendu public Radio-Canada mardi matin.

Source de l'image : http://ici.radio-canada.ca/sujet/elections-quebec-2014/2014/03/11/001-sondage-elections-systeme-sante.shtml

Source de l’image : http://ici.radio-canada.ca/sujet/elections-quebec-2014/2014/03/11/001-sondage-elections-systeme-sante.shtml

Les deux mots sont ici fort importants : «accès» et «médecin». Parce que c’est beau avoir un médecin de famille, mais si on ne peut le voir quand on en a besoin, on n’est pas très avancé.

J’ai parlé à plusieurs reprises de la nécessité d’améliorer cet accès, qui suppose de revoir à la fois le rôle des médecins de famille dans le réseau, l’organisation de la pratique médicale et le travail d’équipe effectué avec d’autres professionnels. Mais pas nécessairement de rehausser le nombre de médecins. Parce que nous sommes loin d’être dépourvus quant au nombre absolu de médecins de famille au Québec, si on se compare au Canada anglais.

Pour améliorer la première ligne, le PLQ propose d’abord de disposer d’ici 10 ans de 2 000 infirmières-praticiennes spécialisées. La principale promesse en 2012 du Dr Gaétan Barrette, offrir un médecin de famille pour tous les Québécois d’ici un an, ne semble pas avoir été reprise par le PLQ. On mise plutôt sur les infirmières-praticiennes, selon le modèle ontarien, où près de 1 000 de ces infirmières œuvrent actuellement en première ligne.

On ne peut que saluer l’initiative, encore qu’il faudra prévoir l’articulation de cette mesure avec la protection du caractère public de la prestation de soins.

Actuellement, de plus en plus d’infirmières œuvrent en première ligne, mais dans certains cas, des frais sont demandés aux patients pour recevoir ces soins. Un travail d’intégration dans la couverture publique devra donc être fait.

Pour la première ligne, le PLQ propose ensuite d’assurer l’ensemble de l’imagerie hors hôpital — on parle ici d’une couverture publique des échographies, des scans et de la résonance magnétique, actuellement non couverte hors hôpital (contrairement à ce qui se passe en Ontario, par exemple). Et enfin, de créer 50 cliniques ouvertes 7 jours sur 7, qui offrent des heures d’ouverture élargies et des services spécialisés.

Couvrir publiquement l’imagerie médicale

La couverture publique de l’imagerie hors hôpital est une annonce fort bienvenue. Plusieurs groupes, dont Médecins québécois pour le régime public (MQRP) — que je préside — en avaient d’ailleurs demandé la couverture l’an dernier.

L’idée de couvrir toute l’imagerie médicale avait aussi été formulée par le docteur Gaétan Barrette, alors qu’il présidait la Fédération des médecins spécialistes — une position alors rejetée par l’Association des radiologistes du Québec, qui suggérait plutôt d’investir cet argent dans l’offre d’imagerie publique, donc à l’hôpital.

Un débat aussi présent au sein de divers groupes sociaux, puisque certains perçoivent la couverture publique de l’imagerie hors hôpital comme une subvention au privé.

Le ministre Réjean Hébert avait alors bien reçu la demande et promis d’agir rapidement pour couvrir publiquement toute l’échographie. Mais après s’être engagé fermement (sur la base d’entente dont la négociation avait d’ailleurs commencé en 2011 sous la gouverne du docteur Yves Bolduc), il a plutôt choisi de reculer et de financer l’augmentation de l’offre en échographie à l’hôpital.

Selon ses dires, les listes d’attente en échographie seraient ainsi abolies dès… juin 2014, un pronostic optimiste, au vu des sommes investies.

Les chiffres avancés par le PLQ mentionnent 50 millions de dollars sur trois ans pour assurer la couverture. Il faut croire que des économies seront faites ailleurs, puisque simplement pour couvrir l’échographie, on parlait en 2013 d’une dépense annuelle (justifiable) d’environ 30 millions par année, et de 100 millions par année pour l’ensemble de l’imagerie.

Il sera donc intéressant de voir comment le chiffre de 50 millions, somme toute modeste en regard du budget de la santé, est calculé.

Des supercliniques nouveau genre ?

On en arrive au concept de ces cliniques qui semblent s’apparenter à ceux, existants, de Groupe de médecine familiale (GMF) avec omnipraticiens et spécialistes — ou de cliniques réseaux (comme on en retrouve plusieurs à Montréal, mais disposant de services spécialisés), ou encore de Clinique médicale spécialisée de type Rockland MD, avec des fonctions importantes de première ligne. Voici comment le PLQ décrit son modèle :

«Les super-cliniques regrouperont sous un même toit une équipe multidisciplinaire formée d’omnipraticiens, de médecins spécialistes, d’infirmières et d’autres professionnels de la santé. Ils auront des heures d’ouverture plus étendues afin d’offrir davantage de services les soirs et les fins de semaine et offriront des services avec et sans rendez-vous. Le service sans rendez-vous sera géré à l’aide d’un système informatique particulier qui assurera une attente de moins de deux heures sur place. Des services de radiologie et des tests en laboratoire seront également offerts sur les lieux. De plus, les super-cliniques permettront aux familles de consulter des médecins spécialistes directement dans la clinique. Ainsi, un enfant ayant besoin de consulter par exemple un pédiatre ou un dermatologue, y aura accès beaucoup plus rapidement, et sans qu’il faille pour cela multiplier les appels pour trouver un spécialiste.»

Sans nier l’importance d’améliorer l’offre en première ligne, avons-nous vraiment besoin d’un nouveau concept de dispensation des soins ? Et est-ce vraiment le meilleur modèle ? On pourra, dans un prochain billet, l’opposer à la proposition de Québec solidaire, qui vient tout juste d’arriver sur le Web : mieux utiliser les CLSC, déjà disponibles, pour accroître l’offre de première ligne.

Mais revenons au modèle proposé par le PLQ. On mise ici non pas sur la prestation publique offerte en établissements, mais vraisemblablement sur la prestation privée à large échelle, financée publiquement. Ce qui n’est pas très surprenant : le docteur Philippe Couillard a souvent mentionné son appui à la prestation privée, bien concrètement en donnant comme ministre son aval à la création des Centres médicaux spécialisés (CMS), puis en ouvrant la porte à la négociation de volumes de chirurgies entre un hôpital et la clinique Rockland MD.

On sait que l’expérience a permis de diminuer les listes d’attente de Sacré-Cœur, mais les économies attendues ne se sont pas matérialisées, chaque chirurgie coûtant davantage au privé qu’au public (probablement quelques centaines de dollars) — un fait que le docteur Barrette reconnaissait comme président de la FMSQ. D’ailleurs, d’autres expériences canadiennes ont montré la même chose.

Le modèle proposé est donc en accord avec une prestation à large échelle dans des cliniques privées contrôlées soit seulement par des médecins, soit en partie par des groupes d’investisseurs, ce qui peut devenir une occasion d’affaires majeure.

Or, on peut craindre l’expansion d’un tel modèle, et ce, pour plusieurs raisons.

La première, c’est que les économies alléguées par la mise en place de telles structures privées ne seront sans doute pas au rendez-vous, comme l’a montré le modèle Rockland MD.

Ensuite, la notion de profit peut pousser, comme cela a été montré ailleurs, à réaliser des tests et des interventions superflus, qui ne contribuent pas tellement à améliorer la santé des patients.

Par ailleurs, rien ne dit qu’une meilleure utilisation des structures actuelles (CLSC, cliniques externes, plateaux techniques hospitaliers, etc.) ne permettrait d’augmenter la couverture en utilisant des infrastructures déjà existantes.

D’autre part, alors que le Québec possède déjà une capacité d’imagerie supérieure à celle des autres provinces (machines et ressources humaines), on se demande pourquoi on devrait équiper de nouvelles cliniques d’appareils d’imagerie supplémentaires.

Enfin, la mise en place d’une telle capacité médicale en dehors du réseau des établissements peut faire craindre qu’à moyen et long terme, malgré toutes les précautions qu’on pourrait bien prendre aujourd’hui pour éviter cela, un gouvernement décide de proposer de financer les soins au sein de ces infrastructures par l’assurance privée, ce qui conduirait de facto à la mise en place d’un système privé parallèle.

Crainte d’expansion du privé

Est-ce que j’agite là des épouvantails ? Pas du tout.

Rappelons que la CAQ avait dans son programme en 2012 un projet-pilote de médecine mixte et que le docteur Couillard a passé la loi qui permet, aujourd’hui, de prendre une assurance privée pour certaines chirurgies (hanche, genou, cataracte) — une possibilité plutôt théorique, mais qui pourrait s’étendre à une cinquantaine d’autres chirurgies par simple modification des règlements. Donc sans modifier la loi, par décision d’un futur conseil des ministres qui le souhaiterait.

On aura beau recevoir toutes les assurances contraires, elles ne pourraient être garantes de l’avenir à ce niveau.

On peut qualifier de louable celle portant sur les infirmières praticiennes — à condition qu’on s’assure de bien arrimer la couverture publique avec ces pratiques en émergence. Et il est difficile d’être contre l’idée d’améliorer l’équité en offrant une couverture d’imagerie complète.

Par contre, l’idée de ces mégacliniques devrait nous porter à réfléchir sur leur nécessité et leurs effets à long terme. D’autant plus que si on met ces trois propositions bout à bout, il s’agit vraiment d’une expansion majeure de la capacité de soigner hors de l’hôpital, qui peut avoir ses bons côtés, mais qui peut aussi être éventuellement utilisée séparément du réseau public. Alors prudence.

* * *

À propos d’Alain Vadeboncœur

Le docteur Alain Vadeboncoeur est urgentologue et chef du service de médecine d’urgence de l’Institut de cardiologie de Montréal. Professeur agrégé de clinique à l’Université de Montréal, il enseigne l’administration de la santé et participe régulièrement à des recherches sur le système de santé. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @Vadeboncoeur_Al.

Cet article Élections 2014 : les promesses du PLQ et les soins de première ligne est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Urgences débordées le PLQ renonce à prendre des engagements chiffrés

Envoyer Imprimer PDF

QUÉBEC – Les patients devront continuer à faire preuve de patience, sous un gouvernement libéral. Le Parti libéral du Québec (PLQ) renonce à fixer des objectifs chiffrés de réduction du délai d’attente à l’urgence des hôpitaux ou du délai jugé acceptable pour obtenir une chirurgie.

Il ne s’engage donc plus à éliminer l’attente dans le réseau de la santé dans un horizon précis, s’il est porté au pouvoir le 7 avril.

Il faut voir les choses autrement, plaide désormais le nouveau porte-étendard de l’équipe libérale en santé, le Dr Gaétan Barrette, qui refuse d’y voir un aveu d’échec, lors d’une entrevue à La Presse Canadienne mardi.

Le Dr Barrette se dit persuadé que les mesures annoncées le jour même par son chef Philippe Couillard pour améliorer le fonctionnement du réseau donneront «vraiment» des résultats tangibles en termes d’accès aux soins de santé. Oui, mais dans combien de temps? Et dans quelle mesure?

«Si vous me demandez si on va éliminer les attentes dans tous les secteurs en trois mois, ça je peux pas vous dire ça. Il n’y a pas d’engagement, effectivement, là-dessus», répond le candidat-vedette du PLQ dans La Pinière.

En 2012, quand il était candidat de la Coalition avenir Québec (CAQ), le Dr Barrette croyait pourtant pouvoir enfin régler le problème chronique des listes d’attente en promettant notamment, durant la première année d’un gouvernement caquiste, un médecin de famille pour chaque Québécois. Pour y arriver, il voulait forcer les médecins à voir au moins 25 patients par jour.

Un an et demi plus tard, s’estimant échaudé pour avoir pris dans le passé «des engagements qui étaient trop militaires», il tient un discours fort différent, plus prudent, qui vise à «éviter l’écueil d’avoir une espèce de contrat inviolable», impossible à respecter.

Il dit donc préférer une «approche pragmatique, qui laisse à tout le monde la possibilité de respirer». Pas d’engagements chiffrés, donc pas d’engagements brisés.

Son nouveau parti, le PLQ, avait comme porte-étendard en santé le Dr Philippe Couillard, quand il a pris le pouvoir en 2003, en promettant alors d’éliminer dans le temps de le dire toute attente dans les salles d’urgence d’hôpitaux et les salles d’opération.

Dix ans plus tard, à Montréal, les patients devaient attendre près de 21 heures, en moyenne, sur une civière placée dans un corridor, avant d’obtenir une chambre. Dans l’ensemble du Québec, la durée moyenne d’attente était de 17h30 à l’urgence. La cible du ministère _ maximum: 12 heures d’attente _, bien modeste si on la compare à celle de 2003, n’a pu être atteinte.

Mais le Dr Barrette se montre confiant et convaincu que les mesures annoncées mardi par son parti _création de 50 supercliniques en milieu urbain et formation de 2000 superinfirmières _ auront un «effet collatéral positif ailleurs dans le réseau» dans le sens de désengorger les urgences des hôpitaux.

«Les mesures que nous annonçons auront pour effet de diminuer l’attente. La formule vise le même objectif», mais un gouvernement libéral s’abstiendra cette fois-ci d’encercler une date sur le calendrier pour crier victoire.

L’objectif qui consistait à éliminer l’attente est devenu un «effet» souhaité.

En acceptant de porter les couleurs du PLQ, le Dr Barrette assure qu’il n’a rien négocié et qu’on ne lui a rien promis. À mots couverts, il laisse cependant entendre que c’est lui et non l’ex-ministre Yves Bolduc qui occupera le poste de ministre de la Santé dans un éventuel gouvernement Couillard.

«On m’a dit que j’allais participer à une équipe décisionnelle» en santé, dit le candidat qui soutient être bien reçu dans La Pinière, où la population ne voudra pas, selon lui, «perdre son vote» en appuyant la candidate indépendante Fatima Houda-Pepin, anciennement libérale.

S’il devient ministre de la Santé, il pourrait devoir négocier les prochaines ententes salariales entre le gouvernement et les médecins. Il est reconnu pour son tempérament combatif et ses talents de négociateur à la dent longue. En 2006, il était président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec et avait réussi à arracher au gouvernement des augmentations salariales records de l’ordre de 67 pour cent pour ses membres, de 2008-2009 à 2013-2014. En 2013-2014, l’enveloppe de rémunération des 18 000 médecins atteint 6,1 milliards $.

En tant que ministre de la Santé, il s’engagerait dès lors «à défendre les intérêts de 8 millions de Québécois» avec le même enthousiasme, dit-il.

Affronter le puissant lobby des médecins qu’il a fortement contribué à bâtir ne lui ferait-il pas peur, en tant que ministre de la Santé? La réponse a coulé de source: «C’est pas dans ma nature, ce genre de peur-là».

Cet article Urgences débordées: le PLQ renonce à prendre des engagements chiffrés est apparu en premier sur L'actualité.

Lire la suite...
 

Blog de chrisdjo34 - Caraibes costaricaine

Envoyer Imprimer PDF
Blog de chrisdjo34 - Caraibes costaricaine
Lire la suite...
 

Un film porno choque un village français

Envoyer Imprimer PDF

loué

Un film exhibitionniste tourné à Loué (Sarthe) a choqué les éleveurs de poulets, le maire, la direction des Fermiers du village. Dans cette vidéo, on peut voir une femme qui se présente comme éleveuse de poulets de Loué. Interrogé par Ouest France, les gendarmes rapportent que l’actrice « n’appartient pas au milieu des éleveurs ». De son côté, le maire du village s’inquiète de la « mauvaise image donnée de la commune et des élevages », dans une interview accordée à France Bleu Maine.

Pour le moment, aucune plainte n’a été déposée. Mais comme le rappelle Ouest France, tourner un film porno en plein jour, sur la voie publique, est interdit.

Lire la suite...
 

Quizz voyage spécial Languedoc-Roussillon

Envoyer Imprimer PDF

Pour ce 70e quizz, nous avons décidé de faire un Quizz voyage spécial Languedoc-Roussillon. La région Languedoc-Roussillon compte 5 départements : l’Aude, le Gard, l’Hérault, la Lozère et les Pyrénées-Orientales.

Parviendrez-vous à faire un sans-faute ? Bonne chance !

Votre score :  

Votre classement :  

Lire la suite...
 

Best of Blog – One Day One Travel

Envoyer Imprimer PDF

Cette semaine, pour cette septième interview de blogueur, retrouvez Richard et Franck, deux amis passionnés de voyage hors des sentiers battus. Découvrez leur conception du voyage « en mode sac-à-dos »! Bonjour Richard, pour les lecteurs qui ne vous connaîtraient pas, peux-tu vous présenter en quelques mots ? Nous sommes 2 blogueurs voyageurs, Franck et Richard, parisiens,

Best of Blog – One Day One Travel

Lire la suite...
 

Sardaigne nos programmes sur mesure

Envoyer Imprimer PDF
Cagliari-sardaigne

Vous souhaitez découvrir cette île aux eaux limpides et aux saveurs ensoleillées mais vous ne savez pas comment organiser votre séjour ? Suivez nos deux programmes d'une semaine pour profiter au mieux des charmes de la Sardaigne.
Lire la suite...
 

Blog de Cycy - Préparation de Nyepi

Envoyer Imprimer PDF
Blog de Cycy - Préparation de Nyepi !
Lire la suite...
 

1er pas en motoneige

Envoyer Imprimer PDF
10 cm de neige fraiche ce matin, c'est parti pour nos premieres sensations en motoneige. Découverte des sentiers, traversée des lacs et arrèt en pourvoirie pour  demonstration de pêche blanche suivi du déjeuner.
Lire la suite...
 

Costa Rica un pays sans armée

Envoyer Imprimer PDF
Le Costa Rica a aboli son armée en 1948 et depuis se porte plutôt bien face à ses voisins. Le pays est alphabétisé, le système de santé relativement performant et cela grâce aux économies substantielles liées à la démilitarisation. Un pays sans armée est un pays inattaquable…
Lire la suite...
 

Blog de cocogallylis - 16h16

Envoyer Imprimer PDF
Blog de cocogallylis - 16h16
Lire la suite...
 

Paris sur la passerelle Léopold Sédar Senghor les cadenas de lamour

Envoyer Imprimer PDF



Sous la passerelle

  Coule la Seine
 

Et les amours
 

  
L'amour s'en va comme cette eau courante ....


 

  Les amoureux sont repartis
 



Et la nuit tombe doucement sur Paris



Photos prises sur la passerelle Léopold Sédar Senghor 

 

 

*

*

*

*

 

 

 

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine


         Vienne la nuit sonne l'heure
         Les jours s'en vont je demeure


Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse


         Vienne la nuit sonne l'heure
         Les jours s'en vont je demeure


L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente


         Vienne la nuit sonne l'heure
         Les jours s'en vont je demeure


Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine


         Vienne la nuit sonne l'heure
         Les jours s'en vont je demeure

"Le Pont Mirabeau"
Apollinaire, Alcools (1912)


Paris

 

Lire la suite...
 

Blog de alexeu - BANGKOK - SIEM REAP

Envoyer Imprimer PDF
Blog de alexeu - BANGKOK - SIEM REAP
Lire la suite...
 


Page 130 sur 771

Partager cette info tourisme / vacances / voyage


BESOIN D'UN CREDIT EN LIGNE RAPIDE POUR FINANCER VOS VACANCES ?


Merci de consulter les sources

Les articles de l'espace "Informations aux voyageurs" sont des articles fournis par les flux RSS de site consacrés au tourisme et au voyage. Ces articles ne sont donc pas le résultat de travail de l'équipe de vacances-voyage-sejour.com mais bien le résultat d'un mashup de contenu, également appellé curation.

Notre travail se limite à vous faire découvrir le travail de qualité effectué par des sites web de référence; nous ne rédigeons de ce fait aucun contenu. Ce site web baptisé "Informations aux voyageurs" est donc un site composé d'un moteur de recherche alimenté par des flux RSS. Nous ne sommes donc pas éditeur mais hébergeur et n'exerçons de ce fait aucun contrôle sur les informations référencées dont nous respectons le droit d'auteur en indiquant la source fournie dans les flux RSS.

Afin de découvrir la totalité des articles proposés, merci de cliquer sur le lien de source mentionné en bas de chaque article afin de découvrir l'excellent travail de ces différents rédacteurs; de nombreux autres contenus de qualités vous attendent sur leur site web.

CRM agence de communication - CRM agence de voyage - CRM agence immobilière - CRM assurance - CRM Analytique - CRM Cabinet de recrutement - CRM cabinet médical - Logiciel de gestion de contrats - Logiciel agenda partagé - CRM Gmail

Statistiques

Membres : 2
Contenu : 35673
Affiche le nombre de clics des articles : 35279846

Les infos touristiques les plus lues

Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


Les dernières infos vacances / voyages

Chercher des infos voyage/vacances