QUÉBEC – Pas moins de 100 000 personnes ont franchi les portes de l’Hôtel de Glace de Québec au cours de la saison 2014, qui prend fin dimanche.

Ce chiffre record inclut les visites, les nuitées, les mariages et les événements corporatifs.

Pour sa 14e année d’existence, l’Hôtel de Glace a enregistré plus de 5000 nuitées, et une vingtaine de mariages ont été célébrés dans la chapelle de glace.

Selon le président directeur général de l’établissement, Jacques Desbois, 75 pour cent des visiteurs provenaient de l’extérieur du Québec, notamment des autres provinces canadiennes et des États-Unis.

M. Desbois souligne que, l’an prochain, l’Hôtel de Glace entend donner une «couleur particulière» à sa 15e saison, sa 5e sur le site de l’ancien Zoo de Québec. Il ne veut toutefois préciser immédiatement quelles seront les nouveautés.

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MONTRÉAL – Les quelque 60 centres de femmes du Québec s’unissent pour exiger l’abolition de la taxe santé.

Plusieurs actions seront tenues dans toutes les régions du Québec, du 24 au 28 mars, dans le cadre de la campagne électorale actuelle.

Signature de lettres d’appuis, déploiement de bannières, tapissage de bureaux électoraux, perturbation de débats sont autant de moyens qui seront pris pour convaincre les différents partis politiques de s’engager à éliminer la taxe santé.

Les centres de femmes estiment que cette mesure fiscale est inéquitable et appauvrissante, particulièrement pour les femmes qui ont des revenus inférieurs à ceux des hommes.

Les centres affirment que la taxe santé va à l’encontre de l’égalité hommes-femmes et de l’accessibilité universelle aux soins de santé choisie par le Québec. Ils ajoutent qu’elle est la pointe d’un iceberg, soit celui de la tarification, de la privatisation et de la marchandisation du système de santé et de services sociaux.

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Alors que j’étais entre une analyse-radio du camouflet infligé au premier ministre Stephen Harper par la Cour suprême et le moment prévu d’un retour — pour la télévision — sur le débat des chefs de la veille en fin d’après-midi vendredi, une dame qui avait le soleil dans son para-brise a percuté — en faisant un virage — ma belle-fille et son bambin d’un an.

La poussette a fait un bond de quelques mètres avant de piquer du nez vers le pavé. L’enfant a servi de train d’atterrissage. Sa mère a fait les frais du parechoc.

Ce soir-là la vie a conservé ses droits. Mon petit-fils a la tête dure. C’est sans doute inscrit dans son code génétique. Le mal à l’âme de sa maman prendra plus de temps à guérir que ses blessures physiques.

Comme j’ai fait l’économie forcée d’une analyse de débat, voici ce qu’il en reste au terme d’un début de weekend passé à des années lumière de la campagne, à faire la navette entre deux salles d’urgence montréalaises à fréquenter la médecine de civières qu’on y pratique.

Depuis jeudi, je n’ai pas entendu beaucoup de commentaires quant à celui ou celle des quatre chefs qui aurait ‘gagné’ le débat, tout au moins à l’extérieur de la bulle politico-médiatique.

Par contre, la plupart des gens à qui j’ai parlé n’avaient pas de difficulté à identifier des perdants. À tous les coups, ils parlaient d’eux-mêmes et de la déception que leur inspire une campagne qu’ils trouvent déconnectée de la réalité.

La charte et le référendum, cela ne correspond pas à leur définition de l’essentiel.

Trouver des électeurs qui se sentent floués par un débat électoral dont les enjeux semblent aussi éloignés de leurs priorités (à commencer par la santé) que la lune de la Terre, c’est plus facile, à la mi-campagne, que de trouver des fans finis de Pauline Marois ou de Philippe Couillard.

Si la tendance se maintient, le choix du 7 avril ne sera rien de mieux que celui du moindre mal. Sur la lancée actuelle, le prochain gouvernement, n’aura pas à gérer les attentes de l’électorat à la baisse !

P.S. Avec mes remerciements à Hergé pour le titre de ce billet.

* * *

À propos de Chantal Hébert

Chantal Hébert est chroniqueuse politique au Toronto Star depuis 1999. Elle signe également une chronique dans le magazine L’actualité et commente la politique à la radio (C’est pas trop tôt sur les ondes d’ICI Radio-Canada Première) et à la télévision (Les coulisses du pouvoir à RDI / ICI Radio-Canada Télé et At Issue à CBC). On peut la suivre sur Twitter : @ChantalHbert.

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Le dimanche, on revient sur l’actualité touristique de la semaine dans un top 5.

5 – Où se trouvent les hôtels les plus chers du monde ?

Moscou est restée la ville la plus chère au monde pour l’hôtellerie, selon le Baromètre de Hogg Robinson Group (HRG) pour 2013. En moyenne, séjourner à l’hôtel coûte environ 308 euros pour une nuit. La capitale russe devance New-York et Genève. Paris se classe 6ème avec une nuitée moyenne à 251,56 euros, en hausse de 7,85 % par rapport à 2012.

4 – Les plus belles plages du monde sont …

Pour la deuxième année d’affilée, le site Tripadvisor a dévoilé son classement Traveler’s Choice des meilleures plages du monde. Les internautes ont majoritairement voté pour une plage du Brésil, Baia do Sancho, qui a reçu les meilleures et les plus nombreuses appréciations. Elle se trouve sur l’île de Fernando de Noronha, au large du pays, à un peu plus d’une heure d’avion au nord-est. La première plage française de ce classement se trouve à Biarritz, c’est la Côte Basque. Pour vous faire rêver avant l’été, vous pouvez aussi (re)découvrir notre top 10 des plus belles plages au monde.

3 – La Thaïlande essaye de faire revenir les touristes

Mis en place il y a deux mois, l’état d’urgence en Thaïlande a pris fin cette semaine. Le gouvernement essaye de rassurer les touristes qui ont évité le pays ces derniers mois. Selon le Conseil du Tourisme du pays, la Thaïlande aurait perdu 462,5 millions d’euros dans ce secteur.

2 – Une vierge attire les touristes

De nombreux fidèles et curieux se rendent dans une habitation de Sart-Station, sur le territoire de la commune de Jalhay. Depuis mi-janvier, une statue de la Vierge s’illumine dans le noir lorsque des personnes sont dans la pièce où elle est installée. La fréquentation des restaurants et des hôtels des alentours a ainsi augmenté. L’expertise qui va déterminer l’origine de la luminescence a débuté vendredi.

1 – La plus haute tyrolienne fait sensation

Située à 3.000 m d’altitude, la plus haute tyrolienne attire de nombreux adeptes. Ouvert il y a 1 mois à Val-Thorens, on y glisse entre 65 et 105 km/h pendant 1 minute 45. Pour tous les amateurs de sensations fortes, vous pouvez aussi découvrir deux des plus longues tyroliennes du monde.

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Le samedi, on revient sur toute l’actualité touristique de la semaine dans un flop 5.

5 – Un TGV entre en gare avec un cadavre

Les journaux français ont rapporté en début de semaine un fait divers macabre. Le cadavre d’un homme de 48 ans, tué lors d’une collision avec un TGV, près de Belfort n’a été découvert que lors de l’arrivée du train en gare de Mulhouse, dimanche dernier. A l’endroit supposé de la collision, à 40 km de l’arrivée, les gendarmes ont retrouvé les restes de la victime. L’enquête va permettre de savoir s’il s’agissait d’un accident ou d’un suicide.

4 – Un footballeur brésilien se moque des touristes

Une vidéo publicitaire avec Neymar a créé une polémique au Brésil. Dans cette vidéo, on peut voir des touristes étrangers commander une boisson gazeuse en lisant notamment « un chien qui suce des mangues ». Le Conseil national d’autorégulation publicitaire brésilien va ouvrir une procédure pour examiner la validité des plaintes. « Nous avons reçu des plaintes de consommateurs qui déplorent que cette publicité est une plaisanterie de mauvais goût offensante pour les étrangers ».

3 – Pompéi : Un portrait de la déesse a disparu

Cette semaine, on a appris la disparition d’un portrait de la déesse Artémis. L’objet appartenait à une ancienne fresque de Pompéi. Les autorités italiennes ont ouvert une enquête pour retrouver l’objet. Rappelons que cette cité historique a subi dernièrement de nombreux dégâts.

2 – De nombreux vols annulés

Une grève a touché le trafic aérien ce mardi. La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) avait demandé aux compagnies aériennes de réduire leurs vols. Les syndicats protestaient contre le pacte de responsabilité. Ils redoutent aussi de nouvelles baisses d’effectifs.

1 – Une partie de l’aile de l’avion s’est envolée

Les passagers de l’avion de la compagnie DeltaAirlines reliant Orlando à Atlanta ont dû avoir peur. A la moitié du vol, l’avion s’est mis à trembler et un morceau de l’aile s’est envolé. Plus de peur que de mal pour les voyageurs, il n’y a eu aucun blessé. Une enquête a été ouverte.

Broken Delta wing pic posted by reddit user: "This happened mid-flight..whole plane shook" (http://t.co/rN18gd2JAf) pic.twitter.com/5IXNyF0fUg

— Meredith Frost (@MeredithFrost) 17 Mars 2014

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