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Blogs voyage

Top 10 des réactions sur un voyage

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Au travail, tu ne penses qu’à tes prochaines vacances au bord de la plage, avec tes potes.

Ton collègue de travail te raconte sa mésaventure lors de son dernier voyage.

Tu as trouvé une réduction pour partir dans le pays de tes rêves.

Tu commences ton tour du monde.

Ta copine attend toujours le jour où tu décideras à l’emmener en vacances.

Ta copine apprend que tu vas partir en vacances sans elle.

Tu apprends que ton vol à 5 heures de retard.

Tu arrives enfin à ta destination.

Tu dois déjà rentrer chez toi. Les vacances sont finies.

Tu penses déjà à tes prochaines vacances.

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Découvrez le camping chic

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Découvrez le camping chic avec le concept "Original Camping", un camping de luxe, confortable et respectueux de l’environnement.
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Ski de printemps à Val Thorens

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La saison de ski à Val Thorens se termine le 11 mai prochain. Plus que quelques semaines pour dévaler les dernières pentes de la saison, lors d’un séjour au ski en famille à Val Thorens ! Cette station de ski familiale qui est la plus haute station d’Europe, vous permet de profiter jusqu’à sa fermeture, d’une neige de belle qualité. Direction donc Val Thorens pour un ski de printemps mêlant bonnes sensations sur les pistes et soleil !

Val Thorens et les 3 Vallées

La réputation de Val Thorens n’est plus à faire concernant la qualité de sa neige et de ses remontées mécaniques. Dominé par 6 glaciers, 99% du domaine se situent au-dessus de 2000 m. Rattaché au Domaine des 3 Vallées, plus grand domaine skiable au monde, vous pourrez facilement varier vos parcours afin de pouvoir skier au soleil toute la journée, tout en bénéficiant d’une qualité de glisse exceptionnelle. Que vous soyez débutant ou confirmé, le plaisir sera au rendez-vous grâce à ce vaste et varié terrain de jeu.

Source : www.valthorens.com

Source : www.valthorens.com

Val Thorens en famille

Louer un chalet aux 3 Vallées lors de vacances en famille, vous permettra de profiter d’un accueil adapté pour les enfants et les adolescents. Labellisée Famille Plus Montagne, la station de Val Thorens s’engage notamment à :
- fournir un accueil personnalisé aux familles ;
- proposer des animations pour tous les âges, à vivre séparément ou tous ensemble ;
- afficher des tarifs adaptés ;
- mettre en place un service médical de proximité.

Pour plus d’informations sur cette station savoyarde, rendez-vous sur www.valthorens.com.

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Dong Da le quartier dHanoi où on peut manger du chien

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Quand on arrive dans une ville inconnue, on aime bien se trouver un plan et choisir au hasard une zone à aller explorer. Aujourd'hui on décide de partir au Sud-Ouest d'Hanoï dans le quartier de Đống Đa. Y aller à pied est déjà une vraie mission ! Du vieux quartier à Đống Đa, il faut compter[...]
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Amsterdam insolite

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Maison flottante Amsterdam

Vous connaissez déjà tous les incontournables d’Amsterdam ? Vous cherchez des activités originales ou des lieux de visite à l’abri des foules ? Voici un petit condensé d'idées pour sortir des sentiers battus.
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Blog de farfadette - Les news dont tout le monde se fou

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Blog de farfadette - Les news dont tout le monde se fou !!
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Travailleurs temporaires étrangers un restaurant de Victoria est sous enquête

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OTTAWA – Le gouvernement fédéral mène une enquête sur une possible transgression du Programme des travailleurs étrangers temporaires, qui a entaché l’image du Parti conservateur à cause d’une série d’abus

Dans un communiqué de presse publié dimanche, le ministre de l’Emploi, Jason Kenney, a confirmé que le gouvernement se penchait sur des allégations selon lesquelles le propriétaire d’une franchise McDonald’s de Victoria n’aurait pas respecté les règles du programme.

M. Kenney a notamment mentionné qu’il avait des motifs raisonnables de croire que l’employeur en question a fourni à Emploi et Développement social Canada des renseignements faux, trompeurs ou erronés.

Le communiqué n’a pas identifié la franchise et contenait peu de détails additionnels, mais selon une source gouvernementale, les allégations font état de l’embauche de travailleurs étrangers au lieu de Canadiens.

La source ne pouvait dire combien de travailleurs étaient impliqués, mais il a indiqué que le propriétaire de la franchise opérait trois restaurants et que chacun d’entre eux était visé par l’enquête.

Des inspecteurs du ministère ont procédé à une inspection de l’emplacement à Victoria, a également fait savoir M. Kenney, et le ministre a suspendu tous les avis relatifs au marché du travail et les permis de travail en traitement pour cette franchise, en attendant les résultats de l’enquête.

«Si l’enquête permet de déterminer que le propriétaire de cette franchise a enfreint les règles du Programme des travailleurs étrangers temporaires, je révoquerai de façon permanente leurs avis relatifs au marché du travail et empêcherai cet employeur d’embaucher des travailleurs étrangers temporaires», a également annoncé M. Kenney.

Des responsables de McDonald’s ont fait savoir que l’entreprise avait lancé sa propre enquête, et qu’elle mettrait de l’avant les recommandations du gouvernement.

Le programme avait été durement éprouvé au printemps 2013 lorsque la Banque royale avait accordé en sous-traitance son soutien technologique, ce qui s’était soldé par des mises à pied de travailleurs canadiens alors que le sous-traitant faisait venir des travailleurs étrangers.

Ottawa a plus tard abandonné l’un des aspects les plus controversés du programme, qui aurait permis aux employeurs de payer les travailleurs étrangers temporaires jusqu’à 15 pour cent de moins que la moyenne des salaires payés pour ce poste.

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Accident de motoneige mortel dans la réserve faunique des Laurentides

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RÉSERVE FAUNIQUE DES LAURENTIDES, – Un homme de 52 ans a succombé à ses blessures, tard dimanche soir, à la suite d’un accident de motoneige survenu dans la réserve faunique des Laurentides, près de Saguenay.

Selon la Sûreté du Québec, l’accident se serait produit vers 17 h. L’homme circulait en compagnie de trois autres motoneigistes et ces derniers se sont rendu compte de son absence alors qu’ils faisaient le plein d’essence dans une station-service.

Ils ont donc fait demi-tour et trouvé l’homme inanimé. La victime, qui aurait percuté un câble d’acier reliant un pylône électrique au sol, a été transportée dans un état grave vers un centre hospitalier avant de perdre la vie un peu plus tard en soirée.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les raisons de l’accident.

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Un adolescent de 16 ans meurt en s’entraînant au rodéo en Alberta

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THORSBY, Alta. – Un adolescent de 16 ans est mort, samedi, dans un accident de rodéo, lors d’un événement d’entraînement junior au sud-ouest d’Edmonton.

Selon ce que la police a pu constater à partir d’une vidéo filmée à partir d’un téléphone cellulaire, le garçon a été éjecté du cheval alors qu’il s’entraînait à l’épreuve du cheval sauvage ensellé, qui consiste à demeurer en selle sur un cheval qui rue.

La police a été appelée au centre Thorsby Haymaker, samedi après-midi, immédiatement après l’accident. Selon des enquêteurs, ce décès serait imputable à un accident bizarre. Les événements se sont passés très rapidement, a toutefois ajouté le caporal Corey Kyle de la GRC, et il est difficile d’analyser les images.

L’entraîneur Skeeter Thurston a rapporté que le cheval a rué environ quatre fois avant que l’adolescent n’en soit éjecté et atterrisse devant l’animal. Le cheval semblait vouloir éviter le garçon, sans succès. Une patte l’a écrasé.

Le garçon s’est relevé, a couru sur une distance d’un mètre et demi puis s’est effondré. Une ambulance a été appelée sur-le-champ. La respiration du garçon était irrégulière pour commencer, avant de se faire plus rare. Des gens, dont son père, ont pratiqué la réanimation cardio-pulmonaire sur la victime, qui portait une veste protectrice et un protecteur buccal.

L’identité du garçon n’a pas été dévoilée, mais il venait de la région de Turner Valley, en Alberta, a fait savoir la police.

Selon l’entraîneur, le garçon avait de l’expérience en compétition de monte de boeufs. Il avait également déjà monté des chevaux sauvages, bien qu’il s’exerçait à le faire lors de cet événement.

En 20 ans de métier, M. Thurston n’a jamais été témoin d’une mort en cheval sauvage. Ses élèves ont habituellement entre 15 ans et le début de la vingtaine.

«Avant qu’ils ne montent sur un cheval, ils s’entraînent sur un taureau mécanique, des chevaux de selle, de toutes sortes de manières pour qu’ils parviennent à monter sur un premier cheval sauvage», a-t-il expliqué.

«Nous tentons de minimiser les chances que ce genre de choses n’arrive. C’est vraiment une tragédie.»

L’événement s’est poursuivi dimanche, tel que prévu. Les élèves prévoyaient créer un écusson commémoratif en l’honneur de la victime.

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Blog de yaca - CarinaE

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Blog de yaca - CarinaE
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Citations de la journée de dimanche dans la campagne électorale

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Voici quelques-unes des meilleures citations de la journée de dimanche dans la campagne électorale au Québec:

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«Ah, ben là, Joe Dette, ça vaut rien. Bouuuuh! Bouuuuh! Joe Dette fait de la petite politique! Mauvais! On veut rien savoir de Joe Dette».

— Le chef de la CAQ, François Legault, déçu qu’une mascotte d’un groupe voulant qu’on s’occupe de la dette nationale déclare sa neutralité électorale.

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«Sans parler de mauvais coup, je pense que lorsqu’il a été question de la langue en milieu de travail, j’aurais pu m’exprimer plus clairement.»

— Le chef du Parti libéral du Québec, Philippe Couillard, en faisant allusion à des commentaires qu’il avait faits lors du second débat télévisé.

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«Mon petit doigt me dit que lundi soir, on va être très heureux. Et un petit peu plus que mon petit doigt: un certain nombre d’informations me disent que lundi soir on va élire un gouvernement du Parti québécois.»

— La chef du PQ, Pauline Marois, qui espère que son instuition déjouera les oracles des maisons de sondages.

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«Nous savons que sur le terrain, dans les régions, particulièrement dans les villes régionales (…), nous nous attendons demain soir à des percées significatives.»

— La porte-parole parlementaire de Québec solidaire, Françoise David, sur ses attentes quant aux résultats de lundi soir.

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une longue journée

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Nouvelle journée sur KL mais le temps lui reste identique: chaud et humide.  La température annoncé ce jour est de 33 degre... enjoy!&nb
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Les stigmates de la guerre près de Saigon

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Départ mati
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Des survivants du génocide rwandais déplorent l’inaction internationale en Syrie

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OTTAWA – Vingt ans plus tard, les souvenirs du génocide du Rwanda sont encore vifs. Lundi, 200 survivants devraient déambuler silencieusement dans les rues d’Ottawa, de la colline parlementaire à l’hôtel de ville, afin de commémorer ce triste anniversaire.

Parmi eux, Alain Ntwali pensera sans doute à ses parents, morts devant ses yeux, à Kigali. Alors âgé de 10 ans, il a tant bien que mal réussi à fuir les milices de Hutus qui, armés de machettes, ont froidement abattu des dizaines d’autres membres de sa famille. On estime que jusqu’à 800 000 Rwandais tutsis ont été tués en 1994 et pourtant, pense M. Ntwali, le monde ne semble pas en avoir tiré de leçons.

«Ce qui se passe en Syrie, ça ne devrait pas arriver maintenant qu’on a été témoins de tellement de guerres et de génocides», partage l’étudiant universitaire en comptabilité et père d’une fillette de presque deux ans.

«Je ne comprends pas pourquoi ça arrive encore, après ce qui s’est passé au Rwanda, qui est un exemple éloquent de ce qui peut survenir lorsque l’ONU ne prend pas les grands moyens.»

Le général à la retraite Roméo Dallaire, qui est maintenant sénateur libéral, partage ce point de vue. Lui qui a dirigé la mission de paix de l’ONU au Rwanda, il affirme que le monde n’a simplement pas retenu la leçon fondamentale de ce drame: prévenir le massacre de milliers d’innocents civils exige de mettre en place des politiques radicales et non de regarder passer la parade.

Bien qu’il reconnaisse que la communauté internationale a adopté la «responsabilité de protéger» dans la foulée du génocide rwandais et du massacre de Srebrenica en Bosnie en 1995, M. Dallaire se fait lucide: c’est une chose de rédiger une doctrine, l’appliquer est une tout autre paire de manches.

«Il semble qu’on n’ait pas de politiciens capables d’être des hommes d’État et de prendre le risque d’appliquer [la responsabilité de protéger], affirme-t-il. C’est pourquoi la situation s’envenime en Syrie, que nous n’allons qu’à moitié en Libye, et il y a encore le Congo.»

L’histoire a depuis reconnu que le général Dallaire avait tenté de sonner l’alarme à l’ONU, où les responsables ont fait la sourde oreille. Depuis, selon lui, le Canada et les autres pays semblent s’être graduellement retirés de la responsabilité collective qu’est celle de protéger leurs semblables. À preuve: le gouvernement conservateur s’en tient au minimum avec l’ONU, perçoit-il.

«Notre éloignement de l’ONU, le fait que nous refusions de nous engager dans des missions complexes où notre technologie et nos compétences sont nécessaires, c’est absolument irresponsable envers l’humanité», gronde-t-il.

«Ce dont le monde doit se souvenir, c’est que nous avons abandonné des êtres humains dans une partie du monde. Nous n’avons pas intégré l’idée que tous les humains comptent, et pas seulement ceux qui satisfont nos propres intérêts.»

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Blog de Madigara - LAS VEGAS --- LONE PINE par la DEATH VALLEE

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Blog de Madigara - LAS VEGAS ---> LONE PINE par la DEATH VALLEE
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Sol Zanetti estime que son parti gagnera progressivement le coeur des Québécois

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QUÉBEC – Même si son arrivée à la tête d’Option nationale est relativement récente, Sol Zanetti estime avoir bien tiré son épingle du jeu durant la campagne électorale.

Il se félicite d’avoir sillonné le Québec en passant entre autres par l’Abitibi-Témiscamingue, la Gaspésie, la Côte-Nord et l’Outaouais.

Le jeune chef, qui n’est en poste que depuis le 27 octobre dernier, raconte qu’à chacune de ses visites, il a eu droit à un accueil chaleureux de la population et à une «très bonne couverture» de la part de la presse régionale.

M. Zanetti soutient qu’il n’a malheureusement pas eu le même traitement de la part des plus gros joueurs de l’industrie médiatique qui se montrent, à son avis,plus frileux. Il aimerait d’ailleurs voir le directeur général des élections apporter des normes supplémentaires quant à la couverture médiatique des partis.

«Bien qu’on ne soit pas représenté à l’Assemblée nationale, on est le plus gros des partis non représentés, on a 116 candidats sur 125 circonscriptions. Si, par exemple, il y avait des couvertures médiatiques obligées pour les médias nationaux qui dépendaient du nombre de candidats qu’on présente au Québec, ça donnerait une meilleure couverture aux idées émergentes, aux idées nouvelles qui sont proposées par des partis qui ont, par ailleurs, un bon appui populaire, qui sont très organisés et qui n’ont pas la couverture nécessaire tout le temps.»

Il déplore également qu’un parti comme le sienn’ait pas pu avoir sa place à l’occasion des débats et il espère que ce n’est que partie remise.

«En ouvrant la porte à tous les partis largement représentés, [...] ça permettrait de montrer à la population d’autres discours, d’autres idées, d’autres attitudes aussi. Et je pense que ça redonnerait confiance en la politique au Québec», estime Sol Zanetti.

Il précise qu’en dépit de son absence lors de ces joutes oratoires, il a eu l’agréable surprise de constater que bien des citoyens connaissaient déjà sa formation, alors qu’en 2012, il lui fallait expliquer ce que son parti présentait comme idées.

Avec ce nouveau «capital de reconnaissance publique», son parti souhaite doubler les appuis reçus en 2012.

«Nos objectifs sont d’augmenter nos appuis partout au Québec, d’une part pour s’assurer qu’on ait une meilleure couverture médiatique plus tard, avec un bon appui populaire, et d’autre part, pour augmenter le financement qu’on va utiliser entièrement à la promotion de l’indépendance.»

Au moment des élections générales de 2012, Option nationale avait récolté un peu plus de 82 500 votes, ce qui représentait moins de deux pour cent des suffrages.

Malgré cette amélioration constatée sur le terrain, les ambitions du politicien demeurent bien modestes.

Il soutient que «ce serait une belle surprise» pour lui si son camp faisait élire un député lundi.

Comment parler d’indépendance

Sol Zanetti lance que la mission principale de ses troupes consiste actuellement «à redémarrer la pédagogie et la promotion de l’indépendance du Québec, entre autres auprès de la nouvelle génération des 18 à 35 ans, qui représente deux millions d’électeurs au Québec et qui n’ont pas beaucoup entendu parler d’indépendance depuis qu’ils sont nés».

Le discours sur la question référendaire tout au long de la campagne électorale a fait couler beaucoup d’encre. Pour le chef d’Option nationale, le débat aurait pu prendre «une plus belle tournure». Selon lui, la réponse que fournissent les partis indépendantistes aux fédéralistes lorsqu’ils se font accuser de vouloir un référendum n’est pas la bonne.

«Ce qui devrait être répondu n’est pas: ‘non, ne vous inquiétez pas, les Québécois ne sont pas prêts’, parce qu’on joue leur jeu en faisant ça. Ce qu’il faudrait dire, c’est: ‘Oui! Oui nous allons cheminer vers l’indépendance du Québec, parce que ce serait une bonne chose, on pourrait mieux protéger l’environnement, davantage investir dans nos secteurs stratégiques à nous, mieux gérer nos impôts, renouveler la démocratie, protéger la langue et la culture. Et vous, en ne voulant pas faire ça, vous privez le Québec des moyens qu’il a pour se développer.’

Pour l’instant, reconnaît-il, son équipe est engagée dans une phase de construction et elle a commencé à tranquillement «jeter les bases d’une option indépendantiste assumée qui va faire son chemin».

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Serment à la reine des résidents permanents devant la Cour d’appel de l’Ontario

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TORONTO – La Cour d’appel de l’Ontario s’apprête à déterminer si le fait de forcer de futurs Canadiens à prêter serment à la reine d’Angleterre, ses héritiers et successeurs est une pratique anticonstitutionnelle.

Trois résidants permanents de longue date affirment que cette procédure, obligatoire à l’obtention de la citoyenneté canadienne, est discriminatoire et enfreint leur droit à la liberté d’expression, un argument rejeté par Ottawa.

Les documents déposés devant le plus haut tribunal ontarien, qui doit entendre l’affaire mardi, démontrent plutôt que le gouvernement fédéral a l’intention de combattre toute décision défavorable.

Si le tribunal devait trancher en faveur des demandeurs, Ottawa demandera la suspension de la décision, le temps que l’affaire soit entendue par la Cour suprême du Canada, indique le procureur général du Canada.

En septembre, un juge de la Cour supérieure de l’Ontario avait déclaré que l’obligation de prêter serment était constitutionnelle bien qu’elle portait effectivement atteinte à la liberté d’expression.

La Loi sur la citoyenneté prévoit que tout résidant permanent déposant une demande pour la nationalité canadienne doit jurer ou affirmer «solennellement fidélité à sa Majesté la Reine Élisabeth Deux, Reine du Canada, à ses héritiers et successeurs».

Les résidants permanents qui s’opposent à cette loi soutiennent que le serment est une entrave à leur liberté de conscience ou de religion. Ils estiment que ce serment devrait être optionnel et que s’engager à observer les lois et obligations d’un citoyen canadien devrait suffire.

Les trois demandeurs font aussi valoir qu’un tel serment n’est pas exigé des citoyens nés au Canada ou de parents canadiens à l’étranger.

L’un d’entre eux, un Irlandais ayant immigré il y a près de 50 ans, affirme que son père a été persécuté dans son pays natal pour avoir soutenu l’indépendance irlandaise. Selon Michael McAteer, prêter un serment d’allégeance à la reine serait une trahison à son héritage républicain et une violation de sa conscience.

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Une élection et ses secrets

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PolitiqueMes écrits au Devoir et à L’actualité ont été repris samedi par les ministres Jean-François Lisée et Pierre Duchesne. On m’a instrumenta-Lisée!

En désespoir de cause, tirant de l’arrière dans les sondages, les ténors péquistes ont agité l’épouvantail des années libérales, désormais sous la loupe de l’Unité permanente anticorruption (UPAC). L’édifice du PLQ est rempli de vices cachés, ont-ils dit en substance.

Ils ont repris une partie de cette chronique, dans laquelle j’affirmais:

«Si j’étais Philippe Couillard, je claquerais des dents. À quelques jours du déclenchement probable de la campagne électorale, l’UPAC se remet curieusement à brasser la ruche du financement illégal des partis provinciaux.»

C’était le 1er mars, après les perquisitions menées aux bureaux de la firme de génie conseil Roche et à la résidence de son ancien vice-président, Marc-Yvan Côté.

MM. Lisée et Duchesne ont également cité cet extrait d’une chronique publiée samedi dans Le Devoir, dans le cadre d’un dossier sur le bilan de la campagne. J’y écrivais:

«Combien? Combien d’ex-ministres, collecteurs de fonds, ingénieurs et entrepreneurs liés au PLQ (la seule formation qui a fait l’objet de perquisitions à ce jour) seront embarrassés par les travaux de la commission Charbonneau et la conclusion des enquêtes de l’UPAC? Et quel sera le prix politique à payer pour Philippe Couillard?»

Que s’est-il passé entre le début et la fin de la campagne? Un consortium de médias dont fait partie Le Devoir a obtenu partiellement les déclarations assermentées faites par les policiers, afin d’obtenir l’autorisation judiciaire pour mener des perquisitions chez Roche et chez M. Côté, un vieux routier de l’organisation politique.

Ces informations sont frappées d’une ordonnance de non-publication qui sera levée en partie vendredi prochain, à 17h. Au pif, je dirais que ces informations vont surtout conforter péquistes et libéraux dans leurs certitudes. Les uns vont crier au loup, les autres vont rappeler que le passé appartient au passé.

Dans leur conférence de presse, les ministre Lisée et Duchesne se sont beaucoup emballés. Ils ont confondu la perquisition réalisée en juillet dernier à la permanence du PLQ avec les perquisitions récentes chez Roche et Marc-Yvan Côté. Même si toutes les perquisitions menées jusqu’ici font partie d’une seule et même enquête, le projet Joug, les enquêteurs n’ont pas obtenu un mandat unique. À chaque fois qu’ils veulent faire une perquisition, ils doivent convaincre un juge du bienfondé de leur démarche. Et à chaque fois, les journalistes essaient d’obtenir une partie des informations, dans le cadre de requêtes dont ma collègue Isabelle Richer explique ici les fondements d’une manière claire et cohérente.

Les documents nous reviennent toujours avec un important caviardage. Des passages sont noircis par le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), principalement pour ne pas compromettre l’enquête en cours, préserver la réputation de tiers innocents, protéger des sources et des informateurs, et respecter le principe de la présomption d’innocence.

Les informations contenues dans les documents publics nous permettent d’affirmer que le PLQ est la cible d’une enquête pour du financement illégal en échange de contrats publics, le tout avec une touche de collusion. Les policiers enquêtent sur des allégations de complot, fraude, abus de confiance, corruption de fonctionnaire, fraude envers le gouvernement et contribution d’entrepreneurs à une caisse électorale.

L’UPAC a ciblé au moins 11 personnes, dont l’identité reste secrète. Les policiers s’intéressent notamment à une activité de financement tenue au restaurant Louis-Hébert, à Québec, où l’ex-ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, était l’invitée d’honneur. Ils s’intéressent aussi au rôle de Marc Bibeau, président de Schokbéton et grand argentier du PLQ sous Jean Charest.

Personne n’a encore été accusé, et les informations contenues dans les documents ne constituent pas de la preuve. Il s’agit tout au plus d’allégations et de soupçons de la police.

Jean-François Lisée et Pierre Duchesne ont lancé quelques faussetés durant leur conférence de presse, et il m’apparaît important de clarifier les faits.

D’une part, les journalistes ne sont pas empêchés de révéler l’identité des 11 cibles de l’UPAC. Ils ne connaissent même pas leurs noms, et ils ne les connaîtront pas plus le 11 avril après la levée des ordonnances de non-publication dans les dossiers de Roche et Schokbéton.

D’autre part, si l’ordonnance de non-publication court jusqu’au 11 avril, ce n’est pas en raison de manœuvres de l’avocat du PLQ. C’est parce que le procureur responsable du dossier au DPCP était en vacances.

Les péquistes et bien des citoyens allergiques à la corruption ne comprennent pas que les électeurs puissent s’apprêter à reconduire le PLQ au pouvoir, après un purgatoire de 18 mois, alors que l’UPAC et la commission Charbonneau s’intéressent au financement illégal de la formation.

Les journalistes ont écrit tout ce qu’ils pouvaient écrire sur le projet Joug. La Presse a même poussé le dossier un peu plus loin en affirmant que les enquêteurs s’intéressaient aussi au financement du PQ. Dans les années 90, les firmes de génie conseil se seraient réparti le marché des contrats publics lors de ventes aux enchères annuelles. Les bénéfices seraient retombés dans les coffres du PQ (une information niée par Pauline Marois).

Je l’ai dit et je le redis: les Québécois devront se résigner à voter sans connaître l’étendue du marasme lundi. Mme Marois et sa garde rapprochée devront faire un sérieux examen de conscience. Il n’y avait aucune urgence à déclencher une élection. Avec un peu de patience, un peu de temps, la commission Charbonneau et l’UPAC auraient pu arriver à des résultats concrets. Et les électeurs auraient pu voter en toute connaissance de cause.

* * *

À propos de Brian Myles

Brian Myles est journaliste au quotidien Le Devoir, où il traite des affaires policières, municipales et judiciaires. Il est présentement affecté à la couverture de la commission Charbonneau. Blogueur à L’actualité depuis 2012, il est également chargé de cours à l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). On peut le suivre sur Twitter : @brianmyles.

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Analyse des sondages la fin d’une campagne turbulente pour le PQ

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PolitiqueLactualite (2)Les sondages indiquent que Philippe Couillard héritera du poste de premier ministre du Québec demain soir — probablement avec un gouvernement majoritaire. Plusieurs facteurs pourraient toutefois mener à un résultat fort différent de celui qui est attendu. Après cinq semaines de campagne, voici comment se dessine la soirée électorale pour chacun des quatre principaux partis.

Parti libéral du Québec (PLQ)

Projection : 39,0 % d’appuis, 69 sièges

Intervalles probables : 37,4 % à 42,9 % d’appuis, 59 à 76 sièges

Intervalles possibles : 35,1 % à 49,9 % d’appuis, 47 à 82 sièges

Le PLQ a mené une campagne très stable ; ses appuis n’ont pas beaucoup changé depuis plus de trois semaines. Mais son sort dépend sur le des autres partis. Si le Parti québécois connait un rebond, ou si la Coalition avenir Québec continue sur sa lancée, le PLQ pourrait se retrouver avec un gouvernement minoritaire. Et si les sondages ont tort, un retour dans l’opposition est possible.

Ce dernier résultat n’est cependant pas probable. Le PLQ mène à Montréal (avec un taux d’appuis entre 47 % et 54 %), dans la couronne de Montréal (31 % – 36 %), dans la ville de Québec (37 % – 42 %), et dans les régions (36 % – 41 %). C’est là, par contre, où le PLQ est moins sécuritaire. Les intervalles probables sont assez petits dans les régions de Montréal et la capitale, mais dans les autres régions le PLQ pourrait gagner entre 22 et 35 sièges. Donc, c’est dans les régions que le type de gouvernement sera décidé.

Parti québécois (PQ)

Projection : 27,6 % d’appuis, 45 sièges

Intervalles probables : 26,7 % à 30,3 % d’appuis, 39 à 55 sièges

Intervalles possibles : 26,5 % à 35,3 % d’appuis, 32 à 63 sièges

Quelle campagne désastreuse pour Pauline Marois. Le PQ pouvait compter sur l’appui de 38 % des électeurs québécois au moment du déclenchement de la campagne, mais la chute de sa popularité a été constante du début à la fin. Actuellement, le PQ ne peut espérer faire mieux que d’empêcher M. Couillard de former un gouvernement majoritaire. La réélection d’un gouvernement péquiste est envisageable seulement si les sondeurs ont fait des erreurs importantes.

Dans les deux plus grandes villes du Québec, le PQ n’a tout simplement pas les appuis nécessaires pour faire des gains : les appuis au parti de Mme Marois se situent entre 20 % et 23 % sur l’île de Montréal et entre 19 % et 21 % à Québec, où les péquistes comptaient faire des gains en début de campagne. Le parti est beaucoup plus compétitif dans la couronne de Montréal (31 % à 35 %) et dans les régions (30 % à 34 %). De bonnes performances ici pourraient, au moins, assurer au PQ le même nombre de sièges qu’il détenait avant l’élection.

Coalition avenir Québec (CAQ)

Projection : 22,7 % d’appuis, 9 sièges

Intervalles probables : 20,9 % à 24,3 % d’appuis, 5 à 13 sièges

Intervalles possibles : 18,6 % à 26,5 % d’appuis, 4 à 21 sièges

Il y a moins de trois semaines, François Legault et son parti se dirigeaient vers une défaite cuisante, avec une récolte probable de seulement quelques sièges et un maigre taux d’appui. Mais la CAQ a fait des gains significatifs ces derniers jours. Tous les sondages le démontrent : après avoir enregistré des appuis de 13 % le 19 mars, les derniers sondages de Léger et Angus Reid donnent entre 23 % et 25 % d’appuis à la CAQ.

Bien qu’il soit probablement trop tard pour que le Québec se donne Legault, une performance respectable — peut-être même meilleure que celle de 2012, relativement au nombre de sièges — est possible. Les tendances sont bonnes pour M. Legault, mais contrairement à ses rivaux libéraux et péquistes, le parti ne pourra s’appuyer sur une solide organisation sur le terrain et l’électorat caquiste est beaucoup moins décidé que celui du PQ et PLQ.

Le parti ne fera pas de gains à Montréal (entre 12 % et 14 % d’appuis). C’est à Québec où la CAQ fait meilleure figure (31 % à 36 %), mais le parti est aussi dans le jeu dans la couronne de Montréal (24 % à 28 %) et dans les régions (21 % à 24 %). Si tout va bien pour M. Legault, chacune de ces trois régions pourrait lui fournir une demi-douzaine de sièges.

Québec solidaire (QS)

Projection : 8,4 % d’appuis, 2 sièges

Intervalles probables : 7,7 % à 8,9 % d’appuis, 2 sièges

Intervalles possibles : 6,9 % à 9,8 % d’appuis, 2 à 4 sièges

Québec solidaire se dirige vers sa meilleure performance électorale depuis ses débuts, surtout en ce qui a trait au taux d’appuis. Les sondages indiquent qu’une récolte d’entre 7 % et 13 % des votes est possible, même si, dans les élections précédentes, le parti n’est jamais parvenu à obtenir les appuis que les sondages leur avaient prédits. Néanmoins, avec une bonne campagne et un Parti québécois en chute libre, des gains sont probables.

Est-ce que QS gagnera ce troisième siège tant espéré ? Chose certaine, si celui-ci se concrétise, il sera sur l’île de Montréal (la popularité du parti se situe entre 6 % et 7 % ailleurs au Québec). Avec 13 % à 15 % des appuis à Montréal, la projection ne prédit pas de siège additionnel à QS. Cependant, la marge pour un petit parti est plus grande que celle de ses rivaux plus établis. Avec une petite hausse de ses appuis, QS pourrait gagner un troisième – même un quatrième – siège. Mais c’est loin d’être assuré.

Lactualite 2 (1)

N.B. Ceci sera la dernière projection de ThreeHundredEight.com pour L’actualité. Si de nouveaux sondages sont publiés au cours de la journée, la projection disponible au ThreeHundredEight.com pourrait changer.

* * *

À propos d’Éric Grenier

Éric Grenier est le créateur de ThreeHundredEight.com, où il analyse les sondages politiques et les tendances électorales. Il collabore au Globe and Mail, Huffington Post Canada, et le Hill Times.

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Les grandes entreprises canadiennes affirment payer leur juste part d’impôt

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OTTAWA – Des grandes firmes canadiennes affirment qu’elles paient leur juste part d’impôts, même si les gouvernements ont réduit à des taux jamais vus le taux d’imposition des corporations.

Les résultats d’un sondage mené par le Conseil canadien des chefs d’entreprise (CCCE), qui représente 150 des plus grandes sociétés du pays, indiquent que les profits des grandes entreprises ont été imposés en moyenne à 33,4 pour cent en 2012, si on y ajoute toutes les taxes que celles-ci doivent payer.

En guise de comparaison, le taux légal d’imposition des entreprises dans la plupart des provinces canadiennes est de 25 pour cent.

Selon Lincoln Schreiner de la PricewaterhouseCoopers, cette différence s’expliquerait par le fait que les grandes firmes sondées déboursent presque le même montant pour leurs impôts que pour d’autres frais, tels que les cotisations d’assurance-emploi, la taxe de vente non remboursable sur les intrants et les impôts fonciers.

Le président du CCCE, John Manley, admet que le sondage est loin de permettre de tirer des conclusions puisque les répondants n’étaient pas choisis au hasard: seuls 63 des 150 membres du regroupement ont participé à cette enquête sur une base volontaire.

Le sondage ne reflète pas entièrement la situation fiscale des entreprises au Canada puisque les plus petites d’entre elles jouissent d’un taux obligatoire inférieurs.

Le montant que les entreprises paient dépend aussi de leur cycle d’activité. Certaines peuvent reporter les pertes d’années antérieures, ou compter sur des équipements dont la valeur se déprécie, ce qui aurait pour effet de diminuer les sommes dues.

«J’aimerais faire ce sondage régulièrement parce que je pense que c’est en ayant une vue d’ensemble, plutôt qu’un coup d’oeil isolé, que cela devient pertinent, a expliqué M. Manley. Mais il reste que je crois que les gens ont l’impression que les impôts des sociétés ont été réduits. Ce que je souhaite souligner, ici, c’est que les contributions des entreprises sont supérieures au taux obligatoire.»

Le gouvernement Harper s’est fait critiquer par le Nouveau Parti démocratique et d’autres analystes après avoir baissé le taux d’imposition des entreprises d’environ 22 à 15 pour cent et ce, même lorsque l’économie fonctionnait au ralenti et que la dette canadienne augmentait. La grogne s’est intensifiée après qu’il fut noté que bon nombre d’entreprises préféraient thésauriser leurs profits plutôt que de les réinvestir.

La portion de revenus du gouvernement provenant des impôts des sociétés varie grandement selon l’état de l’économie. Durant les dernières années, elle est passée de 16,5 pour cent en 2006-2007 à 13,6 pour cent en 2012-2013.

Selon l’économiste Erin Weir, des Métallos, auteur de recherches approfondies sur le sujet, il est frappant de constater les conséquences des plus récentes baisses d’impôts du gouvernement conservateur, surtout dans le contexte d’une récession ou d’une reprise au ralenti.

«La partie des revenus du gouvernement provenant des impôts corporatifs a baissé du début des années 1970 jusqu’au début des années 1990 parce que les profits des entreprises représentaient une part moins grande de l’économie, explique-t-il. Mais ce qui est frappant, c’est qu’au cours de la dernière décennie, à cause des baisses d’impôts, la portion des revenus provenant des impôts des entreprises a diminué même si les profits représentaient une part plus grande de l’économie.»

Le sondage du CCCE démontre que les 63 entreprises participantes ont payé 19 milliards $ d’impôts en 2012, ainsi que 5,7 milliards $ d’autres frais gouvernementaux comme des redevances, des frais de licence d’utilisation du spectre, des frais de location ou des loyers.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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