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Rivière Chaudière qualité de l’eau acceptable indiquent des données publiées

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QUÉBEC – De nouveaux documents confirment que l’eau de la rivière Chaudière, contaminée à la suite d’un déversement de pétrole de Lac-Mégantic, est potable, mais des écologistes estiment que les impacts sur l’environnement demeurent préoccupants.

Le constat sur la qualité de l’eau potable s’appuie sur des résultats d’échantillonnage effectués par le ministère de l’Environnement durant l’été et l’automne derniers ainsi que durant la crue printanière.

Des sédiments dans le fond de la rivière Chaudière continuent cependant d’avoir un niveau «préoccupant» de contamination, ce qui nécessitera des opérations de nettoyage.

En septembre 2013, les villes de Lévis, Saint-Georges et Sainte-Marie, qui disposent d’une source alternative d’alimentation, avaient recommencé à s’approvisionner en eau dans la rivière Chaudière. Durant les crues printanières, les municipalités ont opté pour un retour temporaire à leur source alternative de manière préventive, mais ont depuis repris leurs activités normales.

Les nouvelles informations publiées lundi viennent donc étayer les observations du ministère, qui jugeait déjà l’eau propre à l’approvisionnement dans le cours d’eau, dont le lac Mégantic est la source.

Le portrait de la contamination résiduelle a été dressé à partir de prélèvements de sédiments, d’eau de surface et de faune aquatique dans la rivière Chaudière, contaminée quand un convoi de pétrole s’est en partie déversé à Lac-Mégantic à la suite d’un déraillement qui a fait 47 morts en juillet 2013.

Selon les données publiées lundi par le ministère, les paramètres de l’eau de surface mesurés dans la rivière montrent un retour aux concentrations présentes avant l’accident. Les prélèvements à la proximité des prises d’eau des villes de Sainte-Marie, Saint-Georges et Lévis ne présentent pas de concentrations préoccupantes pour l’écosystème ou l’approvisionnement.

Du 11 au 13 avril, le ministère a détecté six dépassements des critères de protection de la vie aquatique en ce qui concerne les hydrocarbures pétroliers. Les résultats sont cependant toujours demeurés largement sous les seuils représentant un danger pour la vie aquatique. De plus, tous les éléments analysés depuis cette période sont en baisse.

Lors d’une entrevue, le ministre de l’Environnement, David Heurtel, s’est montré encouragé par les résultats exposés dans les documents.

«La qualité de l’eau est à des niveaux acceptables, l’impact sur la faune aquatique et la faune terrestre est également acceptable», a-t-il dit.

Des opérations de nettoyage de sédiments, dans le fond de la rivière et sur les berges, seront effectuées dans certains secteurs, a indiqué le ministre.

«Il y a des secteurs dans la rivière où il y a de la contamination qui est plus préoccupante, alors là ce qu’on va devoir faire au cours des prochaines semaines, des prochains mois, c’est faire une caractérisation de ces sédiments et déterminer avec les experts quelle sera la meilleure méthode de nettoyage», a-t-il dit.

Porte-parole de Greenpeace, Patrick Bonin a estimé que les nouvelles données publiées lundi, que le gouvernement refusait de rendre publiques jusqu’ici, confirment la «forte présence» de contaminants dans les sédiments.

Reconnaissant que les risques pour l’approvisionnement en eau potable semblent bien contrôlés, Greenpeace estime que les autorités gouvernementales ont trop tardé à nettoyer le pétrole qui s’est logé dans le fond de la rivière, ce qui a un impact sur les mollusques, les insectes et les verres de terre au début de la chaîne alimentaire.

«Au niveau de l’environnement, il y aurait eu beaucoup plus d’interventions qui auraient pu être faites et actuellement on ne sait quels seront les impacts à long terme pour les espèces de poisson, pour les oiseaux dans une certaine mesure aussi, a-t-il dit. Le portrait qu’ils ont actuellement pour les poissons et les oiseaux ne laisse pas présager qu’il y a une contamination supplémentaire, mais il y a une évaluation à plus long terme qui est nécessaire.»

M. Bonin croit que le gouvernement devrait faire une évaluation de l’intervention environnementale afin d’éviter des erreurs à l’avenir.

«Il n’est pas normal que ça ait pris trois mois au gouvernement avant de faire les premières décontaminations à des endroits qui sont identifiés comme étant les plus pollués, a-t-il dit. Il y a des lacunes majeures et la rivière actuellement est encore préoccupante au niveau des écosystèmes aquatiques.»

M. Heurtel n’a pas été en mesure de dire quand la situation sera rétablie pour la rivière.

«Trop tôt encore pour estimer quand est-ce qu’on aura un retour à la normale. Ce qu’on peut dire c’est qu’au niveau de l’eau on va continuer à mesurer les niveaux au moins jusqu’en septembre et on va ensuite réévaluer», a-t-il dit.

À la suite de la tragédie ferroviaire, plus de 40 km de rives contaminées avaient été nettoyés pour, entre autres, déloger le pétrole brut contenu dans les sédiments.

Le mois dernier, le ministère indiquait qu’une contamination résiduelle subsiste dans ces sédiments sans toutefois avoir d’incidence sur la qualité de l’eau.

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La productivité qu’est-ce que ça mange en hiver

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Politique«Productivité». Le mot est à la mode par les temps qui courent.

La semaine dernière, le nouveau président du Conseil du Trésor, Martin Coiteux, en a parlé quand il a suggéré que les hausses salariales des fonctionnaires devraient dépendre de leur productivité.

Presque au même moment, l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) choisissait de remettre en question la notion, par ailleurs universellement acceptée, que le Québec accuse un retard de productivité par rapport à l’Ontario.

La question se pose, donc : la productivité, qu’est-ce que ça mange en hiver ?

*           *           *

La richesse des États — celle qui permet de financer les programmes publics — se calcule normalement par leur PIB. Le PIB mesure la valeur de toute l’activité économique générée par une région donnée : plus le PIB est élevé, plus la région est riche. (Un État peut aussi être riche en bonheur, mais celui-ci finance plus difficilement des réseaux de santé et d’éducation, de même que les infrastructures et la culture.)

Le PIB d’un État dépend de trois facteurs essentiels : le travail, le capital et la productivité, qui mesure l’efficacité avec laquelle on utilise les deux premiers facteurs.

Quelques exemples schématiques permettent de distinguer ces notions importantes.

Imaginez un pays A et un pays B. Chacun compte 1 000 habitants, et tous les deux se spécialisent dans la construction de pédalos. Dans chaque pays, tous les travailleurs reçoivent une formation sur la construction de pédalos, et tous les outils et matériaux nécessaires à leur assemblage. Tout le monde travaille de 9 à 5, du lundi au vendredi.

Dans le pays A, 300 travailleurs s’activent pendant un an et produisent 300 pédalos. Dans le pays B, 600 travailleurs s’activent pendant la même période et produisent 600 pédalos.

Au bout de l’année, le pays B a donc produit deux fois plus de pédalos que le pays A. Pourquoi ? Parce que, toutes choses étant par ailleurs égales, le nombre d’heures travaillées y était deux fois plus important. Le pays B aura donc un PIB plus élevé que le pays A en raison du facteur de travail.

Imaginez maintenant les pays C et D. Chacun compte 1 000 habitants, et tous les deux se spécialisent dans la confection de guirlandes de Noël. Dans chaque pays, les gens travaillent de 9 à 5, du lundi au vendredi. Par ailleurs, tant le pays C que le pays D comptent 500 travailleurs à temps plein.

En début d’année, tous les ouvriers du pays C reçoivent 10 caisses de froufrous argentés, 5 bombes aérosols de fausse neige, une tresseuse électronique et une formation sur les dernières tendances en matière de décorations hivernales. Par ailleurs, ils travaillent sur des chaînes de montage de guirlandes de haute précision.

Dans le pays D, les ouvriers reçoivent deux rouleaux de papier d’aluminium, une paire de ciseaux, et un manuel d’instruction en suédois.

Au bout de l’année, le pays C a produit pour 20 km de guirlande de Noël. Le pays D, pour sa part, en a produit pour seulement 1 km (et de moins bonne qualité). Pourquoi ? Parce que, toutes choses étant par ailleurs égales, les investissements étaient beaucoup plus importants dans le pays C. Son PIB sera plus élevé en raison du facteur d’investissement.

Imaginez maintenant deux autres pays : E et F. Chacun compte 1 000 habitants, dont 500 travaillent à temps plein, de 9 à 5, du lundi au vendredi. Cette fois-ci, chaque pays confie à ses travailleurs 1 million de dollars à faire fructifier à leur guise.

Les 500 travailleurs du pays E prennent leur million de dollars, ils achètent les matériaux et les outils nécessaires et, au bout d’un an de travail, ils ont construit un bel hôtel-spa-minigolf, dont la valeur commerciale est de 10 million de dollars.

Pendant ce temps, les 500 travailleurs du pays F ont pris leur million de dollars, ils ont acheté l’équipement nécessaire et, au bout d’un an de travail, ils ont conçu un nouveau prototype de moteur à hydrogène et enregistré les brevets correspondants, dont la valeur commerciale est de 100 millions de dollars.

À la fin de l’année, le PIB du pays F sera supérieur à celui du pays E. Pourtant, ils ont le même nombre de travailleurs, et ils ont bénéficié du même investissement en capital. La différence, c’est la productivité : les travailleurs du pays F ont su tirer une valeur plus importante de leur travail et de l’investissement de capital que les travailleurs du pays E.

Au sens économique, les travailleurs du pays F ont été plus «productifs» que ceux du pays E. Ce n’est pas nécessairement qu’ils ont travaillé plus fort, ou que leurs voisins sont paresseux : c’est simplement qu’ils ont su transformer leurs ressources et leurs heures de travail en produits de plus grande valeur.

*           *           *

Revenons maintenant à l’IRIS et à M. Coiteux.

Que veut dire le président du Conseil du Trésor quand il affirme qu’il faut lier les hausses de salaires de la fonction publique à des hausses de productivité ?

Il dit, essentiellement, que les augmentations salariales des employés de l’État devraient découler d’une conversion plus efficace de leurs ressources et de leurs heures de travail en services publics.

Le diagnostic sous-jacent — qui ne s’applique pas nécessairement de la même manière aux infirmières, aux médecins, aux employés du MTQ ou à ceux de la SAQ — est que les investissements de l’État, combinés à la quantité d’heures travaillées, ne génèrent pas suffisamment de résultats. Autrement dit : une partie trop importante des ressources publiques sont englouties par le système lui-même, plutôt que d’être transformées en services à la population.

Il va de soi que tous n’accepteront pas cette analyse — au premier chef, les syndicats qui voudront protéger leurs acquis. Il faudra voir les études et les arguments des uns et des autres.

Que veut dire l’IRIS, pour sa part, quand il affirme que les travailleurs québécois ne sont pas moins productifs que ceux de l’Ontario, alors que toutes les études économiques démontrent que la productivité économique du Québec est moins élevée que celle de l’Ontario ?

L’IRIS commence son étude avec les mêmes données économiques que tout le monde concernant le Québec et l’Ontario, mais affirme ensuite qu’on ne peut pas les comparer… sous prétexte que l’Ontario compte sur des industries dont la productivité est plus élevée que celles du Québec.

L’IRIS décide donc de «procéder à un ajustement» pour moduler la structure industrielle ontarienne sur celle du Québec — éliminant ainsi l’incidence des industries ontariennes plus productives — et effectue une comparaison sur cette base. Le résultat de cette comparaison tronquée, qui revient essentiellement à comparer le Québec avec lui-même, est que le Québec serait aussi productif que l’Ontario.

Mais qu’est-ce que cela veut dire exactement ? À quoi sert-il de comparer deux États, par ailleurs comparables, tout en écartant des différences essentielles de la comparaison ? Quelle utilité y a-t-il dans le fait de manipuler les chiffres pour faire disparaître des divergences significatives ?

C’est un peu comme si on voulait démontrer que le Canada produit davantage de films que les États-Unis — si on exclut la production de Hollywood.

Ou, comme le faisait remarquer une connaissance, affirmer que les attaquants du Canadien de Montréal sont meilleurs que ceux des Penguins de Pittsburgh — si on exclut Sidney Crosby et Evgeni Malkin.

Ou, pour reprendre l’exemple ci-dessus, comme si on refusait de comparer les pays E et F, sous prétexte qu’ils ont choisi de concevoir des produits différents.

Il va de soi qu’en manipulant les données pour éliminer les éléments qui contredisent la conclusion recherchée — fixing the facts around the policy, comme diraient les Britanniques — on peut faire apparaître toutes sortes de résultats étonnants. Ils n’ont pas toujours beaucoup d’utilité ou de pertinence, cela dit.

*           *           *

Deux dernières remarques.

Premièrement, il arrive effectivement que certaines comparaisons soient inopportunes — par exemple, quand elles sont faussées par des caractéristiques naturelles trop différentes. C’est pour cette raison, entre autres, qu’on évite habituellement de comparer le Québec à l’Alberta : la présence de pétrole donne en effet un avantage «injuste» à l’économie albertaine. Pour le meilleur et pour le pire, les provinces dépourvues de pétrole seront toujours impuissantes à en faire apparaître. Mais ce raisonnement ne vaut pas pour les comparaisons entre le Québec et l’Ontario, deux provinces dont la géographie et les ressources sont comparables. A priori, on ne voit donc pas quel obstacle naturel empêche l’économie du Québec de rivaliser avec celle de l’Ontario.

Deuxièmement, il semble que le seul objectif de l’étude de l’IRIS ait été d’affirmer que les travailleurs québécois, selon leur secteur d’activité, ne sont pas plus paresseux que leurs homologues ontariens. Il s’agit, autrement dit, d’une tentative de rassurer les travailleurs québécois en leur disant qu’ils n’ont rien à se reprocher personnellement.

Si l’exercice peut avoir une certaine valeur comme remonte-moral individuel, son utilité comme guide pour les politiques publiques est toutefois difficile à saisir. Les politiques économiques, quelles qu’elles soient, ne cherchent pas à culpabiliser ou à vanter les individus. Elles cherchent plutôt à mettre en place les conditions d’une activité économique plus vigoureuse.

En l’occurrence, l’IRIS soutient que l’avantage de productivité de l’Ontario s’explique avant tout par sa structure industrielle, différente de celle du Québec. L’argument est intéressant. Dans ce cas, pourquoi l’IRIS ne suggère-t-il pas que le Québec s’inspire de la structure industrielle ontarienne (ou d’une autre structure industrielle plus avantageuse) — et des conditions qui les rendent possible — pour hausser sa propre productivité ?

Voilà qui, pour une fois, aurait été imprévu.

* * *

À propos de Jérôme Lussier

Jérôme Lussier est juriste et journaliste. Au cours des dernières années, il a notamment travaillé à Radio-Canada et tenu un blogue au journal Voir, en plus d’avoir été conseiller politique à la Coalition Avenir Québec. Il blogue sur les enjeux sociaux et politiques contemporains à L’actualité depuis 2013. On peut le suivre sur Twitter : @jeromelussier.

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Le NPD lance la charge ultime contre le projet de réforme électorale

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OTTAWA – À quelques heures des deux derniers votes aux Communes sur le projet de réforme électorale des conservateurs, le Nouveau Parti démocratique (NPD) lance la charge finale.

Après des mois d’opposition et de critiques, le NPD a envoyé lundi un ultime appel aux députés conservateurs de voter contre le projet de loi C-23 du gouvernement.

Depuis quelque temps, les néo-démocrates interpellent certains députés conservateurs directement, mais sans succès jusqu’à maintenant, a avoué lundi le chef du NPD ,Thomas Mulcair.

«Ça n’a pas donné beaucoup de résultats jusqu’à présent. Mais l’espoir continue. Moi, je regarde les gens comme James Rajotte. Je regarde Michael Chong. Je regarde Maxime Bernier. Il y a très peu de gens qui maintiennent un discours sur la liberté comme Maxime Bernier. On va voir s’il est capable de joindre les gestes à la parole», a insisté M. Mulcair.

Le vote sur le rapport du comité qui a étudié le projet de loi C-23 a lieu lundi soir et le vote ultime est prévu pour mardi soir.

Le projet de réforme électorale de Stephen Harper élimine la possibilité pour les citoyens sans carte d’identité avec adresse de pouvoir voter à l’aide d’un répondant qui va attester de leur identité, ou encore d’utiliser la carte d’information des électeurs pour s’identifier et prouver leur adresse. C-23 limite le droit du directeur général des élections (DGE) de communiquer avec le public et, selon le NPD, ne fait que des changements cosmétiques pour contrer la fraude électorale.

Les conservateurs ont refusé une demande de longue date du DGE, soit celui de lui accorder le pouvoir de contraindre des personnes à témoigner et de produire des documents pour mener à terme ses enquêtes.

Pour le NPD, les changements apportés à la loi électorale visent à empêcher des citoyens de voter.

Les néo-démocrates estiment de plus que C-23 vise à permettre aux conservateurs de garder le pouvoir.

«Il s’agit de leur tentative perpétuelle de masquer ce qu’ils font lorsqu’ils trichent lors des élections», a lancé M. Mulcair, en point de presse.

Après avoir refusé pendant des mois de changer ne serait-ce qu’un mot au projet de loi, les conservateurs ont finalement effectué certains amendements.

C-23 est ainsi passé de «très mauvais projet de loi» à «mauvais projet de loi», a dit Thomas Mulcair, qui juge l’effort nettement insuffisant.

Le projet deviendra rapidement loi, puisque le Sénat avait étudié C-23 en parallèle, et y a même suggéré des amendements.

Le projet de réforme électorale avait suscité les critiques non seulement des partis d’opposition mais aussi des DGE actuels et passés ainsi que de l’ancienne vérificatrice générale Sheila Fraser, qui l’a qualifié «d’attaque à notre démocratie».

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Un rapport des Nations unies parle d’efforts insuffisants envers les Autochtones

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OTTAWA – Le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits des peuples autochtones exhorte le gouvernement Harper à mener une enquête nationale sur les quelque 1200 cas de femmes et de filles autochtones assassinées ou portées disparues depuis 30 ans au Canada.

James Anaya a parlé plus globalement de problèmes de droits des Autochtones ayant pris «des proportions de crises».

«Il est difficile de réconcilier le système de justice bien développé et la prospérité générale du Canada avec les problèmes des droits humains vécus par les Autochtones au Canada qui ont atteint des proportions de crises à plusieurs égards», a écrit M. Anaya.

M. Anaya, qui a passé neuf jours au Canada l’an dernier pour rencontrer des représentants des Premières Nations et des responsables gouvernementaux, a constaté des conditions de vie épouvantables dans plusieurs réserves.

Le professeur de droit et rapporteur spécial des Nations unies sur les droits des peuples autochtones a qualifié d’insuffisants les efforts des gouvernements fédéral et provinciaux pour s’attaquer véritablement aux problèmes vécus par les membres des Premières Nations.

Bien qu’il y ait eu certaines avancées positives dans les relations du gouvernement du Canada avec ses communautés autochtones, beaucoup de travail reste à faire, indique de façon plus générale le rapport dévoilé lundi.

M. Anaya a indiqué qu’il y avait encore un «écart du bien-être» entre les Autochtones et les non-Autochtones au Canada, que des demandes en vertu de traités étaient non résolues, et que les femmes et les filles des Premières Nations demeuraient vulnérables à la violence et aux abus.

Le rapporteur spécial a soutenu que les membres des Premières Nations entretenaient «un niveau de méfiance élevé» à l’égard de tous les ordres de gouvernement.

Le ministre fédéral des Affaires autochtones, Bernard Valcourt, a reconnu qu’il y avait encore du travail à faire, tout en faisant valoir des mesures prises par le gouvernement fédéral pour donner le même accès aux Autochtones qu’aux non-Autochtones à des logements sûrs, à l’éducation et aux droits matrimoniaux.

M. Valcourt a simplement ajouté que le gouvernement examinerait attentivement le rapport de l’ONU.

Les partis d’opposition ont saisi l’occasion de s’en prendre à la gestion des conservateurs des Affaires autochtones.

«Ce rapport indique clairement qu’il existe présentement une crise grave et persistante en ce qui concerne les conséquences qui touchent les peuples autochtones dans ce pays et que les démarches entreprises par les conservateurs n’ont pas réussi à s’attaquer au problème, mais ont engendré un niveau élevé de méfiance envers le gouvernement fédéral» a soutenu par communiqué la députée libérale Carolyn Bennett.

«Une mesure qui faciliterait le rétablissement immédiat des liens de confiance serait de mettre en oeuvre la recommandation du rapporteur spécial pour la tenue d’une commission d’enquête publique sur la tragédie continue des femmes et filles autochtones disparues et abattues», a-t-elle ajouté.

La députée néo-démocrate Jean Crowder lui a fait écho, affirmant que de «continuer à ignorer les appels envers une enquête (…) ne ferait qu’accroître cette méfiance».

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C’est parti pour les soldes d’été à Londres

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Les soldes à Londres : En été et en hiver, les soldes à Londres sont une véritable institution, voire hystérie !  Des rabais allant jusqu’à 60% dès le premier jour des soldes provoquent cette hystérie collective… Londres est considérée en Europe comme la ville la plus intéressante en terme de soldes. On trouve de tout […]

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Les incivilités diminuent dans le métro parisien

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RATP

Le Parisien a publié ce lundi 12 mai une étude TNS Sofres réalisée auprès de 1450 voyageurs franciliens. Menée pour l’Observatoire des incivilités (créé en 2012 par la RATP), cette enquête recense 30 cas d’incivilités. Cette troisième édition révèle une diminution générale de 9% par rapport à l’an dernier. Certaines baisses sont plus notables : notamment le fait de ne pas laisser son siège à une personne âgée ou handicapée (- 24%) ou encore de bousculer sans s’excuser (- 9%).

Malgré cet élan de bonne conduite, certaines incivilités restent au même niveau. C’est le cas des comportements agressifs (insultes entre voyageurs ou impolitesse avec un agent de la RATP). Certaines restent importantes : les fraudeurs sont en première position : les usagers assistent à 5,8 fraudes tous les mois. Vient ensuite ceux qui entrent dans la rame sans laisser les voyageurs sortir, puis les « sans-gêne » qui parlent fort au téléphone ou qui laissent traîner leur journaux.

Il ne faut pourtant pas se décourager, car les voyageurs sondés souhaitent davantage changer les choses. Toujours selon le Parisien, 98% d’entre eux se disent prêts à modifier leur comportement. D’après Isabelle Ockerent, directrice de la communication de la RATP, c’est une bonne nouvelle car « les voyageurs n’attendent pas tout des autres et sont prêts à agir eux-mêmes »

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Blog de farfadette - Arrack vs rhum

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Un homme ivre délogé du toit de l’opéra de Sydney

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opéra

Un homme ivre a été délogé du toit de l’opéra de Sydney (Australie) par la police ce dimanche 11 mai. L’individu, dont on ignore le nom, a d’abord été repéré par les passants. Durant plus d’une heure, il est devenu une véritable attraction. Coincé sur le toit du site, ce dernier a refusé de descendre de son perchoir. Les forces de police ont fini par convaincre l’homme, et deux sauveteurs sont intervenus avec une corde de sécurité.

Un des policiers mobilisés sur les lieux rapporte au Daily Telegraph que le protagoniste « était totalement saoul ». Difficile de grimper sur le toit dans son état, on s’interroge alors sur la manière dont il s’est retrouvé ici. Questionnée à ce sujet, la sécurité de l’opéra avoue l’ignorer pour le moment.

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Top 10 les choses insolites oubliées lors d’un voyage

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oublié

Comme moi, vous avez sans doute déjà oublié votre brosse à dents, un peigne, du shampooing ou encore des boucles d’oreilles. Cette semaine, dans le top 10, on s’est intéressé aux choses insolites oubliées lors d’un voyage. Ces personnes ont tout simplement perdu de l’argent, une bague de fiançailles, un chat ou même leur épouse.

1 – Où est ma femme ?

femme

Lors d’un voyage d’affaires, en République Tchèque, un client a laissé sa femme seule à l’hôtel alors que lui prenait la direction de l’aéroport. C’est lors du dernier jour, après une journée de travail que le mari a décidé de prendre directement l’avion, avant bien sûr de rebrousser chemin.

2 – Le Very Bad Trip

very bad trip

Un client qui était en retard pour prendre son avion a tout simplement oublié son ami dans un hôtel de Luxe de Majorque (Espagne). Après avoir réglé la note et sauté dans le taxi, il s’est rendu compte que son pote n’était pas à côté de lui. Comme excuse, ils avaient tous les deux une belle gueule de bois.

3 – Celui qui ne voulait pas se marier

mariage

C’est dans un établissement huppé de Milan (Italie), qu’un client a oublié, à l’hôtel, une bague de fiançailles en diamant. Mis en sécurité par le personnel, ce bijou a été expédié à l’homme étourdi. Imaginez sa tête en voyant l’oubli !

4 – A la recherche de Jack, le chat

jfk

En 2011, 7 semaines ont été nécessaires pour récupérer Jack, un petit chat perdu dans l’aéroport JFK (New-York). Une page Facebook a d’ailleurs vu le jour à cette occasion. Elle a compté plus de 25.000 fans. La compagnie American Airlines a retrouvé l’animal dans la salle des douanes. Un millier de miles ont été crédités sur sa carte de fréquent flyer.

5 – Maman, où es-tu ?

maman hôtel

A Dublin (Irlande), un client a réussi à abandonner sa propre mère. Comme l’explique l’hôtelier : « Un client a oublié sa mère. Nous l’avons alors appelé, et il avait déjà réalisé sa bévue. Arrivé à l’aéroport, il a dû rebrousser chemin pour récupérer sa maman ».

6 – Des serpents à l’hôtel

serpent

Quarante pythons ont été retrouvés dans une chambre d’hôtel de Brantford (Canada) en août 2013. Ils appartenaient à un couple qui avait trouvé refuge dans cet hôtel après avoir été expulsé. Les reptiles, mesurant en 30 centimètres et 1,40 mètre, ont ensuite été confiés à la Société de protection canadienne des animaux (SPCA). Bien qu’ils ne soient pas réputés dangereux, leur possession est illégale, ce qui a conduit la police à mener une enquête sur les propriétaires.

7 – Maman, j’ai raté l’avion

maman avion

Cette histoire a créé une grosse polémique en Pologne, en juillet 2012. Un couple de Polonais a laissé leur fille de deux ans dans l’aéroport pour pouvoir partir en voyage en Grèce. Au moment d’embarquer à l’aéroport de Katowice (Pologne), les parents ont constaté que le passeport de leur fillette n’était plus valable. Les parents irresponsables ont décidé de laisser leur enfant au guichet d’information de l’aéroport avant que leur grand-mère ne vienne la chercher.

8 – Il oublie un Stradivarius dans le train

Stradivarius

Un voyageur distrait avait oublié, en juillet 2012, un précieux Stradivarius dans un train suisse. Heureusement pour lui, l’objet a ensuite été retrouvé par le personnel de la compagnie ferroviaire. Rappelons que le prix d’un tel instrument peut atteindre plusieurs millions d’euros.

9 – Des cendres dans la voiture de location

europcar

A Belfast (Irlande du Nord), un conducteur a oublié une urne funéraire remplie de cendres dans le coffre d’une voiture louée à l’agence Europcar. Le client a ensuite expliqué à l’entreprise que les cendres avaient été rapatriées d’Afrique du Sud et qu’il ne se rappelait plus où il avait mis l’urne.

10 – « Money, Money, Money »

dollar

Pas besoin de jouer au loto pour devenir riche comme Crésus. Les employés d’un hôtel de Washington ont découvert « 10 000 dollars en liquide dans plusieurs endroits de la chambre ». De nombreux autres hôteliers ont aussi raconté avoir trouvé des billets laissés par inadvertance par leurs clients.

Et vous quel est votre histoire préférée ?

[Photo 1, Photo 2, Photo 3, Photo 4, Photo 5, Photo 6, Photo 7, Photo 8, Photo 9, Photo 10, Photo 11, Source 1 et Source 2]

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Le nouveau super blog d’Evaneoscom

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Le blog d’Evaneos.com fait peau neuve, et laisse place à une nouvelle plateforme, avec encore plus de photos, d’infos, de bons conseils, et d’inspirations pour vos futurs voyages.

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Dans la catégorie « Fenêtre sur le Monde », ouvrez votre esprit et découvrez diverses idées de voyages, des conseils et astuces, mais explorez également avec nous les spécificités et les richesses de cette vaste planète.

Chez Evaneos.com, nous nous intéressons aussi aux grands voyageurs : blogueurs, explorateurs sans limites ni frontières, prenez-vous à rêver en imaginant leurs vies du bout du monde.

Enfin, comme nous sommes avant tout une équipe de passionnés, retrouvez toutes les actualités de la team Evaneos.com : entre interviews des nouveaux arrivés, récits de voyage, et événements… Immergez-vous dans la bonne humeur d’une équipe motivée !

 

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>> Côté événement – du nouveau et encore du nouveau : Alors que la toute nouvelle vidéo du drinks vient de sortir, le prochain se prépare. Destination la Namibie !

>> De nouveaux agents : C’est un flot de nouveaux agents qui arrive ! Ce mois-ci nous accueillons Raluca agent en Roumanie, Vincent au Costa Rica, mais aussi la Birmanie avec Fabrice, la Turquie avec Mustafa, la Sardaigne avec Luigi, la République Dominicaine avec Dominique, l’Espagne avec Sylvie, les Îles Baléares avec Pauline, Bali avec Yoga et enfin le Cambodge avec Laetitia et Sokeara. Un grand bravo à toute l’équipe production, et bienvenue aux agents dans la communauté d’agences locales partenaires d’Evaneos.com !

>> Nouveau blog certes, mais bientôt une nouvelle saison : Envie d’un safari, d’un trek ou d’un voyage farniente entre palmiers et sable fin, découvrez ici toutes les inspirations de voyage pour cet été !

Tout un programme !

Mais comme on est jamais à l’abri de nouvelles infos, il reste encore beaucoup de surprises à venir… Alors restez connectés !

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Où pêcher la truite en France

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Vous êtes pêcheur de truite et vous cherchez de nouveaux lieux pour pratiquer votre passion ? Ou vous souhaitez découvrir et apprendre les rudiments de cette pêche, véritable loisir nature et de détente ?

1001 Destinations a sélectionné pour vous quelques idées de bons “spots” et des conseils pour pratiquer la pêche au toc en France : une technique très efficace avec des appâts naturels pour pêcher des gros poissons d’eau douce et notamment certains salmonidés comme la truite. Démonstration en vidéo :

Les régions où pêcher la truite

On trouve potentiellement de la truite partout en France. Toutefois, la pêche de la truite sauvage, ou “truite fario”, se pratique surtout dans les torrents, rivières en eaux vives ou lacs à eau claire et fraîche d’altitude, en haute et moyenne montagne (Pyrénées, Alpes et Massif Central).

Vous trouverez par exemple de bons coins pour pêcher la truite fario dans les Pyrénées-Atlantiques, répertoriés sur le site http://www.peche64.com.

Des stages découvertes et des séjours d’initiation ou de confirmation sont même organisés dans de nombreux départements (Lozère, Jura, Cantal…) pour apprendre à pêcher la truite avec un moniteur-guide de pêche professionnel.

La Fédération de pêche de l’Ardèche organise quant à elle, des “ateliers pêche nature” notamment pour apprendre aux jeunes la technique aux appâts naturels.

Le matériel conseillé

La pêche au toc donne le meilleur résultat notamment en torrent. Certains sites spécialisés comme Innovation Pêche, fournissent du matériel spécifique. Vous trouverez notamment une monture pour la pêche à la truite qui permet d’accrocher facilement et solidement des petits poissons morts comme des vairons, qui font partie du régime alimentaire des truites. Ces hameçons pour pratiquer la pêche au “mort manié”, sont d’une efficacité redoutable particulièrement dans des cours d’eau avec de forts courants.

Si vous préférez pêcher en lac, privilégiez une monture pour la pêche verticale, de préférence lestée par une chevrotine (pièce plombée). Vous pouvez en effet immerger plus facilement ce type d’hameçon dans des eaux plus profondes.

La réglementation de la pêche à la truite

La truite préfère la partie amont des cours d’eau en début de saison (fort courant et avec un certain dénivelé) car elles recherchent une eau oxygénée. Ces rivières sont classées en “première catégorie” et disposent d’une législation propre avec des périodes de fermeture pour protéger la reproduction. En 2014, la pêche aux salmonidés dans les eaux de 1ère catégorie est autorisée du 8 mars au 21 septembre.

Au début de la période d’ouverture de la pêche de la truite, éloignez-vous des grosses rivières où les pêcheurs viennent s’agglutiner. Vous y reviendrez plus tard. Tentez d’abord les petits ruisseaux également appréciés des truites pour leurs recoins, leurs abris, la nourriture abondante. En fin de saison, les truites regagnent la rivière principale.

Pour avoir le droit de pêcher en eau douce, vous devez en premier lieu disposer d’une carte de pêche, adhérer à une association agréée de pêche, payer une redevance pour la protection du milieu aquatique et respecter les réglementations établies par les préfets (nombre de cannes, tailles de capture, horaires et périodes de pêche, interdictions, etc). Vous trouverez toutes les informations indispensables sur http://www.cartedepeche.fr/ ou sur le site de la Fédération Nationale de la Pêche en France.

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Top 5 les compagnies aériennes sortent le grand jeu

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Lakedistrict

Le dimanche, on revient sur le meilleur de l’actualité touristique de la semaine dans un top 5.

5.Un aristocrate vend sa montagne en Angleterre

Située au cœur du parc national du Lake District, au nord-ouest de l’Angleterre, une montagne de 870 mètres de haut est à vendre pour la somme de 1,75 million de livres, soit 2,1 millions d’euros. Son propriétaire, Hugh Lowther, comte de Lonsdale, a expliqué cette semaine à la BBC qu’il se résignait à vendre ce « bijou » pour payer les droits de succession relatifs à l’héritage de son père. Le futur acheteur obtiendra la distinction de « Lord » du manoir de Threlkeld et deviendra l’heureux propriétaire des droits de pâturage soit quelque 6.000 brebis…

4. « Tracker » ses bagages sur son smartphone, c’est bientôt possible

Selon une étude menée par la société Sita, la perte des bagages représente 2,6 milliards de dollars à l’industrie aérienne. Soit quelque 26 millions de bagages égarés chaque année. Air France KLM et Airbus se sont alors penchés sur ce problème, avec comme idée de tracer nos affaires grâce au concept de « valise connectée ». D’une part, il y a l’eTag, une étiquette numérique attachée à la valise. D’autre part, l’eTrak, un traceur équipé d’un GPS placé de l’intérieur de la valise, sera relié au smartphone. Grâce à ce système, le passager pourra suivre en temps réel le parcours de ses bagages. Les premiers essais auront lieu en décembre prochain.

3.Terminée la guerre des accoudoirs

Bonne nouvelle pour les voyageurs : la société chinoise Paperclip Design lance l’accoudoir double pour partager un vol en toute tranquillité avec son voisin de siège. Pour gagner de la place dans les trains ou les avions, ce nouvel accoudoir sera constitué de deux étages, permettant ainsi de le partager sans gêne. « La Virgule » est pour le moment à l’état de projet mais pourrait voir le jour prochainement. Plusieurs compagnies se disent intéressées par cette innovation, reste à savoir si elle séduira aussi les fabricants de sièges.

2. Air France : le retour à l’excellence

Air France a dévoilé ce mercredi 7 mai sa suite « La Première », à Shangai. Cette nouvelle première classe, disponible en septembre prochain, s’inscrit dans le programme de montée en gamme de la compagnie depuis l’arrivée en 2012 d’Alexandre de Juniac à la tête d’Air France-KLM. Un défi de taille qui a coûté 50 millions d’euros d’investissement à la compagnie. Le passager bénéficiera d’une suite de 2,30m², d’un lit de deux mètres de long et d’une restauration de luxe, avec le retour du caviar. Tout ça pour la somme de 12 014 euros pour un aller-retour Paris/New-York. Le Point revient en détails sur ces nouvelles suites. Mais la compagnie aérienne Etihad Airways, a contre-carré les plans marketing d’Air France, dimanche dernier, en annonçant le lancement de « The Residence ». Cette nouvelle gamme proposera un large choix de service de luxe comme la salle de bain privative dans des studios de 11,6 m². L’aller-simple entre Londres et Abu Dhabi coûtera 25 000 euros.

1. Le meilleur job du monde est de retour

La compagnie aérienne Swiss Internatonal Air Lines recrute actuellement un candidat pour le poste de « Swiss Explorer ». Un job de rêve d’une durée de 6 mois, sans aucun frais personnel et moyennant même un salaire. A partir de l’automne 2014, l’heureux gagnant sillonnera les quatre coins du monde pour tester les produits et services de SWISS, tout en relayant ses multiples aventures sur internet. Si vous êtes « passionné de voyages, de découvertes et de nouveautés », vous avez jusqu’au 28 mai pour vous inscrire sur le site internet de la compagnie. Le futur employé sera embauché début juillet. Bonne chance à tous !

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La voix suave et sexy du haut-parleur annonce l'arrivée du vol AR421 en provenance de Buenos Aires.Dans un concert de
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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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